La Formation Professionnelle et la Sécurité et la Santé au Travail

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La Formation Professionnelle et la Sécurité et la Santé au Travail"

Transcription

1 Investing in People Etude nationale La Formation Professionnelle et la Sécurité et la Santé au Travail Maroc This project is funded by The European Union 1 A project implemented by sequa ggmbh

2 Table de Matière 1. INTRODUCTION INFORMATION GENERALE SUR LA SECURITE AU TRAVAIL AU MAROC LA SECURITE AU TRAVAIL ET LA FORMATION PROFESSIONNELLE LES METIERS (INDUSTRIE TEXTILE, MECANIQUE AUTO, MENUISERIE, BOULANGERIE, COIFFURE / BEAUTE) ET LA SECURITE AU TRAVAIL L'ANALYSE DES PROBLEMES / SOLUTIONS / TRANSFERT DE CONNAISSANCES CONCLUSION... 9 «Les opinions exprimées dans cette publication ne reflètent pas nécessairement celles de la Commission européenne» 2

3 1. Introduction Dans le cadre du projet RIFA, la Chambre d Artisanat de la Région Fès-Boulemane et la Chambre des Métiers de Rhein-Main ont réalisé une étude sur la sécurité au travail dans la formation professionnelle au Maroc en octobre Cette étude fait partie d une série d études, qui sont réalisées dans les pays partenaires du projet RIFA, notamment au Bénin, en Côte d Ivoire, au Brésil, au Guatemala, au Salvador et au Honduras. Les résultats des études seront présentés aux autres délégations lors de la conférence interrégionale pour permettre un échange de connaissances et de bonnes pratiques et, une fois enrichis par les informations de la conférence interrégionale, lors de la conférence nationale. Au Maroc, l étude a été réalisée à Fès avec la participation de : Naji Fakhkhari : Président de la Chambre d Artisanat, Fès Abdellaoui Mohamed : Directeur de la CAM Fès / Chef du projet Tahri Chaouki : Cadre à la chambre CAM Fès / Assistante du projet Demnati Wahiba : Technicienne à la chambre / Assistante adjoint du projet Haroum Belhaj : Médecin Inspecteur du travail du Ministère de l Emploi et de la Formation Professionnelle Hicham Hassan : Exécutif Chef / Boulangerie Zabar Mohamed : Maître artisan / Mécanique Auto Niya Boujemaa : Maître artisan / Mécanique Auto Mikdam Abdelouhed : Secrétaire Général CAF et Maître artisan / Coiffeur Lahcen El Khlifi : Maître artisan / Coiffeur Belmelieh Mohamed : Maître artisan / Menuiserie Taroub Hakima : Responsable Ressources Humaines du Triumph / Maroc- Modis (industrie textile) Damen Youssef : Responsable Sécurité du Triumph / Maroc- Modis Petit-Peucelle Gegory : Directeur du Triumph / Maroc- Modis L étude a été structurée par un questionnaire préparé par bfz, partenaire du projet RIFA. Le questionnaire rempli est présenté comme Annexe de cette étude. 3

4 2. Information générale sur la sécurité au travail au Maroc La sécurité au travail au Maroc est déterminée par des dahirs, lois et décrets, notamment par le code du travail marocain et les chartes Internationales de l Organisation Internationale du Travail (OIT) signés par le Maroc, qui définissent les obligations et les droits aussi bien pour les employeurs que pour les employés. De plus, l arrêté du ministre de l Emploi et de la formation professionnelle n du 12 Mai 2008 fixe les mesures d application générales relatives aux principes énoncées au code du travail. Le Maroc est parmi les pays qui ont ratifié des accords internationaux. Le Maroc s inspire des normes internationales et les obligations concernant la sécurité au travail sont intégrées dans le code du travail qui s aligne entièrement sur les normes internationales. Le Maroc a fait des avancées considérables dans la protection de la femme en créant des cellules à l échelle nationale pour assister, orienter, apporter aide et soutien aux femmes sujettes à des problèmes sociaux que se soit dans le cadre de l exercice de leur travail ou des problèmes sociaux. Au Maroc il y a plusieurs organisations gouvernementales et des organisations non gouvernementales (ONG) qui s intéressent à la protection de la femme et des futures mères. La loi protège la femme et aussi l enfant, par exemple le congé de maternité, le droit à 1h d allaitement, l interdiction de travail de nuit pour les femmes etc. Le Maroc a aboli le travail des enfants. L âge éligible pour qu un enfant s intègre au marché du travail est fixé à 15 ans. Le même âge s applique pour la formation professionnelle. En réalité, le travail des enfants persiste encore. Le travail des enfants existe surtout dans le secteur informel bien qu il est interdit légalement. L institution responsable de la sécurité au travail est le Ministère de l emploi qui conduit régulièrement des inspections générales du travail. Dans les entreprises il y a aussi des visites régulières des médecins de travail qui font des contrôles d employés. Il y a un Dahir (loi) relatif à la réparation des accidents du travail. Dans la réalité pourtant, les inspections se font d une manière irrégulière. Le contrôle et le suivi de la santé des employés par le service de médecine n est pas assez efficace. L entreprise est obligée de garantir une couverture contre les accidents de travail et les maladies professionnelles par une assurance accident. Les entreprises n appliquent guère cette obligation légale parce que les assurances accident privées coutent assez cher. Pour les micro-entreprises il existe des dispositifs de l Etat qui garantissent la couverture pour les employés. Pourtant, la sécurité au travail n est pas encore une priorité malgré tous les secteurs et toutes les activités économiques relevant des branches primaires et industrielles qui sont propices à des accidents du travail ou à des maladies professionnelles. Le plus souvent les incidents se produisent dans le secteur informel. D après les règlements en vigueur concernant la sécurité au travail, les petites et moyennes entreprises ne sont pas exclues de l application des règles de la sécurité au travail. Il est vrai que le taux des accidents et maladies professionnelles est beaucoup plus important dans ce genre d entreprises parce que dans la majorité elles opèrent dans un secteur soi-disant informel et par conséquent elles échappent aux contrôles réguliers. Les mesures prises pour augmenter la sécurité au travail restent encore largement insuffisantes, même s il y a des contrôles de l application des textes réglementaires concernant la sécurité au travail, des campagnes de sensibilisation sur les risques des accidents au travail et les maladies professionnelles, de la communication sur ce sujet et de 4

