, Boulevard des Capucines, Paris.
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- Viviane Papineau
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1 concl b Tél( : gsb C lich é du G u y, GALERIE DU THEATRE. ACADÉMIE NATIONALE DE MUSIQUE ED ITEU R S : Mau^i, Jayant & C"', 24, Boulevard des Capucines, Paris. Mlle T orri PRIX NET : 2 fp. ; Étranger, 2 îr. 50 SS*
2 P A U L SORJVIANI 1 0, ï ^ u e C Ç a i ^ I o ï it S&<ss ai Wm&Mm (oatalogue illuàtzc fzanco C H E M IN S D E F E R D E P A R IS -L Y O N -M É D IT E R R A N É E VILLES D EAUX DESSERVIES PAR LE RÉSEAU P.-L.-M. 1 Billets d Aller et Retour collectifs (de famille) Il est délivré, du 15 mai au 15 septembre, dans toutes les gares du réseau P.-L.M., sous condition d effectuer un parcours simple minimum de 150 kilomètres, aux familles d au moins trois personnes voyageant ensemble, des billets d aller et retour collectifs de l r«, 2e el3 e classes, valables 33 jours, pour les stations thermales suivantes : Aix-en-Provence, Aix-les-Bains (Aixles-Bains, Marlioz), B eaum e-les-d am es (Guillon), Besançon, Bourbon-Lancy. Carpentras (Montbrun), Cette (Balaruc), Chambéry (Challes), Charbonnières-les-Bains, Clermont-Ferrand (Royat), Coudes-Saint-Nectaire, Digne, Die (Le Martouret), Sallières-les-Bains, Divonne-les- Bains, Euzet-les-Bains, Evian-les-Bains lamphioni, Genève (Champel), Grenoble (Uriage), Groisy-le-Plot-la-Caille, La Bastide-Saint-Laurent-les-Bains, Le Fayet-Saint-Gervais, Le Luc et Le Cannet (Pioule), Lépin-Lac-d Aiguebelette (La Bauche), Lons-le-Saunier, Manosque (Gréoulx), Menthon (Lac d Annecy), Montélimar (Bondonneau), Montpellier ipalavas), Montrond (Montrond-Geyser), Moulins (Bourbon-l Archambault), Moutiers-Salins (Salins, Brides), Pontcharra-sur-Bréda (Allevard), Pougues-les-Eaux, Rém illy (Saitit-Honoré-les-Bains), Riom (Châtelguyon, Châteauneuf), Roanne (Saint-Alban), Sail-sous-Couzan, Saint-Georges-de-Commiers (La Motte-les-Bains), Saint-Julien-de-Cassagnas (Les Fumades), Saint-Martin-Sail-les-Bains, Salins (Jura), Santenay, Sarrians-Montmirail, Sauve (Fousange-les-Bains), Thonon-les-Bains, Vals-les- Bains-la-Bégude, Vandenesse, St-Honoré-les-Bains, Vichy (Vichy-Cusset), Villefort (Bagnols). Le prix s obtient en ajoutant au prix de quatre billets simples ordinaires (pour les deux premières personnes), le prix d un billet simple pour la troisième personne, la moitié de ce prix pour la quatrième et chacune des suivantes. A r r ê t s f a c u l t a t i f s. Faire la demande de billet quatre jours au moins à l avance à la gare où le voyage doit être commencé. 2 Billets 'd3aller et Retour individuels. Il est délivré du 15 mai au 15 septembre, dans toutes les gares du réseau, des billets d aller ft retour de l re, 2 et 3e classps, comportant une réduction de 25 pour cent en l re classe, et de 20 pour cent en 2» et 3e classes, pour les stations thermales dénommées ci-dessus. Validité : 10 jours. Faculté de prolongation. Arrêts facultatifs. CHEMIN DE FER D ORLÉANS B IL L E T S D A B O N N E M E N T DE F A M IL L E POUR LES PLAGES DE LA BRETAGNE En vue de faciliter les déplacements des familles sur les plages de la Bretagne, la Compagnie d Orléans vient de soumettre à l Administration supérieure une proposition ayant pour objet d émettre des billets d abonnement de famille de l et de 2e classe pour Bains de Mer et Excursions sur les plages de Bretagne, comportant la faculté de circuler à volonté sur les lignes et sections de ligne qui relient ces Plages entre elles, du Croisic et de Guérande à Châteaulin. Ces billets emporteraient la réduction ci-après, sur les prix pleins des billets individuels d abonnement existant pour les Plages : l ra Carte. Prix plein du billet individuel. 2 Carte. Réduction de 10 pour cent sur le prix du billet individuel. 3 Carte. Réduction de 20 pour cent sur le prix du billet individuel. 4e Carte. Réduction de 30 pour cent sur le prix du billet individuel. 5e Carte. Réduction de 40 pour cent sur le prix du billet individuel. 69 Carte. Réduction de 50 pour cent sur le prix du billet individuel et au delà. Ils seraient délivrés chaque année, du samedi veille des Rameaux au,31 octobre inclus, et seraient valables 33 jours, avec facilité de prolongation moyennant supplément. Chemins de fer du Nord SAISON DES BAINS DE MER Chemins de fer du Nord ju L s q ;-u. a.-u. 3 1 o cto bre B I L L E T S D A L L E R E T R E T O U F. Prix (non compris le timbre de quittance) et durée du trajet au départ de Paris DE PA R IS BILLETS BILLETS HEBDOMADAIRES W DURÉE DE PA R IS BILLETS D EXCURSION (b) BILLETS HEBDOMADAIRES ^ A U X S T A T IO N S B A L N E A IR E S du A U X S T A T IO N S B A L N E A IR E S D EXCURSION (b) CI-DESSOUS l re cl. 2 e cl 3e cl. 2«cl. 3«cl. TR A JET CI DESSOU S 1 cl. 2 cl. 3 cl. 2 cl. 3 cl. DUREE du T R A JE T B e r c k >» » h. 1/2 L effrin ckou k e heures Boulogne i v i l l e >» h. 1/4 Le Tréport-M ers » h.» Calais ( v i l l e l » h. 1/2 L oon -P la ge h. 1/2 Caveux »> h. 1/2 Marquis e - B i n x e n t h.» C o n c h il-le -T e m p le h. 1/2 1 N o y elle s h.» D annes-c am iers h. 1/2 Paris-Plage (Tramway du 15 mai Dunkerque heures au 15 octobre) >» h. 1/4 E t a p le s » h. 1/4 Q u end-fort-m ahon h 1/2 E u h..» Saint-Valery-sur-Somme h.» Ghyvelde (Bray-Dunes) h.» W im ille -W im e re u x h. 1/2 Gràvelines (Petit-fort-Philippe; h. 1/2 W o in c o u r t h. Le C r o t o y h 1/2 Zuydcoote h.» (a ) Valables du vendredi au mardi ou de l avant-veille au surlendemain des fêtes légales. Des carnets comportant cinq billets d aller et retour «ont délhrés dans toutes les gares et stations du réseau à destination des sta'ions balnéaires ci-dessus le voyageur qui prendra un carnet pourra utiliser les coupons dont il se compose à une date quelconque dans le délai de 33 jours, non compris le jour de distribution. fb ) Valables pendant une journée les dimanches et jours de fêtes légales. Une réduction de 5 à 25 pour cent est faite selon le nombre des membres de la famille. NOTE IM PO RT NTE. Pour les heures de départ et d arrivée, ainsi que pour les autres billets spéciaux de bains de m er, consulter les affiches.
