L ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ EN LYCÉE PROFESSIONNEL

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1 L ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ EN LYCÉE PROFESSIONNEL Le 16 mai 2012, Commanditaire : Madame le Recteur de l Académie de Clermont-Ferrand Opérationnalisation : Patrick Ajasse IEN ET STI option sciences industrielles Saïd Berrada IEN ET STI option SBSSA Elisabeth Jardon IEN EG Lettres Anglais vice Doyenne Mustapha Lawal IEN ET STl option sciences industrielles Charly Penaud IEN ET STI option arts appliqués Gilles Ruchon IEN ET Economie Gestion Pour : Le collège des IEN ET EG AP LP Page 1 sur 38

2 SOMMAIRE 1. LA PROBLÉMATIQUE Page 3 2. LES DÉFINITIONS Page 4 3. LE CADRE RÈGLEMENTAIRE Page 5 4. LES PROLÉGOMÈNES Page La démarche d étude Page Le cadre Page Les opérateurs Page La pertinence de l action Page La méthodologie retenue, le déroulement Page La finalité de la démarche d étude Page 8 5. LE REFERENTIEL D ANALYSE Page La méthode choisie, les objectifs visés Page Les focales Page Les outils Page Le pré-diagnostic Page LES OBSERVATIONS Page Le cadre Page Les items du questionnaire Page Les modalités de mise en œuvre de l observation Page L ANALYSE Page ier paradigme : La conformité Page ième paradigme : La cohérence Page ième paradigme : L efficacité Page ième paradigme : La pertinence Page LES AXES DE PROGRES Page Axe 1 : La méthode Page Axe 3 : Pédagogie/didactique Page Axe 2 : L organisation Page Axe 4 : l accompagnement des établissements Page CONCLUSION Page TEXTES ET BIBLIOGRAPHIES Page 38 AP LP Page 2 sur 38

3 1. LA PROBLÉMATIQUE La notion d accompagnement traverse la société dans son ensemble. Pour exemple, le coaching sportif, la politique de la ville au travers des éducateurs urbains et le système hospitalier intègrent tous cette idée fondamentale. En 1984, déjà, le système éducatif s inscrit dans cette dynamique. Le rapport Legrand évoque l accompagnement de l élève au moyen du tutorat. La rénovation de la voie professionnelle intègre l accompagnement personnalisé de manière à amener chacun à son niveau d excellence. L accompagnement personnalisé s inscrit dans un ensemble de dispositifs dont l objectif commun est la réussite de tous les élèves. Ce dispositif pionnier en 2009 (rénovation de la voie professionnelle) a été adopté dans le cadre de la réforme du lycée de 2010 et de l alternance en collège pour la rentrée Concourant à l autonomie renforcée des établissements, de par leur définition minimaliste de l accompagnement personnalisé, les textes officiels conduisent les équipes à disposer d une grande liberté d organisation. Comment cette autonomie est utilisée dans le cadre de l accompagnement personnalisé? Quelle est la cohérence des dispositifs mis en place par rapport à l objectif? Quelle est l efficacité des dispositifs sur la réussite des élèves? Quels sont les besoins des établissements en matière d accompagnement? AP LP Page 3 sur 38

4 2. LES DÉFINITIONS Appréhender l accompagnement personnalisé nécessite d en définir les termes. Les définitions ci-dessous sont proposées par l IFE (IRNP) 1 : Accompagner n est pas qu aider : Aider, c est permettre de passer l obstacle (remédiation) Accompagner, c est aussi éclairer le chemin (éviter les fausses routes, passer outre les tâtonnements) Personnaliser n est pas qu individualiser : Personnaliser vise le développement de la personnalité et de l identité et prend en compte les acquis, les besoins, les aspirations. La personnalisation est un dispositif qui intègre deux modes d organisations : L individualisation : plan de travail et consignes propres à l élève qui définit des tâches en autonomie. Les objectifs sont déterminés par le maître qui en est le garant ; La différenciation : gestion du temps scolaire avec alternance entre les temps groupe classe, les temps groupes de compétences et les temps de travail individuel Attributs de ces concepts pédagogiques : Les procédés : Guider, escorter, conduire, individualiser, Les objectifs : Autonomiser, socialiser «Enseigner ne relève pas d une seule posture, d une seule modalité» (P. Bourdieu) 1 Livret repère INRP Mai 2009 AP LP Page 4 sur 38

5 3. LE CADRE RÉGELMENTAIRE Les textes s inscrivent dans le cadre du «processus de Lisbonne» et de la loi cadre de 2005 «Loi d orientation et de programme pour l avenir de l école» qui parmi les objectifs assignés à l institution scolaire prévoit de : Donner à 100 % d une classe d âge un socle commun de connaissances et de compétences ; Qualifier 100 % d une classe d âge au niveau V minimum ; Amener 80 % d une classe d âge au niveau du baccalauréat ; Amener 50 % d une classe d âge à un diplôme de l enseignement supérieur. Arrêté du 10 février 2009, relatif aux enseignements dispensés dans les formations sous statut scolaire préparant au baccalauréat professionnel : Article 4 : les dispositifs d'accompagnement personnalisé s'adressent aux élèves selon leurs besoins et leurs projets personnels. Il peut s'agir de soutien, d'aide individualisée, de tutorat, de modules de consolidation ou de tout autre mode de prise en charge pédagogique. Les heures attribuées à chaque division pour la mise en œuvre de ces dispositifs peuvent être cumulées pour élaborer, dans le cadre du projet de l'établissement, des actions communes à plusieurs divisions. Circulaire n du relative à la mise en œuvre de la rénovation de la voie professionnelle à la rentrée BO n 2 du 19 fé vrier 2009 : «Les horaires réglementaires sont, en moyenne, de 34,5 heures pour les spécialités rattachées à la grille 1 et de 33,5 heures pour les spécialités rattachées à la grille 2, ces horaires incluant l'accompagnement personnalisé. Ces horaires élèves sont établis pour le cycle de trois ans.» Article D du Code de l'éducation (extrait) : «... Des dispositifs d'accompagnement personnalisé sont mis en place pour tous les élèves selon leurs besoins dans les classes de seconde, première et terminale préparant aux baccalauréats général, technologique et professionnel. Ils comprennent des activités de soutien, d'approfondissement, d'aide méthodologique et d'aide à l'orientation, pour favoriser la maîtrise progressive par l'élève de son parcours de formation et d'orientation. Ils prennent notamment la forme de travaux interdisciplinaires.» Circulaire n du 20 mai relative à la préparation de la rentrée BO n 21 du 21 mai 2009 : «...L'accompagnement personnalisé figure au même titre et au même rang que les enseignements obligatoires. Il sera mobilisé au profit des élèves rencontrant des difficultés, et aussi de ceux qui souhaitent profiter des passerelles qui existent entre les spécialités au sein de la voie professionnelle ou entre cette dernière et les voies générales et technologique, ou encore de ceux qui ont un projet de poursuite d'études supérieures...» AP LP Page 5 sur 38

