PANORAMA DE BRANCHE HORLOGERIE
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- Marie-Josèphe Rochette
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1 PANORAMA DE BRANCHE HORLOGERIE Convention Collective Nationale n 3152 IDCC 1044 Données 2014, Edition
2 Sommaire CHIFFRES CLES... 4 PANORAMA DE LA BRANCHE «EN BREF»... 6 METHODOLOGIE... 9 VOLET ECONOMIQUE Caractéristiques des entreprises Activite et chiffre d affaires VOLET SOCIAL Effectifs salariés de la branche Le genre Le statut professionnel Age des salariés Ancienneté des salariés Contrats de travail Masse salariale Durée du travail Mouvements de main d œuvre et d effectifs Prévisions d emploi pour Absentéisme ACCORDS DE BRANCHE THEMATIQUES RESSOURCES HUMAINES L emploi de travailleurs handicapés L Egalité professionnelle VOLET FORMATION Le recours à la formation «en bref» Plan de formation «Moins de 10 salariés» Plan de formation «10 salariés et plus» Contrat de professionnalisation La période de professionnalisation Les formations de tuteurs Le Droit Individuel à la Formation Prioritaire ANNEXES
3 L Observatoire de la branche a confié à l Observatoire prospectif du commerce la réalisation du panorama 2015 (données 2014). Pilotage de l étude : Manon TATIBOUET, chargée d études. Traitement statistique des données : Mamoudou DIALLO, chargé d études statistiques Parution : septembre
4 CHIFFRES CLES CHIFFRES CLES Le commerce de détail en 2014 Base collecte, données entreprises couvertes par le FORCO en branches professionnelles 83% des entreprises ont moins de 10 salariés 40% de salariés dans les entreprises de salariés et plus. 60% des salariés sont des femmes. L Horlogerie en 2013 et 2014 Volet économique Nombre d entreprises Taille des entreprises 80% de TPE 80% de TPE Volet social - Profil des salariés Nombre de salariés Part des CDI 96% 95% Part des femmes 60% 60% Employés/ouvriers 55% 59% Agents de maitrise 14% 8% Cadres 31% 33% Age moyen 42,9 ans 42,6 ans Femmes 42,4 ans 41,6 ans Hommes 43,5 ans 43,4 ans Employés/ouvriers 41,5 ans 41,9 ans Agents de maitrise 41,3 ans 45 ans Cadres 42,6 ans 42,9 ans Ancienneté moyenne salariés en CDI 10,0 ans 10,9 ans Femmes 9,8 ans 10,1 ans Hommes 10,4 ans 11,6 Employés/ouvriers 8,7 ans 8,6 ans Agents de maitrise 14,2 ans 13,7 ans Cadres 13,5 ans 12,9 ans Part du temps partiel 9% 8% Femmes 12% 12% Hommes 2% 1% Employés/ouvriers 13% 12% Agents de maitrise 8% 5% Cadres 1% 1% Part des 45 ans et plus 48% Femmes 48% 46% Hommes 49% 46% Part des 55 ans et plus 18% 17% 4
5 CHIFFRES CLES Volet social - Mouvements de main d œuvre Taux d embauche 22% 27% Part des entrées en CDI 32% 27% Part des entrées en CDD 63% 69% Part CDD de remplacement 43% 44% Part des femmes dans les entrées 53% 62% Taux de départ 26% 32% Plan de formation moins de 10 salariés Part des femmes 62% Employés 90% Ouvriers 0% % (NB : 12 bénéficiaires) 83% Agents de maitrise / Cadres 10% 17% Part des moins de 26 ans 7% 8% Part des 45 ans et plus 20% 42% Durée moyenne de formation 23h 29,7h Principal thème de formation Plan de formation 10 salariés et + Informatique, bureautique Langues vivantes et informatique Part des femmes 55% 58% Employés/ouvriers 50% 43% Agents de maitrise 7% 9% Cadres 43% 47% Part des moins de 26 ans 16% 12% Part des 45 ans et plus 20% 20% Durée moyenne de formation 17h 15,9 h Principal thème de formation Contrat de professionnalisation Langues, commerce/vente, RH RH/gestion personnel/emploi Nombre de contrats Type de qualification 73% certifiant 70% certifiant Part des femmes 45% 6/10 Période de professionnalisation DIF Prioritaire Nombre d actions / 16 Type de qualification / 100% qualification CCN Part des femmes / 5/16 Part des moins de 26 ans / 0 CSP / 66% d AM et 33% de cadres Nombre d actions Part des femmes 64% 61% Part des moins de 26 ans 8% 0% Part des 45 ans et plus 34% 39% Principal thème de formation Langues, bureautique Langues, bureautique 5
6 EN BREF PANORAMA DE LA BRANCHE «EN BREF» L Horlogerie : un commerce de gros reposant surtout des entreprises importatrices La branche de l Horlogerie rassemble les entreprises du commerce de gros d horlogerie, pièces détachées, accessoires et outillage d horlogerie, relevant de la CCN n 3152 et notamment répertoriées sous le code NAF de l'insee 46.48Z. Le secteur est en large majorité composé d entreprises importatrices, représentées au sein de la Fédération de l Horlogerie : Des filiales françaises de groupes étrangers (Suisse, Japon ) qui organisent l importation, la vente aux détaillants et éventuellement le service après-vente (SAV). Elles sont essentiellement des PME de 50 à 250 salariés. Des entreprises indépendantes importateurs d une ou plusieurs marques d horlogerie, ne gérant ni la fabrication, ni la réparation. Des entreprises indépendantes de commerce de gros d articles d horlogerie, dont les fournituristes. 80 % d entreprises* de moins de 10 salariés. Les entreprises de 50 salariés et plus regroupent la moitié des salariés * relevant de la CCN n 3152, ayant au moins un salarié et adhérant au titre de l année 2013 au FORCO 60 % de femmes, 55 % ouvriers employés, 96 % en CDI 93 % à temps plein, Age moyen : 42,9 ans. 6
7 CONTEXTE DE LA BRANCHE Un contexte économique plus tendu et des importateurs toujours en voie de concentration Un marché ralenti par les effets de la crise économique L'année 2013 avait été difficile (-4%) et le 1 er semestre 2014 amplifiait même cette tendance (-5% par rapport au 1 er semestre 2013). L'amélioration enregistrée au 2 ème semestre 2014 pour les ventes de montres et de bijoux est d'autant plus remarquable : +3% par rapport à la même période de Elle permet finalement d'effacer le recul par rapport à 2013 avec un marché de l'horlogeriebijouterie pratiquement à l'équilibre en 2014 (-1% sur l'ensemble de l'année). Ce rebond de fin d'année a été particulièrement sensible pour l'horlogerie (+6% pour le mois de décembre 2014). Cela compense une année globalement difficile. Comme pour la bijouterie, les ventes de montres en 2014 sont quasiment à l'équilibre (-1% par rapport à 2013). Seul le milieu de gamme (montres de 100 à 999 ) enregistre une progression sur l'année (+2%). Le chiffre d affaires de la profession est en légère baisse milliards en 2014 contre en Le nombre de montres vendues est stable 12.9 millions en 2014 contre 13 millions en Le prix moyen est à 106 et n a pas évolué de 2013 à Le marché français demeure dynamique en raison notamment de la fréquentation touristique importante. Source : Francéclat 7