3 CERCLE LA DE L A V IE IL LE RUE REVUE. ROYALE P r o l o g u e Colombine. MIle Jeanne Saulier
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5 mr LE THÉÂTRE N 112 Août 1903 (II)
6 C lich é C a u lin S f B e r g e r. M mo G U IO N IE. 1 er C liché II. M anuel. p rix de chant MUe t a p p o n n ie r. l or Prix de c h a n t M mo ver g o n n et. 1er P rix de chant Les Concours du Conservatoire ont été, cette année, d une bonne moyenne, Du côté des femmes, vingt-deux concurrentes se sont pré et, si nous exceptons le concours des hommes sentées, la séance fut chaude, mais les oreilles ont eu rarement pour l opéra-comique, qui fut plutôt faible, à souffrir, et furent même le plus souvent charmées; quant aux dans son ensemble, ou peut dire, avec yeux, ils eurent presque tout le temps à se réjouir, car ce fut quelques réserves, que la série est une des vraiment concours de jolies femmes. meilleures que nous ayons eues depuis long Trois premiersprix ontété attribucv.à MademoiselleTappontemps. nier, la fille du chef d orchestre de ce nom, excellente Pour le «chant», les récompenses ont musicienne, qui a dit avec beaucoup de simplicité et de talent réel été nombreuses. Il me paraît qu elles s adressent plus aux voix l air d Agathe du F r e y É c h u t elle manque un peu de hardiesse, qu à l exécution. Des voix, il y en a de fort belles, et on s étudie à Madame Vergonnet quejle belle chevelure!! qui à les former, mais de la diction, de «l art de chanter», il a dit, d une voix bien timbrée, l air des Pêcheurs de p e rle s, de semble qu on ne se préoccupe guère. A qui la faute? simple Bizet, remis à la mode par Emma Calvé; enfin à Madame ment à la tendance de l École moderne, qui substitue unifor Guionie, une blonde exquise, à la voix fraîche et brillante, qui mément l harmonie et parfois, quelle harmonie! à la vocalise tout naturellement, comme chante un oiseau. Elle s est mélodie, si bien ou si mal, que l art du chant devient fatale fait entendre dans la valse du Pardon de P loërm el, où elle lance ment l art de pousser des sons et rien de plus. On a surtout le trait toujours net et juste, avec un véritable charme d exé besoin de voix, on cherche donc à faire cution. Deux seconds prix : à Made des voix. Quant à la diction et au style, moiselle Foreau, une jolie brune, au cela se relègue au magasin des acces tempérament bien théâtral, qui a eu soires... inutiles. beaucoup de succès dans l air époudu côté des hommes, nous trouvons monnant de Fidelio, et à Mademoiselle deux premiers prix : M. Levison, élève Duchêne, un mezzo-soprano, presque de Madame Rose Caron. Ce choix a contralto, car les notes basses sont très paru causer quelque étonnement au belles, un talent ferme et classique, qui public. Cependant M. Levison est, par semble se spécialiser dans la musique exception, à peu près l unique «diseur» d Hændel ; l année dernière elle chan de la pléiade couronnée. Il est de bon tait l air de X e rx è s, du maître anglais; physique, et sa voix de baryton, un peu cette année, ce fut celui de H éraclès, faible, est d agréable qualité. Son copardu même. tageant, M. Devriès, de la famille lyrique Trois premiers et trois seconds ac de ce nom, est un ténor, l oiseau rare; cessits ; passons, elles «sont trop», sa voix manque de sonorité, mais le comme à Waterloo, et sur le carreau il chanteur» fait honneur à mon ami reste encore onze concurrentes ; nous les Duvernoy, son habile professeur. Il a retrouverons l année prochaine. dit avec succès l air de Jean, d HéroAu concours d opéra, les femmes diade. Deux seconds prix : à M. Latriomphent sur toute la ligne, les fond, solide voix de basse-taille, bien hommes sont battus à plate couture, C lich é C a u lin Sf B e r g e r. ils peuvent se pendre, ainsi que le roi menée; et à'm. Simard, voix de baryton II. 2e P rix cle c h a n t ; 2e P rix d opéra-comique suffisante, avec une articulation plus Henri IV conseillait de le faire, au brave modeste. Quelques premiers et seconds accessits d encourage Crillon. Nous allons donc nous occuper d abord des femmes, ment furent distribués à des élèves qui apportèrent plus de pro nous n aurons que quelques mots à consacrer aux hommes, c est tout ce qu ils méritent. L héroïne de la journée aura été messes que de réalités. ls m b duchên e
7 Mademoiselle Borgo, très belle, très dramatique et très acclamée, une tragédienne lyrique qui a le diable au corps et lui a donné toute liberté dans la chanson patriotique du Tribut de Zamora : «Allons, Enfants de l Ibérie!», cet air un peu com mun mais assez enthousiaste, que Gounod appelait «ma Marseillaise». Elle y a très brillamment décroché son premier prix. Mademoiselle Blot, une fort jolie femme, un peu capricieuse, et qui manifeste sa mauvaise humeur quand le jury ne se laisse pas convaincre. Mademoiselle Vix, étrange et charmante, d un talent très personnel, et Mademoiselle Foreau, une falcon qui cueille des lauriers danstous les genres lyriques, ont obtenu des seconds prix. Trois premiers accessits, bien mérités, à Mesdemoiselles Thiesset, Cornes et Mérentié, un second accessit à Mademoiselle Royer. En somme, concours excellent du côté féminin, où, accident rare, toutes les concurrentes, sans exception, furent récompensées, et ce fut justice. Du côté des hommes, le jury, sévère mais juste, n a pas donné de premier prix. Il s est contenté de deux seconds prix, à M. Devriès, intéressant dans Faust, et Morati, chanteur adroit, dans la scène des Tombeaux, de Bornéo et Ju liette; un premier accessit à M. Lafont ; deux seconds, à MM. Simard et Milhau. Le concours des hommes s est tenu entre le passable et le médiocre, plus voisin du second que du premier. Le côté féminin triomphe encore dans le concours d opéra-comique, où les hommes font assez triste figure. Ceux-ci n ont obtenu, en tout et pour tout, qu un premier et un second prix. Le premier prix, à M. Casella, bon comédien et adroit chanteur; il a chanté et surtout joué le rôle de Miton, de le Roi Va d it! de Delibes, avec une verve comique qui a mis toute la salle en gaieté. Le second prix, à M. Chevalier, qui m a paru excellent dans la scène dite du somnambulisme, d' H aydée; je dis excellent, autant qu il est permis de l être dans ce morceau de facture «rococo». Les femmes ont été mieux dotées, et le méritèrent vraiment. Le jury du concours de chant avait réuni, dans un second prix, les noms de Mesdemoiselles Foreau et Duchêne ; il les a disjointes cette fois; le