Mémoire présenté par Sophie Denamur en vue de l obtention du diplôme de Licence en Sciences Biomédicales Orientation Toxicologie
|
|
- Guillaume Eloi Morency
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Université catholique de Louvain Faculté de Médecine École de Pharmacie Laboratoire de Pharmacologie Cellulaire et Moléculaire Mémoire présenté par Sophie Denamur en vue de l obtention du diplôme de Licence en Sciences Biomédicales Orientation Toxicologie Promoteur : Pr. M.P. Mingeot-Leclercq Année académique
2 Apoptose : un marqueur de toxicité des aminoglycosides? Étude comparative sur cellules en culture incubées avec de la gentamicine et de l amikacine.
3 Introduction Aminoglycosides Infections sévères à Gram négatif Molécules polaires et polycationiques. Fonctions aminées chargées positivement à ph acide Ototoxicité et néphrotoxicité HO H 3 C HN H 3 C HO H 2 N O OH O H 2 N OH O OH R HO H 2 N O gentamicine O NH 2 CH R 1 R 2 OH HO OH O HO O O NH 2 N H NH 2 amikacine Sophie Denamur 3
4 Introduction Toxicité sélective Accumulation spécifique des aminoglycosides : Interaction avec les phospholipides acides de la membrane plasmique Endocytose médiée par la mégaline Sophie Denamur 4
5 Introduction Manifestations cliniques de néphrotoxicité Phospholipidurie et présence d enzymes lysosomiaux dans l urine Protéinurie Polyurie Augmentation de l urée sanguine et de la créatinine Anurie (au stade terminal, très rare) Sophie Denamur 5
6 Introduction Comparaison de l induction de néphrotoxicité in vivo Mean nephrotoxicity score GEN AMK Control Multiples of human dose Score déterminé en fonction de la dégénérescence tubulaire, de l inflammation péritubulaire, de la nécrose tubulaire, de la dilatation tubulaire, de la basophilie tubulaire et de la fibrose interstitielle Hottendorf et al., Antimicrobial Agents and Chemotherapy. 1981; 19 (6) : Sophie Denamur 6
7 Introduction Mécanismes de néphrotoxicité Mingeot-Leclercq & Tulkens, 1999, Antimicrob. Agents Chemother., 43 : Accumulation dans les lysosomes (Tulkens et al. 1978) Phospholipidose (Kosek et al.,1974; Aubert-Tulkens et al., 1979; Laurent et al., 1982; Mingeot-Leclercq et al., 1988; Laurent et al., 1990; Piret et al., 1992) Apoptose (El Mouedden et al., 2000.a, b) Sophie Denamur 7
8 Introduction Apoptose Phénomène actif Perte des contacts intercellulaires Modifications de la membrane plasmique (translocation des PS) Altérations du cytosquelette Réduction du volume cellulaire Condensation de la chromatine Sophie Denamur 8
9 Introduction Apoptose (2) Fragmentation de l ADN Pas de changement apparent des organites subcellulaires Formation de corps apoptotiques Voie intrinsèque (mitochondriale) ou voie extrinsèque (death receptors) dialogica.com.ar/medline/archives/2004/07/ apoptosis_celul.html Sophie Denamur 9
10 Sophie Denamur 10
11 Introduction Rôle du réticulum endoplasmique Sandoval and Molitoris, Am. J. Physiol. Renal Physiol ; 286 : Sophie Denamur 11
12 Introduction Apoptose in vitro Induction d apoptose in vitro sur différents types cellulaires El Mouedden et al., Toxicological Sciences 2000; 56 : Sophie Denamur 12
13 Introduction Néphrotoxicité in vivo El Mouedden et al., Antimicrob. Agents Chemother. 2000; 44 : Sophie Denamur 13
14 Introduction Objectifs du mémoire L apoptose observée in vitro peut-elle constituer un marqueur prédictif de la toxicité d aminoglycosides? Meilleure compréhension du mécanisme d induction d apoptose par la gentamicine et l amikacine Sophie Denamur 14
15 Modèles cellulaires et antibiotiques utilisés Matériel et méthodes LLC-PK1 : lignée cellulaire provenant du tube contourné proximal de rein de porc J774 : lignée de macrophages dérivée d'un réticulosarcome de souris Gentamicine : Geomycin Pro injection 40 mg/ml, Schering-Plough, mélange de gentamicine C1, C1a et C2 Amikacine : Amukin, solution injectable IV-IM 50 mg/ml, Bristol-Myers Squibb Belgium Sophie Denamur 15
16 Quantification du nombre de cellules en apoptose : technique du DAPI Matériel et méthodes 4, 6 -diamidine-2 phenylindole dihydrochloride Agent intercalant Cellule apoptotique p p q Cellules non apoptotiques Marquage des noyaux Sophie Denamur 16
