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Mise en cohérence des «certifications» informatiques et Internet soutenues par l Etat Réflexion sur l opportunité d établir des passerelles entre les différentes certifications juin 2006 Document rédigé par Claire DELAYE ENESAD En collaboration avec : Gérard Michel COCHARD Béatrice FOURNIER Guy MICHEL Marie Christine MILOT Laurent ODIC Claude REYNIE Christian RICHEBON

SOMMAIRE 1. Contexte... 3 2. Existant... 3 3. Problématique... 3 4. Méthode de travail... 4 5. Vers un référentiel commun... 5 5-1. Une base commune...5 5-2. Des spécificités au sein des certifications...5 5-3. Une nécessité de mise en lisibilité...5 5-4. Harmonisation des compétences...6 5-5. Modalités de certification...7 6. Comparaison des différentes «certifications»... 8 7. Passerelles et équivalences : propositions... 13 7-1. Utilité des passerelles... 13 7-2. PIM et NSI... 14 7-3. PIM et B2i FC GRETA... 14 7-4. B2i collège et PIM/NSI... 15 7-5. B2i collège et B2i FC GRETA... 15 7-6. B2i-FCGRETA vers C2i... 15 7-7. B2i lycée vers C2i... 16 Conclusion Annexe 1 : Proposition de passerelles B2i FC GRETA vers C2i Annexe 2 : Tableau récapitulatif multicritères des certifications Annexe 3 : Circulaire C2i du 7 avril 2005 et référentiel Annexe 4 : Référentiel du B2i FC GRETA Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 2

1. Contexte Depuis 2000, le gouvernement dans sa politique de réduction de la fracture numérique, a initié le développement de l accès public à Internet au sein des différents ministères. Ce développement s est accompagné de nombreux projets d initiation et de formation aux technologies de l information et à leurs usages et la mise en œuvre de différentes certifications des compétences dans ces domaines. Le délégué aux usages de l Internet a demandé au groupe national e-formation mis en place par le CISI 2003 de rendre lisible, compréhensible et visible, éventuellement en les simplifiant, l ensemble des «certificats», «labels» ou «brevets» 1 mis en œuvre par l Etat. Dans ce cadre, l ENESAD-CNERTA a réalisé un premier travail de mise en lisibilité et de compréhension des certifications. Ce travail, présenté au groupe e-formation du CISI 2003 le 1 er mars 2005, établit un état des lieux de l offre existante et décrit notamment les publics, sources d informations officielles, modalités de mise en œuvre et compétences validées pour chaque «certification». Ce travail a également fait l objet de l édition fin 2005 puis en mai 2006 d une plaquette de communication autour de ce sujet. 2. Existant L état des lieux réalisé par le CNERTA, outre une présentation générale des principales certifications, propose des tableaux comparatifs des compétences validées pour chaque «certification» sur la base des référentiels joints aux textes officiels. La visualisation de ces tableaux permet de conclure que les compétences validées recouvrent plusieurs grands domaines (8 recensés dans le rapport) et qu un certain nombre de redondances, et équivalences existent d une certification à l autre. Par ailleurs, des passerelles existent entre certaines certifications : simple autorisation de délivrance ou réelle équivalence, elles confirment le lien existant et la nécessité de trouver une cohérence pour l utilisateur final. 3. Problématique L état des lieux et les conclusions qu il suggère ne sont qu un point de départ pour engager une réflexion sur l existence réelle d équivalences en termes de compétences entre les différentes certifications. Il fait cependant apparaître une base commune, ou «référentiel» de compétences, sur laquelle toutes les certifications existantes peuvent se retrouver. Ce référentiel, tel qu il est présenté dans l état des lieux, reste cependant très généraliste et nécessite de travailler à la fois sur le contenu proprement dit des certifications (référentiels et compétences validées) et sur la forme (modalités de certification). Le groupe e-formation propose la mise en place d un document «pivot» des passerelles et des équivalences entre les différentes attestations. La réflexion a impliqué l ensemble des acteurs. 1 Désignés dans ce projet et pour simplifier sous le terme générique de «certifications». Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 3

4. Méthode de travail 1. Le groupe de pilotage Le groupe de pilotage constitué des membres du groupe e-formation du CISI 2003 pourra se prononcer à l issue de la réflexion sur la problématique énoncée ci-dessus, des suites à donner à ce projet. Le groupe de pilotage est constitué de : Jean-Paul BELLIER - Ministère de l'éducation nationale, de l enseignement supérieur et de la recherche / DT Martine CRUSILLEAU - Ministère de l'economie, des Finances et de l'industrie / DGE Nadine KEBE - Ministère de l emploi, du travail et de la cohésion sociale / DGEFP Michel LEMBERG - Ministère de l'éducation nationale, de l enseignement supérieur et de la recherche / DESCO Franck PROVOTS - Ministère de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche et de la ruralité / DGER 2. Le groupe «réflexion» Afin de mener à bien la réflexion autour de la problématique, un groupe «réflexion» a été constitué. Il comprend les représentants des différentes certifications dans chaque Ministère. Ce groupe avait pour objectif de travailler à la mise en place du document «pivot» cité cidessus. Il a assuré notamment les tâches suivantes : - définir et valider de façon précise et approfondie les compétences couvertes dans leurs attestations et d élaborer un référentiel commun ; - mettre en place un tableau comparatif précis de ces attestations sur la base du référentiel ; - définir les passerelles et équivalences existantes et potentielles, d ébaucher des propositions concrètes. Représentants par certifications : Pour le B2i formation initiale : Pour le B2i formation continue : Pour le C2i niv 1 : Pour le NSI : Pour le PIM Marie Christine MILOT, Laurent ODIC Christian RICHEBON, Michel LEMBERG Gérard Michel COCHARD Guy MICHEL, Béatrice FOURNIER, Nadine KEBE Claude REYNIE Cette liste a été définie par le groupe de pilotage le 4 janvier 2005 lors de la réunion de préparation du projet à Paris, puis réaménagée suite au départ de Béatrice FOURNIER. Le C2i niv 2 n est pas concerné ici, il valide des compétences professionnelles très différentes des compétences plus techniques des autres certifications. La réflexion a été menée au cours de 4 réunions successives entre octobre et mai et d un débat mené via la messagerie électronique pour élaborer des propositions. La restitution finale du projet a lieu le 26 juin 2006. Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 4

