Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire
|
|
- Lucile St-Louis
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire en orthopédie pédiatrique p? Mathie LORROT, Chantal JOB-DESLANDRE Hôpital Robert Debré, Faculté de Médecine Paris 7 Cours DESC chirurgie Orthopédique Pédiatrique Septembre 2011
2 Pathologies inflammatoire ostéo-articulaire pédiatriques p Articulaire: Arthrite Juvénile Idiopathique (AJI): Polyarthrite systémique (maladie de Still). Oligoarthrite avec/sans Facteur anti nucléaires (FAN) Polyarthrite avec/sans Facteur Rhumatoïde (FR) Arthrite avec enthésite, arthrite psoriasique. Spondylarthrite ankylosante (SPA): Osseuse +-+ articulaire Osteïte chronique récurrente r multifocale (OCMR)
3 Arthrites inflammatoires
4 Arthrite septique URGENCE-hospitalisation Arthrite aigüe Syndrome de Kawasaki Fièvre Signes cutanéo muqueux Risque ++ anévrysmes Debut aigu d une AJI Arthrite virale RAA ASLO et ASDases, VS et CRP Arthrite de Lyme sérologie Purpura rhumatoïde Éruption Maladie périodiquep Contexte ethnique Signes abdominaux Étude génétique gène MeFV Hémarthrose: Arthrite post traumatique Hémophilie SVN
5 En faveur patho septique En faveur patho inflammatoire? Arthrite aiguë moins de 3 semaines Une seule articulation atteinte Arthrite subaiguë ou chronique plus de 3 semaines Plusieurs articulations atteintes en même temps et sans syndrome septique Au cours du temps Au moindre doute considérer arthrite septique: ponction articulaire +/- drainage + antibiothérapie à débuter
6 Mariam, 2 ans et demi, sans ATCD (1) Motif consultation - fièvre (pics à C) depuis 15 jours avec frissons, - impotence fonctionnelle MI gauche. Examen clinique: - Poids: 13.2 kg, T =36.4T =36.4 C, FC: 130/min - Asthénie - Boiterie d esquive d à gauche, choc rotulien gauche - Rotation externe hanche gauche douloureuse - Pas HSM, aires ganglionnaires libres
7 Histoire de la maladie (2) Biologie: - GB: 10500/mm 3 (39% PNN, 51% Ly), Plaq: : /mm 3, Hb: : 9.5g/dl, VGM: 54 µl - CRP: 134 mg/l, PCT: 0.7 ng/ml - Hémocultures prélev levéeses Radios standard genoux et bassin: normales
8 Quel est votre diagnostic?
9 Arthrite septique du genou gauche. Prise en charge?
10 Evolution de Mariam hospitalisée e en chirurgie orthopédique, sous antibiothérapie IV (2) Evolution défavorabled Cliniquement: - Persistance de la fièvre et des douleurs - Apparition d arthrites d diffuses (genou G, cheville G, coudes D et G, torticolis) Biologiquement: augmentation du syndrome inflammatoire (J6) GB: /mm 3, Plaq: : /mm 3, CRP=181 mg/l Négativité des examens microbiologiques Liquide articulaire: purulent, éléments (97% PNN, 2% Ly) Culture stérile PCR Kingella kingae negative Hémocultures stériles
11 Evolution (2) Que faites-vous? Explorations supplémentaires?
12 Evolution (3) Avant tout, préciser l histoirel histoire - Fièvre évoluant depuis 5 mois avec pics de fièvre le soir - Hospitalisation 1 mois avant pour fièvre : - GB= 23200/mm 3, Plaq= = /mm 3, CRP=127 mg/l - Errance médicalem dicale - Plusieurs passages au SAU: arthralgies (coudes, torticolis, boiterie) + éruption cutanée e concomitante
13 Evolution (4) Hypothèse(s) diagnostique(s)?
14 Evolution (5) Diagnostic: forme systémique d arthrite d chronique juvénile (maladie de Still) Traitement: - Corticothérapie rapie (après s myélogramme) Evolution: - amendement des douleurs articulaires, reprise activité normale. - GB: 19000/mm 3, Plaq: : /mm 3, Hb: : 8.1 g/dl, CRP: 89 mg/l Sortie sous Solupred (1 mg/kg/j), règles r hygiéno no-diététiques. tiques.
