ENQUETE NATIONALE AUPRES DES POPULATIONS NON BANCARISEES
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- Judith Lussier
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1 REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES OBSERVATOIRE DE LA QUALITE DES SERVICES FINANCIERS ENQUETE NATIONALE AUPRES DES POPULATIONS NON BANCARISEES (ENPNB ) RAPPORT D ANALYSE DES RESULTATS décembre 2012
2 EQUIPE DE COORDINATION ET DE REDACTION Statut Prénom(s) NOM Fonction Président M. Abdoulaye GAYE Secrétaire Exécutif Coordinateur M. Papa Seyni THIAM Expert Statisticien Economiste Dr. Aliou DIOP Expert Financier Mme Sophie N. SECK FALL Juriste Rédacteurs M. François Mame Samba NDIAYE Juriste M. Djibril NGOM Juriste M. Papa Seyni THIAM Expert Statisticien Economiste Page 2 / 75
3 Sommaire LISTE DES TABLEAUX... 5 LISTE DES FIGURES... 6 RESUME DES RESULTATS... 8 INTRODUCTION... 9 I. CONTEXTE, JUSTIFICATION, OBJECTIFS ET METHODOLOGIE I.1. Contexte et justification I.2. Objectifs de l enquête I.3. Méthodologie de l enquête II. PRESENTATION DE LA POPULATION ENQUÊTEE II.1. Répartition des unités enquêtées suivant les régions II.2. Répartition selon l âge, le sexe et la situation matrimoniale II.2.1 Répartition selon l âge II.2.2 Répartition selon le sexe II.2.3 Répartition selon la situation matrimoniale II.3 Répartition selon le niveau d instruction et la catégorie socioprofessionnelle II.4 Répartition selon le secteur d activités II.5 Répartition selon le revenu III. CONNAISSANCE DE L ENVIRONNEMENT DES INSTITUTIONS FINANCIERES III.1 Connaissance des SFD III.1.1 Degré de connaissance des SFD suivant les régions III.1.2 Degré de connaissance des SFD par les enquêtés selon le genre III.1.3 Degré de connaissance des SFD suivant l âge des enquêtés III.1.4 Degré de connaissance des SFD selon le niveau d instruction III.1.5 Degré de connaissance des SFD suivant la catégorie socioprofessionnelle III.1.6 Degré de connaissance des SFD par les enquêtés selon le niveau de revenu III.2 Degré de connaissance des banques III.2.1 Degré de connaissance des banques suivant la région III.2.2 Degré de connaissance des banques selon le genre III.2.3 Degré de connaissance des banques selon l âge III.2.4 Degré de connaissance des banques selon le niveau d instruction des enquêtés III.2.5 Degré de connaissance des banques selon la catégorie socioprofessionnelle III.2.6 Connaissance des banques suivant le niveau de revenu III.3 Etat de connaissance du principe du droit au compte Page 3 / 75
4 III.3.1 Connaissance du droit au compte suivant le genre des enquêtés III.3.2 Connaissance du principe du droit au compte suivant la région III.3.3 Connaissance du principe du droit au compte suivant la situation matrimoniale III.3.4 Connaissance du principe du droit au compte suivant l âge III.3.5 Connaissance du principe du droit au compte selon le secteur d activités III.3.6 Connaissance du principe du droit au compte selon la catégorie socioprofessionnelle III.3.7 Connaissance du principe du droit au compte selon le niveau d instruction III.3.8 Connaissance du principe du droit au compte selon le niveau de revenu III.4 Analyse des causes de non bancarisation déclarées III.4.1 Causes de la non bancarisation identifiées III.4.2 Analyse des demandes d ouverture de compte rejetées IV. CHOIX D UNE INSTITUTION FINANCIERE IV.1. Critères de choix d une institution financière IV.1.1 Critères de choix d une institution financière suivant la région IV.1.2 Critères de choix d une institution financière, selon le genre IV.1.3 Critères de choix d une institution financière, suivant l âge IV.1.4 Critères de choix d une institution financière selon le niveau d instruction IV.1.5 Critères de choix d une institution financière selon le revenu IV.1.6 Critères de choix d une institution financière suivant la catégorie socioprofessionnelle IV.1.7 Critères de choix suivant le type d institution financière IV.1.8 Critères de choix selon le nombre d institutions financières connues IV.2. Choix du type d institution financière dans l éventualité d une ouverture de compte IV.2.1 Choix du type d institution financière suivant la région IV.2.2 Choix du type d institution financière