Lésions ostéocondensantes et hyperostoses crâniennes: Itinéraire diagnostique
|
|
- Madeleine Labelle
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lésions ostéocondensantes et hyperostoses crâniennes: Itinéraire diagnostique en TEMP/TDM osseuse Huijun Ju 1,2 Frédéric Paycha 1 1 Service de Médecine Nucléaire Hôpital Lariboisière, Assistance Publique-Hôpitaux de Paris 2 Service de Médecine Nucléaire Hôpital Ruijin de Shanghai Université JiaoTong de Shanghai, Chine
2
3 Rappels embryologiques La voûte du crâne est le siège d une ossification fibreuse et membraneuse qui s oppose à la maturation par mécanisme de substitution enchondrale observée pour la base du crâne Les tumeurs d origine cartilagineuse (enchondrome, chondrosarcome )sont très rares à la voûte du crâne
4
5
6
7
8 Orbite osseuse Parois complexes: 6 os Région cible de pathologies ostéocondensantes fréquentes: Dysplasie fibreuse, méningiome, Paget, Hyperostose Frontale Interne, métastases Menace fonctionnelle: Nerf optique
9 Diagnostic des ostéocondensations et des hyperostoses crâniennes Liste non exhaustive! Atteintes focales Méningiomes Ostéomes Métastases ostéocondensantes Hématomes calcifiés Hyperostoses ou ostéocondensations d'origine infectieuse.. Atteintes focales ou diffuses Maladie de Paget Dysplasie fibreuse Atteintes diffuses Hyperostose frontale interne Hyperostose crânienne interne Hyperostose crânienne postdrainage Hyperostose crânienne postphénytoïne Acromégalie Anémies chroniques Myélofibrose Ostéose fluorée Hypoparathyroïdie Dysplasie frontométaphysaire Ostéopétrose ou maladie d'albers-schönberg ou maladie des os de marbre Dysplasie diaphysaire progressive ou maladie de Camurati-Engelmann Maladie de Van Buchem Dysplasie métaphysaire ou maladie de Pyle..
10 Diagnostic des ostéocondensations et des hyperostoses crâniennes The usual suspects Atteintes focales Méningiomes Ostéomes Métastases ostéocondensantes Hématomes calcifiés Hyperostoses ou ostéocondensations d'origine infectieuse.. Atteintes focales ou diffuses Maladie de Paget Dysplasie fibreuse Atteintes diffuses Hyperostose frontale interne Hyperostose crânienne interne Hyperostose crânienne postdrainage Hyperostose crânienne postphénytoïne Acromégalie Anémies chroniques Myélofibrose Ostéose fluorée Hypoparathyroïdie Dysplasie frontométaphysaire Ostéopétrose ou maladie d'albers-schönberg ou maladie des os de marbre Dysplasie diaphysaire progressive ou maladie de Camurati-Engelmann Maladie de Van Buchem Dysplasie métaphysaire ou maladie de Pyle..
11 Critères locaux d interprétation valides pour la SPECT et pour la TDM Localisation (région, os) a. Voûte: frontal, sphénoïde, sinus etc. b. Base Distribution: Symétrique/ hétérogène/ régulier Table interne et/ou table externe et/ou diploé Déformation a. Voussure (voûte crânienne) b. Dysmorphie (mandibule) Lésion focale/ lésion diffuse Quantification: a) amplitude de l hyperfixation b) amplitude de l hyperdensité
12 Critères extra-crâniens d interprétation valides pour la SPECT et pour la TDM Balayage corps entier systématique! Existe-t-il d autres anomalies de même configuration (pattern) sur le reste du squelette? Au moindre doute, compléter par une 2 ème SPECT/CT à champ de vue centré Recherche systématique de manifestations extra-osseuses (syndromes d associations morbides)
13 CAS 1 Madame P, 70ans Apparition de céphalées atypiques de topographie temporo-frontale en Octobre 2015
14
15
16 Appositions osseuses sur la table interne de l os frontal caractéristiques: Disposition radiaire et symétrique Bords mamelonnés
17 Hyperostose frontale interne N est pas une dysplasie osseuse génétique En règle asymptomatique ( maladie radiologique!) Majoritairement chez les femmes ménopausées Incidence élevée, atteignant jusqu à 5%. Epaississement supra centimétrique de la table interne sous la forme d appositions osseuses endo frontales mamelonnées avec une relative symétrie et une disposition radiaire. Extension généralement freinée en arrière par la branche ascendante de l artère méningée moyenne Atteinte possible de l os pariétal
18 Syndrome de Morgagni-Morel Hyperostose frontale de la table interne, essentiellement chez les femmes, avec obésité, hirsutisme, troubles menstruels, artériosclérose, hypertension artérielle et céphalées. Les troubles psychiques sont fréquents. L examen ophtalmologique peut montrer une cataracte et une compression du nerf optique dans son canal. L affection est autosomique dominante.