6 Baccalauréat professionnel Grille horaire élève Pour les spécialités comportant un enseignement de sciences physiques et chimiques Baccalauréat professionnel Grille horaire élève Pour les spécialités comportant un enseignement de LV 2 Durée du cycle : 84 semaines auxquelles s ajoutent une PFMP de 22 semaines et 2 semaines d examen. AP LP Page 6 sur 38

7 4. LES PROLÉGOMÈNES 4.1 La démarche d étude Étudier une organisation ou un dispositif, c est examiner les procédures existantes pour estimer leur pertinence et leur efficacité afin de mettre en évidence d une part les risques découlant de leur nonapplication ou de leur inadaptation et, d autre part, les points forts, en vue de produire une analyse et de diffuser les pratiques intéressantes destinées à en améliorer le fonctionnement. C est dans la modélisation, dans la proposition d actions, d outils de pilotage, de pistes de travail que s inscrit cette analyse. Il ne s agit pas d un outil de contrôle de conformité ; il doit permettre aux acteurs au sein des EPLE d autoévaluer les dispositifs mis en place (postures et actions) et éventuellement de les faire évoluer. L analyse doit aider à la prise de décisions. 4.2 Le cadre Une démarche concertée : toutes les personnes concernées par l étude sont identifiées et informées. Une démarche interactive dans le cadre du pilotage partagé Une démarche lisible : la méthode est rigoureuse, explicitée et affichée. «L interactivité est non seulement une méthode de travail, mais aussi la condition d un transfert de compétences. Les recommandations sont soumises au libre-arbitre des acteurs des établissements.» Les opérateurs Patrick Ajasse IEN ET STI option sciences industrielles Saïd Berrada IEN ET STI option SBSSA Elisabeth Jardon IEN EG Lettres Anglais vice Doyenne Mustapha Lawal IEN ET STl option sciences industrielles Charly Penaud IEN ET STI option arts appliqués Gilles Ruchon IEN ET Economie Gestion 4.4 La pertinence de l action Elle s inscrit dans la mission des IEN : «[ ] des missions contribuant à l'amélioration constante de l'acquisition par les élèves des savoirs et compétences définis par les programmes pour les différents niveaux d'enseignement. Le pilotage pédagogique Les inspecteurs procèdent à l'évaluation des enseignements, des écoles et établissements ou à celle de champs disciplinaires ou éducatifs : Elle l'est aussi pour assurer le pilotage de l'action éducative dans l'académie. Elle permet une observation fine et une connaissance approfondie de l'état des disciplines et des activités de l'école ou de 2 «L audit à visée participative : une pratique d évaluation» Gérard Figari, Anne Jorro, Claire Tourmen, Marc Demeuse, Gildas AP LP Page 7 sur 38

8 l'établissement. Elle vérifie le respect des programmes, l'application des réformes et mesure l'efficacité de l'enseignement dispensé en fonction des résultats et des acquis des élèves.» La méthodologie retenue, le déroulement La recherche des éléments porteurs de sens pour l analyse du sujet ont conduit à phaser la démarche : Première étape : Définition d une représentation commune au groupe d étude et choix d une démarche Seconde étape : État des lieux, mise en place d un questionnaire en ligne. Sollicitation des chefs d établissements par Monsieur le Recteur (par courrier), pour renseigner le questionnaire 4. Troisième étape : Détermination de cinq établissements à visiter sur les critères suivants : couverture du territoire, champs de formations proposés, taille, résultat de l enquête, volontariat. Quatrième étape : Observations et entretiens dans les établissements. Cinquième étape : Dépouillement et analyse de l enquête et des visites. Confrontation des représentations initiales (culture commune au groupe de travail) et des éléments recueillis. Sixième étape : Présentation des conclusions au collège des inspecteurs de l Education Nationale du second degré. Septième étape : Présentation du rapport à Madame le Recteur. Huitième étape : Restitution auprès des chefs d établissements lors d un regroupement (½ journée académique) Neuvième étape : Mise en place du «GRAP pro» pour prolonger la réflexion sur le dispositif, proposer des procédures opératives, organiser les procédures d accompagnement des acteurs. Dixième étape : Mise en place d un plan d actions formatives transversales à destination des intervenants repérés. 4.6 La finalité de la démarche d étude C est de recueillir des données qui restituent l image la plus représentative possible des pratiques actuelles dans l académie. C est aussi analyser cette base de données afin de proposer des pistes d actions structurées et des indicateurs pertinents de régulation et de pilotage. C est enfin d améliorer l efficience des dispositifs «accompagnement personnalisé» en apportant l appui sollicité par les établissements, repérer et diffuser les pratiques à promouvoir en sont des ressorts. 3 Circulaire n du «Missions des corps d'inspection : inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux et inspecteurs de l'éducation nationale affectés dans les académies» 4 Courrier du 14/11/2011 en annexe. AP LP Page 8 sur 38

