RAPPORT D ACTIVITE 2014

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1 1 RAPPORT D ACTIVITE 2014 MISSION Cette année a été riche en actualités. Parmi les dossiers traités, citons la réorientation de la gestion de la filière Diabaide - programme de prévention pour les patients diabétiques - ainsi que les travaux préparatoires au déploiement en 2015 du projet «Ensemble Partenaires du soin». L organisation de plusieurs évènements atteste du dynamisme de notre réseau. Relevons le projet original de formation en hygiène pour du personnel non-infirmier, la tenue d un forum régional sur le diabète, d une manifestation grand public sur la maladie d Alzheimer, le lancement d une étude permettant une meilleure perception des attentes des patients en soins palliatifs ainsi que l octroi du label «qualité des soins palliatifs» décerné à notre équipe mobile de soins palliatifs. Veiller à un accès équitable à l offre sanitaire aux résidents de la région Par ailleurs, en fin d année, les quatre réseaux régionaux ont été audités par le Contrôle cantonal des finances. Le rapport, communiqué dans le 1 er trimestre 2015, fait état de recommandations qui contribueront à l amélioration de notre fonctionnement. On mentionnera également le changement de dénomination de l ARC (Association du réseau de soins de la Côte) qui devient Réseau Santé la Côte. Cette appellation reprend ainsi la même logique que celle des trois autres réseaux que sont le Réseau Santé Haut-Léman, le Réseau Santé Nord-Broye et le Réseau Santé Région Lausanne. Dès lors, les réseaux partagent une identité visuelle commune déclinée en quatre couleurs, le bleu étant celle de notre réseau. Sur ce même principe le site a vu le jour à l automne. Cette nouvelle dénomination, validée par le Comité exécutif, a été formellement entérinée lors de l Assemblée générale du 22 avril Sur le plan des ressources humaines, nous avons pris acte avec regret de la démission au 30 octobre 2014 de Madame Tania Séverin, Secrétaire générale. Au cours de ses deux ans et demi d activité, Madame Séverin a accompli un excellent travail, notamment, en améliorant la visibilité de l association et en renouant des contacts avec les membres et partenaires régionaux. Madame Nathalie Gendron, assistante administrative, a souhaité rejoindre au 1 er Promouvoir la qualité des soins Contribuer à la maîtrise de l'évolution des coûts de la santé Définir des règles qui permettent d'organiser la complémentarité et la collaboration entre les membres du réseau janvier 2015 le Groupement hospitalier de l Ouest lémanique (ci-après : GHOL). Citons également le départ de Monsieur Renato Lopez engagé comme chargé de projet BRIO.

2 2 Le Comité exécutif remercie chaleureusement Mesdames Séverin et Gendron et Monsieur Lopez pour leur engagement et leur souhaite plein succès dans le développement de leur carrière professionnelle. Madame Elisabeth Débenay a repris le 1 er mars 2015 le poste de Secrétaire générale après avoir travaillé durant douze ans au Département de l action sociale et de la santé du canton de Genève en tant que responsable du secteur de la prévention et de la promotion de la santé puis comme cheffe du secteur du réseau de soins. Son riche parcours professionnel ainsi que sa formation d infirmière complétée par un certificat en management et un certificat et un master en santé publique lui permettent d appréhender les enjeux de politique publique et ceux de notre réseau. Pour compléter l équipe, Madame Françoise Hausammann a été engagée au poste d assistante administrative au 1 er décembre Dotée d une expérience professionnelle de plus de dix ans dans le milieu associatif, elle a acquis des compétences administratives et financières qu elle pourra mettre au service de notre association. En ce qui concerne les finances, le bilan 2014 montre une gestion saine. En effet, l année se solde par des dépenses inférieures aux montants budgétés sur l ensemble des programmes de la responsabilité du réseau. Pour conduire les objectifs du réseau, le Bureau du Comité exécutif s est réuni à treize reprises préparant les dossiers des quatre réunions annuelles du Comité exécutif. Nous remercions les membres du Bureau et du Comité exécutif pour leur engagement indéfectible. Nos remerciements vont tout particulièrement au Service de la santé publique (SSP) et au Service des assurances sociales et de l hébergement (SASH) qui soutiennent notre Réseau, ainsi qu à nos membres et partenaires qui contribuent à son développement. Enfin, nous exprimons toute notre gratitude à nos collaboratrices pour le travail accompli. Objectifs 2015 Dr Laurent CHRISTIN Président du Comité exécutif Mettre en application les recommandations du Contrôle cantonal des finances par la formalisation de procédures clés Augmenter les activités de soins palliatifs pour atteindre les valeurs cibles attendues par le Service de la santé publique Maintenir des formations en hygiène pour du personnel non infirmier Adapter le dispositif BRIO à l évolution des demandes Développer le Dispositif régional diabète Maintenir, dans les activités du Centre de la Mémoire, une conférence grand public Opérationnaliser le programme «Ensemble Partenaires du soin»