19 CAS 2 Monsieur C, 29ans Découverte TDM fortuite d une dysplasie fibreuse Bilan d extension et d évolutivité
20
21
22 scanner
23 Dysplasie fibreuse Affection osseuse bénigne congénitale mais non héréditaire. Remplacement de l os normal par du tissu fibreux Adulte jeune Elle se rencontre aussi bien chez les hommes que chez les femmes Plus de progression des lésions > 35 ans Mutation activatrice du gène GNAS codant la sous-protéine α de la protéine G des cellules cutanées, osseuses, et endocrines (spécificité: 100%, sensibilité: 70%) Tous les os peuvent être touchés. L atteinte peut être monostotique (70 à 80 % des cas) ou polyostotique Hyperfixation en scintigraphie osseuse aux bisphosphonates- Tc99m dans 85% des cas Une prise en charge surtout symptomatique: Traitement médical par bisphosphonates, correction chirurgicale des complications orthopédiques.
24 Répartition de l atteinte monostotique Fibrous dysplasia involving the base of the skull, Chong VFH, Khoo JBK, Fan YF. AJR 2002; 178:
25
26 DYSPLASIE FIBREUSE DU CRANE C est la localisation la plus fréquente des formes polyostotiques. Forme focalisées possible. Les os les plus souvent atteints sont le frontal, l ethmoïde et le sphénoïde.
27 DYSPLASIE FIBREUSE DU CRANE L aspect tomodensitométrique de la dysplasie fibreuse dépend du degré de maturation de la lésion. Trois formes ont été décrites au scanner : Une forme condensante : le signe sémiologique clé est la condensation en«verre dépoli», qui correspond à celle d un os immature. La densité en unité Hounsfiel (UH) est mesurée entre 250 et 500 UH, contre UH ou plus pour un os mature. Les formes condensantes prédominent à la base du crâne. Une forme mixte : des zones kystiques cohabitent avec des plages en verre dépoli. La densité en UH des plages kystiques est mesurée à UH. Elles prédominent sur la voute du crâne. Une forme kystique pure : plus rare, elle peut se rencontrer sur les os de la face.
28 Lésion soufflante, naissant dans la médullaire osseuse et responsable d un élargissement du diploé. Contrairement au méningiome en plaque, les tables restent visibles, même si elles peuvent être très amincies du fait de l érosion endostée induite par le tissu dysplasique. Franchissement des sutures. Pas de réaction périostée, pas de masse des parties molles. Le caractère multifocal des lésions est un argument supplémentaire bien que les méningiomes puissent être eux aussi multiples.
29 Dysplasie fibreuse extra-cranienne
30
31
32 CAS 3 Mme. R 70ans Douleur du crâne de siège fronto-orbitosinusien d apparition recente Scanner diagnostique réalisé en octobre 2015: imagerie évocatrice de dysplasie fibreuse intéressant l os frontal, l os sphénoïde, l ethmoïde, et possiblement l os temporal, du côté gauche. Bilan d extension et d évolutivité.
33
34
35 Notez les zones pseudo-kystiques au sein de la matrice ( )
36 La lésion est soufflante L aspect en «verre dépoli» du diploé ( ) est caractéristique du diagnostic. Les tables restent visibles, ( ).
37 Dysplasie fibreuse
38 CAS 4 Monsieur K, 18ans Depuis l enfance, douleur sus-orbitaire et formation d une excroissance sus-orbitaire droite. Augmentation progressive de taille au cours de la croissance. Contrôle des crises douloureuses par cures de Pamidronate depuis 2014.