9 Les objectifs du groupe de travail ont été définis en répondant aux questions suivantes : A qui rend-t-elle service? à l élève à l institution académique à l établissement (pratiques professionnelles, pilotage du chef d établissement, etc...) au corps d inspection AP LP Page 9 sur 38

10 5. LE RÉFÉRENTIEL D ANALYSE 5.1 La méthode choisie, les objectifs visés La commande permet de cibler la forme d analyse. Les approches de types «contrôles» et «état des lieux» seront privilégiées. Puis à partir de l étude des deux premières approches nous nous orienterons vers l aide à la décision (pilotage) et à l action au travers de l analyse. L approche «contrôle» Cette approche permet d identifier les exigences à respecter. Le référent est externe à l établissement et monocritère (application ou non-application des textes normatifs). L approche «état des lieux» Cette approche permet de faire un bilan, sans porter de jugement, des réponses à la réglementation et des fonctionnements mis en place. Le regard choisi, intègre ces deux approches. On a, de fait, une référentialisation multicritère. 5.2 Les focales Les paradigmes successifs d analyse seront orientés à travers quatre entrées : Conformité Cohérence Pertinence Efficacité 5.3 Les outils mis en place afin de répondre à la problématique posée Les outils de recueil de données Comme indiqué dans la méthodologie, les outils de recueil sont essentiellement un questionnaire en ligne (voir annexe) et un protocole d observation et d échange en établissement (cf. 6.3) Les outils d analyse pour envisager des axes de progrès Les paradigmes Conformité Cohérence Les prescriptions institutionnelles Le sens et la logique du dispositif et des actions. Les remarques Les réalisations sur le terrain Les synergies produites (avec les enseignements, les projets académiques, projets d établissement, contrats d objectifs les projets d élève pour concourir au même but : amener l'élève à son niveau d'excellence). Pertinence Les objectifs à atteindre les effets obtenus (degré de réalisation) Efficacité Les résultats attendus Les résultats obtenus AP LP Page 10 sur 38

11 5.4 Le pré-diagnostic Il s agit : d hypothèses de réponse(s) à priori au problème posé, d anticipation de l étude, de pistes à privilégier et à explorer, de ne pas décider à l avance mais de vérifier les a priori et de bénéficier des expériences et expertises présentes pour aller à l essentiel. LES A PRIORIS DU GROUPE L objectif de l AP est d amener chaque élève à son niveau d excellence : en apportant des réponses adaptées à des besoins particuliers et momentanés pour la réussite des élèves ; en remédiant, accompagnant, en apprenant autrement, en approfondissant. Les acteurs sont : les pilotes : personnels de direction, chef de travaux, conseil pédagogique, corps d inspection référents d établissements ; les accompagnants : les enseignants, la communauté éducative, y compris les élèves et les intervenants extérieurs, les chefs d établissement, les IEN ET-EG ; les accompagnés : tous les élèves de baccalauréat professionnel. Le processus d accompagnement se définit au travers de l identification des besoins pour déterminer les objectifs, à partir des besoins exprimés par l élève et des besoins déterminés par les accompagnants. Cela suppose de s appuyer sur : les projets personnels, les acquis, donc les besoins (vision positiviste) le projet de l établissement, les représentations de l élève : sur lui-même, sur les disciplines, sur les professeurs et sur le milieu professionnel. Avec des outils : l entretien individuel l évaluation diagnostique le Livret Personnel de Compétences AP LP Page 11 sur 38

12 Le dispositif doit intégrer : l information de tous les acteurs la mise en place de groupes de compétences (transversales / disciplinaires ) / groupes de besoins (remédiation)/groupes d objectifs (construction du parcours) la définition des groupes : o en adéquation avec le contenu, o à effectif variable et évolutif dans le temps, o où disparaissent les entités classes, les niveaux souplesse et évolutivité, la mise en relation des compétences Accompagnant / Elèves, un travail en équipe, une répartition horaire sur trois ans, (ni hebdomadaire ni annuel), des barrettes HSE, (en évitant les horaires de fin de journées,, fin de semaine ou début de semaine), des activités de soutien, d aide méthodologique... Avec des outils : de suivi : mise en place d un livret élève d évaluation: des acquis des élèves, de l efficacité du dispositif de repérage des compétences disponibles : «portefeuille de compétence des accompagnants». AP LP Page 12 sur 38

13 6. LES OBSERVATIONS 6.1 Le cadre - Du questionnaire : o Mise en ligne du questionnaire pour l enquête o Type d établissement : EPLE avec des formations professionnelles o Nombre d établissements : 49 o Etablissements qui ont répondu : 33 o Répartition par taille : * Situation géographique : AP LP Page 13 sur 38

14 6.2 Items du questionnaire: (questionnaire ANNEXE B données brut en ANNEXE C) Quels sont les objectifs prioritaires visés par l établissement pour l'accompagnement personnalisé? Sur quel diagnostic se fonde le besoin de la mise en place de l AP? Les besoins des élèves sont-ils repérés dans la mise en place du dispositif de l AP? Quels sont les types de besoins repérés? Sous quelle forme ce repérage des besoins est-il effectué au sein de l établissement? Toutes les disciplines sont-elles concernées par l AP? Quelles sont les disciplines les plus fréquemment concernées? Les compétences disponibles des divers intervenants potentiels sont-elles repérées? Comment sont répertoriées ces compétences? Quelles sont les personnes qui interviennent dans le cadre de l AP? Un tutorat des élèves a-t-il été mis en place dans ce processus? Qui sont les tuteurs? Comment s effectue le choix des intervenants pour l AP? Qui a décidé de la forme de l accompagnement personnalisé dans l établissement? Existe-t-il un groupe de pilotage de l AP dans l établissement? Quelle est sa forme du groupe de pilotage? Qui est le pilote de ce groupe? Existe-t-il des moments de coordination des équipes pédagogiques autour du processus? Comment est structuré ce dispositif? Comment les élèves sont-ils regroupés? Quels élèves suivent l accompagnement personnalisé? Comment sont décidés les modules proposés? L efficacité des différents accompagnements proposés a-t-elle été évaluée? Quel est le ressenti de la communauté éducative sur le processus déjà mis en place? L accompagnement personnalisé donne-t-il lieu à une évaluation des compétences étudiées? Existe-t-il un outil de suivi des élèves dans le processus d AP? Les efforts des élèves dans ce dispositif sont-ils valorisés? AP LP Page 14 sur 38

