aménager bâtir créer REVUE TRIMESTRIELLE D'INFORMATION JUIN 80 EDITEE PAR L'ASSOCIATION POUR LE DEVELOPPEMENT ET L'AMENAGEMENT DU 13. A.rrdt N 9
qcp PARIS 22-294-03 V PIERRE ALIX 75013 PARIS 60 625 de presse Prix du numéro UN AN c 13 6,00 francs 20,00 francs TEMOIGNAGES... 17 NOUVELLES BREVES... ( 7 à 16 18 19 à 26 27-28 Directeur de la Publication Paralysés de France - Atelier REVUE TRIMESTRIELLE D'INFORMATION EDITE PAR L'A.D.A. 13 B.P. 339 75624 ABONNEMENT POUR PARIS CEDEX XIII N de Commission paritaire Blanqui - 17, bd A. Blanqui Impr_imée. par l 'Association des Voir bulletin d'abonnement à la fin de la Revue 2000 PERSONNES EXPULSEES......... 1 A TRAVERS LES QUARTIERS du 13ème LA CHASSE A LA PHOTO 13ème....... 2 COMPTE-RENDU DES ETATS GENERAUX DE LA CIRCULATION.....,...,.. 3 à 6 l'invasion PACIFIQUE des VIKINGS LA FORMATION PERMANENTE (loi de 1971) 30 l'exposition "PARIS-s/-BIEVRE" LU POUR VOUS.................. 2 9 L'UNIVERSITE de QUARTIER ( Compte rendu du cycle ) "HABITER SA VILLE",,,,,,,,., 31 ) Que devient cette Université,,,, 32 sommaire
1. 2000 PERSONNES EXPULSEES ' AUX OLYMPIADES ** ******* C'est la population d'un gros bourg qui est concernée par la décision de mise en vente des appartements de la tour HELSINKI, sur les!ijlympial>es.......,. Et cela se fait sans bruit. En effet, la Société de gérance "SOGIPA" met eri demeure tous les locataires de laisser leur appartement libre de tout meuble et occupant "dans les trois mois". Bien sor, il s'agissait de baux d'un an, renouvelables pàr tacite reconduction et dénonçables de part et d'autre, trois mois avant leur expiration.... Mais tout de même un tel cumul de propriété qui entraine un départ massif de 400 familles, cela n'est pas sans poser de sérieux problèmes dans un quartier De plus, une clause stipule que les locataires qui se maintiendraient dans les lieux seront astreints à payer une indemnité d'occupation égale au double du loyer pratiqué, à compter du jour où l 'a ppartement aurait dq être libéré. 80% de la population de cette tour sont des Asiatiques. Ils n'ont pas de moyens de défense;ils s~ccommxient aussi bien d'une panne de chauffage de plusieurs jours (au moment des fêtes de No~l)que d'une panne d'ascenseur. On dit volontiers qu'au départ priorité leur était donnée sur les autres candidats à la location Et pour cause! Quant à la minorité, les Français, qui a accepté le contrat de location sans "l'éplucher" (il est dense et en -petits caractères), elle se trouve sans défense et pour 'certains, la si~uation est tragique. Les loyers sont importants (2800 FRS avec les charges pour un 4 pièces) mais dans la conjoncture actuelle, semblables appartements se louent de 3500 à 4000 FRS. Et peu de locataires sont en situation d'acheter leur appartement ( 48 Millions plus les frais de notaire pour un 4 pièces.) On cherche les raisons profondes d'une telle décision Rareté des appartements à acheter, dévaluation incessante de la monnaie... Pour certains, ce sera"un bon placement", sans doute. Mais pour les autres? qui s'en soucie? A.D.A. 13.
HABITANTS DU 13EME SAVEZ.. VOUS VOIR *** Cette place où jouent les enfants..... l'on ne remarque même plus, quoique cette animation soit pourtant relativement récente. d'actions sur le quartier. regroupé à des prix intéressants. lumières de mai. CONTACTER * * 2 JEUNES ET MOINS JEUNES, A VOS OBJECTIFS ======================================= le mardi, de 19 à 20 heures. * *Ce nouvel immeuble tout blanc et là, celui que l'on démolit Votre production réalisée, une mise en commun, sorte d'exposition par Tout cela, c'est la vie, l'animation quotidienne, le paysage familier que quartier, sera l'occasion de rencontres et d'échanges, voire de projet Nous vous proposons d'y jeter un regard neuf et de le!ixer sur pellicule Cet espace investi par les joueurs de boules Nous aurons quelques pellicules à votre disposition et le tirage pourra être DELAI DE REMISE DES PHOTOGRAPHIES : le 30 JUIN 1980 EXPOSITION : vers le 15 SEPTEMBRE 1980 pour le redécouvrir et tenter d'y vivre autrement. Ces pelouses et aires de jeux qui naissent entre les grands ensembles de béton. Si vous êtes "piqué au jeu", nous vous invitons à profiter des premières belles l'a.d.a. 13 - permanence, 185 rue du Château des Rentiers (13ème) VOTRE QUARTIER?
