2 juillet h00 Mairie de Saint-Priest
|
|
- Marie-Claire Archambault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Compte-rendu de a réunion pubique d information dans e cadre de a concertation sur e Pan de Prévention des Risques Technoogiques de Saint-Priest (CREALIS et SDSP) 2 juiet h00 Mairie de Saint-Priest Présent-e-s à a tribune : M. Gies GASCON, maire de Saint-Priest, M. Frédéric JEAN, adjoint à urbanisme, M. Xavier RICHARD, DDT 69/SPAR, référent territoria PPRT, Mme Ghisaine GUIMONT, DREAL Rhône-Apes, UT 69, responsabe de a ceue risque technoogique, M. Pierre ANTONETTI, directeur de CREALIS, Mme Isabee CORDIER, directrice de entreprise SDSP. Présent-e-s dans a sae : M. DEFRANCE, Chef de service, DDT 69/ SPAR, M. Jean-Yves DUREL, DREAL Rhône-Apes, responsabe Unité Territoriae Rhône-Saône, M. e président du Consei d Administration de CREALIS, M. Yoan GINESTE, Chargé d études risques technoogiques, DDT 69, Mme Sandra DECELLE-LAMOTHE, Agence EDEL, assistance au secrétariat DREAL Rhône-Apes. I ACCUEIL ET PRESENTATION DES ENTREPRISES 1. M. e maire accueie es participants La commune de Saint-Priest est directement impactée par deux sites Seveso seui haut sur son territoire. Des modifications significatives des activités de un d eux ont eu ieu ces derniers mois. Ces évoutions ont des conséquences sur e Pan de Prévention des Risques Technoogiques (PPRT) de Saint-Priest qui se trouve modifié, par rapport à a précédente réunion pubique. La présentation de ces modifications constitue objet de a présente réunion. M. e maire ajoute que a commune sera attentive aux répercussions humaines et financières du PPRT. I souhaite que es mesures es pus adaptées possibes soient prises afin qu ees ne pèsent pas sur es riverains et es entreprises. 2. Présentation des sites industries 2.1 CREALIS M. ANTONETTI, directeur de entreprise CREALIS, présente activité de entreprise. Trois sociétés commerciaes sont reiées à CREALIS : SMB, INVENTEC et CLIMALIFE. La société CREALIS intervient dans a fabrication, e stockage et e transport de produits commerciaisés. 110 personnes travaient sur e site de Saint-Priest. M. ANTONETTI présente es mesures de sécurité de entreprise menées au quotidien (moyens incendie, contrôe, cuves de stockage enterrées, détecteurs de fammes ). La pupart de ces équipements sont reiés à une centrae de surveiance et téésurveiance. 1 / 6
2 Sur e site, une organisation adaptée est mise en pace avec une équipe de 2 nde intervention, une équipe d astreinte en reation avec es rondiers de sécurité en période de fermeture. Tout e personne est formé à a sécurité. Des actions sont égaement menées sur e pan environnementa : - Réseau de coecte pour orienter es écouements sur e bassin d avarie ; - Séparateurs d hydrocarbures pour imiter a poution ; - Suivi de a quaité de a nappe ; - Décaration des émissions émises dans atmosphère ; - Rétention de a zone de dépotage de iquides pour éviter qu is n aient dans a nappe. 2.2 Société SDSP Isabee CORDIER présente a Société du Dépôt Pétroier de Saint-Priest. L entreprise s étend sur 10 ha. Ee approvisionne ses cients sur 300 km autour de Lyon. Des essences, gazoes, fious, sont stockées au service des entreprises. Le dépôt se situe virtueement entre a raffinerie et a pompe de distribution. Le dépôt est en pace depuis 1948 : date de création du site. En 2011,un parking Poids Lourds a été mis en pace avec gestion de fie d attente. Le fux est de 250 camions par jour, pour un voume de m3/ an. L effectif est de 10 saariés et un gardiennage est assuré 24h/24. Moyens de prévention : Tous es produits sont stockés dans des cuvettes de rétention. Pusieurs moyens sont mis en pace pour éviter un accident : aarmes de haut niveau, capets de sécurité, Depuis 2010, e système incendie est refait pour un budget de 2,7 miions d euros. Questions : Christian BLANC, président d une association de sauvegarde du patrimoine demande si une présence humaine permanente permet d assurer a sécurité des sites dangereux? Les quantités de produits stockés vont-ees évouer à a hausse? Pour SDSP, comment s expique e ratio de 10 saariés (peu d empoi) et 250 camions (beaucoup de nuisances)? M. Banc ajoute que, seon ui, une énorme disparité existe entre Est et Ouest. Comment expiquer? Réponse : Pour ce qui concerne Créais, M. ANTONETTI répond que : - une astreinte peut être décenchée par un rondier (saarié d une société extérieure à CREALIS). En cas de décenchement d aerte une personne peut être sur e site en moins de 30 min. - es activités peuvent évouer tout en respectant e périmètre des PPRT qui sera défini. - a zone d activité de CREALIS a été choisie en son temps car i y avait aors un projet de déveoppement de industrie dans ce secteur. A ce jour, i n est pas prévu de dépacer entreprise. Pour ce qui concerne SDSP, Mme CORDIER répond qu une personne est en permanence sur e site de entreprise SDSP. Comme pour toute entreprise, en cas d évoution, des autorisations sont demandées à Etat. 2 / 6