5 l incitation à la mise en place d un comité d hygiène, de sécurité et des conditions au travail (CHSCT) en entreprise. Outre les coûts de la sécurité au travail et les contraintes liées à la sécurité, c est surtout un problème culturel. Le salarié est considéré comme un capital humain aussi important que le capital bâtiment et équipement. 3. La sécurité au travail et la formation professionnelle Généralement, dans la formation professionnelle et particulièrement dans la formation par apprentissage, les formateurs insistent sur le rôle de la sécurité au travail et la considèrent fondamentale et déterminante dans la vie professionnelle. C est donc une très bonne possibilité pour renforcer la prise de conscience au sujet de la sécurité au travail à travers la formation professionnelle (initiale et continue) dans les entreprises artisanales. La sécurité au travail doit prendre une place importante dans la formation professionnelle car elle conditionne les bons comportements qui seront utilisés tout au long de la vie professionnelle. Pourtant dans la pratique, la sécurité au travail n a pas un rôle important actuellement, comme le démontre le manque de volonté des entrepreneurs à souscrire une assurance accident de travail. Les principales difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de mesures visant à améliorer la sécurité au travail sont liées aux coûts qui incombent aux entrepreneurs voulant s engager à garantir la sécurité au travail. En même temps les employés n ont pas de formation basique ce qui est souvent liée avec une mentalité de résistance au respect des normes de sécurité. Il leur manque une prise de conscience vis à vis des risques. De plus, les employés ne s impliquent pas dans le comité de sécurité au travail. Pourtant, les employeurs aussi ne sont pas souvent de bons exemples pour leurs employés concernant la sécurité et la santé au travail. Très souvent, la sécurité et la santé au travail ne sont pas une priorité pour les employeurs ou ne sont pas compatibles avec l organisation du travail. Cette mentalité est renforcée par des contrôles très irréguliers, ce qui détériore l application des normes de sécurité par les autorités. Les aspects de la sécurité au travail ne sont pas suffisamment intégrés dans les curricula de formation en entreprise ainsi que dans les centres de formation professionnelle. Dans quelques entreprises idéales, il existe une sensibilisation continue ou même une formation pratique sur les aspects de sécurité au travail pour les nouveaux employés au sein de l entreprise. Les instructeurs de formation professionnelle sont insuffisamment formés, seulement d une manière assez théorique et non approfondie sur l importance de la sécurité au travail. Il existe pourtant des entreprises modèles au sein desquelles la transmission des connaissances théoriques et pratiques de l instructeur aux apprentis/personnes fonctionne bien. La formation professionnelle est une mesure principale mais non suffisante pour améliorer la sécurité et la santé au travail. La sécurité au travail est une question de culture, donc elle doit être intégrée dans la scolarité le plus tôt possible. Il est possible de mieux informer les jeunes employés et les apprentis sur la sécurité et la santé au travail par la formation et la sensibilisation. Il faut organiser des campagnes de sensibilisation continue (affichage, vidéo etc.). De plus, le service médical de travail doit être installé partout au Maroc. Concernant la formation, il faut dispenser des modules sur la 5