COMPTE-RENDU DES "ETATS GENERAUX DE LA CIRCULATION" 21/22 MARS 1980 Les Etats Généraux de la circulation à Paris, se sont tenus les 21 et 22 mars à la Maison des Jeunes et de la Culture des HAUTS-de-BELLEVILLE et ont réuni environ 200 personnes. Ils étaient organisés par - COMBAT-TRANSPORT Huit Commissions furent constituées et préparées depuis un an. Nous en résumerons très brièvement leurs conclusions 1) PARTAGE DE LA VOIRIE - La voirie doit être aménagée de manière à assurer la priorité absolue aux autobus tout le long de leur parcours, ce qui conduit à une séparation de la circulation automobile, mais il sera nécessaire de différencier selon le type de voie et de véhicules. Une idée claire de la politique des déplacements que l'on veut dans la Ville est nécessaire, de même qu'une prise de conscience que la politique de la circulation dans Paris est l'affaire de tous et pas seulement de quelques spécialistes habitués à penser en terme de véhicules qui roule~t et non de personnes qui se déplacent. Priorité étant accordé de droit et de fait qux piétons et cyclistes, aux trausports collectifs et semi-collectifs et aux véhicules utilitaires, une solution doit être dégagée pour que la plupart des habitants et travailleurs n'aient plus envie ni besoin de se servir de la voiture particulière quotidiennement. Toute formule réaliste entrainera des restrictions (tant au point de vue vitesse que stationnement) à l'usage de la voiture particulière. Interdire l'automobile, le stationnement ou ré:primer les automobilistes n'a guère de sens et sont des mesures purement ~égatives prouvant l'incapacité à concevoir une solution laissant le choix du mode de déplacement. La politique démagogique consistant à faire rouler toujours plus de voitures dans la Ville la conduit à l'asphyxie. Il faut penser en terme de "personnes qui se déplacent" et non "en véhicules qui roulent". Pourquoi? Le but est d'ouvrir un large débat permettant de présenter des revendications précises au Maire de Paris et de les diffuser auprès des Pouvoirs publics concernés et de la Presse, à partir des trois points suivants : Ils ont rassemblé 14 associations de la F.N.A.U.T. (FEDERATION NATIONALE DES USAGERS DES TRANSPORTS) ainsi que 24 autres associations diverses, des Syndicats professionnels, des "Techniciens" des Ministères et organismes spécialisés, des Responsables R.A.T.P., des Journalistes, des Personnalités politiques ainsi que de simples participants préoccupés par les difficultés de circulation dans notre Ville. - LA PLATEFORME DES COMITES PARISIENS d'habitants - S.O.S. PARIS 3
piétons et des deux-roues légers. 4 L'effet principal sur la circulation automobile sera de "casser" le transit au profit des autres modes de déplacement. 2) FONCTIONNEMENT DES AUTOBUS - Toutes les lignes doivent fonctionner 7 jours sur 7, aux heures et fréquences du métro. D'où un problème financier qui découle d'un choix politique qui problème budgétaire. vard des Maréchaux. tout projet d'aménagement. individuels. grande circulation. de voisinage. voirie et des parcs à vélo. Un code distinct du code automobile. Il faut pouvoir garer le vélo en prévoyant des places de stationnement sur la cas, pouvoir emprunter le plus court chemin, ceci sans danger. Développement systématique des voies piétonnes et mixtes (piétons - transports en commun). Programme priotaire d'aménagement d'espaces verts et de jardins 6) LE VELO ET LA CIRCULATION - 5) LE PIETON ET LA CIRCULATION - Les trottoirs doivent avoir, au mil..nimum 2m de largeur utile; si la largeur restante ne permet plus le passage d'une file de voitures, la rue sera aménagée en voie piétonne. Les trottoirs seront libérés des obstacles liés à l'automobile. Les passages piétons seront plus nombreux, les refuges aussi sur les voies à Les Services de transport public de surface doivent tendre à devenir tous accessibles aux handicapés, personnes âgées, voitures d'enfants, bagages 4) -DEPLACEMENTS DES HANDICAPES ET PERSONNES A MOBILITE REDUITE - Service transporteur (S.N.C.F. - R.A.T.P.) pour l'usager de transport public. Reconsidérer la possibilité de tramway, notamment en banlieue et sur les boule 3) STATIONNEMENT - Identité des trajets aller et retour sur toutes les lignes, d'où plans lisibles. Meilleure déserte des quartiers périphériques, Meilleure coordination des moyens de transport (train, métro, bus... ). Entre deux points quelconques de la Ville, le vélo doit, dans presque tous les En périphérie de l'agglomération, nécessité de "gares-parking" gérées par le Le parking rotatif étant une incitation à l'usage de la voiture individuelle en ville et en conséquence facteur de congestion, il faut qu'en soit abandonné Une grande partie de l'espace urbain doit être reconquis au profit des échappe à la Régie (R.A.T.P.) et un problème de personnel se ramenant à un
