L association en quelques mots
|
|
- Franck Alain Joly
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Bleu-Blanc-Cœur
2 L association en quelques mots
3 Présentation de Bleu-Blanc-Cœur Bleu- Blanc-Cœur est une Association loi 1901 Qui organise des filières de productions agricoles vertueuses pour une alimentation de qualité accessible au plus grand nombre dont les bénéfices nutritionnels et environnementaux sont prouvés et reconnus scientifiquement Produire en réintroduisant des sources végétales d Oméga 3 pour améliorer l alimentation de l homme Rééquilibrer notre alimentation quotidienne en améliorant la composition nutritionnelle des produits animaux (produits laitiers, viandes, œufs ) Revaloriser les produits animaux Réhabiliter la «chaîne alimentaire»
4 Bleu-Blanc-Cœur aujourd hui adhérents répartis en 7 collèges éleveurs - Un milliard d = CA cumulés des filières (2013) - Près de 750 produits BBC - 12 pays partenaires - 6 reconnaissances officielles Saveurs authentiques Des qualités nutritionnelles préservées
5 Nos spécificités Une démarche de création de valeurs ajoutées tout au long de la chaîne alimentaire : positive pour la santé du sol, de la plante, de l animal et de l homme 1. Des bénéfices scientifiquement prouvés et mesurables 2. Des produits de qualité (nutrition goût) accessibles à tous 3. Une responsabilité collective tout au long de la chaîne alimentaire 4. Une démarche reconnue et validée par les pouvoirs publics 5. Une dimension associative
6 et par les instances officielles 2008 : BBC validé par le comité d expert Nutrition du PNNS 2009 : le logo BBC devient une marque alléguante (RE 1924/2006) 2011 : BBC méthode officielle pour la lutte contre les gaz à effets de serre 2012 : BBC = 1 ère action environnementale labellisée par l ONU pour l élevage 2013 : BBC validé par les experts nutrition du PNNS et durabilité du PNA
7 Engagements nutritionnels et environnementaux NUTRITION -Apporter près de 750 tonnes d Oméga 3 «renouvelables» de plus dans notre alimentation apportés. ENVIRONNEMENT Tonnes de CO2 équivalents non émis par les ruminants (selon méthodologie reconnue par le Ministère de l Ecologie et par les Nations-Unies). -Permettre ainsi à 1 million de français supplémentaire de couvrir leur besoins en Oméga 3 chaque jour (besoins = 2,2 g / jour ) -Ne pas «synthétiser» 2240 tonnes de graisses saturées par les animaux d élevage (soit l équivalent de la nonconsommation de 6,5 millions de litres d huile de palme) tonnes de soja non importés et aussi tonnes de maïs en moins -des milliers d hectares d oléoprotéagineux réintégrés dans les assolements des agriculteurs français soit : Ha lin Ha herbe et luzerne, Ha de protéagineux
8 Quelques produits
9 Et tout récemment NUTRITION PRODUIT QUOTIDIEN ACCESSIBILITE
10 Le volet environnemental
11 LE PROJET LAIT : SON AMPLEUR AUJOURD HUI Depuis 2008, les éleveurs mesurent les émissions de méthane. Depuis 2012, 420 éleveurs se sont engagés dans le projet environnemental de Bleu-Blanc-Cœur. Environ vaches laitières Plus de 210 Millions de litres de lait Près de T de CO2 Soit 1 125T de méthane économisées 342 millions de km de voiture en moins
12 D abord des fondements scientifiques 2006 : Socle scientifique Réduction de la production de méthane entérique (INRA, 2006 ; Martin et al., 2006 ; Martin et al., 2008 ; Doreau et al., 2008 ; Quinlan et al., 2010) Un premier article en 2003 depuis, un effet significatif et permanent confirmé. + Oméga 3 Réduction des émissions de CH 4 (INRA, 2006 ; Martin et al., 2006 ; Martin et al., 2008 ; Doreau et al., 2008 ; Quinlan et al., 2010) En phase avec la qualité nutritionnelle des produits animaux (Hurtaud, 2006) En phase avec les paramètres zootechniques (reproduction, immunité ) (Ponter et al., 2001 ; Giger-Reverdin et al., 2003 ; Hurtaud, 2006 ; Ponter et al., 2006 ; Martin et al., 2008)