39
40
41 Dysplasie fibreuse
42 Syndrome de Mac Cune-Albright Triade clinique comportant une dysplasie fibreuse des os (DFO), des taches cutanées «café au lait» et une puberté précoce (PP). La prévalence est estimée entre 1/ et 1/ Le SMA est dû à des mutations somatiques du gène GNAS, et, plus spécifiquement, à des mutations de la protéine régulatrice de l'ampc, la protéine Gs alpha. Le diagnostic du SMA est en général clinique. Le traitement dépend des tissus affectés et de l'étendue des lésions. Certaines interventions chirurgicales peuvent être indiquées dans le traitement des anomalies crânio-faciales et squelettiques associées à la DFO (troubles visuels progressifs, douleur sévère, défigurement prononcé) Des bisphosphonates sont prescrits dans le traitement de la DFO Traitement des endocrinopathies et des malignités liées au SMA.
43 Syndrome de McCune-Albright
44 CAS 5 Mme. P, 45ans Céphalées fronto-pariétales droites évoluant depuis 2 mois avec exophtalmie TDM injectée réalisée le 19/05/2014 faisant suspecter une dysplasie fibreuse
45
46 Hyperostose, responsable de la perte de différenciation entre le diploé et les tables Réaction périostée avec spicules grossières en «brosse»
47 IRM 16/06/2014 T1 après injection de Gadolinium
48 IRM 16/06/2014 T1 après injection de Gadolinium
49
50 Méningiome en plaque Le méningiome en plaque: 2 à 4 % des méningiomes, avec un ratio de 4 femmes pour 1 homme, âge de survenue entre la 4 ème et la 5 ème décéennie. 70% des méningiomes extraduraux primitifs touchent la région céphalique. Les régions sphéno-orbitaire et fronto-pariétale sont les localisations les plus fréquentes des méningiomes intra osseux. Les patients avec méningiome sphéno-orbitaire se présentent typiquement avec une exophtalmie progressive et indolore ainsi qu'une baisse de l'acuité visuelle très lente pouvant aboutir à la cécité sans manifestations neurologiques associées. Hyperfixation constante en SO aux bisphosphonates-tc99m Le méningiome en plaque sphéno-orbitaire est une tumeur bénigne qui, bien que d évolution lente, impose une intervention chirurgicale à partir du moment où le diagnostic est posé. Une radiothérapie adjuvante est recommandée chez les patients qui présentent des lésions résiduelles symptomatiques et/ou augmentant de volume.
51 MENINGIOME EN PLAQUE L hyperostose (production d os épaississant la voûte) : elle correspond à l examen histologique à une production réactionnelle d os mature par les ostéoblastes normaux. Elle est très dense au scanner. Elle siège dans l os et dans les tissus adjacents, Elle prédomine sur le versant endocrânien mais s étend volontiers à la face exocrânienne de la voûte dans les formes florides. Elle efface la différentiation entre le diploé et les deux tables qu elle remplace par une nappe d os très dense et très finement hétérogène (granuleuse). Elle donne lieu à une fixation scintigraphique très intense. La réaction périostée est constituée de spicules grossières caractéristiques «en brosse», composées d os dense de même texture. Le méningiome proprement dit est présent sur le versant endocrânien de l épaississement osseux, sous la forme d un épaississement en plaque localisé de la méninge, de densité tissulaire, souvent très difficile à distinguer en tomodensitométrie et qui doit être systématiquement recherché en IRM avec injection de gadolinium. Des calcifications peuvent être visibles au sein de l épaississement méningé. Sur le versant exocrânien, il faut rechercher un épaississement des muscles de la mastication (temporal, masseter, ptérygoïdiens), ou en cas de méningiome sphéno-orbitaire, des oculomoteurs.
52 CAS 6 Madame V, 46ans Masse frontale antérieur gauche asymptomatique découverte en janvier Un scanner diagnostique et une IRM réalisé en juillet 2015 est en faveur d une tumeur ostéoformatrice bénigne frontale gauche.