3 3 EQUIPE MOBILE DE SOINS PALLIATIFS de la Côte Cette année a été marquée par l introduction de nouveaux critères de financement des prestations établis dans la directive «Activités régionales de soins palliatifs» signée par le Service de la santé publique et les quatre réseaux régionaux. Ces nouveaux indicateurs représentent un défi pour toutes les équipes mobiles de soins palliatifs et contribuent au processus d amélioration continue des prises en charge et d aide à la décision. Cette disposition est double : elle permet de mesurer l activité des équipes et d identifier l impact de la prise en charge des patients en soins palliatifs par les structures de 1 er recours. Un tableau de bord mensuel permet un suivi des activités. Une période transitoire de trois ans a été retenue afin de permettre d affiner, si besoin, les indicateurs et les valeurs cibles retenus. Afin de répondre à ce défi, l équipe mobile s est engagée dans un processus de labellisation et a obtenu brillamment en juin le label «qualité des soins palliatifs». C est la première équipe mobile de soins palliatifs de notre canton à obtenir cette distinction, nous nous en réjouissons et félicitons l équipe. L équipe fédère les partenaires de soins dans le cadre du comité de pilotage régional des soins palliatifs de la Côte. Améliorer la prise en charge palliative pour l ensemble de la population de la Côte Identifier les besoins en soins palliatifs Améliorer l orientation des patients et la continuité des soins Former du personnel soignant de 1 er recours Mieux connaitre les souhaits des patients Intervenir en soins palliatifs est d une grande complexité, les besoins des patients étant très différents, une étude financée par le réseau et portant sur la connaissance des soignants du souhait du lieu de décès des personnes suivies, a été initiée. Pour ce faire, un questionnaire a été envoyé aux partenaires du réseau (36 structures et 317 médecins). Madame Lila Devaux a été engagée comme collaboratrice scientifique. Une publication des résultats est attendue pour le printemps Ce label reconnait la qualité des prestations délivrées par l Equipe mobile de soins palliatifs de la Côte active depuis dix ans. Il garantit la mise en place d un système de valorisation des prestations et le respect de quatorze critères qualitatifs.

4 4 Activités de l équipe mobile en quelques chiffres CLINIQUE Recours à l équipe mobiles de soins palliatifs Tous les hôpitaux, toutes les cliniques et un tiers des EMS ont fait appel à l équipe, 50 % des établissements socioéducatifs ont formulé une demande et tous les CMS ont eu un contact avec l équipe. Patients 139 patients ont été suivis contre 168 attendus. A relever que 192 patients ont été suivis durant l année 2014 dont 28 % des patients n ont pas été retenus dans la définition des nouveaux indicateurs. Patients non oncologiques 36 patients ont été suivis contre 65 attendus. Patients oncologiques 103 patients ont été suivis contre 99 attendus. Patients non palliatifs Trois patients ont été suivis. Patients 80 ans et plus 52 patients ont été suivis contre 107 attendus. Décès 83 décès sont survenus durant le suivi. 23 % des patients sont décédés entre le 2 ème et le 20 ème jours suivant la demande. Durée du suivi 73 % des patients ont été suivis sur une période de moins de trois mois. Le nombre de patients attendus en 2017, défini d entente avec le Service de santé publique, est de 234. Le taux de 59.5 % atteint montre que les partenaires ont trop peu recours à l équipe. Les demandes sont encore très à liées des situations oncologiques (104 %) et un appel pour des patients en stade terminal semble être encore la référence. L absence d un 2 ème médecin (0.6 EPT) depuis juillet 2014 a diminué le volume de consultations malgré la collaboration étroite avec les infirmières et médecins. Objectifs 2015 Faire évoluer les représentations dans l identification des patients en soins palliatifs non oncologique Optimiser et aligner les prestations afin de répondre aux nouveaux indicateurs de financement Intervenir le plus précocement possible Engager un médecin spécialisé en soins palliatifs à 0,6 EPT ENSEIGNEMENT Pour mémoire, les prestations de formation de l équipe mobile font partie des objectifs de l équipe. Elles sont financées par le Réseau et non facturées aux bénéficiaires. Durant l année, 323 professionnels ont bénéficié de formations pour un total de 375 heures, 392 heures étaient attendues. 163 professionnels (EMS, CMS, ESE et hôpitaux) ont reçu une formation sur les directives anticipées. Deux EMS, soit 31 professionnels, se sont engagés dans la formation de sensibilisation en soins palliatifs du CIPEPS qui offre 32 heures de formation interdisciplinaire. Des soignants (médecins, infirmières, physiothérapeutes) d un établissement hospitalier ont suivi une formation de base de 30h crédits de formation continue ont été accordée par la Société suisse de médecine interne (SSMI) à deux médecins et 26 autres soignants ; Un atelier de sensibilisation «Soins palliatifs et famille» a été organisé pour les paysannes vaudoises de la région. Comme chaque année, quatre ateliers ont été planifiés pour les infirmières ressources en soins palliatifs des CMS et EMS de la région. Deux CMS, soit 80 professionnels, ont bénéficié d une formation interdisciplinaire de base en soins palliatifs sur un après-midi. Quatre structures socio-éducatives de notre région ont suivi la formation de base en soins palliatifs dispensée par le CIPEPS, les directives anticipées ont également été enseignées. Un atelier de base en soins palliatifs a été organisé pour les infirmières de liaison (IDL). Le médecin de l équipe est intervenu auprès de la Haute école de santé (HEDS) dans le cadre du CAS et du DAS en soins palliatifs. Mme F. Laurent, responsable régionale de l équipe mobile de soins palliatifs (EMSP)