13 puis des «ajustements techniques» 2006 : Socle scientifique Réduction de la production de méthane entérique (INRA, 2006 ; Martin et al., 2006 ; Martin et al., 2008 ; Doreau et al., 2008 ; Quinlan et al., 2010) 2011 : Référencement de la méthode d évaluation La mesure du CH4 est complexe et utilisée uniquement en station expérimentale : Chambres respiratoires Gaz traceur SF6 (Johnson et al., 1994)
14 puis des «ajustements techniques» 2006 : Socle scientifique Réduction de la production de méthane entérique (INRA, 2006 ; Martin et al., 2006 ; Martin et al., 2008 ; Doreau et al., 2008 ; Quinlan et al., 2010) 2011 : Référencement de la méthode d évaluation Mesure rapide (IR) des AG dans le lait Emissions entériques de Méthane Méthane (CH 4 g/l)
15 puis des «ajustements techniques» On sait réduire! On sait mesurer! Bénéficier d Unités de Réduction d Emission (URE) suite à la réduction vérifiée et mesurée des émissions de Méthane entérique Un projet domestique fait appel pour calculer la réduction des émissions générées par l activité de projet à une «méthode référencée» par le ministère de l environnement Première étape : Rédaction puis Demande de référencement de la méthode (2008 au 1 er avril 2011) «Méthodologie spécifique aux projets de réduction des émissions de méthane d origine digestive par l alimentation des ruminants laitiers» Etude puis validation par 3 DG : Agriculture, Energie et Climat, Finances Deuxième étape : Dépôt puis Agrément du Projet Programmatique Bleu-Blanc-Cœur (2011 au 28 février 2012) Etude puis validation par 3 DG : Agriculture, Energie et Climat, Finances
16 et enfin un projet reconnu s 2006 : Socle scientifique Réduction de la production de méthane entérique (INRA, 2006 ; Martin et al., 2006 ; Martin et al., 2008 ; Doreau et al., 2008 ; Quinlan et al., 2010) 2011 : Référencement de la méthode d évaluation 2012 : Agrément du projet programmatique Enregistrement des élevages comme des sites officiels de réduction des émissions de CH 4
17 Titre et Localisation du «projet programmatique» «Réduction des émissions de méthane d origine digestive par l apport dans l alimentation des vaches laitières de sources naturelles en Acide Alpha Linolénique (ALA)» 420 projets différents répartis sur la France Regroupement des projets autour d un coordonnateur : => Bleu-Blanc-Cœur 1 exploitation laitière
18 et enfin un projet reconnu s 2006 : Socle scientifique Réduction de la production de méthane entérique (INRA, 2006 ; Martin et al., 2006 ; Martin et al., 2008 ; Doreau et al., 2008 ; Quinlan et al., 2010) 2011 : Référencement de la méthode d évaluation 2011 : Agrément du projet programmatique 2012 : Référencement de la méthode
19 Juillet 2013 La mise en place du projet : étapes, obligations et fonctionnement
20 Les étapes clés du projet + ALA Elevages Laboratoires interprofessionnels 2 : Analyser les Acides Gras du lait (1/mois) 1 : Respecter le Cahier des Charges Eco-Méthane 5 : Alimenter et utiliser son compte CO 2 Groupements/ Associations Association Bleu-Blanc-Cœur 3 : Enregistrer les émissions de méthane et les réductions d émissions 4 : Communiquer et faire savoir ses engagements
21 1 Respecter le cahier des charges Eco-Méthane Signature d un formulaire d inscription «L éleveur s engage alors à respecter le périmètre de validité, les moyens et les obligations qui y sont définis»
22 1 Respecter le cahier des charges Eco-Méthane Pour la majorité des éleveurs, il s agira de corriger le niveau IT3 des rations hivernales par diverses possibilités : Une proportion d herbe (graminées et/ou légumineuses) conservées plus importante L apport de matières premières riches en Oméga 3 : luzerne, graines de lin, lupin, chanvre ou colza extrudées, tourteau de colza gras (limité à 1kg pr un 15% MG)
23 2 Analyser les Acides Gras du lait Analyses en routine réalisées par les laboratoires interprofessionnels laitiers Autorisation de l éleveur au laboratoire Autorisation de la laiterie au laboratoire 5 / analyse (Taux, Cellules et AG) 1analyse/mois/élevage «Automatique» : pas de prélèvement pas les éleveurs Elevages Laiterie Prélèvements et envoi des échantillons de lait Laboratoires Analyses de lait