15 6.3 Les modalités de mise en œuvre de l observation Grille d analyse utilisée Personnes rencontrées et / ou contactées Chefs d EPLE Forme de la prise d information Entretien oral et transmission de documents écrits ou numérisés Documents consultés et modalités observées Documents élèves Séance Documents pédagogiques ou communication Groupe de pilotage Entretiens individuels Elèves Enseignants Entretiens collectifs Observation de séquence Entretien individuel Observation de séquence AP LP Page 15 sur 38

16 7. L ANALYSE L analyse porte sur 33 établissements parmi les 49 qui ont répondu, soit 67%. Cette proportion permet de faire une étude pertinente sur toute l académie ier paradigme : la conformité Les remarques Les prescriptions institutionnelles 1. Des dispositifs d'accompagnement personnalisé sont mis en place les réalisations sur le terrain 1. Tous les établissements (100%) ont mis en place l AP. Observations du groupe d analyse Tous les établissements ont adhéré à la nécessité de la mise en place de l AP heures d AP sont à proposer sur 3 ans quelle que soit la spécialité selon les besoins et les projets personnels des élèves. 2. le volume horaire global est très variable en fonction de la nature du dispositif ; 50 % des établissements ont utilisé strictement l enveloppe des 210 heures. Observations du groupe d analyse On peut constater que pour 50 % d établissements qui sont restés dans le cadre strict de l utilisation des 210 heures, certains établissements ont un volume horaire supérieur aux 210 h (appel à des acteurs extérieurs, utilisation de l EGLS etc.) alors que d autres sont en dessous des 210 h semblant privilégier des groupes à effectif variable. 3. Les horaires sont établis sur le cycle de 3 ans 3. 50% ont privilégié la distribution annuelle indicative, les autres ont préféré une ventilation différente. Observations du groupe d analyse La distribution de la DHG étant annuelle, elle rend difficile la mise en place d un projet sur le cursus de 3 ans. AP LP Page 16 sur 38

17 4. Le dispositif sera mobilisé au profit des élèves rencontrant des difficultés, et aussi de ceux qui souhaitent profiter des passerelles 4. 41% des établissements ont mis en priorité les remédiations disciplinaires 3% des établissements ont mis en priorité les passerelles Observations du groupe Près de 50% des établissements n ont pas hiérarchisé les objectifs. Les établissements ont privilégié l accueil des élèves et la remise à niveau donc la remédiation en ce début du dispositif. 5. L évaluation diagnostic préconisée par le collège. 5. Les deux tiers des établissements ont mis en place l évaluation diagnostique préconisée par le collège (document de 2009). Un dixième en ont fait leur seul outil de diagnostic. Observations du groupe : Cette préconisation académique fait suite au BO spécial Numéro 2 du 19 février Elle est parue dans un document de cadrage préalable à la généralisation. AP LP Page 17 sur 38

18 7.2 2 ème paradigme : la cohérence Les remarques Le sens et la logique du dispositif et des actions. 1. Les objectifs de l accompagnement personnalisé sont en phase avec le projet de l établissement. Les synergies produites (avec les enseignements et les projets académiques, preojets d établissement, del élève, pour concourir au même but : amener l'élève à son niveau d'excellence). 1. Objectifs visés par l'accompagnement personnalisé sont : renforcement disciplinaire pour remédier à des difficultés renforcement disciplinaire pour favoriser une poursuite d études aide à la construction du projet personnalisé Globalement tous les établissements attribuent plusieurs objectifs à l accompagnement personnalisé (la moitié des établissements sans ordre de priorité) La moitié des établissements semblent ne pas avoir défini de stratégie globale d accompagnement L objectif principal de l accompagnement personnalisé est le renforcement disciplinaire objectif premier pour 41 % des établissements. L aide à la construction du projet est une préoccupation pour 6 % des établissements. Observations du groupe d analyse : Peu d établissements établissent un lien entre ce dispositif et le projet d établissement et / ou les contrats d objectifs. Le dispositif est le plus souvent constitué d actions dissociées répondant à des besoins immédiats sans qu il y ait réellement de coordination sur un objectif global. Il nous semble que les modalités de pilotage du dispositif sont à affiner. AP LP Page 18 sur 38

19 2. Le pilotage permet la définition d un objectif partagé. 2. Forme de l AP : Dans la moitié des cas c est l équipe de direction qui décide seule, dans l autre moitié la communauté éducative est associée sous différentes modalités. Un groupe de pilotage existe dans 11(un tiers des réponses) établissements : Ce groupe de pilotage correspond au conseil pédagogique dans la moitié des cas. Il est piloté par le proviseur ou son adjoint. Observations du groupe d analyse : La cohérence est assurée par les choix du chef d établissement. L implication du reste de la communauté éducative dans la définition des orientations reste minoritaire ce qui implique une méconnaissance des choix et un manque certain d adhésion et de cohésion des actions mises en œuvre. 3. Le dispositif est pensé comme une réponse aux besoins. 3. Près d un quart des établissements déclarent distribuer les heures en fonction des besoins des enseignants ou des disciplines. Un sixième en fonction des besoins repérés des élèves. Plus de la moitié en fonction des projets et des compétences des intervenants. Observations du groupe d analyse : La mise en place du dispositif est majoritairement appuyée sur l implication et l offre de compétences des intervenants et seulement dans un sixième des cas sur les besoins exprimés et repérés. Cet état de fait s explique par un élément temporel, le montage du dispositif est antérieur à l évaluation des besoins en particulier en seconde La cohérence du dispositif est par contre impactée de manière non négligeable par la latitude resserrée des DGH (un quart des décisions d attributions horaires l est sur des problématiques de conservations des postes). La nouveauté relative du dispositif, et la distribution annuelle des moyens sont des freins à une mise en cohérence (répartition et actions) sur les trois années du cycle. AP LP Page 19 sur 38