6 sécurité du travail qui combine des connaissances théoriques et pratiques. Pour l instant, il persiste un manque de collaboration entre le milieu du travail et des centres de formation. 4. Les métiers (Industrie Textile, Mécanique Auto, Menuiserie, Boulangerie, Coiffure / Beauté) et la sécurité au travail Les risques spécifiques auxquels les travailleurs dans ces secteurs sont exposés sont des allergies, les accidents de travail par machines, les risques causés par la posture de travail et les maladies comme la tuberculose pulmonaire et autres. Les autorités de l Etat luttent contre ces phénomènes à travers la charte du travail. Les employés et leurs représentants procèdent souvent par des réclamations juridiques en l absence d assurance souscrite par l entrepreneur. Les entrepreneurs sont dans la plus part des cas négligents et ne prennent pas la sécurité et la santé au travail au sérieux. Les employeurs sont ignorants ou négligents de leurs devoirs en cas d accident et toutes les pistes pour réparer le drame sont suivies. Peu de choses concrètes sont actuellement mises en œuvre dans la mesure où la sécurité au travail n est pas placée au centre des préoccupations des intervenants. La médecine du travail et la formation professionnelle sont les piliers de base pour la prévention de la sécurité et la santé au travail. Pourtant, il manque des personnes responsables pour la sécurité du travail dans les entreprises. La conformité aux normes de la sécurité au travail n est pas prise en considération. Très rarement des compagnes de formation et de sensibilisation dans ce sujet sont assurées. En sensibilisant contre les risques des accidents et maladies professionnelles, les employeurs et les employés adoptent des attitudes et des comportements de base appropriés pour l exercice de ce métier. Souvent des choses très simples comme des fiches d utilisation affichées sur les machines, des gants, des casques, des lunettes, un système d antiincendie et d aération et la communication sur les risques du comité d hygiène, de sécurité et des conditions au travail en entreprise suffisent pour améliorer la protection individuelle, la protection collective et les conditions de travail. Dans la pratique, il faut s efforcer de : Insérer la sécurité du travail dans les programmes de formation Communiquer sur les risques en formant sur les bonnes postures Former les gens à l application des consignes Démontrer les dangers et comment les éviter. Des visites dans des entreprises ont révélé les problèmes suivants : T technique - Equipement mécanique moderne, manquant de système d aspiration - Peu d équipement de protection contre les accidents du travail par rapport au nombre d employés T O organisationnel - Personne ne connait l endroit de la trousse de premier secours - L extincteur d incendie en état de marche se trouve à 2 mètres de haut - Les débris de verre se trouvent par terre P personnel - l assurance contre les accidents était supprimée, il n existe qu une assurance privée -les employés n ont pas suivi une formation aux premiers secours 6

7 Les besoins techniques, organisationnels et personnels sont : T technique L investissement moins cher T O organisationnel Assurer l accès aux équipements convenables Nomination d une personne responsable P personnel nécessité d améliorer les méthodes pédagogiques Sensibilisation des dangers Assurer une connaissance de base Solutions moins chères qui manquent souvent : Exemple Système d aspiration système d aspiration Un investissement (appareil technique) est trop cher T technique O organisationnel Circulation du personnel P personnel Mettre des informations à la disposition des employés Sensibilisation contre la menace 5. L'analyse des problèmes / solutions / transfert de connaissances On peut voire un potentiel de développement de la sécurité et la santé au travail dans la formation professionnelle de base et continue ainsi que dans l installation de services médicaux de travail. L entreprise doit payer pour ces mesures et les frais doivent être déduits de la base des impôts. Il faut dans un premier temps promouvoir l application des normes et vulgariser la sécurité au travail au moins au niveau des entreprises structurées. Un effort considérable doit être fourni pour promouvoir l aspect de la sécurité au travail dans le secteur de l artisanat dans lequel nous trouvons des activités artisanales nuisibles et dangereuses pour la santé et l environnement. Un effort doit être fait à tous les niveaux: la famille, 7

8 l enseignement supérieur, la formation professionnelle, et aussi l entreprise. Certains accidents graves ont aidé à la prise de conscience. Pour permettre aux entreprises, travailleurs et apprentis ainsi qu aux autorités publiques de contribuer à l'amélioration de la sécurité au travail, les frais de la formation professionnelle de base et continue ainsi que les frais des services médicaux du travail doivent être déduits de la base d imposition. Les entreprises, au travers des associations professionnelles, peuvent agir sous la coordination de l Etat. Il faut renforcer la formation sur la sécurité et la santé dès le plus jeune âge dans les écoles et au sein de la formation professionnelle. Ensuite l application des règles dans les entreprises doit être contrôlée. Tous les acteurs (Entrepreneurs, Gestion, syndicats, Institutions de l'etat et employés / apprentis) doivent associer leurs efforts pour renforcer le rôle de la sécurité au travail dans la formation professionnelle et cette dernière doit impérativement intégrer dans les plans de formation un module sur la sécurité au travail et préparer les encadreurs pour la réalisation de cette tâche. La principale réforme entreprise par l Etat est la charte du travail. De plus, la loi oblige tout employeur à souscrire une assurance accident. Les entreprises qui souscrivent une assurance accident de travail pour leurs employés bénéficient d une indemnité correspondant au taux d invalidité défini par le médecin et pris en charge par l assurance en cas d accident. Pourtant, les accidents des employés ne sont pas souvent déclarés par l employeur faute d assurance accident. Quant aux apprentis, les centres de formation par apprentissage souscrivent une assurance individuelle pour les apprentis. L assurance maladie est obligatoire pour tout le monde. Un autre problème est le secteur informel. Pour assurer la sécurité au travail dans les entreprises de ce secteur, on peut renforcer le contrôle et la réglementation et pénaliser les entreprises qui transgressent la loi surtout dans les activités jugées nuisibles et dangereuses, mais c est très difficile et cela dépend de l entrepreneur. Beaucoup d entrepreneurs ne peuvent pas estimer l avantage à long terme (comme la santé et la motivation des employés) et ne considèrent que les coûts. Les avantages et désavantages dans le domaine de la sécurité et la santé au travail au Maroc: Les avantages: machinerie moderne (partiel) les dispositifs de sécurité au travail sont prêts (partiel) motivation des acteurs à maîtriser les dispositifs de la sécurité Les inconvénients: Peu d assurances accident Manque de connaissances sur la sécurité au travail Manque de sensibilisation sur le sujet Pas suffisamment de responsables nommés dans les entreprises et les institutions publiques 8