8 CONTEXTE DE LA BRANCHE Une profession d importateurs en voie de concentration Si la branche reste pour l essentiel composée de TPE-PME, la tendance depuis quelques années est à la concentration des acteurs et des marques et à l émergence de groupes plus structurés. Les salariés de la branche sont des commerciaux spécialisés dans la vente aux entreprises (50 % des emplois), des horlogers, des responsables d ateliers et des «fournituristes», employés sur deux principaux bassins d emploi : la région parisienne et la Franche Comté. Enjeux pour les professionnels de la branche Au-delà du contexte économique, les professionnels ont identifié des enjeux à relever. Ils sont liés : au recrutement : existence de difficultés de recrutement de personnel qualifié en Horlogerie à la fidélisation des salariés : la compétitivité salariale de la Suisse fait de ce pays la destination de la moitié des jeunes diplômés. Par ailleurs, le secteur est concentré sur deux bassins d emploi en France, l Ile de France et la Franche Comté, ce qui limite l attractivité géographique du secteur. aux évolutions technologiques : elles impactent les métiers techniques. Les formations sont souvent assurées en internes par les entreprises elles-mêmes. aux problématiques stratégiques telles que la sécurité des personnels de vente, la contrefaçon ou la confidentialité des données exacerbées en raison de l effet de convoitise des produits et du développement des nouvelles technologies au développement de partenariats avec les ministères de l Education nationale (CAP, BMA et DMA Horloger) et du Travail (titres de l AFPA) pour assurer la cohérence des certifications avec les besoins des entreprises à la transmission des savoirs, menacée par le vieillissement de ses enseignants (une trentaine de professionnels seulement pour une dizaine d établissements (CFA et lycées professionnels), dont une moitié de contractuels et un quart de titulaires à la retraite dans les cinq prochaines années) et l insuffisance du nombre de centres de formation en capacité de dispenser les «formations CQP». La formation professionnelle constitue ainsi un enjeu essentiel pour la branche de l horlogerie de gros. La France, proche de la Suisse et au cœur de l Europe, dispose aujourd hui de centres de formation performants qui accueillent environ 300 jeunes par an. Les écoles et CFA dépendent fortement de l accompagnement financier des entreprises de la branche dans leurs dispositifs de formation. Au lendemain d une réforme d envergure de l apprentissage, la branche s est positionnée en faveur d une politique de soutien à l apprentissage. L ASHBJOC, collecteur de la profession, disparaîtra au 31 décembre 2015 et laissera la place à un nouvel outil de collecte. Perspectives de la branche en matière de formation Dix ans après la création des CQP «Horloger Rhabilleur» et «Horloger montres à complications», la branche travaille à la réécriture des référentiels pour les adapter aux évolutions technologiques du métier et besoins des entreprises. L accord de révision des CQP a été signé le 28 novembre 2014 et a fait l objet d une extension publiée au Journal Officiel du 3 juillet
9 CONTEXTE DE LA BRANCHE METHODOLOGIE METHODOLOGIE Le panorama de l exercice 2014 a été établi, pour les entreprises d au moins 1 salarié, appliquant la convention collective de l horlogerie (CCN n 3152), en aout 2015, à partir de cinq sources d information : 1) L enquête emploi-formation 2014 Un questionnaire a été adressé aux entreprises en mars 2015 afin de recueillir les données chiffrées au 31/12/2014 dans 7 domaines : - Caractéristiques de l entreprise. - Données économiques relatives au chiffre d affaires. - Effectifs salariés au 31/12. - Mouvements de personnel. - Absentéisme. - Accords de branche / thématiques RH. - Formation professionnelle. La mise en ligne et l envoi du questionnaire, les relances (par mail), la saisie et la consolidation des données ont été réalisées par la Direction informatique du FORCO. Le traitement et l analyse des données ont été réalisés par l Observatoire prospectif du Commerce. L Observatoire a également participé aux relances auprès des principales entreprises de la branche. 11 questionnaires (697 salariés présents au 31/12 de l année et 605 ETP) ont été retournés, constituant l échantillon suivant : 2014 Entreprises % d entreprises Nombre ETP % de salariés répondantes couvertes 2014 couverts 1 à 4 salariés 2 3% 4 3% 5 à 9 salariés 1 5% 8 6% 10 à 19 salariés 1 9% 12 8% 20 à 49 salariés 4 40% % 50 salariés et plus 3 50% % Total 11 9% % Pour information, l échantillon en 2013 : 2013 Entreprises % d entreprises Nombre ETP % de salariés répondantes couvertes 2013 couverts 1 à 4 salariés 3 4% 5 3% 5 à 9 salariés 2 11% 15 12% 10 à 19 salariés 1 10% 13 9% 20 à 49 salariés 2 22% 65 22% 50 salariés et plus 5 71% % Total 13 10% % Pour comparaison, le taux de couverture en nombre d entreprises était de 10% en 2013 et 15% en 2012 et celui des salariés de 46% en 2013 et 45% en Hors mention contraire, les données ont été redressées afin d être représentatives de la branche. 9
10 METHODOLOGIE 2) Données DADS 2014 des entreprises Il a été demandé aux entreprises de transmettre une base de données avec les caractéristiques des salariés et des établissements dans lesquels ils exercent (fichier individuel salarié anonymisé). Ces éléments correspondent globalement aux données issues de la DADS. Elles permettent notamment de calculer et croiser les indicateurs suivants : le sexe, le statut professionnel, l âge, la nature des contrats (CDD, CDI, et autres), les postes occupés, la durée du travail, 2014 Entreprises % d entreprises Nombre ETP % de salariés répondantes couvertes 2014 couverts 1 à 4 salariés 0 0% 0 0% 5 à 9 salariés 1 5% 8 6% 10 à 19 salariés 1 9% 11 7% 20 à 49 salariés 3 30% % 50 salariés et plus 4 67% % Total 9 7% % Ces données ont été vérifiées (suppression des doublons, recodification et filtres sur les salariés présents au 31/12 de l année) puis pondérées en fonction du poids de chaque format dans la branche. 