17 Matériel et méthodes Détermination de l'activité apoptogène d'un composé : dosage de l'activité de la caspase 3 OH O O O O N H O H N N H O H N N H OH O O AMC O O O H Clivage du substrat Ac-DEVD par la caspase 3 et libération de l AMC (7-amino-4-méthylcoumarine) Evaluation de l activité de la caspase 3 (caspase effectrice) Sophie Denamur 17
18 Détermination de la cytotoxicité cellulaire : dosage de lactate déshydrogénase (LDH) Mesure de la consommation de NADH au cours de la réduction du pyruvate en lactate par la lactate déshydrogénase Matériel et méthodes O O O - + NADH +H LDH O - + NAD + H 2 O O pyruvate OH lactate Évaluation du relargage de LDH dans le milieu Sophie Denamur 18
19 Matériel et méthodes Évaluation de la concentration cellulaire en aminoglycosides : dosage microbiologique Détermination de la concentration en aminoglycosides grâce au diamètre d inhibition de croissance de Bacillus subtilis induit par l échantillon sur une gélose. Droite d'étalonnage Diamètre d'inhibition (cm) y = 1,0961x + 1,3579 R 2 = 0,9926-0,500 0,000 0,500 1,000 1,500 2,000 Log concentration AMK (µg/ml) Sophie Denamur 19
20 Matériel et méthodes Electroporation Aminoglycosides directement amenés dans le cytosol Tampon d électroporation contenant l aminoglycoside 8 pulses d ondes carrées, 800V/cm, 1ms Milieu de culture et incubation de 24h à 37 C sous 5% CO 2 Pulse power supply Electrodes Electrical contacts Cells in suspension Sophie Denamur 20
21 Matériel et méthodes Autres techniques Perméabilisation lysosomiale (acridine orange) Délocalisation du cytochrome c (fractionnement, immunoprécipitation, western blot) Sophie Denamur 21
22 Résultats Induction d apoptose dans les LLC-PK1 Effet temps effet concentration gentamicine / amikacine DAPI % of apoptotic cells (DAPI [+]) h 48h 72h gentamicin extracellular concentration (mm) % of apoptotic cells (DAPI [+]) h 48h 72h amikacin extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 22
23 Induction d apoptose dans les LLC-PK1 (2) Résultats Effet temps effet concentration gentamicine / amikacine Caspase-3 Caspase-3 activity (% of control) h 48h 72h gentamicin extracellular concentration (mm) Caspase-3 activity (% of control) h 48h 72h amikacin extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 23
24 Induction d apoptose dans les LLC-PK1 (3) Comparaison gentamicine / amikacine à 24h Caspase-3 Résultats Caspase-3 activity (% of control) a GEN AMK a a a *** *** b b Activité de la caspase-3 après 24h d incubation avec de la gentamicine ou de l amikacine Extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 24
25 Induction d apoptose dans les LLC-PK1(4) Résultats Caspase-3 / DAPI en fonction de la concentration et du temps - Gentamicine % apoptotic cells (DAPI [+]) h 48h 72h Time Caspase-3 activity (% of control) DAPI 2mM DAPI 3mM Caspase-3 2mM Caspase-3 3mM Sophie Denamur 25
26 Résultats Induction de nécrose dans les LLC-PK1 Effet temps effet concentration gentamicine / amikacine LDH incubation 24h incubation 72h Co GEN 1mM GEN 2mM GEN 3mM AMK 3.162mM AMK 6.325mM AMK 9.445mM *** *** % of LDH released Co GEN 1mM GEN 2mM GEN 3mM AMK 3.162mM AMK 6.325mM *** *** ** % of LDH released AMK 9.445mM Sophie Denamur 26
27 Résultats Mise en évidence in vitro d une différence significative entre l effet apoptogène de la gentamicine et celui de l amikacine, qui reflète leur toxicité in vivo. Sophie Denamur 27
28 Généralisation des résultats à une autre lignée cellulaire (macrophages J774) Effet concentration gentamicine / amikacine Incubation 24h DAPI - LDH Résultats % of apoptotic cells (DAPI [+]) GEN AMK *** *** extracellular concentration (mm) % of LDH released GEN AMK extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 28
29 Généralisation des résultats à une autre lignée cellulaire (macrophages J774) Effet concentration gentamicine / amikacine Incubation 24h DAPI - LDH Résultats % of apoptotic cells (DAPI [+]) GEN AMK *** *** extracellular concentration (mm) % of LDH released *** *** *** amikacin extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 29
