COMPTE-RENDU DES ATELIERS 1 & 2 AVEC LES CONCERTATION AUTOUR DU PROJET DE REINTRODUCTION DU PLAISANCIERS LAMANTIN DANS LES EAUX DE GUADELOUPE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "COMPTE-RENDU DES ATELIERS 1 & 2 AVEC LES CONCERTATION AUTOUR DU PROJET DE REINTRODUCTION DU PLAISANCIERS LAMANTIN DANS LES EAUX DE GUADELOUPE"

Transcription

1 PARC NATIONAL DE GUADELOUPE Montéran BP Saint-Claude CONCERTATION AUTOUR DU PROJET DE REINTRODUCTION DU LAMANTIN DANS LES EAUX DE GUADELOUPE Rapport n P2AV-R0151/13/CG du 15 avril 2013 (V1) COMPTE-RENDU DES ATELIERS 1 & 2 AVEC LES PLAISANCIERS

2 RÉUNION PLAISANCE AU MARLIN CLUB 20/02 Réunion ouverte, environ 60 participants. Les questions/préoccupations soulevées dans la réunion sont les suivantes : - les loueurs ont besoin d être informés sur le projet. Des ateliers de concertation pour les loueurs seraient souhaités. - le projet n est pas connu par la majorité des participants, seuls 10 ont déjà participés à une réunion d information et d échanges. Ce manque d information est reproché au Parc National. Certains plaisanciers soulignent que la capitainerie peut leur transmettre des informations et serait un bon canal de communication. - les questionnements réguliers sur la biologie du lamantin reviennent : que mange-t-il? Comment l herbier va-t-il supporter l arrivée de l animal? Aussi sur le projet : d où viennent les lamantins? Combien sont-ils? Où seront-ils réintroduits? - le projet est déjà ficelé sans les usagers du Grand Cul de Sac. L assistance perçoit le projet comme une décision unilatérale qui ne prend pas en compte leur avis. - il est régulièrement souligné par l auditoire que le Parc national va interdire la navigation aux plaisanciers dans certaines zones et/ou réduire la vitesse, leur rendant l accès aux ilets du GCSM plus difficile. Les participants veulent donc savoir quel est l impact de la réintroduction du lamantin sur leurs loisirs. - la responsabilité en cas d accident avec un lamantin est posée : le plaisancier doit-il payer? - afin de limiter les risques de collision avec les lamantins et être sûr d avoir un accès aux ilets les plaisanciers sollicitent le Parc pour mettre en place des chenaux de navigation. La Direction de la Mer précise que le balisage est de leur compétence, non celle du Parc. Les pêcheurs à la mouche, peu nombreux, ne se retrouvent pas dans la vision décrite par les plaisanciers prenant la parole. Ils sont en demande d informations car ils pêchent dans des zones qui pourront vraisemblablement attirer le lamantin (embouchures de rivière, zones d herbiers de faible profondeur). Malgré cette interaction possible ils ne sont pas défavorables au projet, et souhaitent plutôt trouver des solutions pour continuer leur passion sans être pénalisés et déranger l animal. Ils souhaitent donc discuter dans un climat plus apaisé avec le Parc. Une réunion de concertation pourrait être réalisée avec eux. Un participant note qu il serait aussi intéressant d informer les bateaux écoles, afin de pouvoir parler du lamantin lors de la formation des futurs plaisanciers. Les représentants du Parc national ont tenté d apporter des éléments de réponse à toutes ces questions et proposé des pistes de travail pour la suite de la concertation. Les personnes intéressées par la participation à des ateliers de travail sur le projet sont invitées à s inscrire et laisser leurs coordonnées. 2

3 Nom/Prénom structure/assoc iation Bernard Vonesch Marlin Club Activité nautique pratiquée mail téléphone présent 20/02 pêche à la mouche x présent 27/03 Agnes Guillen plaisanciers agnesguillen@hotmail.com x Reynald Pasquier président Marlin club pêche / plaisance reynald.p@pharmed.fr x x Didier Goldscheider plaisanciers didier.goldscheider@orange.fr x Jean Luc de Poyen plaisance jeanluc.depoyen@orange.fr x x Jean Longieras plaisancier jean.longieras@orange.fr x excusé Pascal Lanfroid pln.ligier@orange.fr x x Maurice Philis plaisancier x x Mathhieu Gentilhomme Winston Turney Frédéric Lacour Gwadafly guide de pêche à la mouche matthieu@gwadafly.com x x président Guadeloupe fishing club pêche au gros winston.turney@wanadoo.fr x excusé West Indies Marine plaisancier flacour@ats groupe.com x excusé Patrick Devichet plaisancier pdv971@gmail.com x Patrick Arnoux plaisancier patrick.arnoux587@orange.fr x Jean Pierre Constantini plaisancier x Auger C. plaisancier x Guy Thorin plaisancier guythorin@hotmail.com x Le Moal Christian location bateau loueur agnesguillen@hotmail.com x BLONDEL Florence Caraibes Nautisme SARL loueur caraibesnautisme@gmail.com x Hervé de Laroche Karuloc loueur x Laurent Coraux loueur coraux82@yahoo.fr x 3