premier prix a été accordé à Mademoiselle Foreau (déjà deuxième prix dechantet deuxième prixd opéra), pour son émouvante et intelligente interprétation de Werther. Elle a dit la scène des «lettres». On a fait, pour ce fragment, tous les frais de mise en scène que comporte le Conservatoire, c est-à-dire ungrand remue-ménage de chaises et de tables, qui a mis la salle en gaieté. Je n affirmerais pas que Mademoiselle Foreau n ait bénéficié de cette belle humeur; en tout cas, son succès a été très grand. Mademoiselle Duchêne, qui n a eu qu un second prix, est une cantatrice très faite, et sa voix de mezzo-soprano est de belle ampleur. Elle a joué, en véritable artiste, la scène d Orphée ramenant Eurydice et laperdant pour la seconde fois; mais pourquoi chevrote-t-elle? la douleur peut s exprimer sans ces subterfuges inutiles, presque vieillots. Des premiers accessits ont été décernés à Mademoiselle Vallandri (Mireille), Madame Vergonnet (Manon); des deuxièmes à Madame Dangès, Mademoiselle Yix et à Madame Guionie, la première très nature et très bien campée dans la Jacqueline du Médecin malgré lui, prise en belle humeur; la seconde un peu sacrifiée dans la scène grise et ennuyeuse de Djam ileh; la troisième, un peu lourde, dans le vétuste M aître de Chapelle. Ciiché Pierre Petit. Passons maintenant au concours de déclamation : celui-là n est pas le moins suivi, et, cette année, la poussée dramatique a été telle qu il a fallu mettre une rallonge. On a donc divisé le concours en deux séances : une matinée fut consacrée à la tragédie, une journée entière à la comédie. Le concours de tragédie a d ailleurs été peu comm m 11c A g n e s b o r g o. 1er Prix d opéra
8 Cliché H.. M anuel. b l o t. 2e Prix d opéra C liché H. M anuel. MUe Y IX Pri>c cl opéra pliqué. Le premier prix masculin a été dévolu à M. Gorde, un bon «élève» qui sait son métier. Sa voix est suffisante, son geste assez ample; il est de belle taille. Il a dit, cette année, le rôle d Oreste, des E ryn n ies, de Leconte de Lisle, dans la scène du meurtre de Clytemnestre. Celle-ci est très à effet. Gorde a reproduit le geste traditionnel de Taillade, créateur du rôle, qui, du poing fermé, se frappait la poitrine. Il ignore, sans doute, que ce geste, consacré aujourd hui, est une trouvaille du hasard. Taillade, enrhumé le soir de la première représentation (février 1873), avait peine à jouer son rôle et se sentait des défaillances de voix. Très nerveux, très violent, dans un moment d impatience fébrile, il se frappa la poitrine, à poings fermés, et de toutes ses forces, avec un mouvement de colère brutale. L effet produit fut indicible, et le geste parut si spontané, si naturel, qu il souleva l enthousiasme de la salle. Le tragédien le répéta donc aux représentations suivantes. Il est devenu de tradition. La mise en scène se fait autant par les trouvailles du hasard, que par la recherche du travail. Il n y a pas eu de second prix c était justice. Un premier accessit trop indulgent a été accordé à M. Jean Worms, le fils de... son père, le sociétaire retraité de la Comédie- Française. M. Jean Worms est monotone et sans puissance, c est un bien pâle Xipharès (Miîhridate). Un second accessit à M. Royer, un cinématographe - phonographe de son professeur Silvain, qu il a reproduit, non sans intelligence, dans le rôle de Marat (Charlotte Corday). Du côté féminin, grande famine, très peu de concurrentes; en tout et pour tout, un premier prix, trop hâtif, je le crains, décerné à Mademoiselle Taillade, la fille de l artiste dont nous parlions tout à l heure. Mademoiselle Taillade est toute jeune, elle a dix-huit ans à peine. Elle ne manque pas de qualités : elle a de la sensibilité, de l émotion et le don dramatique. Elle a joué, avec effet, le rôle de Catarina dans Angélo (la scène de l Empoisonnement). Elle est vrai Cliclié H. M anuel. M n F O R E A U. 1er «2e Prix cle chant ment superbe, cette scène* l une des plus puissantes qu il y aitau théâtre, bien qu en ait pu dire Balzac, qui refusait à Victor Hugo, en i83o, la qualité de «dramatiste», car il a osé écrire ceci, le 22 mai de cette année-là : «M. Victor Hugo nous semble, jusqu à présent, meilleur prosateur que poète, et meilleur poète que dramatiste. 11 ne rencontrera jamais un trait de naturel que par hasard, et à moins de travaux consciencieux et d une grande docilité, aux conseils d amis sévères, la scène lui est interdite» Comme ces choses sont amusantes à lire, à soixante-douze ans de distance! Le concours de comédie a été d excellente moyenne, et très supérieur, dans son ensemble, à ce que nous avons vu depuis plusieurs années. Il y a deux sujets de valeur réelle, et beaucoup de valeur relative. Je comprends l embarras du jury, qui s est trouvé en présence d «égalités» entre lesquelles il était difficile de faire son choix, d autant mieux qu il avait à juger trente-quatre concurrents, ce qui est un bon tiers de plus que d usage. Il a fait de son mieux, et rendu, après une heure et demie d attente, son arrêt, quia été salué des salves prolongées du public, les deux pouvoirs s étant trouvés, cette fois, par rare exception, en complet accord. Le premier prix de comédie des hommes a été décerné, à l unanimité, à M. Brunot, un tout jeune élève, de comique fin, de verve endiablée, de gaieté communicative, qui a joué avec un effet considérable, le rôle de Mascarille, des Précieuses Ridicules. C est un comédien très fait. J ai ouï-dire qu il avait déjà pas mal roulé sa bosse. Il se peut; qu importe? ce que je sais, c est qu il a une voix excellente, sûre, bien timbrée, une bonne articulation, une nature heureuse, un physique éveillé, de la fantaisie, et cet accent de sincérité qui est celui des comédiens qui prennent plaisir à ce qu ils font, ce qui est le meilleur moyen d y intéresser les autres. Deux seconds prix ont été donnés à des élèves moins brillants, mais sérieux, et de consciencieux travail : M. Bacqué, Prix d opcra-comiquc. 2e Prix d opéra