9 Les défis : offrir des informations aux entreprises (catalogues, instructions) nomination d une personne responsable dans chaque entreprise trouver des solutions pas chères, pragmatiques et réalisables (lunettes à 1,50 ) garantir une connaissance de base (premier secours, utilisation d un extincteur) Intégrer la sécurité au travail dans la formation professionnelle Les apprentis sont les artisans du futur! 6. Conclusion Le but de la sécurité au travail est l amélioration continue de l état actuel du niveau de prévention des accidents au travail et des maladies professionnelles. L étude présente l état actuel de la sécurité au travail en octobre 2010 à Fès, au Maroc : 1. Le Maroc a incorporé les conventions internationales dans la législation nationale, mais le problème est la mise en œuvre au niveau des entreprises. 2. Pour le moment, l entrepreneur n a pas d obligation légale de s occuper de la sécurité au travail pour garantir un risque minimum à ses employés. En conséquence, il n y a pas de possibilité d imposer à l entrepreneur les mesures de la prévention des accidents dans l entreprise. 3. L assurance accidents obligatoire pour les employés n existe pas en réalité. On a des normes depuis 2002 pour toutes les professions, mais actuellement les normes ne sont pas respectées. Pour améliorer la situation, on a besoin de la coopération de tous les acteurs: 1. Le Gouvernement/la législation : Définir précisément les responsabilités (en particulier des entrepreneurs) en ce qui concerne la sécurité au travail Assurer l assurance accident obligatoire pour les employés 2. les entreprises : évaluation des risques et des dangers dans l entreprise utiliser la méthode TOP (technique, organisationnel, personnel) pour éliminer/réduire les risques 3. En plus de l application des normes de la prévention des accidents, la sensibilisation de tous les acteurs est très importante. 9

Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente

Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente 1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles

Plus en détail

DE MÉTIERS ET DE L ARTISANAT DE LA HAUTE-MARNE 9, - CS 12053-52902 CHAUMONT CEDEX

DE MÉTIERS ET DE L ARTISANAT DE LA HAUTE-MARNE 9, - CS 12053-52902 CHAUMONT CEDEX L apprentissage est une forme d éducation alternée. Il a pour but de donner à des jeunes travailleurs ayant satisfait à l obligation scolaire une formation générale, théorique et pratique, en vue de l

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Le mot des Présidents Le décret du 5 novembre 2001 impose une nouvelle obligation aux entreprises : formaliser les risques de l entreprise sur un document unique.

Plus en détail

CONTRAT D APPRENTISSAGE LIVRET APPRENTI

CONTRAT D APPRENTISSAGE LIVRET APPRENTI CONTRAT D APPRENTISSAGE LIVRET APPRENTI D.E.F.A Section Apprentissage : 03.60.127.131 03.60.127.129 apprentissage@cma80.fr Chambre de Métiers et de l Artisanat de la Somme Cité des Métiers et de l Artisanat

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Quelles sont les conditions de travail de l apprenti?

Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? L apprenti est un salarié à part entière. À ce titre, les lois, les règlements et la convention collective de la branche professionnelle ou de l entreprise

Plus en détail

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés. Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

L'extension de la sécurité sociale aux populations non couvertes

L'extension de la sécurité sociale aux populations non couvertes Association internationale de la sécurité sociale Colloque des directeurs d'institutions de sécurité sociale des pays francophones d'afrique Limbé, Cameroun, 28-30 janvier 2004 L'extension de la sécurité

Plus en détail

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité

Plus en détail

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE : Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION

PROGRAMME DE FORMATION Innovation - Prévention conseil - accompagnement - formation Innovation-Prévention 19 rue Paul Séramy 77300 Fontainebleau N SIRET : 48155965600030 Tel : 09.88.99.99.59 www.innoprev.com Contact Direct avec

Plus en détail

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés

Plus en détail

10.B. Les obligations légales et réglementaires. 1. Gestion des documents de l entreprise. A. Les affichages obligatoires