4 PREMIER ATELIER DE CONCERTATION PLAISANCE 27/03 Présents Jean Luc de Poyen Reynald Pasquier Matthieu Gentilhomme Maurice Philis Guy Thorin Pascal Lanfroid Magnin Hervé Regis Gomès Lerebours Boris Iribaren Muriel Gully Charlotte Structure Plaisancier Président du Marlin Club Guide de pêche à la mouche Plaisancier, réparateur de bateaux Plaisancier Plaisancier PNG PNG PNG Caraïbes Environnement Caraïbes Environnement L atelier est introduit par une présentation du Parc national sur le projet lamantin. Les participants réagissent à de nombreuses reprises pour avoir plus d informations : - va-t-on construire un «hôpital» pour lamantin? Le Parc national précise qu en effet un centre de soin sera créé. - la qualité de l eau est-elle assez bonne? Le canal des Rotours semble pollué pour certains plaisanciers, le site de la Grande Rivière à Goyave leur parait bien adapté. Le Parc national précise que des analyses de qualité de l eau ainsi que des herbiers et sédiments associés ont été réalisées et que le milieu est favorable. - d où viendront les lamantins réintroduits? Le Parc national indique que le dialogue est engagé avec plusieurs pays notamment la Colombie et le Mexique. D autres pays pourraient être visés comme le Brésil, le Belize ou Cuba. La Guyane française possède aussi des lamantins qui pourraient venir compléter la population fondatrice de Guadeloupe. Les participants donnent aussi leur avis sur le projet, résumés dans le paragraphe suivant. Les craintes, mais aussi les avantages vu par les participants à l atelier sont formalisés par écrit, affichés et commentés, voir débattus. 4

5 Question de réflexion : Quelles sont vos craintes concernant le projet? Et les avantages? Les craintes concernant le projet sont de plusieurs ordres : - craintes concernant l animal : «Il y a trop peu de chance de survie à cause de la pollution et des accidents (surtout avec la navigation de nuit)» «La quantité d herbier est-elle suffisante?» Un plaisancier se soucie des impacts écologiques du lamantin sur le milieu, notamment sur le long terme. Le Parc National précise que études réalisées permettent de montrer qu il n y aura pas de préjudice au stock d herbiers. Que si c était le cas (surpopulation engendrant une pression sur le milieu) alors des mesures seraient prises. Afin de lever ces craintes des préconisations sont émises par les participants : - pourquoi ne pas élaborer une appli téléphone pour indiquer la zone de localisation des animaux (les participants nuancent toutefois en précisant que cela peut avoir des effets pervers comme générer des attroupements autours des animaux). La nécessité d informer sur de larges zones fréquentées par le lamantin est donc convenue. - craintes concernant la plaisance : «Interdiction de naviguer», «une vitesse dans le GCSM limitée», ces craintes portent donc sur toutes les règles qui pourraient être mises en place avec l arrivée du lamantin et qui priveraient de liberté les plaisanciers. Il est souligné que si le projet impacte cette activité, cela peut avoir un impact économique sur le secteur de la plaisance. Le Parc national répond qu à ce jour aucune règlementation supplémentaire que celle déjà existante n est envisagée concernant la navigation. Le jet ski est aussi vecteur de préoccupations : cette activité est-elle source de nuisances particulière pour les animaux? Est-elle plus dangereuse que les bateaux? Faire respecter la règlementation qui existe déjà semble le plus important concernant cette activité. 5