,.OQ......_ C=:::t c::::=7 1:~ e-:-i~&~ctr ]J:::JI~~~ 7) TAXIS ET TRANSPORTS SEMI-COLLECTIFS - Le taxi est un instrument de transport semi-collectif et doit être considéré comme un complément aux transports en commun, utile pour des déplacements occasionnels. En ce sens, il doit être considéré comme un véhicule prioritaire. Il faut agir à la fois sur la vitesse, le prix et le nombre de taxis (détaxation de l'essence). En 1932, il y avait 30.000 taxis à Paris, en 1980 il en reste 14.000. Les taxis actuels ne sont pas adaptés à la Ville. Il faudrait un grand habitacle, une capacité de 6/7 personnes et une place intérieure pour les bagages. LE STATUT DES TAXIS PARISIENS =============================== Le "BULLETIN MUNICIPAL OFFICIEL" du 15 Avril 1980 publie les textes portant réglementation des taxis parisiens, qui correspondent à une régularisation de la réglementation du 1er février 1973. Nous en donnerons les extraits les plus intéressants pour les usagers dans notre prochain bulletin. Ils assurent les livraisons de détail, de marchandises en gros et le transport de matériel professionnel ou de bagages pour différentes professions artisans, V.R.P., Médecins etc... Ils doivent bénéficier d'une certaine priorité. Les z6nes de livraison doivent être développ~es pour les livraisons de détail. Pour les livraisons de marchandises en gros, le tonnage des véhicules devrait être limité vers 5 tonnes; au delà les camions devraient se garer sur des emprises privées. Certaines lignes ferroviaires pourraient être consàcrées àux marchandises (Reuilly, Grenelle). Il faut regrouper les livraisons et interdire le transit des poids lourds par. les villes Ce qui est lié au réexamen de l'ensemble de la politique du transport des marchandises sur le territoire. 8} VEHICULES UTILITAIRES - 5
cultés de financement. 6 NOUVEAUX PROGRAMMES DE COULOIRS d'autobus en ce qui concerne le 13ème arrondissement 1) Rocade de la ligne N 62-2) Rocade de la ligne P.C. - 3) Autres couloirs - à la rue du Docteur Bourneville) intérieure et de l'avenue de la Porte de Choisy à l'arr@t Porte de Vitry). Ce financement étant maintenant mis en place, les couloirs d'autobus suivants seront mis en service, au cours du 2ème trimestre 1980, Par délibération du 30 mars 1978, le Conseil de Paris a approuvé un nouveau programme de 11,390 kms de couloirs d'autobus. Ce programme n'a pu être réalisé jusqu'à présent, du fait des diffi - Rue de Patay (de la rue Oudiné à la rue Regnault) - rue de Tolbiac (de la rue du Dessous-des-Berges à la rue de Patay) - rue de Tolbiac (du N 236 à la rue de la Glacière). - rue de Tolbiac (de la rue Charles Moureu à l'avenue d'italie) - Boulevard Kellermann (de la rue du Professeur Louis Renault - Boulevard Masséna, (de l'accès Euromarché au N 158, chaussée - Boulevard de l 'Hôpital (de la rue Watteau à la Place d'italie)
A TRAVERS LES GUARTIERS / ITALIE MASSENA -7 Vous aurez pu lire dans notre dernier numéro, la triste histoire de ce terrain vague laissé à l'abandon par un promoteur, qui refuse néanmoins de le remettre 1 avant un délai indéterminé, à la Ville de Paris,... qui laisse faire! Plusieurs Associations du quartier, dont l'ada 13, ont entrepris de jouer 80ULE;Vl'IR.D VENEZ NOMBREUX Y CHERCHER LA BONNE AFFAIRE DE VOS REVES D'autre part, ce terrain va accueillir la " FOIRE AU TROC " que le "CANARD DU 13ème" organise le dimanche 22 JUIN, après midi. ( 130-140 boulevard Masséna ) Il Il " " Il " " " Il " " Je soussigné, demeurant n'accepte pas que, pour la réalisation d'équipements collectifs prévus sur l'ilot E 1 du secteur Italie, la Ville de Paris soit contrainte d'attendre qu'un promoteur achève soh programme, par la construction de la tour Amalfi, que je refuse. Je demande que la Ville de Paris dispose immédiatement du terrain qui est à l'abandon depuis 1974, pour qu'y soient construits : P.M.I. - Crèche, Ecole, Gymnase prévus, et dont les habitants ont besoin. " *** Comme suite à cette action et pour obtenir une attitude plu~ positive de la Mairie de Paris, ces Associations appellent les habitants à signer une pétition, sous forme de cartes postales, du modèle ci-dèssous : les "Prince Charmant" de cette "Belle au Bois Dormant" et organisé, 19 janvier, une occupation par les habitants, avec Elus, musique et pierre symbolique. le lère 7
Il - Il - Il - Il - "'/ -_I_T_A_L_I_E_-_'_'G_A_LAX r_e_" 8 :/ 1) Affectation du terrain prévu pour la tour "APOGEE" - Après le refus du permis de construire de la tour APOGEE, (en octobre 1975) il y a eu le projet " SISYPHE 11 de hauteur limitée (?) à 20 étage.s, dont le permis de construire a été refusé en avril 1978. achevé, couvrir, dans les charges de la co-propriété horizontale (parking, dalle.. ) satisfaisant sur le plan architectural, répondre aux besoins du quartier et la part prévue pour les 100.000 m2 de bureaux d'apogee. La Commission d 'Arrpndissement s'est penchée le 13 mars dernier, sur les Que faire à la place? problèmes du quartier ~'GALAXIE". que l'affectation du secteur nord de l'ilot A 1 favorise l'animation culturelle de la place d'italie et la création de logements et d'emplois." qu'en priorité, l'etat, responsable d'un état de choses éminemment préjudiciable aux habitants du quartier mette rapidement un terme au conflit qui que cette place, qui figure parmi les sites inscrits de Paris, conserve le que l'aménagement de la place d'italie, ajourné depuis 1975, soit enfin raccorde avec l'ancien alignement de l'avenue d'italie, l'oppose au promoteur de Galaxie, long de l'ilot A 1, un caractère circulaire, des dimensions humaines et se La Conunission d'arrondissement a émis le voeu Problème difficile, si le projet doit à la fois, être