10.B. Les obligations légales et réglementaires. 1. Gestion des documents de l entreprise. A. Les affichages obligatoires Les obligations légales et réglementaires 1. Gestion des documents de l entreprise A. Les affichages obligatoires L affichage est un élément essentiel de la communication dans l entreprise et cela peut

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois

Plus en détail

Fiche 1. Les appuis dispensés par votre Chambre de Métiers et de l Artisanat. Votre Chambre de Métiers et de l Artisanat a pour mission de

Fiche 1. Les appuis dispensés par votre Chambre de Métiers et de l Artisanat. Votre Chambre de Métiers et de l Artisanat a pour mission de Les appuis dispensés par votre Chambre de Métiers et de l Artisanat Votre Chambre de Métiers et de l Artisanat a pour mission de Fiche 1 Simplifier les formalités incombant aux entreprises. Faciliter les

Plus en détail

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation PAR THEMATIQUE N THEME Présentation A B C D Apprentissage/alternance Formation continue Développement/ investissement Hygiène, sécurité, accessibilité Les conseillères du Service Apprentissage ont pour

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des

Plus en détail

Pays Avant la réforme Après la réforme Bénin Travaux exécutés dans les locaux de l entrepreneur : Celui-ci est, en cas d insolvabilité du tâcheron, responsable de ses obligations à l égard des travailleurs.

Plus en détail

AirPlus Assurances. Comment s y retrouver dans la nébuleuse des assurances et assistances voyages. AIRPLUS. WHAT TRAVEL PAYMENT IS ALL ABOUT.

AirPlus Assurances. Comment s y retrouver dans la nébuleuse des assurances et assistances voyages. AIRPLUS. WHAT TRAVEL PAYMENT IS ALL ABOUT. AirPlus Assurances. Comment s y retrouver dans la nébuleuse des assurances et assistances voyages. AIRPLUS. WHAT TRAVEL PAYMENT IS ALL ABOUT. Contexte L attentat de Karachi survenu en 2002 a eu des conséquences

Plus en détail

Question Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque?

Question Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque? Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque? Votre entrepreneur devrait avoir, ou peut facilement obtenir, un document de Travail sécuritaire NB qui indique qu

Plus en détail

Les sept piliers de la sécurité sociale

Les sept piliers de la sécurité sociale Les sept piliers de la sécurité sociale 1) L Office National des Pensions (ONP) Très brièvement, il y a en Belgique un régime de pension légale, mais aussi des pensions complémentaires. On parle souvent

Plus en détail

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION DROIT

Plus en détail

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A. MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes

Plus en détail

8 règles d or pour mettre en place le CHSCT et optimiser son fonctionnement

8 règles d or pour mettre en place le CHSCT et optimiser son fonctionnement 8 règles d or pour mettre en place le CHSCT et optimiser son fonctionnement Livre blanc Octobre 2009 www.editions-tissot.fr - 1 - Définition du CHSCT Le CHSCT (Comité d hygiène, de sécurité et des conditions

Plus en détail

ETUDE LE CONTRAT D APPRENTISSAGE

ETUDE LE CONTRAT D APPRENTISSAGE Etude ETUDE LE CONTRAT D APPRENTISSAGE Le contrat d apprentissage offre l opportunité à l entreprise de transmettre ses savoirs et former les générations futures tout en bénéficiant d un encadrement législatif

Plus en détail

La CSST Qui sommes nous? Charles Taschereau, conseiller DPI Olivier Lesquir, inspecteur

La CSST Qui sommes nous? Charles Taschereau, conseiller DPI Olivier Lesquir, inspecteur La CSST Qui sommes nous? Par : Charles Taschereau, conseiller DPI Olivier Lesquir, inspecteur Blainville 3 avril 2008 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) Une compagnie d assurance

Plus en détail

Prothésie Ongulaire ou Stylisme Ongulaire L Etat des lieux Janvier 2014!

Prothésie Ongulaire ou Stylisme Ongulaire L Etat des lieux Janvier 2014! Régine Ferrère Présidente de la CNEP Jean-Pierre Blain Président de l UPCOM Prothésie Ongulaire ou Stylisme Ongulaire L Etat des lieux Janvier 2014! Un peu d histoire : Le 4 septembre 2013, dans le cadre

Plus en détail

CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE

CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE Entre : L Université Jean Moulin Lyon 3, Etablissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, Représentée par son Président,Monsieur Jacques

Plus en détail

22 2011 (CC-20111-110)

22 2011 (CC-20111-110) Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit

Plus en détail

RÈGLEMENTS, POLITIQUES ET PROCÉDURES

RÈGLEMENTS, POLITIQUES ET PROCÉDURES CÉGEP DE SEPT-ÎLES POLITIQUE INSTITUTIONNELLE DE VALORISATION DE LA LANGUE FRANÇAISE Service émetteur : Direction des études Instance décisionnelle : Conseil d administration Date d approbation : Le 20

Plus en détail

Mis à jour le 15 juin 2015 AGENDA 2015

Mis à jour le 15 juin 2015 AGENDA 2015 AGENDA 2015 Activités de la plateforme d accueil pour l intégration des étrangers Cycle de formation à destination des migrants d octobre 2014 à juin 2015 : «Bienvenue à Tournai» Pour informer et accompagner

