3,5 RUEDESTMALO RENNES. ( ) (Ille-et-Vilaine) RAPPORT DE SONDAGES ARCHEOLOGIQUES 22/11/ /12/1993. par

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1 3,5 RUEDESTMALO RENNES ( ) (Ille-et-Vilaine) RAPPORT DE SONDAGES ARCHEOLOGIQUES 22/11/ /12/1993 par Gaétan LE CLOIREC et Philippe COCHEREL A.F.A.N. Rennes : S.RA Bretagne *6

2 FICHE SIGNA LÉTIOVE g a s Q 'g S I Site n " : _3j _5j L2JL3JL8J LPJ^JLOJ I IL Département : Ille-et-Vilaine Commune : Rennes Lieu-dit ou adresse : 3, 5 rue de St Malo Cadastre : Année ; 1984 Section et parcelle : AB n 420 Coordonnées Lambert : Zone : Abscisse: 300,950 Ordonnée : 1054,100 Altitude: Propriétaire du terrain :. Société Rennaise de Rénovation Protection juridique : O n? ^ O S P! * Mots-clefs (thésaurus DRACAR pour la chronologie et les vestiges immobiliers) : - sur la chronologie : Gâllo-Romain/Médiéval/Moderne - sur la nature des vestiges immobiliers : - sur la nature des vestiges mobiliers : * Notice sur la problématique de la recherche et les principaux résultats de l'opération archéologique : Lieu de dépôt du mobilier archéologique :

3 L'ancienne quincaillerie Picard, construite à la fin du XlXè siècle, fait l'objet d'un projet immobilier visant à la transformer en immeuble d'habitation pour étudiants et en brasserie. La réalisation de parkings souterrains sur deux niveaux étant envisagée dans ce cadre, le Service Régional de l'archéologie a entrepris la réalisation de sondages afin d'évaluer le potentiel archéologique de la zone concernée. Cette opération, qui s'est déroulée entre le 22 novembre et le 21 décembre 1993, fut réalisée par deux archéologues recrutés par l'a.f.a.n. (Association pour les Fouilles Archéologiques Nationales) à qui la gestion financière avait été confiée. La Société Rennaise de Rénovation, propriétaire de l'îlot Picard, a fourni les clefs permettant l'accès à l'intérieur de l'enceinte de l'établissement. Elle mit, d'autre part, un tractopelle à disposition, par l'intermédiaire de l'entreprise Chevillard. Quinze jours de terrain furent alors nécessaires pour cette évaluation qui concerna la cour de la quincaillerie. La façon dont furent réalisées les tranchées doit être expliquée avant de présenter les résultats des sondages. La suite à envisager pourra alors être abordée en fonction de ces derniers. IMPLANTATION DES SONDAGES Quatre tranchées furent réalisées à l'aide d'un tractopelle muni d'un godet lisse de lm60 de large. Plusieurs facteurs déterminèrent leur localisation : Une telle évaluation n'a de sens que si elle tient compte du maximum de données qu'il est possible de recueillir. Dans ce sens, essayer d'avoir une idée des vestiges sur l'ensemble de la zone est de première importance. Il devient dès lors nécessaire d'effectuer les sondages à des distances régulières entre eux tout en s'assurant de couvrir le maximum du terrain concerné. Ne connaissant pas la profondeur qu'il serait nécessaire d'atteindre, et donc le cubage qu'il faudrait stocker le temps de faire les relevés, une zone relativement importante devait rester libre auprès de chaque sondage. La configuration des lieux L'existence d'un bâtiment en briques et de hangards sur poteaux métalliques limita les possibilités de choix d'intervention. Afin de ne pas déstabiliser ces constructions relativement légères, les sondages devaient être effectués à une distance de sécurité minimale. Le problème était le même vis à vis des bâtiments d'habitation liés à la quincaillerie ainsi qu"à l'entrepôt. Afin de laisser la possibilité à un véhicule d'accéder à l'entrepôt, la zone située au centre de la cour ne fut pas touchée par les travaux. Elle servit seulement à stocker les déblais

