L habitat collectif. et ses relais

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1 COMMUNICATION CIBLÉE J.-P.Woodland / Eco-Emballages L habitat collectif >Favoriser le tri en habitat collectif impose de prendre en compte toutes les spécificités de ce type d habitat. Aussi cela nécessite-t-il une communication de terrain au cas par cas, adaptée au dispositif technique choisi et prenant en compte la réalité sociale, économique et culturelle des habitants de la résidence concernée. > Souvent, les aménagements que requiert la pratique du tri n ont pas été intégrés dans la conception des bâtiments. Les solutions techniques, fruits d une concertation entre la collectivité et le bailleur ou le syndic, varient en fonction de la politique du gestionnaire, de l espace disponible, des contraintes de vie, de la sécurité. > Essentiellement urbain, l habitat collectif induit l existence de «mini-sociétés» dans la société. Chaque résidence possède ses spécificités (culturelles, architecturales, environnementales ), ses habitudes de vie, ses codes, qu il convient de respecter lors de la mise en place et du suivi d un projet collecte sélective.

2 > Qui? Eco-Emballages L habitat social représente deux millions de logements. (NOUVEAU) Le saviez-vous? Petit ou grand, en copropriété ou de type social, l habitat collectif concerne en France 40 % de la population et représente un total de 9 millions de logements. La part de l habitat social est de 22 %. Communiquer en habitat collectif implique la prise en compte d un grand nombre d intervenants potentiels dans le projet collecte sélective. Commencez par les identifier en amont, sans négliger leur influence auprès des résidants ou des opérateurs de la collecte sélective. En fonction des configurations (petit ou grand collectif, avec ou sans gardien, de type social ou en copropriété), leur nombre, leur rôle et leur statut varient. Les relais opérationnels Les bailleurs, les syndics, les conseils syndicaux Les organismes HLM et les syndics ont de fait la capacité de mettre en œuvre ou non la collecte sélective. Ils peuvent également jouer un rôle clé de relais d information auprès des habitants et des gardiens. Pour cela, ils doivent être convaincus de la pertinence de la collecte sélective. Les gardiens Interlocuteurs privilégiés et quotidiens des résidants, les gardiens d immeuble sont de véritables pivots du projet. Dans le cas d immeubles sans gardiens, il est recommandé d identifier avec le bailleur : les personnels d entretien, les agents de gestion de proximité, les médiateurs «propreté» ou les correspondants d immeuble. Les collecteurs Parfois, au même titre que les gardiens, les rippeurs sont les traits d union entre la collectivité et les résidants. Établir un partenariat avec l organisme collecteur est nécessaire pour sensibiliser les rippeurs en amont du projet, les informer et les former aux changements induits par la collecte sélective. Les gardiens sont les principaux relais en habitat collectif. Les autres cibles Les sociétés de nettoyage Manque de qualification du personnel, turn-over élevé Il est parfois difficile d impliquer les sociétés de nettoyage dans le projet collecte sélective. Là également, le gardien, le syndic ou le bailleur peut jouer un rôle de médiateur pour obtenir l adhésion de cet intervenant. Les relais d information L objectif est d établir un partenariat avec toutes les structures dynamiques existant dans la collectivité. Les régies et associations de quartier, les centres sociaux, les centres de loisirs, les associations d insertion des étrangers, de consommateurs, de protection de l environnement, les commerçants de proximité, les enseignants sont autant de partenaires potentiels pour faire adhérer la population au tri et jouer un précieux rôle de levier en cas de «blocages». Eco-Emballages Qui? Comment? Plan d actions