suivant le genre IV.2.3 Choix du type d institution financière suivant l âge IV.2.4 Choix du type d institution financière suivant la situation matrimoniale IV.2.5 Choix du type d institution financière suivant le niveau d instruction IV.2.6 Choix du type d institution financière selon la catégorie socioprofessionnelle IV.2.7 Choix du type d institution financière suivant le secteur d activités IV.2.8 Choix du type d institution financière selon le niveau de revenu V. ENSEIGNEMENTS DE L ENQUETE VI. CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS ANNEXES ANNEXE 1 : Questionnaire de l ENPNB ANNEXE 2 : Tableaux complémentaires sur la connaissance des banques et les motifs de non bancarisation Page 4 / 75
5 LISTE DES TABLEAUX Tableau 1: Niveau de connaissance des banques selon le niveau d'instruction des enquêtés...68 Tableau 2: Niveau de connaissance des banques suivant la catégorie socioprofessionnelle...69 Tableau 3: Niveau de connaissance des institutions bancaires selon le niveau de revenu...70 Tableau 4: Motifs de non bancarisation selon le secteur d'activités...71 Tableau 5: Motifs de non bancarisation suivant la catégorie socioprofessionnelle...72 Tableau 6: Trois principaux critères déterminant le choix d'une institution financière suivant la région...73 Tableau 7: Critères de choix d'une institution financière suivant le niveau d'instruction...74 Tableau 8: Critères de choix d'une institution financière suivant la catégorie socio professionnelle...75 Page 5 / 75
6 LISTE DES FIGURES Figure 1: Répartition des personnes enquêtées suivant les régions Figure 2: Répartition des personnes interrogées selon l âge Figure 3: Répartition des personnes interrogées selon le sexe Figure 4: Répartition de l'échantillon selon la situation matrimoniale Figure 5: Répartition selon le niveau d'instruction Figure 6: Répartition suivant la catégorie socioprofessionnelle Figure 7: Répartition selon le secteur d'activités Figure 8: Répartition selon le niveau de revenu Figure 9: Nombre de SFD connus Figure 10: Niveau de connaissance des SFD par les personnes interrogées Figure 11: Degré de connaissance des SFD par les enquêtés suivant la typologie et la région Figure 12: Niveau de connaissance des SFD selon le genre Figure 13: Degré de connaissance des SFD suivant l âge Figure 14: Degré de connaissance des SFD selon le niveau d instruction Figure 15: Niveau de connaissance des SFD suivant la catégorie socioprofessionnelle Figure 16: Niveau de connaissance des SFD selon le revenu Figure 17: Répartition des enquêtés suivant le nombre de banques connues Figure 18: Degré de connaissance des banques par les populations rencontrées Figure 19: Répartition des enquêtés suivant le nombre de banques connues et la région Figure 20: Niveau de connaissance des banques selon le genre Figure 21: Degré de connaissance des banques suivant l âge des enquêtés Figure 22: Répartition des enquêtés suivant le nombre de banques connues et la catégorie socioprofessionnelle Figure 23: Nombre de banques connues suivant le niveau de revenu Figure 24: Répartition selon le genre des enquêtés connaissant le droit au compte Figure 25: Niveau de connaissance du principe du droit au compte suivant la région Figure 26: Niveau de connaissance du principe du droit au compte suivant la situation matrimoniale Figure 27: Niveau de connaissance du principe du droit au compte suivant l'âge Figure 28: Niveau de connaissance du principe du droit au compte suivant le secteur d activités Figure 29: Niveau de connaissance du principe du droit au compte suivant la catégorie socioprofessionnelle Figure 30: Niveau de connaissance du principe du droit au compte selon le niveau d'instruction Page 6 / 75
