Vous recevez une interne du service de maternité. 1 Confirmer le diagnostic (définition de cas)
|
|
- Lucien Ruel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vous recevez une interne du service de maternité La Coqueluche Elle vous dit tousser depuis 15 jours. Devant l absence de fièvre elle ne s est pas arrêtée et elle n a pas pris de précautions particulières. Devant la persistance de cette toux isolée, avec apparition de quintes, elle vous est adressée car le diagnostic de coqueluche est évoqué Que faites-vous???? 1 Confirmer le diagnostic (définition de cas) CAS CLINIQUE CAS CONFIRME EPIDEMIOLOGIQUEMENT CAS CONFIRME BIOLOGIQUEMENT
2 Quand suspecter une coqueluche? ( cas suspect de coqueluche) 4Toux évoluant > 7 jours doit, en l'absence d'une autre étiologie, faire évoquer le diagnostic SI : toux nocturne, insomniante avec des quintes évocatrices = reprise inspiratoire difficile associée à un chant du coq, des vomissements, un accès de cyanose voire des apnées MAIS chez l adulte toux banale possible pas de fièvre ni d autre signe respiratoire et entre les accès de toux et les quintes, le sujet est asymptomatique. hyper lymphocytose notion de contage avec une durée d incubation compatible (7 à 21 jours) 1 Confirmer le diagnostic Toux évocatrice : persistante > 14 jours, sans fièvre, quinteuse (CAS CLINIQUE CONFIRME) Recherche d un cas source : il y a environ 1 mois, l interne a été en contact avec une interne d un autre service qui toussait Confirmer par le diagnostic biologique 4 Vous faites : 1. Une sérologie 2. Une PCR 3. Les deux Quelle méthode? 4 Vous faites : Quelle méthode? 1. Une sérologie : non car durée de la toux < 21 jours 2. Une PCR : test de premier choix 3. Les deux : non
3 incubation semaines Quelle méthode? Début des symptômes phase catarrhale culture PCR période des quintes interne Sérologie (Ac antipt) convalescence Méthodes de diagnostic de la coqueluche? 4Diagnostic direct sur prélèvements nasopharyngés PCR : méthode de référence Sensibilité > 80% (bonne pdt incubation et jusqu à 21 jours de toux) Spécificité > 95% (rares faux + contamination) Remboursée depuis 26/10/2010 Culture : peu sensible (50% et décroît après 1 semaine) Quelles sont à l heure actuelle les méthodes de diagnostic de la coqueluche? (2) 4Sérologie intérêt uniquement après 3 semaines de toux chez les sujets n ayant pas reçu de vaccin depuis au moins 3 ans 4ATTENTION à l interprétation Anti adényl cyclase : séquelle vaccinale Anti toxine : seuls spécifiques de B. Pertussis Pas de test commercial validé N EST PLUS REMBOURSEE Interprétation difficile; titre élevé nécessaire CNR : un taux d Ac anti-pt 125UE/ml confirme l infection, ainsi que l augmentation de 100% ou la diminution de 50% du taux de ces Ac sur 2 prélèvements à 2-3 semaines d intervalle Rapport du HCSP du 5/09/08 relatif à la conduite à tenir devant un ou plusieurs cas ce coqueluche OUI
4 2. Evaluer la contagiosité 2. Evaluer la contagiosité L interne est-elle encore contagieuse? 4 Oui car elle n a pas été traitée pendant au moins 10 jours 4 Oui car contagieuse pendant les 3 semaines suivant l apparition de la symptomatologie 4 Non car contagieuse seulement pendant la période d incubation L interne est-elle encore contagieuse? 4 Oui car elle n a pas été traitée pendant au moins 10 jours 4 Oui car contagieuse pendant les 3 semaines suivant l apparition de la symptomatologie 4 Non car contagieuse seulement pendant la période d incubation incubation semaines Période de contagiosité - jusqu à 3 semaines après le début de la toux (+++ phase catarrhale) en absence de traitement antibiotique phase catarrhale période des quintes convalescence -3 Début des symptômes CONTAGIOSITE interne - pendant les 5 premiers jours de ttt antibiotique ( 3 jours si azithromycine) Mesures concernant le cas Limiter le risque de contagion (si toux < 3 semaines) Eviction = 3 jours si l azithromycine sinon 5 jours (évitant le contact au domicile avec sujets à risque) Antibiothérapie : éradication du germe en 3-5 jours Macrolide : en privilégiant l azithromycine mg pendant 3 jours chez l adulte - 20 mg/kg/j pendant 3 jours chez l enfant Alternatives : cotrimoxazole, fluoroquinolones qui réduit l éviction à 5 jours