3) Les données du FORCO Une première série de données, issues de la collecte des fonds de la formation professionnelle continue de 2015 (masse salariale 2014), permet de caractériser la structure de la branche (nombre et taille des entreprises, effectifs salariés ). Une seconde série de données permet de mesurer le recours des entreprises adhérentes aux différents dispositifs de formation pris en charge par l OPCA. 4) Les données de l INSEE Le rapport de la situation du commerce en 2014 édition juin 2015 établi pour la Commission des Comptes Commerciaux de la Nation, permet en outre une mise en perspective des données de la branche avec celle de l ensemble du commerce de détail (en année n-1). 5) Les données du comité Francéclat Le Comité Francéclat est le comité professionnel de développement économique au service des secteurs de l'horlogerie, de la bijouterie, de la joaillerie, de l'orfèvrerie et des arts de la table. Il publie annuellement une note sur les tendances et chiffres clés du secteur. En annexes, des données complémentaires issues de différentes sources viennent compléter les données de l enquête et du FORCO : - Insee, DADS 2011 et 2012, données sur les salariés. - Bases Reflet CEREQ-Education Nationale, effectifs diplômés. - CPNEFP Horlogerie, données sur les CQP. 10
11 VOLET ECONOMIQUE VOLET ECONOMIQUE En résumé : entreprises dans la branche de l Horlogerie - Les entreprises de la branche représentent 0,3% de l ensemble des adhérents de l OPCA FORCO - 80% des entreprises de la branche emploient moins de 10 salariés - Les établissements sont concentrés à 39% en Ile de France - 1,352 milliards de chiffre d affaires en 2014, soit -1% par rapport à
12 VOLET ECONOMIQUE CARACTERISTIQUES DES ENTREPRISES Le nombre d entreprises adhérant à la Convention Collective Nationale de l Horlogerie diminue sensiblement en 2014 avec 124 entreprises. Evolution du nombre d'entreprises depuis Source : Collecte FORCO. Répartition des entreprises par taille en % des entreprises emploient moins de 10 salariés (TPE). 12% des entreprises emploient à minima 20 salariés. Depuis 2006, le nombre d entreprises par taille reste stable pour les TPE, alors qu il varie davantage pour les entreprises de 10 salariés et plus. Environ entreprises adhèrent au FORCO en % des entreprises comptaient moins de 10 salariés au 31/12/2014. Les entreprises de l Horlogerie représentent 0,3% de l ensemble des adhérents de l OPCA. 12
13 VOLET ECONOMIQUE Les établissements sont concentrés à 39% en Ile-de-France, puis pour 1/3 répartis entre trois Régions, PACA, Rhône-Alpes, et Franche-Comté. NB : Sont représentés sur cette carte les établissements (source INSEE, DADS 2012). Ils sont à différencier des entreprises recensées par le Forco. En complément de la carte, le tableau ci-contre détaille, par région, la répartition des établissements. Régions Nb établissements en % Ile de France 86 39,3 Provence-Alpes-Côte-D azur 27 12,3 Rhône-Alpes 26 11,9 Franche-Comté 17 7,8 Aquitaine 10 4,6 Pays-de-la-Loire 9 4,1 Languedoc-Roussillon 8 3,7 Poitou-Charentes 8 3,7 Bretagne 7 3,2 Nord-Pas-de-Calais 7 3,2 Centre 6 2,7 Haute-Normandie 5 2,3 Auvergne 3 1,4 Alsace 0 0,0 Basse-Normandie 0 0,0 Bourgogne 0 0,0 Champagne-Ardenne 0 0,0 Corse 0 0,0 Limousin 0 0,0 Lorraine 0 0,0 Midi-Pyrénées 0 0,0 Picardie 0 0,0 France ,0 13
14 VOLET ECONOMIQUE ACTIVITE ET CHIFFRE D AFFAIRES Le Chiffre d affaires de la Profession est en baisse, 1,352 milliards d en 2014 pour 1,367 milliards d en 2013 (soit -1%). Le nombre d unités vendues diminue également, avec 12,8 millions en 2014, pour 13 millions en Source : données Francéclat. En 2012, 55% des entreprises répondantes avaient un chiffre d affaires inférieur à Depuis 2013, environ 40% des entreprises répondantes sont dans ce cas et environ 60% des entreprises répondantes indiquent réaliser un chiffre d affaires supérieur à NB : La donnée est à prendre avec précaution car elle se base sur un petit nombre de répondants. Répartition des entreprises par tranche de chiffre d'affaires entre 2012 et 2014 > % > ; < 0% > ; < 23% > ; < > ; < 0% 23% > ; < 23% > ; < 20% < = % 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% Source : enquêtes emploi-formation. Echantillon par année : 2011 : 22 entreprises ; 2012 : 19 entreprises ; 2013 : 10 entreprises ; 2014 : 9 entreprises Repères En 2014, l activité des grossistes en horlogerie-bijouterie est toujours en retrait. Sur ce marché très volatil, les ventes perdent à nouveau 7% en volume, après la forte baisse de 2013 (-18,1%). Le recul du cours de l or (-10,4%) et de l argent (-19,9%) tire les prix de gros du secteur vers le bas (-1,1%). Les ventes perdent ainsi 8% en valeur. Pour autant, après avoir baissé de 7% en 2013, la production de l horlogerie-bijouterie gagne 1 % en valeur en 2014 (+9% en horlogerie). L ouverture du secteur est également en progression : les exportations augmentent de 18 % et les importations de 9 %. Source : INSEE La situation du commerce en 2013 Comptes commerciaux de la Nation 14
15 VOLET SOCIAL VOLET SOCIAL En résumé : ETP dans la branche de l Horlogerie, soit +1% par rapport à L Ile-de-France concentre la moitié des salariés, et la Franche-Comté 14,5% - 60% de femmes en % de femmes dans les TPE - 58% des salariés ont le statut d employé ouvrier - 35% de cadres - 62% des employés sont des femmes - L âge moyen des salariés est de 42,6 ans en /3 des effectifs est âgé de moins de 30 ans, et 46% sont âgés de 45 ans ou plus - L ancienneté moyenne est de 10,9 ans en % des salariés ont 10 ans d ancienneté ou plus - 95% des effectifs en CDI - Une masse salariale brute de 62,7 millions d en 2014 (pour 61,5 millions en 2013) - 92% des salariés à temps complet - Un taux de rotation de la main d œuvre de 29%, tous contrats confondus - 69% des entrées sont en CDD, et 56% des entrées en CDD sont liées à un surcroit d activité - 62% des entrées concernent des femmes - 36% des sorties sont liées à des fins de CDD 15
16 VOLET SOCIAL EFFECTIFS SALARIES DE LA BRANCHE En 2014, les entreprises de la branche emploient 1450 salariés (équivalents temps plein moyenne sur l année), enregistrant une légère augmentation (+1%) par rapport à Evolution de l'effectif salarié depuis Source : Collecte FORCO 2014 (masse salariale 2013) A périmètre constant (entreprises présentes dans le fichier collecte du FORCO en 2013 et 2014), les effectifs ont augmenté de 2% par rapport à NB : Festina France, qui compte 36 salariés, a basculé, entre 2013 et 2014, de la tranche 50 salariés et plus à celle de 20 à 49 salariés. Evolution du nombre de salariés des entreprises adhérant au FORCO entre 2013 et 2014 (périmètre constant) Ensemble 2% 50 salariés et plus -8% 20 à 49 salariés 22% 10 à 19 salariés 6% 5 à 9 salariés 13% 1 à 4 salariés -3% Source : Collecte FORCO 2015 (masse salariale 2014) 16