20 4. Le diagnostic doit permettre de répondre aux objectifs globaux de l accompagnement personnalisé 4. Les deux tiers des établissements ont mis en place l évaluation diagnostique préconisée par le collège (document de 2009). Un dixième en ont fait leur seul outil de diagnostic. Observations du groupe d analyse : La seule utilisation de la grille proposée par le collège des IEN ET en 2009 ne permet pas la détection des besoins en termes de projet personnel et professionnel, d autres éléments de diagnostics doivent être pris en compte. 5. Une coordination permet la dynamique et la régulation du dispositif. Observations du groupe : 5. Le tiers des établissements programment des temps de coordination des équipes pédagogiques. La totalité des établissements ayant mis en place une coordination ont un groupe de pilotage La coordination n existe que pour moins d un tiers des établissements, Ces temps de coordinations permettent un suivi des élèves, une évolutivité du dispositif et la définition et le partage des objectifs. Il est notable que ces temps de coordination n existent que dans les établissements ou un groupe de pilotage a été mis en place. La nature de ces temps de coordinations est variable en fonction des établissements (temps d AP libérés, plages horaires neutralisées dans l emploi du temps...) AP LP Page 20 sur 38

21 7.3 3 ème paradigme : l efficacité Les résultats attendus 1. L évaluation mise en place permet d identifier et d agir sur l efficience du dispositif. Observations du groupe d analyse : Les remarques 1. Un tiers des établissements déclarent évaluer le dispositif Les résultats obtenus Un seul établissement nous a présenté les résultats et les évolutions induites par cette évaluation. 2. Les actions répondent aux besoins de l élève leur efficacité est évaluée. 2. Evaluation des compétences dans moins de la moitié des cas. Pour 4 établissements sur 5 aucun dispositif spécifique de suivi des élèves n a été déclaré. Observations du groupe d analyse : Si plusieurs établissements ont mis en place un dispositif d évaluation des actions, un seul l a formalisé par un livret en direction des élèves et des enseignants. L absence d objectif assigné à chaque action est un frein majeur à la mise en place d une quelconque évaluation et rend difficile la régulation. 3. Une organisation pensée et spécifique, nécessaire à l efficacité du dispositif. 3. Un tiers des établissements indiquent avoir une organisation spécifique. Un tiers des établissements déclarent identifier le dispositif à l emploi du temps des élèves. Observations du groupe d analyse : L observation montre des organisations très diverses (groupe classe, groupe de besoins.) la plus part sont intégrées à l emploi du temps des élèves et dans le service des enseignants. AP LP Page 21 sur 38

22 4. L adhésion et l intérêt au dispositif sont connus et recherchés % des établissements indiquent que leur communauté éducative n a pas d opinion sur le dispositif Observations du groupe : L absence d évaluation du dispositif peut expliquer ce taux de réponse. L observation montre cependant des opinions très diverses. Au niveau des élèves, les rencontres montrent que les élèves ne voient l intérêt du dispositif que lorsqu ils sont acteurs des choix ou que les dispositifs correspondent à leur objectif personnel (passerelle BTS). S ils ne voient pas l intérêt de donner leur avis sur les contenus disciplinaires, ils estiment cependant légitime le fait d être consultés et force de proposition sur le dispositif. Plus l itinéraire est fléché, plus les apprenants adhèrent, les élèves de seconde qui découvrent ce dispositif sont ceux qui en saisissent le moins le sens. AP LP Page 22 sur 38

23 7.4 4 ème paradigme : la pertinence Les objectifs 1. Une forme de dispositif adapté Les remarques Les effets obtenus 1. Une logique de distribution tout au long de l année et non pas définie par module de besoins : 1/3 des établissements a placé l AP dans l emploi du temps annuel des enseignants 1/3 des établissements dans l emploi du temps des élèves. Seulement 1/5 en barrettes Observations du groupe d analyse : La distribution est souvent subordonnée aux contraintes de la DHG, des services des enseignants et par une habitude d équilibre numérique des groupes. On constate trop souvent une rigidité du dispositif tout au long de l année scolaire là où la flexibilité permet seule de répondre aux besoins. La mise en place en barrette et / ou l utilisation des départs décalés en PFMP semblent être des réponses adaptées, 2. Un diagnostic permettant de répondre aux besoins des élèves 2. Les outils de diagnostic sont multiples, parmi ceux-ci le livret personnel de compétence qui devrait permettre le suivi intercycle des élèves est très peu utilisé. Observations du groupe d analyse : Les établissements ayant un dispositif structuré ont tendance à utiliser plusieurs outils L utilisation du livret personnel de compétences comme outil de diagnostic est freinée par deux séries de raison : o La novation de l outil (c est la première année de sa généralisation), difficulté d accès aux informations, méconnaissance de l outil et de son contenu en particulier de la part des enseignants ; o Le manque de précision voir de fiabilité ressenti de cette évaluation (évaluation par compétence et non pour chaque item, utilisation du livret dans le cadre du DNB et des objectifs de certification des collèges ) 3. Une définition fine des disciplines concernées Observations du groupe d analyse : 3. Un tiers des établissements mobilisent toutes les disciplines dans le dispositif Les deux disciplines les plus concernées sont les lettres histoires et les mathématiques La prééminence des disciplines générales laisse à penser que ce dispositif est surtout accès autour des compétences du socle commun Il semble que les enseignants des disciplines professionnelles aient du mal à trouver leur place dans le dispositif, nos observations montrent que : o Leurs interventions sont le plus souvent disciplinaires o Les enseignants ne voient pas quels pourraient être leurs apports transversaux AP LP Page 23 sur 38