6 «Quels sont les risques en cas de collision avec le lamantin?» Le risque identifié est surtout juridique (le risque d endommagement de l embarcation semble faible). Le Parc national précise que des sanctions ne seront prises que si la destruction est volontaire. «Les administratifs du parc vont partir et laisser tomber la population et les lamantins» Les plaisanciers ont une vision long terme du projet. Les premières années avec quelques lamantins dans le lagon semble peu problématique, l augmentation de leur nombre fait craindre aux plaisanciers la nécessité de prendre des mesures restrictives pour la plaisance. Cette perception est liée au vécu des plaisanciers qui ont vu la fréquentation des milieux naturels être réglementée avec l arrivée du Parc national ou de la réserve naturelle de Petite Terre. La mise en réserve et la règlementation du nombre de mouillage sur cet îlot a été vécue comme une privation de droit des plaisanciers locaux, au bénéfice des prestataires de tourisme. Le Parc National précise qu en effet, on ne peut pas prédire que sera la situation dans 15 ou 20 ans et les besoins de règlementation qui pourraient aller avec une population grandissante. Les autres réponses émises concernent plus un jugement des personnes présentes sur le projet, que des craintes : «Le projet coute trop cher, il y a d autres choses à faire avec cet argent». D autres participants répondent que cela n est pas grave, si des fonds existent dédiés à la biodiversité et au lamantin, autant les capter en Guadeloupe. «Le projet ne rapporte pas assez à la Guadeloupe, les guadeloupéens sont contres». Il est rappelé qu un sondage d opinion (IPSOS, juin 2012) montre qu à 80% la population est favorable au projet. Les usagers de la baie ne remettent pas en cause ce résultat mais pensent qu ils auraient du être consultés en priorité, ayant une vision bien différente du reste de la population qui fréquente peu le GCSM. «Le projet est déjà ficelé sans avoir consulté les usagers» Les personnes présentes font ainsi part de leur souhait d être mieux informés et écoutés. C est l objectif des réunions qui sont menées avec le Marlin club. Un dialogue dans la durée avec les plaisanciers est souhaité et peut se mettre en place. Les participants pointent ainsi du doigt la nécessité d avoir une communication ciblée sur le monde de la plaisance. L envoie d une newsletter est souhaité. Le Marlin club pourrait aussi retransmettre des informations aux adhérents. L assistance a tout de même relevé des avantages au projet : - le développement touristique. Il est noté que les touristes ont déjà connaissance du projet et posent des questions à ce sujet. Quelques échanges sont réalisés à propos du fait que les lamantins seront probablement difficiles à voir les premières années : cela ne risque-t-il pas de décevoir et faire retomber l attractivité du projet? Plusieurs participants en doutent et précisent que le lamantin peut être un emblème et qu on 6

7 peut faire de la communication à son sujet même si peu de personnes ont l occasion de l apercevoir. Une certaine prudence doit donc être de mise au niveau de la communication. Il est aussi noté que le projet doit bénéficier au maximum à la population locale : implication des pêcheurs, des prestataires du tourisme - Le projet est un levier pour la préservation du GCSM, aussi bien dans le sens de la gestion des milieux, la communication et sensibilisation environnementale que dans le fonctionnement biologique même de la zone (nouveau maillon dans la chaine alimentaire). Enfin ce projet pourrait être un moyen de justifier la mise en place d un balisage, utile surtout pour les loueurs. Ce point est sujet à débat parmi les participants, une réflexion sur les forces et faiblesses d un balisage est donc menée. 7

8 Question de réflexion : quelles sont les forces et faiblesses d un balisage Pour Cela va empêcher les usagers d aller dans les zones à lamantin. La concentration du trafic va probablement tenir éloigné le lamantin de ces couloirs (la zone de la Boucan semble notamment très fréquentée et peu éloignée d un site de pré lacher) Plus généralement, les arguments en faveur d'un balisage sont éloignés des préoccupations concernant le lamantin : Les plaisanciers payent déjà une taxe pour le balisage et aimeraient en voir une utilisation concrète L intégralité des participants s accordent à dire que c est un confort, pas une nécessité et que cela servirait surtout pour les touristes ou plaisanciers occasionnels louant des bateaux Le tracé avancé serait : Rivière Salée/Les ilets/sainte Rose Contre les routes de navigations sont bien connues les hauts fonds sont déjà marqués avec des piquets ce n est pas au Parc National qu il faut réclamer un balisage, cela n a rien à voir avec le lamantin Certains perçoivent le projet lamantin comme un moyen d appuyer une demande des plaisanciers pour un balisage de la baie. D autres pensent qu il ne faut pas essayer de profiter du projet pour récupérer des fonds pour du balisage non justifié par la présence du lamantin. Les participants s accordent finalement sur le fait que si une demande doit être soutenue il faut le faire devant la Direction de la Mer et non le Parc national. Le Parc national peut toutefois appuyer la demande, la mise en place de couloirs de navigation pouvant diminuer les dommages sur le milieu naturel, et le risque de collision pour le lamantin. Les participants s accordent sur le fait que sans aller jusqu à un balisage de couloirs de navigation remplacer les piquets marquant les hauts fonds par des bouées serait une amélioration de la sécurité de la navigation dans le GCSM. 8

9 Conclusion de l atelier Les participants concluent que la concertation au sein du monde de la plaisance est à améliorer (au sens large, pas uniquement pour le projet lamantin) et qu il faut profiter des instances où la parole est donnée à la société civile pour faire remonter leurs avis et doléances. Concernant le projet lamantin, une communication sur l avancée du projet est souhaitée. Un deuxième atelier de concertation ne semble pas nécessaire. Les préoccupations des plaisanciers ayant bien été entendues par le Parc national. 9