3 L activité de dépôt génère peu d empois, c est une activité très automatisée, ce qui permet d éviter d exposer es saariés au risque. La SDSP est approvisionnée par pipe principaement, ce qui imite e fux de camions. S agissant de a question sur es augmentations possibes, es services indiquent qu une comparaison par rapport aux aéas présentés devra être faite. S i y avait augmentation du risque, a oi prévoit que des SUP, dispositif existant avant es PPRT, pourraient aors être demandées. Ees feraient aussi aors objet d un dossier, d une enquête pubique et serait indemnisabe par expoitant dans un déai de 3 ans, en cas de préjudice. Une représentante d une association de riverains constate que es habitations sont entourées d entreprises pouantes et dangereuses. L association souhaite que es habitations soient davantage protégées et subissent moins de nuisances. Un riverain de a société CREALIS témoigne égaement de a nuisance causée par e stationnement de camions devant es maisons d habitation. I note une absence de contrôes et de sanction concernant ces véhicues. La signaisation est peu visibe et e passage de a poice municipae est insuffisant. Cette nuisance dure depuis années magré es efforts de M. ANTONETTI. M. ANTONETTI répond que entreprise n est pus en ien avec es chauffeurs de ces camions en dehors des heures de travai des saariés de CREALIS. Toutefois, des consignes ont été données aux rondiers pour que es camions soient garés aieurs. Pour améiorer a situation, entreprise ouvre pus tôt pour faire entrer es camions et ainsi éviter eur stationnement sur a voie pubique. M. e maire ajoute qu un RDV aura ieu avec e directeur du site pour envisager d améiorer encore a situation. II Présentation du PPRT par a DREAL 1) Rappe des objectifs du PPRT - Ne pas aggraver e risque existant et préserver avenir - Réduire e risque existant - Action sur instaation à origine du risque. La procédure en ee-même est ongue et se termine par a rédaction d un document, e pan de prévention ui-même, est présenté en réunion des Personnes et Organismes Associées. L association et a concertation sont encadrées par arrêté de prescription du PPRT qui fixe es modaités pratiques de a démarche. Sont présentés : - e périmètre du PPRT ors de a prescription et ceui étabi suite aux évoutions des activités de CREALIS ; - es dates du dérouement de a procédure depuis 2009 (trois réunions pubiques ont eu ieu en tout). Cette réunion pubique concut éaboration du PPRT. - es phénomènes dangereux, iés aux produits présents dans es sites Seveso seui haut. Is sont rassembés dans étude de danger, mise à jour tous es cinq ans. Dans un premier temps, un zoom est réaisé sur es évoutions dans e temps des risques autour du site Créais. Un simpe rappe des risques générés par SDSP est fait en fin de présentation pour mémoire. I n y a, en effet, pas eu d évoution des risques de ce site depuis a dernière réunion pubique, tenue e / 6
4 Pour CREALIS : trois types d effets étaient possibes au moment de a prescription. Des évoutions ont eu ieu visant à réduire es risques générés. En particuier, entreprise a choisi de ne pus utiiser certaines substances ou a proposé des travaux conduisant à une réduction du risque. Ces évoutions sont citées ci-dessous : - abandon de a pupart des produits toxiques (ammoniac, dioxyde de soufre, acide fuorhydrique : fin a mise sous taus des stockages de gaz infammabes iquéfiés (mesures suppémentaires proposées en 2012), - abandon de oxyde d éthyène (novembre 2013). Si es deux premières modifications avaient déjà été présentées, a dernière, modifiant significativement es périmètres, ne avait pas été à a réunion pubique du A noter aussi que, en décembre 2013, Créais a remis a révision de son étude des dangers. 2) Comparatif sur es cartographies d intensité L expoitation (stockage et conditionnement) d oxyde d éthyène sera arrêtée tout prochainement et cea a des conséquences sur e périmètre du PPRT. Les cartes des intensités et des aéas sont présentées. Seues restent es cartes des effets thermiques et de surpression. I n y a pus d effet toxique. 3) Evoution des aéas et conséquences sur es mesures foncières Point sur es mesures foncières résiduees : Auparavant (cf.cartes présentées en 2013), 2 enjeux étaient touchés : 2 maisons, mais aucune activité ne se trouvait en secteur de mesure foncière résiduee. Seon a nouvee cartographie tous types d effets en date de 2014, un seu bien est touché par des aéas de type F et supérieur (1 maison), toujours aucune activité (à noter que cette maison a déjà été préemptée par e Grand Lyon). Les mesures foncières sont ainsi très imitées. De fait, - a convention de mesures foncières n est pus nécessaire a priori, - a seue mesure foncière résiduee correspondant à un bien déjà acquis par a coectivité. 4) Enjeux : définition et cartes Objectifs du PPRT : Xavier Richard, DDT du Rhône, rappee e sens de a mise en œuvre des PPRT. I est de protéger es personnes. Le PPRT est à pour interdire et contraint es choix mais ne définit pas ce qui est souhaitabe en termes d urbanisme. Cea est défini au titre du PLU. Le PPRT prescrit des objectifs par rapport à des phénomènes physiques. Grâce aux études réaisées, e phénomène physique capabe d impacter es enjeux sur chaque point du territoire est connu. Cea permet de déterminer es travaux prescrits à réaiser et es intensités à prendre en compte pour es biens déjà existants. Financement : Le PPRT prescrit des travaux de réduction de a vunérabiité dans a imite de seuis précisés dans a oi. Au-deà de ces seuis, e PPRT formue des recommandations. Les seuis des travaux sont rappeés ci-dessous : 4 / 6
