Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
|
|
- Marie-Paule Laframboise
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes Itinérance du Québec (Hurtubise et Babin, 2010) et les trois équipes cliniques du projet Chez soi à Montréal (Hurtubise et Rose, 2013). Ce récit de pratique met en lumière les réflexions du gestionnaire de l Équipe Itinérance du CSSS Jeanne-Mance au regard des pratiques et de l organisation des services pour les personnes en situation d itinérance. Le gestionnaire soutient que certaines façons de faire se situent en porteà-faux par rapport à la mission et aux valeurs de l Équipe. Il illustre ces glissements de pratique en analysant deux situations auxquelles il est confronté, au moment de la recherche, dans le cadre de son mandat : une entente de service avec la Régie d assurance-maladie du Québec (RAMQ) et l offre de service pour les personnes itinérantes dans son établissement. Questionner ces pratiques constituant un certain glissement quant au mandat de l Équipe devient ainsi une opportunité de les repenser afin de maintenir le cap sur la mission de l Équipe. «En centralisant les services aux personnes itinérantes dans un seul CSSS, nous risquons d engendrer une ghettoïsation.» Équipe Itinérance CSSS Jeanne-Mance maiapi, Certains droits réservés. CC CC Les Équipes itinérance en santé. Description des pratiques innovantes. Hurtubise et Babin, 2010 Page 1 sur 6
2 La dimension critique comme porte d entrée pour repenser les pratiques Le gestionnaire de l Équipe itinérance estime que son rôle ne doit pas consister uniquement à gérer le programme selon les orientations existantes, puisque celles-ci méritent d être questionnées en cours de route. Cette manière d appréhender son rôle de gestionnaire l amènera à porter un regard critique sur les glissements de pratique de façon à revenir au mandat initial de l Équipe ou à instaurer des façons de faire plus cohérentes avec sa philosophie d intervention. Dans mon rôle de chef d administration de programme, je considère important de prendre le temps de réfléchir à nos pratiques d équipe et de les questionner. Lorsque nous considérons que des changements doivent être apportés, il est essentiel pour moi de mettre en place des stratégies pour y arriver, et cela, en collaboration avec les personnes concernées. J illustrerai mes propos à l aide de deux situations qui ont alimenté mes réflexions depuis quelque temps. Une entente avec la RAMQ En 1993, l Équipe et des refuges de la ville ont conclu une entente avec la Régie d assurance-maladie du Québec (RAMQ). Cette entente permettait d obtenir auprès de la RAMQ un numéro temporaire afin d accélérer l accès aux soins médicaux pour les personnes qui n avaient pas de carte d assurance-maladie. Cette entente paraissait tout à fait louable puisqu elle nous permettait de mieux remplir notre mandat principal qui est d arrimer les gens avec le réseau de la santé et des services sociaux. Une nouvelle disposition de la loi va cependant attirer un volume considérable de personnes itinérantes vers le centre-ville où le service est offert. De fil en aiguille, l entente contribue à une forme de ghettoïsation des personnes itinérantes au centre-ville. Depuis 2001, une personne itinérante peut recevoir un chèque de la sécurité du revenu même si elle n a pas d adresse permanente. Elle doit cependant être en mesure de s identifier et la carte d assurance maladie est souvent la pièce d identité exigée. Cette nouvelle disposition a contribué à augmenter considérablement le nombre de demandes de cartes d assurance-maladie dans notre établissement. Au fil du temps, l Équipe itinérance est devenue en quelque sorte un point de service de la Régie de l Assurance Maladie du Québec (RAMQ). Dans la région de Montréal, les bureaux de la RAMQ ne desservent plus les personnes itinérantes qui n ont pas de pièces d identité et les réfèrent à notre Équipe. Cela a pour conséquence que des personnes itinérantes provenant d autres régions sont parachutées au centreville. Nous assistons ainsi à une plus grande ghettoïsation de l itinérance. Sur le plan de la gestion des effectifs, je dois affecter quatre travailleurs sociaux à raison de deux demi-journées par semaine aux démarches pour l obtention de cartes d assurance-maladie. Compte tenu du fait qu en une demi-journée, nous rencontrons de quarante à soixante personnes, cela représente une tâche colossale. Dans ce contexte, les travailleurs sociaux ne font pas de l évaluation psychosociale, mais plutôt de la cueillette de données. Ce mandat s avère très peu lié à leur formation et pourrait très bien être accompli par un commis. Les travailleurs sociaux de l Équipe disent ne pas être utilisés à bon escient et ont l impression de travailler dans une usine de fabrication de cartes d assurance-maladie Les Équipes itinérance en santé. Description des pratiques innovantes. Hurtubise et Babin, 2010 Page 2 sur 6