9 M * C liché C a u ü n S f B e rg e r. qui a eu un bon concours dans le rôle de Tartufe (la scène avec Elmire, IIIeacte), et M. Belières, un jeune financier bedonnant avant l âge, assez plaisant dans le personnage de Pourceaugnac (la scène avec Sbrigani, Ier acte). Le jury a été prodigue d accessits : quatre premiers et deux second s. Les premiers à MM. Guilhen-Puylagarde, un Fortunio du Chandelier, que je n ai apprécié qu à demi, il m a paru plus grognon que touchant; Jean Kolb, qui n a pas mal joué la scène ingrate de la confession, de Chamillac, une médiocre pièce, par parenthèse ; Marey (le duc de Sept-Monts, de VEtrangère), intelligent diseur, mais long comme un jour sans pain ou une nuit J M '<> d c s s a n e. l»r Prix de comédie M11 GLADYS M AHXANCE. 1er Prix de comcdie Cliché Reutlinger. sans sommeil, et Blanche, assez curieux dans le Sosie Amphitryon. Les deux seconds, à MM. Bellanger, d un bon ton de comédie dans Je jeune comte d Outreville (le F ils de G iboyer), et G ri b ou val, un Fortunio n 2, que je préfère au Fortunio n i. Sur le pavé des échoués, je retrouve quelques lauréats de l année dernière qui, n ayant pu monter d un cran plus haut, ont glissé en route. Il en est parmi eux qui ne sont pas sans mérite, et pourront trouver leur emploi en des théâtres de genre, tel M. Jullien, dont j apprécie fort les qualités de raisonneur à la voix spirituelle et mordante, qui me paraît avoir place indiquée au Théâtre Antoine. C liché P. B o y e r. M» e r o s x i. l r Prix do Comédie Chché C au lin Sf B e rg e r. M'i<> p o u z o l s - s a i n t - p h a r. 2 Prix de comédie C liché C au tin Sf B erg er M ie b a r t h e. 2 Prix de c o m é d ie
10 Cliché C aulin Sf B e rg e r. m. l e v i s o n. 1er Prix de c h a n t Le compartiment féminin est d'une belle richesse; il y a là beaucoup de concurrentes, et presque autant de jolies filles, ce qui est la qualité indispensable au théâtre. Trois premiers prix ont été décernés. Ils sont de qualités différentes. Mademoiselle Dussane, nommée la p remière, est une toute jeune fille, presque une fillette, quinze ans à peine. Elle est merveilleusement douée, fine, spirituelle, avec un entrain étonnant et une voix qui mord. Sa diction est parfaite, et on ne perd pas un mot de son dialogue. Avec cela, agréable à voir, bien prise, jolie, d un sincère. Elle est venue au monde tine Brohan et, plus près de nous, pouvant plus rien pour elle, le jury vous!», et le petit oiseau s est envolé çaise, qui probablement lui mettra le miers prix sont honorables, sans attribués à Mademoiselle Rosni, souhait dans une scène de l Ingénue, Mahxance, qui a très bien joué une elle est de taille élégante, dans la Mademoiselle Pouzols-Saintans (avec une scène de Froufrou), gné de simplicité et de douleur vraie beaux, de Becque), ont obtenu des Bergé eut un premier accessit pour nue, sans fausse note, le rôle si diffide Victorine), où elle a été très Ensuite le jury, fort embarrassé, les seconds accessits ; il en a donné moiselles Barrat, Fleury, Robinne, ci? qu elles ressemblent à beaucoup que le Conservatoire ne peut pas Loup, et distribuer des prix à tous C ach e H. M anuel m. D E V R IÈ S. 1er Prix de c h a n t, 2e d o p é ra museau éveillé, avec un rire franc et «soubrette», comme le furent Augus- Jeanne Samary. Le Conservatoire ne a ouvert la cage et a dit : «Envolezdans ladirection delà Comédie-Franfil à la patte. Les deux autres preavoir l éclat de celui-ci; ils ont été petite Réjane blonde, charmante à de Meilhac, et à Mademoiselle Gladysscène de Francillon, d Alex. Dumas; forme des jeunes premiers rôles. Phar, une jolie personne de dix-huit et Mademoiselle Barthe, qui a témoi- (dans une scène douloureuse des Corseconds prix, alors que Mademoiselle avoir joué, avec une émotion contecile de Victorine (dans le M ariage remarquée. s est tiré d affaire en faisant pleuvoir cinq excusez du peu! à Mesde- Herlant, Lepage; que dire de cellesd autres qui restèrent en panne parce faire comme l institution Pet-deles élèves. Pourquoi celles-ci plutôt dire. Pour être complet, cependant, que la celles-là? r je l i e ô c iu ia io Je ne saurais trop Cliché Cautiny Ber9er- J v j.c a & e lla. l ei' Prix d o p é ra -c o m iq u e notons que'mademoisdîe BamtYjoué la grande scène de On ne badine pas avec l Amour, sans beaucoup d éclat; que Mademoiselle Fleury, qui a redit la scène du M ariage de Victorine, y a été très inférieure à Mademoiselle Bergé ; que M ademoiselle Robinne est une adorable blonde, jolie, jolie, si jolie que je ne sais guère si elle Cliché C autin S f B erg er. M. B R U N O T, 1er Prix de comédie a du talent, on la regarde trop pour l entendre ; que Mademoiselle Herlant a joué, sans effet, une scène plutôt fade du Riquet à la Houppe, et que Mademoiselle Lepage a joué le rôle de Vivette, dans une scène de l Artésienne, avec émotion, mais d une voix trop basse. F. DUQUESNEL. C lich é H. M anuel. q o r d e, 1er Prix de tragédie
11 Cliché Duchcnne. ' (Mme Sarah Bernhardt) TH E ATRE A N TIQ U E D ORANGE. LA LÉGE1SDÉ DU CŒUR. u n e r é p é t i t i o n T H EA T R E A N T IQ U E D O R A N G E LA L É G E N D E D U C Œ U R d r a m e e n c i n q a c t e s, e n v e r s, d e M. JEAN AICARD C ESTlatragique histoire féodale contée par maints conteurs en langue d'oïl et en langue d oc. Dans le Nord, on l appelle l aventure du châtelain de Coucy et de la dame de Faïel. Le Midi en baptise les héros-martyrs du nom de Guillaume de Cabestaing et d Alice de Castelnau. On la trouve dans Boccace et dans Nostradamus. Ce printemps, elle fut prise à la blague dans la pièce des Variétés : le Sire de Vergy. Les écrivains et les siècles l ont tant parée depoésie, que la sauvagerie cannibalesque du dénouement a une sorte de beauté symbolique. M. Jean Aicard l a jugée parente des plus cruels mythes païens. Et, vraiment, l époux qui se venge en donnant comme repas, à l épouse soupçonnée, le cœur de l amant, est digne d Atrée. Mais M. Jean Aicard professe trop le généreux optimisme et les sentiments de commisération pour n avoir pas mêlé, dans son drame, la tendre idylle à l effroyable tragédie. Chantre de la Provence, C liché D uchenne. M. JEAN AICARD il a choisi la légende méridionale : Guillaume de Cabestaing est un jeune troubadour. 11 est chevalier, il est beau, il est noble. Ame fraîche etardente,il se prend d amour pour Alice Carbonnelle dont le mari, Raymond de Castelnau, court sus aux sangliers avec la joie de contenter ses instincts de chasseur féroce. Le troubadour et la gentille dame auraient peut-être caché longtemps leur pur attachement si une sorcière, Lionarde, ne les avait trahis. Lionarde est une création de M. Jean Aicard. Il a expliqué qu elle personnifiait les «rancunes sociales du xne siècle». Jadis violentée par un seigneur, elle n est plus dévouée qu à sa haine de la caste suzeraine et à cette haine, plus âpre encore : la haine de l amour. Tous les maléfices, elle les connaît : elle saitcomment s attisent les sinistres fureurs et quel profit le crime tire de la passion brutale. Nouvelle Guanhumara, elle a, de la vengeance, une avidité inextinguible. Sa sœur romantique est une justicière qui, à la fin, use de son droit