5. Vers un référentiel commun 5-1. Une base commune L état des lieux conclue que toutes les initiatives en matière de certifications visent l objectif commun de promouvoir l usage au quotidien des TIC et de réduire la fracture numérique. Cette conclusion fait consensus parmi toutes les personnes du groupe. Nous sommes actuellement dans une période transitoire avec des contenus et des référentiels amenés à évoluer à court terme : les profils des publics et les besoins changent. Cependant, il s agit de mettre à niveau toute une population indépendamment des différences d avancée et de montée en compétences. La certification doit rendre une valeur d usage et se caler sur les compétences actuelles. Il existe des similitudes en termes de compétences à valider : c est le public visé, le contenu et les modalités de la formation ainsi que les modalités d évaluation qui diffèrent. Il existe déjà des passerelles ou accords : par exemple la passerelle entre le B2i FC GRETA et le NSI, qui montrent qu une harmonisation est possible dans certains cas. 5-2. Des spécificités au sein des certifications Les certifications varient de l une à l autre mais également à l intérieur d une même certification : ceci tient en grande partie à l individu d une part et à l enseignant qui réalise la formation et met en œuvre la certification d autre part. Il n y a pas de moyen de contrôler cela à moins d imposer des modalités, des contenus Des textes et des projets nouveaux viennent de paraître : notamment pour le C2i, avec la circulaire du 7 avril 2005 qui précise les modalités de certifications, met à jour le référentiel et propose la possibilité de convention établissements/universités. Est envisagée également la certification automatique de compétences opératoires. Pour le B2i, un travail est en cours pour la révision des référentiels école et collège (publication prévue en juin 2006) et la création d un B2i pour les lycées et CFA gérés par les EPLE. Ce travail fait émerger un certain nombre de questions concernant notamment le positionnement que doit avoir le domaine «attitude citoyenne». Une nécessaire attention est portée au socle commun des compétences en cours de définition dans le cadre de la loi d orientation pour l avenir de l école votée au printemps 2005 dont un domaine est «la maîtrise des techniques usuelles d information et de communication». Pour le B2i FC GRETA et le NSI, il faut prendre en compte le fait que la formation est délivrée à titre onéreux. Spécificité également en ce qui concerne la terminologie employée et notamment le débat capacité/compétence : dans le cadre du B2i FC GRETA, on parle de capacités ; dans le cadre du C2i, la compétence est définie comme l exercice d une capacité dans un contexte de travail. 5-3. Une nécessité de mise en lisibilité Le paysage des «certifications» nécessite une meilleure lisibilité tant pour le public (bénéficiaires, individuels ou salariés mais également employeurs) que pour les personnes qui le mettent en œuvre. Les tableaux comparatifs des compétences présents dans l état des lieux, s ils correspondent bien à l ensemble des certifications, posent cependant quelques problèmes : - les intitulés nécessitent d être réorganisés, réécrits (savoirs, savoir faire se côtoient alors qu il ne s agit pas du même niveau), complétés - les compétences nécessitent d être développées de façon plus précise - les entrées en grands domaines sont-elles pertinentes? - ils ne prennent pas en compte les aptitudes comportementales Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 5

- Certaines compétences sont implicites et ne figurent pas dans les référentiels. Le groupe décide à l unanimité qu un premier travail de réécriture des compétences est nécessaire. Il a été réalisé indépendamment par chacun pour une mise en commun finale. Il s est agit de réaliser un document de base permettant de réfléchir à l opportunité d établir des passerelles. 5-4. Harmonisation des compétences Sur la base d un tableau récapitulatif élaboré à partir des différentes modifications envoyées par mél par chacun des responsables, chaque entrée «compétence» est reprise et débattue pour aboutir à un consensus. Ainsi des précisions, explicitations, suppressions et ajouts sont apportés. Au départ de ce travail, cinq remarques d ordre général sont annoncées : - Nous parlerons de référentiel de «certification» (par opposition à référentiel de formation, qui pourra être décliné à partir de là mais qui ne fait pas l objet du travail du groupe). - Ce référentiel recense les compétences acquises lorsque l on a validé l attestation/passeport/brevet/certificat «une personne qui a la certification, a la liste des compétences énumérées dans le référentiel» - Nous parlerons de compétences et non de capacité dans notre projet. - Il faut arriver à un niveau d explicitation de la compétence suffisant pour faire consensus : pas d ambiguïté sur ce qu il y a derrière. Quand une tête de chapitre fait rapidement consensus, il faut détailler son contenu pour s assurer qu il y a également consensus sur le contenu profond. - Concernant le B2i, un travail est actuellement mené pour mettre à jour le référentiel. Il s agit d une réflexion de fond qui aura nécessairement des répercussions sur le travail qui a été mené. Ex : utilisation d «équipement informatique» à la place d ordinateur. Dans le débat mené sur l harmonisation des compétences, plusieurs points ont été débattus et ont permis d obtenir un consensus. Ceci concerne notamment la définition du terme «compétences» qui sous tend celles «acquises» et non «évaluées» la réécriture des intitulés des thèmes : par exemple, on ne parle plus de microordinateur mais d ordinateur, communiquer au lieu de communiquer au moyen d une messagerie la réécriture des intitulés des contenus : globalement, on enlève les têtes de chapitres qui regroupaient plusieurs sous-compétences quand elles n apportent rien. On retire, en lien avec le travail qui est mené par ailleurs sur le B2i, tout ce qui porte un caractère subjectif et qui ne relève pas de la compétence en tant que telle : «a bon escient», «évaluer la pertinence», «recherche RAISONNEE» Débat également autour de la création d un site web statique (c'est-à-dire sans accès à des bases de données) : différencier concepteur et contributeurs ou rédacteur dans le cadre d un site dynamique le domaine «Droit, éthique et citoyenneté» : il s avère difficile de faire consensus tant les modalités de validation de ces compétences sont différentes ainsi que le degré de connaissance attendu. Il ne s agit pas pour certain de compétences mais plus de connaissances. Après s agit-il d avoir connaissance de l existence ou bien de connaitre le contenu proprement dit? Autre problème concernant les droits fondamentaux et sur ce que signifie le fait d afficher la compétence : les droits fondamentaux 2 sont implicites! Il n est pas nécessaire de les afficher pour qu ils soient pris en compte. 2 «( ) libertés et droits fondamentaux font partie intégrante des constitutions de la plupart des pays civilisés, et particulièrement des États membres de l UE. Les ordres juridiques de ces derniers reposent sur la sauvegarde du droit ainsi Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 6