5 5 Formation de correspondants en hygiène En 2014, pour répondre à la demande de plusieurs institutions, le Réseau a innové en proposant une formation de correspondants en hygiène pour du personnel non-infirmier. Cette formation vient en complément du programme cantonal d'hygiène, Prévention et Contrôle de l'infection (HPCI) destiné aux infirmiers. L hygiène étant l affaire de tous, les infirmières HPCI ont souhaité que les professionnels travaillant dans tous les secteurs d activité des institutions sociales et de soins puissent être formés. La formation est prise en charge par le Réseau. Seuls les frais d examen, d un montant de 250 francs, sont à la charge des institutions, Une formation innovante La formation se déroule sur cinq jours. Trois journées sont consacrées aux risques infectieux, maladies infectieuses et précautions standards, une journée à la communication et une journée au partage d expériences ainsi qu à une Mmes J. Giraud, C. Sordet, M. Risuleo-Beaud et C. Schmider-Regard, référentes HPCI analyse critique des pratiques HPCI. Quatorze participants ont suivi la formation, leur profil est détaillé cidessous : - quatre aide-infirmières, aides-soignants et auxiliaires de santé, - deux assistants en soins et santé communautaire (ASSC), - deux employés de nettoyage, - deux assistantes gouvernantes, - deux gestionnaires de matériel, - un physiothérapeute, - un second de cuisine. En raison des excellents retours des participants et du succès de cette formation auprès des institutions, deux sessions seront organisées en Objectifs 2015 Connaître et appliquer les méthodes nécessaires à la gestion d un risque infectieux Connaître les méthodes favorisant l adoption des principes d hygiène dans tout acte professionnel Développer une réflexion pluridisciplinaire d'hygiène, de Prévention et de Contrôle de l'infection (HPCI) dans tous les secteurs Communiquer avec efficience avec tous les partenaires Actualiser les connaissances en matière HPCI Soutenir le travail de l infirmière référente en HPCI Deux sessions de la formation en hygiène pour le personnel noninfirmier Demi-journée pour les répondants et correspondants en hygiène

6 6 Bureau régional d information et d orientation Informer la population et les partenaires sur les ressources médico-sociales à disposition Coordonner l offre et la demande en hébergement en respectant les besoins des usagers et la mission des établissements partenaires Orienter les usagers et leurs proches sur les prestations les mieux adaptées à leurs besoins Activité du BRIO en quelques chiffres Nombre de demandes : évolution de 2010 à 2014 Le graphique ci-dessous présente l évolution du nombre annuel de dossiers ouverts dans l application Brioche-Web par tous les collaborateurs BRIO (coordinatrices, infirmières de liaison et assistante sociale). En 2014, notre BRIO a enregistré 5'111 demandes d orientation (3 661 en 2013). Le nombre de demandes d orientation a donc augmenté de 39.6 % en Cette augmentation des demandes s explique en partie par la saisie progressive de l ensemble des demandes d orientation depuis la liaison hospitalière par les infirmières de liaison.