5 - 10% de a vaeur vénae du bien (= vaeur marchande à a date d approbation du PPRT) ; et depuis a oi du 16 juiet 2013 ou euros, orsque e bien concerné est a propriété d une personne physique ; - 5% du chiffres d affaires de a personne morae de droit privé année de approbation du PPRT ; - 1% du budget de a personne morae de droit pubic, année d approbation du PPRT. Pour es bâtiments d activités impactés, i n y a aucune aide pour es travaux. Pour es bâtiments d habitation, des financements sont prévus. Un cofinancement est prévu à hauteur de 90 % du montant des travaux. Zonage régementaire : rappe de a correspondance des coueurs du zonage : Rouge foncé : principe d interdiction Beu foncé : autorisation sans densification Beu cair : principe d autorisation (sauf ERP sensibes), sous réserve de prescriptions. Concernant e PPRT de CREALIS, i n y a pus de mesures foncières pour ce PPRT. La maison Guisne a été préemptée par e Grand Lyon. C est une propriété de a puissance pubique désormais. 5) Prochaines étapes Sont prévues : - La finaisation du projet de PPRT pour consutation et enquête pubique dès juiet 2014 ; - La consutation officiee des POA pour avis sur e projet de PPRT : septembre/octobre 2014 ; - La signature de a convention de financement des mesures suppémentaires : avant enquête pubique ; - L enquête pubique : novembre-décembre 2014 ; - L approbation du PPRT : 1 er semestre Questions : Un riverain expique qu i a acheté un bien en 1979 situé en zone beu foncé. I demande s i est concerné par expropriation car i a mis en vente. I constate par aieurs qu i a beaucoup de difficutés à e vendre. I estime important que es acheteurs potenties ne soient pas dissuadés d acheter. Qu est-i possibe de faire sur ce point? Réponses : Mme GUIMONT répond qu un bien situé en zone beu foncé n est pas concerné par une expropriation. Des travaux de réduction de a vunérabiité devront être réaisés. Is sont cofinancés à 90%. En terme d information, i faut préciser que es acheteurs ou ocataires potenties sont tenus d être informés via e formuaire IAL pour information des acquéreurs et ocataires qui signae si e bien se situe en zone de risque, si es travaux de protection ont été faits. M. JEAN, adjoint à urbanisme, indique que es représentants de a commune ont e souhait de maintenir a cohabitation entre habitat et es entreprises Seveso seui haut et qu ee fera tout pour e faire comprendre aux acteurs concernés afin que es biens ne soient pas dépréciés du fait de existence d un PPRT. 5 / 6
6 > Le directeur de entreprise Guisne, demande quees seront es contraintes appicabes si entreprise souhaite s agrandir? M. RICHARD répond que entreprise peut s agrandir dans a imite de 20 % de a surface de pancher pour a partie du bien située en zone beu foncé. Pour es projets futurs, e dossier de demande de permis de construire doit comporter une attestation étabie par un architecte du projet ou un expert agréé certifiant que e projet prend en compte es conditions posées par e PPRT. Une autorisation de construire, déivrée en méconnaissance du PPRT, sera iégae. Un riverain demande si es risques iés au transport de matières dangereuses par train sont pris en compte dans e PPRT notamment pour ce qui concerne es effets dominos. Mme GUIMONT ajoute que es sources de dangers extérieurs au site industrie sont examinées. Des effets dominos peuvent en effet avoir des impacts. La proximité de a voie ferrée est prise en compte. Son impact est ici imité. M. e président de CREALIS compète en indiquant que es sites sont surveiés en permanence. Les détecteurs de gaz sont régés avec une imite supérieure à ce qui est nécessaire en fonction des accidents potenties. En cas de probème, e Pan d Opération Interne permet de réagir très vite. En absence de questions suppémentaires, e maire côt a séance et remercie es participants. 6 / 6
Comment s installer aux Canaries
Comment s instaer aux Canaries Aide institutionnee Le gouvernement des Canaries soutient activement es investissements réaisés dans es secteurs stratégiques canariens. Pour ce faire, e département de Investir
Plus en détailPRIMOPIERRE. Société Civile de Placement Immobilier
PRIMOPIERRE Société Civie de Pacement Immobiier Primonia REIM Septembre 2011 IDENTIFICATION DES RISQUES LIÉS À L INVESTISSEMENT DANS UNE SCPI Facteurs de risques Avant d effectuer un investissement en
Plus en détailUNICEF/92-5221/Toutounji
UNICEF/92-5221/Toutounji Pourquoi i est important de communiquer et d utiiser es informations sur L aaitement materne Un bébé nourri au sein est moins souvent maade et mieux nourri qu un bébé à qui on
Plus en détailVétérinaires : quelles perspectives d activité en 2010?
Vétérinaires : quees perspectives d activité en 2010? Edito Arnaud Duet Docteur Vétérinaire Président d Ergone Ergone, nouvee association pour es vétérinaires qui partagent envie d entreprendre, a vouu
Plus en détailFace au deuil, Vous n êtes pas seul(e) Ce guide vous est proposé par la Caf de Meurthe-et-Moselle et les Associations Deuil Espoir et Favec.