5 1. Recherche des tousseurs dans l entourage 2. Antibioprophylaxie? 3. Vaccination? 1. Recherche des tousseurs dans l entourage 2. Antibioprophylaxie? 3. Vaccination? Y a-t-il une indication à l Antibioprophylaxie? 1. OUI pour tous les contacts 2. OUI seulement si contact proche non protégé ayant des facteurs de risque 3. OUI pour tous les contacts proches ; et pour les contacts occasionnels non protégés uniquement si facteurs de risque 4. NON antibiothérapie si apparition des symptômes 1. Recherche des tousseurs dans l entourage 2. Antibioprophylaxie? 3. Vaccination? Y a-t-il une indication à l Antibioprophylaxie? 1. OUI pour tous les contacts 2. OUI seulement si contact proche non protégé ayant des facteurs de risque 3. OUI pour tous les contacts proches ; et pour les contacts occasionnels non protégés uniquement si facteurs de risque 4. NON antibiothérapie si apparition des symptômes 2. l antibioprophylaxie Evaluation en fonction de: IMMUNITE TYPE DE CONTACT SUJETS A RISQUE Sont considéré protégés par la vaccination: -enfants 16 mois ayant reçu 3 doses ; -enfants >16 mois ayant reçu 4 dose et dont la dernière remonte à moins de 5 ans; - ADOLESCENTES ET ADULTES DONT LA DERNIERE DOSE REMONTE A MOINS DE 5 ANS
6 2. l antibioprophylaxie Evaluation en fonction de: IMMUNITE TYPE DE CONTACT SUJETS A RISQUE PROCHE : vivant sous le même toit, même section en crèche/halte-garderie OCCASIONNEL: en établissement de santé: tous patients ayant reçu des soins d un membre du personnel atteint, ainsi que ses collègues ayant des contacts face à face ou prolongés avec lui 2. l antibioprophylaxie Evaluation en fonction de: IMMUNITE TYPE DE CONTACT SUJETS A RISQUE SUJETS A RISQUE: - risque de faire des formes graves (enfants moins de 6 mois, pathologies respiratoires chronique, immunodéprimés); - femme enceinte; - personnes à contact avec ces sujets fragiles 2. l antibioprophylaxie En cas de contact proche tous sujets non protégés En cas de contact occasionnel seulement sujets non protégés et présentant un risque d avoir une forme grave de maladie ou de transmettre l infection à des sujets à risque -> pour les autres cas: surveillance qsp 21j dernier contact avec la source + info! Antibioprophylaxie chez les personnels (= contacts occasionnels) 4Envisagée uniquement si non vaccinés ou vaccin datant de plus de 5 ans ou pas de coqueluche récente 4Uniquement si : sont à risque eux-même ou en contact avec des sujets à risque (au domicile ou au travail) 4En maternité : Une analyse bénéfice/risque doit permettre de proposer une prophylaxie qu aux personnels les plus exposés aux cas!
7 Antibioprophylaxie systématique des patients à risque (= contacts occasionnels) 4Patients : Nourrissons Femmes enceintes Mère en contact avec nouveau-né 4Hospitalisés et ayant été hospitalisés depuis le début des symptômes chez le 1er cas (rappel des patients) 4En maternité : binôme mère/enfant -> identifier qui a été principalement exposé (cfr. HCSP : Rapport relatif a la conduite a tenir devant un ou plusieurs cas de coqueluche 5 septembre 2008 pag 22) 1. Recherche des tousseurs dans l entourage 2. Antibioprophylaxie? 3. Vaccination? Y a-t-il une indication à la vaccination? 1.OUI pour les sujets à risque non protégés 2.OUI pour tous les contacts non protégés 3.NON car déjà en contact avec la source 1. Recherche des tousseurs dans l entourage 2. Antibioprophylaxie? 3. Vaccination? Y a-t-il une indication à la vaccination? 1.OUI pour les sujets à risque non protégés 2.OUI pour tous les contacts non protégés 3.NON car déjà en contact avec la source 3. mettre à jour la VACCINATION VACCIN ANTI-COQUELUCHE 4Pas de vaccin monovalent 4Tétravalent dtcapolio : REPEVAX BoostrixTétra Anatoxine diphtérique > 2 UI - Anatoxine tétanique > 20 UI Vaccin polyo 1 40 UD - Vaccin polyo 2 8 UDV Vaccin polyo 3 32 UD Antigènes de Bordetella purifiés : anatoxine (2,5mg), hémagglutinine filamenteuse (5mg),, fimbriae (5mg),, pertactine (3mg) Phosphate d aluminium 4Vaccin contre-indiqué en cas de grossesse (manque de données) mais pas en cas d allaitement