5-5. Modalités de certification Chacune des certifications proposent des modalités de mise en œuvre différentes. Il s agit de mesurer si ces différences peuvent avoir des conséquences sur la compétence telle qu elle est décrite dans le référentiel. Il s agit aussi de différentier ce qui relève de la certification pure et ce qui relève de l attestation de compétences. Pour cela, une enquête est distribuée sur les modalités de certification et une synthèse est réalisée (cf Annexe 2). Elle recensait notamment : le public visé le caractère obligatoire ou non de la certification le temps consacré à la formation les organismes habilités à délivrer la formation - Ces organismes sont-ils habilités à délivré le certificat le temps consacré à la validation les modalités de validation des compétences l adresse où se procurer le modèle de certificat l enregistrement des certificats Cette synthèse a constitué un document de base pour la réflexion pour comparer et proposer des passerelles pertinentes. que sur le respect de la dignité, de la liberté et des possibilités d épanouissement de la personne humaine». Site de la communauté européenne : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/about/abc/abc_10.html Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 7

6. Comparaison des différentes «certifications» Compétences informatique et Internet acquises dans le cadre du PIM, du NSI, du B2i niveau 1 et 2, du B2i FC GRETA et du C2i niveau 1 Les tableaux ci-après sont le résultat de la réflexion menée autour de l harmonisation des compétences et à partir du référentiel proposé dans le cadre du document «état des lieux». L objectif de ces tableaux est d élaborer un référentiel commun pour mener à terme notre réflexion sur la possibilité de passerelles. Cependant ce référentiel ne se substitue en aucun cas aux référentiels de chaque certification et si passerelles ou équivalences il y a, elles se feront sur la base des référentiels en cours. A Utiliser un ordinateur PIM NSI B2i-1 B2i-2 B2i-FC GRETA C2i1 A-1. Connaître et utiliser le vocabulaire spécifique : matériels, logiciels de base, applications et données A-2. Démarrer/arrêter son ordinateur A-3. Repérer le système d exploitation de l ordinateur utilisé A-4. Utiliser la souris, le clavier A-5. Exécuter une application A-6. Ouvrir / fermer un dossier ou répertoire A-7. Ouvrir un fichier/enregistrer A-8. Savoir détecter un dysfonctionnement ou une panne simple A-9. Se connecter aux différents types de réseaux (filaires et /ou sans fil) : A-9-1. Connectique et paramétrage A-9-2. Identification Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 8

B - Communiquer PIM NSI B2i-1 B2i-2 B2i-FC GRETA C2i1 B-1. S identifier au moyen de codes B-2. Paramétrer un compte pour communiquer B-3. Utiliser le Webmail B-4. Adresser, recevoir, imprimer, répondre à un message, le faire suivre B-5. Gérer son carnet d adresses B-6. Utiliser des listes de diffusion (s'inscrire, se désabonner) B-7. Gérer une pièce jointe : joindre, recevoir, transmettre un document B-8. Gérer ses messages : dossiers/filtres B-9. Participer à des forums et à des newsgroups B-10. Utiliser les outils de la communication en direct (chat) B-11. Utiliser les terminaux mobiles C S informer, se documenter PIM NSI B2i-1 B2i-2 B2i-FC GRETA C2i1 C-1. Accéder à un site web en saisissant son adresse dans un navigateur C-2 Naviguer : utilisation des liens hypertextes C-3. Utiliser signets et favoris C-4. Choisir le support d information et les modalités de recherche C-5. Réaliser une recherche simple avec un moteur de recherche C-6. Réaliser une recherche avancée C-7. Récupérer l information : copier/coller ; imprimer ; enregistrer, télécharger Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 9