Il du projet. 9 La Commission d'arrondissement a adopté le voeu suivant : *** " Qu'un modificatif soit apporté au permis de construire déjà déposé, sans retarder Approuve le projet de réhabilitation de l'école mixte rue Vandrezanne. 2) Rénovation des immeubles situés rue Vandrezanne, en face de Galaxie - 4) Reconstruction de l'école primaire de la rue Vandrezanne - Le P.O.S. de 1977 prévoit une réserve pour terrain de sports, du côté impair étant entendu que l'entrée de la rue Bobillot sera maintenue pour les enfants." de la rue Vandrezanne, où les immeubles sont vétustes. Les habitants du quartier Le projet préparé par le Service d 1drchitecture est critiqué sur deux points souhaitent cet équipement mais la Ville de Paris ne semble pas envisager une intervention active pour accélérer 1' acquisition des immeubles et la réalisation 3) Construction d'une école maternelle derrière le centre Galaxie - et d'agrandir le gymnase. Le chantier devrait commencer en septembre, 4 classes pour autant les travaux, afin de désenclaver la coursive de l'immeuble Agate, " La Commission d'arrondissement souhaite, sous réserve des ajustements qui peuvent déménageant rue Fagon, pour la durée des travaux. intervenir dans la réalisation de cet équipement, la réalisation du terrain de créer un deuxième escalier nécessaire pour la sécurité, une cuisine satisfaisante L'agrandissement et le réaménagement des locaux de cette école permettront de sports prévu au P.O.S. et demande que des garantie~ précises soient données aux cette école en 1981, qui est impatiemment attendue. habitants de l'ilôt A 2 assurant leur relogement dans le quartier s'ils le désirent, et à des loyers accessibles, avant toute démolition d'immeubles." "coursive", accès (privé) de la tour Agate. La loge du gardien doit être Il semble possible d'améliorer ce projet sans compromettre l'ouverture de Il faut assurer l'accès des enfants par la rue Bobillot et non par la Le projet élève un important mur aveugle à proximité de cette coursive. Emet le voeu que pour faciliter et activer sa construction immédiate, des placée en conséquence. La Commission d'arrondissement émet le voeu : La Commission d'arrondissement : juillet pour une rentrée scolaire des 4 plus brefs délais et au plus tard le 4 travaux de démolition commencent dans les grandes classes, en septembre, rue Fagon. "
Sia/ion de, /' / /t_d':z,uj :me e,l- du ~'/f/'"-?nen& llf'./fu.1 10 Monsieur le Président, D 011 00 31 MAR 193a sement du 24 mars au 25 avril 1980. te enquête. l'expression de mes sentiments distingués. Italie, a-t-elle permis au public de se renseigner? enquête. Préfet de Paris Le Préfet Secrétaire Général de la Préfecture de Paris G. FOUGIER I cette lettre de la Préfecture de Paris, concernant la mise à la disposition du public à la mairie du XIIIème, des plans d'occupation des sols du secteur Cette circulaire, datée du 31 mars, nous est parvenue le 10 avril. Elle indique que le dossier SERA à la disposition du public à partir du =========================================== 24 MARS et tenait à nous infor~er de l'ouverture PROCHAINE de cette LES HABITANTS SONT-ILS REELLEMENT CONSULTES Nous avons donc reçu cette information près de trois semaines après Peut-on dire que le public a été consulté? l'ouverture. Et les heures de mise à disposition étaient impraticables pour les personnes ayant des obligations professionnelles. J - Pour le Préfet de la Région d'ile de France secteur Italie dans le 13ème arrondissement. L~ ~ons~il de Paris a délibéré favorablement sur les projets de mod1f1cat1on des Plans d'occupation des Sols de Paris et du Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, Je tenais à vous informer de l'ouverture prochaine de cet J'ai l'honneur de vous faire connaître que ce dossier sera mis à la disposi tian du c,:.;tlic ~'. la mai ri e annexe du 1 -:>',- ~..._,cme arr.c:-.~j..g-
11 / - LE QUARTIER GARE - 7 Dans l'ilot DES DEUX MOULINS, on se pose des questions : Au rez-de-chaussée de l'immeuble H.L.M. du 6 rue Albert Bayet, se trouve un centre d'hémodialise de l'a.u.r.a. Il fonctionne depuis au moins 6 ans et occupe à peine la moitié de la surface du rez-de-chaussée. L'autre moitié est toujours inoccupée et dans un état de malpropreté et d'abandon total. Une petite plaque, à peine visible, sur la vitre souillée porte l'indication suivante " Département de physiologie humaine " C.C.M. L. U.E.R. - KREMLIN BICETRE Or, dans cet ilot qui comporte plus de 1000 logements, il n'y a pas de mètres carrés sociaux... Ne pourrait-on leur affecter ces locaux vacants? *** On manque de logements sociaux, c'est bien connu. Pourtant, au 18 de la rue Georges Eastman (H.L.M.), le poste de gardien a été supprimé, voici 3 ans, lâissant libre un bel appartement de deux pièces qui ferait le bonheur de gens mal logés... Alors?? *** Si vous vous promenez sur la dalle des Olympiades, il n'est pas rare que vous soyez accosté par des personnes qui cherchent désespér~ment le nouveau Centre de Sécurité sociale de la Tour Tokyo,.dont 1 1 adresse est située 20, avenue d'ivry. Il n'est signalé à cet endroit que par une plpque de dimension très réduite, parmi d'autres. Du N 20, il ne reste que le zéro Il semblerait opportun de signaler ce Centre plus visiblement par une flèche sur la dalle. *** Dans le même ordre d'idées, nous trouvons bien regrettable que la nouvelle pircine de la rue Dunois soit si peu facile à trouver pour ceux qui y viennent pour la première fois Faudra-t-il attendre plusieurs années (comme pour celle de la rue du Château des Rentiers) avant qu'un tableau bien visible soit installé??