17 VOLET SOCIAL Les salariés sont concentrés pour 53% dans la capitale. 14,5% sont concentrés en Franche-Comté. En complément de la carte, le tableau cicontre détaille, par région, la répartition des salariés. Régions Nb de salariés en % Ile de France ,3 Franche-Comté ,5 Rhône-Alpes 99 6,4 Centre 92 5,9 Aquitaine 68 4,4 Nord-Pas-de-Calais 54 3,5 Provence-Alpes-Côte-d'Azur 54 3,5 Poitou-Charentes 37 2,4 Pays-de-la-Loire 28 1,8 Auvergne 27 1,7 Bretagne 23 1,5 Languedoc-Roussillon 14 0,9 Haute-Normandie 6 0,4 Alsace 0 0,0 Basse-Normandie 0 0,0 Bourgogne 0 0,0 Champagne-Ardenne 0 0,0 Corse 0 0,0 Limousin 0 0,0 Lorraine 0 0,0 Midi-Pyrénées 0 0,0 Picardie 0 0,0 France NB : Le rapport [nombre de salariés / nombre d établissements] (9,7 en Ile-de-France et 8,4 en Franche-Comté, pour une moyenne de 5,2 salariés/établissement toutes régions confondues) renseigne sur la présence de grands établissements dans ces deux régions. 17
18 VOLET SOCIAL LE GENRE Comme pour la majorité des branches du commerce de détail, les femmes sont surreprésentées au sein de la branche. 60% des salariés sont des femmes. Cette répartition est stable depuis Répartition des salariés par genre en % 60% Hommes Femmes Source : enquête emploi formation 2010 à 2012, DADS 2013 (champ : 9 entreprises employant 408 salariés) et 2014 (champ : 9 entreprises employant 594 salariés) Les femmes sont proportionnellement plus nombreuses dans les TPE (75% pour 56,5% dans les entreprises de 10 salariés et plus) 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 75% 25% Moins de 10 salariés Répartition des salariés par genre et taille d'entreprise 57% 56% 43% 44% 10 à 49 salariés 50 salariés et plus 60% 40% Ensemble Femmes Hommes Source : DADS 2014 Champ : 9 entreprises, proportion après redressement sur 1450 salariés 18
19 VOLET SOCIAL LE STATUT PROFESSIONNEL Les salariés de la branche sont à 58% des employés-ouvriers. La répartition reste quasiment identique depuis % Répartition des salariés par CSP Source : DADS - Champ : 9 entreprises, représentant 594 salariés 32% 30% 31% 33% 7% 9% 14% 8% 61% 60% 55% 58% Cadre Agent de Maitrise Employé Ouvrier 0% Repères : Selon l INSEE, en 2014, 57% des actifs occupés du commerce de détail sont des employés-ouvriers. Les CSP sont inégalement réparties en fonction de la taille d entreprise. Les cadres sont davantage représentés dans les TPE que dans les entreprises de 10 salariés et plus. Les employés-ouvriers, eux, sont davantage présents avec l augmentation de la taille de l entreprise. 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Les CSP selon la taille d'entreprise Source : DADS - Champ : 9 entreprises, représentant 594 salariés 50% 13% 38% Moins de 10 salariés 34% 9% 57% 26% 5% 69% 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Cadres Agents de maîtrise Employés & Ouvriers 19
20 VOLET SOCIAL AGE DES SALARIES L âge moyen des salariés de la branche est de 42,6 ans en 2014 (pour 42,9 ans en 2013, 42,4 en 2012, 41,3 ans en 2011 et 40 ans en 2010). Les hommes (43,4 ans) sont en moyenne légèrement plus âgés que les femmes (41,6 ans). Les agents de maîtrise sont en moyenne plus âgés (45 ans) que les cadres (42,9 ans) et employés ouvriers (41,9 ans). Champ : 9 entreprises, 591 salariés, proportion après redressement sur 1450 salariés La répartition femmes/hommes diffère en fonction de l âge. Pyramide des âges selon le genre 60 ans et plus 55 à 59 ans 50 à 54 ans 45 à 49 ans 40 à 44 ans 35 à 39 ans 30 à 34 ans 26 à 29 ans Moins de 26 ans 19% 17% 11% 13% 10% 12% 13% 3% 3% 3% 6% 13% 9% 10% 15% 13% 12% 18% Femmes Hommes Champ : 9 entreprises, 581 salariés, proportion après redressement sur 1450 salariés Cette pyramide des âges est plutôt équilibrée selon le genre. 46% des salariés sont séniors. Des écarts sont toutefois à relever pour les tranches d âge : ans et ans dans lesquelles les femmes sont davantage représentées ans dans laquelle les hommes sont davantage représentés Par rapport à l ensemble du secteur commerce, la présence de jeunes salariés est nettement moins marquée. Repère : Le commerce de détail est un secteur particulièrement jeune. En 2014, 13,1% des actifs occupés de ces secteurs ont moins de 25 ans. 20
21 VOLET SOCIAL L âge moyen de l effectif salarié de la branche diffère en fonction de la CSP, les agents de maîtrise étant plus âgés que les cadres, eux-mêmes plus âgés que les employés-ouvriers. Les moins de 30 ans sont proportionnellement plus représentés chez les employés ouvriers (18%). La part des 45 ans et plus est plus élevée chez les agents de maîtrise (55%). Cadres Age moyen : 42,9 ans Agents de maîtrise Employés ouvriers Age moyen : 45 ans Age moyen : 41,9 ans 60 ans et plus 55 à 59 ans 50 à 54 ans 45 à 49 ans 40 à 44 ans 35 à 39 ans 30 à 34 ans 26 à 29 ans Moins de 26 ans Ensemble des salariés Age moyen : 42,6 ans 0% 5% 10% 15% 20% 25% DADS 2014 : échantillon de 9 entreprises employant 545 salariés 21
22 VOLET SOCIAL ANCIENNETE DES SALARIES Source : DADS 2014 données brutes: échantillon de 9 entreprises employant 545 salariés. En moyenne en 2014, un salarié de la branche reste 10,9 ans dans son entreprise (moyenne de 10 ans depuis 2011) : - 10,1 ans pour les femmes - 11,6 ans pour les hommes Les agents de maîtrise et cadres ont une ancienneté moyenne plus élevée que les employés ouvriers. Par rapport à 2013, l ancienneté a diminué pour toutes les CSP, et notamment pour les cadres avec une perte d ancienneté de -0,6 années. Ancienneté des salariés par CSP (en années) 8,6 8,7 13,7 14,2 12,9 13,5 Employés Ouvriers Agents de Maîtrise Cadres % des effectifs ont au moins 10 ans d ancienneté dont 13% qui ont 20 ans ou plus d ancienneté. 36% des effectifs salariés ont moins de 5 ans d ancienneté. Répartition des salariés par tranche d'ancienneté Source : DADS - champ : 9 entreprises, 594 salariés 7% 29% 24% 18% 10% 13% Moins d'un an 1 à 4 ans 5 à 9 ans 10 à 14 ans 15 à 19 ans 20ans et plus Le détail par taille d entreprise (ci-dessous) montre que : - dans les TPE, la moitié des salariés ont une ancienneté comprise entre 5 et 9 ans. - dans les entreprises de 10 salariés et plus, environ 40% des entreprises ont une ancienneté inférieure à 5 ans Ancienneté des salariés par taille d'entreprise Source : DADS - champ : 9 entreprises, 594 salariés 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% -10% Moins d'un an 1 à 4 ans 5 à 9 ans 10 à 14 ans 15 à 19 ans 20ans et plus 1 à 9 salariés salariés 50 salariés et plus Ensemble 22