7 Retour à domicile CTR (lits B) Long séjour ou séjour d'observation CS dans EMS "conventionné" CS hors EMS "conventionnés" Hospitalisation (lits A) Décès avant orientation Demande d'orientation retirée Non applicable/ prestation de conseil Appartement protégé Nouvelle demande Autre TOTAL 7 Profil des âges Les femmes sont plus représentées dans notre population d intérêt avec 61 % des demandes contre 39 % pour les hommes. Cette différence s explique, notamment, par le fait que les femmes ont une espérance de vie plus longue que les hommes. Le profil d âge ne varie pas d une année à l autre, la tranche d âge la plus représentative demeure celle des 80 ans et plus. Orientations réalisées En 2014, sur demandes, 5106 orientations ont été réalisées. La plupart des issues se répartissent entre le domicile (43 %, 2 185), le CTR (26%, 1338), le long séjour (8 %, 390), et le court séjour (9%, 458). On constate qu il y a une forte augmentation de l orientation vers le domicile par rapport à Ceci pourrait s expliquer par la saisie accrue dans la Brioche de l orientation vers les domiciles par les infirmières de liaison des hôpitaux. Demandes orientées vers Année % 43% 26% 8% 7% 2% 4% 4% 5% 1% 0.2% 0.2% 0.2% 100% % 30% 30% 12% 11% 3% 3% 3% 7.8% 1% 0.1% 0.5% 0.5% 100% Variations en % +108% +26.2% -8.5% -8% -8% +76% +127% -13.% +113% +450% +9% -35% +43%

8 8 Activité des longs séjours La grande majorité des demandes d hébergement concerne les longs séjours comparés aux séjours d observation qui ne représentent qu une petite partie des demandes. Demande de longs séjours par type de mission Plus des deux tiers des demandes sont faites par la mission gériatrie (70 %) ; la psychogériatrie concerne uniquement 23 % des patients. Délai entre la demande et l hébergement Délai entre la demande et l hébergement : Délai moyen 53 jours 46 jours 66.5 jours Délai médian 27 jours 26 jours 40 jours 25% des demandes débouchent sur un hébergement dans un 0 à 11 j. 0 à 10 j. 0 à 12 j. délai de 25% dans un délai de 12 à 27 j. 11 à 26 j. 13 à 40 j. 25% dans un délai de 28 à 63 j. 27 à 61 j. 41 à 83 j. 25% dans un délai de + de 63 j. + de 61 j. + de 83 j. Les délais sont calculés avec les dossiers ayant une issue en 2014, c est-à-dire les hébergements réalisés entre le et le Le délai entre la demande et l hébergement a augmenté en 2014 dans tous les services placeurs. Cette augmentation est de 13.5 jours pour les lits A somatiques, 27.3 jours pour les lits A psychiatriques, 27.8 jours pour les CTR, 20.4 jours pour les EMS, 8.9 jours pour les autres du réseau et 27.4 jours pour les autres (appartements protégés, les EMS, Hôpital autre, médecin traitant, usager, entourage et autre service placeur). Demandes en attente d hébergement de long séjour au 31 décembre Nombre de demandes en attente au 31 déc déc déc déc. 14 TOTAL

9 9 Activités des courts séjours En 2014, le BRIO a organisé 353 courts-séjours contre 387 en Détail de l activité Court Séjour du Château de Féchy Détail de l'activité court séjour Nombre de journées réalisées 4' Taux d'occupation moyen des lits 79 % 79 % 82 % Durée moyenne des séjours (achevés pendant 20 jours 18 ½ jours 20 jours l'année) Age moyen des usagers (au moment de l'entrée) 85 ans 84 ans 84 ans Proportion des entrées femmes / hommes 76.5 /23.5 % 74/26 % 72/28 % Provenance des usagers à la fin du court-séjour au Château de Féchy Provenance des usagers lors de l'entrée en court-séjour domicile 64 % 71 % 67 % hôpital 27 % 20 % 26 % CTR 9 % 9 % 6 % court séjour 0 % 1 % 1 % Destination des usagers à la fin du court-séjour au Château de Féchy Destination des usagers à la fin du court-séjour domicile 82 % % 85 % hôpital 8 % 5 % 5 % CTR 6 % 7 % 7 % hébergement en long séjour 3 % 1 % 3 % décès 0 % 1 % 1 % court séjour 0.5 % 0.5 % 0.5% OBJECTIFS 2015 Améliorer l efficience des BRIOs dans le cadre des conclusions du rapport éponyme mandaté par le Service de santé publique et la Coordination des réseaux de soins (CORES) (janvier 2015) Renforcer la connaissance du BRIO parmi les partenaires régionaux Renforcer l équipe de coordinatrice par un 0.5 ETP Recruter un chargé de projet BRIO pour le développement, notamment, de la dimension d information du BRIO Mmes C. Jacquemard, N. Fazan et K. Delapierre, coordinatrices et F. Trub, assistante sociale BRIO

