G E O P E R S P E C T I V E S T E C H N I Q U E F O N C I E R E & I M M O B I L I E R E GEOMETRES-EXPERTS ASSOCIES PARIS VAL DE MARNE Société inscrite au Tableau de l Ordre des Géomètres-Experts n 2007 C3 00002 Affaire : DB10175A/25804 Indice :- Version :- Date d émission : 24/06/2011 Date de visite : 24/06/2011 N Immeuble :- Accompagnateur : Mme. BEAURAIN, locataire Technicien contrôleur : F. L HARIDON Certification: ODI/DPE/07026299 Délivrée par : AFAQ / AFNOR N police assurance : Geoperspectives AH708325 Valable 10 ans à partir de la date d émission Rapport de Diagnostic de Performance Énergétique Modèle 6.1 Méthode conventionnelle [Conformément aux dispositions des articles L134-1 à L134-5 et R134-1 à R134-5 du Code de Construction et de l Habitation et à l arrêté du 15 septembre 2006. Selon l article L.134-3 IV. Le diagnostic de performance énergétique n a qu une valeur informative. L acquéreur ou le locataire ne peut se prévaloir des informations contenues dans ce diagnostic à l encontre du propriétaire.] Résumé des conclusions Consommation conventionnelle : 97,4 kwh EP /an.m 2 Émission de gaz à effet de serre : 22,8 kg CO2 /an.m 2 Désignation du Bâtiment : 148 av. du 8 mai 1945 94170 LE PERREUX-SUR-MARNE Périmètre de la mission de repérage : Description : Appartement type F5 Lot : 48 Situation : 5 ème étage, 1 ère porte gauche Lots annexes contrôlés : Néant Donneur d Ordre : Société PERL 37 av. Pierre 1 er de Serbie 75008 PARIS Propriétaire : M. JACQUIER 12 rue André Theuriet 74000 ANNECY Technicien contrôleur : F. L HARIDON Ce rapport comporte 8 pages et ne peut être reproduit que dans son intégralité 1 0 B O U L E V AR D J O U R D AN - C S 3 1 4 0 1-7 5 9 9 3 P AR I S C E D E X 1 4 T é l. : + 3 3 ( 0 ) 1 7 0 6 1 2 0 2 0 - F a x : + 3 3 ( 0 ) 1 7 0 6 1 2 0 9 9 Email : contact@geoperspectives.fr NAF 742 B SIRET 494 694 169 00017 TVA Intracommunautaire : FR76 494 694 169 Société inscrite au Tableau de l'ordre des Géomètres-Experts n 2007 C3 00002 Page 1 sur 8
1. Descriptif du logement et de ses équipements Surface habitable : 99 m² Année de construction : 2009 Logement Chauffage Murs : Béton avec isolation par l intérieure. Epaisseur supposée env. 8cm Plancher haut : sous toiture zinc Isolation supposée par laine de verre env. 16cm d épaisseur Plancher bas : Sur locaux chauffés Énergies renouvelables Type d'équipements présents utilisant des énergies renouvelables : aucun Ventilation : VMC simple flux hygroréglable de type B Menuiseries : Menuiseries : Porte opaque pleine -menuiserie bois Fenêtres double vitrage avec volets -lame d'air de 14 mm -menuiserie pvc Quantité d énergie d origine renouvelable : Système individuel : Chaudière gaz basse température Chaffoteaux avec programmation intégrée. Émetteurs : Radiateurs à eau chaude munis de robinets thermostatiques Eau chaude sanitaire Système individuel : Sur la même chaudière que le chauffage 0 kwh EP /m².an 2. Indicateurs environnementaux Pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement. Consommations énergétiques (en énergie primaire) Consommation conventionnelle : 97,4 kwh EP /m².an Émissions de gaz à effet de serre (GES) Estimation des émissions : 22,8 kg CO2 /m².an Informations sur la réalisation : Diagnostic réalisé sur la base de la visite du lot. Page 2 sur 8
3. Consommations annuelles par énergie : détails par énergie Ces consommations sont obtenues par la méthode 3CL, version 15C, estimé au logement, prix des énergies indexés au 15/08/2006. Consommations en énergies finales en kwh EF Consommations en énergie primaire en kwh EP Frais annuels d énergie en TTC Chauffage Gaz Naturel : 7012 kwhef 7012 kwhep 335 Eau chaude sanitaire Gaz Naturel : 2633 kwhef 2633 kwhep 126 Refroidissement - - - Abonnements - - 125 CONSOMMATION D'ENERGIE POUR LES USAGES RECENSES 9645 kwhef 9645 kwhep 587 4. Recommandations d amélioration énergétique Mesures d amélioration Mettre en place une ventilation mécanique double flux (place disponible dans les combles) Nouvelle consommation 91,9 kwh EP /m².an Effort d investissement Économies Rapidité du retour sur investissement - Crédit d impôt Légende Economies Effort d investissement Rapidité du retour sur investissement : moins de 100 TTC/an : moins de 200 TTC : moins de 5 ans : de 100 à 200 TTC/an : de 200 à 1000 TTC : de 5 à 10 ans : de 200 à 300 TTC/an : de 1000 à 5000 TTC : de 10 à 15 ans : plus de 300 TTC/an : plus de 5000 TTC : plus de 15 ans Commentaires Les travaux sont à réaliser par un professionnel qualifié. Pour aller plus loin, il existe des points info-énergie : http://www.ademe.fr/particuliers/pie/liste_eie.asp Vous pouvez peut-être bénéficier d un crédit d impôt pour réduire le prix d achat des fournitures, pensez-y! www.impots.gouv.fr Pour plus d informations : www.ademe.fr ou www.logement.gouv.fr Page 3 sur 8