3 L habitat collectif J.-P.Woodland / Eco-Emballages Les résidants Au-delà de la diversité des solutions techniques adoptées, les variantes sociales, culturelles, économiques sont propres à chaque type d habitat (social ou non) et à chaque résidence. Pour obtenir l adhésion des résidants de l immeuble, il est primordial de prendre en compte toutes les spécificités et habitudes de vie de la population. Le choix de l emplacement des points de regroupement est essentiel. > Comment? ( OUTILS > Guide «Habitat collectif : mettre en œuvre ou développer la collecte sélective» (ADEME, AMF, Eco-Emballages, Union des HLM). > Vidéo «Habitat collectif : mettre en œuvre ou développer la collecte sélective». Les conditions de la réussite Une bonne communication en habitat collectif doit impérativement s appuyer sur les fondements suivants : une démarche de concertation menée avec l ensemble des intervenants (bailleur, syndic, gardien, association de locataires, urbaniste, paysagiste ) ; une solution technique adaptée et acceptable par tous ; un local propreté éclairé, entretenu (murs et sols lessivables) et accessible ; une signalétique claire et de qualité. La réunion de ces quatre conditions, doublée d une communication régulière vers l habitant, constitue le gage d une réussite pérenne de la collecte sélective. Même très qualitative, une communication bâtie sur un dispositif technique non adapté ne conduira pas aux résultats souhaités! L EXEMPLE À SUIVRE La Roche-sur-Yon : l ensemble du nouveau dispositif technique équipant le parc HLM a été réalisé en étroite collaboration avec les habitants. Du choix des emplacements aux couleurs de la signalétique, tout a été validé par les résidants. ( OUTIL > Le logiciel «e-collectif» permet, à partir d enquêtes réalisées dans les locaux propreté, de proposer des solutions techniques d aménagements, d en simuler le coût et l impact visuel extérieur. Les temps forts de la communication Communiquer en phase de mise en place de la collecte sélective En amont du projet et lors de la mise en place de la collecte sélective (lors de la remise des contenants, par exemple). Dans le cadre d une réhabilitation, d aménagements : avant et pendant les travaux. Communiquer en phase de suivi à l occasion : de l arrivée de nouveaux résidants (lors de la remise des clés) ; du passage des ambassadeurs du tri (annonce de leur passage en porte-à-porte ou de leur animation en pied d immeuble) ; d événements locaux (vie de l immeuble, de la commune) ou nationaux (nettoyage de printemps, Noël,Téléthon, Recyclades ) ; d un diagnostic (résultats d une enquête de suivi), de bilans chiffrés (en direction du bailleur, du syndic, des gardiens, des agents de terrain, des habitants). Qui? Comment? Plan d actions

4 > Plan d actions La qualité de la signalétique est le fondement de la communication en habitat collectif. Informer dans les immeubles Le local propreté et le hall de l immeuble constituent deux endroits stratégiques où le résidant doit trouver les principales informations sur la collecte sélective.avant toute autre action, vérifiez certains points clés. Le local propreté (proscrivez l expression «local poubelles», peu valorisante pour le geste de tri) Il doit être toujours propre et bien éclairé. Il doit être fléché du hall de l immeuble : une signalétique en façade du local extérieur permet de repérer celui-ci de loin. Les consignes de tri doivent être visibles au-dessus des bacs et sur les bacs. Lorsque le local se situe à l extérieur, mieux vaut opter pour une signalétique adaptée sur support en aluminium, résistant aux intempéries, tags, rayures, torsions L EXEMPLE À SUIVRE Créteil : une signalétique au sol sous forme d empreintes de pas a été mise en place pour conduire les habitants jusqu au local propreté. Le hall d entrée Il doit flécher le local propreté, bien sûr, mais surtout fonctionner comme un espace d information et de sensibilisation à la collecte sélective: posez des affiches de sensibilisation ; dans l espace d information aux résidants, informez sur les résultats de collecte ; collez un Mémo-tri, accrochez un calendrier de collecte, rappelez le numéro Vert collecte sélective. OUTILS > Un ensemble d éléments de signalétique est à votre disposition pour le local propreté, le hall d entrée, les conteneurs, ainsi que des affiches de proximité, des campagnes de communication, (le Mémo-tri. La cuisine de chaque appartement Il faut que l habitant soit en mesure de trier chez lui, dans sa cuisine.votre mission consistera à lui fournir des supports d information pratiques sur les consignes de tri. En clair, un Mémo-tri, à compléter éventuellement par un autocollant «vide-ordures». Des variantes sont possibles, sous forme de calendrier, par exemple. POUR EN SAVOIR PLUS, CONSULTEZ LA FICHE (3 E PARTIE DE VOTRE GUIDE) La Communauté de communes de Compiègne : elle a fait repeindre et illustrer les locaux propreté d un quartier «difficile» par des enfants issus de ce dernier. Les jeunes et les habitants du quartier se sont ainsi approprié ces locaux, qui n ont plus subi de dégradations. Qui? Comment? Plan d actions