10 10 Filière en Diabétologie Offrir aux patients des prestations de soins en diabétologie concertées Améliorer le partage d information et des compétences entre professionnels de santé Reprise de la filière par des membres du Réseau Améliorer l efficacité des prises en charge en intervenant au niveau des patients diabétiques Suite à l audit effectué en 2013 par le Réseau, le Comité exécutif, lors de sa séance de novembre, a souhaité revoir l organisation de la filière Diabaide qui se focalisait surtout sur les patients les plus complexes, avec une faible intervention au cours des phases initiales de la maladie. L objectif a été de transférer l activité des soignants de la filière vers des institutions partenaires et de mettre en place les mécanismes de coordination afin de suivre un plus grand nombre de patients. complémentaire permettant de coordonner de manière optimale l ensemble des prestations et prestataires. La Fondation de La Côte, l EHC et la clinique La Lignière se sont portés candidats pour la reprise des activités de la filière Diabaide. En parallèle, le Chef du Département de la santé et de l action sociale a demandé, en mars 2014, au Programme cantonal Diabète de développer un modèle de filière cantonale de prise en charge des patients diabétiques, comprenant des activités spécifiques pour les populations vulnérables, respectant les recommandations des bonnes pratiques cliniques et disposant d un système d information homogène. Pour ce faire, un appel d offre a été fait Pour ce faire, un mandat a été confié à Antarès Consulting SA auprès des partenaires régionaux. Le pour dresser un bilan de Diabaide et des expériences des filières modèle prévoyait que les soins seraient régionales ainsi que des recommandations pour l élaboration dispensés par des soignants des d un concept de filière cantonale. Ce mandat s est poursuivi par institutions partenaires du réseau et/ou une phase d accompagnement au développement du cadre par des soignants indépendants faisant le cantonal pour le diagnostic précoce, l autonomisation et le suivi choix d adhérer aux principes de des personnes diabétiques dans les quatre régions. fonctionnement de la filière. Dès lors, le Réseau adoptait une position Dès lors, l année 2014 a permis de mettre en place ce nouveau dispositif basé sur le cadre cantonal qui sera opérationnel dès 2015.

11 11 Dans ce dispositif, le médecin de famille représente la pierre angulaire des soins médicaux de base et joue un rôle essentiel dans le suivi des patients. En fonction de la situation du patient diabétique, le médecin de famille peut avoir besoin de recourir à d'autres professionnels de la santé. Ce dispositif a été mis en place pour répondre à ces situations en offrant des prestations spécialisées en diabétologie coordonnées. Ce dispositif comprend des prestations en diabétologie, en plaies et en diététique dispensées par les CMS, à domicile, au cabinet du médecin de famille ainsi dans les unités hospitalières lors du dernier jour d hospitalisation ainsi que des prestations spécialisées ambulatoires proposées par une équipe de l Ensemble Hospitalier de la Côte (EHC) et une équipe de la Clinique La Lignière. Les professionnels aptes à offrir ces prestations sont des infirmiers en diabétologie, des diététiciens et des podologues sous la supervision d un médecin spécialisé en diabétologie, dans toutes les situations simples et en fonction de la demande. Dans les situations à hauts risques et aiguës, ces équipes se coordonnent avec d autres spécialistes en fonction des complications. Médecin de famille Plateau technique - GHOL - EHC (néphrologue, cardiologue, gynécologue, angiologue, ophtalmologue, orthopédiste, urologue,..) Patient 2 antennes multidisciplinaires cliniques (Hôpital d Aubonne /de Morges et la Clinique La Lignière) - Diabétologue - Infirmière spécialisée en diabétologie - Podologue - Diététicienne Que ce soit pour les professionnels des CMS ou pour les professionnels des deux équipes ambulatoires, la prise en charge repose sur les recommandations des bonnes pratiques cliniques élaborées par le Programme cantonal Diabète en collaboration, notamment, avec les médecins de famille. De plus, la prise en charge multidisciplinaire implique une coordination des prestations et une mise en commun des informations. C est pourquoi un dossier patient informatisé commun sera utilisé par l ensemble des professionnels du dispositif. Tous les patients diabétiques peuvent également disposer de prestations ciblées d éducation thérapeutique en fonction des besoins qui se déclineront de différentes façons ainsi que d un programme d initiation à l activité physique (DIAFIT).