7 Figure 31: Niveau de connaissance du principe du droit au compte selon le niveau de revenu Figure 32: Motifs de non bancarisation selon le genre Figure 33: Motifs de non bancarisation suivant l'âge Figure 34: Motifs de non bancarisation selon la situation matrimoniale Figure 35: Motifs de non bancarisation selon le niveau de revenu Figure 36: Motifs de non bancarisation selon le niveau d instruction Figure 37: Demandes d ouverture de compte rejetées suivant le genre Figure 38: Demandes d ouverture de compte rejetées suivant la situation matrimoniale Figure 39: Demandes d ouverture de compte rejetées suivant l âge Figure 40: Demandes d ouverture de compte rejetées suivant la région Figure 41: Demandes d ouverture de compte rejetées selon la catégorie socioprofessionnelle Figure 42: Demandes d ouverture de compte rejetées suivant le niveau d'instruction Figure 43: Demandes d ouverture de compte rejetées suivant le revenu Figure 44: Critères de choix d une institution financière selon le genre Figure 45: Critères de choix d une institution financière selon l âge Figure 46: Critères de choix d une institution financière selon le revenu Figure 47: Critères de choix suivant le type d institution financière Figure 48: Critères de choix selon le nombre de banques connues Figure 49: Critères de choix selon le niveau de connaissance des SFD Figure 50: Choix du type d institution financière suivant la région Figure 51: Type d'institution financière à choisir suivant le genre Figure 52: Type d institution financière à choisir selon l'âge Figure 53: Type d institution financière à choisir suivant la situation matrimoniale Figure 54: Type d institution financière à choisir selon le niveau d instruction Figure 55: Type d institution financière à choisir selon la catégorie socioprofessionnelle Figure 56: Type d institution financière à choisir selon le secteur d'activités Figure 57: Type d institution financière à choisir suivant le revenu Page 7 / 75
8 RESUME DES RESULTATS Les résultats de l enquête ENPNB révèlent pour l essentiel que le faible taux de bancarisation observé au Sénégal n est pas motivé de façon déterminante par une totale méconnaissance de l environnement du secteur financier par les franges de populations opérant en marge du système financier. En effet, outre la Poste, la quasi-totalité des personnes enquêtées ont déclaré connaître au moins une institution financière, soit une proportion de 99,7% pour les SFD et de 98,7% pour les banques. Par contre, les conditions financières exigées à l ouverture d un compte constituent, selon 52,2% des hommes et 62,9% des femmes interrogés, un obstacle majeur au relèvement du taux de bancarisation au Sénégal. Il en est de même pour les frais de tenue de compte et les agios qui sont jugés trop élevés par 34% des personnes enquêtées. Par ailleurs, le sentiment de sécurité de l épargne en dépôt, inspiré au public par l institution financière (6), la possibilité de bénéficier d un crédit (46%) et le besoin d épargner (4) ressortent parmi les principaux déterminants identifiés comme étant de nature à inciter les populations à se bancariser. Page 8 / 75
9 INTRODUCTION Malgré les progrès enregistrés ces dernières années par le secteur bancaire sénégalais, notamment à la faveur de l augmentation sensible du nombre de points de services, qui est passé de 53 en 1998 à 295 en , le faible niveau de bancarisation de l économie nationale constitue encore un obstacle majeur pour la croissance économique et l efficience du système financier. La bancarisation se définit comme le degré de pénétration des services offerts par les banques ou les institutions de microfinance dans une population donnée. Elle est mesurée par un indicateur, appelé «taux de bancarisation», qui traduit la proportion des personnes qui disposent d un compte dans une population. Les dernières statistiques disponibles sur le secteur font état d un taux de bancarisation de 7,4% 2 au Sénégal, légèrement au dessus de celui de la zone UEMOA qui s établit autour de 7%. Ces taux extrêmement faibles, comparativement à ceux observés au Maroc (45%), en Tunisie (6) ou en France (99%), pourraient être expliqués notamment par : - l absence ou le manque de culture financière ; - la méfiance ou le manque de confiance vis-à-vis du système bancaire classique ; - le faible niveau de revenu des populations ; - la prédominance du secteur informel qui privilégie l utilisation de la monnaie fiduciaire au détriment de la monnaie scripturale ; - les difficultés liées aux conditions d ouverture d un compte. Face à cette situation, les autorités de l Union ont initié des actions en vue de promouvoir la bancarisation