30 Résultats Reproductibilité des résultats dans un autre type cellulaire Sophie Denamur 30
31 Mécanisme d induction d apoptose Résultats Importance de la quantité d'aminoglycosides accumulée au sein des cellules Rôle des aminoglycosides dans le cytosol (électroporation) Sophie Denamur 31
32 Accumulation des aminoglycosides au sein des cellules Résultats Cc/Ce Toxicité (apoptose) GEN AMK Sophie Denamur 32
33 Résultats Induction d apoptose par les aminoglycosides dans le cytosol des cellules LLC-PK1 Effet concentration gentamicine / amikacine DAPI après électroporation % of apoptotic cells (DAPI [+]) *** *** *** *** *** Gentamicin extracellular concentration (mm) 1 % of apoptotic cells (DAPI [+]) Amikacin extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 33 3
34 Résultats Induction d apoptose par les aminoglycosides dans le cytosol (2) Effet concentration gentamicine / amikacine Dosage activité caspase-3 après électroporation Caspase-3 activity (% of control) * ** * Gentamicin extracellular concentration (mm) Caspase-3 activity (% of control) Amikacin extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 34
35 Résultats Induction d apoptose par les aminoglycosides dans le cytosol (3) % of apoptotic cells (DAPI [+]) Gentamicin extracellular concentration (mm) Caspase-3 (% of control) Caspase-3 DAPI Sophie Denamur 35
36 Résultats Accumulation après électroporation Cellular concentration (µg/ml) GEN AMK Extracellular concentration (mm) Sophie Denamur 36
37 Résultats Accumulation après électroporation (2) Cc/Ce Toxicité (apoptose) GEN AMK Sophie Denamur 37
38 Résultats Comme dans les cellules incubées, la gentamicine induit nettement plus d apoptose que l amikacine L effet apoptotique est détectable à des concentrations beaucoup plus faibles lorsque les cellules sont électroporées Le rapport Cc/Ce dans les cellules électroporées n est pas directement lié à la quantité d apoptose induite, alors que ces facteurs semblent être en relation directe dans les cellules incubées Sophie Denamur 38
39 Discussion et perspectives Apoptose in vitro vs toxicité in vivo Mise en évidence d une différence significative entre l effet apoptogène de la gentamicine et celui de l amikacine, qui reflète leur toxicité in vivo. l apoptose pourrait être un bon marqueur prédictif de la toxicité induite in vivo par des aminoglycosides. Sophie Denamur 39
40 Discussion et perspectives Apoptose, bon marqueur prédictif? Élargissement de l étude à d autres aminoglycosides : molécules déjà commercialisées (ex : isépamicine) et des molécules en développement (ex : sous composés de la gentamicine) Sophie Denamur 40
41 Discussion et perspectives Modèles cellulaires Résultats observés sur les LLC-PK1 généralisables à un autre type cellulaire (macrophages J774) Accumulation semblable dans les deux types cellulaires capture indépendante de la mégaline dans les LLC-PK1 Perspective : utilisation de cellules LLC-PK1 exprimant la mégaline Sophie Denamur 41
42 Discussion et perspectives Compréhension du mécanisme (1) INCUBATION ELECTROPORATION AG Lysosome Apoptose directement liée à la concentration cellulaire en AB AG Pouvoir apoptotique intrinsèque Sophie Denamur 42
43 Discussion et perspectives Compréhension du mécanisme (2) INCUBATION ELECTROPORATION AG Lysosome Apoptose directement liée à la concentration cellulaire en AB Vérification de la localisation subcellulaire des aminoglycosides après incubation et électroporation AG Pouvoir apoptotique intrinsèque Sophie Denamur 43
44 Discussion et perspectives Compréhension du mécanisme (3) INCUBATION ELECTROPORATION Meilleure compréhension des mécanismes de perméabilisation lysosomiale AG Lysosome Apoptose directement liée à la concentration cellulaire en AB AG Pouvoir apoptotique intrinsèque Sophie Denamur 44