Face au deui, Vous n êtes pas seu(e) Ce guide vous est proposé par a Caf de Meurthe-et-Mosee et es Associations Deui Espoir et Favec. 1 Edition 2011 ÉDITO Soutenir et accompagner Soutenir a fonction parentae
Plus en détailSécurité Lexmark pour les imprimantes et MFP compatibles avec les solutions
Sécurité Lexmark pour es imprimantes et MFP compatibes avec es soutions Améioration de a sécurité de vos documents et vos données d entreprise En terme de sécurité, votre organisation doit être assurée
Plus en détailRejoignez le. No 1 mondial. de la franchise *! Créez votre entreprise en Franchise avec SUBWAY. www.subwayfrance.fr
Rejoignez e No 1 mondia de a franchise *! Créez votre entreprise en Franchise avec SUBWAY www.subwayfrance.fr *SUBWAY est e numéro 1 mondia de a restauration, en nombre de restaurants. 2015 Doctor s Associates
Plus en détailLe Conseil général, acteur de l insertion
Le Consei généra, acteur de insertion éditoria Le Consei généra est e chef de fie des poitiques de soidarités dans e Va d Oise. A ce titre, i est notamment responsabe du revenu de soidarité active (RSA)
Plus en détailLexmark Print Management
Lexmark Print Management Optimisez impression en réseau et accès à vos informations avec une soution fexibe. Impression des documents sûre et pratique Fexibe. Libérez es travaux d impression à partir de
Plus en détailConception et réalisation d une sectorisation
Conception et réaisation d une sectorisation OBJECTIF : mise en pace d un outi cohérent permettant de mesurer es voumes transitant dans e système de manière fiabe Une attention particuière doit être portée
Plus en détailSOMMAIRE. Vous souhaitez embaucher dans votre entreprise un ou plusieurs apprenti(e)s. INFOS APPRENTISSAGE 04. 06.
SOMMAIRE INFOS APPRENTISSAGE 04. 06. 07. L APPRENTISSAGE INDUSTRIEL LE PARCOURS DE L APPRENTISSAGE INDUSTRIEL LES MÉTIERS ET DIPLÔMES PRÉPARÉS DANS LES CENTRES DE FORMATION DE LA BRANCHE EN ÎLE-DE-FRANCE
Plus en détailLa gestion de la relation client au sein de la PME. Contenu de la présentation. Le CRM outil pour les PME? SOGID SA
La gestion de a reation cient au sein de a PME Laurent Warichet 2006 SOGID. Tous droits réservés Le CRM outi pour es PME? Contenu de a présentation Qu est-ce que e CRM? Pourquoi a gestion cient? CRM :
Plus en détailLe recours à l Aide complémentaire santé : les enseignements d une expérimentation sociale à Lille
Document de travai Working paper Le recours à Aide compémentaire santé : es enseignements d une expérimentation sociae à Lie Sophie Guthmuer (LEDa-LEGOS, Université Paris-Dauphine) Forence Jusot (LEDa-LEGOS,
Plus en détailLE MANUEL DE L INITIATIVE DE LAVAGE DES MAINS
LE MANUEL DE L INITIATIVE DE LAVAGE DES MAINS Guide de préparation d un programme de promotion du avage des mains au savon BANQUE MONDIALE The Internationa Bank for Reconstruction and Deveopment/The Word
Plus en détailDE COMMERCE ET DE GESTION
Institut DE COMMERCE ET DE GESTION Administration et Direction des Admissions : 9, rue Saint-Lambert 75015 Paris Té. (33) 01 45 58 17 33 Fax. 01 45 58 61 59 Métro Boucicaut (igne 8) ou Convention (igne
Plus en détailMUTUELLES DE SANTÉ ET ASSOCIATIONS DE MICRO-ENTREPRENEURS GUIDE
MUTUELLES DE SANTÉ ET ASSOCIATIONS DE MICRO-ENTREPRENEURS GUIDE Copyright Organisation internationae du Travai 2001 Première édition 2001 Les pubications du Bureau internationa du Travai jouissent de a
Plus en détailLa transformation du centre informatique. Les enjeux économiques, écologiques et métiers des centres informatiques
La transformation du centre informatique Les enjeux économiques, écoogiques et métiers des centres informatiques IBM & Schneider Eectric - La transformation du centre informatique Savez-vous que? La mise
Plus en détaill EXCLUSION, INCLUSION m
EXCLUSION, INCLUSION m education permanente CULTURE ÉDUCATION PERMANENTE «I y a eu une invention de accessibiité comme nouvee forme sociae révéatrice d une conception du traitement de atérité dans notre
Plus en détailDes solutions technologiques pour des systèmes hautes performances
Des soutions technoogiques pour des systèmes hautes performances Job Number Job Information ORIGINATED BY / DATE STUDIO POC 20662 Corporate Brochure - FRENCH Vicki 09-11 - 2011 Vicki/Laura Cient Job SIZE
Plus en détailATLAS FORESTIER INTERACTIF DU GABON VERSION PILOTE Document de Synthèse
MINISTÈRE DE L ECONOMIE FORESTIÈRE, DES EAUX, DE LA PÊCHE ET DE L AQUACULTURE RAPPORT WRI ATLAS FORESTIER INTERACTIF DU GABON VERSION PILOTE Document de Synthèse Atas forestier interactif du Gabon (version
Plus en détailMÉCÉNAT PARTICIPATIF : tous à l œuvre! Cérémonie de décoration de donateurs de la culture
MÉCÉNAT PARTICIPATIF : tous à œuvre! Cérémonie de décoration de donateurs de a cuture mardi 9 décembre 2014 Ministère de a Cuture et de a Communication Communiqué de presse Feur Peerin reance a poitique
Plus en détailPPRT SFDM d Huison-Longueville
PPRT SFDM d Huison-Longueville Réunion des Personnes et Organismes Associés 5 février 2015 Contrôle général des armées - DDT 91 Sommaire 1/ Carte de zonage brut 2/ Principaux enjeux 3/ Stratégie 4/ Projet
Plus en détailUne grille pour évaluer la qualité de vos données et choisir votre outil de D Q M
DOSSIER BASES DE DONNEES PAR VIRGINIE GOASDOU~ (EDF R&D), SYLVAINE NUGIER (EDF R&D), BRIGITTE LABOISSE (AID) ET DOMINIQUE DUQUENNOY (AID) Une grie pour évauer a quaité de vos données et choisir votre outi
Plus en détailUn guide du bailleur : pourquoi?...3
édition 2012 SOMMAIRE Un guide du baieur : pourquoi?...3 Avant a ocation Que type de ocation puis-je proposer ou accepter?...4 Quees conditions pour mon ogement mis en ocation?...5 Quees aides pour améioration
Plus en détailSystème PBX IP hybride
Système PBX IP hybride KX-TDA30 La conception et es spécifications peuvent être modifiées sans préavis. FrenchPan_NEW MASTER_FA.indd -3 /6/09 9:0:0 AM Pour a mise en pace d un environnement de communications
Plus en détailAutomobile et aéronautique
Soutions et systèmes de marquage et de codage Automobie et aéronautique Nous avons conscience des difficutés particuières auxquees vous devez faire face sur vos ignes de production Dans 'industrie automobie
Plus en détailNOTRE MISSION NOTRE APPROCHE NOTRE ÉQUIPE NOTRE MARCHÉ. Confiance. Professionnalisme. Confidentialité
www.cobus.net NOTRE MISSION Fournir à nos cients des soutions appropriées, sécurisées et bénéfiques Mettre en pace des soutions restant rentabes sur e ong terme et faciitant ensembe du processus de gestion
Plus en détailMaster Actuariat-Finance Master Actuariat-Prévoyance Sociale. Prof ABDELKADER SALMI 2012
Master Actuariat-Finance Master Actuariat-Prévoyance Sociae Prof ABDELKADER SALMI 2012 Actuaire L étymoogie du mot "actuaire" est atine (comptabe, rédacteur des ivres de comptes acta), ce terme n'apparaît
Plus en détailLa conception et les spécifications peuvent être modifiées sans préavis.