15 POLYARTHRITE SYSTÉMIQUE (maladie de Still) Sex-ratio : 1 Age : 2-7 ans. Pas de liaison HLA connue Triade symptomatique Fièvre > 15j Arthrite Eruption
16
17 POLYARTHRITE SYSTÉMIQUE (maladie de Still) Signes biologiques : Syndrome inflammatoire majeur : VS > 100 mm GB > /mm 3, anémie microcytaire, thrombocytose Ferritinémie élevée, ferritine glyquée basse Absence d A.A.N.. et F.R. Vérifier l absence de: pathologie infectieuse pathologie hématologique atteinte pulmonaire (radio), cardiaque (écho) Radiographies: bilatérales et comparatives des articulations thorax
18 POLYARTHRITE SYSTÉMIQUE (maladie de Still) Traitement : AINS (Indocid( Indocid, Ibuprofène ne) Corticoïdes : 1 à 2 mg/kg/j (bolus 30 mg/kg J1,J2,J3) Traitement de fond (corticod( corticodépendance/résistance) méthotrexate,, anti TNF,, Ac anti-il6, ciclosporine
19 POLYARTHRITE SYSTÉMIQUE: modalités évolutives Formes bénignes (50 % cas) Rémission après quelques mois ou années Séquelles articulaires (20 % cas) Rechutes possibles Formes sévères à évolution systémique (25 % cas) Formes sévères à évolution polyarticulaire destructrice Complications Retard staturo-pond pondéral (inflammation, corticoïdes des) Ostéop opénie Amylose secondaire Syndrome d activation macrophagique
20 OLIGOARTHRITE : Tableau Clinique Initial Age 2-4 ans. Filles : 70 % Arthrites : 1 à 4 articulations
21 Signes extra-articulaires Iridocyclite à œil blanc : 30 % des cas Avant le diagnostic d AJI : 15% cas Découverte lors du diagnostic d AJI : 19% cas DEPISTAGE SYSTEMATIQUE AVEC EXAMEN A LA L.A.F.
22 Complications des uvéites associées (après s 8.9 ans) Complications 35% Synéchies Kératite en bandelette Cataracte Glaucome Baisse de la vision (20% cas) Cécité 4/62 patients Bardare et al J Rheumatol 2007
23 OLIGOARTHRITE : Biologie Syndrome inflammatoire présent dans 50% élévation de la V.S et de la C.R.P rarement hyperleucocytose, anémie, thrombocytémie Facteurs Antinucléaires (FAN) positifs dans 70 % de spécificité indéterminée
24 OLIGOARTHRITE : évolution Après 4 à 15 ans Rémission : 36 à 66% Oligo articulaire persistante : 43 à 88% Oligo arthrite extensive : 12 à 50% 5 à 9 articulations > 11 articulations
25 OLIGOARTHRITE : Traitement anti-inflammatoires non stéroïdiens infiltrations locales : hexacétonide de triamcinolone + immobilisaton de 48h rééducation
26 Risque des injections locales d Hexatrione Atrophie sous-cutanée avec dépigmentation Calcifications peri articulaires
27 Si évolution persistante et/ou facteur de risque d évolution extensive : traitement de fond indication au Méthotrexate après 3 à 6 mois d évolution d autant que l oligoarthriteextensive est un facteur prédictif de rémission sous MTX. En cas d échec biothérapie anti TNF alpha : Etanercept, Infliximab, Adalimumab CTLA4 Ig : Abatacept Traitement de l Iridocyclite et surveillance systématique trimestrielle
28 OSTEITE CHRONIQUE RECURRENTE MULTIFOCALE (OCMR) DE L ENFANT
29 Jérémy, 14 ans et ½ Hospitalisé en février 2007: -depuis 3 semaines douleurs du genoux et de la cheville gauches et fièvre C -pas de trauma -AEG (amaigrissement - 4 kg/5 mois) Hb 10.5 g/l, GB 4400/mm3, Plaq /mm3, Fibrinogène 8 g/l, CRP 104 mg/l Examen clinique: arthrite du genou droit subaiguë avec choc rotulien
30 Radiographies standards Radio normales
31 Scintigraphie osseuse Hyperfixation calcanéum, métatarsien n 1, genou et 2 cotes droites
32 IRM genoux gauche lésion osseuse médullaire épiphyso-métaphysaire tibiale antérieure STIR T1 SPIR avant injection T1 SPIR après injection