Plus en détail

Règlementation sportive

Règlementation sportive Règlementation sportive Le code du sport crée en 2006 regroupe des textes législatifs (lois) et règlementaires (décrets et arrêtés) qui encadrent la pratique sportive. Etablissement d activités physiques

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article

Plus en détail

TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort

TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort Année 2014-2015 Contact Service Éducation : 04 90 59 11 05 A. DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 1 - Objet du règlement A compter

Plus en détail

Évaluation et recommandations

Évaluation et recommandations ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne

Plus en détail

Les appuis dispensés par votre Chambre de Métiers et de l Artisanat

Les appuis dispensés par votre Chambre de Métiers et de l Artisanat Les appuis dispensés par votre Chambre de Métiers et de l Artisanat Votre Chambre de Métiers et de l Artisanat a pour mission de : 2 - La recherche de jeunes et le soutien au maître d apprentissage : Fiche

Plus en détail

L Environnement Social de l Artisan. En partenariat avec

L Environnement Social de l Artisan. En partenariat avec L Environnement Social de l Artisan En partenariat avec SOMMAIRE Présentation de l APTI Les besoins d un jeune créateur La loi Madelin La Santé La Prévoyance La Retraite L environnement social de l artisan

Plus en détail

COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE

COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE SOYEZ PRO ACTIF! Anticipez et transformez cette contrainte en opportunité SALON DES ENTREPRENEURS 2015 5 février 2015 LA GENERALISATION DE LA COMPLEMENTAIRE SANTE DANS

Plus en détail

Formation Logistique Transport

Formation Logistique Transport CONSEIL ET FORMATION POUR LES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES Formation Logistique Transport Qualité Démarches de progrès Développement des compétences Sécurité des personnes Catalogue de Formations 2015

Plus en détail

Nouveau jeune collaborateur

Nouveau jeune collaborateur Insérez le logo de l'entreprise LIVRET D'ACCUEIL Nouveau jeune collaborateur Livret d accueil de : Prénom NOM ACCUEIL ACCOMPAGNEMENT Nous sommes heureux de vous accueillir au sein de notre entreprise.

Plus en détail

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage 80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme

Plus en détail

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 U3 Corrigé Page 1 Sujet n 1 1. Indiquez les éléments pris en compte pour déterminer une cotisation d assurance. La prime dépend de : (3x0,5 pt = 1,5) - La fréquence

Plus en détail

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À L AUTO-ENTREPRENEUR, L EIRL ET LES ARTISANS Salon des entrepreneurs de PARIS 5 février 2015 MESURES RELATIVES À L AUTO- ENTREPRENEUR Pour rappel L auto-entrepreneur est

Plus en détail

Les activités du Ministère

Les activités du Ministère MINISTERRE DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DE LA PROMOTION DES PME ---------------- Le Ministre Le Cabinet ---------------- REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE ---------------- Union-Discipline-Travail Les activités

Plus en détail

ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK. Politique sur l éducation professionnelle continue

ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK. Politique sur l éducation professionnelle continue ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK Politique sur l éducation professionnelle continue Approuvée à la réunion annuelle juin 1997/modification approuvée par le Conseil le 1 mai 1999/des

Plus en détail

TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité

TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité Objectif de la réunion Connaître et comprendre la nouvelle réglementation Intérêt

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

A LA UNE. L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois

A LA UNE. L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois NEWSLETTER SOCIALE M A I 2 0 1 5 A LA UNE L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois La loi du 2 août 2005 a porté la durée des mandats

Plus en détail

Info «travailleur indépendant»

Info «travailleur indépendant» Info «travailleur indépendant» Quels sont les avantages et les inconvénients pour une structure (client) de faire appel à un travailleur indépendant? L équipe permanente est forcément limitée en nombre

Plus en détail

Les textes en matière de santé et de sécurité au travail

Les textes en matière de santé et de sécurité au travail Guide pratique 2 / 6 MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, MINISTÈRE MINISTÈRE DU BUDGET, DE DU LA BUDGET, FONCTION DES COMPTES DES COMPTES PUBLIQUE PUBLICS, PUBLICS, ET DE LA RÉFORME DE L ETAT DE

Plus en détail

LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION

LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION DEPUIS 10 ANS LES ACCIDENTS DE LA CIRCULATION LIÉS AU TRAVAIL REPRÉSENTENT : 54 à 59% des accidents mortels du travail 23 à 25% des accidents avec incapacité permanente

Plus en détail

CATALOGUE FORMATIONS Santé et Sécurité du Travail

CATALOGUE FORMATIONS Santé et Sécurité du Travail Prévention et Sécurité Incendie Jean-Baptiste PLAISANCE email : azur.secourisme@yahoo.fr AUDIT ASSISTANCE CONSEILS et FORMATIONS Tél : 06 99 97 18 18 www.formations-secourisme.fr Des formations interactives

Plus en détail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail Guide pratique 6 / 6 MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, MINISTÈRE MINISTÈRE DU BUDGET, DE DU LA BUDGET, FONCTION DES COMPTES DES COMPTES PUBLIQUE PUBLICS, PUBLICS, ET DE LA RÉFORME DE L ETAT DE

Plus en détail

Je soussigné(e) Mme, Mlle, M.., reconnaît avoir pris connaissance du règlement ci-dessus et en accepte les conditions. Fait le..