4 Localisation de l'îlot Picard dans le cadastre actuel 50m d

5 RENNES (35) 3, 5 rue de St Malo LOCALISATION DES SONDAGES Murs antiques Structures fossoyées antiques Murs modernes Tranchée moderne Sondage 1 Tranchée 2 mur 2010 cave moderne (Emprise supposée) Sondage 3 Rue de St Malo

6 Cette tranchée fut réalisée sous le hangard qui se situe au fond de la cour. Des problèmes de luminosité ont rendu difficile la phase de terrassement autant que les relevés réalisés. Un sondage-profond, effectué dans la partie est de la tranchée, nécessita un étayage de cette zone. Le sol naturel ne fut pas atteint bien que la profondeur maximale du sondage soit de 2m 70 environ. Les vestiges archéologiques rencontrés à ce niveau correspondent à des installations datables du début du 1er siècle de notre ère (présence de vase-bobine en terra negra, de céramique de type "Besançon", de productions de tradition indigène,...). L'épaisseur des couches antiques, à partir de ce niveau, atteint lm 50. La réalisation d'une fouille fine n'ayant pu se faire à cause d'un emploi du temps limité en comparaison de la richesse de la stratigraphie, nous ne pouvons qu'estimer la nature des niveaux découverts. La présence de couches d'occupations d'importance notoire (1065, 1110, 1170, 1200), reposant sur des sols en cailloutis damés ou en mortier (1130, 1075,...), revêlent la présence d'un habitat. La découverte d'un foyer (1195) dans la coupe sud permet toutefois d'envisager la possibilité d'une activité artisanale au cours du 1er siècle. Certains niveaux d'argile jaune (1085, 1100, 1105, 1120) peuvent correspondre aux vestiges de parois de terre effondrées. Il est par ailleurs intéressant de noter l'absence de rejets de destruction de bâtiments maçonnés (pas de tuiles, de mortier ou de blocs de pierres). Des zones cendreuses pourraient par contre correspondre aux traces de toitures légères brûlées (partie inférieure de 1060). Un niveau de terre végétale (1060) scelle les couches antiques. Il est recouvert par des apports de terre postérieurs (1035, 1020). Des structures (1030, 1045, 1055), extrêmement difficiles à déterminer, sont creusées au travers. Elles n'ont pu être observées qu'au moment de l'étude des coupes stratigraphiques. La présence ici d'éléments d'époque médiévale est à envisager. La zone étant, en effet, occupée par des jardins à partir du moment où se met en place le couvent des Jacobins, ces structures pourraient plutôt se rattacher à une époque antérieure.