D Organiser des traitements numériques à l aide d un tableur PIM NSI B2i-1 B2i-2 GRET A C2i1 D-1. Distinguer les différents types de données (texte, numérique et formule) D-2. Gérer les types de données D-3. Consulter un classeur, mettre en forme, imprimer une feuille et un graphique simple D-4. Créer une feuille de calcul simple pour un problème donné D-5. Modifier les données et vérifier l incidence (saisie de données dans une feuille de calcul et interprétation) D-6. Utiliser un grapheur D-6-1. Représenter graphiquement un tableau D-6-2. Utiliser les fonctionnalités liées à un graphique (axes, étiquettes, légendes, quadrillage, échelles, ) D-7. Exporter un tableau avec son graphique dans un texte D-8. Utiliser des formules D-8-1. Somme et moyenne D-8-2. Fonctions arithmétiques usuelles D-8-3. Références relatives et absolues E Créer et exploiter un document PIM NSI B2i-1 B2i-2 B2i-FC GRETA C2i1 E-1. Consulter, créer, modifier un document texte E-1-1. Réaliser des documents textuels courts (CV, lettre, ) E-1-2. Maîtriser les fonctionnalités nécessaires à la structuration de documents complexes (notes de bas de page, sommaire, index, styles, ) E-1-3. Utiliser le correcteur orthographique E-2. Copier/coller entre documents, annuler / rétablir une action sur un document Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 10

E-3. Créer un tableau de présentation synthétique E-4. Créer un document composite intégrant ses textes, images, tableaux ou ceux d une bibliothèque E-5. Créer un document avec des liens hypertextuels E-6. Créer des schémas (formes géométriques avec texte, traits, flèches et connecteurs, disposition en profondeur, groupe d'objets, export sous forme d'image) E-7. Créer des images simples avec un logiciel de dessin E-8. Utiliser un logiciel de préao E-9. Elaborer des pages WEB statiques F Gérer l information PIM NSI B2i-1 B2i-2 B2i-FC GRETA C2i1 F-1. Personnaliser et gérer son environnement de travail F-1-1. Organiser et personnaliser son espace de travail F-1-2. Maintenir (mise à jour, nettoyage, défragmentation) F-2. Rechercher un fichier (par nom, par date, par texte, ) F-3. Compresser/décompresser des fichiers/dossiers F-4. Assurer la sécurité de ses données F-4-1. Assurer la protection contre les virus F-4-2. Protéger ses fichiers et ses dossiers (en lecture/écriture) F-4-3. Assurer une sauvegarde (sur réseau, sur support externe,...) F-5. Repérer concepts et principes généraux des bases de données relationnelles F-6. Utiliser/gérer/modifier une BdD Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 11

G Droit, éthique et citoyenneté PIM NSI B2i-1 B2i-2 B2i-FC GRETA C2i1 G-1. Vérifier pertinence et exactitude des informations manipulées G-2. Intégrer la dimension éthique et le respect de la déontologie G-2-1. Respecter les droits fondamentaux de l'homme, les normes internationales, la législation en vigueur G- 2-2. Mettre en œuvre des règles de bons comportements, de politesse et de civilité G-2-3. Comprendre et s'approprier des chartes de comportement H Travail collaboratif à distance PIM NSI B2i-1 B2i-2 B2i-FC GRETA C2i1 H-1. Utiliser les outils d'un espace de travail collaboratif H-2. Elaborer en commun un document de travail Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 12

7. Passerelles et équivalences : propositions La synthèse des différentes modalités de certification est ajoutée au débat sur l élaboration du document pivot en prenant en compte non seulement le comparatif ci-avant des compétences élaboré par le groupe mais également les différences en terme de durée de formation et de validation, de publics visés, de modalité de certification, d habilitation et d accès à délivrer la certification, de contraintes de mise ne œuvre Au regard de ces tableaux, la question qui se pose est : quelles compétences reste t-il à valider pour obtenir une certification «supérieure». Par exemple, quand une personne a obtenu le PIM, que lui reste t-il à valider pour avoir le NSI? C est dans ce sens qu a travaillé le groupe pour élaborer le document pivot. Et il s est tout d abord posé la question de savoir si l équivalence proposée avait une utilité et quel public elle pouvait intéresser. Et si utilité il y a, comment peut-elle être mise en œuvre. Ainsi trois axes d équivalence sont identifiés : Axe grand public : du PIM vers le NSI vers le B2iFCGRETA Axe adultes : du NSI vers le B2iFCGRETA vers le C2i Axe scolaire et universitaire : du B2i école vers le B2i collège vers le B2i lycée vers le C2i Dans tous les cas, pour prétendre à une certification, l individu devra répondre au critère d accessibilité énoncé dans les référentiels. Avec son bagage «certification», il passera le complément dans l organisme habilité à délivrer la certification qu il désire. Concernant le complément à acquérir, il sera décrit sur la base du référentiel en cours et non sur le référentiel élaboré par le groupe de réflexion qui sert uniquement à établir l équivalence. Il peut faire l objet d une simplification dans un souci de lisibilité et pour faciliter la mise en œuvre à la fois de la formation et de la validation des compléments. 7-1. Utilité des passerelles Plusieurs éléments sont à prendre en compte pour envisager les passerelles ou équivalences : - La responsabilité de la délivrance : la plupart des certifications ne peut être délivrée que par des organismes habilités à le faire - Les contextes d usages différents : gratuit/payant ; modalités variées - Le facteur TEMPS : une certification ne sera pas valable ad vitam æternam - L objectif de lisibilité et d accessibilité des certifications auquel doit aboutir le travail du groupe - l évolution en cours des différents référentiels : dans un avenir très proche la compétence «Communiquer» va être ajoutée au PIM. Par ailleurs, une réflexion est en cours pour mettre en œuvre un PIM 2 dont le nom reste à trouver, se rapprochant du B2i FC GRETA en termes de compétences, ce qui ouvrirait de nouvelles possibilités de passerelles. le travail sur les référentiels du B2i 3 3 B2i -BO N 42 du 23 nov 2000 : http://www.education.gouv.fr/bo/2000/42/encart.htm Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 13