23 VOLET SOCIAL CONTRATS DE TRAVAIL Source : DADS 2013 (échantillon de 9 entreprises employant 410 salariés) et DADS 2014 (échantillon de 9 entreprises employant 594 salariés). 95% des salariés de la branche sont en contrat à durée indéterminée (pour 96% en 2013 et 2012, et 98% en 2011 et 2010). Les entreprises de la branche ont peu recours aux autres formes de contrats (contrats en apprentissage, contrats de professionnalisation, et autres contrats aidés). En fonction de la taille d entreprise, la proportion CDI/CDD varie peu. Selon le genre, la part de CDI varie sensiblement : en 2014, les femmes sont pour 95% en CDI, pour 94% chez les hommes. La durée moyenne des CDD est de 4 mois en 2014 (5,9 en 2013). MASSE SALARIALE La masse salariale brute s élève à 62,7 millions d euros en 2014, soit +1,9% d augmentation en un an (61,5 millions en 2013, 58,8 millions en 2012 et 56 millions en 2011). Montant de la masse salariale ( ) Effectifs salariés Nombre d'entreprises Montant moyen / salarié Les entreprises de 50 salariés et plus représentent 42% de la masse salariale. Répartition de la masse salariale par taille d'entreprise en % salariés 97 entreprises 38% salariés 21 entreprises 42% salariés 6 entreprises Moins de 10 De 10 à et plus Source : Collecte FORCO 2015 (masse salariale 2014). Et pour rappel : Répartition de la masse salariale par taille d'entreprise en % salariés 103 entreprises 31% salariés 19 entreprises 47% salariés 7 entreprises Moins de 10 De 10 à et plus Source : Collecte FORCO 2014 (masse salariale 2013). 23
24 VOLET SOCIAL DUREE DU TRAVAIL Dans la branche, selon les données DADS recueillies, 92% de salariés travaillent à temps complet. Répartition des salariés par durée de travail et taille d'entreprise Source : DADS - Champ : 9 entreprises, 594 salariés 88% 94% 94% 92% 13% 6% 6% 8% Moins de 10 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Temps plein Temps partiel Le temps partiel concerne plutôt : - Les femmes : 12% d entre elles sont à temps partiel pour 1% chez les hommes. - Les employés-ouvriers : 12% d entre eux sont à temps partiel pour 5% des agents de maîtrise et 1% des cadres. Source : enquête emploi-formation Echantillon de 11 entreprises employant 656 salariés. Heures complémentaires : 27% des entreprises répondantes ont déclaré réaliser des heures complémentaires (25% en 2013, 11% en 2012). 22,4h complémentaires/salarié en 2014 (champ : 9 salariés, 201 h complémentaires). Heures supplémentaires : 55% des entreprises répondantes ont déclaré réaliser des heures supplémentaires (43% en 2013, 31% en 2012). 33h supplémentaires/salarié en 2014 (champ : 97 salariés, 3214 h suppl.). Seule 1 entreprise parmi les 11 répondantes (dont 3 comptent à minima 50 salariés) a déclaré avoir déjà mis en place la base de données unique (BDU) à caractère économique et social base mise à disposition en permanence des représentants du personnel dans les entreprises d au moins 50 salariés. 24
25 VOLET SOCIAL MOUVEMENTS DE MAIN D ŒUVRE ET D EFFECTIFS Champ : 9 entreprises, 594 salariés NB : ces mouvements sont calculés sur les salariés tous contrats confondus Sur 11 entreprises répondantes, 10 ont déclaré des mouvements de main d œuvre en Le taux de rotation est de 29%, pour 24% en Il croît avec la taille de l entreprise. EMBAUCHES Taux d embauche : VOLUME DES EMBAUCHES 2013 VOLUME DES EFFECTIFS SALARIES = 10% TURN OVER Taux de rotation : TX D EMBAUCHE + TX SORTIE 2 = 13% SORTIES Taux de sortie : VOLUME SORTIES 2013 VOLUME DES EFFECTIFS SALARIES = 15% En termes d évolution, ces trois taux suivent des tendances similaires. Après un pic en 2011, ils ont baissé, et sont en légère hausse entre 2013 et Evolution des taux d'entrée, de sortie, de rotation de la main d'oeuvre depuis % 50% 40% 30% 20% Taux d'embauche Taux de sortie Taux de rotation de la main d'œuvre 25
26 VOLET SOCIAL Les entrées s e font majoritairement en CDD (69% pour 63% en 2013). 27% des entrées sont en CDI, et 4% sont d autres types de contrats (contrat d apprentissage, de professionnalisation, contrats aidés). La majorité des CDD (56%) sont signés pour faire face à un surcroît d activité. Le motif du remplacement décroit avec l augmentation de la taille de l entreprise. CDD par motifs - HOMMES CDD par motifs - FEMMES Ensemble 50 salariés et plus 10 à 49 salariés Moins de 10 salariés 43% 41% 50% 57% 59% 50% Ensemble 50 salariés et plus 10 à 49 salariés Moins de 10 salariés 45% 33% 55% 100% 55% 67% 45% remplacement surcroit activité remplacement surcroit activité Source : enquête emploi formation, échantillon de 9 entreprises, 585 salariés Parmi les entreprises répondantes, une déclare avoir transformé en CDI 7 CDD (champ : 1 entreprise couvrant 185 salariés). Ensemble 50 salariés et plus 10 à 49 salariés Moins de 10 salariés 50 salariés et plus 10 à 49 salariés Moins de 10 salariés Entrées selon le genre, et la taille d'entreprise Ensemble Hommes 38% 33% 19% 52% 50% Femmes 76% 33% 85% 62% 67% 100% 48% 50% Entrées par taille d'entreprise, selon la CSP 7% 17% 2% 48% Employés Agents de maitrise Cadres 76% sont employés ouvriers, 18% sont cadres, et 7% sont agents de maitrise 13% 66% des cadres et la moitié des employés recrutés ont entre ans. Les recrutements de séniors se font surtout pour les agents de maîtrise. 62% sont des femmes. Les recrutements dans les entreprises de 50 salariés et plus sont encore plus souvent ceux de femmes. Les recrutements dans les salariés sont davantage équilibrés selon la CSP que dans les TPE et les 50 et plus qui recrutent une majorité d employés. Répartition des entrées par âge selon la CSP 3% 9% 2% 9% 5% 35% 50% 33% Employés ouvriers 41% 66% 24% 23% Agents de maitrise Cadres 55 et plus 50 à 54 ans 45 à 49 ans 26 à 44 ans < 26 ans 26