7 Cliché 1 : Sondage 1 - coupe nord (sondage profond) Cliché 2 : Sondage 1 : Coupe sud (sondage profond)

8 La découverte d'une cave remblayée par des rejets divers et associée à un bâtiment moderne détruit nous obligea à aborder l'enregistrement des informations de manière particulière : Au moment de l'utilisation du tractopelle, la zone est de la tranchée, où se situait la cave, fut décaissée le plus profondement possible (compte tenu de la fragilité du remblai et des capacités de l'engin). Une profondeur de 3m 20 fut atteinte sans que le sol de la cave soit apparu. Ce sondage-profond fut immédiatement rebouché et une rampe d'accès au fond de la tranchée fut aménagée à sa place. L'ensemble fut alors étayé afin de pouvoir descendre étudier l'extrémité ouest du sondage qui avait livré des vestiges encore en place. Le sol naturel nous est apparu à une profondeur de 2m 60 par rapport au niveau actuel. Il se compose de sable jaune mélé à de l'argile de même couleur. L'ensemble est assez homogène et friable. Un niveau de terre brune comportant des inclusions de petits cailloux le recouvre sur une épaisseur d'environ 20cm. C'est sur ce niveau que sont installées les premières occupations humaines reconnues ici. Deux couches charbonneuses de couleur grise/noire ont été repérées ensuite sur une épaisseur de 25 à 30cm. L'importance et la nature du mobilier ainsi que la texture de ces couches dévoilent ici la proximité d'un habitat datable de la 1ère moitié du 1er siècle. Les niveaux supérieurs de la stratigraphie antique semblent correspondre à une zone de circulation mise en place ensuite (dans la seconde partie du 1er siècle vraisemblablement). Un radier composé de blocs de schiste vert (2045/2125/2145) sert ainsi de soubassement à un épais niveau de cailloutis damé extrêmement compact (2110/2115/2040). La partie supérieure de ce dernier se présente, en coupe, sous la forme d'un filet de cailloutis de quartzite rouge relativement plan (2105). Au-dessus différents états de recharges (2065, 2070, 2075, 2080, 2085, 2090, 2095, 2100), de nature et de qualité variées, confèrent à l'ensemble de cet aménagement une épaisseur d'environ lm. La découverte d'un sesterce d'hadrien ( ) et d'un autre de Marc- Aurèle ( ) sur le niveau supérieur (2065) prouvent que cet espace de circulation fut utilisé au moins jusqu'au dernier tiers du lié siècle de notre ère. Rien toutefois ne permit de déterminer son ampleur ni son orientation. Un plan de Rennes, établi par Toulmouche en 1846, signale l'existence d'une voie romaine se dirigeant vers Avranches et passant sur la parcelle sondée. L'implantation proposée ici concorde avec les éléments reconnus sur le terrain. Un remblai de terre végétale recouvre le dernier état de cet espace de circulation (2035). Il est intéressant de noter la similitude d'orientation entre le mur 2010 du sondage 2 et la tranchée 2 retrouvée dans le sondage 1. Il n'est pas impossible que cette dernière constitue en fait la trace d'un mur récupéré. En outre, la présence de mortier et de plaques de schiste dans son comblement peut correspondre aux rejets des matériaux de constructions inutilisables. Le bâtiment moderne dont la cave fut retrouvée dans le sondage 2 apparaît sur des plans de 1782 et de Il était associé au couvent des Jacobins. Une étude d'archives plus poussée devrait apporter des informations plus précises sur sa durée d'existence ainsi que sur sa fonction. Banéat signale d'autre part la présence de "dépendances remplacées par des hangards" au nord du couvent (BANEAT P. 1929, p. 171). La découverte de ratés de cuisson ainsi que d'un fragment de paroi de four dans les remblai moderne alerte sur la proximité éventuelle d'un atelier de production de céramique moderne.

9

10 Après avoir arraché un caniveau moderne pour descendre plus bas, le godet de l'engin mécanique buta sur une importante maçonnerie composée de gros blocs de schiste rose liés par un mortier très solide (NGF 37.00). Cet élément occupait toute la longueur de la tranchée sur une largeur d'environ lm. La stratigraphie mettait en évidence le comblement de la tranchée de récupération de cette maçonnerie ainsi que la tranchée d'installation du caniveau. Sous ce dernier, un remblai médiéval ou postmédiéval (découverte d'une monnaie en argent pouvant se rattacher au Xllè siècle) scelle les niveaux antiques conservés. Ceux-ci sont apparus sous la forme d'un niveau argileux jaune/brun présentant des inclusions d'huitres et de céramiques. Une monnaie de Claude (milieu 1er siècle) a été recueillie sur la partie supérieure mais la présence d'un fragment de céramique sigillée type "Déchelette 72" (lié siècle) au même niveau, permet de penser que nous étions toujours sur les dernières occupations gallo-romaines du secteur. Les vestiges très endommagés d'un mur antérieur ont aussi été dégagé. Il se compose de plaquettes de schiste liées par un mortier de chaux de couleur jaunâtre. L'épaisseur de la stratigraphie antique ne put être estimée. Toutefois, si l'on tient compte des données recueillies dans le sondage 2, il est possible de concevoir une épaisseur maximale de lm sous le premier niveau gallo-romain atteint. La pente naturel du terrain peut toutefois réduire cette hauteur. L'existence d'une cave sous le bâtiment d'habitation limite grandement l'étendue des vestiges à l'est de la maçonnerie moderne mise au jour dans le sondage 3. Seule une bande d'environ lm de large entre les deux constructions doit être sauvegardée.

11 Cliché 4 : Sondage 3 - maçonnerie moderne sur les vestiges antiques

12 Un niveau de terre marron est apparu sous le remblai d'installation de la cour actuelle. Il correspond vraisemblablement aux jardins du couvent. Les fondations d'un mur en schiste gris étaient installées dans ces niveaux. Dessous, une couche d'argile jaune est creusée de fosses comblées de tuiles, mortier, plaquettes de schiste, etc. Il s'agit ici des niveaux antiques supérieurs pouvant correspondre aux vestiges de bâtiments effondrés. L'épaisseur maximale de la stratigraphie peut être estimée en fonction des sondages 1 et 2 ainsi qu'à l'aide du sondage géologique SI effectué à proximité de la tranchée 4. Elle doit être ainsi de lm 50. La pente naturel du terrain peut ici encore réduire cette estimation.