En reprenant les différents axes énoncés précédemment, la mise en œuvre de certaines passerelles a d emblée été écartée : Entre le NSI et le B2i FCGRETA, car elle existe déjà sous forme d un accord entre le ministère chargé de l emploi et le ministère chargé de l éducation, Entre les B2i école, collège et lycée, car ces passerelles existent de fait, Entre le PIM et le B2i collège car ne présente pas d intérêt au vu des publics concernés. La réflexion est donc menée sur les possibilités entre les certifications suivantes : PIM et NSI PIM et B2I FC GRETA B2i collège et PIM/NSI B2i collège et B2i FC GRETA B2i FC GRETA et C2i B2i lycée et C2i Dans quasiment tous les cas, chacun met en œuvre un positionnement à l entrée qui permet de définir la formation dont aura réellement besoin l individu. Ce positionnement est un véritable outil, au-delà des passerelles pour «dispenser» l individu de formation sur des thèmes qu il maitriserait déjà. 7-2. PIM et NSI En comparant les compétences à partir des tableaux, on constate qu il manque trois sous compétences pour passer du PIM au NSI qui correspondent au domaine «communiquer». Avec l annonce par la responsable du PIM que ce domaine sera très prochainement ajouté au référentiel, il n y a donc plus de complément à apporter entre PIM et NSI. On ne peut cependant pas parler d équivalence à proprement dit car les modalités de formation diffèrent (ateliers dans les EPN pour le PIM contre une formation de 14 ou 28h à l AFPA ou l APP pour le NSI). Par ailleurs, l EPN ne fait pas partie des organismes habilités à délivrer le NSI. Cependant dans le cadre de la formation dispensée dans les APP, un volet est consacré au NSI, après positionnement il semble envisageable de dispenser de ce volet de formation les personnes titulaires d un PIM. Le problème qui se pose est que le NSI est financé et cette dispense enlèverait une source de financement. Le PIM est également payant indirectement et ne représente pas forcément un concurrent pour le NSI. 7-3. PIM et B2i FC GRETA Actuellement, il y a beaucoup de compétences à valider pour obtenir un B2i FCGRETA à partir d un PIM. Un positionnement au départ permettrait de dispenser les personnes d une partie de la formation. Par ailleurs, par convention entre le GRETA et l EPN, il est possible d envisager qu une partie de la formation soit assurée par l EPN (dans le cadre des ateliers?). L EPN serait alors l équivalent d un P@T (point d accès à la téléformation). La proposition est mise en attente et devra être examinée quand le référentiel du PIM2 sera paru. Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 14

7-4. B2i collège et PIM/NSI En préambule, il est important de noter que le référentiel du B2i vient d être entièrement réécrit, la note de service pour sa promulgation devrait sortir en juillet. Ainsi, pour l instant, aucune proposition concrète ne peut être faite quant à des passerelles éventuelles. Seules des pistes sont amorcées entre les B2i collège et lycée et les autres certifications : A terme, le B2I sera une certification reconnue même dans le monde du travail et la plupart des collégiens qui aura un B2i pourra le faire valoir dans la recherche d un emploi par exemple, dans ce cas la passerelle n a pas lieu d être. Mais tout cela dépend aussi de la communication qui sera faite autour du B2i auprès des entreprises. 7-5. B2i collège et B2i FC GRETA Il faut se poser la question en terme de publics. Le B2i est une attestation délivrée dans le cadre scolaire, donc il ne peut pas y avoir équivalence totale, cependant des passerelles de redirection peuvent être proposées. A terme, il faudra retravailler de façon plus fine sur le nouveau référentiel pour évaluer les possibilités réelles de passerelles. Le B2i intègre notamment de nouvelles compétences comme «je sais aider les autres» non traitée dans les autres certifications. La question qui se pose est la plus-value apportée à un titulaire du B2i collège de passer un B2i FC GRETA. Cette question est restée sans réponse pour l instant. 7-6. B2i-FCGRETA vers C2i Une proposition concrète est formulée par Christian Richebon et validée par Gérard Michel Cochard (cf. annexe 1). Elle se présente sous forme de tableaux comparant les domaines du B2iFCGRETA actuellement validés avec leur équivalence dans le référentiel du C2I et ainsi les modules de ce dernier restant à valider pour obtenir le C2i. Ces tableaux prennent en compte les différents niveaux du B2i FC GRETA, et dans la version finale proposent une simplification d affichage pour une meilleure lisibilité. L équivalence sera de fait sur le domaine A du C2i. Un positionnement sur le domaine B permettra de dispenser l individu de certains pans de la formation, ceci est d autant plus envisageable que le C2i est conçu pour le permettre. Cette proposition est accueillie très favorablement car elle est dans la mouvance actuelle du C2i de s ouvrir un public plus large qui souhaite valider des compétences acquises par la pratique (validation des acquis de l'expérience) ou qui souhaitent acquérir une certification dans le cadre d'un projet professionnel ; notamment, le C2i pourrait attester les compétences des animateurs d EPN. A charge pour les universités, centres certificateurs, de définir, pour chaque catégorie de public, le parcours de formation et la tarification qu elle pratiquera. Les chèques formation peuvent être utilisés dans ce cadre, un chèque de 50h permet de couvrir le processus de validation du C2i (positionnement+formation+évaluation). Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 15