12 C lich é D uchenne. M me.s. Bernhardt Mme Sarah Bernliardt, en costume de ville, est apportée sur un palanquin. LA LÉGENDE DU CŒUR. U N E R É P É T IT IO N de pardon. Lionarde répand sur tout et sur tous son désespoir É c o u te z ma chanson, dames et d a m cn s elle s... Si vous m a n g e z m o n cœur, il vou s v i e n d r a des ailes! satanique; elle frappe au hasard, pourvu que cela fasse mal; elle J ai mis dans mes chansons le plus pur de m o n c œ ur, est le ressentiment aveugle, inexorable, injuste. Ni beauté, ni E t c est n o u rrir vos cœur s que de vou s no u r rir d elles. bonté, ni innocence, ni talent, ne la fléchissent. Guillaume de L e s chevaliers qui v o n t c on tre les infid èle s, Cabestaing triomphe dans un tournoi de troubadours, et Alice S ils m an g e n t de m on cœ ur, r e v i e n d r o n t en vain queurs. reçoit publiquement l hommage de cette victoire. Nouvelle M o n cœur m angé ren d ra l o r g u e i l aux cœurs serviles. occasion pour que la sorcière verse au mari le poison ténébreux Q u i m ang e de m on cœ ur saura pren dre des ville s des insinuations calomniatrices. E t c o n q u é rir le ciel, et c o n q u é r i r les cœ ur s! Il a triomphé, le chevalier-poète, en vantant la sublimité du Dans mes chansons, m o n cœ ur bat d une f o r c e étr ange. L e plus lâche sera v ale ureu x s il en m ange ; sentiment, la force mystérieuse de la tendresse et de l exaltation V o u s tous qui m é coutez, vou s m a n g e z de m on c œ u r!... lyrique. Voici quelques vers de sa chanson : T H E A T R E A N T IQ U E D O R A N G E.,.n, M. de Max C lich é D uclienne. TH E A T R E A N T IQ U E D O R A N G E. LA LEGENDE DU CŒUR. un e r é p é titio n
13 THÉÂTRE ANTIQUE D ORANGE. LA LÉGENDE DU CŒ UR. u n e r é p é t i t i o n
14 Ce cœur doux et puissant, Castelnau, suggestionné par la sorcière, exige qu il dévoile son secret. L honneur du chevalier est assez fier pour savoir mentir : Alice est sauvée. Mais ellemême se perdra. Le mensonge de son poète l a troublée; elle veut une éclatante déclaration; elle lui ordonne de la célébrer : Ce n est pas en des vers que vous me mentiriez, Car le mensonge est vil et les vers sont sacrés. Il résiste prudemment, puis obéit... La ballade d amour, rapportée par Lionarde au mari, incitera ce dernier aux projets violents. Il veut tuer sa femme. Cabestaing s interpose et s offre comme victime expiatoire, à condition qu Alice sera épargnée. «Livre-le aux chiens!» propose la sorcière. M. Jean Aicard n a pas fait assister les dix mille spectateurs du théâtre d Orange à la monstrueuse vengeance culinaire de la légende. C est le valet de chiens, terrible exécuteur, qui raconte, tout hurlant de remords, la scène du supplice. Le cadavre déchiré est rapporté à l amante. Et son cœur ne consent pas à survivre au cher cœur éteint : elle se tue. Guillaume de Cabestaing, ce fut Madame Sarah Bernbardt. Elle semblait un Lohengrin du Midi, un jeune héros candide et passionné, qui aurait voué son charme et so n ivresse aux amours de la terre, en attendant l appel fantastique qui le désignera pour une mission sacrée, quasi divine. Dans ses vêtements blancs, svelte, souple, elle incarnait la noble et mystique poésie médiévale. Et, comme il le fallait dans cette pièce au sujet gothique, jouée devant un mur païen, elle fut à la fois délicieusement apollonienne et chrétienne. Madame de Nys sut donner à la figure de Lionarde une remarquable vigueur, une envoûtante fièvre démoniaque. Pantelant, repentant, dément, M.deMax,danslerôledu Valet de meute, a terrifié l auditoire. On l eût dit en proie aux Euménides conseillées par l Épouvante et la Contrition du moyen âge, lorsqu il clama : Prenez la hache, il faut que mes mains soient tranchées.... Lors je verrai mes mains de mes bras détachées, Pareilles, dans les airs, à des êtres de nuit Qui volent sans regard, sans ailes et sans bruit, Chercher partout ceux qui m ont chargé de leur crime, Et pour l éternité les suivant dans l abîme, Avec des ongles morts et pourtant furieux, Saignantes, s accrocher aux deux trous de leurs yeux. Amoureuse ai mante et délicate, Madame Blanche Dufrêne a eu les accents émouvants, les jolies attitudes qu on pouvait attendre d Alice de Castelnau. Enfin, grand succès aussi pour M. Decœur. M. Jean Aicard pense que les robustes ruines d Orange ne sont pas seulement hospitalières aux spectres des héros grecs et romains. Ces pierres, où dix-huit siècles déposèrent leur couleur, ont reçu des effluves chrétiens. Elles savent notre histoire. Pourquoi ne seraient-elles pas favorables à des tragédies sans peplum nitoge, à des drames d un pittoresque sans classicisme hiératique? Cette théorie est intéressante. Mais le danger est qu elle peut conduire à des erreurs fâcheuses, à l introduction, par exemple, de décors inadéquats à l architecture et à Vâme du théâtre d Orange. La Légende du Cœur, quelques secondes, a compromis la dignité de la vénérable scène, par la grossière apparition de la «tarasque», une tarasque en carton peint, monstre de Mardi-Gras. En applaudissant, la foule méridionale a mis son patriotisme local au-dessus du bon goût. Mais, cet épisode oublié, la Légende du Cœur défend très heureusement la thèse de M. Jean Aicard. Et son «drame tragique»,comme il l appelle, servira d argument, si d autres poètes veulent éveiller devant la Grande Muraille des symboles où la sensibilité moderne se retrouvera plus directement qu aux manifestations du génie antique. HARLOR. ARÈNES DE DÉZIERS. PARYSATIS, u n e r é p é t i t i o n Clichés Léon Bouët. ARÈNES DE BÉZIERS PARYSATIS. u n e r é p é t i t i o n
15 DANS LA TRIBUNE O FFIC IELLE, M. DOUMERGUE, MINISTRE DES COLONIES, ET M. HENRI ROUJON, DIRECTEUR DES B EAUX-AR TS