La conception et es spécifications peuvent être modifiées sans préavis. LTD KXTDA30_FR_200_v.indd 2 3/2/0 3:3:0 PM Système PBX IP hybride KX-TDA30 LTD KXTDA30_FR_200_v.indd 3 3/2/0 3:3:02 PM TABLE DES
Plus en détailDéveloppement du leadership :
Livre banc Déveoppement du eadership : es tendances de demain Auteur : Nick Petrie Version : décembre 2011 TABLE DES MATIÈRES 3 3 5 6 7 10 29 30 32 À propos de 'auteur Experts consutés dans e cadre de
Plus en détailSerrurier Métallier. Thionville l Hayange l l s. Moyeuvre /Grande. Montigny les Metz l l l s. Morhange l s s. Verny. l l s Jarville l.
Serrurier Métaier Formations 2009/2010 Lorraine 54 - Meurthe-et-Mosee 55 - Meuse 57 - Mosee 88 - Vosges Verdun k 55 Bar-e-Duc k Landres Briey Thionvie Hayange s Pont-à-Mousson k 54 Nancy Tou Moyeuvre /Grande
Plus en détailManuel d'utilisation de Wapam
Manue de 'utiisateur de Wapam Tabe des matières 1Wapam, une recherche de motifs par automates pondérés...3 2Tutorie : un exempe simpe d'utiisation...3 Utiisation avec Rdisk...3 Utiisation sans Rdisk...6
Plus en détailSAGEM F@st TM 2404/2444 Guide d Instaation Rapide Sommaire Présentation... 1 Pack... 2 Raccordements... 3 Instaation à partir du CD-ROM... 4 Instaation Wi-Fi... 5 Instaation Ethernet... 8 Instaation suppémentaire...
Plus en détailPrestations payantes complémentaires p 59
Sommaire Informations pratiques p 5 p 6 Lieu p 6 Accès au site : comment venir au Parc Chanot? p 7 Information agrément Air France p 8-9 Contacts p 10-11 Informations généraes p 12-13 Horaires et accès
Plus en détailCommission de suivi de site STORENGY
Commission de suivi de site STORENGY Réunion du 8 octobre 2014 Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du Logement Rhône-Alpes www.developpement-durable.gouv.fr Plan 1- Rappel des objectifs
Plus en détailJacques Lévy, professeur à l'universités de Reims et à l'institut d'études politiques de Paris, fellow au Wissenschaftskolleg zu Berlin
e point sur La cartographie, enjeu contemporain Jacques Lévy, professeur à 'Universités de Reims et à 'Institut d'études poitiques de Paris, feow au Wissenschaftskoeg zu Berin De ce vieux Mercator, à quoi
Plus en détailE.2.14 ACTIVITES ECONOMIQUES
E.2.14 ACTIVITES ECONOMIQUES Source : JLR-Conseis, 2006 E.2.14.1 Données gobaes Zone éargie L activité économique en zone éargie (cf. paragraphe «présentation des zones d études» au début de état initia)
Plus en détailTSP 6500/7000 SÉRIE. Spécifications Chariots tridirectionnels à nacelle élevable
C TSP 6500/7000 SÉRIE Chariots tridirectionnes à nacee éevabe C Série TSP 6500 / 7000 Chariots tridirectionnes à nacee éevabe Aée disponibe min. Jeux fonctionnes Fourches non téescopiques 4.33a 4.33 Longueur
Plus en détailGuide d utilisation 5117
MO0912-FA Guide d utiisation 5117 Famiiarisation Féicitations pour achat de cette montre CASIO. Pour tirer e meieur parti de votre achat, veuiez ire attentivement cette notice. Exposez a montre à une umière
Plus en détailWIRELESS SYSTEM QLX-D USER GUIDE. Le Guide de l Utilisateur. 2014 Shure Incorporated 27A22351 (Rev. 1)
WRELESS SYSTEM QLX-D USER GUDE Le Guide de Utiisateur 2014 Shure ncorporated 27A22351 (Rev. 1) CONSGNES DE SÉCURTÉ MPORTANTES 1. LRE ces consignes. 2. CONSERVER ces consignes. 3. OBSERVER tous es avertissements.