de l économie. C est ainsi qu elles ont édicté, en 2002, une directive en faveur de la promotion de la bancarisation et de l utilisation des moyens de paiement scripturaux. A cet égard, le Règlement n 15/2002/CM/UEMOA relatif aux systèmes de paiement dans les Etats membres de l Union a institué le principe du droit au compte qui consiste à accorder à toute personne physique ou morale disposant d un revenu régulier d au moins cinquante mille francs ( FCFA), le droit d ouvrir un compte. Cette mesure vise notamment à faciliter l accès des populations à faibles revenus aux services bancaires de base. Par ailleurs, l'article 4 de la loi n du 4 juin 2004 relative à la promotion de la bancarisation et à l utilisation des moyens de paiement scripturaux dispose, notamment, que les salaires des 1 Sources : BCEAO " 2 «Taux hors SFD» relevé en En tenant compte de la contribution des institutions de microfinance, ce taux s établit à 23%. Page 9 / 75
10 fonctionnaires doivent être payés par des moyens scripturaux. Cette loi prévoit plus largement que : «toutes opérations financières portant sur une somme d un montant supérieur ou égal au montant de référence ( FCFA) fixé par instruction de la Banque Centrale entre d une part, les particuliers, entreprises et autres personnes privées et, d autre part, les personnes publiques et parapubliques notamment l Etat, les administrations et les entreprises publiques, doivent être effectuées par chèque ou par virement sur un compte ouvert auprès des services financiers de La Poste ou d une banque». Dans le cadre de la mise en œuvre de la directive susvisée, l Etat du Sénégal a décidé par circulaire primatoriale de domicilier les salaires de ses agents dans les banques. Par ailleurs, la BCEAO a entrepris depuis 2010 une campagne de promotion de la bancarisation et des moyens de paiement scripturaux dans les huit pays membres de l UEMOA. Cette campagne de communication participe de la consolidation des acquis de la réforme des systèmes de paiement, engagée depuis 1999 dans l espace UEMOA. Elle vise notamment à accroitre le nombre des usagers du système bancaire et à promouvoir une véritable démocratisation de l accès aux services bancaires. Toutefois, malgré ces nombreux efforts consentis par les autorités nationales et monétaires, l accès à un compte bancaire reste encore limité pour une importante frange de la population. Or, l ouverture d un compte pourrait constituer un moyen privilégié pour les populations d accéder à d autres produits et services financiers tels que les produits d épargne, les produits d assurance et le crédit. Ces enjeux justifient la réalisation de l Enquête Nationale auprès des Populations Non Bancarisées (ENPNB). Celle-ci a pour principal objectif d analyser les principales causes de la non bancarisation ainsi que les difficultés liées à l ouverture d un compte, d une part et, d autre part, de déceler des critères susceptibles de présider au choix d une institution financière (banque, SFD et Poste). L analyse des résultats issus de cette enquête a permis de formuler des recommandations aussi bien à l endroit des autorités que des institutions financières, visant à contribuer au renforcement de l efficacité des plans d actions disponibles, destinés à relever le taux de bancarisation au Sénégal. Page 10 / 75
11 I. CONTEXTE, JUSTIFICATION, OBJECTIFS ET METHODOLOGIE I.1. Contexte et justification Le faible taux de bancarisation observé au Sénégal constitue une réelle entrave au développement économique, eu égard au rôle important des institutions financières dans le financement de l économie. En effet, malgré l apport de la microfinance, le taux de bancarisation élargi tourne autour de 2, classant ainsi le Sénégal parmi les pays les moins bancarisés, en dépit des progrès de la réglementation en la matière, notamment de la loi relative à la promotion de la bancarisation et de l utilisation des moyens de paiement scripturaux. Ainsi, les politiques en faveur d une bancarisation de masse, initiées par la Banque Centrale des Etats de l Afrique de l Ouest (BCEAO) et l Etat devront être poursuivies et accentuées. En effet, au-delà de son rôle de vecteur essentiel de la croissance