13 Cliché 5 : Sondage 4 - Niveau antique supérieur et mur moderne

14 SYNTHESE Le terrain concerné recèle donc un potentiel archéologique important. Les premières installations remontent au début de notre ère, voire même à la fin du 1er siècle av. J.-C.. L'occupation antique est attestée jusqu'au milieu du lié siècle ap. J.- C.. Une implantation légère au bas-moyen-age est tout à fait probable du fait de la découverte de céramiques datables de cette époque ainsi que d'une monnaie médiévale. En outre, la présence de structures légères dans le niveau végétal qui scelle les vestiges antiques constitue un argument supplémentaire dans ce sens. L'étude des plans anciens et du cadastre de 1844 a révélé l'existence d'une zone de jardins associée au couvent des Jacobins. Une recherche plus approfondie pourra permettre de déterminer l'existence d'appentis ou d'activités particulières dans ce secteur. D'autre part, les vestiges nous sont apparus peu perturbés. Le remblai de terre végétale a ainsi scellé les niveaux antérieurs, les conservant des creusements modernes. La mise en place de jardins associés au couvent des Jacobins puis l'aménagement de la cour des établissements Picard ont aussi été des facteurs de sauvegarde de ces niveaux. Tenant compte de la destruction de certains bâtiments de l'îlot Picard, la zone concernée par les nouveaux aménagements atteint près de 1000m2. La présence de 3 caves limite la surlace archéologique à prendre en compte. Celle-ci demeure cependant relativement conséquente (750m2 maximum). De plus, les vestiges archéologiques apparaissant en moyenne à 70cm sous le niveau actuel, les travaux entrepris dans les structures conservées, ne devront pas dépasser cette profondeur sans un suivi par les archéologues. MOYENS A ENVISAGER EN CAS DE FOUILLE SUR LE PLAN TECHNIQUE : La profondeur qui sera atteinte en fin de fouille (environ 2m 50 en moyenne) engendrera un cubage important des déblais. Ceux-ci pourront éventuellement être stockés dans les caves modernes au cours de la fouille. L'utilisation d'un ou deux camions sera toutefois nécessaire au moment du décapage. Une évacuation régulière des déblais accumulés devra aussi être envisagée au cours de la fouille. Le respect des normes de sécurité devra prendre en compte la hauteur et la fragilité des élévations. La nécessité de fouiller la totalité de l'emprise exclut un étayage en pente ou par palier. Des solutions adaptées devront donc être proposées sur ce point. SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE : Le temps de fouille et le nombre de personnes nécessaires devront être établis en fonction du rapport entre la surface à fouiller, la hauteur de la stratigraphie, la diversité de l'occupation et la nature de celle-ci. La présence d'archéologues qualifiés sur la période gallo-romaine en milieu urbain est évidente. Il serait intéressant aussi de disposer de l'avis d'une personne compétente en archéologie médiévale et post-médiévale bien que l'importance des vestiges relatifs à ces périodes soit moindre. La nécessité de traiter le matériel au cours de la fouille est aussi à prendre en compte. La mise en évidence de niveaux d'occupation non négligeable, permet de prévoir, en effet, une abondance relative des découvertes.