3 Une solution à ce glissement : rencontrer la RAMQ Après avoir analysé la situation au regard de l utilisation du service, j ai constaté qu étant donné le mandat de l équipe qui est d arrimer les personnes avec le réseau de la santé et des services sociaux, nous avions tendance à être en porte-à-faux. Comme gestionnaire, il est de mon rôle de questionner ce glissement auprès des acteurs concernés. Je prévois donc rencontrer des gens de la RAMQ pour leur faire part de ma position. J envisage deux scénarios afin d offrir un service plus conforme à notre mandat initial. Le premier est de revenir au principe de départ, c est-àdire permettre aux personnes malades d obtenir une carte temporaire afin d accéder le plus rapidement possible aux services de santé. Le second consiste à impliquer financièrement la RAMQ pour maintenir le service qu elle a en quelque sorte créé à l intérieur de notre CSSS. Il n est pas logique d utiliser les budgets du CSSS pour rémunérer quatre travailleurs sociaux qui effectuent une tâche qui n est pas en lien avec leurs compétences. Malgré tout, l objectif que je poursuis à travers cette démarche va bien au-delà de l enjeu financier. Je désire transmettre le message à la RAMQ que toute personne au Québec a le droit d obtenir une carte d assurancemaladie, et ce, même si elle a égaré ses pièces d identité. La RAMQ a, selon moi, la responsabilité d offrir et d organiser les services appropriés dans l ensemble de la province. Il faudra réfléchir, dans un avenir rapproché, aux stratégies les plus efficaces pour faire avancer ce dossier. criswatk, Certains droits réservés. CC L offre de service de l Équipe itinérance : une autre pratique à repenser Le gestionnaire observe un second glissement en lien avec l offre de services aux personnes itinérantes dans son établissement. Voulant répondre à la demande croissante de services de la part des personnes à la rue, l Équipe itinérance en est venue à déployer beaucoup d effectifs à l intérieur de son établissement au détriment des services de proximité. Ainsi, intervenir majoritairement auprès des personnes itinérantes qui sont en mesure de se rendre au CSSS pour recevoir des services est en contradiction avec le mandat initial de l Équipe qui consistait à intervenir auprès des individus qui sont en rupture avec le système de santé et de services sociaux. Plutôt que de favoriser l inclusion sociale des personnes itinérantes, cette approche tend à les discriminer davantage. Sur le plan de l organisation des services à l Équipe itinérance, il y a une infirmière qui fait de l intervention d outreach dans la rue et, depuis peu, j ai créé un nouveau poste afin qu une travailleuse sociale puisse aussi Les Équipes itinérance en santé. Description des pratiques innovantes. Hurtubise et Babin, 2010 Page 3 sur 6
4 assumer ce mandat. En ce qui concerne l outreach dans les refuges, l ensemble des infirmiers et infirmières, et travailleurs et travailleuses sociaux de l Équipe se partagent le travail. Les autres interventions sont effectuées à l intérieur du CSSS dans le cadre de visites sans rendez-vous. En prenant du recul, j ai réalisé que l offre de services, telle que présentée actuellement, ne correspond pas au mandat initial de l Équipe qui consiste à arrimer les personnes avec le réseau de la santé et des services sociaux. Or, nous nous rendons compte que plusieurs personnes itinérantes se déplacent au CSSS pour recevoir des services. Ces personnes sont donc déjà arrimées puisqu elles se présentent de façon autonome dans les services. L Équipe est donc devenue un service général du même type que les autres équipes d accueil et de suivi du CSSS. Paradoxalement, nous avons créé ce que nous critiquions chez d autres organisations. Dans notre discours, nous dénonçons les organisations qui contribuent à discriminer et ghettoïser les personnes itinérantes en créant des services parallèles. Pourtant, en centralisant les services aux personnes itinérantes dans un seul CSSS, nous engendrons justement une ghettoïsation. Cela a pour conséquence qu une vingtaine de personnes itinérantes attendent chaque après-midi à la porte du CSSS pour recevoir des services alors qu elles pourraient avoir recours à d autres CSSS de la ville. Certains CSSS vont nous référer des individus qui viennent de perdre leur logement en prétextant qu ils sont itinérants. Je dois intervenir auprès des responsables de ces CSSS en leur rappelant qu il s agit d une crise psychosociale et qu ils ont la responsabilité d intervenir auprès