53 IMAGE
54
55 Méningiome en plaque
56 CAS 7 Monsieur B, 72ans Altération de l état général(amaigrissement de 8kg), douleur diffuse Bilan biologique: Beta 2 microglobuline=2,9mg/l Bilan phosphocalcique et PTH normaux. ATCD: cancer gastrique traité par gastrectomie il y a 10 ans, diabète de type 2 pris en charge depuis 2007, arthropathie évolutives des épaules et des hanches avec impact fonctionnel depuis 2 ans. Bilan d extension.
57
58
59 Maladie de Paget Ostéite déformante de cause inconnue avec remodelage excessif anarchique des pièces squelettiques La maladie est très rarement découverte avant l âge de 40 ans; 10% de la population après 85 ans, prédominance masculine Asymptomatique dans 85% des cas Intéresse le crâne dans 25 à 65% des cas Circonstances cliniques du diagnostic: Douleurs osseuses et/ou articulaires Déformation et/ou hypertrophie d un os périphérique Fissure ou fracture sur os pagétique (rare) Céphalées pulsatiles Complication neurosensorielle : compression radiculaire ou médullaire, surdité Transformation sarcomateuse (< 1%)
60 Maladie de Paget Distribution: Squelette axial: bassin, rachis, crâne; os longs: fémur, tibia, humérus 3 phases: précoce (hyperplasie ostéoclastique), intermédiaire (réparation ostéoblastique), tardif ou burn out (os désorganisé). La radiographie très caractéristique montre des images opaques, une architecture du tissu osseux anormale, un épaississement cortical (zone périphérique de l'os) une incurvation et une augmentation de volume des os de façon générale. Scanner: très bonne analyse des remaniements dystrophiques a. Épaississement de la voûte b. Dédifférenciation tables/diploé c. Aspect en tâches de bougie de la table externe d. Individualisation de poches graisseuses Scintigraphie osseuse: Evaluation de l extension et l évolutivité de la maladie. Traitement: Indication: formes symptomatiques par bisphosphonates. Chirurgie de certaines complications (arthropathie pagétique, bloc vertébral pagétique, fracture d os pagétique, ).
61
62 Augmentation de taille osseuse, condensation, ostéolyse, dédifférenciation corticomédullaire
63 CAS 8 Madame C, 63 ans Céphalées transitoires, pertes de mémoire Images ostéocondensantes du diploé au scanner crânien: pas de diagnostic porté Absence d antécédent néoplasique
64
65
66 Maladie de Paget atypique
67 CAS 9 Patiente âgée de 51ans Bilan d extension pour un cancer du colon après colectomie
68
69
70 Ostéome Tumeur osseuse condensante, bénigne, relativement fréquente Prédomine dans les 40-50ans. Homme:femme=2:1. Etiologie inconnue. Asymptomatique. Siège: les sinus paranasaux très majoritairement. L os frontal, les autres os de la voûte sont plus rarement atteints. Les ostéome des os longs ou plats sont exceptionnels en dehors du syndrome de Gardner. Le diagnostic se fait actuellement le plus souvent sur les scanners cérébraux ou des sinus. L ostéome est constituée d os dense normal. La densité est élevée, à celle de l os cortical (densité voisine 1000 unités Hounsfield [UH]).L opacité est homogène. La lésion condensante est bien limitée, arrondie ou polylobée, sans atteinte des parties molles. L hyperfixation en scintigraphie osseuse est corrélée à l hyperdensité (indice de fixation relative: 5-10 x N) En l absence de symptôme, elle ne nécessite pas la poursuite des investigations, ni de traitement.
71 Syndrome de Gardner Mutation du gène adenomatous polyposis coli (APC). Rare: 1/14,000 Triade associant des polypes coliques, des ostéome de localisation multiple et des tumeurs des partie molles, des tissus souscutanés(kystes épidermiques, fibromes ou lipomes sous-cutanés). Pronostic dominé par le risque important de dégénérescence maligne des polypes adénomateux.
72 CAS 10 Monsieur P, 63 ans Réévaluation chez un patient qui présente un adénocarcinome de prostate avec métastases osseuses connues TEP Choline du : métastases du corps de C7, de l arc postérieur de T6, et de la berge iliaque de l articulation sacro-iliaque droite. Le patient a bénéficié d une laminectomie le puis d une radiothérapie sur le rachis dorsal (T10 et T11 le ). Actuellement sous hormonothérapie. PSA = 46 ng/ml.