5 L habitat collectif (À NOTER) D autres intervenants pourront être identifiés et associés à la démarche de concertation : association de locataires, paysagiste, architecte, urbaniste (OUTIL > Pour sensibiliser vos publics relais, la vidéo «La Tri-attitude» présente l ensemble de la filière de tri et de recyclage. Développer le partenariat avec le bailleur ou le syndic Il est nécessaire d associer en amont les gestionnaires au projet, de construire et d entretenir une relation privilégiée avec eux, tant en phase de lancement qu en phase de suivi. Les sensibiliser à la collecte sélective Dans vos discussions avec les bailleurs et les syndics, mettez en avant les avantages de la collecte sélective: amélioration du cadre de vie ; résolution des problèmes de propreté ; respect des équipements collectifs ; inscription dans la politique sociale du gestionnaire (le tri est un excellent vecteur de lien social). Pour maintenir leur intérêt, vous pouvez aussi : organiser une visite d un centre de tri. Elle favorise la compréhension des enjeux ; les informer des résultats par un courrier, signé du ou des élus concernés, faisant le bilan annuel de la collecte sélective. Les associer aux actions menées Établir une collaboration étroite avec le service communication du bailleur ou du syndic permet de toucher efficacement les trieurs: diffusion d articles sur la collecte sélective dans la lettre d information du bailleur aux résidants (ou d informations jointes aux quittances de loyer) ; organisation de réunions «bilan» semestrielles ; association au comité de pilotage en cas d actions de communication d envergure ; information par courrier de tout projet d action au sein des immeubles. POUR EN SAVOIR PLUS, CONSULTEZ LA FICHE (3 E PARTIE DE VOTRE GUIDE) Nogent-sur-Seine : la société de logements sociaux Mon logis a fait de la collecte sélective le pivot de sa charte de bon voisinage entre les habitants. Après avoir élaboré un calendrier d actions citoyennes, des enfants ont réalisé des affiches sur le tri et une exposition puis décoré les conteneurs de la cité. Depuis, ceux-ci ne subissent plus de dégradations. Pour sensibiliser les publics relais, emmenez-les visiter des sites qui traitent des emballages ménagers. Eco-Emballages Qui? Comment? Plan d actions

6 ( OUTIL > Guide des gardiens. Attention Prenez en compte les modifications qu induit la collecte sélective dans les habitudes de travail des gardiens. La collecte sélective ne doit pas être synonyme de surcharge de travail. Donner un sens positif aux changements inhérents à la pratique du tri est essentiel et passe par un argumentaire construit, rassurant et valorisant. Associer les gardiens au projet Pour leur permettre de jouer pleinement leur rôle de relais d information auprès des résidants, et notamment auprès des nouveaux arrivants, les gardiens doivent être associés en amont du projet, formés et informés régulièrement. À cette fin, il est nécessaire que les ambassadeurs fassent des visites régulières aux gardiens pour : faire le point sur les problèmes existants ; vérifier la disponibilité de l information dans les halls et locaux propreté. Fournissez aux gardiens des outils d informations pratiques pour qu ils puissent accomplir leur mission : guide des gardiens, cahier de suivi du gardien, lettre trimestrielle d information. Important : les gardiens doivent toujours disposer de guides du tri et de Mémo-tri qu ils pourront diffuser au sein de l immeuble (notamment auprès des nouveaux arrivants lors de la remise des clés). Favorisez l interactivité en vue de la remontée d information. Mettez à la disposition des gardiens des formulaires d information type grâce auxquels ils pourront indiquer les problèmes rencontrés : manque d outils de communication, dégradation ou absence de la signalétique, erreurs de tri répétées La collecte sélective valorise le rôle du gardien d immeuble. Eco-Emballages LES EXEMPLES À SUIVRE Sevran : création pour les gardiens d un livret de bord sur la collecte sélective. Objectif : leur proposer un document de référence contenant toutes les informations nécessaires au suivi des opérations de collecte sélective dans leur immeuble. Cet outil de liaison entre le gardien et les services techniques permet ainsi par le biais de fiches à renvoyer de gérer les bacs, le local propreté, la signalétique et d informer les habitants. Paris : en 2002, près de gardiens ont été sensibilisés à la collecte sélective grâce à des réunions organisées dans chaque mairie d arrondissement. POUR EN SAVOIR PLUS, CONSULTEZ LA FICHE (3 E PARTIE DE VOTRE GUIDE) Metz Métropole : les gardiens sont devenus des «parrains du tri». Grâce à des outils de suivi et d évaluation et via des visites régulières d ambassadeurs, ils informent la collectivité de tout dysfonctionnement. Un travail de veille favorisé par un challenge annuel créant une émulation entre ces gardiens et par une prime d intéressement accordée par l OPAC. Qui? Comment? Plan d actions