Plus en détailEtat des risques naturels, miniers et technologiques
Etat des risques naturels, miniers et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Référence : 15/IMO/0204 Date de réalisation : 16 avril 2015 (Valable 6 mois)
Plus en détailEtat des risques naturels et technologiques
Etat des risques naturels et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Commande n 3505 Date de réalisation : 23 septembre 2011 (Valable 6 mois) Mode COMMANDE
Plus en détailPREFECTURE DU PAS-DE-CALAIS
PREFECTURE DU PAS-DE-CALAIS RAPPORT Tribunal Administratif de LILLE Décision E 14000061/ 59 du 18 avril 2014 de la Présidente désignant le commissaire enquêteur. du Commissaire enquêteur Préfecture du
Plus en détailGuide d utilisation 4738
MO0612-FA Guide d utiisation 4738 Famiiarisation Féicitations pour achat de cette montre CASIO. Pour tirer e meieur parti de votre montre, isez attentivement ce manue. Avertissement! Les fonctions de mesure
Plus en détail2. Ordinaire ou domestique, nous en sommes tous responsables
MAGAZINE DE LA FÉDÉRATION DES PARCS NATURELS RÉGIONAUX DE FRANCE - DÉCEMBRE 2010 - N 66 U N E A U T R E V I E S I N V E N T E I C I FOCAL Année internationae de a biodiversité : 2. Ordinaire ou domestique,
Plus en détailde l'économie à l'aménagement du territoire Rapport d'activités Société Financière Lorient Développement Capital investissement
de 'économie à 'aménagement du territoire Rapport d'activités 2011 Société Financière Lorient Déveoppement Capita investissement AUDELOR, outi d action outi de réfexion La production d un rapport d activité
Plus en détailMesure de facteur de bruit sur analyseur de réseaux vectoriel corrigée en Paramètres-S. Frédéric Molina
esure de facteur de bruit sur anayseur de réseaux vectorie corrigée en Paramètres-S Frédéric oina Agenda Rappe : qu est-ce que e facteur de bruit d un composant? éthodes et setup de mesure Etapes de caibrage
Plus en détailC 230-... Eco CHAUDIÈRES GAZ AU SOL À CONDENSATION
C 2-... Eco CHAUDIÈRES GAZ AU SO À CODESATIO C 2-85 à 21 Eco : de 18 à 2 kw pour chauffage centra à eau chaude et production d ecs par préparateur indépendant Chauffage seu, eau chaude sanitaire par préparateur
Plus en détail25/11/2010. La nouvelle réglementation des distributeurs de carburants. Réunion d information. Sommaire. 1 Nouvelle rubrique ICPE
La nouvelle réglementation des installations de distribution de carburants & les aides financières du CPDC Véronique Poutas Responsable Environnement pour les 2 CCI de l Aude Pierre Vicart Secrétaire Général
Plus en détailPayer peut nuire à votre santé : une étude de l impact du renoncement financier aux soins sur l état de santé
Document de travai Working paper Payer peut nuire à votre santé : une étude de impact du renoncement financier aux soins sur état de santé Pau Dourgnon (Irdes, Université Paris-Dauphine-LEDa-LEGOS) Forence
Plus en détailLe Lieutenant-colonel Mamoudou Seydou prend le commandement
Sciences et NUMERO 7894 JEUDI 18 mars 2010 150 FCFA technoogie Le marché de 'automédication se maintient P-11 Passation de commandement au 12ème bataion interarmes de Niamey Le 12ème bataion interarmes
Plus en détailOctobre 2011 ALIMENTAIRE. DOSSIER SANTé SécURITé N 4. Proximité : le retour. Rachat de contrat assurance-vie = danger
V O T R E M @ G A Z I N E D I N F O R M A T I O N M U T U A L I S T E N 4 Octobre 2011 DOSSIER SANTé SécURITé ALIMENTAIRE MUTUALITé Proximité : e retour MES DROITS ET MOI Rachat de contrat assurance-vie
Plus en détailPPRT CIM et Antargaz DRIEE-UT91 - DDT 91. Première réunion des POA 26 novembre 2010, Evry
PPRT CIM et Antargaz Première réunion des POA, Evry DRIEE-UT91 - DDT 91 Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de la Mer WWW.developpement-durable.gouv.fr Recensement des enjeux
Plus en détailUNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES FACULTÉ DE PHARMACIE SCIENCES PHARMACEUTIQUES COSMÉTOLOGIE ET DERMOPHARMACIE PHARMACIE OFFICINALE PHARMACIE D INDUSTRIE
SCIENCES PHARMACEUTIQUES COSMÉTOLOGIE ET DERMOPHARMACIE PHARMACIE OFFICINALE PHARMACIE D INDUSTRIE PHARMACIE HOSPITALIÈRE UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES FACULTÉ DE PHARMACIE BIOLOGIE CLINIQUE 1 DES PROGRAMMES
Plus en détailREVUE DE PRESSE Juillet - Août - Septembre 2009
Sécuriser / Optimiser / Anayser utiisation intern REVUE DE PRESSE Jui - Août - Septembre 2009 Contacts presse CYMBIOZ OLFEO Laëtitia Berché Emiie Neige aitiaberche@cymbiozcom eneige@ofeocom Té : 01 42
Plus en détailPLAN DE PRÉVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES. Établissement OM GROUP. Communes de SAINT-CHERON et de SERMAISE
PRÉFECTURE DE L'ESSONNE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES TERRITOIRES DE L'ESSONNE DIRECTION RÉGIONALE ET INTERDÉPARTEMENTALE DE L'ENVIRONNEMENT ET DE L'ÉNERGIE D'ÎLE-DE-FRANCE Unité territoriale de l'essonne
Plus en détailIntégration architecturale des équipements
Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime Soesia, Société Eternit Intégration architecturae des équipements iés aux énergies renouveabes Intégration architecturae des équipements