27 VOLET SOCIAL Le principal motif de sortie est la fin de CDD, dans 36% des cas, suivi du licenciement économique. Les femmes sont davantage concernées par la fin de CDD, la rupture conventionnelle, et la démission. Les hommes sont plus touchés par le licenciement économique. ENSEMBLE Femmes Hommes Motifs de sortie, par genre 36% 37% 34% 21% 16% 28% 17% 16% 14% 14% 17% 11% 6% 6% 6% 2% 4% 4% 2% 1% 1% 1% 1% 4% 1% Source : enquête emploi formation, échantillon (faible) de 6 entreprises, 529 salariés Fins de CDD (hors transformation en CDI) Licenciements économiques Ruptures conventionnelles Démissions Autres licenciements Fins «autres contrats»* Départs en retraite ou préretraite Ruptures de période d essai Transferts vers une autre entreprise du groupe Décès Autres motifs Le motif varie en fonction de la taille d entreprise. Par exemple, le transfert vers une autre entreprise du groupe et les ruptures de période d essai concernent uniquement les 50 salariés et plus, les licenciements économiques les salariés. 86% sont employés / ouvriers, 14% sont cadres, et aucune sortie d agent de maitrise n est signalée en % sont des femmes 4 entreprises sur 9 répondantes, employant au total 480 salariés, ont déclaré rencontrer des difficultés de recrutement, sur au moins une famille de métiers. Ces difficultés de recrutement concernent plus particulièrement les métiers de l atelier (85%), et en moindre mesure ceux de la vente et du marketing, même si l échantillon des répondants est réduit et ne permet pas forcément de tirer des conclusions pour l ensemble de la branche. 27
28 VOLET SOCIAL PREVISIONS D EMPLOI POUR 2015 Parmi les 5 entreprises répondantes (344 salariés), 75% prévoient une stagnation des effectifs pour 2015, pour 98% en Seules les TPE prévoient une diminution (33%), et seules les 50 salariés et plus prévoient une augmentation (30%). Prévision de l'évolution des effectifs 2015 selon la taille de l'entreprise 2% 30% 67% 33% 100% 70% 75% 23% Augmentation stagnation Diminution Moins de 10 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus ENSEMBLE Champ : 5 entreprises, 344 salariés, proportion après redressement Les besoins des entreprises qui prévoient d embaucher en 2015 se concentrent surtout sur des emplois liés à la vente dans 2 entreprises répondantes. Les ateliers sont concernés par des prévisions d augmentation pour 1 entreprise répondante. Des diminutions sont à prévoir dans les ateliers d une entreprise répondante. Prévision des effectifs 2015 selon la famille de métiers (données brutes, en nb d'entreprises répondantes) Augmentation stagnation Diminution 2 1 Vente Atelier Logistique Marketing Administratif Champ : 5 entreprises, 344 salariés, proportion après redressement 28
29 VOLET SOCIAL ABSENTEISME Source : enquête emploi-formation Echantillon de 9 entreprises employant 572 salariés. 8 entreprises sur 9 répondantes, employant 572 salariés au total, ont déclaré avoir eu au moins un salarié en arrêt de travail en Au total, 216 arrêts ont été déclarés par les entreprises répondantes, concernant 153 salariés et 4604 jours d absence. Le principal motif d absence est la maladie non professionnelle (72% des jours d absence en 2014, 77% en 2013). Le deuxième motif est l absence liée à la «vie familiale» 1 (25% des jours d absence 2014, 21% en 2013). Pour les femmes, le motif vie familiale est plus fréquent que pour les hommes. Hommes Femmes Nombre de jours d'absence en 2014 par sexe, selon le motif d'arrêt 10% 26% 90% 2% 72% Vie familiale Maladie professionnelle Maladie non professionnelle Le premier motif d absence est la «maladie non professionnelle» mais sa part est supérieure pour les agents de maîtrise et cadres. Pour les employés ouvriers (46%) et cadres (21%), le motif «vie familiale» représente également une part des jours d absence significative. Nombre de jours d'absence en 2014 par CSP, selon le motif d'arrêt Cadres Agents de maitrise 3% Employés/Ouvriers 21% 5% 46% 97% 2% 74% 52% Vie familiale Maladie professionnelle Maladie non professionnelle 1 *vie familiale : évènements familiaux, congés de maternité et de paternité, congé parental, enfants malades ** autres : congés sabbatiques, créations d entreprises, congés formation, chômage partiel 29
30 ACCORDS DE BRANCHE ACCORDS DE BRANCHE THEMATIQUES RESSOURCES HUMAINES 30
31 ACCORDS DE BRANCHE L EMPLOI DE TRAVAILLEURS HANDICAPES Source : enquête emploi-formation 2014 La loi du 11 février 2005 fixe à tout établissement privé ou public d au moins 20 salariés une Obligation d Emploi de Travailleurs Handicapées (OETH), à hauteur de 6% de l effectif total. Les employeurs peuvent s acquitter de cette obligation selon plusieurs modalités : recruter des travailleurs handicapés, sous-traiter au secteur protégé ou adapté ou accueillir des stagiaires 2 handicapés. A défaut, ils doivent verser une contribution correspondante à l AGEFIPH. 5 entreprises sur 12 répondantes (employant 624 salariés) ont indiqué employer 7 travailleurs handicapés en *EA : entreprises adaptées **CDTD : centres de distribution de travail à domicile ***ESAT : établissements ou service d aide par le travail Pour les 5 entreprises répondantes soumises à l obligation légale, le nombre de bénéficiaires prévus étaient de 28. Elles en ont employé 6. 2 Avant la loi du 11 février 2005, seuls étaient comptabilisés les stages de la formation professionnelle. Aujourd hui, sont également compris les stages organisés par l AGEFIPH ou prescrits par Pôle Emploi, les stages en alternance dans le cadre de la scolarité du second degré et les stages d étudiants dans le cadre d un cursus d enseignement supérieur. Pour être comptabilisés, ces stages doivent systématiquement faire l objet d une convention tripartite : l établissement, le stagiaire et le centre de formation. Ils doivent être d une durée minimale de 40h et achevés dans le courant de l année de la déclaration. 31
32 ACCORDS DE BRANCHE L EGALITE PROFESSIONNELLE Un accord a été signé dans la branche de l Horlogerie relatif à la mixité et à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes : l accord du 22 juin 2009 conclu dans le cadre de la loi du 9 mai 2001, de l ANI du 1er mars 2004 et de la loi du 23 mars 2006, pour une durée indéterminée. L accord est suivi à travers 7 indicateurs, par genre : Effectifs salariés Femmes Hommes En % 39% En % 40% Par CSP Employés / Ouvriers 62% 38% Agents de maîtrise 32% 68% Cadres 63% 37% Par tranches d âge Moins de 26 ans 3% 3% 26 à 29 ans 13% 12% 30 à 34 ans 17% 13% 35 à 39 ans 12% 15% 40 à 44 ans 10% 10% 45 à 49 ans 13% 18% 50 à 54 ans 19% 9% 55 à 59 ans 11% 13% 60 ans et plus 3% 6% Par tranches d ancienneté (données brutes) Moins d'un an 10% 9% 1 à 4 ans 39% 33% 5 à 9 ans 15% 21% 10 à 14 ans 11% 12% 15 à 19 ans 7% 9% 20 ans et plus 18% 16% Ancienneté moyenne 10,1 ans 11,6 ans Formation Femmes Hommes Par type d action Plan de formation moins de 10 salariés 33% 67% Plan de formation 10 salariés et plus 58% 42% Contrat de professionnalisation 60% 40% Période de professionnalisation 31% 69% DIF prioritaire 61% 39% Durée et organisation de travail Femmes Hommes Par durée du travail Temps complet 88% 99% Temps partiel 12% 1% 32