24 4. Le choix des bons acteurs en fonction de leurs compétences 4. Les accompagnants sont par ordre décroissant d occurrence : les enseignants (en poste dans l établissement et marginalement les TZR sans heures de cours) l équipe éducative des intervenants extérieurs et des élèves de manières marginales. Les établissements déclarent repérer les compétences existantes dans la moitié des cas. Parmi ceux-ci les deux tiers le sont à partir des projets proposés par les enseignants. Observations du groupe d analyse : Ce dispositif est mis en place dans la quasi-totalité des cas sous forme de séances d une heure ou d une heure et demie. Elles sont animées le plus souvent par des enseignants. Il est à noter que l intervention des membres de l équipe éducative permet de travailler : en groupes moins nombreux (gain sur le nombre d heures d enseignement mobilisés) sur le projet de l élève et des compétences transversales. Le nombre très limité d intervention d élèves est à mettre en lien avec le petit nombre de tutorats mis en place. Il faut cependant noter que dans certains établissements un suivi individuel de certains élèves existe sans pour autant être intégré au dispositif. L enquête révèle que l appartenance disciplinaire est le critère prépondérant pris en compte pour légitimer l intervention des acteurs du dispositif. Cette disposition est clairement affirmée pour la moitié des établissements. Parmi ceux qui déclarent avoir fait un repérage des compétences, les deux tiers se basent sur des projets proposés par les enseignants. 5. Des approches pédagogiques diversifiées et adaptées 5. La majorité des séances observées sont de forme magistrale Observations du groupe : Dans les établissements qui ont mis en place un dispositif structuré et partagé, les objectifs des séances sont clairement définis et participent à l objectif global de l accompagnement. Nous avons cependant noté que très souvent, lors des séances observées, les modalités pédagogiques mises en œuvre ne sont pas les plus pertinentes pour les objectifs définis (individualisation nécessaire dans certains cas, différentiation dans d autres ). AP LP Page 24 sur 38

25 8. LES AXES DE PROGRÈS Dans le cadre d une dynamique de changement pour chacun des niveaux d accompagnement : 8.1 Axe 1 : La méthode : Proposition 1: la création et la formalisation d un processus d accompagnement Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Définition d une organisation en fonction des moyens. Emploi du temps élèves / enseignants. Eléments à promouvoir Définition d une organisation souple et formalisée. Diagnostic du dispositif pour le faire évoluer. Implication du conseil pédagogique Création d un groupe de pilotage Calendrier d affectation des élèves dans les groupes Compte rendus du conseil pédagogiques et / ou du groupe de pilotage. Mise en place d indicateurs d efficience du dispositif. Précisions L organisation doit être pensée et organisée de manière participative afin de permettre l adhésion de la communauté éducative. Cette organisation doit être questionnée de façon à la faire évoluer. AP LP Page 25 sur 38

26 Proposition 2 : La création et la formalisation d un processus de diagnostic partagé Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés indicateurs Eléments existants Recueil des besoins des élèves Evaluation diagnostique Entretien individuel Livret personnel de compétences Les besoins individuels sont recueillis et mis à jour après chaque période du processus. Croisement des éléments de diagnostic. Recueil des besoins exprimés. Besoins des élèves identifiés (détectés et exprimés) Eléments à promouvoir Les élèves comprennent les éléments de diagnostic donc leur parcours en accompagnement personnalisé Le diagnostic porte sur : o les disciplines o les compétences transversales o le projet de l élève Suivi de l évolution des besoins. concertation et partage du diagnostic avec les élèves. Création d un livret personnel de suivi des élèves dans l accompagnement personnalisé Adéquation entre les besoins identifiés et constitution des groupes Evolutivité des groupes Adhésion des participants aux actions Précisions Il est important que le diagnostic prenne en compte les besoins ressentis par les élèves et qu il soit partagé. Le diagnostic initial est un élément crucial pour l intégration et la remédiation, il doit être suivi et affiné tout au long du cycle pour permettre à l accompagnement d être réellement efficace. Le diagnostic est un préalable à la constitution des groupes. AP LP Page 26 sur 38

27 Proposition 3 : la création d indicateurs d évaluation des actions et du dispositif. Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Evaluation des actions Mesurer les effets du dispositif Fiches définissant les objectifs des actions, Livret de suivi et portfolio de l accompagnement personnalisé Entretien professeur élève. Taux de réussite aux examens, Taux de réussite dans les études supérieures, Réussite des passerelles Nombre d élèves ayant une pratique facultative (activités sportive, culturelle, partenariat ou action extra-scolaire) Éléments à promouvoir Mesurer les effets des actions Réduction du taux d absence. Réduction du taux de décrochage Implication de l élève dans son parcours de formation et dans les actions de l établissement (en référence aux compétences 6 et 7 du socle et au projet personnel de l élève), Diversité des objectifs et des actions, Individualisation des parcours Précisions Il est important que le dispositif soit souple et dynamique. Que les actions soient cohérentes avec les programmes et référentiels, les textes, le projet d établissement et le contrat d objectif. AP LP Page 27 sur 38