économique d ensemble, la fourniture de services financiers aux populations, en particulier aux couches les plus démunies, constitue un moyen efficace de lutte contre la pauvreté. A cet effet, il convient de détecter et d analyser les causes de la faiblesse du taux de bancarisation observée au Sénégal en dépit de la multiplication des points de service, afin de mettre en œuvre toutes les actions jugées pertinentes, en vue de relever sensiblement ce taux pour le porter progressivement au niveau de celui du Maroc ou de la Tunisie. L Enquête Nationale sur les Populations Non Bancarisées (ENPNB), menée au cours de l année 2011, s inscrit dans ce contexte. I.2. Objectifs de l enquête L Enquête Nationale sur les Populations Non Bancarisées (ENPNB) a pour principal objectif de collecter l ensemble des informations pertinentes permettant de mieux comprendre les réticences des populations non bancarisées face à la gamme, de plus en plus élargie, de produits et services financiers. De façon plus spécifique, les résultats de l ENPNB devront permettre de : - décrire le profil des populations non bancarisées ; - apprécier leur connaissance de l environnement financier ; - mieux comprendre les raisons pour lesquelles ces populations ne disposent pas de compte ; - identifier les critères déterminants dans le choix d une institution financière ; - connaître les attentes des personnes non bancarisées vis-à-vis du secteur financier ; - formuler des recommandations allant notamment dans le sens du relèvement du taux de bancarisation. L exploitation des résultats obtenus devrait conduire au renforcement de la politique de Page 11 / 75
12 bancarisation de masse lancée par les autorités, de manière à consolider les bases du système financier et à le rendre plus inclusif. Il ne s agit pas de mettre en place des dispositifs spécifiques, voire temporaires, pour des populations en marge du secteur financier, mais plutôt d élaborer des stratégies visant à les attirer vers le système et à les y maintenir. I.3. Méthodologie de l enquête L enquête a été menée dans les treize (13) régions du Sénégal 3 auprès d un échantillon de de personnes physiques non bancarisées, sous forme d une interview face-à-face réalisée sur la base du questionnaire figurant à l annexe 1. En l absence d une base de sondage des populations non bancarisées, une méthode d échantillonnage non probabiliste a été retenue dans le cadre de cette enquête. Cette méthode a consisté, sur la base d objectifs de réalisation fixés aux enquêteurs pour Dakar et pour les régions, et au gré de leurs déplacements effectués dans le cadre de l Enquête de Satisfaction auprès des Usagers des Systèmes Financiers Décentralisés (ESUSFD), à interroger une série de personnes cibles rencontrées. II. PRESENTATION DE LA POPULATION ENQUÊTEE II.1. Répartition des unités enquêtées suivant les régions Les résultats de l ENPNB font ressortir une prédominance des personnes interrogées dans les régions de Dakar (54%) et Thiès (7,3%). Elles sont suivies de Diourbel (5,5%), Tambacounda (5,2%) et Kaffrine (5,1%). Les régions de Louga (1%) et Matam (1,5%) sont les plus faiblement représentées dans l échantillon. Figure 1: Répartition des personnes enquêtées suivant les régions ST LOUIS 4,3% TAMBACOUNDA 5,2% THIES 7,3% ZIGUINCHOR 3,5% MATAM 1,5% LOUGA 1, KOLDA 3,8% KEDOUGOU 3,6% KAOLACK 3,5% KAFFRINE 5,1% FATICK 1,7% DIOURBEL 5,5% DAKAR 54, LLa région de Sédhiou n a pas été visitée pour des raisons de sécurité. Page 12 / 75
13 II.2. Répartition selon l âge, le sexe et la situation matrimoniale II.2.1 Répartition selon l âge L analyse de la répartition des personnes interrogées suivant leur âge fait ressortir la prédominance de la tranche d âge des ans qui représente 45% de l échantillon. Elle est suivie des tranches d âge ans (20,7%) et ans (20,5%). Avec une proportion de 1,2%, les populations âgées de 65 ans ou plus sont plus faiblement représentées. Figure 2: Répartition des personnes interrogées selon l âge ans 8,9% ans 3,7% 65 ans ou plus 1,2% ans 20,5% ans 20,7% ans 45, II.2.2 Répartition selon le sexe Les résultats de l ENPNB font état d une forte prédominance des hommes qui représentent 76% des personnes interrogées, contre 24% de femmes. Il convient toutefois de signaler que la répartition des populations interrogées suivant le sexe ne présente ici qu un intérêt relatif, car la variable «sexe» n a pas été utilisée dans la définition des quotas. Ce choix se justifie par le fait que cette variable n explique pas outre mesure le phénomène de la non bancarisation qui est principalement lié au revenu des populations, leur localisation géographique et, dans une moindre mesure, leur âge. Page 13 / 75