de cette clientèle sur leur territoire. Revenir à la mission première et susciter l adhésion des services généraux du CSSS Soucieux de remédier au glissement qui s est produit au fil des années, le gestionnaire porte une réflexion prospective sur les stratégies permettant de revenir à la mission première de l Équipe. Comme dans une opération de mise en marché, le gestionnaire prévoit rencontrer les intervenants des services à l interne, afin de discuter avec eux du bien-fondé de cette nouvelle orientation. Ainsi, pour sortir du statu quo, le gestionnaire désire utiliser la voie de la sensibilisation / formation plutôt que d imposer le changement par une réorganisation des services par le haut. Face à ce constat, l objectif consiste à revenir à notre mission première de faire de l intervention de proximité. Plus concrètement, nous devons être davantage présents dans les milieux afin de rejoindre les personnes qui ne viennent pas vers les services. Les Équipes itinérance en santé. Description des pratiques innovantes. Hurtubise et Babin, 2010 Page 4 sur 6
5 Pour cela, je souhaite affecter quatre travailleurs ou travailleuses sociaux et quatre infirmiers ou infirmières à temps plein pour intervenir dans la rue et dans les ressources. En contrepartie, il sera nécessaire de s arrimer avec les services généraux de notre établissement et des autres CSSS pour que les personnes itinérantes puissent être desservies. Il est question ici d un grand changement de pratique dans notre établissement. L Équipe itinérance est relativement favorable à ce changement, mais il faudra, dans un premier temps, penser aux stratégies permettant l adhésion des acteurs à l interne à cette nouvelle orientation. De toute évidence, il est impératif de ne pas chercher à imposer le changement, mais plutôt de viser une solution gagnant-gagnant. De plus, il faut s assurer que le changement soit dans l intérêt des personnes itinérantes et qu elles ne soient pas insatisfaites de la nouvelle offre de services. Les intervenants des services courants sont pour la plupart peu familiers avec la réalité des personnes itinérantes. maiapi, Certains droits réservés. CC L intervention en itinérance s inscrit dans une philosophie, des approches et un savoir-être bien particuliers. Conséquemment, nous devrons offrir aux intervenants une formation adéquate et les sensibiliser aux défis de l intervention auprès de la clientèle itinérante. Redéfinition des collaborations avec les partenaires du milieu La nouvelle orientation proposée soustend une présence plus soutenue des intervenants en outreach. Selon le gestionnaire, cela devrait conduire à une redéfinition des collaborations entre l équipe et certains partenaires comme les organismes communautaires et les policiers. Si, pour les intervenants, cette nouvelle forme de collaboration demande d intensifier la présence dans les milieux partenaires, ces derniers devraient, en contrepartie, devenir des acteurs-clés dans l intervention auprès des personnes itinérantes nécessitant des soins plus spécialisés. Afin de revenir à notre mission première, nous devrons aussi assurer une présence plus soutenue auprès des partenaires du milieu. L augmentation des effectifs en outreach nous permettra de soutenir davantage les organismes communautaires afin de trouver des solutions conjointes aux situations complexes rencontrées dans leur pratique. Il faut faire en sorte Les Équipes itinérance en santé. Description des pratiques innovantes. Hurtubise et Babin, 2010 Page 5 sur 6
6 que les organismes communautaires n hésitent pas à identifier les personnes qui bénéficieraient des services sociaux ou de santé et à nous téléphoner en cas de besoin. Cependant, il faudra être à l affût des possibles dérapages pouvant se produire dans ce contexte de collaboration. Notre soutien aux organismes ne devrait pas conduire à une déresponsabilisation de leur part envers des individus qui leur causent des problèmes sérieux (dumping). Les intervenants de l Équipe devront quant à eux éviter de se comporter en experts de la situation qui dicte la marche à suivre. Cette attitude risquerait de conduire à l épuisement et provoquerait une réaction de fermeture chez les intervenants des organismes. Nous souhaitons aussi renforcer la collaboration avec les policiers. Ils devraient faire davantage appel à nous lorsqu ils rencontrent une personne itinérante qui, visiblement, a besoin de soins particuliers. Nous pourrons ainsi être plus actifs auprès de ces personnes qui n ont de lien ni avec les organismes ni avec les services sociaux et de santé. S appuyer sur la recherche pour faire valoir le changement, l opérationnaliser et en laisser une trace Dans son rapport avec les acteurs, le