5. Conseils pour un bon usage En complément de l'amélioration de son logement (voir au paragraphe 4), il existe une multitude de mesures non coûteuses ou très peu permettant d'économiser l'énergie et de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Chauffage : réguler et programmer La régulation vise à maintenir la température constante, grâce à un thermostat, qu il est conseillé de régler à 19 C (Réduire cette température de consigne d 1 C correspond à une économie d énergie de 5 à 10%). La programmation permet de faire varier cette température de consigne en fonction des besoins et de l'occupation du logement : différence jour/nuit, prise en compte des horaires de travail et des week-ends, possibilité d une modification en cas d absence prolongée. Par exemple : Le matin, le soir et les week-ends : température de confort pour le bien-être de tous les occupants ; Durant la journée (absence courte des occupants) et durant la nuit : température inférieure de 3 à 4 C ; Absence prolongée : hors-gel, température de consigne fixée aux environs de 8 C. Eteindre le chauffage quand les fenêtres sont ouvertes. Fermer les volets et/ou tirer les rideaux dans chaque pièce pendant la nuit. Ne pas placer de meubles devant les émetteurs de chaleur (radiateurs, convecteurs). Eau chaude sanitaire Arrêter le chauffe-eau pendant les périodes d'absence prolongée pour limiter les pertes inutiles. Préférer les mitigeurs thermostatiques aux mélangeurs. Aération Si votre logement fonctionne en ventilation naturelle : Une bonne aération permet de renouveler l'air intérieur et d'éviter la dégradation du bâti par l'humidité. Il est conseillé d'aérer quotidiennement le logement en ouvrant les fenêtres en grand sur une courte durée et de nettoyer régulièrement les grilles d'entrée d'air et les bouches d'extraction s'il y a lieu. Ne pas boucher les entrées d'air, sinon vous pourriez mettre votre santé en danger. Si elles sont gênantes, faire appel à un professionnel. Si votre logement fonctionne avec une ventilation mécanique contrôlée : aérer périodiquement le logement. Confort d'été Utiliser les stores et les volets pour limiter les apports solaires dans le logement le jour. Ouvrer les fenêtres en créant un courant d'air, la nuit, pour rafraîchir. Éclairage Dans les pièces où l éclairage n est pas intermittent (toutes les pièces sauf les toilettes en général), opter pour des lampes basse consommation (fluocompactes ou fluorescentes) à la place des lampes à incandescence ou des lampes halogènes qui consomment beaucoup plus d'énergie. Nettoyer régulièrement les lampes et les luminaires poussiéreux (abat-jour, vasques...) : ils peuvent perdre jusqu'à 40% de leur efficacité lumineuse. Bureautique / audiovisuel Éteindre ou débrancher les appareils ne fonctionnant que quelques heures par jour (téléviseurs, magnétoscopes...) En mode veille, ils consomment inutilement et augmentent votre facture d'électricité. Par exemple, un écran cathodique (téléviseur, écran d ordinateur) en veille pendant 12h consomme autant que s il était allumé pendant 6h. Électroménager (cuisson, réfrigération...) Opter pour des appareils de classe A ou supérieure (A+, A++...). Page 4 sur 8
6. Informations générales Pourquoi un diagnostic de performance énergétique? Pour informer le futur locataire ou acheteur ; Pour comparer différents logements entre eux ; Pour inciter à effectuer des travaux d'économie d'énergie et contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Consommations conventionnelles Ces consommations sont dites conventionnelles car calculées pour un usage fixé (le calcul est fait pour des conditions standard d occupation) et pour des conditions climatiques moyennes du lieu. Il peut donc apparaître des divergences importantes entre les factures d'énergie et la consommation conventionnelle pour plusieurs raisons : comportement réel des occupants qui peut être très différent des conditions standard d occupation ou un hiver très rigoureux. Conditions standard Les conditions standard portent sur le mode de chauffage (températures de chauffe respectives de jour et de nuit, périodes d inoccupation du logement), le nombre d'occupants et leur consommation d'eau chaude, la rigueur du climat local (températures de l'air et de l'eau potable à l'extérieur, durée et intensité de l'ensoleillement). Ces conditions standard servent d'hypothèses de base aux méthodes de calcul. Certains de ces paramètres font l'objet de conventions unifiées entre les méthodes de calcul. Constitution des étiquettes La consommation conventionnelle indiquée sur l'étiquette énergie est obtenue en déduisant de la consommation d'énergie calculée la consommation d'énergie issue d'installations solaires thermiques ou photovoltaïques utilisée dans la partie privative du lot. Energie finale et énergie primaire L'énergie finale est l'énergie que vous utilisez chez vous (gaz, électricité, fioul domestique, bois, etc.). Pour avoir ces énergies à disposition, il est nécessaire de les extraire, les distribuer, les stocker, les produire et donc dépenser plus d'énergie que celle que utilisées en bout de course. L'énergie primaire est le total de toutes ces énergies consommées. Usages recensés La méthode de calcul conventionnelle prend en compte les consommations nécessaires au chauffage, à la production d'eau chaude sanitaire et au refroidissement du logement. Les consommations associées à l'éclairage, la cuisson ou l'électroménager ne sont pas comptabilisées dans les étiquettes énergie et climat. Variations des conventions de calcul et des prix de l'énergie Le calcul des consommations et des frais d'énergie fait intervenir des valeurs qui varient sensiblement dans le temps. La mention «prix de l'énergie en date du» indique la date de l'arrêté en vigueur au moment de l'établissement du diagnostic. Elle reflète les prix moyens des énergies que l'observatoire de l'energie constate au niveau national. Énergies renouvelables Elles sont mentionnées au paragraphe 3. Seules sont estimées les quantités d'énergie renouvelable produites par les équipements installés à demeure et utilisées dans le logement. Page 5 sur 8
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