14 Figure 3: Répartition des personnes interrogées selon le sexe Femme 24, Homme 76, II.2.3 Répartition selon la situation matrimoniale L analyse des résultats de l ENPNB suivant la situation matrimoniale met en évidence une forte proportion de personnes mariées qui constituent plus de la moitié (50,6%) de l échantillon. Sur le reste, il convient de relever la présence non négligeable de célibataires (47,2%). Figure 4: Répartition de l'échantillon selon la situation matrimoniale Divorcés 1,8% Célibataires 47,2% Veufs 0,5% Mariés 50,6% Page 14 / 75
15 II.3 Répartition selon le niveau d instruction et la catégorie socioprofessionnelle L analyse des résultats de l enquête suivant selon le niveau d instruction révèle une prédominance de personnes ayant un niveau d instruction primaire (30,6%), d arabisants (22,7%) et de personnes qui n ont reçu aucun niveau d éducation au plan académique (16,3%). Par contre, la non bancarisation est moins présente chez les enquêtés ayant un niveau d études Bac + 4 (1,) ou supérieur à Bac + 4 (0,8%). Cette situation qui met en exergue une corrélation négative entre le niveau d instruction et la non bancarisation, montre dans une certaine mesure que les analphabètes semblent développer un sentiment de méfiance vis-à-vis des institutions financières et s auto excluent du système bancaire. Ce constat appelle de la part des autorités et des opérateurs la mise en pratique d une politique de communication spécifique, orientée en priorité vers les populations peu ou pas du tout instruites. Figure 5: Répartition selon le niveau d'instruction Arabisant; 22,7% Alphabétisé en langue nationale; 1,3% Aucun; 16,3% Supérieur à BAc+4; 0,8% Bac+4; 1, Bac à Bac+3; 5,2% 2nde à Terminale; 6,4% 6ème à 3ème; 15,8% Primaire; 30,6% En ce qui concerne la catégorie socioprofessionnelle, il est relevé une présence plus marquée des employés (17,1%), suivis des commerçants établis (16,4%). Les mareyeurs (0,1%), les vendeurs de poisson (0,1%), les corps habillés (0,1%) et les retraités (0,2%) sont les moins représentés dans l échantillon. Page 15 / 75
16 Figure 6: Répartition suivant la catégorie socioprofessionnelle 18% 16% 17,1% 16,4% 14% 12% 1 11,6% 8,2% 11, 8,4% 9,4% 8% 6% 4,9% 4,6% 4% 2% 1,3% 2,6% 0,4% 0,9% 0,1% 0,1% 0,1% 2,9% 0,2% II.4 Répartition selon le secteur d activités Selon la répartition basée sur le secteur d activités, c est le Commerce qui enregistre le taux de non bancarisés le plus élevé (35,7%), suivi des Services (27,9%) et de l Artisanat (13,2%). La Pêche qui est faiblement représentée dans l échantillon, constitue de loin le secteur où l on trouve le moins de non bancarisés (0,1%), suivi de l Elevage (0,7%). Figure 7: Répartition selon le secteur d'activités 4 35,7% 35% 3 27,9% 25% 2 15% 1 5% 2,1% 4% 3,4% 13,2% 1,6% 9,4% 2% 0,1% 0,7% Page 16 / 75
17 II.5 Répartition selon le revenu L analyse des résultats de l enquête suivant le revenu mensuel des personnes interrogées montre que 41,6% de non bancarisés disposent d un revenu compris entre et FCFA. Les enquêtés dont le revenu est inférieur à FCFA représentent 25,6%. En revanche, les personnes avec un revenu oscillant entre et FCFA et celles dont le revenu se situe entre et FCFA sont faiblement représentées, avec une proportion de 0,1% chacune. Un faible taux est également observé chez les populations dont le revenu se situe entre et FCFA (0,3%). Figure 8: Répartition selon le niveau de revenu 45% 4 35% 3 25% 2 15% 1 5% 25,6% 41,6% 16,5% 1,4% 0,6% 0,3% 0,1% 0,1% 13,8% III. CONNAISSANCE DE L ENVIRONNEMENT DES INSTITUTIONS FINANCIERES III.1 Connaissance des SFD Globalement, le degré de notoriété des SFD au niveau de l échantillon apparaît très élevé avec 99,7% des personnes non bancarisées rencontrées qui déclarent en connaître au moins un. Parmi celles-ci, 34,6% et 30,7% ont déclaré en connaître respectivement deux (02) et trois (03) SFD. Page 17 / 75