gestionnaire souhaite s appuyer sur des bases solides afin d expliquer et de démontrer l efficacité du changement proposé. La littérature scientifique représente pour lui cette assise qui permettra de cerner les meilleures pratiques en matière d intervention de proximité. L écrit revêt aussi son importance, dans la mesure où il pourrait permettre de laisser une trace du changement opéré. Pour opérationnaliser le changement, je crois qu il serait pertinent de s appuyer sur des écrits portant sur l intervention de proximité. Cela nous permettrait de recenser les meilleures pratiques et de cerner les pièges à éviter dans la mise en place de ce changement. En nous appuyant sur la littérature scientifique, nous aurons de meilleures assises pour expliquer et faire valoir notre changement de vision aux différents partenaires. Pouvoir démontrer aux partenaires que certaines interventions de proximité ont eues des résultats probants constitue, selon moi, une stratégie gagnante pour susciter leur adhésion au changement de pratique. Je désire, par ailleurs, que nous puissions documenter notre changement de pratique. Il serait intéressant de laisser une trace écrite du changement appuyé par les réflexions qui ont eu lieu à cette époque. Souvent, je constate qu en CSSS il y a plusieurs pratiques intéressantes qui sont mises en place, mais qui sont très peu documentées. Avec le temps, nous nous demandons pourquoi cette pratique a été implantée et nous n avons pas de réponses à cette question. Laisser une trace écrite nous permettrait de mieux saisir les changements qui s effectuent. Équipe itinérance CSSS Jeanne-Mance Mots clefs : accès aux services, stigmatisation. Les Équipes itinérance en santé. Description des pratiques innovantes. Hurtubise et Babin, 2010 Page 6 sur 6
Planification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire
TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire Démarche sur l aide financière aux participantes Marie-Lourdes Pas beaucoup d argent pour tout ce qu il faut
Les obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Prenons ces mesures une à une pour mieux saisir la portée de ces changements.
La réforme Harper de l assurance-emploi : une réforme brutale qui vise, en premier lieu, les travailleurs et les travailleuses de l industrie saisonnière Dans le cadre de la loi d exécution du budget du
Projet de loi n o 20
Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté
3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)
3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.
Régime québécois d assurance parentale
Régime québécois d assurance parentale Le Québec dispose d un ensemble de mesures permettant aux parents de mieux concilier leurs responsabilités familiales et professionnelles, dont les congés parentaux.
Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017
Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Mise en contexte Au SPVM Environ 18 000 appels de service au 911
Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement
Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise
Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?
> pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska
Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec
Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Étapes suivantes du plan d action du Manitoba
Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son
La recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche?
La recherche et vous Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Dépôt légal - octobre 2012 Bibliothèque et archives nationales du Québec Bibliothèque et archives
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Proposition de directive relative au timeshare 1
Proposition de directive relative au timeshare 1 - Avis de l ULC - Les sollicitations et engagements de timeshare concernant les consommateurs luxembourgeois s effectuent essentiellement à l étranger d
Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec
Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Bruno Belzile Candidat au doctorat en génie mécanique, Polytechnique
Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives
Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002
Document d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
La réinsertion sociale. Pour que la rue ait une issue...
La réinsertion sociale Pour que la rue ait une issue... La philosophie d intervention du service de réinsertion sociale de la Maison du Père repose sur une approche de réduction des méfaits. Elle prône,
Lignes directrices à l intention des praticiens
Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes
Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire?
Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire? Les entreprises d'économie sociale placent encore souvent leurs réserves dans des banques classiques. Aujourd hui, la crise financière
L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3
Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Politique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
VADE-MECUM des droits et devoirs du géomètre-expert stagiaire et du maître de stage
VADE-MECUM des droits et devoirs du géomètre-expert stagiaire et du maître de stage 1/11 Préambule L avenir de la profession repose notamment sur les décisions et les orientations du Conseil supérieur
Rédiger et administrer un questionnaire
Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),
2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication
Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent
Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013
BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation
En fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007.
NOTE AU LECTEUR Fondée en 1961, l Association provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) est une référence en matière de construction et de rénovation résidentielles. Regroupant quelque
Rappelons d abord l événement dans ses grandes lignes.
Étude de cas : Hydro-Québec et la tempête de verglas par Steve Flanagan Présenté au colloque «Les communications en temps de crise» Organisé par l Université du Québec à Montréal janvier 1999 L analyse
Mise au point à propos du programme PAAS ACTION Suivi de la rencontre avec les ministères Avril 2011
Mise au point à propos du programme PAAS ACTION Suivi de la rencontre avec les ministères Avril 2011 Si vous ne connaissez pas ce dossier, commencez par lire le résumé en annexe, page 5. Les dernières
Membres du groupe de travail sur l accessibilité aux soins de première ligne. Ont collaboré aux travaux du groupe de travail
Membres du groupe de travail sur l accessibilité aux soins de première ligne D r Sylvain Dion, président du groupe de travail. secrétaire général, FMOQ D r Marc-André Asselin, premier vice-président, FMOQ
L organisation des soins et services cliniques. Cadre de référence
L organisation des soins et services cliniques Cadre de référence Juin 2005 L organisation des soins et services cliniques Cadre de référence Direction générale de l Hôpital Louis-H. Lafontaine Coordination
AFFAIRES ÉLECTRONIQUES Crédit d impôt remboursable pour les activités d affaires électroniques
AFFAIRES ÉLECTRONIQUES Crédit d impôt remboursable pour les activités d affaires électroniques Afin de stimuler davantage le développement de certaines activités liées aux technologies de l information,
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent
LIVRE BLANC COMMUNICATIONS MARKETING ET CRM
LIVRE BLANC COMMUNICATIONS MARKETING ET CRM LIVRE BLANC COMMUNICATIONS MARKETING ET CRM 2 À PROPOS De nos jours, il est essentiel pour les entreprises de définir une stratégie marketing précise et efficace.
MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
- 2 - constitue une condition fondamentale du contrat de travail des membres du groupe;
CANADA PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE MONTRÉAL (Recours collectif) C O U R S U P É R I E U R E No.: 500-06- JEAN SAMOISETTE, résident et domicilié au 111 rue de la Marquise, Brigham, dans le district de
Mémoire relatif au Règlement sur le dépannage et le remorquage des véhicules sur le territoire de la Communauté urbaine de Montréal
Mémoire relatif au Règlement sur le dépannage et le remorquage des véhicules sur le territoire de la Communauté urbaine de Montréal Présenté à La Commission du développement économique de la Communauté
devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable
VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre
Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
PLAN D ACTION À L ÉGARD DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015
DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015 Vice-présidence principale aux ressources humaines et à l administration TABLE DES MATIÈRES MISE EN CONTEXTE... 4 DÉFINITION... 4 PORTRAIT DE
pas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE
ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services
Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs. favorisant la collaboration
Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs favorisant la collaboration Pascale Navert Courtière de connaissances Direction de la planification, de la performance
Atelier Campagne Marketing social
Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation
Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Loi 10. ARGUMENTAIRE CONTRE LE PROJET de. démantèlement FICHE 1 AUCUNE SOLUTION POUR AMÉLIORER LES SERVICES EN ACTION CONTRE LE
ARGUMENTAIRE CONTRE LE PROJET de Loi 10 FICHE 1 AUCUNE SOLUTION POUR AMÉLIORER LES SERVICES À LA POPULATION DANS LE PROJET DE LOI 10 DU MINISTRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, GAÉTAN BARRETTE, BIEN
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
ACCORD DU 24 JUIN 2010
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL (Portage salarial) ACCORD DU 24 JUIN 2010 RELATIF AU PORTAGE
Présentation des éléments constitutifs d un plan de relève et de transmission d une entreprise
I. INTRODUCTION COACHING JRT 35, rue LeGuerrier Blainville (Québec) J7E 4H5 514-236-1729 info@coachingjrt.com www.coachingjrt.com Présentation des éléments constitutifs d un plan de relève et de transmission
Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Vérification de la fonction de trésorerie
Vérification de la fonction de trésorerie La fonction de trésorerie est conforme à l ensemble des dispositions législatives et des politiques Ottawa, le 28 novembre 2013 Le vérificateur général Alain Lalonde
Régimes flexibles et comptes de gestion santé : est-ce pour nous?