7 L habitat collectif Associer les relais d information à la communication Établir un partenariat durable avec les associations de quartier, les centres sociaux ou de loisirs, les agents de liaison sociale, les médiateurs, les agents de sécurité, les commerçants de proximité favorise un partenariat durable. Pour ce faire, il est nécessaire de les sensibiliser et de les informer (par exemple en éditant une lettre trimestrielle ou semestrielle, spécialement dédiée aux relais d information). Établir des partenariats En cas de difficultés (illettrisme, taux important de population étrangère ne maîtrisant pas le français, culture ou religion imposant une approche spécifique ), les associations locales sont des atouts maîtres pour la collectivité. Elles peuvent agir en collaboration étroite avec les ambassadeurs du tri. Des relations de qualité avec ces relais peuvent permettre à la collectivité de: monter des mini-événements locaux avec les associations de quartier, les commerçants de proximité ; diffuser des messages informatifs ou stimulants : affiches chez les commerçants, distribution d objets promotionnels dans les immeubles mettre sur pied des programmes d information ciblés : collaboration avec des associations communautaires, animation sur le tri dans le cadre de cours d alphabétisation L EXEMPLE À SUIVRE Mâcon : pour réorganiser la gestion des déchets dans un quartier difficile où elle était devenue anarchique, la ville a travaillé main dans la main avec la régie de quartier. Habitant le quartier, bien acceptés, ses employés peuvent montrer l exemple à leurs voisins et corriger leurs erreurs de tri. Multipliant les opérations de proximité, ils accompagnent au quotidien les habitants et leurs enfants. Aujourd hui, les meilleurs résultats de la collecte sélective sur Mâcon sont atteints dans ce quartier. Responsabiliser et stimuler les résidants OUTILS > Plaquette «Le Recyclage, ou la deuxième vie des emballages». > Autocollant. > Sacoches ambassadeurs du tri. (> Vitrine du recyclage. Organiser régulièrement des animations Mettez en place, avec les ambassadeurs du tri, un programme d animations en pied d immeuble : stand d information avec jeux et quiz sur le tri des emballages, exposition itinérante, théâtre de marionnettes. Si le passage en porte-à-porte est recommandé pour le petit collectif, les animations en pied d immeuble sont plus efficaces et mieux perçues par les résidants des grands ensembles. Communiquez également auprès des enfants, excellents prescripteurs, notamment en cas de blocages dus à la langue ou à l illettrisme des parents. Qui? Comment? Plan d actions

8 L habitat collectif Média Entretenir des relations avec la presse locale permet de promouvoir et de valoriser efficacement les événements organisés en pied d immeuble par les ambassadeurs, les initiatives des bailleurs, des gardiens et des relais d information, les résultats obtenus Avec l aide des ambassadeurs du tri, vous pouvez : inviter les habitants à visiter un centre de tri ; organiser une distribution de sacs de précollecte (distribution assurée par les ambassadeurs du tri ou les gardiens) ; diffuser des autocollants rappelant les consignes de tri et des objets promotionnels; ancrer le geste du tri dans la vie quotidienne en l associant aux événements de la vie de la commune, de la vie de l immeuble Vous pouvez aussi réaliser des enquêtes de suivi auprès des résidants, sur leurs habitudes de tri, effectuées par les ambassadeurs du tri ou les agents de proximité du bailleur ; un courrier aux résidants (communication conjointe collectivité locale/bailleur), un article dans le journal municipal, une affiche dans les parties communes de l immeuble, un courrier aux relais du projet. Autant d actions qui permettent de motiver tous les intervenants. LES EXEMPLES À SUIVRE Lyon : tous les résidants de la cité Mermoz ont été invités à visiter un centre de tri. POUR EN SAVOIR PLUS, CONSULTEZ LA FICHE (3 E PARTIE DE VOTRE GUIDE) Ecquevilly (SIVATRU Yvelines) : l office des HLM souhaitait remotiver les habitants. Pour atteindre cet objectif, il a décidé de communiquer vers les enfants. Une semaine d éveil au tri a été organisée avec les enseignants de l école primaire. Au programme, quatre jours d animations, de jeux et d opérations de sensibilisation ont ainsi accompagné la remise à neuf des locaux propreté. ( OUTIL > Journal du tri spécial bilan annuel. (ANTICIPER) En habitat collectif, un laisseraller, une grogne de la part des résidants ou du gardien peuvent «contaminer» très rapidement l ensemble des habitants de l immeuble. D où l importance de «prendre la température» du projet régulièrement et de juguler les problèmes dès leur apparition. Contacts > Communiquer sur les résultats Afficher les résultats dans le local propreté, dans le hall de l immeuble, et remercier les résidants. Publier les résultats dans le journal communal, féliciter les trieurs. Remettre au bailleur un article ou un courrier clés en main à insérer dans sa communication. Adresser un courrier sur ce sujet aux habitants et aux relais. Mener des actions correctives Lorsqu un problème apparaît (diminution des quantités captées, erreurs de tri, actes d incivilité), il est essentiel d identifier la cause des difficultés et de mener une action corrective immédiatement. Pour identifier les problèmes,organisez la remontée d informations des rippeurs, des ambassadeurs, des gardiens, du numéro Vert, des courriers reçus. Mener des actions correctives immédiates. Le passage d un ambassadeur du tri ou un courrier aux habitants est nécessaire, a minima. ECO-EMBALLAGES > SIÈGE : DR OUEST : DR ÎLE-DE-FRANCE : > SITE DE L UNION DES ORGANISMES HLM : > SITES D ECO-EMBALLAGES : ET > SITE DE L ADEME : > PORTAIL DU RECYCLAGE DES DÉCHETS : > PORTAIL EUROPÉEN DE L ENVIRONNEMENT : > SITE DU RÉSEAU ÉDUCATIF DE SENSIBILISATION À L ENVIRONNEMENT ET À LA CITOYENNETÉ :

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