12 12 Activité clinique 2014 L augmentation du nombre de patients suivis est constante avec une progression de 20.5 % de 2012 à Au cours de cette année, 179 médecins, dont 40 nouveaux, ont référé au moins un patient à la filière en diabétologie. Objectifs 2015 Organiser une séance d information grand public pour présenter le nouveau dispositif Réaliser des actions dans le domaine de l éducation thérapeutique Créer une plateforme de professionnels Mettre sur pied une formation de répondants au sein des institutions Si l augmentation du nombre de consultations a bel et bien augmenté de 5 % entre 2012 et 2014, le nombre de consultations en 2014 a été inférieur de 128 à celui de 2013 Cette différence peut s expliquer par la réorganisation et reprise des activités de la filière. Mme J. Jortay, coordinatrice régionale du Programme cantonal Diabète (PcD)

13 L éducation thérapeutique s adresse 13 Programme cantonal Diabète Réduire l impact du diabète sur la population en agissant sur la prévention et sur l amélioration de la prise en charge des personnes diabétiques. Forum diabète Le 19 juin, s est déroulé à Morges le 3 ème forum régional sur le thème «Diabète : diagnostiquer, (in)former, traiter». Il a réuni 45 professionnels. Ce forum, évalué très positivement par les participants, a reçu les félicitions du Programme cantonal Diabète. Cours de sensibilisation à l éducation thérapeutique Cette formation, financée par le Programme cantonal Diabète et destinée à tous les soignants (diététiciens, infirmières, médecins, podologues, physiothérapeutes, etc.), existe depuis deux ans. L éducation thérapeutique s adresse aux personnes souffrant de maladies chroniques et aigües. Cette approche vise à développer un meilleur accompagnement du malade afin que celui-ci puisse disposer d une qualité de vie qui soit acceptable pour lui. L éducation thérapeutique permet de renforcer les capacités du malade et de son entourage à prendre en charge la maladie afin de les rendre plus autonomes et acteurs de la prise en charge. Elle permet également d initier les professionnels de la santé aux outils et modèles utilisés dans le domaine afin de développer un langage commun. Cours de sensibilisation À l éducation thérapeutique Cette formation, financée par le Programme cantonal Diabète et destinée à tous les soignants Mme J. Jortay, coordinatrice régionale du Programme cantonal Diabète (PcD) (diététiciens, infirmières, médecins, podologues, physiothérapeutes, Evaluation et suite etc.), existe depuis deux ans. En 2014, les Docteurs H. Delgado, S. Jotterand, C. Uldry et Madame B. Walder, infirmière, ont animé un cours de sensibilisation sur trois demi-journées alternant pratique et théorie. Douze personnes ont participé à cette formation (cinq podologues, quatre infirmières, deux pharmaciens et une diététicienne).

14 14 Centre Mémoire de la Côte Détecter et diagnostiquer les pathologies démentielles Assurer la prise en charge: traitement, orientation et suivi Offrir du soutien aux proches-aidants Informer et sensibiliser le grand public Former et développer la recherche dans le domaine Activité clinique En juin 2012, le Centre Mémoire de la Côte a ouvert ses portes dans les locaux de l Hôpital d Aubonne (EHC). Depuis son ouverture, 127 médecins ont référé des patients au Centre, 47 % de ces professionnels pratiquent sur le district de Morges et 42 % sur celui de Nyon. En 2014, le centre a accueilli 130 nouveaux patients sur un total de 323 patients depuis son ouverture. Le nombre de consultations a progressé passant de 625 contre 504 en Les patients ont tous bénéficié d une évaluation interdisciplinaire regroupant les compétences d un gériatre, d un neurologue et d un psychiatre de l âge avancé ainsi que d une évaluation d un psychologue, d un neuropsychologue et d une infirmière de liaison. L accroissement des consultations de proches-aidants a requis l augmentation du taux d activité de Monsieur Nicolas Long, psychologue, passant de 20 % à 40 % en février De même, le taux d activité des neuropsychologues est passé de 20 % à 40 %. Ce taux se réparti entre Mesdames Alexia Deslex, Carmen Schmidt et Virginie Descloux. Enfin, les Doctoresse Stéphanie Adam et Marie-Claire Kramer ont rejoint l équipe assurant une activité à 50%. Nous nous réjouissons du succès des prestations du Centre de la Mémoire de la Côte qui répond à un réel besoin des patients et de leurs proches.