33 STIR sagittale IRM cheville gauche T2 axial G D T2
34 T1 SPIR Gado T1 SPIR Gado (soustraction)
35 Vos hypothèses diagnostiques?
36 Hypothèses diagnostiques Infection: aigüe, chronique Tumeur: hémopathie (lymphome, leucémie) Inflammatoire : - Ostéite Chronique Multifocale Récurrente - (Spondylarthropathie) - (Arthrite juvénile idiopathique)
37 Biopsie osseuse du calcanéum gauche: -pas de cellule tumorale -pas de granulome, pas de germe -œdème interstitiel -infiltrat inflammatoire (lymphocytes) compatible avec OSTEOMYELITE CHRONIQUE MULTI-FOCALE ASEPTIQUE
38 Traitement et évolution 02/07: Voltarène 50 mg X 3/j 04/07: va très bien, reprise de 5 kg Pas de douleur ni de limitation articulaire Normalisation du bilan biologique (NFS, Plq, CRP,VS)
39 Décrite par Giédion en 1972 L O.C.R.M est un des éléments du syndrome SAPHO Synovite Acnée Pustulose Hyperostose Ostéite
40 DIAGNOSTIC DE L OCMR 1. 2 critères de diagnostic majeurs 2. 1 critère diagnostic majeur + 1 critère diagnostic mineur Critère diagnostique majeur Image lytique +/- sclérose Lésions osseuses multifocales Pustulose palmo-plantaire ou psoriasis Biopsie osseuse stérile avec signes d inflammation et/ou de fibrose et/ou de sclérose Critère diagnostique mineur NFS normale, bon état de santé CRP, VS modérément élevées Evolution > 6 mois Hyperostose Association à une autre MAA autre que psoriasis et spondylartrite ankylosante
41 Biologie Syndrome inflammatoire 80% cas Antigène HLA B 27 : 15 à 30% cas
42 OCMR infantile Prédominance féminine Age : ans Douleurs osseuses métaphysaires uni ou pluri focales Éventuellement associées à Tuméfactions Arthrites Signes cutanés : pustulose, psoriasis Signes généraux : asthénie, fièvre
43 Localisation Atteinte multifocale parfois symétrique Atteinte osseuse > articulaire Sternum 9% Fémur 17% Clavicule 24% Vertèbres 20% 3 topographies préférentielles: - métaphyse os longs mb inf -bord interne des clavicules Genou 9% Tibia distal 33% Calcanéus 19% -rachis, bassin Girschick et al. Ann Rheum Dis 2005;64: C.Catalano-Pons et al Rheumatology 2008;47:
44 OCMR= diagnostic d élimination Contre une ostéomyélite classique: - Pas d abcès sous périosté ni médullaire ni des tissus mous - Pas de fistulisation cutanée - Pas de séquestre osseux - Bactériologie négative (prélèvements osseuse et/ou articulaires négatifs, hémoculture) Contre une pathologie tumorale: Histologie et/ou myélogramme nécessaire en cas de doute diagnostique avec tumeur (sarcome, métastase ) ou hémopathie (leucémie, lymphome ) Etude histologique de la biopsie osseuse de l OCMR: élimine pathologie tumorale ou infectieuse réaction inflammatoire chronique:ostéite subaiguë avec infiltrats lymphocytaires et polynucléaires et zones de fibrose fibroblastique
45 Radios standards Lacune métaphysaire Appositions périostées Hyperostose réactionnelle Spondylodiscite Sacro-iliite
46 Robertson et al. Ann Rheum Dis 2001;60: Imagerie Construction osseuse au 1 er plan - Ostéocondensation - Hyperostose corticale - appositions périostées Ostéolyse au second plan
47
48 Scanner Absence d infiltration des tissus mous. Intégrité des corticales
49
50 IRM : hyposignal en T1 hypersignal T2
51 OCMR= Bilan d extension Scintigraphie osseuse: Hyperfixation bilan d extension (lésion muette cliniquement) IRM corps entier (STIR) ++++ œdème médullaire bilan d extension (lésion muette cliniquement)
52 Scintigraphie osseuse affirme le caractère multifocal dépiste les localisations asymptomatiques
53 Intérêt de l IRM corps entier dans la recherche de localisations asymptomatiques Valentine (10/9/19997) Août 2008 : gonalgie gauche Décembre 2008 Gonalgie gauche Raideur matinale 15mn Douleur métaphyse tibiale supérieure gauche VS : 9mm 1 ère heure
54
55 Traitement médical de l OCMR AINS au long court: Voltarène, Indocid Corticoïdes, Methotrexate.non Autres traitements (si échec des AINS) Biphosphonates si atteinte rachis, mandibule pamidronate IV lente sur 3 perfusions sur 3 jours de suite (risque d hypocalcémie, d ostéonécrose de la mandibule) Anti TNF? (Influximab, Remicade ) Gleeson H et al J Rheumatol 2008; 35: Deutschman A., Mache C.J., et coll Pediatrics 2005; 116:
56 Evolution des OCMR Le plus souvent par poussées A l âge adulte Rémission fréquente Séquelles possibles Asymétrie de longueur d un membre Hypertrophie osseuse par périostose engainante