33 VOLET FORMATION VOLET FORMATION En résumé : Plan de formation -10 salariés : - 12 bénéficiaires - 1/3 de femmes - 83% d employés - 1/4 des bénéficiaires sont âgés entre 40 et 44 ans - Durée moyenne = 29,7 heures - Principaux thèmes : langues vivantes et informatique Contrat de professionnalisation : - 10 contrats conclus en entreprises/7 ayant recours aux contrats de professionnalisation sont des PME de salariés - 100% des contrats en CDD - 7/10 visent un diplôme ou titre d Etat - Principal thème de formation : commerce / vente - Les bénéficiaires : 6/10 sont des femmes, tous âgés de moins de 26 ans, et 50% entrés en contrat de professionnalisation avec une formation de niveau IV Plan de formation 10 salariés et plus : bénéficiaires - 58% de femmes - 47% de cadres - 20% âgés de plus de 45 ans - Durée moyenne : 15,9 heures - Thème principal : RH/gestion du personnel/emploi Période de professionnalisation : - 16 PP conclues en Toutes les entreprises ayant recours aux PP ont salariés - Toutes les PP visent une qualification reconnue CCN - Les bénéficiaires : 11/16 sont des hommes, 10/16 ont ans, et tous sont cadres DIF Prioritaire : - 68 bénéficiaires - 70% dans des entreprises de salariés - 22% agés de ans - 61% de femmes - Principaux thèmes : langues vivantes et bureautique Formation tuteur : Aucune formation tuteur réalisée en
34 VOLET FORMATION LE RECOURS A LA FORMATION «EN BREF» Source : enquête emploi-formation 2014, données brutes. Echantillon de 9 entreprises employant 594 salariés. 57% des entreprises répondantes (au total, 9 entreprises employant 96% des effectifs salariés des entreprises répondantes ont répondu) ont indiqué avoir formé des salariés en La moitié des TPE répondantes, 75% des salariés, et la totalité des 50 salariés et plus indiquent avoir formé au moins un salarié en Formation ou non d'au moins un salarié par taille d'entreprise 50% 25% 43% 50% 75% 100% 57% Non Oui Moins de 10 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus ENSEMBLE 46% des bénéficiaires ont été formés dans le cadre du plan de formation, 26% dans le cadre du DIF et 25% n ont pas suivi de formation. 64% des entreprises répondantes ont mobilisé le DIF. % de bénéficiaires et % d'entreprises concernées par dispositif Source : enquête emploi formation, échantillon 9 entreprises, 572 salariés DIF Autres actions plan de formation Contrat de professionnalisation Bilan de compétences Aucune Formation Contrat d apprentissage CIF VAE Formation tuteur Période de professionnalisation 1,5% 8% 0,6% 6% 3% 0,5% 3% 0,2% 2% 0% 0% 0% 14% 25,6% 25,2% 64% 46,3% % de salariés % d'entreprises 34
35 VOLET FORMATION PLAN DE FORMATION «MOINS DE 10 SALARIES» Source : données formation FORCO 2014 En 2014, 12 salariés (0.8% des salariés) ont été formés dans les TPE de la branche, enregistrant une baisse entre 2013 et 2014 de -61% (-19 salariés formés). Nombre de bénéficiaires du plan de formation Les principaux thèmes de formation visés dans le cadre du plan de formation des TPE sont les langues vivantes et l informatique / traitement des informations et données. Pour rappel, en 2013, «secrétariat / bureautique» et «sécurité / hygiène» étaient des formations plus mobilisées que les langues. La durée moyenne de formation des bénéficiaires augmente en 2014, passant à 29,7 heures (pour 23 heures en 2013). Les formations sont plus longues pour : - les jeunes de moins de 26 ans - les ans - les cadres (58 heures) Durée moyenne des actions de formation par tranche d'âge (en heures) 60 ans et plus De 55 à 59 ans De 50 à 54 ans De 45 à 49 ans De 40 à 44 ans De 35 à 39 ans De 30 à 34 ans De 26 à 29 ans Moins de 26 ans /3 des bénéficiaires de la formation sont des femmes dans les petites entreprises de moins de 10 salariés. NB : la part des femmes parmi les effectifs salariés de la branche est de 60% en % des salariés formés dans les TPE sont des employés. Aucun agent de maîtrise n a suivi de formation en Répartition des bénéficiaires du plan de formation -10 par CSP Employés 83% Cadres 17% 35
36 VOLET FORMATION PLAN DE FORMATION «10 SALARIES ET PLUS» Source : données formation Forco 2014 NB : Ces données ne sont pas exhaustives dans la mesure où les grandes entreprises peuvent gérer en interne une partie de leur plan de formation. En 2014, 116 salariés (8% des salariés) ont été formés dans les entreprises de 10 salariés et plus en 2014 (soit 18 salariés de moins par rapport à 2013). La croissance de ces effectifs était régulière depuis 2010, mais diminue entre 2013 et Nombre de bénéficiaires du plan de formation 10 et plus Principaux thèmes de formation (en nb d'actions) Le 1 er thème de formation visé dans le cadre du plan de formation des 10 salariés et plus sont les RH/gestion du personnel/emploi. RH GEST. DU PERSONNEL/EMPLOI LANGUES VIVANTES COMMERCE VENTE SECRETARIAT BUREAUTIQUE INFORM.TRAIT.INFOS ET DONNEES COMPTABILITE GESTION SPÉC. PLURITECHNO TRANSFORM La durée moyenne de formation des bénéficiaires augmente en 2014, passant à 15,9 heures (pour 17 heures en 2013). Durée moyenne des actions de formation par tranche d'âge (en heures) 60 ans et plus De 55 à 59 ans De 50 à 54 ans De 45 à 49 ans De 40 à 44 ans De 35 à 39 ans De 30 à 34 ans De 26 à 29 ans Moins de 26 ans 16,5 15,4 12,2 12,8 18,1 15,0 18,6 15,4 13,5 Les bénéficiaires des formations dans les entreprises de 10 salariés et plus sont pour 67% âgés de ans, dont 18% ont ans. 58% des bénéficiaires de la formation sont des femmes dans les petites entreprises de 10 salariés et plus. Répartition des bénéficiaires du plan de formation 10 et plus, par tranche d'âge 60 ans et plus ans ans ans ans ans ans ans Moins de 26 ans 3% 3% 4% 10% 12% 16% 16% 18% 17% Répartition des bénéficiaires du plan de formation 10 et + par CSP 47% des salariés formés dans sont cadres, et 42% employés. 47% 42% 9% Cadres Employés Agents de maîtrise, technicien Ouvriers 36