15 15 Activité extérieure Les médecins du Centre Mémoire de la Côte continuent la collaboration avec le Centre Leenaards de la Mémoire CHUV. Ils participent notamment avec leurs collègues des trois autres Centres de la Mémoire à un groupe de travail qui se penche sur comment mieux prendre en charge les personnes atteintes de syndrome démentiel. C est au Centre Mémoire de la Côte que les quatre Centres de la Mémoire se sont retrouvés pour une séance et ou la sujet principal abordé était le maintien et le développement de Centres d accueil temporaire spécialisés dans les troubles cognitifs. Lors du Salon Planète Santé tenu en novembre à l EPFL, les quatre Centres de la Mémoire ont tenu ensemble un stand avec des activités de mémoire. Cet évènement a eu un franc succès avec de nombreux visiteurs curieux d en savoir plus sur leur mémoire et le fonctionnement du cerveau. Forum Alzheimer Le Centre Mémoire a organisé en collaboration avec ses partenaires un forum sur les aides proposées aux patients atteints de démence et à leurs proches. Cette manifestation a été animée par des professionnels du Centre Mémoire de la Côte, une coordinatrice de l Association Alzheimer, une responsable d un centre d accueil temporaire (CAT de la Fondation Belle Saison) ainsi qu une proche aidante. Le BRIO, la Fondation de La Côte, l Association Alzheimer et l équipe mobile de psychogériatrie ont été à la disposition du public pour davantage d informations. Des informations sur le BRIO ont été données par les partenaires. Avec plus de 60 participants, cet évènement a été une réussite. Dresse R. Dreher, cheffe de projet du Centre Mémoire de la Côte Dresse R. Dreher, cheffe de projet, Centre Mémoire de la Côte

16 16 Membres du Bureau et du Comité exécutif * Membres du Bureau et du Comité exécutif M. Daniel OYON, Président de l Assemblée générale, membre observateur Dr Laurent CHRISTIN*, Président du Comité exécutif Représentants des Hôpitaux reconnus d intérêt public M. François JACOT-DESCOMBES, Directeur général, Ensemble hospitalier de la Côte (EHC) M. Christophe VACHEY, Directeur adjoint, Groupement hospitalier de l'ouest lémanique (GHOL) Représentants des centres de traitement et de réadaptation et institutions spécialisés reconnus d intérêt public Dr Mikael DE RAHM*, Directeur adjoint EHC M. Nicolas WALTHER, Directeur de la Clinique La Lignière Représentant du secteur psychiatrique reconnu d intérêt public Dr Christophe SAHLI, Hôpital de Prangins Représentants des EMS reconnus d intérêt public Mme Danièle BONHOMME*, Directrice de La Diligence SARL M. Jean-François PASCHE, Directeur de la Fondation Silo Représentant du service d aide et de soins à domicile et de prévention mandaté par l AVASAD M. Jacques CHARBON*, Directeur de la Fondation de La Côte Représentant de la Société Vaudoise de Médecine Dr Pierre-Alain ROBERT, médecin libre praticien Représentants des communes M. Jean-Daniel ALLEMANN, Municipal d Apples, représentant des communes du district de Morges M. Pierre BURNIER*, Municipal de Bursinel, représentant des communes du district de Nyon Représentante du service de la santé publique Dr Marjorie AUDARD, observatrice

17 17 Membres selon Art.10 des Statuts Membres affiliés de droit Hôpitaux reconnus d intérêt public Ensemble hospitalier de la Côte (EHC) Groupement hospitalier de l'ouest lémanique (GHOL) Les centres de traitement et de réadaptation et institutions spécialisés reconnus d intérêt public (CTR) Clinique La Lignière Hôpital de Gilly et Hôpital d Aubonne (EHC) Secteur psychiatrique reconnu d intérêt public Hôpital psychiatrique de Prangins (CHUV) Clinique La Métairie à hauteur de leurs lits répertoriés Etablissements médico-sociaux reconnus d intérêt public CHUV : Soerensen et La Rosière Clairière Comandant Baud Diligence et Gentilhommière SARL Ensemble hospitalier de la Côte (EHC) : Nelty de Beausobre, EMS d Aubonne et Les Pâquis Fondation Belle Saison : Bellevue, Clef des champs et 4 Saisons Fondation du Midi Fondation Silo et Château de Féchy Home-Age S.A : Les Tilleuls, Escapade et Sans Souci JBC GROUP : Les Lusiades Myosotis Renaissance BOAS : Le Pacific et La Gottaz à hauteur de leurs lits PC (prestations complémentaires) Service d aide et de soins à domicile et de prévention mandaté par l AVASAD Fondation de La Côte Société Vaudoise de Médecine (SVM) Membre affilié volontaire Clinique La Lignière Les médecins libres praticiens membres de la SVM