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17 C lichés de M. de M. m o u s m é (Mlle Rouvier) m i s s a m é r i c a i n e (Mlle Antonine Meunier) m o u s m é (M,le Meunier) CERCLE DE LA RUE ROYALE LA VIEILLE REVUE, en deux actes El l e s ouvre par un prologue imité de celui de Paillasse, de Leoncavallo. Au lieu de Taddeo, le jocrisse, c est Colombine, la charmante Mademoiselle Jeanne Saulier, des Variétés, qui écarte le rideau : «Pardon. Puis-je entrer?» «Mesdames et vous, Messieurs, permettez- Un petit monologue, [moi Je suis le prologue, etc.» - Donc, pour bien préciser l objet de ma [venue, Ce que nous vous offrons, c est la vieille revue Avec ses calembours tirés par les cheveux, Qui font dresser ceux-ci sur les fronts sé- [rieux ; Où l on entre et l on sort à la bonne fran- [quette, Sans que d aucun lien l on se soit mis en quête, Le tout assaisonné de quelque ancien ron- [deau Sur un timbre exhumé de la clé du Caveau. Bien pompier aujourd hui le rondeau, mais [pourtant... Clichés de M. de M. l a p r i n c e s s e c n m o is E (M11b Jeanne Saulier) CERCLE DE LA RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE «Ce vieuxraseur ne manquait pas de charmes Quand, tour à tour belliqueux ou narquois, 11 célébrait la gloire de nos armes Ou flétrissait les abus d autrefois. Son truc était toujours un peu le même, Mais sûr d avoir le public avec lui, Aux gouvernants il jetait l anathème... l a d a m e d e p i q u e (Mlle Jeanne Saulier) CERCLE DE L A RUE RO YALE. LA VIEILLE REVUE
18 Cette fois, c est bien tout, et qui vivra [verra Que nous ne sommes pas, ce soir, à [l Opéra, Et que le dénouement ne tournant pas [au drame, Paillasse, sous vos yeux, ne tuera pas [sa femme!» Entrée du compère anonyme et de la commère, Mademoiselle Marguerite Nell, des Bouffes-Parisiens, personnifiant le N ew -York Lie raid : «Je suis la feuille new-yorkaise Dont Bennett est le fondateur, Et j imprime en langue française Une page pour le lecteur. En quelques lignes gracieuses J insère les échos mondains Qu un clan d aimables reporteuses Me fait passer tous les matins. Mais, avant tout, sous ma rubrique, Pas de scandale et pas d émoi 1 Voilà ce que l on dit de moi En France comme en Am érique.» u n n k g r e (M1,c Berlhe Sirède) RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE Clichés de M. le baron d IIoudem are. RKJANE ( Mlle Maïa) RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE L occasion serait bonne aujourd hui! Très libéral en toute circonstance, Et pitoyable aux misères d autrui, Des opprimés il prenaitla défense... L Occasion serait bonne aujourd hui! Il cultivait aussi la gaudriole Sans la corser de gros mots à l appui... De revenir à son ancienne école L occasion serait bonne aujourd hui!» rine Fonteney, del Odéon; elle traîne derrière elle un assortiment d objets d art de la plus haute autjientiquité, tous contrôlés, dit-elle, par M. Clermont-Ganneau, savoir : un sabot de Bucéphale, l épée de Damoclès, l anneau de Gygès et la harpe même du roi David! «La.preuve? demande le compère. Cliché de M. le baron d Houdèmare. LE IV L G RE B LA N C H I (Mlle RtM'the Sirède) RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE Et le défilé commence. Voici, sous les traits plus que bronzés et partant méconnaissables de Mademoiselle Berthe Sirède, de l Opéra, le nègre philanthrope que le Président des États- Unis a osé inviter à sa table. Un noir à la Maison - Blanche! Il y avait de quoi compromettre la réélection de M. Roosevelt. Aussi le bon nègre a-t-il émigré en France, se rendant, dit-il, au garden-party de l Élysée, pour présenter à Becké Loubet la plus renommée des danseuses de cake-walk de Chicago, la gracieuse Mademoiselle Antonine Meunier, de l Opéra. C lichés de M. le baron d H oudem are. L A M ARCHANDE d a n t i q u i t é s (Mlle Catherine Fonteney) RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE Puis vient Madame Trucomowski, d Odessa, représentée par Mademoiselle Cathel o u - p i i o c (Mn Hélène Maïa) RUE R O YALE. LA VIEILLE REVUE
19 Cliché de M. le baron d iiouderhare. C E R C LE DE LA RUE R O Y A LE L A VIEILLE REVUE La Commère. M1Ie Marguerite Nell
20 Elle joue les psaumes toute seule. J ai aussi, ajoute-t-elle, une tiare, la fameuse tiare... Ah bien, non! objecte la commère, assez de Saïtapharnès comme ça! «Ce bon défunt roi de Scythie, Des femmes faisant grand abus, Sa tiare, en écus convertie, Fondit entre leurs doigs crochus. Et cet objet d orfèvrerie Doni on nous monte le bateau N était qu une fumisterie Qui fait tordre dans son tombeau Ce bon défunt roi de Scythie!» Et la marchande d antiquités s en va conspuée, sans avoir môme pu placer ein pon lorgnette! Passeun facteur.«voulez-vousdes cartespostales?envoilà!» Elles sont trois : Mademoiselle Fonteney, déjà nommée, et Mesdemoiselles Meunier et Rouvier, de l Opéra. «Supposez, dit Mademoiselle Fonteney, que votre maîtresse voyage en Italie et veuille vous assurer en deux mots qu elle vous aime toujours. C est moi qu elle choisira, moi la carte postale napolitaine. Voyez! (Elle se retourne.) Parfaitement, dit le compère. Je reconnais le paysage. «C est le Vésuve Qui, dans sa pleine éruption, Fait, sur le bord de son étuve, Dire avec admiration : Le beau Vésuve! (bis)» Supposez, continue Mademoiselle Rouvier, que d'italie votre maîtresse se rende à Constantinople. C est moi qu elle choisira, moi la carte postale ottomane. Voyez! (Elle se retourne.) En effet, ce que j aperçois, c est le détroit des Dardanelles, ou plutôt : «C est le Bosphore, Et, dût-on me crier haro, La pleine lune semble encore Guider Léandre vers Héro, Sur le Bosphore! (bis)» Et supposez enfin, dit Mademoiselle Meunier, que, de Constantinople, cette dame rétrograde en Espagne. C est moi qu elle choisira, moi la carte postale madrilène. Voyez! (Elle se retourne.) C est juste... la Puerta del Sol... Caramba! «De cette porte Les hidalgos se font honneur, Et moi-même, diable m emporte, Je passerais avec bonheur Par cette porte! (bis)» C liché de M. de M. d a ï t a (M» Zambelli) CERCLE DE LA RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE Ensuite c est l entrée à sensation de Mademoiselle Jeanne Saulier en princesse chinoise, cousine du Fils du Ciel, envoyée par lui, après l évacuation de Shangaï, pour servir de couverture, jusqu au paiement intégral de l'indemnité de guerre. «En ce cas, dit la commère, vous n êtes pas près de retourner chez vous. Et où logez-vous, en attendant? Aux Finances, chez M. Rouvier, Et ce qu on me dorlote! Savez-vous où je couche? Sur le grand-livre de la Dette publique. Tous les soirs, c est M. le ministre lui-même qui vient me border. C est bien le moins, une couverture de deux cent soixante-trois millions!» Un coup de trompe d automobile; c est Mademoiselle Maïa, de l Odéon, le gentil petit mandarin Lou-Phoc, amant de la princesse, qui vient la rejoindre inopinément à Paris, sous prétexte d apporter un premier acompte à l indemnité chinoise.'