15 PROBLEMATIQUE EN CAS DE FOUILLE La zone concernée se situe en périphérie de la ville antique du Haut-Empire. Les diverses opérations réalisées dans le secteur attestent d'une occupation allant jusqu'au Illè et, même parfois, au IVè siècle de notre ère (fouille de la rue de St Malo, ; fouille du campus de la place Hoche, 1990; diagnostic archéologique de la place St Anne, 1991; diagnostic archéologique de la place Hoche, 1993). Les sondages effectués dans la cour des établissements Picard n'ont cependant pas révélé d'indice d'occupation antique postérieur à la fin du Ilnd siècle. Cela ne signifie pas, pour autant, que la zone était abandonnée au Bas-Empire bien que la densité de l'occupation ait décliné au cours de cette période alors que la ville se resserait vers ses murailles. Les données apportées par l'étude de la naissance, du développement et de la fin de l'occupation gallo-romaine viendront donc enrichir les informations déjà recueillies, sur ce plan, par les opérations réalisées dans les faubourgs de la Cité. La présence d'un espace de circulation devra permettre de préciser l'organisation urbaine du secteur. Le rapport entre la période de mise en place de cet axe et l'implantation des bâtiments devra être établi. Sa durée d'utilisation et ses éventuelles transformations pourront aussi être étudiées en fonction de l'évolution du quartier. De plus, son positionnement par rapport aux autres zones de passages connues dans la Cité nous permettra d'apporter un élément nouveau concernant l'agencement de la trame urbaine de Rennes à l'époque gallo-romaine. Le mode de construction privilégié ici dans l'antiquité semble avoir été une architecture de terre et de bois. L'étude du type d'occupation et de la fonction des bâtiments devrait nous éclairer SUF ce choix de matériaux. L'absence ou la rareté de construction maçonnée, si elle s'avère confirmée, devra aussi être expliquée. Les indices d'une occupation médiévale doivent être pris en compte. Si des structures se rapportant à cette période sont repérés, leur nature, leur conception et leur évolution devront être étudiées. Enfin, les niveaux d'occupations mis en évidence devraient fournir des informations précises sur les productions et les importations de céramiques ou d'objets divers. L'ensemble du mobilier recueilli nous apportera ainsi des données complémentaires concernant les modes de vies au cours des différentes périodes. CONCLUSIONS: L'importance des vestiges repérés rend impossible le terrassement envisagé, pour l'aménagement de parkings souterrains, sans la réalisation d'une fouille archéologique préalable. Les niveaux en place apparaissent sous une épaisseur de remblai moderne d'environ 70cm. Ils concernent principalement l'époque gallo-romaine (Ier-IVè siècles) mais des vestiges médiévaux et modernes sont aussi présents. L'épaisseur maximale de la stratigraphie à prendre en compte avoisine les 2m et l'état de conservation des vestiges parait relativement bon (en dehors des 3 caves modernes présentes sur l'emprise). Par conséquent, les moyens à mettre en oeuvre pour la réalisation d'une fouille éventuelle devront être évalués suivant ces données ainsi qu'en fonction des problèmes techniques que posera un tel chantier.

16 DOCUMENTS ANNEXES

17 ANGF39, 14 m ^ CfK 1090 V 1100-; F m : Remblai d'installation des dalles du sol actuel, gros graviers cimentés 1005 : Briques liées au mortier, jaunâtre : Terre végétale brune, homogène, cailloux de quartzite, terre cuite : Niveau cendreux homogène, charbons de bois, terre cuite, traces de mortier. 1m 1010 : Terre végétale, brune, hétérogène. schiste, charbons de bois, huîtres, terre cuite, céramique : Remblai hétérogène, terre organique, argile jaune esquilles d'huîtres, terre cuite, céramique (porcelaine), verre : Terre végétale, brun foncé, relativement homogène, schiste en petites plaquettes, charbons de bois, os, huîtres très fragmentées, ardoises, terre cuite : remblai hétérogène, terre limoneuse brune, schiste en plaquettes et en blocs, pierres calcaires tuile, ardoises : Terre de couleur brun clair, homogène, schiste en blocs, pierres de quartzite, pierres calcaires, esquilles d'huîtres, mortier, tuile, terre cuite : Terre limoneuse, brune, homogène, schiste (éclats), terre cuite : Terre brune, plaquettes de schiste : Terre limoneuse, brune, graveleuse, schiste en petites plaquettes, gravillons érodés, terre cuite : Remblai hétérogène, argile, sable jaune, mortier, schiste, gravillon de quartzite. terre cuite : 'Terre limoneuse, brune, hétérogène, schiste, pierres, brique, tuile, mortier dans le fond : Terre limoneuse, brune, schiste, terre cuite : Terre argileuse verdâtre. homogène, cailloux de quartzite, esquilles d'huîtres, charbons de bois, terre cuite : Niveau de mortier jaune, homogène : Niveau argileux de couleur verte/jaune/grise/rouge, homogène, terre cuite, céramique : Argile jaune/orange, homogène, compacte : Niveau argileux, vert/jaunâtre, hétérogène, schiste (blocs et plaquettes) quartzite, charbons de bois, terre cuite, huîtres, mortier : Argile compacte, assez homogène, cailloux de quartz, charbons de bois, terre cuite : Argile, brun clair/beige, homogène, pierres de quartzite, os, bronze : Argile jaune, homogène, compacte : Terre organique, noire, blocs de quartz, charbons de bois, os. huîtres, terre cuite, céramique : Niveau argileux et sableux, jaune, inclusions de cailloutis : y\rgile jaunâtre, homogène et compacte, cailloux de quartz : Terre argilo-limoneuse. petites pierres de quartz, terre cuite : Niveau de mortier jaune, homogène, damé. 16