L équivalence simplifiée pourrait être résumée ainsi : B2i FC GRETA dit "fondamental" B2i FC- GRETA Domaines validés D1 à D5 D6 et ou D7 et ou D8 C2i équivalence à valider A (A1 & A2) B (B1 à B7) 7-7. B2i lycée vers C2i Un système analogue au passage B2i FC GRETA vers C2i pourrait être possible. «Il faut qu un élève titulaire du Bac et qui entre à l université puissent valoriser les compétences acquises et ne valider que ce qui lui manque pour obtenir le C2i» Pour l instant le B2i lycée est à l état embryonnaire même si le référentiel existe, sa mise en œuvre n est pas effective. MC Milot propose d observer le déploiement et l éventuelle prise en compte au baccalauréat avant d envisager la passerelle avec le C2I. Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 16

8. CONCLUSION L objectif du groupe n était pas de trouver des équivalences à tout prix mais bien de réfléchir sur l opportunité d équivalences ou passerelles. Le premier travail de remise à plat du référentiel pour élaborer une version dans laquelle chacun se retrouve et fasse consensus a été une étape nécessaire et a permis d échanger et de partager les idées de chacun. Ce nouveau référentiel qui a été ainsi élaboré n est pas utilisable en tant que tel pour la mise en œuvre des certifications mais c est un outil pour les comparer entre elles et approfondir quand une opportunité d équivalence ou de passerelle existe. Pour cela, il a fallu juger de l intérêt pour l utilisateur final de ces équivalences ou passerelles, de leur pertinence à moyen terme, du nombre de personnes concernées (une passerelle intéresse toujours quelqu un mais ceci justifie t-il les investissements humains et financiers que sa mise en œuvre sous-tend). Pour le groupe, la passerelle B2I FC GRETA C2i est la seule pertinente à approfondir concrètement à l heure d aujourd hui. Il reste à discuter de la forme qu elle pourrait prendre : accord, convention, circulaire sachant qu elle est interne au Ministère de l Education. Le contexte actuel de remise en chantier des référentiels à la fois du B2i et du PIM a certes permis d amorcer des pistes de travail futures mais n a pas permis d élaborer des propositions concrètes. Certaines hypothèses émises au départ ont été abandonnées au fur et à mesure des annonces concernant ces travaux. Ce contexte réaffirme également que le travail qui a été mené est éphémère et devra être réactualisé au gré des différents travaux menés au sein de chaque certification. Enfin, l existence de ces brevets, passeports, certificats ne réside pas seulement dans le fait que les projets menés à l origine n ont pas été concertés. En effet, les publics et les modalités font que chacune a sa place dans le paysage et correspond à un besoin précis. Il faut cependant permettre à un individu intégrant un nouveau contexte de faire-valoir ses acquis et dans une moindre mesure d obtenir la certification relative à ce nouveau contexte. C est dans ce sens que les membres du groupe ont réfléchi et fait des propositions. D autres propositions seront certainement à élaborer dans quelques années quand le recul nécessaire sur les différentes certifications aura été pris et en fonction des évolutions technologiques et sociologiques qui ne manqueront pas de se produire.. Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 17

Annexe 1 Proposition de passerelle du B2i FC GRETA vers C2i. Tableaux élaborés par C. Richebon. cas n 1 B2i FC- GRETA Domaines validés équivalence C2i à valider B2i FC GRETA dit "fondamental" D1 A1 D2 A2 D3 B1 sauf B1.5 D4 B2 D5 aucune B1.5, B3, B4, B5, B6, B7 cas n 2 B2i FC- GRETA Domaines validés D1 équivalence A1 C2i à valider B2i FC GRETA dit "fondamental" D2 A2 D3 B1 sauf B1.5 D4 B2 D5 aucune B1.5, B3, B4.1, B4.2, B4.3, B4.4, B5, B6, B7 + D6 D6 B4.5 & B4.6 cas n 3 B2i FC GRETA dit "fondamental" B2i FC- GRETA Domaines validés D1 D2 équivalence A1 A2 D3 B1 sauf B1.5 D4 D5 B2 aucune + D7 D7 B5.1 & B5.2 C2i B1.5, B3, B4 B5.3, B6, B7 à valider Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 18

cas n 4 B2i FC- GRETA Domaines validés D1 équivalence A1 C2i à valider B2i FC GRETA dit "fondamental" D2 A2 D3 B1 sauf B1.5 D4 B2 D5 aucune B1.5, B3, B4.1, B4.2, B4.3, B4.4, B5.3, B6, B7 + D6 D6 B4.5 & B4.6 + D7 D7 B5.1 & B5.2 Proposition finale B2i FC GRETA dit "fondamental" B2i FC- GRETA Domaines validés D1 à D5 D6 et ou D7 et ou D8 C2i équivalence à valider A (A1 & A2) B (B1 à B7) Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 19

Annexe 2. Tableau récapitulatif multicritères des certifications Public visé Certification obligatoire Temps consacré à la formation Organisme habilité à délivrer la formation /engagement Ces organismes doivent-ils être habilités pour délivrer le certificat Temps consacré à la validation Modalités de validation des compétences Adresse où se procurer le modèle de certificat Les certificats sont-ils enregistrés PIM : Passeport pour l Internet et le Multimédia Tous publics NON 17h EPN (espaces publics numériques) NON Test constitué de 23 opérations de base et d un QCM de 10 questions. 30 min environ. Attestation des capacités de base à utiliser Internet, délivrée par les EPN à l issue d un test en présence d un animateur. Dossier du responsable d espace public www.delegation.internet.gouv.fr Numéro d enregistrement spécifique du PIM pour chaque usager et pour chaque EPN. CNI ou NSI Certificat de Navigation Internet (ou Naviguer Sur Internet) AFPA, APP, Demandeur s d emploi OUI 14h (28h pour certains publics Modalités de la formation initiation décrites dans la circulaire AFPA, APP, organismes conventionnés DRTEFP ou ANPE, CFPPA, missions locales PAIO sont habilités à délivrer le certificat (code d accès au serveur). Respect du référentiel des capacités de base et du cahier des charges à minima (conditions techniques, pédagogiques, d évaluation et de certification). Engagement de services (lieu dédié équipé + animateur + support pédagogique + méthode d apprentissage de 14h) OUI 1h Modalités décrite dans la circulaire DGEFP/DARES/AFPA/ANPE n 2005/17 du 19 avril 2005. 50% pratique sous forme d exercices sur Internet 50% théorie : 3 QCM de 6 questions Délivrance d un certificat de navigation Internet par l animateur. Circulaire DGEFP 2005/17 Utilisation d un modèle de certificat (fourni en ligne), et obligation de saisie des informations pour la délivrance du certificat et pour les statistiques (non nominatif) Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 20