12 EXTANSION DU ~QUARE LE GALL,dans le QUARTIER CORVISART CREATION DU SQUARE GUSTAVE MESlJREUR, dans le SECTEUR JENNER-PINEL.1..0flUHI IDICllD l'aria, le 21 liai 1980. 16 ru J aallila 75016 1'4RI8 Ploaeiwr.Upbanae BOIJBDDI.AS Pll'll llüllen de la C-1aai1111 4 ~-t 411 l3~mlt. J'ai qopia oe aat1n que la111ejoritol de notre C-Uei1111-1t 1 Puts4 ap]lel4 vat,,. attention l!llll' l'utiliaation e~ditive fai a oon1'1-:r dana mon opinion. A l'avenb la di!ois~on de notre Co a11 printemps. ll tait, normalement, beau. C'dt 04 un11 iniuau prépare ne oo:rreopand. abeoluant J1118 à l'tae&e que je me rata <1 'une C6mmiaaion ouverte et dynajniquo. Mon absence à cette nu doseier. 1-!ais ceci fait partie d'un au«re eujet dont je vous ent.ret.i.enàra.i prochainement. dad raieons de mon abseboe. '"'"",meuta til5t:ineués. J aoques s<j<;,, :JIW. mission, son Président indiquait qu'il Ces questions devaient faire l'objet REMOND souhaitait y convier deux habitantes de ces quartiers. Mais deux jours avant la date de la sollicité de préciser quels invités pouvaient être conviés devant ladite Com Trois jours avant la date de réunion, Un peu plus tard, une deuxième date n'y aurait aucun invité! réunion, celle-ci fut ajournée Cette attitude a provoqué la lettre fut annonçée : le 24 MAI. photocopie, de Jacques Rémond, membre dont nous vous donnons ci-contre la d'une réunion de la Commission d'arrondissement le 15 avril dernier. Jacques de ladite Commission d'arrondissement, au Président de celle-ci, MOnsieur Alphonse BOURDAR~AS J vous prie c.t aç9er, Monsieur 111 ~aidant, l' expre.. ûon de mea Je voua remercie de bien vouloir porter à lz oonnais3ance de notn COJldllission lsa teames de cette lettre efin?u1elle ~~it informi!o J'ajoute, ~our terminer que les conditions de travail des réuuiona de notre Commission sur saisine du :,.fre "ont décidémen~ J.étestalùes : ordre du jour reporté, convocation au dernier mo..,nt, p1111 de un peu 'llli.pe de solliloitft! olomoats-t. de près t.u '19te d'une proposition qui ne reflàtera que leü senti.,. inté:reeballta et originale qui aurait permis à la Commiaeiœ da nion marquera donc ma désapprobation des candi tions d'ills lesqual noeuilu. sur P1aoo ot -n-t dee infomations qu ouo eet U'oua OOllJ'1'8nlireti donc quo l'upru aans lequel cette s4ance eo sait paa euffiaante et 0ue J'aurai proposé à notre Colll!lioaion d',qui, o"""e:rne les habu.a nb des quarti11rs. C'est!Ulad an aujet ments de quelquos-una. lla elle ea tiendra et ma volonté de n.. participe:!: ni ie loin n1 GrgBJ>iser olle-aem. une consultation sur plaoe des habi~ts sur la baàe de11 dossien propoe~s par 11Adlll.1uistratioa. NClllll eoll:llfls 11wr lequ11l la ooneultation e~ l'expression sont les plus silllplea. ~eet pourquoi j'estimais indispensable que notre Co11D11ssion ~ oaute des aeeooiations qui connaissent et qui ont travaill' a111' cee deux squareo. J'ajoute mime que oett11 audition ne me Para.._ M selon moi de l' artiol11 11 du n11rle11111dt inmrieur qui abcllltit à 11n Tete sana explication et s11oret de l~ Commission. Le Nsu~tat apparent de la consultation ~aliei!11 1Ulj~ 1 hui ne fait qu mis aion devrait se fairfl en s4ance après qua les membres ~se""" tante dee oaruiidats les aient d4t ndu8o Qlloiqu'il en eoit, je penee que aur le sujet en qu11etfon l'abe " de11 associations oet tout à:tait. ngrottable. Lee eepaooe verte conetituent en effet vraiment à ~arie t example Jiii,.. de ce Ht'lu4 d'ontendft, d- le oadze de laréw:u.on organie4e delllûll Jnlli sur sai;jne du l'l!.lle à propos de l' ext8!1bian du &tfllan :r.. Gall et d la oréation du square Gustaw :ilelnl1'01u', les usooj,a Uona 11Wiè8'4rofee par oertdzls de ~ee lllem'bre".r ~vais d'jà dams