Régimes flexibles et comptes de gestion santé : est-ce pour nous? Par Marc-André Laliberté, ASA Vice-président principal Sommet Avantages & Retraite 4 avril 2012 Marque de commerce de Groupe Optimum inc.
Les défis du développement du gouvernement électronique. Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé
Les défis du développement du gouvernement électronique Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé La révolution numérique a engendré une pression sur les gouvernements qui doivent améliorer leurs prestations
Êtes-vous bien épaulé?
D O C U M E N T D E D I S C U S S I O N 2 0 0 8 Êtes-vous bien épaulé? de votre fournisseur DMS. Par Dave Bates MISEZ SUR VOTRE RÉUSSITE. Êtes-vous bien épaulé? Bénéficiez-vous d assistance? de votre fournisseur
Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.
Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services
Formation des formateurs en entreprise
en entreprise Le (CQFA) du Cégep de Chicoutimi et le Service de formation continue de l'université du Québec à Chicoutimi (UQAC) unissent leurs efforts et leur expertise respective pour offrir aux organisations
Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais
Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Des conclusions qui appellent à la mobilisation Rapport du RIOCM sur le sous-financement des organismes communautaires de
ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008
Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils
PROJET DE LOI 10 : LES IMPACTS POSSIBLES SUR VOTRE SITUATION PROFESSIONNELLE
PROJET DE LOI 10 : LES IMPACTS POSSIBLES SUR VOTRE SITUATION PROFESSIONNELLE Service des ressources humaines et affaires juridiques 20 octobre 2014 TABLE DES MATIÈRES Contenu Introduction 1 Les dispositions
Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec
CONDENSÉ DÉCISIONNEL Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec Le 11 avril 2014 d habitation de moins de 100 logements Condensé
Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires
Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires MÉMOIRE DE L INSTITUT CANADIEN DES ACTUAIRES DESTINÉ AU SURINTENDANT DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES DE L ALBERTA, MINISTÈRE DES FINANCES DE
Article 1. Article 2. Article 3
ENTENTE RELATIVE AUX COMITÉS DE SANTÉ ET DE SÉCURITÉ DU TRAVAIL ET AU TEMPS DE LIBÉRATION ALLOUÉ AUX REPRÉSENTANTS À LA PRÉVENTION DANS L EXERCICE DE LEURS FONCTIONS (Juin 1992) Article 1 En vue de prévenir
Commentaires de la Confédération des syndicats nationaux. au Ministère des Finances du Canada sur les régimes de retraite à prestations cibles
Commentaires de la Confédération des syndicats nationaux au Ministère des Finances du Canada sur les régimes de retraite à prestations cibles 20 juin 2014 Confédération des syndicats nationaux 1601, av.
Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec
MÉMOIRE SUR LE PROJET DE LOI 8 ÉLARGISSANT LA VENTE D ASSURANCES FUNÉRAIRES AU QUÉBEC Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec Septembre 2007 15 avril
Le Plan libéral pour les soins familiaux
Le Plan libéral pour les soins familiaux 1 Le Plan libéral pour les soins familiaux AUX CÔTÉS DES FAMILLES CANADIENNES Les membres d une famille s appuient entre eux. Les familles canadiennes veulent s
I. LE PROJET DE RENOUVELLEMENT DES SUPPORTS D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE
SUIVI D UN PROJET D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE : LES DIFFICULTÉS D APPLICATION DU CADRE NORMATIF DANS LE MONDE BANCAIRE Le poste que j occupe au sein du service d archives du Crédit Lyonnais qui sont désormais
Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins
Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins Sommaire de gestion À la demande du Groupe de travail national sur
L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue
L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium
Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES
Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport
Université de Mons UMONS Institut d Administration Scolaire. Direction Générale des Enseignements
Ce fascicule a été réalisé dans le cadre d une recherche-action commanditée par la Province de Hainaut intitulée «Implémentation de l approche orientante au sein de l enseignement secondaire provincial».