73 On note des foyers d hyperfixation anormale du radiotraceur au niveau de : - crâne, portion postéro-inférieure du pariétal gauche ; - l extrémité distale de la clavicule gauche ; - rachis : C7, apophyses transverses de T6 (on note une fixation bilatérale ; le patient a des antécédents récents de laminectomie), T7 au niveau du corps et du pédicule gauche ; - l arc postérieur de la 10ème côte gauche ; - l aile iliaque droite, proche de l articulation sacro-iliaque ; - région métadiaphysaire du fémur droit.
74
75
76 Métastases condensantes La cause rare des tumeurs de la voûte du crâne Lésions multiples du crâne: prostate, sein, tumeurs neuroendocrines Lésion unique ou oligofocale en règle Problème clinique: le plus souvent asymptomatique Scanner: a. Nodules de condensation de densité < tables b. Point de départ intra-diploïque c. Extension secondaire des table interne et externe = réaction périostée d. Envahissement des parties molles et de l espace épidural
77
78 CAS 11 Madame 36 ans Tuméfaction fronto-pariétale droite indolore.
79 IMAGE
80
81 Melorhéostose?
82 Mélorhéostose: Autre forme clinique du squelette axial
83 CAS 12 Monsieur C, 48ans Découverte fortuite d un épaississement osseux de l os frontal asymptomatique dans un contexte d adénome hypophysaire à prolactine Patient sous traitement médical par Dostinex Enquête étiologique et bilan d extension et d évolutivité
84
85
86 Ostéopétrose (type ADO 1?) Dysplasie osseuse. Densité osseuse augmentée en raison d une diminution de la résorption osseuse par les ostéoclastes. 8 types d ostéopétrose autosomale récessive vs 2 types d ostéopétrose autosomale dominante (ADO1 et ADO 2).
87 Conclusion HFI Dysplasie fibreuse Maladie de Paget Ostéome Méningiome en plaque Localisation Os frontal Os frontal Voûte > Base Sinus paranasaux sphénoïde Symétrie oui hémimélique Non sauf formes diffuses non non Respect table externe oui oui Dédifférenciation non non Respect table interne non oui Dédifférenciation +/- non
88 Bibliographie Yan X, Jianhua Z, Taisong W. A case of paranasal sinuses osteoma detected on bone SPECT/CT. Clinical nuclear medicine. 2011; 36: Meriem A, Idriss B.A, et Hicham T. Méningiome en plaque sphéno-orbitaire: à propos d'un cas avec revue de la littérature. Pan Afr Med J. 2015; 21: 159 B.L. Foster, M.S. Ramnitz, R.I. Gafni et al. Rare bone diseases and their dental, oral, and craniofacial manifestation. JDR Clinicl Research Supplement. 2014; 93: Athanasios R, George K, Faisal Y, et al. Etiopathogenesis of hyperostosis frontalis interna: a mystery still. Annals of anatomy. 2011;193: JJ. Waterval, V.M Borra, W. Van Hul, et al. Sclerosing bone dysplasias with involvement of the craniofacial skeleton. Bone. 2014; 60: Meredith M, Barton F, Branstetter IV et al. Craniofacial Melorheostosis. J comput assist tomogr. 2008;32: D.S. MacDonald-Jankowski. Fibro-osseous lesions of the face and jaws. Clinical radiology. 2004;59: Lucie C. Sabine C, Anne C. Skull Vault lesion: a review. AJR. 2015; 205:
89
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailLa dysplasie fibreuse des os
La dysplasie fibreuse des os La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailINTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE;
PLAN INTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE; MATÉRIELS & MÉTHODES; RÉSULTATS; DISCUSSION: GÉNÉRALITÉS; RAPPEL ANATOMIQUE DE LA BASE DU CRÂNE; CLASSIFICATION DES TBC; CLINIQUE. LES MOYENS D IMAGERIE DES TBC;
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailOption sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES
Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLe syndrome de Cushing
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détail