Conditions Générales de Vente Club Nautique de Rivery

Conditions Générales de Vente Club Nautique de Rivery Conditions Générales de Vente Club Nautique de Rivery Base Nautique de Rivery Association loi 1901 N SIRET 422 831 636 00010 Sommaire I. Public scolaire et centre de loisirs1 a) Conditions particulières

Plus en détail

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,

Plus en détail

8 juillet 2015. Débat Public Projet de parc éolien en mer. Dieppe - Le Tréport. Présentation du projet Criel-sur-Mer

8 juillet 2015. Débat Public Projet de parc éolien en mer. Dieppe - Le Tréport. Présentation du projet Criel-sur-Mer 8 juillet 2015 Débat Public Projet de parc éolien en mer Dieppe - Le Tréport Présentation du projet Criel-sur-Mer Présentation du projet 2 Le cadre et les objectifs du projet Participer à la transition

Plus en détail

Conditions générales de location à quai du bateau ORCA

Conditions générales de location à quai du bateau ORCA Conditions générales de location à quai du bateau ORCA Le PROPRIETAIRE dénommé Hubert MARTY loue au client identifié au formulaire de location, le bateau de plaisance identifié audit formulaire. Cette

Plus en détail

Les Français et la nature

Les Français et la nature Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie

Plus en détail

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE LOCATION MEDIACO YACHTS

CONDITIONS GENERALES DE LOCATION MEDIACO YACHTS CONDITIONS GENERALES DE LOCATION MEDIACO YACHTS ART. 1 : OBJET DU CONTRAT Le présent contrat a pour objet la mise à disposition d un bateau avec ou sans équipage. L identification du loueur, du locataire,

Plus en détail

COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS. Groupe de travail des transports par voie navigable. Genève.

COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS. Groupe de travail des transports par voie navigable. Genève. COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS Groupe de travail des transports par voie navigable Genève MENUES EMBARCATIONS UTILISÉES EXCLUSIVEMENT POUR LA NAVIGATION DE PLAISANCE

Plus en détail

Les Assises de la Mer et du Littoral en Méditerranée Contribution du réseau des CCI de PACA

Les Assises de la Mer et du Littoral en Méditerranée Contribution du réseau des CCI de PACA Les Assises de la Mer et du Littoral en Méditerranée Contribution du réseau des CCI de PACA Thème 1. Compétitivité portuaire, complémentarité des infrastructures et transport maritime Sur les ports de

Plus en détail

ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 AMENDEMENT

ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 AMENDEMENT ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 PLF POUR 2015 - (N 2234) Commission Gouvernement Adopté AMENDEMENT présenté par le Gouvernement ---------- ARTICLE ADDITIONNEL N o II-464 (2ème Rect) APRÈS L'ARTICLE

Plus en détail

Nous avons souhaité profiter de cette nouvelle année afin de réaliser une newsletter spéciale «Licence et assurance»

Nous avons souhaité profiter de cette nouvelle année afin de réaliser une newsletter spéciale «Licence et assurance» 1 sur 5 Cher(e)s ami(e)s, Nous avons souhaité profiter de cette nouvelle année afin de réaliser une newsletter spéciale «Licence et assurance» Un rappel en terme d assurance car trop souvent nos dirigeants

Plus en détail

L assurance des flottes automobiles

L assurance des flottes automobiles Dossier Flottes Automobiles Expert Retrouvez toutes les fiches pour mieux gérer votre flotte automobile L assurance des flottes automobiles Tout ce qu il faut savoir pour assurer une flotte automobile

Plus en détail

CONTRAT DE LOCATION. Le règlement intérieur est partie intégrante du contrat et vaut engagement contractuel.

CONTRAT DE LOCATION. Le règlement intérieur est partie intégrante du contrat et vaut engagement contractuel. CONTRAT DE LOCATION LA FOLIE Partant du constat double que l Espace de la plage laisse peu de place à l intimité et que la vision de la mer est permanente, le créateur de la FOLIE, Yann Falquerho, décide

Plus en détail

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014 LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET Restitution - 13 octobre 2014 ATTENTION Ne pas cumuler! LE DISPOSITIF D ÉTUDE Evaluer la contribution à l économie locale

Plus en détail

Voile à l école : développer le sens marin

Voile à l école : développer le sens marin Voile à l école : développer le sens marin Météo Activités possibles Sujets d étude Compétences visées Dans le centre nautique Pour et à l école Température Nuages Bulletin météo Différencier la température

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras

DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras SOMMAIRE UN PREMIER TEST 4 L UN DES TEMPS FORTS DES RENCONTRES CLIMAT 6 UN PROJET DE VILLE

Plus en détail

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre

Plus en détail

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45 Baromètre Afci ANDRH Inergie 2013 sur la Communication Managériale 4 ème édition «L implication des managers dans une communication de proximité avec leurs équipes» Octobre 2013 Contact Inergie Toute publication