18 18 93 communes membres affiliées de droit Aclens Chigny Givrins Prangins Allaman Clarmont Gland Préverenges Apples Coinsins Grancy Reverolle Arnex-sur-Nyon Commugny Grens Rolle Arzier Coppet La Rippe Romanel-sur-Morges Aubonne Cottens Lavigny Saint-Cergue Ballens Crans-près-Céligny Le Vaud Saint-George Bassins Crassier Lonay Saint-Livres Begnins Denens Longirod Saint-Oyens Berolle Denges Luins Saint-Prex Bière Duillier Lully Saubraz Bogis-Bossey Dully Lussy-sur-Morges Sévery Borex Echandens Marchissy Signy-Avenex Bougy-Villars Echichens Mauraz Tannay Bremblens Essertines-sur-Rolle Mies Tartegnin Buchillon Etoy Mollens Tolochenaz Bursinel Eysins Montherod Trélex Bursins Féchy Montricher Vaux-sur-Morges Burtigny Founex Mont-sur-Rolle Vich Bussy-Chardonney Genolier Morges Villars-sous-Yens Chavannes-de-Bogis, Gilly Nyon Vinzel Chavannes-des-Bois Gimel Pampigny Vufflens-le-Château Chéserex Gingins Perroy Vullierens Yens

19 19 Membres associés Organisations de soins à domicile (OSAD) Adlibit Home SA Assistance à Domicile pour la Ville et la Campagne (HOMECARE) Fondation Pro-Home IDP Medical La boîte O services La Gracieuse La-solution.ch Unique soins à domicile Proxim aid Autres Clinique de Bois-Bougy Clinique de Genolier Croix-Rouge vaudoise Fédération suisse des sages-femmes Graap-Fondation La Berge Institution L'Espérance Institution de Lavigny - Hôpital neurologique, CHUV (membre affilié de droit Réseau Région Lausanne) La Ligue Pulmonaire Vaudoise Le Léman, home non médicalisé OPK Pharmacie de l'ile, Rolle Pharmacie inter-hospitalière de la Côte, Morges

20 20 Comptes 2014 Les comptes 2014 ont été approuvés en Assemblée générale en date du 22 avril 2015 (Annexe 1). PILOTAGE BRIO CHYPCI - Cellule Hygiène CHYPCI - Formation répondant s Diabaideactivités cliniques Soins palliatifs - equipe mobile Soins palliatifs - Formation Soins palliatifs - mandat SI Lieu de Programm Vie - Lieux e cantonal de décès Diabète Centre de la Mémoire CA 1000 CA 1100 CA1201 CA 1202 CA 1301 CA1401 CA1402 CA1403 CA1406 CA 1501 CA 1601 Salaires personnel 291' ' ' '290 21' '690 Charges patronales 58'431 62' ' '112 4' '908 Autres charges de personnel 14'636 5' '195 Honoraires de sous-traitance -5'379 1'377'633 36'222 8'340 92' '850 18'426 29'778-4' '924 2'309'823 Autres charges sous-traitance '123 25' '501 2'317 51'192 Comité exécutif 60' '989 Loyers et charges connexes 36'409 62' '974 8'400 2' '278 22' '599 Internet et informatique 9'806 11' '595 2' '196 76'999 Autres frais généraux 40'916 29' '648 2' '287 2'456 83'936 Total des dépenses 507'148 1'892'530 37'421 9' ' '578 47'031 29'778 20'875 43' '213 3'559' Subventions SSP 515' ' ' '243 42'031 27'572-35' '000 2'297'807 Autres subventions cantonales - 38' '044 39'782 Dissolution réserves affectées - 26'135 37' ' '662 ARC-Contributions BRIO - 1'187' '187'645 ARC-Cotisations 116' ' ' '249 Paiement de prestations '750 64'197-5' ' ' '011 Autres recettes 8' '501 Total des recettes 639'926 1'986'278 37'421 9' ' '243 47'031 29'778 20'875 47' '575 4'049' bénéfice / - perte 132'777 93' ' ' ' '326 TOTAL Annexe : Rapport de l organe de révision sur les comptes annuels 2014

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