28 Proposition 4 : périmètre Pour qui? (obligatoire pour tous, 210 h proposées) Moyens possibles: Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Eléments à promouvoir Mise en conformité Précisions Répondre à l article D333-2 du code de l éducation. Mettre chaque élève face à une activité accompagnante (en fonction de besoins ressentis et/ou évalués). Placer toutes les séquences pédagogiques comme de possibles moments d accompagnement. Permettre à l élève de choisir certains modules en fonction des besoins qu il ressent. Définir des dispositifs évolutifs d impliquer un maximum de personnes (accompagnateurs et accompagnés). Pour tous les élèves : - Un dispositif intégré aux enseignements disciplinaires. - Un calendrier de rotation entre modules (évolutif ou non). Pour certains élèves : Des dispositifs annuels spécifiques d approfondissement au choix ; Au travers des méthodes d évaluation et de remédiation voire d approfondissement dans les disciplines par une pédagogie différentiée. Modules en barrettes sur une période obligatoire avec inscription par l élève. Plages horaires définies et immuables mais contenus renégociés après chaque réunion du groupe de pilotage. Dispositifs offerts : - Nombre de dispositifs offerts et variété (typologie à définir). Dispositifs suivis : -Nombre d élèves sur les dispositifs (imposés ou optionnels.) -Taux de présence. Suivi de cohorte -Taux de «fidélisation» des élèves sur les spécialités et nombre de passerelles. -Taux de redoublement. -Amélioration des taux de réussite au BTS. Proposer à tous les élèves un accompagnement personnalisé adapté «... Des dispositifs d'accompagnement personnalisé sont mis en place pour tous les élèves selon leurs besoins» Identifier les plages d accompagnement personnalisé «...L'accompagnement personnalisé figure au même titre et au même rang que les enseignements obligatoires» Accompagner l élève dans son projet de formation, dans son projet d orientation est un acte qui ne relève pas d un seul module mais qui doit se prolonger dans tous les enseignements de toutes les disciplines. Accompagner l élève va au-delà de l AP et de l enseignement obligatoire et intègre toutes les activités d un EPLE Il dépasse ainsi les 210 heures. Dès lors nous pouvons distinguer : -ce qui dépend d un besoin de remédiation et/ou d une remise à niveau (socle, prérequis spécifiques, méthodologie ) qui est à définir par l équipe pédagogique et qui est obligatoire. - ce qui dépend d un besoin d accomplissement du projet personnel (orientation ) qui est à définir par l équipe pédagogique ET par l élève par exemple en proposant un choix entre des modules proposés sur des périodes obligatoires. -ce qui dépend d un choix spécifique de l élève (ateliers de remise de confiance en soi ) sur des modules optionnels, proposés mais non imposés. AP LP Page 28 sur 38

29 8.2 Axe 2 L organisation : Proposition 1: définir une supervision, un pilotage Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Répondre à la demande institutionnelle. Un pilotage direct par l équipe de direction. Un pilotage par le Conseil Pédagogique. Un pilotage par un groupe spécifique. Eléments à promouvoir Avoir une vision globale et réaliste de l accompagnement personnalisé. Créer l adhésion de la communauté éducative au dispositif. Etre en cohérence avec le contrat d objectifs, le projet d établissement et le projet académique. Avoir un dispositif évolutif. Définir un pilotage pro-actif. Partager le pilotage. Articuler avec le contrat d objectifs. Créer un livret de suivi des actions du dispositif. Existence de documents de pilotage. Nombre de réunions du groupe de travail. Les réunions sont formalisées. Présence des acteurs concernés aux réunions du conseil pédagogique. Prise en considération des axes du contrat d objectifs. Précisions L implication du conseil pédagogique et la création d un groupe de pilotage dédié semblent les leviers les plus efficaces AP LP Page 29 sur 38

30 Proposition 2 : les intervenants Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Les intervenants sont les membres de l équipe pédagogique,plus rarement l équipe éducative, très rarement des élèves ou des partenaires extérieurs. Eléments à promouvoir Identifier les compétences de chacun pour répondre aux besoins détectés. Les compétences des intervenants sont connues en fonction des projets présentés. L ensemble de la communauté éducative est porteuse de compétences utiles et adaptées aux besoins de l accompagnement. Certaines du fait de la formation et la fonction de chacun, d autre du fait d expériences ou de compétences spécifiques. Les partenaires de l établissement peuvent aussi répondre à des besoins spécifiques. Dans le cadre d un tutorat les élèves tout comme les étudiants (travail inter cycle) peuvent également intervenir en tant qu accompagnants. Le recueil de compétences des accompagnants existe dans l établissement et il est formalisé. Il convient de recenser en amont les compétences mobilisables internes et externes à l établissement Précisions Le diagnostic initial et la définition des objectifs d accompagnement personnalisé dans l établissement permettent de mettre en place un premier recueil. AP LP Page 30 sur 38

31 Proposition 3 : organisation des plages Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Eléments à promouvoir Répondre à la demande institutionnelle. Combiner le service enseignant et l emploi du temps élève. Créer des groupes de besoins par niveaux. Associer, par période, les besoins élèves aux compétences des intervenants sur des barrettes horaires. Attribuer les moyens sous forme d HSE pour permettre une organisation souple et évolutive. Positionner de préférence les plages en cours de journée. Attribuer des plages d AP au regard des services des enseignants. Attribuer des heures AP aux enseignants pour compléter leur service. Tableau de répartition des besoins élèves par compétences des intervenants. Les plages horaires sont identifiées. Mise en conformité Proposer à tous les élèves un accompagnement personnalisé adapté «... Des dispositifs d'accompagnement personnalisé sont mis en place pour tous les élèves selon leurs besoins» Identifier les plages d accompagnement personnalisé «...L'accompagnement personnalisé figure au même titre et au même rang que les enseignements obligatoires» AP LP Page 31 sur 38

32 Proposition 4 La concertation Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Répondre aux préconisations. Livret de suivi de l élève. Réunions trimestrielles de concertation pour organisation, suivi et bilan. Mise en place d une concertation. Eléments à promouvoir Permettre l évolutivité du dispositif. Organiser les groupes, accompagner la progression des élèves. Evaluer les actions. Mettre en place les passerelles. Positionnement des élèves. Livret de suivi de l élève. Exploitation des éléments de diagnostic. Mise en place d une concertation. Nombre de réunions. Existence de comptes rendus à destination des pilotes. Evolutivité des groupes. Temps de concertation identifié. Précisions Des réunions de concertation composées de l ensemble des intervenants sont à prévoir en début d année scolaire et en fin de chaque période : o Quels groupes? Quelles compétences? o Pour qui? o Par qui? o Quels objectifs? o Quelle(s) méthode(s)? o Quels outils? o Quelle évaluation de la progression? o Quelle(s) remédiation(s)? La concertation est construite autour du livret de suivi des élèves AP LP Page 32 sur 38