18 Figure 9: Nombre de SFD connus 4 SFD connus; 14,3% 5 SFD connus; 4,9% Aucun SFD connu; 0,3% 1 SFD connu; 15,2% 3 SFD connus; 30,7% 2 SFD connus; 34,6% Ce pourcentage décroit toutefois avec la taille des SFD, les institutions matures étant largement plus connues (85,1%) que celles émergentes (13%) ou isolées (1,9%). En effet, des proportions respectives de 91,4%, 68,1% et 51,7% des personnes interrogées déclarent connaître le CMS, le PAMECAS et l ACEP. Pour les institutions émergentes, ces proportions s établissent respectivement à 4,3%, 2,8%, 2% et 0,8% pour FDEA, MECAP, CAURIE et DJOMEC. Par contre, pour les institutions isolées cet indicateur est très faible. C est le cas principalement de MEC PROPEM (0,1%), de MEC PROTES (0,1%) et de MEC FEPRODES (0,1%). Figure 10: Niveau de connaissance des SFD par les personnes interrogées Page 18 / 75
19 III.1.1 Degré de connaissance des SFD suivant les régions L analyse croisée du degré de connaissance des SFD suivant les régions d habitation fait ressortir que les institutions matures sont dans l ensemble mieux connues. Cette situation s explique en grande partie par le fait que cette catégorie de SFD dispose d un large réseau de points de services couvrant tout le territoire. Les proportions les plus élevées de personnes informées sont observées dans les régions de Kédougou (98,9%), Tambacounda (97,6%) et Diourbel (97,4%). Concernant les institutions émergentes, les proportions les plus significatives sont enregistrées dans les régions de Dakar (17,6%), Kaffrine (11,7%) et Ziguinchor (10,5%). Les institutions isolées sont globalement très peu connues, soit dans des proportions qui ne dépassent pas 9% ou qui sont nuls pour la majorité des régions dont Thiès, Kédougou, Kaolack et Diourbel. Figure 11: Degré de connaissance des SFD par les enquêtés suivant la typologie et la région ZIGUINCHOR 88,7% 10,5% 0,8% THIES 93,5% 6,5% KEDOUGOU TAMBACOUN SAINT LOUIS MATAM LOUGA KOLDA KAOLACK KAFFRINE FATICK DIOURBEL DAKAR 98,9% 97,6% 87,2% 95,1% 91,1% 91,4% 94,5% 86,9% 90,4% 97,4% 80, 1,1% 2,4% 5,6% 7,2% 4,9% 0, 8,9% 8,6% 5,5% 11,7% 1,4% 7,7% 1,9% 2,6% 17,6% 2,4% Institutions Matures Institutions Emergentes Institutions Isolées III.1.2 Degré de connaissance des SFD par les enquêtés selon le genre Les résultats de l enquête révèlent que le genre de la personne enquêtée a un lien très faible avec son niveau d information sur les SFD. En moyenne 85,5% des hommes interrogés déclarent connaitre les trois (03) grands réseaux (CMS, PAMECAS et ACEP). Cette moyenne s établit au niveau tout aussi appréciable de 83,8% chez les femmes. S agissant des institutions émergentes et isolées, ces proportions sont légèrement plus faibles chez les hommes (12,5% et 1,9%) que chez les femmes (14,2 et 2%). Page 19 / 75
20 Figure 12: Niveau de connaissance des SFD selon le genre ,5% 83,8% ,5% 14,2% 1 1,9% 2, Institutions Matures Institutions Emergentes Institutions Isolées Homme Femme III.1.3 Degré de connaissance des SFD suivant l âge des enquêtés Il existe manifestement chez les populations non bancarisées, un lien entre l âge et le niveau d information sur les institutions financières. Concernant les institutions matures, ce niveau croit avec l âge à partir de la tranche des ans. En effet, il passe de 83,9% pour cette tranche d âge à 95,1% pour les personnes âgées de plus de 65 ans. S agissant des institutions émergentes, la tendance est inversée avec des proportions qui passent de 13,8% à 4,9%. Quant aux institutions isolées, leur visibilité auprès de la population ciblée est très faible, aucune personne âgée de plus de 65 ans n ayant déclaré les connaître. Pour les autres classes d âge, l indicateur ne dépasse pas 2,5%. Figure 13: Degré de connaissance des SFD suivant l âge 65 ans ou plus 95,1% 4,9% ans 90,5% 8,8% ans 86,8% 11, ans 86,4% 12,4% ans 83,9% 13,8% ans 84,4% 13,5% Institutions Matures Institutions Emergentes Institutions Isolées Page 20 / 75
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