Plus en détail

LA FONDATION: MISSION ET VISION

LA FONDATION: MISSION ET VISION Premier symposium régional sur la pêche artisanale en Méditerranée et en mer Noire Gestion durable de la pêche artisanale: Actions menées par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'environnement

Plus en détail

Comment mieux commercialiser son hôtel

Comment mieux commercialiser son hôtel Comment mieux commercialiser son hôtel NOTE DE SYNTHÈSE Intervenant : Bernard Dazet Adresse : Hôtels Actions 49, rue Servient 69003 Lyon Lieu : Chambre de Commerce et d Industrie du Var Agence de Hyères

Plus en détail

Assurance en cas de privation de jouissance

Assurance en cas de privation de jouissance Assurance en cas de privation de jouissance Garantie du régime Autopac de base Garantie facultative pour une protection supplémentaire Restez sur la route grâce à l assurance en cas de privation de jouissance

Plus en détail

FINANCER LA RÉNOVATION DE LA BERGERIE INSOLITE

FINANCER LA RÉNOVATION DE LA BERGERIE INSOLITE Sensibiliser, fédérer, agir pour un tourisme responsable. FINANCER LA RÉNOVATION DE LA BERGERIE INSOLITE D E S P R E I T S Elisabeth et Frédéric Millet envisagent la restauration d une bergerie qu ils

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE :

METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : UNE RÉELLE OPPORTUNITÉ POUR VOTRE ENTREPRISE! Salon des Entrepreneurs Mercredi 4 février 2015 Intervenants Frédéric CURIER o Président de Bio Crèche Emilie DAMLOUP o

Plus en détail

Les pistes civiles, communautaires et internationales pour la réparation des dommages écologiques consécutifs à une marée noire

Les pistes civiles, communautaires et internationales pour la réparation des dommages écologiques consécutifs à une marée noire Les pistes civiles, communautaires et internationales pour la réparation des dommages écologiques consécutifs à une marée noire Elisabeth TERZIC CDES STRASBOURG 03 décembre 2008 L exclusivité de la Convention

Plus en détail

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques Journée d information du 5 novembre 2012 Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine économiques Gabrielle LABESCAT Principales tendances du tourisme urbain impactant la mobilité

Plus en détail

Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise

Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise Artisans, Professionnels, PME, TPE, Collectivités vous êtes concernés! Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise Fédération française des sociétés dʼassurances Dans le cadre de la gestion

Plus en détail

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE Catarina Pascoal Equipe M Himali Patabendi 2013-2014 Sandrine Tan TABLE DES MATIERES I - Quimbaya Tours

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

Le journal du débat public

Le journal du débat public N 3 / MARS 2012 Le journal du débat public Projet de nouvelle ligne ferroviaire PARIS-NORMANDIE Synthèse du compte-rendu Un débat riche et animé L e débat public sur le projet de ligne nouvelle Paris -

Plus en détail

Réglementation. Organisation de la plongée

Réglementation. Organisation de la plongée Réglementation Organisation de la plongée Préparation du Niveau 3 Dominique STEINMETZ Janvier 2014 Des prérogatives, des droits, des obligations En tant que niveau 3 vous aurez de nouvelles prérogatives

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION

Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION PRÉSENTATION Pourquoi la taxe de séjour sur tout le territoire du Val de l Ailette? La Communauté de Communes du Val de

Plus en détail

En avril 2006, un citoyen produit sa déclaration de revenus 2005. En septembre de la même année, il constate une erreur dans sa déclaration initiale et produit une déclaration amendée à laquelle il joint

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1

TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1 TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1 Temps de préparation : 1 minute Intervention par couple : 4-5 minutes CANDIDAT A CADEAU D ANNIVERSAIRE Votre collègue et vous allez acheter un CADEAU D ANNIVERSAIRE pour

Plus en détail

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

LE WEB-WEB 2 POUR L ADT DE LA DRÔME

LE WEB-WEB 2 POUR L ADT DE LA DRÔME LE WEB-WEB 2 POUR L ADT DE LA DRÔME 6éme Rencontre des professionnels du tourisme de la Drôme Lundi 08 décembre 2014 Plusieurs outils de communication : Web - ladrometourisme.com - mobile - versions étrangères

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE avril 2014. Un excellent point de départ pour un séjour d affaires ou touristique

FICHE TECHNIQUE avril 2014. Un excellent point de départ pour un séjour d affaires ou touristique FICHE TECHNIQUE avril 2014 Un excellent point de départ pour un séjour d affaires ou touristique positionnement Situé sur la côte nord ouest de l Ile Maurice, en bordure de mer, l hôtel Cocotiers est un

Plus en détail

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE : Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction

Plus en détail

SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ

SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ 1 OBJET DU SCHÉMA DIRECTEUR Une démarche partenariale du Département de la Seine-Saint-Denis, avec les collectivités

Plus en détail

PRÉSENTATION DE L OPERATION DE CREATION D UN SENTIER NUMERIQUE EN SITE CLASSE «CAP NATURE AU DRAMONT»

PRÉSENTATION DE L OPERATION DE CREATION D UN SENTIER NUMERIQUE EN SITE CLASSE «CAP NATURE AU DRAMONT» PRÉSENTATION DE L OPERATION DE CREATION D UN SENTIER NUMERIQUE EN SITE CLASSE «CAP NATURE AU DRAMONT» Sentier numérique multimédia avec QR Codes pour téléphones mobiles Contact : Christine PICQUART Syndicat

Plus en détail

Information clients selon la LCA (Passeport Charter CCS) Édition 01.2013

Information clients selon la LCA (Passeport Charter CCS) Édition 01.2013 Information clients selon la LCA (Passeport Charter CCS) Édition 01.2013 La présente information clients renseigne de manière claire et succincte sur l identité de l assureur ainsi que les principaux éléments

Plus en détail

EAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012

EAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour

Plus en détail

Rencontre CGN - GTE du 27.02.2013

Rencontre CGN - GTE du 27.02.2013 Rencontre CGN - GTE du 27.02.2013 V0.2 28/02/2013 1 Ordre du jour Introduction N2 décision arrêt des Navibus Contexte La décision et ses impacts L alternative soumise par le GTE Fréquentation des 3 lignes

Plus en détail

FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES

FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION

Plus en détail

Accident de la circulation : l indemnisation des dommages matériels. Centre de documentation et d information de l assurance

Accident de la circulation : l indemnisation des dommages matériels. Centre de documentation et d information de l assurance 3/03/06 17:07 Page 9 DEP 428 FEV. 2006 DEP 428-4 volets Accident de la circulation : l indemnisation des dommages matériels Centre de documentation et d information de l assurance FEV. 26, bd Haussmann

Plus en détail

RESPONSABILITÉ, SANCTION Introduction: Être responsable de ses actes ET ASSURANCE. Il existe deux types de responsabilité

RESPONSABILITÉ, SANCTION Introduction: Être responsable de ses actes ET ASSURANCE. Il existe deux types de responsabilité Introduction: Être responsable de ses actes Vivre en société exige l existence et le respect de règles visant à garantir la liberté des individus qui la composent, 2 mais aussi à les protéger sur les plans

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

Dossier de presse. Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état

Dossier de presse. Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état Dossier de presse Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état le mercredi 11 janvier 2015 à la Clusaz Contact : Service

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. MONTPELLIER 27 mai 2013

RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. MONTPELLIER 27 mai 2013 RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE MONTPELLIER 27 mai 2013 LE RISQUE SPORTIF Facteurs aggravants de risques Le lieu de l activité L âge des participants à l activité La nature de l activité Les

Plus en détail

L A MAÎTRISE DU RISQUE ROUTIER EN ENTREPRISE. Édito

L A MAÎTRISE DU RISQUE ROUTIER EN ENTREPRISE. Édito Spécial Mars 2012 L A MAÎTRISE DU RISQUE ROUTIER EN ENTREPRISE Sommaire Page 1 Edito Le sens de l implication de PSRE pour que les milieux professionnels bannissent l usage du téléphone au volant. Pages

Plus en détail

Assurance combinée ménage

Assurance combinée ménage Clients privés Assurance combinée ménage Plus de choix, de simplicité et d adaptabilité. Les modules assurance ménage, RC privée, bâtiment et objets de valeur, très appréciés, peuvent désormais être assortis

Plus en détail

NOTIONS DE RESPONSABILITE

NOTIONS DE RESPONSABILITE NOTIONS DE RESPONSABILITE De par ses prérogatives et ses fonctions, l encadrant a des responsabilités et des obligations. En cas de problème, il peut voir sa responsabilité engagée. QUAND? Souvent à l

Plus en détail

Responsabilité Civile Agricole

Responsabilité Civile Agricole Responsabilité Civile Agricole Une démarche fondée sur l écoute et le savoir-faire Un examen approfondi de vos besoins Pour bien protéger votre exploitation, nous devons bien la connaître. Notre démarche

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Test électoral 2014 de la RTBF

Test électoral 2014 de la RTBF ÉLECTIONS 2014 Test électoral 2014 de la RTBF L AVIS DES PRINCIPAUX PARTIS FRANCOPHONES EN MATIÈRE DE MOBILITÉ NIVEAU FÉDÉRAL Les voitures de société doivent être taxées plus fortement Il s agit avant

Plus en détail

RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. Montpellier - 13 novembre 2012

RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. Montpellier - 13 novembre 2012 RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE Montpellier - 13 novembre 2012 LE RISQUE SPORTIF Facteurs aggravants de risques La nature de l activité L âge des participants à l activité Le lieu de l activité

Plus en détail

Les droits syndicaux en matière d environnement

Les droits syndicaux en matière d environnement Les droits syndicaux en matière d environnement 1. Introduction Le CPPT dispose de compétences par rapport à l environnement. Le CE n a, quant à lui, pas de compétence propre par rapport à l environnement

Plus en détail

Contrat de location Studio-Orcieres Merlette. Mettre le prix de votre séjour ici

Contrat de location Studio-Orcieres Merlette. Mettre le prix de votre séjour ici le présent contrat de location de vacances est conclu entre les soussignés : Nom, adresse Haghnazar Clarisse, PHENICIA International ZA les Pradeaux 13850 GREASQUE Dénommé le bailleur d une part (le propriétaire)

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

Bâtir un système intégré

Bâtir un système intégré Florence GILLET-GOINARD Bâtir un système intégré Qualité/Sécurité/Environnement De la qualité au QSE Groupe Eyrolles, 2006 ISBN : 2-7081-3651-8 CHAPITRE 1 Un système intégré, quels enjeux? 1. QU EST-CE

Plus en détail

I) Le contexte HIGH HOSPITALITY ACADEMY. II) Le programme HIGH HOSPITALITY ACADEMY

I) Le contexte HIGH HOSPITALITY ACADEMY. II) Le programme HIGH HOSPITALITY ACADEMY I) Le contexte II) Le programme I) Le contexte II) Le contexte La destination France 1 ère destination mondiale en nombre de touristes avec 84,7 millions de visiteurs étrangers (en 2013). 1 touriste sur

Plus en détail

MOBILITÉ 2014. Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu

MOBILITÉ 2014. Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu MOBILITÉ 2014 Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu ASSURER LA MOBILITÉ DE DEMAIN L ACA ET LA FIA DEMANDENT AUX DÉCIDEURS EUROPÉENS : d assurer le développement cohérents de la «voiture connectée»,

Plus en détail

Notre approche pour les investissements en bourse

Notre approche pour les investissements en bourse TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*

Plus en détail

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de

Plus en détail

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales

Plus en détail

JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique

JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 3ème journée Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique Thème de la journée contributive : Transformation numérique

Plus en détail

Règlementation : Notion de Responsabilité

Règlementation : Notion de Responsabilité Question 1 09REG-RE-4-02(1) 1) En terme d obligation, qu est ce qu une obligation de moyen? Donnez un exemple en plongée. (2 points) Le moniteur doit mettre tout en œuvre pour que la plongée se déroule

Plus en détail

Quelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives?

Quelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives? Quelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives? La pratique sportive est génératrice de risque et d accident matériel ou corporel. C est pourquoi il existe de nombreuses

Plus en détail

Projet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures

Projet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures Projet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures Titre 1 : Bâtiments et urbanisme Chapitre 1 : amélioration de la performance énergétique des bâtiments

Plus en détail

SOMMAIRE. 1. Le contexte p. 3. 2. La démarche p. 3. 3. Les critères par activité p. 4 et 5 Pêche VTT Pédestre Équestre

SOMMAIRE. 1. Le contexte p. 3. 2. La démarche p. 3. 3. Les critères par activité p. 4 et 5 Pêche VTT Pédestre Équestre DOSSIER DE PRÉSENTATION je suis l Yonne ascendant marque Étap Loisirs Istock, Getty Images J.Kélagopian Fédération de pêche de l Yonne J.Kélagopian P.Blondeau www.tourisme-yonne.com Pôle Ingénierie - Service

Plus en détail

Introduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1)

Introduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1) Vous êtes victime Introduction Vous avez été victime d une infraction (1). C est un événement traumatisant et vous vous posez sûrement de nombreuses questions : Quels sont mes droits? Que dois-je faire

Plus en détail

Notions de responsabilité. Commission Technique Régionale Est

Notions de responsabilité. Commission Technique Régionale Est Notions de responsabilité 1 Notions de responsabilité Responsabilité: l auteur d une faute a l obligation d assumer les conséquences de ses actes Quand une personne cause un dommage à autrui : obligation

Plus en détail

satisfaction client Relation client : satisfaction? fidélisation?

satisfaction client Relation client : satisfaction? fidélisation? Relation client : satisfaction? fidélisation? Un pilier fondamental de la GRC : la satisfaction client La gestion de la relation client Les missions de l entreprise Créer de la valeur pour les clients

Plus en détail

POUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC

POUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC POUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC Comme nous allons le voir, l une des dispositions-phare de la loi ALUR en faveur des usagers