Je soussigné(e) Mme, Mlle, M.., reconnaît avoir pris connaissance du règlement ci-dessus et en accepte les conditions. Fait le.. Fiche d inscription Prévention et Secours Civiques de Niveau 1 (PSC1) DELEGATION LOCALE DE SURESNES Madame Mademoiselle Monsieur NOM d usage : NOM de naissance : Prénom : Date de naissance : Lieu de naissance

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

Que couvre la protection sociale obligatoire?

Que couvre la protection sociale obligatoire? Que désigne le terme «Prévoyance»? Que couvre la protection sociale obligatoire? A savoir Les assurances de personnes couvrant les risques : De maladie et d accidents corporels ; De maternité ; D incapacité

Plus en détail

Siège national. L'UNSA et internet. Les délégués du personnel. UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99

Siège national. L'UNSA et internet. Les délégués du personnel. UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99 Siège national UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99 L'UNSA et internet Le site web www.unsa.org Le courriel unsa@unsa.org page 2 les délégués du personnel

Plus en détail

ENTREPRENEURS, CHOISISSEZ LE STATUT JURIDIQUE LE PLUS ADAPTÉ A VOTRE PROJET

ENTREPRENEURS, CHOISISSEZ LE STATUT JURIDIQUE LE PLUS ADAPTÉ A VOTRE PROJET ENTREPRENEURS, CHOISISSEZ LE STATUT JURIDIQUE LE PLUS ADAPTÉ A VOTRE PROJET Cécile MOREIRA, Avocat Frédéric GIOVANNINI, Gan Assurances Denis BARBAROSSA, Expert Comptable Le statut juridique conditionne

Plus en détail

L EVALUATION PROFESSIONNELLE

L EVALUATION PROFESSIONNELLE INFODROIT- 22 mars 2011 L EVALUATION PROFESSIONNELLE Dossier préparé et présenté par Lamiel TURLOT, juriste à l UD CFDT Paris SOMMAIRE L évaluation professionnelle, une obligation pour l employeur?...3

Plus en détail

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet

Plus en détail

Note de synthèse 2012

Note de synthèse 2012 ARTISANAT DU BTP - EDITION N 2 NOVEMBRE 2014 Note de synthèse 2012 DANS CE NUMERO 2 ème publication de l Observatoire des formations à la prévention, cette notre présente les principaux chiffres clés de

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

L A MAÎTRISE DU RISQUE ROUTIER EN ENTREPRISE. Édito

L A MAÎTRISE DU RISQUE ROUTIER EN ENTREPRISE. Édito Spécial Mars 2012 L A MAÎTRISE DU RISQUE ROUTIER EN ENTREPRISE Sommaire Page 1 Edito Le sens de l implication de PSRE pour que les milieux professionnels bannissent l usage du téléphone au volant. Pages

Plus en détail

Restauration d entreprise

Restauration d entreprise A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code

Plus en détail

Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission

Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE Les clés pour réussir votre mission 2 L APPRENTISSAGE, UN PARCOURS «GAGNANT - GAGNANT» Côté entreprise : C est

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE PLOUGUIEL

REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE PLOUGUIEL REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE PLOUGUIEL PREAMBULE La commune de Plouguiel a mis en place un service de restauration scolaire en 1976. Ce service fonctionne pour l'école publique

Plus en détail

LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX

LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX Par Michel LEDOUX Avocat Associé CABINET MICHEL LEDOUX ET ASSOCIES 10 RUE PORTALIS 75008 PARIS Tél : 01.44.90.98.98

Plus en détail

Chapitre 2. Le contrat et les concepts de base de en assurance

Chapitre 2. Le contrat et les concepts de base de en assurance Chapitre 2 Le contrat et les concepts de base de en assurance 2.1 Les aspects économiques et social de l assurance L assurance est une sécurité pour la société parce qu elle permet au gens de protéger

Plus en détail

Le contrat d apprentissage

Le contrat d apprentissage Mai 2009 contrats et mesures Le contrat d apprentissage Vous recrutez un jeune tout en bénéficiant d avantages financiers. Vous le préparez à un métier de votre entreprise et à une qualification professionnelle

Plus en détail

Normes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives

Normes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives Normes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives Ministère de la Sécurité publique Application des lois sur les véhicules hors route Mars 2009 A. Normes de conception et d entretien des

Plus en détail

CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE Licence Professionnelle «Assistant de Gestion Administrative»

CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE Licence Professionnelle «Assistant de Gestion Administrative» CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE Licence Professionnelle «Assistant de Gestion Administrative» Entre : L Université Jean Moulin Lyon 3, Etablissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel,

Plus en détail

Pour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.