18 ANGF39, : Remblai d'installation de la cour moderne, gros gravillons : Mur, schiste gris, mortier jaune : Terre brune limoneuse, pierres, ardoises, os, huîtres, terre cuite, céramique, tomettes. (comblement d'une tranchée moderne) 1150 : Terre noire limoneuse, charbons de bois, mortier, terre cuite, huîtres : Argile, orangeâtre, compacte et homogène : Terre brune/marron, argilo-limoneuse, cailloutis, charbons de bois, terre cuite, céramique, tuile : Argile jaune, assez homogène, charbons de bois : Niveau noir, charbonneux, petits cailloux, scories, huîtres J ^ ^ : Argile jaune, homogène, charbons de bois : Terre brune, graveleuse, argile rubéfiée, schiste, cailloux, terre cuite, charbons de bois : Argile orange, rubéfiée, cailloux de schiste : Remblai hétérogène, friable, pierres de schiste, charbons de bois, terre cuite : Argile rouge, rubéfiée, (sole de foyer) : Terre noire, organique, schiste, quartzite, charbons de bois, huîtres, céramique, 1205 : Argile de couleur hétérogène (jaune/vert/orange), graviers, charbons de bois, terre cuile : Niveau de charbons de bois, homogène : Argile jaune, homogène, compacte et sableuse : Niveau de couleur rouille, sableux, inclusions d'argile jaune. 0 1m

19 Tranchée 2 coupe sud ANGF39, c 2000 : Niveau végétal, tassé : Remblai d'installation du niveau de cour, brun, hétérogène, gravillonneux, brique, schiste, céramique (faïence) *5 Jt «/ _ S j p ï 2010 : Mur, schiste gris, mortier jaune : Remblai hétérogène, sable jaune, terre brune, schiste, brique, céramique : Remblai d'installation, hétérogène, terre brune/rougcâtre, schiste en plaquettes, mortier, brique, terre cuite, charbons de bois, huître : Terre brune, schis-te, mortier gris, fer, terre cuite, brique, céramique (faïence), huîtres : Remblai hétérogène, schiste, terre cuite, brique, mortier : Terre végétale, brune, relativement homogène, tuile, traces de charbons de bois : Gros cailloutis (quartzite) damé, jaune/orange, homogène, (équiv. 2140) 2045 : Petits blocs de schiste vert, (équiv. 2145) 1 *l a g i : ferre limoneuse, grise/rouille, charbons de bois, (équiv. 2150) 2055 : Terre limoneuse/argileuse, gris claire, homogène, traces de charbons de bois, céramique, os. (équiv. 2155) 1m