Plus en détail

A1 Parler avec quelqu un Je peux dire qui je suis, où je suis né(e), où j habite et demander le même type d informations à quelqu un. Je peux dire ce que je fais, comment je vais et demander à quelqu un

Plus en détail

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion? Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers

Plus en détail

Comportement Web des touristes québécois

Comportement Web des touristes québécois Comportement Web des touristes québécois Faits saillants - Mai 2011 Sondage Ipsos Descarie Réseau de veille en tourisme En partenariat avec le ministère du Tourisme du Québec Le sondage concernant le comportement

Plus en détail

Investissements d avenir. Initiative PME - Biodiversité

Investissements d avenir. Initiative PME - Biodiversité Investissements d avenir Initiative PME - Biodiversité Calendrier de l Initiative L Initiative est ouverte le 9 juillet 2015. Les relevés des projets sont effectués : 1 re clôture 2 nde clôture 5 octobre

Plus en détail

AVEC J AI UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE

AVEC J AI UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE AVEC J AI UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE NOUVEAU À VILLEFRANCHE- SUR-SAÔNE! Les voitures qui changent la ville AVOIR UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE Citiz : un réseau de voitures en libre-service

Plus en détail

Thématiques Questions possibles berufsfeld/fach

Thématiques Questions possibles berufsfeld/fach LEARNING FOR THE PLANET Liste des sujets Vous cherchez une inspiration pour votre sujet Vous pouvez lire la liste ci-dessous et voir quel thème éveille votre intérêt. Examinez les questions correspondantes.

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

De nouvelles règles relatives aux contrats à exécution successive de service fourni à distance

De nouvelles règles relatives aux contrats à exécution successive de service fourni à distance De nouvelles règles relatives aux contrats à exécution successive de service fourni à distance Le 2 décembre 2009, l Assemblée nationale du Québec a adopté le projet de loi 60, intitulé Loi modifiant la

Plus en détail

Du diagnostic au Plan d Actions

Du diagnostic au Plan d Actions PDU DE LA COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DE ROYAN ATLANTIQUE (CARA) 2013-2022 Du diagnostic au Plan d Actions Réunions Publiques Automne 2012 1 Déroulé de la séance Rappel de la démarche (loi, diagnostic,

Plus en détail

Ce que la loi Economie Sociale et Solidaire va changer avec l obligation d informer tous les salariés deux mois avant une cession d entreprise

Ce que la loi Economie Sociale et Solidaire va changer avec l obligation d informer tous les salariés deux mois avant une cession d entreprise Ce que la loi Economie Sociale et Solidaire va changer avec l obligation d informer tous les salariés deux mois avant une cession d entreprise Pour vous permettre de mieux comprendre les enjeux de la loi

Plus en détail

PV de l assemblée communale du 28 mai 2014 à 20h00

PV de l assemblée communale du 28 mai 2014 à 20h00 Ménières, le 28 mai 2014 PV de l assemblée communale du 28 mai 2014 à 20h00 M. le Syndic Joël Robert souhaite la bienvenue et présente la table du Conseil, la table administrative et excuse Mme Pouget,

Plus en détail

Comité Drôme Ardèche de Badminton Compte-rendu formation Maïf 18 novembre 2014

Comité Drôme Ardèche de Badminton Compte-rendu formation Maïf 18 novembre 2014 Comité Drôme Ardèche de Badminton Compte-rendu formation Maïf 18 novembre 2014 Responsabilités et assurances dans le domaine du sport Présentation de la maïf La Maïf est le 1 er assurées. assureur des

Plus en détail

COMPTE-RENDU. Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV

COMPTE-RENDU. Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV COMPTE-RENDU Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV Mardi 20 janvier 2015 à 16h00 à Beaurepaire Ordre du jour de la réunion 1. Approbation du compte-rendu du Bureau de la CLE du 1 er décembre 2014 2. Préparation

Plus en détail

Le Social CRM comme levier de développement pour les entreprises

Le Social CRM comme levier de développement pour les entreprises Le Social CRM comme levier de développement pour les entreprises Cycle Innovation & Connaissance 57 petit déjeuner Jérôme SANZELLE, Allmyski 11 avril 8h30-10h SKEMA Animatrice : Valérie BLANCHOT COURTOIS

Plus en détail

Fiche d évaluation des actions conduites par les partenaires

Fiche d évaluation des actions conduites par les partenaires Fiche d évaluation des actions conduites par les partenaires Chaque partenaire relais d une agence de l eau est invité à compléter cette fiche d évaluation à l issue des manifestations (réunions, expositions,

Plus en détail

Garde côtière canadienne Direction générale des services maritimes. Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique

Garde côtière canadienne Direction générale des services maritimes. Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique Garde côtière canadienne Direction générale des services maritimes Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique Octobre 2008 Introduction La navigation électronique a été définie

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009 ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur

Plus en détail