Plus en détailJournal municipal de Compton février/mars 2014 Volume 23 Numéro 2 www.compton.ca/echo. la Coop
LA FORCE CRÉATIVE D'UNE COMMUNAUTÉ Isabee Marissa Mosaïque : Les ateiers d Héios Photo Liimagine À ire en page 6 Journa municipa de Compton février/mars 2014 Voume 23 Numéro 2 www.compton.ca/echo Inscription
Plus en détailEtat des Risques Naturels et Technologiques
Etat des Risques Naturels et Technologiques Articles L 125-5 et R 125-26 du code de l environnement 1. Cet état des risques est établi sur la base des informations mises à disposition par arrêté préfectoral
Plus en détailLE Chapitre I : Rappels généraux. Chapitre 13 Les câbles
E Chapitre I : appes générau. Chapitre 3 es câbes 38 Cacuer une structure : de a théorie à 'eempe Iustration au recto et photos ci-dessous : Mât haubané de mètres servant de soutien au tieu cassé de Doyon
Plus en détailNUANCE The experience speaks for itself
NUANCE The experience speaks for itsef Comparatif des soutions PDF Professiona Compatibiité Compatibe avec Microsoft Windows XP (32 bits), Vista (32 et 64 bits) et Windows 7 (32 et 64 bits) Compatibe avec
Plus en détailde suivi et d évaluation de la participation des enfants
TROUSSE À OUTILS DU SUIVI ET DE L ÉVALUATION DE LA PARTICIPATION DES ENFANTS LIVRET 5 Outis de suivi et d évauation de a participation des enfants Save the Chidren a des activités dans pus de 120 pays.
Plus en détailDossier d actualité PISA : CE QUE L ON EN SAIT ET CE QUE VEILLE ET ANALYSES. Sommaire. n 66 Oct. 2011. Une évaluation qui polarise l attention 1/18
n 66 Oct. 2011 Sommaire page 1 : Une évauation qui poarise attention page 3 : Ce que PISA peut nous apprendre sur enseignement page 9 : PISA et e piotage des systèmes éducatifs page 14 : Bibiographie Dossier
Plus en détailLe ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales
DIRECTION DE LA DEFENSE ET DE LA SECURITE CIVILES SOUS DIRECTION DE LA DEFENSE CIVILE Paris, le 23 avril 2003 ET DE LA PREVENTION DES RISQUES Bureau de la Réglementation Incendie et des Risques pour le
Plus en détailUtilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :
ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux
Plus en détailÉtat des RISQUES Naturels et Technologiques
État des RISQUES Naturels et Technologiques Pays Basque : Résidence PHAROS 7 Bis, Rue du Pont de l Aveugle 64600 ANGLET Tél : 05.59.52.20.93 Fax : 05.59.42.05.65 Page 1 / 10 Art. L. 125-5 I du Code de
Plus en détailQuelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé
Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2
Plus en détailUniversité libre FACULTÉ DES SCIENCES DE LA MOTRICITÉ. Kinésithérapie et réadaptation. Education physique. Ostéopathie.
Kinésithérapie et réadaptation Education physique Ostéopathie Prévention santé Université ibre de Bruxees FACULTÉ DES SCIENCES DE LA MOTRICITÉ Pathoogies du sport 1 Locaux d enseignement, de recherche
Plus en détailDe la caractérisation à l identification des langues
De a caractérisation à identification des angues Séection de conférences données ors de a 1 ère journée d étude sur identification automatique des angues, Lyon, 19 janvier 1999 avec e soutien de Association
Plus en détailSYMBIOSES. Comment changer les comportements? Jeter des idées sur le papier p.6. n o 70 mars, avril, mai 2006
Bureau de dépôt Bruxees X Begique-Begïe P.P. Bruxees X 1/2241 n o 70 mars, avri, mai 2006 SYMBIOSES Le magazine de Éducation reative à Environnement (ErE) Comment changer es comportements? Jeter des idées
Plus en détailPLAN DE PRÉVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES NEXTER MUNITIONS. Communes de TARBES, BOURS, AUREILHAN et BORDERES-sur-ECHEZ
PRÉFET DES HAUTES-PYRÉNÉES PLAN DE PRÉVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES NEXTER MUNITIONS Communes de TARBES, BOURS, AUREILHAN et BORDERES-sur-ECHEZ - Note de présentation - Plan de zonage réglementaire
Plus en détailBrou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1
1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux
Plus en détailProjet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures
Projet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures Titre 1 : Bâtiments et urbanisme Chapitre 1 : amélioration de la performance énergétique des bâtiments
Plus en détailDECLARATION NOMINATIVE ANNUELLE
927548 Y 2014 927548 Y SARL LITION EMO EMOLITION, TERRASSEMENTS 226 CHEMIN E L ANCIEN VALLON 06670 LEVENS ECLARATION NOMINATIVE ANNUELLE M E S S A G E S :.. Veuiez ire IMPERATIVEMENT a notice expicative
Plus en détailSociété française du pipeline du Jura
GENNES Société française du pipeline du Jura C.L.I.C. du 16.10 2007, rév.: 1.2 1 L environnement immédiat du dépôt de Gennes C.L.I.C. du 16.10 2007, rév.: 1.2 2 L environnement du dépôt Pipeline SPSE Fos-Strasbourg
Plus en détailAccessibilité des personnes handicapées et à mobilité réduite, aux installations et établissements recevant du public.