21 Clichés de M. de M. CA R TE P O S TA LE O TTO M A N E (Mlle Rouvier) CA R TE P O S TA LE N A P O L ITA IN E CERCLE DE LA RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE c a r t e p o s t a l e m a d r i l e n e (Mlle Meunier) «C est M. Rouvier qui va être content de pouvoir boucler son budget! Oui, mais, dit Lou-Phoc, il ne faut pas trop se monter le coup... Tiens, lis toi-même, princesse. Voyons cela. A MM. Hottinguer, banquiers à Paris... l Opéra, très admirées aussi dans leurs costumes de Japonaises, Mesdemoiselles Meunier et Rouvier. Enfin, apothéose très naturelle dans un Cercle! nouvel avatar de Mademoiselle Jeanne Saulier en Dame-de-Pique, pour terminer, avec une grande maestria, par le pastiche suivant : «Messieurs,votre correspondante La Chine, avec civilité, Vous exprime sa foi constante Dans votre crédit bien coté. Afin d alléger notre dette Et pour éviter un procès, Veuillez escompter cette traite Au profit du Trésor français. Et, sur le vu de la présente, Lui rembourser la somme de... De vingt-deux francs (bis) cinquante, Payables à Paris, Frais de timbre compris!...» Mais qu importe! Lou- Phoc a retrouvé sa petite princesse, et tous deux coucheront côte à côte sur le grandlivre! Le second acte est consacré aux imitations, entre autres à celle de Madame Réjane par Mademoiselle Maïa, qui a donné une illusion complète de la grande artiste, y compris la ressemblance physique. Ensuite, un triomphe pour Mademoiselle Zambelli dans un pas du ballet «le Rêve», de M. Gastinel, créé par Mademoiselle Mauri, son éminente devancière. A côté de Mademoiselle Zambelli dansaient également deux sujets de Cliché de M. de M. g a r t e s p o s t a l e s (M1'0 Meunier, Fonteney e t Rouvier) RUE R O Y A LE. LA VIEILLE REVUE «Je suis, du dieu Plutus messa- [gère docile, Dangereuse à l excès pour les [faibles humains Avides de tenter la fortune fra- [gile Qui passe par mes mains! Evohé! Plutus m inspire. Evohé! venez à moi. Evohé! De mon empire, Evohé! Plutus est roi! En échange de l or qu aveuglé- [ment je sème, Combien d espoirs déçus dont [j entretiens le cours? Mais on a beau sur moi déverser [l anathème, On me revient toujours!...» Et puis, le couplet final : «Pour cette œuvre légère, Si quelque juge austère S avisait de nous faire Comparaître au barreau, Prenant notre défense Vous sauriez, je le pense, Imiter la clémence Du président Magnaud. Car je mettrais au feu ma tête, Que cet excellent magistrat En cherchant la petite bête, N y trouverait pas même ça! Pas ça! Pas ça!» P. M. Ce compte rendu paraîtrait aux spectateurs de LA VIEILLE REVUE, singulièrement incomplet et inexact si le Théâtre ne prenait sur lui d ajouter que la pièce a été interrompue à chaque instant par des applaudissements unanimes qui s adressaient au moins autant à l auteur, M. le marquis de Massa, qu à ses charmantes interprètes. "n. d. l, r.
22 C lich é P a u l B o y e r. P H I L I P P E D A U L N A Y (M. Larmandie) B U R ID A N O R S IN I (M. Krauss) (M. Gravier) 1er T a b le a u. D écor de MM. B r a r d S f C ouder. R IC H A R D S IM O N im. Dean) (M. Mallet) La Taverne d Orsini Les Grandes Reprises TH EATRE DE LA P O R T E -S A IN T -M A R T IN. et neuf ta b le a u x, d e GA IL L A R D ET d e n e s l e est toujours d actualité. Tant qu il y aura, en France, des théâtres pour le drame et le mélodrame, tant qu il y aura un public pour s écrier : to u r V i v e le m é lo d ra m e, où M a r g o t a pleuré! on jouera la Tour de Nesle. C est, à coupsûr, la merveille du genre. Songez que cette pièce célèbre date de 18B2 ; elle a donc aujourd'hui soixante et onze ans, et elle n offre aucun signe de décrépitude. En 1877, Auguste Vitu, à propos d une reprise, écrivait! «Il faut convenir qu il est bâti à chaux et à sable, cet épouvantable conte, à moitié vrai. Après un demi-siècle, la Tour de Nesle fait encore frémir la foule et intéresse les plus rebelles.» On pourrait écrire aujourd hui : «Après trois quarts de siècle, la Tour de Nesle fait encore frémir et intéresse les plus rebelles.» Il serait oiseux, sans doute, de ressusciter ici la vieille que relle de collaboration qui divisa, il y a soixante-douze ans, Alexandre Dumas et M. Frédéric Gaillardet. Dumas relevait à peine d une forte attaque de choléra lorsque le directeur Harel vint le prier de tirer d un manuscrit déposé par un jeune homme de Tonnerre et revu par Jules Janin, un drame pour la Porte-Saint-Martin. Encore brûlant de fièvre, l auteur se mit à l œuvre et récrivit la pièce ; la pièce livrée, il se heurta à une LA TOUR DE N ESLE, e t dram e en c in q actes ALEXANDRE DUMAS prétention singulière du provincial, déclarant qu il entendait n avoir, pour son drame, aucun collaborateur. Harel, s inter posant, amena les deux écrivains à signer une transaction par laquelle ils se reconnurent, de part et d autre, des droits égaux, en stipulant, toutefois, que la pièce serait jouée et imprimée sous le nom seul de Gaillardet, nom qu on ferait suivre d étoiles s appliquant à Dumas. L effet de la première représentation fut immense. Désireux de l accroître par un scandale, Harel mit le lendemain, sur l affiche, avant le nom de Gaillardet, les étoiles qui ne devaient figurer qu à sa suite. De là, procès, polémiques, duel au pistolet sans victime. Au cours de la discussion, Alexandre Dumas donna les arguments suivants, que mon spirituel collaborateur M. Félix Duquesnel rappelait dernièrement : «Votre seul mé rite, disait Dumas à Gaillardet, est de m avoir donné l idée de faire la pièce. Votre drame était idiot. Pour le prouver, je n ai qu un détail à donner qui fera éclater de rire les gens les plus sérieux : nous sommes en plein moyen âge et l un de vos héros, celui dont j ai fait Gautier d Aulnay, s appelle, chez vous, «Anatole». Voyez-vous «Anatole» cuirassé de mailles et coiffé d un chaperon?» Cependant la Tour de N esle profitait de tout ce bruit pour arriver, en deux années, au chiffre de trois cents représentations. Les tribunaux donnèrent raison à Gail lardet, dont le nom remplaça celui de Dumas sur l affiche : Dumas n eut droit qu aux trois étoiles. Jusqu en i 8 5 i, l affiche
23 C liché P a u l R o ye r. T H E A T R E DE L A P O R T E - S A I N T - M A R T I N LA TOUR DE NESLE M arguerite d e Bourgogne. Mlle Gilda Darthy