24 3 Enregistrer les émissions de méthane et calculer les réductions Référencé par le Ministère de l Ecologie, l association Bleu-Blanc-Cœur doit suivre les réductions permises et vérifier le respect des exigences. L ensemble du suivi est contrôlé et certifié par un organisme certificateur indépendant. Pour assurer ce suivi et ces contrôles, les éleveurs doivent fournir mensuellement : Productivité laitière Nombre de vaches traites IT3 Simple et facile grâce à la plateforme web «Lait Durable» Création d une dynamique de groupe autour du projet Vecteur de communication auprès du groupe et du grand public Outil de suivi, d enregistrement et de contrôle
25 3 Enregistrer les émissions de méthane et calculer les réductions Un compte pour l animateur du groupe Chargement des résultats du laboratoire Suivi et animation des producteurs Communication Un cumul pour le groupement Une ligne par éleveur Exemple Fictif
26 3 Enregistrer les émissions de méthane et calculer les réductions Un compte par éleveur Enregistrement des données Suivi immédiat de ses économies
27 4 Communiquer et faire-savoir ses engagements
28 4 Communiquer et faire-savoir ses engagements Ce projet Eco-Méthane est l occasion de valoriser le savoir-faire des producteurs avec une communication sur : Obligation de résultats : quantification, compteur Obligation de moyens : valorisation des engagements pris par les éleveurs et touchant à : Interdiction du formol Interdiction de l huile de palme Limitation du soja : empreinte environnementale améliorée, lutte contre la déforestation, valorisation des sources végétales /protéiques locales. Une justification supplémentaire des choix du producteur
29 Des intérêts pour chacun des acteurs Pour les consommateurs, choisir une produit Bleu-Blanc-Cœur, c est : Choisir un produit qui a plus de goût Choisir un mode de production plus vertueux car : Plus respectueux de l environnement Meilleur pour la santé du consommateur Remettre dans vos assiettes : g d Oméga 3 en g d AG saturés en C est aussi : Ha de cultures favorisant la biodiversité Km de voiture Reconnu vertueux par les Pouvoirs Publics
30 Des intérêts pour chacun des acteurs Pour les producteurs Choisir un mode de production vertueux compatible avec les objectifs de production alliant performances et santé des animaux Des économies d énergie : 5700g CH4 44UF/animal soit 0,44UF/jr 440g/jr de blé Etre fier de son produit Pour les groupements Consolider les orientations de production Valoriser une différenciation
31 des bénéfices valorisables pour la filière Des économies d énergie équivalent à : UF / animal / jr g de blé / animal / jr Des baisses d émissions : T méthane en T CO 2 en Remettre dans vos assiettes : g d Oméga 3 en g d AG saturés en C est aussi : Ha de cultures favorisant la biodiversité Km de voiture
32 5 Alimenter et utiliser son compte CO 2 Chaque éleveur cumule des Kg de CO 2 qu il aura contribué à réduire Il les échange contre des bons d achats
33 LE RETOUR DES URE AUX ÉLEVEURS Bleu-Blanc-Cœur vend ses «crédits haut de gamme» à un réseau d acheteurs spécifiques Crédits Bleu-Blanc-Cœur ont une vraie valeur communicante, la valeur des crédits est supérieure à la valeur marché qui est quasi-nulle Chaque éleveur dispose d un «compte» = tonnes de CO 2 qu il a économisé Il utilise ces tonnes de CO2 comme des «points fidélités» lui permettant d acheter des biens d équipements, des services et des produits de consommation courante vertueux (éolienne, panneaux photovoltaïques, produits BBC.) BBC et ses partenaires initie le système et propose des offres dans un catalogue à disposition en ligne sur Eco-Méthane
34 Une démarche aux multiples avantages Reconnue par les pouvoirs publics et par les Nations-Unies Cahier des charges simple et accessible pour les éleveurs Mesure des émissions simples à réaliser analyses de lait infrarouge Quantification des réductions aisée plateforme web Potentiel communicant élevé Valorisation des efforts pour les éleveurs à travers la monnaie CO 2, amorce d un cercle vertueux