Conseil Départemental d Ille-et-Vilaine - 16 rue Saint-Hélier - 35000 RENNES 02 99 67 46 27 02 99 67 46 28 ille-et-vilaine@oncd.org www.odcd35.fr Accessibilité des personnes handicapées et à mobilité réduite,
Plus en détailDirection du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat
Bureau de la Protection des Locaux d'habitation Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat Règlement municipal fixant les conditions de délivrance des autorisations de changement
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailOrganiser, préparer, animer les réunions publiques ???????????? Les Plans de Prévention des Risques Technologiques en Rhône-Alpes
???????????? Les Plans de Prévention des Risques Technologiques en Rhône-Alpes Guide pratique à l usage des organisateurs Organiser, préparer, animer les réunions publiques Edition janvier 2011 www.pprt-rhonealpes.com
Plus en détailInformations techniques. Ultrason Mesure du niveau dans des liquides et des solides en vrac/pulvérulents VEGASON 61, 62, 63
Informations techniques Utrason Mesure du niveau dans des iquides et des soides en vrac/puvéruents VEGASON 6, 6, 6 Tabe des matières Tabe des matières Principe de mesure.......................................................................................
Plus en détailStructures dynamiques Listes chaînées
TC Informatique Structures de données abstraites PC N 4 30 Novembre 2000 François Siion Structures dynamiques Listes chaînées http://w3.edu.poytechnique.fr/informatique Représenter un ensembe d'ééments
Plus en détailMUNICIPALITÉ DE CACOUNA ADOPTION D UN PROGRAMME DE REVITALISATION À L ÉGARD DE SECTEURS PARTICULIERS 2010
RÈGLEMENT NO 29-10 PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE CACOUNA ADOPTION D UN PROGRAMME DE REVITALISATION À L ÉGARD DE SECTEURS PARTICULIERS 2010 Résolution 2010-03-88.2 ATTENDU que la Municipalité de Cacouna
Plus en détailPAGE COUVERTURE L Avalon XLS montrée en noir.
Avaon 2011 A Avaon À bord de a fabueuse Avaon 2011, un simpe trajet devient une baade tout à fait grisante. Grâce à son uxe utramoderne, son habitace remarquabement spacieux et ses nombreuses innovations
Plus en détailLes écarts des coûts hospitaliers sont-ils justifiables? Réflexions sur une convergence tarifaire entre les secteurs public et privé en France
Document de travai Working paper Les écarts des coûts hospitaiers sont-is justifiabes? Réfexions sur une convergence tarifaire entre es secteurs pubic et privé en France Zeynep Or (Irdes) Thomas Renaud
Plus en détailCI/SfB (29) Et6. Janvier 2007. Dispositifs d Attente pour Béton Armé Pour l Industrie de la Construction
CI/SfB (29) Et6 Janvier 2007 Dispositifs d Attente pour Béton Armé Pour Industrie de a Construction 2 La société Ancon conçoit et réaise des produits en acier de grande fiaiité pour industrie de a construction.
Plus en détailBouclier sanitaire : choisir entre égalité et équité?
Document de travai Working paper Boucier sanitaire : choisir entre égaité et équité? Une anayse à partir du modèe ARAMMIS Thierry Debrand (Irdes) Christine Sorasith (Irdes) DT n 32 Juin 2010 Reproduction
Plus en détailSynthèse du bilan carbone
Synthèse du bilan carbone patrimoine et services ville de CANNES Ce projet est co-financé par l Union europénne. Projet sélectionné dans le cadre du programme opérationnel FEDER PACA 27-213. Année de référence
Plus en détailStockage et distribution de Liquides inflammables
Contrôles périodiques des installations soumises à DC Stockage et distribution de Liquides inflammables 2009 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire a été établie à partir des textes réglementaires
Plus en détailMÉCANIQUE DES STRUCTURES
SCIENCES SUP Aide-mémoire IUT Licence Master MÉCANIQUE DES STRUCTURES Résistance des matériaux Arnaud Deapace Fabrice Gatuingt Frédéric Ragueneau AIDE-MÉMOIRE MÉCANIQUE DES STRUCTURES Résistance des matériaux
Plus en détailParlons d avenir. Ingénieur Télécom ParisTech. Innover et entreprendre dans un monde numérique
Parons d avenir Ingénieur Téécom ParisTech Innover et entreprendre dans un monde numérique INNOVER DANS UN MONDE NUMÉRIQUE À Téécom ParisTech, vous trouverez : Première grande écoe française d ingénieurs
Plus en détailInformation de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur
Information de l acquéreur ou du locataire Obligations du vendeur ou du bailleur Introduction La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation
Plus en détailRéf. : Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON Lyon, le 30 décembre 2011 N/Réf. : CODEP-LYO-2011-072087 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Tricastin CNPE du Tricastin BP 40009
Plus en détailÉclairage général 2012 / 2013
Écairage généra 2012 / 2013 Toute manipuation de nos produits ou de eurs emaages, y compris notamment a réaisation de modifications, de transformations ou de nouveaux estampiages, est interdite et porte
Plus en détailLes solutions pour une gestion de l éclairage simple et intelligente
Les soutions pour une gestion de écairage simpe et inteigente La gestion de écairage permet, en totae iberté, d adapter votre écairage à vos besoins tout en réaisant des économies, seon es exigences suivantes.
Plus en détailL archéologie préventive
L archéologie préventive Le code du patrimoine (livre V) : définit le patrimoine archéologique et l archéologie préventive, répartit les compétences entre les différents acteurs, décrit la mise en œuvre
Plus en détailTable des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.
Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détail