57 CONCLUSION Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire? Anamnèse: Préciser l histoire évolutive de l arthrite Ancienneté, épisode similaire? Fièvre, infection précèdant l arthrite. Rechercher des antécédents personnnles ou familiaux de Maladie auto-immune (thyroïde ) Psoriasis, Spondylarthropathie Uvéite, Entérocolopathie Examen clinique complet: Fièvre? Examen de toutes les articulations: recherche autre atteinet ariculaire Peau: éruption Diarrhée, douleurs abdominales, amaigrissement (en faveur entérocolopathie)
58
59 OCMR L OCRM n est pas une affection exceptionnelle chez l enfant. Le diagnostic suspecté sur la clinique et l imagerie nécessite une confirmation histologique dans les cas de diagnostic difficile. L IRM corps entier semble être la méthode de choix pour le dépistage des localisations asymptomatiques et le suivi évolutif
60 Le traitement initial repose sur les AINS Dans les formes sévères résistant aux AINS corticoïdes?, anti TNF? biphosphonates? L existence de formes chroniques ou àrechutes multiples et les séquelles osseuses possibles doivent faire nuancer le pronostic initialement considéré comme bénin. Des études sont nécessaires pour identifier les patients à risques de forme sévère et pour préciser les traitements «de fond»efficaces.
61 Clinical outcome in children with CRMO C.Catalano-Pons et al. Rheumatology 2008;47: Cohorte de 40 enfants suivis pour OCMR 34 filles / 6 garçons Âge médian lors du diagnostic: 11.5 ans (de 2 à 17 ans) Délai depuis le diagnostic : 3.5 ans (de 0.5 à 15 ans)
62 Clinical outcome in 40 children with CRMO C.Catalano-Pons et al Rheumatology 2008;47: Symptômes initiaux Douleur osseuse 100 % Association à gonflement et arthrite chez 4 patients (10 %) Symptômes extra articulaires Fièvre : 9 cas (22.5 %) Pustulose Palmo Plantaire rare: 1 cas Biologie initiale quasiment normale NFS Plaquettes et CRP normales VS : 26 mm Biopsies osseuses 28 biopsies effectuées Ostéite non spécifique subaigüe ou chronique avec discrète fibrose Bactériologie : négative
63 Clinical outcome in 40 children with CRMO C.Catalano-Pons et al Rheumatology 2008;47: Traitements Nb de patients NSAID's antibiotics steroids sulfasalazine methotrexate pamidronate etanercept azathioprine
64 Clinical outcome in 40 children with CRMO C.Catalano-Pons et al Rheumatology 2008;47: Critères prédictifs de l inefficacité des AINS Non répondeurs Répondeurs p Age de début de la maladie 8,7 9,7 NS Sexe 8F/1M 25F/5M NS Nombre initial de lésions 4 2 0,03 Nombre total de lésions 5 4 NS VS (mm) NS CRP (mg/l) 14 5 NS GB (/dl) NS Plaquettes (mm3) NS Durée d activité de la maladie (années) 7,5 2,7 0,05
65 Clinical outcome in 40 children with CRMO C.Catalano-Pons et al Rheumatology 2008;47: Recul moyen : 3,5 ans : durée d activité de l OCMR 2,7 ans, significativement corrélée à Nombre initial de localisations Nombre total de localisations Âge : corrélation inverse Vitesse de sédimentation initiale
66 Clinical outcome in 40 children with CRMO C.Catalano-Pons et al Rheumatology 2008;47: Séquelles Asymétrie de longueur : 3 cas Hypertrophie clavicule : 1 cas Retard de croissance : 3 cas Tassement vertébral (corticoïdes) : 1 cas Questionnaires HAQ 29/40 cas HAQ 0-1(pas de handicap) 26/29 cas HAQ 1-2 ( handicap léger) 2/29 cas HAQ 2-3 (handicap important) 1/29 cas
67 Formes rares d OCMR
68 Caroline Née en Afrique, en France depuis nov 2006 Gonflement de la mandibule droite apparue depuis plusieurs mois après une extraction dentaire Hospitalisée en dec 2006 Douleur Trismus Adénopathies sous maxillaires droites NFS Nle, CRP nle, VS 10mm
69
70 Traitement initial Antibiothérapie par Fosfomycine +Flagyl+ Rifadine puis relais per os par Augmentin Pas de chirurgie de nettoyage Pas d exérèse des dents Aucune efficacité du traitement antibiotique: Hospitalisation pour perfusions de biphophonates (pamidronate): 3 perfusions longues (0,5 puis 1 mg/kg) Amélioration clinique rapide
71 Un an et demi plus tard : Récidive des douleurs et du trismus depuis 4 mois
72 Atteinte initiale du rachis avec tassement vertébral révélateur
73 5 mois après PAM
74 CONCLUSION L OCRM n est pas une affection exceptionnelle chez l enfant. Le diagnostic suspecté sur la clinique et l imagerie nécessite une confirmation histologique dans les cas de diagnostic difficile. L IRM corps entier semble être la méthode de choix pour le dépistage des localisations asymptomatiques et le suivi évolutif