Pour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire. Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation

Plus en détail

CRÉER UNE ENTREPRISE

CRÉER UNE ENTREPRISE CRÉER UNE ENTREPRISE QUELLES SONT LES ACTIVITES QUI RELEVENT DE LA CHAMBRE DE MÉTIERS ET DE L ARTISANAT? Les professions dans lesquelles sont exercées les activités suivantes font l objet d une inscription

Plus en détail

L ENTREPRENEUR ET LA SECURITE SOCIALE

L ENTREPRENEUR ET LA SECURITE SOCIALE L ENTREPRENEUR ET LA SECURITE SOCIALE Informations générales Auteur: Rose-Marie QUINTANA AVOCAT Categorie : Fiscalité Système de sécurité sociale Date de réalisation: 30 juin 2010 Introduction Le système

Plus en détail

Fiche conseil DIRIGEANT : Quel statut social choisir? Nos fiches conseils ont pour objectif de vous aider à mieux appréhender les notions :

Fiche conseil DIRIGEANT : Quel statut social choisir? Nos fiches conseils ont pour objectif de vous aider à mieux appréhender les notions : DIRIGEANT : Quel statut social choisir? Fiche conseil Nos fiches conseils ont pour objectif de vous aider à mieux appréhender les notions : Certifié ISO 9001 Comptables Fiscales Juridiques, Sociales, de

Plus en détail

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface

Plus en détail

Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin

Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT

RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT L agrément de maître de stage repose à la fois sur des critères liés à l officine d une part et à son titulaire d autre

Plus en détail

LE SYSTEME DE COUVERTURE SOCIALE EN COTE D IVOIRE

LE SYSTEME DE COUVERTURE SOCIALE EN COTE D IVOIRE MINISTÈRE DE LA FAMILLE, DE LA FEMME ET DES AFFAIRES SOCIALES RÉPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION -DISCIPLINE -TRAVAIL DIRECTION DE LA SECURITE SOCIALE ET DE LA MUTUALITE LE SYSTEME DE COUVERTURE SOCIALE

Plus en détail

Loi n 7-2010 du 22 juin 2010 régissant l artisanat en République du Congo

Loi n 7-2010 du 22 juin 2010 régissant l artisanat en République du Congo Loi n 7-2010 du 22 juin 2010 régissant l artisanat en République du Congo L Assemblée nationale et le Sénat ont délibéré et adopté; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Le Document Unique : une obligation légale des entreprises

Le Document Unique : une obligation légale des entreprises Avis d expert Marc Koffi, Responsable de SIGMA-RH France Le Document Unique : une obligation légale des entreprises En France, le Document Unique (ou Document Unique de Sécurité - DU ou DUS), a été introduit

Plus en détail

Les questions juridiques importantes quand on lance une start-up

Les questions juridiques importantes quand on lance une start-up Swiss Tech Talks - 26 février 2015 - Sion Les questions juridiques importantes quand on lance une start-up Avocat-stagiaire à Sion Juriste spécialisé en droit des technologies de l information Secrétaire

Plus en détail

L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le régime. Le point sur. Auto-entrepreneur

L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le régime. Le point sur. Auto-entrepreneur Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte», par un

Plus en détail

La prévention des risques hors du cadre professionnel habituel

La prévention des risques hors du cadre professionnel habituel La prévention des risques hors du cadre professionnel habituel Sommaire 1- La responsabilité du chef d établissement à l égard de l organisation des missions en France ou à l étranger 2- La responsabilité

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

CONTRAT D APPRENTISSAGE

CONTRAT D APPRENTISSAGE CONTRAT D APPRENTISSAGE LIVRET EMPLOYEUR D.E.F.A Section Apprentissage : 03.60.127.131 03.60.127.129 apprentissage@cma80.fr Chambre de Métiers et de l Artisanat de la Somme Cité des Métiers et de l Artisanat

Plus en détail

Responsabilité Civile et Pénale du chef d entreprise. Association Sécurité Routière en Entreprises de Maine et Loire.

Responsabilité Civile et Pénale du chef d entreprise. Association Sécurité Routière en Entreprises de Maine et Loire. Association Sécurité Routière en Entreprises de Maine et Loire Sensibilisation Responsabilité Civile et Pénale du chef d entreprise ou du délégataire 1N 2N Sommaire 1- La réglementation 1-1- La responsabilité

Plus en détail

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 INSTRUCTION GENERALE relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 SOMMAIRE 1 - La réglementation 3 2 - Principes généraux 2.1 Principes fondamentaux en matière d hygiène

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES

REGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES REGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES article 1 Dispositions générales Le présent règlement est établi conformément aux dispositions des articles L 6352-3 et L. 6352-4 et R 6352-1 à R 6352-15 du

Plus en détail

Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication

Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Alors que les concertations sur la réforme des retraites sont actuellement en cours, l Assurance retraite, premier

Plus en détail