35 Merci pour votre attention
BLEU-BLANC-CŒUR ET VALOREX FONT DU CO 2 UNE MONNAIE
Dossier de presse & BLEU-BLANC-CŒUR ET VALOREX FONT DU CO 2 UNE MONNAIE Et l agriculture sera le premier secteur à l utiliser.. CETTE MONNAIE CO 2 REPOSE SUR UNE VALIDATION DES NATIONS UNIES ELLE ENCOURAGERA
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailYves PYTHON 1, Sylvain MORVAN 2 et Dominique TRISTANT 2, Ferme expérimentale de AgroParisTech - Août 2013
Ferme expérimentale de AgroParisTech 2013 Essai CH 4 COOP DE FRANCE Déshydratation Thiverval-Grignon 78850 Evaluation des effets de deux modalités alimentaires différentes incluant de l ensilage de graminées
Plus en détailImpact Social et Responsabilité Sociale et Environnementale 2004-2014
Impact Social et Responsabilité Sociale et Environnementale 2004-2014 www. ongconseil.com /ONGConseil @ONGConseil Rester cohérent... ONG Conseil France s est toujours donnée les moyens de réaliser une
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailstation service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility
station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility Infrastructure de chargement La borne Green up Pour des véhicules éléctro et hybrid Les particuliers, entreprises et fournisseurs
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailréglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé
réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé Partie générale : bio, reconnaissable et contrôlé. L objectif de la partie générale de la brochure est de clarifier ce qu est exactement
Plus en détailNORHUIL. Un circuit court pour un produit de qualité. Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION
NORHUIL Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION Un circuit court pour un produit de qualité Tél : 09 61 05 21 96 / 06 83 40 95 38 Fax : 02 33 64 33 95 Email : sarl.norhuil@orange.fr 0 PRESENTATION Triturateur
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailLes aliments de l intelligence
www.swissmilk.ch NEWS ER Conseils alimentation: L alimentation saine à l adolescence, 3 e partie Octobre 2010 Les aliments de l intelligence Des performances intellectuelles au top Des repas intelligents
Plus en détailLES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE
LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailSéminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie
Programme financé par l Union européenne Séminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie UN SECTEUR FORTEMENT TYPE Mouvement de privatisation de l économie
Plus en détailREFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES :
REFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES : «Processus de maîtrise des risques d'émission des poussières issues de semences traitées avec des produits phytopharmaceutiques : Opérations industrielles»
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailPrésentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières. novembre 2014
Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières novembre 2014 Progamme de remboursement de taxes foncières 1. Contexte général; 2. Résumé de l ancien programme; 3. Présentation du
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailAppliquer la réglementation dans la filière
Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière re Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière Analyse des risques, enregistrements et GBPH Application à la filière laitière
Plus en détailUtilité écologique du recyclage du PET en Suisse
Récapitulatif de l étude Utilité écologique du recyclage du PET en Suisse réalisé par Dr. Fredy Dinkel Carbotech AG, Bâle par ordre de PRS - PET-Recycling Schweiz Contact PRS - PET-Recycling Schweiz Naglerwiesenstrasse
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailTrajectoires laitières
Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailAVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?
AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français
Plus en détailSPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET
AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailL énergie dans notre quotidien
4 5 6 7 8 L énergie dans notre quotidien QUE SAIS-TU SUR L ÉNERGIE? Sur ton cahier de sciences, essaie de répondre par VRAI ou FAUX aux phrases ou expressions qui suivent. A. 1. Nous utilisons de plus
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailFiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph
FiveGo FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo 5 x 5 arguments pour FiveGo ph, conductivité et oxygène
Plus en détailMonitoring de la durabilité de la production laitière
Monitoring de la durabilité de la production laitière 1 Contenu Inhoud 1. Une filière laitière durable: une demande ET une opportunité!...3 2 Une approche commune unique...4 3. Une approche sur mesure
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailVAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire
VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:
Plus en détailTitre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de
Termes de référence pour l évaluation et la capitalisation du projet PMF-FEM Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de l'abeille jaune par l'introduction de ruches peuplées
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détailDTM Suite. PRECISION feeding. DTM Suite LE PRODUIT FONCTIONALITÉS ET AVANTAGES
LE PRODUIT DTM est un logiciel de gestion de l alimentation développé en collaboration avec des exploitants afin de répondre aux besoins de leurs fermes. DTM est l évolution d un logiciel qui offre aux
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détail22 juin 2016, INRIA Lyon
22 juin 2016, INRIA Lyon Smart city / Ville intelligente : une introduction Grand Lyon Métropole Intelligente D OÙ VIENT LA VILLE INTELLIGENTE? HYGIÉNISTE TECHNOPHILE «GÉNIE URBAIN» SATURATION & ENGORGEMENT
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailPOURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR
POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre
Plus en détailÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!
ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages
Plus en détailVersion définitive 01/08/2003 DES PRODUITS AGRICOLES DE QUALITÉ DANS LES ZONES DE MONTAGNE EUROPÉENNES
QLK5-CT-2002-30276 Projet financé par la Commission européenne dans le cadre du Vème PCRD Version définitive 01/08/2003 INFORMATIONS STRATÉGIQUES POUR LE DÉVELOPPEMENT DES PRODUITS AGRICOLES DE QUALITÉ
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailLe Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale
Octobre 2012 Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Convaincu de l impérieuse nécessité pour les entreprises de prendre en compte les
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailLa filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.
La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détail05 ET 06 AOUT 2015, ABIDJAN
WASIX.NET UNE CONTRIBUTION AU DÉVELOPPEMENT DU RÉSEAU DES PRODUCTEURS ET DES INDUSTRIES SEMENCIÈRES EN AFRIQUE DE L OUEST. 05 ET 06 AOUT 2015, ABIDJAN Présentée par Moustapha DIOUF, Consultant pour le
Plus en détailCommuniqué de presse 11 Octobre 2007
Communiqué de presse 11 Octobre 2007 POUR DES PME PMI CITOYENNES ET VOLONTAIRES : LUCIE LE SEUL DISPOSITIF GLOBAL, CREDIBLE ET SIGNIFIANT POUR UN ENGAGEMENT EN FAVEUR DU DEVELOPPEMENT DURABLE Comment assurer
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailPOLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION
POLES DE COMPETITIVITE et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION Plan - Qu est-ce qu un pôle de compétitivité? - Qu est-ce qu un centre d innovation technologique? - Zoom sur Valorial
Plus en détail