8 VACCIN ANTI-COQUELUCHE RAPPEL du schéma vaccinal en population générale Calendrier vaccinal BEH no du 22 mars Primovaccination : 3 doses de vaccin contenant la valence coqueluche à 2, 3 et 4 mois et un rappel à mois 4 Rappel à l âge de ans (DTCaP) : vise à protéger adolescents et adultes jeunes et à couvrir les premières années de fécondité. Différer ce rappel à l âge de ans, avec dtcap chez les enfants qui auraient reçu, hors recommandation, un rappel coquelucheux à l âge de 5-6 ans. Rattrapage à l âge de ans, à l occasion d un rappel 3. diphtérie-tétanos-polio, un rattrapage avec un vaccin quadrivalent dtcap permet de vacciner les adolescents qui n auraient pas été vaccinés à ans. VACCIN ANTI-COQUELUCHE RAPPEL du schéma vaccinal en population générale (2) Calendrier vaccinal BEH no du 22 mars «Cocooning» : adultes susceptibles de devenir parents ou membres du foyer à l occasion d une grossesse (mère après l accouchement) (depuis 2004) 4Rattrapage chez l adulte : afin de renforcer la stratégie dite du cocooning, un rappel coquelucheux avec le dtcap est à proposer à tout adulte n ayant pas reçu de rappel de vaccin coquelucheux depuis plus de dix ans, notamment à l occasion du rappel vaccinal à l âge de ans (depuis 2008) Calendrier vaccinal BEH no du 22 mars Vaccination contre la coqueluche chez les personnels de santé (Avis du HCSP du 19 mars 2008) 4Vaccination recommandée pour L ENSEMBLE DU PERSONNEL SOIGNANT y compris dans les EHPAD et les élèves des écoles paramédicales et médicales à l'occasion d'un rappel décennal diphtérie-tétanos-polio 4Un rattrapage ciblé pour les professionnels de santé en contact avec des nourrissons trop jeunes pour avoir reçu 3 doses de vaccin coquelucheux Pour l ensemble de ces personnels, ou chez l adulte exposé, quel est le délais minimum à respecter séparant l administration du vaccin dtcapolio avec la dernière dose du vaccin comportant les valences dt? 3. mettre à jour la VACCINATION VACCIN ANTI-COQUELUCHE Le délais minimum à respecter séparant l administration du vaccin dtcapolio avec la dernière dose du vaccin comportant les valences dt est de : ans 2. 5 ans 3. 2 ans 4. 1 mois
9 3. mettre à jour la VACCINATION VACCIN ANTI-COQUELUCHE Le délais minimum à respecter séparant l administration du vaccin dtcapolio avec la dernière dose du vaccin comportant les valences dt est de : ans Il n'y a pas lieu d'administrer 2. 5 ans plus d'une dose de vaccin 3. 2 ans dtcapolio chez l'adulte 4. 1 mois (en situation de cas groupés) La coqueluche Y a t il autre chose à faire? Déclaration obligatoire? 1. OUI 2. NON La coqueluche Y a t il autre chose à faire? Déclaration obligatoire? 1. OUI 2. NON, mais SIGNALEMENT INTERNE Unité opérationnelle d hygiène Médecine du travail DDASS : tout médecin doit déclarer les cas groupés de coqueluche (>2) survenant en collectivités Contact avec le CNR CAS CLINIQUE : Coqueluche En résumé: CAT pour le cas Interne de maternité (toux depuis 15 j) PCR pour diagnostique Eviction (notion de personnes à risque dans l entourage familial?) AB thérapie CAT pour les contacts - Tousseurs dans entourage? - Contacts proches - > domicile: Abprophylaxie si non immunisés - Contacts occasionnels Parmi le personnel - prophylaxie qu aux personnels les plus exposés aux cas - Mise à jour la vaccination pour l ensemble du personnels - Information globale (porte de masque si apparition des symptômes etc..) Parmi les patients Patients dont elle aura pris soins (hospitalisés et déjà sortis) identifier qui, dans le binôme mère/enfant, a été principalement exposé au cas
10 CAS CLINIQUE : Coqueluche en maternité CAT pour les contacts CAS CLINIQUE : Coqueluche en maternité CAT pour les contacts PARMI LE PERSONNEL Une analyse bénéfice/risque doit permettre de proposer une prophylaxie qu aux personnels les plus exposés aux cas Mettre à jour la vaccination pour l ensemble du personnels Information globale (porte de masque si apparition des symptômes etc..) Enfants (es. puéricultrice) Mère (es. sage-femme) Mère et enfants PARMI LES PATIENTS (binôme mère/enfant) Identifier qui a été principalement exposé: - Prophylaxie seulement pour les enfants dont elle aura pris soins - Info à la mère si apparition de toux dans les 3 ss suivantes le dernier contact PARMI LE PERSONNEL Une analyse bénéfice/risque doit permettre de proposer une prophylaxie qu aux personnels les plus exposés aux cas Mettre à jour la vaccination pour l ensemble du personnels Information globale (porte de masque si apparition des symptômes etc..) Enfants (es. puéricultrice) Mère (es. sage-femme) Mère et enfants PARMI LES PATIENTS (binôme mère/enfant) Identifier qui a été principalement exposé: - Prophylaxie seulement pour les femmes à qui elle