Public visé Certification obligatoire Temps consacré à la formation Organisme habilité à délivrer la formation /engagement Ces organismes sont-ils habilités à délivré le certificat Temps consacré à la validation Modalités de validation des compétences Adresse où se procurer le modèle de certificat Les certificats sontils enregistrés B2i : Brevet Informatique et Internet (niveaux 1, 2 et 3) Enseigneme nt scolaire maternelle au lycée NON Formation au travers de la mise en œuvre des compéten ces lors d activité s d enseigne ment. Formation tout au long des années depuis la maternell e Ecoles et établissements Prise en charge par les enseignants OUI Tout au long de la scolarité Il faut valider 80% des compétences dans chaque domaine du référentiel pour obtenir le brevet Référentiel de compétences B2i intégré aux programmes de l enseignement primaire depuis 2002 Au collège, aucune discipline en particulier n est responsable des apprentissages (en pratique plutôt dans les enseignements type documentation, maths et technologie. MAJ successives depuis 2004 intègre compétences B2i dans tous les prog. Attestation de maîtrise de compétences dans le domaine des TIC délivrée par l établissement à l issue de validation des compétences tout au long du cursus scolaire. Utilisation par l équipe pédagogique de feuilles de suivi individuel appelées «feuilles de position» dont le modèle est annexé à la note. L obtention du B2i n influe pas sur le passage en classe supérieure. Existence d un modèle d attestation à remettre à l élève avec le tampon de l établissement. http://eduscol.edu cation.fr/d0053/ documents.htm NON Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 21

Public visé Certification obligatoire Temps consacré à la formation Organisme habilité à délivrer la formation /engagement Ces organismes sont-ils habilités à délivré le certificat Temps consacré à la validation Modalités de validation des compétences Adresse où se procurer le modèle de certificat Les certificats sont-ils enregistré s B2i FC GRETA Adultes en formation continue des GRETA NON Selon le niv de connaissa nces au départ : 7 à 70h pour le B2iFC GRETA «fondam ental» 7 à 140h pour le B2I FC GRETA complet GRETA, CFPPA par convention, APP, PJJ et tout organisme Pas d engagement OUI pour GRETA et CFPPA, NON pour les autres (s appuie sur le GRETA) Validation ponctuelle : 2 à 3 h pour le B2iFC GRETA «fondamental» Validation par contrôle en cours de formation : temps non évalué Mise en situation + QCM pour les 8 domaines Il faut fournir 60 à 80 % de bonnes réponses pour valider un domaine B2i FC GRETA «fondamental» : validation domaines 1 à 5 Reconnaissance de capacités effectuée au plus près du terrain (pendant les stages, les formations professionnelles ou spécifiques). Attestation de maîtrise de capacités (modèle) délivrée par l organisme habilité. Pas d influence de l obtention sur accès à des stages professionnels ou passage d un organisme de formation à un autre. B2i FC GRETA constitué de 8 domaines mais seuls les 5 premiers sont nécessaires pour la délivrance de l attestation. Existence d un référentiel des capacités du B2i FC GRETA, (évaluation et durée de la formation). www.eduscol. education.fr NON Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 22

Public visé Certifica tion obligatoir e Temps consacré à la formation Organisme habilité à délivrer la formation /engagement Ces organism es sontils habilités à délivré le certifica t Temps consacré à la validatio n Modalités de validation des compétences Adresse où se procurer le modèle de certificat Les certificats sont-ils enregistré s C2i : Certificat Informatique et Internet (niveaux 1 et 2) Etudiants de l enseignement supérieur personnels enseignants et IATOS, stagiaires en FC universitaire, élèves et étudiants hors universités (classes préparatoires, section de techniciens supérieurs, élèves d'écoles d'ingénieur,...) OUI pour le C2i enseignan t Formation préparatoire dans la mesure du possible, dès la 1ere année du cycle licence Env 50h Tous les établissements d enseignement sup proposant des maquettes agréées de formation universitaires conformes au schéma LMD : satisfaire au cdc, valider toutes les compétences, mesures et dispositions de la circulaire appliquées. Existence d un correspondant chargé d organiser la formation et la certification Pondération des domaines de compétences : précisée dans la circulaire oui 1h env pour l épreuve théoriqu e Variable pour la partie pratique Tout au long du cursus scolaire Epreuves théoriques : QCM série de questions sur chaque domaine du référentiel (9 au total) Epreuves pratiques : à l'initiative du centre certificateur mais portant sur les 7 domaines de compétences instrumentales du référentiel. La circulaire du 7 avril 2005 indique les poids respectifs des domaines de compétences du référentiel et propose une répartition (2/3 pour l'épreuve pratique ; 1/3 pour l'épreuve théorique) Niveau 1 est exigible pour la titularisation des professeurs des écoles. Universités choisissent les modalités d acquisition des compétences et de passage de l épreuve de validation dans respect du cahier des charges (validation par les instances décisionnelles de l établissement). Formation C2i conseillée dans cadre du LMD mais pas obligatoire. Objectif : C2i niv1 obtenu avant la fin du cycle L Niveau 2 : validation de compétences professionnelles. C2i enseignant : expérimentation en cours (2004-2005) C2i métiers du droit : expérimentation en 2005-2006. Certificat délivré par un jury de l établissement. Possibilité de dispense. Certificat dispo aupres des correspondant C2i ou responsables nationaux C2i http://www.c2i.education.fr/ C2i : BO 15 du 14 avril 2005 : Circulaire n 2005-051 du 7 avril 2005 BO 19 du 9 mai 2002 : Circulaire n 2002-106 du 30 avril 2002 BO 24 du 17 juin 2004 : Circulaire n 2004-089 du 4 juin 2004 (certification du C2i niv1) C2i «métiers du droit» circulaire n 2004-090 du 9 juin 2004 (BO24) C2i enseignant : BO du 11 mars 2004 : Circulaire n 2004-46 du 2 mars 2004 BO du 16 décembre 2004 : Circulaire n 2004-216 du 3 déc 2004 C2i «métiers de la santé», en cours de création NON Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 23