13 OPERATION L A H I R E suite et fin.... en attendant les conclusions Le secteur de 12 hectares, localisé par les rues Jeanne d'arc, Patay, Tolbiac, Baudricourt et Clisson, fut créé "ZAC LA.HIRE" par arr@té ministériel du 2 février 1969, opération approuvée par le Conseil de Paris le 22 décembre 1970. Le projet primitif ne prévoyait qu'un immeuble de grande hauteur (80 mètres) place Nationale, ce qui facilita, en 1975, l'adaptation des batiments restant à construire, à un plafond maximum de 38 mètres. L'aménagement de cette zône touche à sa fin et pour le conduire à son terme, discussion en a été faite à la Commission d'arrondissement du 15 avril 1980 et au Conseil Municipal du 21 avril 1980. Le programme d'habitation de cette ZAC est presque achevé 1673 logements ont été construits, dont : 491 H.t.M. 893 logements locatifs aidés 281logements en accession à la propriété, aidés, De plus, 8100 m2 de bureaux et 1280 m2 de locaux commerciaux sont achevés, ainsi qu'un foyer de travailleurs migrants de 172 lits, au carrefour Clisson-Jeanne d'arc un foyer de jeunes travailleurs de 118 chainbres et 4 studios, au coin de la rue Richemont et de la rue de Tolbiac, une école maternelle de 6 classes rue du Ch'àteau des Rentiers, l'aménagement de la place Souham. Les 6000 m2 de la place Nationale sont désormais inclus dans la ZAC, alors qu'ils ne l'étaient pas auparavant et cinq emplacements vont recevoir une affectation : la pointe du triangle rue Nationale, rue Baudricourt contribunera à l'aménagement de la place Nationale; le terrain situé pour pàrtie dèrriète l'immeuble à usage de bureaux et pour partie à l'emplacement de l'ancien centre Alexandre Luquet, qui avait été proposé au Ministère des Universités afin d'y construire un restaurant universitaire, sera affecté, en raison du refus d'acquisition dudit Ministère, à la construction d'un batiment d'habitation (3400 m2 de plancher hors oeuvre) élevé de 5 étages sur rez-de-chaussée,..: Entre la rue du Château des Rentiers, la rue Jean Baptiste Renard et la place du docteur Navarre : 7000 m2 de bureaux sur 6 étages, coté rue du Château des Rentiers, 2000 m2 de logements aidés rue Sthrau, apport d'une aire de jeux de 250 m2 à la crèche rue Jean-Baptiste Renard, par démolition du garage voisin et mise d'une partie de cette rue (entre crèche et maternelle) en voie piétonne, - 400 m2, au 120 rue du Château des Rentiers, coincés entre deux immeubles de grande hauteur (ventilation assurée tous temps)semblent n'intéresser vraiment personne, car peu uti lisables! Les édiles accepteraient donc, peut-@tre un petit "équipement social 11 de voisinage (sic) - (Voilà tout ce qui peut @tre concédé, condescendu pour une vie locale. (Merci de votre bon coeur 1). J'ajoute que.la destination de ce coin (oui) reste à déterminer, mais qu'il pourrait aller pour la jeunesse.. Pouah!...