aura prodigué des soins - Leurs nouveau-nés ne recevront une prophylaxie que si la maman développe la maladie CAS CLINIQUE : Coqueluche en maternité CAT pour les contacts PARMI LE PERSONNEL Une analyse bénéfice/risque doit permettre de proposer une prophylaxie qu aux personnels les plus exposés aux cas Mettre à jour la vaccination pour l ensemble du personnels Information globale (porte de masque si apparition des symptômes etc..) Enfants (es. puéricultrice) Mère (es. sage-femme) Mère et enfants PARMI LES PATIENTS (binôme mère/enfant) Identifier qui a été principalement exposé: - La prophylaxie est à donner systématiquement à l enfant - La prophylaxie de la mère dépend de la fréquence et de la proximité du contact avec le cas de coqueluche
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailSimplification du calendrier vaccinal. Collection Avis et Rapports
Simplification du calendrier vaccinal Collection Avis et Rapports Simplification du calendrier vaccinal Rapport 21 décembre 2012 Ce rapport a été adopté par la Commission spécialisée Maladies transmissibles
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailPour l'entrée en institut de formation paramédicale
FORMER Dossier médical Pour l'entrée en institut de formation paramédicale Avril 2015 Aide-soignant-e Auxiliaire de puériculture Infirmier-e Masseur-kinésithérapeute Manipulateur-trice en électroradiologie
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailDu 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination
Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Vaccination : êtes-vous à jour? DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse national complété des informations en Vaucluse où la semaine se prolonge
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailEtes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch
Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailBulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité
Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Yves CLAPOT Avocat, cabinet CLAPOT-LETTAT, Lyon Tribunal administratif de Paris,
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailARTICLE IN PRESS. Article original. Modele + MEDMAL-2842; No. of Pages 5
Médecine et maladies infectieuses xxx (2009) xxx xxx Article original Connaissance et application des recommandations vaccinales concernant la coqueluche par la médecine du travail des établissements de
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détaild évaluation de la toux chez l enfant
Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détailRecommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France
Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France Conférence d experts texte court Société de Pneumologie de Langue Française La Société
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailLes enfants non vaccinés sont en bonne santé!
Les enfants non vaccinés sont en bonne santé! Les médecins, même allopathes, commencent sérieusement à se poser des questions sur les vaccinations. Il est certain en tout cas qu ils vaccinent moins leurs
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailHépatite. ses causes ses conséquences sa prévention
Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailLes vaccinations en milieu professionnel
Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailMutuelle santé. Vous pourrez. toujours compter. sur votre mutuelle! Activance TNS
Mutuelle santé Activance TNS Vous pourrez toujours compter sur votre mutuelle! Activance TNS Le haut de gamme pour les professionnels! Les Produit Prise en charge maximale pour l hospitalisation dès la
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailQuestions/Réponses. Selfassurance Santé. 1. Souscrire une assurance santé
Selfassurance Santé Questions/Réponses 1. Souscrire une assurance santé Les différents Régimes Obligatoires Le Régime Obligatoire d assurance maladie de Sécurité sociale française dont relève l assuré
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailMISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE
RELEVÉ DES MALADIES TRANSMISSIBLES AU CANADA RMTC JANVIER 213 VOLUME 39 DCC-1 ISSN 1481-8531 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l immunisation (CCNI) MISE À JOUR
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détail