33 8.3 Axe 3 : Pédagogie/didactique Proposition 1: répondre pédagogiquement à l objectif institutionnel de l accompagnement personnalisé Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Répondre à la mise en place de l accompagnement personnalisé Créer des groupes de niveau Créer des groupes d aide disciplinaire Travailler sur une meilleure acquisition du socle commun Les moyens classiques d une pédagogie descendante Les moyens de la pédagogie active sur quelques modules De l aide individualisée Des échanges avec des personnes autres que l équipe pédagogique de la classe (documentaliste, COP ) Eléments à promouvoir Précisions Consolider les compétences du socle commun Permettre la construction et la consolidation du projet personnel et professionnel de l élève Prévenir le décrochage Permettre la fluidité des parcours par la préparation des passerelles d orientation horizontales Permettre la réussite des parcours par la préparation des poursuites d études Favoriser l Insertion professionnelle Des modules d accompagnement qui regroupent des élèves d une classe ou de classes différentes (alignées sur une tranche horaire) en fonction de besoins spécifiques identifiés Des modules d accompagnement qui regroupent des élèves de niveaux différents (alignées sur une tranche horaire) en fonction de besoins spécifiques identifiés (langues, projet ) De l aide individualisé pour de petits groupes d élèves sur des besoins spécifiques (socle ) Des travaux en groupe à effectif renforcé pour des apports liés à la poursuite d étude Mise en place de tutorat, mentorat Résultat aux examens sur les disciplines fortement liées au socle Taux d élèves en projet Taux de décrochage Nombre de parcours personnalisés mis en place suite à une passerelle horizontale Taux de réussite aux examens des élèves entrant par un parcours passerelle Nombre de demande de poursuite d étude Suivi de cohorte : Taux de passage en seconde année de l enseignement supérieur des élèves du lycée Résultats aux examens de l enseignement supérieur des élèves de l établissement Réussite des études pour les élèves ayant bénéficié de passerelles sortantes Le dispositif : La création du cadre est obligatoirement antérieure au diagnostic des besoins des élèves. Elle doit donc s appuyer sur deux éléments : Les objectifs généraux de l accompagnement personnalisé décrits ici Le diagnostic établissement pour tenir compte des spécificités locales La mise en place des actions d accompagnement doit s appuyer sur le diagnostic élève. AP LP Page 33 sur 38

34 Proposition 2: adapter l approche pédagogique à l objectif, Moyens possibles : Objectifs Outils/procédés Indicateurs Eléments existants Eléments à promouvoir Précisions Répondre aux difficultés des élèves identifiées et ressenties. Prendre en charge de façon personnalisé ou individualisés les besoin repérés. La remédiation : - par une pédagogie descendante - par des exercices disciplinaires répétitifs L apport de connaissances complémentaires : - par une pédagogie descendante - par des exercices disciplinaires répétitifs. Mise en place d une aide méthodologique, éducative, cognitive. Inscription dans un processus de projet (insertion Pro, poursuite d études, concours ). Travail sur activités différentiées à partir de ressources (l enseignant se positionne alors non pas comme le maitre mais comme référent). Privilégier une pédagogie active. Modification de la posture de l enseignant : du maître à l accompagnant. Evaluation formative comme outil de l évolution de l élève. Evaluation instantanée pour un ajustement Appétence de l élève aux modules d accompagnement. Diversité des actions et situations mises en place. Existence d une base de ressources. Qualité de l échange et du dialogue accompagnant / accompagné. dynamique de l action. L accompagnement personnalisé doit permettre de faire évoluer les représentations parfois négatives de certaines disciplines/enseignements qu ont les élèves. L évaluation formative est un élément incontournable. Dans toute pédagogie elle permet de réorienter la planification pédagogique et la création d un ruban pédagogique. Dans le cas d apports disciplinaire l accompagnant n est pas nécessairement le professeur en charge de la classe L aide individualisée facilite la mise à niveau dans les savoirs fondamentaux (compétences du socle) ou l anticipation des difficultés Les plages horaires données aux modules ne sont la propriété d aucune discipline Le tutorat et le mentorat instaurent un processus d échange et de dialogue entre deux individus sur des objectifs divers liés : au bien être, à l intégration, au projet d orientation et de formation AP LP Page 34 sur 38

35 8.4 Axe 4 : l accompagnement des établissements : Proposition1: L accompagnement des acteurs de l accompagnement personnalisé en lycée professionnel Moyens : Objectifs Outils Indicateurs Continuité de l existant Création de Assurer la mise en place du dispositif. L intervention des IEN ET EG. Le document académique d accompagnement de mise en place de Rendre le dispositif efficace. L enquête Une demi-journée d information aux chefs d établissement. La création du GRAPPro (Groupe de Réflexion Accompagnement Personnalisé Professionnel). Des modules de formation de formateurs. Des journées locales de formation transversale. Le dispositif existe dans tous les établissements Le dispositif existe. L Ensemble des indicateurs des différents axes. Proposition 2: Création du Groupe Accompagnement Personnalisé en lycée Professionnel Moyens possibles : Objectifs Outils Indicateurs Continuité de l existant Création de Coordonner le dispositif. Créer des outils. Diffuser l information. Etre force de proposition et impulser les bonnes pratiques. Des journées de réflexion. L utilisation d une plateforme de travail collaboratif. La création d un fond de ressources. Nombre de réunions. Score d utilisation de la plateforme. Nombre de ressources. AP LP Page 35 sur 38

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