45 Discussion et perspectives Compréhension du mécanisme (4) INCUBATION ELECTROPORATION Mise en évidence de la sortie des aminoglycosides à partir des lysosomes vers le cytosol AG Lysosome AG Pouvoir apoptotique intrinsèque Apoptose directement liée à la concentration cellulaire en AB Sophie Denamur 45
46 Discussion et perspectives Compréhension du mécanisme (5) Suivi de la cathepsine D INCUBATION ELECTROPORATION AG Lysosome Apoptose directement liée à la concentration cellulaire en AB AG Pouvoir apoptotique intrinsèque Sophie Denamur 46
47 Discussion et perspectives Compréhension du mécanisme (6) INCUBATION ELECTROPORATION AG Lysosome Apoptose directement liée à la concentration cellulaire en AB AG Pouvoir apoptotique intrinsèque Implication de la mitochondrie dans l apoptose induite par les AG Sophie Denamur 47
48 A ma promotrice, Madame le Professeur M.P. Mingeot-Leclercq, aux Professeurs F. Van Bambeke et P. Tulkens, à tous les membres de l équipe FACM, Merci Sophie Denamur 48
49 Sophie Denamur 49
50 CMIs moyennes (mg/l) des aminoglycosides pour des bactéries pathogènes courantes GENTA AMIKA Staph. aureus Coagulase-negative staphylococci Str. pyogenes 4 32 Str. pneumoniae 4 64 E. faecalis N. meningiditis N. gonorrhoeae 4 16 H. influenzae E. coli K. pneumoniae B. fragilis R R M. tuberculosis R 1 Sophie Denamur 50
51 Sophie Denamur 51 Chan S-L et al,clin & Exp Pharmacol and Physiol 2004, 31:
52 Sophie Denamur 52
53 Perméabilisation des lysosomes Control 4h Gentamicin 2mM 4h MSDH 25µM 3h H. Servais et al.,toxicology and Applied Pharmacology 2005 : 206; Sophie Denamur 53
54 Effet de la gentamicine directement dans le cytosol Servais et al., Antimicrob. Agents and Chemother ; 50 (4) : Sophie Denamur 54
55 Détermination de la perméabilisation lysosomiale : acridine orange AO 5 µg/ml 37 C 15 min AO AOH+ λ ex : 485 nm; λ em : 530 nm and 620 nm AOH+ Control cells Gm1-2-3 mm Amk mm Millot et al., 1997 Neuzil et al., 2002 AO AOH+ AO+ H+ AO Monomer Emission 530 nm AO Multimer Emission 620 nm Sophie Denamur 55
56 Introduction 16h 9 mars 2007 Sophie Denamur - FACM 56
57 Matériel et méthodes Mise en évidence de la délocalisation du cytochrome c Fractionnement cellulaire Immunoprécipitation Western blot Sophie Denamur 57
58 Matériel et méthodes Fractionnement cellulaire Homogénat Basse vitesse (3 x) 2000 rpm (783g) 1800 rpm (634g) 1600 rpm (501g) Haute vitesse rpm ( g) Surnageant (cytoplasme) Fraction nucléaire (noyaux) Fraction MLP (mitochondries, lysosomes, peroxysomes) Sophie Denamur 58
59 Matériel et méthodes Immunoprécipitation Sophie Denamur 59
60 Matériel et méthodes Western blot Migration dans un gel de polyacrylamide Transfert sur membrane de nitrocellulose Marquage avec anticorps (primaires et secondaires) Révélation Sophie Denamur 60
61 Résistance acquise (GEN) APH (3 )-I AAC (2 ) ANT (4 )-I HO H 3 C HN H 3 C O OH O HO H 2 N O O CH R 1 R 2 H 2 N NH 2 APH (2 ) + AAC (6 ) ANT (2 )-I AAC (3) AAC (6 )-II et IV Sophie Denamur 61
62 Résistance acquise (AMK) HO H 2 N OH O OH APH (3 )-II, III, IV, VI, VII ANT (4 )-II OH HO OH O HO O O NH 2 NH 2 APH(2 ) + AAC(6 ) R N H AAC (6 )-I I et III Sophie Denamur 62
Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailConflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine
Conflits d intérêts Consultant: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Financement d études: Novartis (daptomycine) Eumedica (temocilline) 1. Limites techniques des modèles
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailPICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF
Dosage chronométrique PICT 1. PEFAKIT PICT Nombre de tests 8-505-01 coffret 80 3 flacons d activateur (2 ml) 3 flacons de réactif Start (2 ml) Mesure des anticoagulants par méthode chronométrique. 1 2
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailMise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine
Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE
1 ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE Membres (2012 2013) MADEC Jean-Yves Coordonnateur, Anses Lyon DECOUSSER Jean-Winoc CHU Antoine Béclère
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailTD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT
TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailUNIVERSITE PAUL SABATIER TOULOUSE III U.F.R Sciences de la Vie et de la Terre THESE
UNIVERSITE PAUL SABATIER TOULOUSE III U.F.R Sciences de la Vie et de la Terre THESE En vue de l obtention du DOCTORAT DE L UNIVERSITE DE TOULOUSE Délivrée par l Université Toulouse III-Paul Sabatier Spécialité
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailEtude de l activité de l ertapénème vis-à-vis des infections bactériennes à Listeria monocytogenes et Staphylococcus aureus
Université Catholique de Louvain Ecole des Sciences Biomédicales Unité de Pharmacologie cellulaire et moléculaire Etude de l activité de l ertapénème vis-à-vis des infections bactériennes à Listeria monocytogenes
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailMaster en Biochimie et Biologie moléculaire et cellulaire (BBMC)
Master en Biochimie et Biologie moléculaire et cellulaire (BBMC) BIOLOGIE MOLÉCULAIRE EN CONDITIONS PHYSIOLOGIQUES ET PATHOLOGIQUES Département de Biologie Faculté de Médecine Université de Namur Master
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailFLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007
FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie trie Journée e Thématique 18 janvier 2007 Cécile COTTET Laboratoire de Bioénerg nergétique Fondamentale et Appliquée e - Inserm
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailMicroscopie Multiphotonique
Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et
Plus en détaildans les médicamentsm
Les impuretés s génotoxiquesg dans les médicamentsm D. Marzin Institut Pasteur de Lille Université lille2 Société Française de Toxicologie 25-26 0ctobre 2007 Le guideline L affaire Viracept (mésylate de
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détail!! "#$%&$'()*!+'!),'(-(.$'()*!/&!012+3$,+&'(4! 53&6!7)*(')3(*68!+*!*9)*$')%)6(+!
!"#$%&'#()*+%*,%"-$%**./01%*+%*234&54/#%*,%"-$%6748'4""%* * 9):4&(%5%"(*+%*+#&%/(#0"*10;#'(#
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailPropriétés pharmacologiques, indications, posologies et modes d administration, surveillance du traitement
Mars 2011 Version intégrale de la MAP MISE AU POINT SUR LE BON USAGE DES AMINOSIDES ADMINISTRÉS PAR VOIE INJECTABLE : GENTAMICINE, TOBRAMYCINE, NÉTILMICINE, AMIKACINE Propriétés pharmacologiques, indications,
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailFonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique
Fonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique Méthodes d analyses chimiques et microbiologiques dites alternatives ou rapides : Biocapteurs Utilisation
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailConditions de culture Consommation d O 2 (nmoles O 2 /min)
5.2.4. Effets de l anoxie/ré-oxygénation sur les chondrocytes équins 5.2.4.1. Respiration cellulaire (fonction mitochondriale) des chondrocytes équins Pour les essais en oxymétrie, 10 7 chondrocytes articulaires
Plus en détailProduction d une protéine recombinante
99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailAPPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600
Microgenics Corporation Entreprise de Thermo Fisher Scientific APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600 Réf. 0373910 Destiné
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailMesure de la surface spécifique
Mesure de la surface spécifique Introducing the Acorn Area TM Acorn Area est un instrument révolutionnaire conçu pour mesurer la surface spécifique des nanoparticules en suspension dans un liquide. Utilisant
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détailGL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.
PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailAurélie GUYOUX. Directrice scientifique Scientific Business Manager
Aurélie GUYOUX Directrice scientifique Scientific Business Manager Interface R&D et marketing + Communication scientifique Industries pharmaceutique & cosmétique Mon parcours Fac d Orsay BIOCHIMIE Institut
Plus en détail