20 Tranchée 2, coupe ouest (niveaux antiques) ,-2075 ^ r 2090 ^ t-2100 s ) L 2110 ^= NGF m m _J 2060 : Terre brune, hétérogène, meuble, plaquettes de schiste, gravillons de quartz, huîtres : Cailloutis, brun, hétérogène, tassée, plaquettes de schiste, nodules de mortier, tuile, esquilles d'huîtres : Mortier fin, jaune/blanc, homogène : Cailloutis orangeâtre. homogène et compact : Terre argilo-limoneuse, brune, hétérogène, tassée, cailloux de quartz, plaquettes de schiste fragmentées : Remblai hétérogène, cailloutis, sable, inclusions de grosses plaquettes de schiste, tuile : Mortier jaunâtre, homogène et tassé : Terre brune mêlée à du cailloutis, hétérogène, inclusions de schiste : Remblai de cailloutis jaunâtre, graveleux, très compact, inclusions de cailloux de quartz 2105 : Cailloutis de quartzite. rougeàtre, homogène, graveleux, damé : Remblai de cailloutis, jaune/rouille, hétérogène, graveleux, très compact, inclusions de cailloux de quartz : Cailloutis, jaune/beige, homogène, graveleux, compact, damé : Terre argilo-limoneuse brune, hétérogène, graveleuse : Gros blocs de schiste vert : Terre limoneuse, grise, homogène, graveleuse et compacte : 'Terre argileuse, grise, homogène, meuble, charbons de bois : Gros cailloutis (quartzite). damé, jaune/orange, homogène, (équiv. 2040) 2145 : Petits blocs de schiste vert, (équiv. 2045) 2150 : Terre limoneuse, grise/rouille, charbons de bois, os, céramique, bronze, (équiv. 2050) 2155 : Terre limoneuse/argileuse, gris clair, homogène, quelques traces de charbons de bois, os, céramique, (équiv. 2055)

21 40(1(1 : Remblai hétérogène, brique, tuile, schiste, céramique : Terre végétale, marron, schiste, terre cuite : Niveau d'argile et de sable, jaune, homogène, terre cuile. zones rubéfiées : Knduit de chaux, blanchâtre, graveleux, homogène. 40X0 : Terre argileuse, brun/gris, hétérogène, petits cailloux, pierres de schiste et de quartzite. charbons de bois, terre cuile. ro O

22 A NGF 39, m

23 > i i 4cm mm iiulil m tir II J J/Jj Ji V à 10cm 1 Sondage 2, US 2050/2055 : lèvre de céramique à surface micacée type Besançon (fin du 1er siècle av. J.-C. / début du 1er siècle ap. J.-C.). 2. Sondage 3, US 3120 : lèvre d'amphore type Dressel 20 (1ère moitié du 1er siècle ap. J.-C.). 3. Sondage 2, US 2050/2055 : estampille sur fond de céramique sigillée dont l'engobe externe est remplacé par des coulures de vernis (fin du 1er siècle av. J.-C./Ier siècle ap. J.-C. - production italique?). 4. Sondage 1, US 1065 : fragment de vase en céramique sigillée type Drag. 37 (lié siècle ap. J.-C.). 5. Sondage 3. US 3130 : fragment de vase en céramique sigillée type Déchelette 72 (2è moitié du lié siècle ap. J.-C). 6. Sondage 3, US 3150 : col à bandeau (XIVè/XVè siècles). 7. Sondage 2, remblais modernes : forme carénée à pâte blanche et glaçure interne et externe verte (XVTIè/XVIIIè siècles?).

24 N) ro

25 13 wmm to co s» # à S?,J J> -t y

26 ro

27 XJsKï N3 01 J

28 SOMMAIRE Fiche signalétique p.l Introduction p. 2 Implantation des sondages... p.2 Résultats Sondage 1 P-5 Sondage 2 p. 7 Sondage 3 P-9 Sondage 4 p. 11 Synthèse P-13 Conclusion p. 14 Documents annexes p Tranchée 1, coupe nord p Tranchée 1, coupe sud p Tranchée 2, coupe sud p Tranchée 2, coupe ouest (niveaux antiques) p Tranchée 4, coupe sud p-20 - Mobilier céramique P-21 - Plan de Rennes daté de 1782 p Plan de Rennes daté de 1813 p.23 - Plan de Rennes réalisé par Toulmouche en 1846 p Plan de Rennes daté de 1858 p.25

29 Liste des documents insérés au texte : Localisation de l'ilôt Picard dans le cadastre actuel Plan de localisation des sondages Cliché 1 : Sondage 1- coupe nord (sondage profond) Cliché 2 : Sondage 1 - coupe sud (sondage profond) Cliché 3 : Sondage 2, zone ouest - Niveaux antiques Cliché 4 : Sondage 3 - Maçonnerie moderne sur les vestiges antiques, Cliché 5 : Sondage 4 - Niveau antique supérieur et mur moderne

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