24 P H IL IP P E D A U L N A Y M A R G U E R IT E (M. Larmandie) (Mlle Gr. Darlhy) LAND R Y P O R T E -S A IN T -M A R T IN. C lich és P a u l B o y e r. S A V O IS Y (M. Durel) DE P IE R R E F O N D S LA TOUR DE NESLE. 2 T a b l e a u. E N G U E R R A N D DE M A R IG N Y (M. Danequin) S I R R A O U L (M. Bussy) P O R T E -S A IN T -M A R T IN. O R S IN I (M. Pcricaud) (M. Bouyer) LA TOUR DE NESLE, Orgie à la Tour B U R ID A N (M. Krauss) 3 T a b le a u. D écor de M M, B r a r d S f C o u d er, (M. Gravier) M A R G U E R IT E (Mlle G. Darthy) I.e Bohémien D écor de MM. B r a r d S f C ou d er,
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26 porta le nom de Gaillardet seul ; en 1852, la pièce fut interdite comme «immorale». En 1861, elle fut autorisée de nouveau; à cette époque, Frédéric Gaillardet écrivit au directeur d alors, Marc Fournier, une lettre où il le priait de joindre à son nom celui d Alexandre Dumas, pour lui montrer, disait-il, «la grande part que son incomparable talent eut dans le succès de la Tour de Nesle». Faut-il conter brièvement le «scénario»? Buridan, qui n est autre, dans le drame, que Lyonnel de Bourneville, le suc cesseur d Enguerrand de Marigny, a été jadis l amant de C lich é P a u l B o y e r. B U R ID A N (M. Krauss) PO R TE -S A 1 N T-M A R T1N. Marguerite de Bourgogne, qui lui a donné deux fils. Pour cacher son déshonneur, Marguerite a fait exposer ses enfants. Elle a fait aussi assassiner son père par son amant; tandis que Lyonnel-Buridan allait guerroyer, elle est devenue reine de France. Buridan revient à Paris après vingt ans d'absence. Il se montre à la Tour de Nesle, siège des orgies royales, avec un jeune cavalier, Philippe d Aulnay. Philippe est massacré sous les yeux de Buridan, qui n échappe que miraculeuse ment. Le lendemain, Buridan se fait connaître de la reine pour l homme qu elle a voulu faire tuer; il la menace, si elle ne seconde ses projets ambitieux, de révéler à son favori Gautier Décor de MM. B r a r d Sf C ouder. M A R G U E R IT E (Mlle &. Darthv) LA TOUR DE NESLE. 6 e T a b l e a u. d A u l n a y q u elle est l auteur v é r i t ab l e de la mort de s on frère. La pièce roule, dès lors, sur la lutte sourde qui s engage entre la reine, décidée à se débarrasser de Buridan par Gau tier d Aulnay, et Buridan, qui veut se débarrasser de Gautier par la reine. Marguerite «gagne la première manche» : Buri dan va périr dans un cachot. La reine vient pour l insulter à ses derniers moments ; à ce moment, il lui révèle son véritable nom et la menace de tout faire savoir au roi, s il n est nommé premier ministre. Vaincue, Marguerite accepte ces conditions et lui donne rendez-vous le lendemain, à la Tour de Nesle. Chacun y dresse un guet-apens, la reine pour le faire assas siner, Buridan pour y envoyer Gautier d Aulnay et faire arrêter la reine. Dans l intervalle, il découvre que les d Aulnay sont le fruit de ses anciennes amours avec la reine; il court la prévenir. Tous deux se réunissent pour sauver Gautier; mais Le Cachot ils le voient tomber sanglant a leurs pieds. Ils sont arretes ensuite comme ses meurtriers. Un résumé aussi bref ne saurait donner qu une idée impar faite du drame terrible qui, depuis i 8 3 2, a passionné trois générations de spectateurs. Il faudrait y ajouter l extraordinaire «mouvement» qui emporte la pièce et qui, d acte en acte, la fait rebondir de péripéties en péripéties jusqu au dénouement. Les auteurs ne se sont pas contentés de rappeler la légende selon laquelle une reine de France attirait des jeunes gens dans un repaire, «la Tour de Nesle», - et les faisait assassiner après leur avoir donné une nuit de plaisir. Ils ont fait cette reine parricide, adultère, infanticide, incestueuse. Simplement. La vérité est que Marguerite de Bourgogne, épouse de Louis X, roi de France, et ses deux sœurs ou belles-sœurs
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28 furent atteintes et convaincues d adultère et de débauche dans la Tour de Nesle, appartenant à la princesse Jeanne; deux de leurs amants, les frères Philippe et Gautier d Aulnay, furent écorchés vifs ; Marguerite périt étranglée par l ordre du roi son époux ; les deux autres princesses eurent la vie sauve. Tout cela est déjà bien gentil. Quant à Buridan, son intervention dans cette affaire paraît Cliché P. E oyer. m a r g u e r i t e (M1*8 G. Darthy) G A U T I E R D A U L N A Y (M. Castillan) P O R T E -S A IN T -M A R T IN. moins justifiée. Villon a bien dit, dans une ballade qui date de 1461, les quatre vers fameux : S e m b la b le m e n t, où est la r o y n e Q ui c o m m a n d a que Buridan Fust jeté en ung sac en Se ine? M ais où s on t les neiges d antan? Gela ne prouve pas grand chose. Buridan, qui n était pas un B U R ID A N (M. Krauss) 9 T a b le a u. LA TOUR DE NESLE. homme de guerre, enseignait la philosophie aux écoliers de la rue du Fouarre. Gomment put-il être mêlé aux orgies de la Tour de Nesle? La légende veut que, sauvé miraculeusement de la noyade, il s exila à Vienne, en Autriche, après avoir publié cet axiome latin : «Reginam interjicere nolite timere ; bonum est. Ne craignez pas de tuer une reine; cela est bon.» Il nous reste donc trois choses de Buridan : son axiome, une maison où il enseignait rue du Fouarre, et son «âne» symbo lique, qui mourrait de faim et de soif entre un picotin d'avoine et un seau d eau, s il n était animé d une volonté qui le déter mine à choisir entre sa faim et sa soif. La clé de la Tour o r s in i (M- Gravier) revue dernièrement les chefs-d œuvre du drame, la PorteSaint-Martin ne pouvait pas oublier la Tour de Nesle. Elle monta la pièce avec soin et elle confia le succès de la reprise à une interprétation choisie. On applaudit beaucoup M. Krauss, qui déploya, dans le rôle de Buridan, créé par Bocage, beaucoup d ardeur et de conviction ; M. Castillan, un élégant Gautier d Aulnay (rôle créé par Lockroy, le père de M. Édouard Lockroy, ex-ministre de la Marine), MM. Gravier, Péricaud, Bouyer, et surtout Ma demoiselle Gilda Darthy, qui fut unetrès belle et très pathétique Marguerite de Bourgogne. ADOLPHE ADERER. Quoi qu il en soit de ces discussions, lorsqu elle passa en Ir ^ e ^ ^ la N Z i, J oy an t & Cio, A s n ié r e s. Le Gérant: G. BLONDIN.
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30 : :: H C lic h é P a u l B o y e r. T H E A T R E DE L A P O R T E - S A I N T - M A R T I N LA TOUR DE NESLE M arguerite de Bourgogne. MIle Gilda Darthy
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