Dites NON aux idées gratuites
Dites NON aux idées gratuites Dites NON aux idées gratuites Designers, l Alliance française des designers vous incite à ne pas participer aux concours et appels d offres qui ne prévoient pas de dédommagements
L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1
L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de
!Mutuelle!!de microfinance (Québec)!!!!Défis et enjeux!
!Mutuelle!!de microfinance (Québec)!!!!Défis et enjeux! Du microcrédit à la microfinance!!!! Les défis et enjeux! La cohérence - Mission, vision! L innovation! Croissance et rentabilité! Gouvernance! L
Fiche entreprise : E12
Fiche entreprise : E12 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée a une formation en génie mécanique et agit à titre de directrice de la production, ce qui inclut la responsabilité
Plan d action de développement durable 2009-2013. Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour
Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour Plan d action de développement durable 2009-2013 Favoriser une meilleure concertation des industries du territoire Octobre 2009 Avant propos La Société
Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants
Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants MISE EN GARDE Les informations contenues dans ce document visent strictement à faciliter
LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC
GUIDE À L USAGE DE L EMPLOYEUR LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC un partenaire incontournable dans l intégration réussie de votre main-d œuvre immigrante Visitez-nous au desjardins.com/caissedequebec Être
Le réseau FADOQ plaide pour une réelle adaptation du Régime de rentes du Québec
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le réseau FADOQ plaide pour une réelle adaptation du Régime de rentes du Québec QUÉBEC, LE 3 SEPTEMBRE 2009 Le réseau FADOQ présente aujourd hui son mémoire dans le cadre de la
Plan de Management Direction générale Institutions et Population 2013-2019 ISABELLE MAZZARA DIRECTRICE GENERALE INSTITUTIONS ET POPULATION
Plan de Management Direction générale Institutions et Population 2013-2019 ISABELLE MAZZARA DIRECTRICE GENERALE INSTITUTIONS ET POPULATION TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES... 2 1. Situation de la
Etre gestionnaire d une maison médicale
Cahier Etre gestionnaire d une maison médicale Fabienne Saint-Amand, in rmière sociale, gestionnaire à la maison médicale Espace Santé. Mots clefs : maison médicale, gestion, interdisciplinarité, métier.
Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013
DEVIS D ÉVALUATION Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan Automne 2013 La mise en contexte de l évaluation Depuis sa création en 1993, la commission d évaluation de l enseignement
BILAN ANALYTIQUE DES QUESTIONNAIRES DE CURIOSITAS
BILAN ANALYTIQUE DES QUESTIONNAIRES DE CURIOSITAS Contribution: Théo Cabréro, Stéphanie Couvreur, Olivier Kahn Rédaction: Marie-Edith Dorsinville, Saiying Guo, Laura Poullias, Boe Przemyslak I. Méthodologie
Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation
Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité
Ministère de la Santé et des Services sociaux
Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte
OUTIL EXPLICATIF CCN 66. Mars 2015. Avenant 328 Complémentaire frais de santé. Cfdt-sante-sociaux.fr
OUTIL EXPLICATIF CCN 66 Mars 2015 Avenant 328 Complémentaire frais de santé Cfdt-sante-sociaux.fr Généralisation de la complémentaire santé L accord national interprofessionnel (Ani) du 11 janvier 2013,
Avenant 328 Complémentaire frais de santé
OUTIL EXPLICATIF CCN 66 Mars 2015 Lien pour télécharger le Guide Confédéral du négociateur sur la Généralisation de la complémentaire santé : http://www.cfdt.fr/upload/docs/application/pdf/2014802/guide_ps_23_01_2014_.pdf