14 Mais voici qu'au 2/4 rue Lahire existe un espace qui pourrait bien intéresser (c/f les listes d'attente aux écoles du quartier). Ah, mais là, non. On peut y Sébastien Bach. type "discothèque,bibliothèque" et de loisirs à l'usage de la jeunesse. La Commission a même émis un voeu dans ce sens. avec les divers enseignants, pour le plus grand bénéfice des enfants. serait aménagée. rue de Domrémy. est mitoyen. s'est contenté de prendre bonne note... On sait malheureusement ce que cela veut dire : une réunion de plus, pour rien t Nous devons constater : dans ce domaine. par l' Administration souveraine. Ce dernier point est à suivre. ** * émis un voeu en 5 points adoptés à l'unanimité cette jeunesse qui, si elle se retire peu à peu de beaucoup de lieux de Paris, abonde dans notre quartier et envahit les écoles au point de les submerger immeubles à démolir et conservés ainsi que l'immeuble sis 131 rue de Patay et 51 construire un inuneuble. Il y aura donc 2800 m2 de logements (90) sur 5 étages et même un cheminement piétonnier reliant la place Jeanne d'arc à la rue Jean Lors de sa réunion du 15 avril 1980, la COMMISSION d'arrondissement dul3ème a A la Commission d'arrondissement, un élu a proposé d'y installer des équipements Les parcelles sises 53 rue de Domrémy et 15 rue Richemont seront, après évacuation et démolition des constructions existantes, affectées au Collège Patay qui Le CONSEIL MUNICIPAL, réuni 6 jours plus tard, a voté intégralement le projet Ajoutons que dans un rayon de 100 mètres, se trouvent 2 écoles primaires, une remembrée avec le terrain mitoyen, sis 60 rue de Domrémy et l'ensemble ainsi formé sera affecté à la construction d'un batiment comportant une vingtaine d'ateliers d'artistes avec logements (2000m2 de plancher, hors oeuvre). Rue Domrémy, entre la rue Jean Colly et la rue Jeanne d'arc, une voie piétonne La parcelle sise 58 rue de Donrémy sera, après évacuation et démolition, école maternelle et une seconde de 6 classes, rue Lahire, en face, dont les travaux doivent commencer prochainement, Une animation à caractère culturel, utilisant une partie des locaux et des équipements, aurait été certainement possible un batiment commercial d'animation et un jeu de boules sur la place Nationale. un restaurant universitaire sur l'emplacement de l'ancien centre Luquet. équipement d'ordre culturel, destiné au coeur du quartier Gare, si pauvre Les immeubles sis 56,54 rue de Domrémy et 1 rue Jeanne d'arc seront exclus des Commission, dès lors qu'il entrainerait rectification d'un projet déjà arrêté Enfin la désinvolture avec laquelle on prend le parti d'ignorer le voeu d'une des équipeuents publics au 2/4 rue Lahire, dont une bibliothèque/discothèque. relogement sur place poor les habitants des logements à démolir. Une égale négligence, mais cette fois-ci, de la Ville de Paris, pour un de Tolbiac (fréquentée par 8000 étudiants) d'un restaurant universitaire. le renoncement négligent du Ministre des Universités d'équiper la faculté les rez-de-chaussées disponibles réservés aux petits. commerces. d'aménagement de la ZAC en ignorant volontairement le voeu de la Commission d'arrondissement, dont l'adjoint au Maire
de ne pas prévoir de L.C.R. 15 d'en prévoir, leur construction étant financée par l'etat pour favoriser et aider au développement des activités sociales et culturelles. réalisé pour partie par l'organisme constructeur, ou bien compensé par une subvention aux attributaires de ces locaux pour qu'ils le réalisent. A PROPOS DES LOCAUX COLLECTIFS RESIDENTIELS Une 3ème circulaire ministérielle du 28 avril 1977 a rendu obligatoire la construction de L.C.R. dans les ensembles H.L.M. de plus de 200 ldgements et dans La réalisation des LOCAUX COLLECTIFS RESIDENTIELS (L.C.R.) fut rendue obligatoire circulaire de 1977, qu'à verser une redevance pour couvrir le remboursement des en 1965 dans les nouveaux ensembles d'habitation de plus de 50 logements aidés par coot de construction de ces locaux étant inclus dans le coot global de construction de l'ensemble immobilier. l'etat. Mais une autre circulaire ministérielle de 1969, renforcée en 1971 par Or, en.pratique, l'o.p.h.l.m. de la Ville de Paris : l'octroi de facilités financières, transformait cette obligation en une simple recommandation. D'où l'alternative pour les Sociétés ou Offices d'h.l.m. les groupes H.L.M. édifiés dans les Z.A.C., quelle qu'en soit l'importance, le Les utilisateurs de L.C.R. ne devaient être astreints, toujours d'après cette fournitures individuelles (eau, chauffage, électricité... ). et de locataires en pri9rité, sans paiement de loyer, conformément à la lettre et à l'esprit de la circulaire d'avril 1977, a cependant demandé des précisions ~ les affecte, bruts, à des associations, qui procèdent elles-mêmes à leur La circulaire de 1971 prévoyait que l'aménagement de ces locaux pouvait être convention qui prévoyait le paiement d'un loyer, l'o.p.h.l.m. de la Ville de Paris La C.G.L. a décidé d'appuyer le pourvoi en Cassation du Comité des Locataires du 14 rue Frédéric Lemaitre. Tribunal a débouté l'office qui s'est pourvu en appel. a saisi la justice d'une demande d'expulsion du Comité des Locataires, mais le Le Comité des-locataires du 14 rue Frédéric Lemaitre ayant refusé de signer une En revanche, la Cour d'appel de Paris a prononcé l'expulsion arguant qu'il ne La Confédération générale du logement (32 rue des Bourdonnais, 75001 PARIS) pouvait y avoir de contrat de bail, sans paiement. estimant que les L.C.R. doivent être attribuée exclusivement à des associations, de tels locaux. Le Ministère en a confirmé l'esprit. au Ministère de l'environnement au sujet des circulaires ministérielles concernant aménagement, et paient un loyer, les garde pour ses antennes et bureaux, un loyer. les loue comme locaux commerciaux, les attribue rarement aux associations de locataires, tout en leur demandant AFFAIRE A SUIVRE ATTENTIVEMENT :Eo * *