75 Le traitement initial repose sur les AINS Dans les formes sévères résistant aux AINS corticoïdes?, anti TNF? biphosphonates? L existence de formes chroniques ou àrechutes multiples et les séquelles osseuses possibles doivent faire nuancer le pronostic initialement considéré comme bénin. Des études sont nécessaires pour identifier les patients à risques de forme sévère et pour préciser les traitements «de fond»efficaces.
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailLes Spondylarthrites
Les Spondylarthrites Le concept de spondylarthrite Ensemble de rhumatisme inflammatoires chroniques qui partagent certaines de leurs manifestations cliniques ainsi qu un terrain génétique commun. Le concept
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante
39 Item 282 Spondylarthrite ankylosante Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer une spondylarthrite ankylosante. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailANDRIANJAFISON Francia
ANDRIANJAFISON Francia PLACE DE LA CORTICOTHERAPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES A ANTANANARIVO Thèse de Doctorat en Médecine 2 UNIVERSITE
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailConduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant. Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque
Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque Définition Œdèmes généralisés : Œdèmes de stase : Normoprotidiques Hypoprotidémiques Œdèmes inflammatoires
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailSpondylarthrite grave
Titre du document (En-tête) GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Spondylarthrite grave Décembre 2008 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2, avenue
Plus en détailDiagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites
Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS Décembre
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE
JUILLET 2010 08 LES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE MARK HAZELTINE, MD, FRCPC CENTRE DE RHUMATOLOGIE DE LAVAL JEAN-LUC TREMBLAY, MD, FRCPC CENTRE HOSPITALIER
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailVignette clinique 1. Femme, 26 ans; caissière. RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA :
Vignette clinique 1 Femme, 26 ans; caissière RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA : Depuis 6 mois, douleurs dorsales à caractère inflammatoire
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 35 DECEMBRE 2011
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Les uvéites
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailPHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES
PHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES Cercle de Qualité Le Merle d Aubigné (CQMdA) Bodmer Eveline, Baumberger Dominique, Bensaddik-Brunner Verena, Canova Danielle, Dosso Elena, Dunand Alain, Finazzi
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailFaculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II. Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation
Faculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation complexe en Cabinet : La lombalgie symptomatique Semestre de stage : 4
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailProblèmes locomoteurs
VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailAnalyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.
Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailL A L E T T R E. L E T T R E D I N F O R M A T I O N ( 3 n u m é r o s p a r a n ) m a i 2 0 1 1
L A L E T T R E L E T T R E D I N F O R M A T I O N ( 3 n u m é r o s p a r a n ) m a i 2 0 1 1 N 40 Éditorial Cette Lettre se propose de clarifier le problème très général des rhumatismes inflammatoires
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailGuide. Parcours. Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des. patients traités par anti-tnfa. bon usage anti-tnfα
Parcours bon usage anti-tnfα Guide Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des patients traités par anti-tnfa Rhumatismes inflammatoires chroniques Maladies inflammatoires chroniques de
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détail