37 VOLET FORMATION CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION La loi fixe à toute entreprise de plus de 250 salariés, en 2015, une Obligation d Emploi d alternants, à hauteur de 5% de l effectif total. A défaut, les employeurs doivent verser une Contribution Supplémentaire à l Apprentissage (CSA). Pour le calcul de la CSA sont pris en compte : les contrats de professionnalisation, les contrats d apprentissage, le volontariat international en entreprise (VIE), Les conventions industrielle de formation par la recherche (CIFRE). (Article 1609 quinvicies du code général des impôts) 10 contrats de professionnalisation sont enregistrés en Ce chiffre est stable d années en années. 7 Nombre de contrats de professionnalisation pris en charge entreprises/7 ayant recours aux contrats de professionnalisation en 2014 sont des PME de salariés. 2 sont des entreprises de et 1 est une TPE. Pour les 7 entreprises répondantes, aucune ne comportant plus de 250 salariés, elles ne sont pas soumises à l obligation légale. Elles ont employé 10 contrats de professionnalisation. 6 bénéficiaires/10 en 2014 sont des femmes. Les 10 bénéficiaires ont moins de 26 ans En amont du contrat de professionnalisation, 4 d entre eux étaient en scolarité, et 4 d entre eux étaient déjà en contrat de professionnalisation. 1 était en contrat d apprentissage, et un était inactif. Avant leur entrée en contrat de professionnalisation, la moitié des bénéficiaires avait le niveau Bac (niveau IV), et la moitié avait un niveau BAC+3 ou plus. 7 contrats/10 visent l obtention d un diplôme ou titre d état, et 3/10 une certification ou titre RNCP. Le commerce / vente regroupe la moitié des thèmes de formation. En 2014, la totalité des contrats de professionnalisation ont été conclus en contrats à durée déterminée (82% en 2013, et 100% en 2012). 7 contrats de professionnalisation/10 ont une durée égale ou supérieure à 1 an. 8 contrats/10 prévoient une durée hebdomadaire adossée sur la durée légale du travail (35 heures). 1/10 dépasse cette durée hebdomadaire. 37
38 VOLET FORMATION LA PERIODE DE PROFESSIONNALISATION 16 périodes de professionnalisation sont enregistrés en Ce chiffre marque une différence avec les années précédentes, durant lesquelles peu ou pas de périodes de professionnalisation étaient suivies. Nombre de périodes de professionnalisation prises en charge L ensemble des entreprises ayant recours aux contrats de professionnalisation en 2014 sont des entreprises de salariés. 11 bénéficiaires/16 en 2014 sont des hommes. 10/16 bénéficiaires ont entre ans, et 6 ont 45 ans et plus Tous sont ingénieurs/cadres. Toutes les périodes de professionnalisation visent une qualification reconnue CCN. Le commerce / vente regroupe la moitié des thèmes de formation. LES FORMATIONS DE TUTEURS Aucune formation tuteur n a été réalisée en
39 VOLET FORMATION LE DROIT INDIVIDUEL A LA FORMATION PRIORITAIRE NB : Avec la réforme de la formation professionnelle, à partir du 1er janvier 2015, les salariés n acquièrent plus d heures de formation au titre du DIF mais du compte personnel de formation (CPF). Les heures de DIF acquises au 31 décembre 2014 ne sont toutefois pas perdues et peuvent être utilisées jusqu au 31 décembre Lorsqu elles correspondent à des thèmes prioritaires définis par la branche professionnelle 3, les actions de formation réalisées au titre du DIF peuvent bénéficier d un co-financement total ou partiel des coûts pédagogiques sur les fonds de la professionnalisation. 68 salariés ont bénéficié d un DIF prioritaire en Nombre d'actions de formation réalisés au titre du DIF Prioritaire Les DIF Prioritaires ont été réalisés en 2014 pour 70% dans des entreprises de salariés, et 30% dans des PME de salariés. En 2014, les bénéficiaires sont surtout : - Agés de ans - Des femmes pour 61% Répartition des bénéficiaires des DIF Prioritaires par tranche d'âge 60 ans et plus De 55 à 59 ans De 50 à 54 ans De 45 à 49 ans De 40 à 44 ans De 35 à 39 ans De 30 à 34 ans De 26 à 29 ans Moins de 26 ans 6,5% 8,1% 6,5% 0% 9,7% 16,1% 12,9% 17,7% 22,6% Les formations suivies sont surtout les langues (58%) et la bureautique (27%). 60% des formations ont une durée inférieure à 20 heures. Répartition des actions de formation au titre du DIF prioritaire par durée de l'action De 80 à 120h De 40 à 79h De 20 à 39h Moins de 20h 3% 4% 34% 59% 3 Formations techniques (horlogerie, électronique, gravure, sertissage, polissage ). Formations liées à l informatique (logiciels de communication, de création, de gestion ). Formations tertiaires (langues étrangères, formalités douanières pour l import-export, juridique, management ). Formations commerciales (techniques de vente, connaissance du produit, accueil et conseil du client ). 39
40 ANNEXES ANNEXES En résumé : Données DADS code NAF 46.48Z Diplômes Horlogerie Glossaire Niveau des certifications correspondant à la nomenclature fixée par l Education nationale Définition des thèmes de formation Questionnaire envoyé aux entreprises de la branche 40
41 ANNEXES Résultats données DADS 2011 et 2012 code NAF 46.48Z (Commerce de gros d articles d horlogerie et de bijouterie) [Actualisation possible à partir de fin 2015] Nombre de postes Valeur % Sexe Hommes % Femmes % Total % 2011 Nombre de postes Valeur % Statut Cadre % Agent maîtrise % Ouvrier, employé % Total % 2011 Nombre de postes Valeur % Age - de 21 ans 45 2% ans 227 9% ans % ans % ans % ans % ans % ans % + de 55 ans % Total % 2011 Durée travail Nombre de postes Valeur % Temps complet % Temps partiel % Total % 2012 Nombre de postes Valeur % Sexe Hommes % Femmes % Total % 2012 Nombre de postes Valeur % Statut Cadre % Agent maîtrise % Ouvrier, employé % Total % 2012 Nombre de postes Valeur % Age - de 21 ans 55 2% ans 212 8% ans % ans % ans % ans % ans % + de 55 ans % Total % 2012 Durée travail Nombre de postes Valeur % Temps complet % Temps partiel % Total % NB : Le secret statistique masque certaines valeurs pour ces données. Aussi, les totaux sont légèrement sous-estimés (15 postes au maximum pour les indicateurs sexe, âge, durée et 30 au maximum pour le statut). 41
42 ANNEXES Les diplômes de l horlogerie : Nombre d élèves présentés et admis au DMA Horloger, par session, entre 1999 et 2013, selon le mode de formation. ENSEMBLE Voie scolaire Autres Session Académie Présentés Admis Taux Présentés Admis Taux Présentés Admis 2013 BESANCON % % 2012 BESANCON % % 2011 BESANCON % % BESANCON % % 2009 BESANCON % % 2008 BESANCON % % 2007 BESANCON % % 2005 BESANCON % % 2004 BESANCON % % BESANCON % % 2002 BESANCON % % 2001 BESANCON % % 2000 BESANCON % % 1999 BESANCON % % 53
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