16 PERMIS DE CONSTRUIRE HABITATIONS I - DELIVRES SALPETRIERE - 4 rue Pinel, 5 rue Campo-Formio - un batiment à usage d'habitation, de 4 à 5 étages,13 logements, parc de stationnement en sous-sol de 13 places. 8/10 rue Pinel, 9 rue Campo Formio - parc de stationne un batiment à usage d'habitation de 5/6 étages, 25 logements - ment de 27 places. ( Société SEPAC ) MAISON-BLANCHE - 2 rue des Iris, 1 et 3 rue des Liserons - surélévation d'un étage, de pavillons. ( particuliers ) BUREAUX - - ZAC LAHIRE - 1 à 13 rue Baudricourt et rue Nationale : construction d'un batiment de 5/8 étages à usage de bureaux (8006 m2) avec restaurant d'entreprise au rez-de-chaussée (643 m2) - parc de stationnement en sous-sol : 49 places. ( SOFRACIM ) DIVERS - - ITALIE - 3 Bvd Kellermann construction de trois batimente à rez-de-chaussée, d'un et 5 étages, à usage d'auberge de jeunesse, 80 chambres, 2 logements de fonction. Garage de 24 places, sous-sol partiel à usage de locaux techniques et sociaux. (CENTRE NATIONAL DE SEJOUR DEPARIS) II - DEMANDES - GARE - 41,43 rue Dunois un batiment à usage d'habitation, 4 étages, 23 logements - (O.P.H.L.M. de PARIS, Cardinal-Lemoine) 57/61 rue Jeanne d'arc et 50/58 rue Clisson : 4 batiments de 5/7 étages à usage de foyer de travailleurs migrants (modification au permis délivré le 18 décembre 1975) (H.L.M. - l'habitat COMMUNAUTAIRE) - MAISON BLANCHE - 49 rue de l'amiral Mouchez - un batiment à usage d'habitation, de 6 étages, 12 logements - 31 rue Bobillot (GOSSIN) construction d'une école maternelle d'un étage : 5 classes et un logement de fonction - (VILLE DE PARIS) - SALPETRIERE - 47 boulevard de l'hopital - Construction d'un batiment hospitalier de 3 étages ~ usage de cure médicale, Service Informatique et Médecine du travail - (ASSISTANCE PUBLIQUE DE P$RIS)
17 APRES LES CALABRAIS, (voir A.B.C. 13, N 8) AVRIL 1980 INVASION PACIFIBUE DES VIKINGS ' *** Le 27 avril 1980, à 12 heures,je rejoins au ROzES rue :Bobillot, un groupe de 14 Norvégiens, des deux sexes, en provenance directe d'oslo, issus de différentes villes du pays et y enseignant le français ou la géographie. Tous comprennent bien notre langue (ainsi que l'anglais et 1 1allemand).Un Français.vivant là-bas depuis 6 ans et marié à une 'Norvégienne, les accompagne. Le groupe est désireux de visiter Paris, mais au travers d'une découverte qui mette à jour les réalités d'une grande ville au passé ancien, à la modernisation largement engagée. Dans cette optique, leur premier contact avec la ville (qu'ils connaissent d'ailleurs pour y être venus trois fois déjà) est pour le 13ème via l'université de quartier. L'A.D.A. 13 se charge de les piloter: 1' ancien l3ème Le nouveau.... e~ CHICAGO Je les vois tristement i~pressionnés par les rassemblements serrés de tours et ils me demandent où sont les enfants, où ils peuvent s'ébattre et expérimenter, dans cet univers minéral, statique et rigide... Ils remarquent le fort pourcentage d'étrangers. Ils ont été ravis de cette découverte d'un arrondissement de Paris non touristique mais pas encore conquis, je crois l
cc PARIS -SUR-BIEVRE n DES USINES AUX TOURS, Le 13ème, VINGT ANS APRES (1978) publié par l'association 'POUR LE DEVELOPPEMENT ET l'amenagement DU 13ème "A.D.A. 13" - 30 pages illustrées - 2 plans des démolitions et des constructions dans le 13ème (1954-1974) - C.C.P. PARIS 22 294 03 V - franco 10 frs. FAITES CONNAITRE CETTE BROCHURE AUTOUR DE VOUS - (Libraires, ~nseignants, Journalistes, Associations peuvent y trouver de précieux renseignements). Une exposition organisee à la Mairie La Bièvre à la Poterne des Peupliers, vers 186 O. du 13ème, du 18 avril au 18 mai, par la Délégation artistique de Paris et préparée par le Musée Carnavalet. De l'époque mérovingienne à l'avant-derni~rg guerre, cette jolie exposition nous faisait revivre les rives de la Bièvre et le 13ème ancien, à l'aide de plans, de gravures, de peintures et de photographies qui ont enchanté de nombreux anciens de l'arrondissement. Intéressante cette exposition l'eut été davantage encore si elle avait, pour les cent dernières années, fait appel aux souvenirs et témoignages des vieux habitants de cet arrondissement qui en ont encore plein la mémoire, comme en témoigne le texte de Melle GAUTHERON (p. ). Ne laissons pas échapper ce précieux patrimoine. A noter dans le début de l'exposition un plan qui évoque le 13ème des tours. Détail du plan de Paris 198, par Geo~ges PELTIER, éditions BLONDEL LA ROUGERY, topo TGC. C'est une des 4 évocations des 30 dernières années, du 13ème. On sait, cependant, combien elles ont compté dans son histoire récente 1 18