Annexe 3 : Circulaire C2i du 7 avril 2005 et référentiel Enseignement supérieur, recherche et technologie CERTIFICAT INFORMATIQUE ET INTERNET Certification C2i, niveau 1 : contenus, modalités de validation et suivi de la généralisation NOR : MENT0500561C RLR : 434-5d CIRCULAIRE N 2005-051 DU 7-4-2005 MEN DT B3 Défini par la circulaire n 2002-106 du 30 avril 2002 parue au B.O. n 19 du 9 mai 2002 et expérimenté sur 38 établissements durant l année universitaire 2003-2004, le certificat informatique et internet (C2i ) niveau 1 est maintenant généralisable sur l ensemble des établissements de l enseignement supérieur. Cette circulaire a pour objet de préciser les conditions de la généralisation du C2i niveau 1 par ces établissements. Elle comprend un rappel des dispositions antérieures, des précisions et des compléments relatifs à la mise en œuvre de la certification. Établissements habilités Sont habilités à délivrer le certificat C2i niveau 1 tous les établissements d enseignement supérieur proposant des maquettes agréées de formations universitaires conformes au schéma LMD. Les établissements habilités peuvent décerner la certification C2i niveau 1 aux conditions suivantes : - satisfaire au cahier des charges défini dans la circulaire n 2004-089 du 4-2004 parue au B.O. n 24 du 17 juin 2004 ; - valider l ensemble des compétences décrites dans le référentiel défini ci-après ; - prendre en compte les mesures et dispositions indiquées dans cette circulaire et applicables à la rentrée 2005. Public concerné Sont admis à se présenter à la certification C2i niveau 1 tous les étudiants engagés dans une formation de l enseignement supérieur et inscrits régulièrement dans un établissement universitaire. Peuvent être également admis à se présenter à la certification C2i niveau 1 : - les élèves des classes préparatoires aux grandes écoles et de sections de techniciens supérieurs. Dans ce cas une convention entre l établissement universitaire certificateur et l établissement de rattachement des élèves concernés définira les modalités de préparation et d organisation de la certification ; - les publics de formation continue intégrés dans des formations universitaires diplômantes ou qualifiantes ou souhaitant simplement obtenir une validation de leurs compétences Informatique et internet. Les personnels scolaires et universitaires, toutes catégories confondues, sont incités, à ce titre, à faire certifier leurs compétences Informatique et internet. Formation préparatoire à la certification La préparation à la certification doit, dans la mesure du possible, débuter au cours de la première année du cycle licence (année L1). De manière souhaitable, les enseignements relatifs à la préparation de la certification C2i niveau 1 seront intégrés dans les maquettes LMD des établissements. Il est rappelé à ce sujet que l article 14 de l arrêté du 23 avril 2002 sur les études universitaires conduisant au grade de licence prévoit un apprentissage de l utilisation des outils informatiques. Comme l indique la circulaire n 2004-089 du 4 juin 2004, si le C2i niveau 1 est inclus dans un diplôme, il figure au supplément du diplôme, sinon il est considéré comme un certificat séparé. En référence à l article 14 cité ci-dessus, après évaluation du niveau des candidats, un enseignement adapté sera proposé. La formation préparatoire prendra donc en considération les acquis des candidats, notamment ceux qui sont détenteurs d un B2i. Modalités de certification Tout postulant à la certification C2i niveau 1 doit faire acte de candidature dans un cadre déterminé par l établissement habilité. Les modalités de certification comprennent deux parties : Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 24

- une épreuve théorique de validation des compétences sur la base de réponses apportées à un questionnaire couvrant les 9 domaines du référentiel national. Ce questionnaire pourra être constitué par recours à une banque nationale de questions alimentée en concertation avec les établissements certificateurs. L évaluation correspondant à cette partie entrera pour un tiers dans l évaluation totale ; - une épreuve pratique de validation des compétences, organisée par l établissement certificateur et couvrant les 7 domaines de compétences spécifiques et instrumentales du référentiel national. L évaluation correspondant à cette partie entrera pour deux tiers dans l évaluation totale. Sous réserve de ces conditions, l établissement certificateur a toute liberté dans le choix des épreuves et dans l organisation de celles-ci. Il est conseillé de baser l épreuve pratique, pour les étudiants de formation initiale, sur une utilisation concrète des outils informatiques et des réseaux dans le cadre de leurs études (rédaction de mémoire ou confection de dossiers, travail en groupe, techniques d expression et de communication,...). Au plan d un établissement certificateur, les modalités précises de certification, dans le cadre défini ci-dessus, feront l objet d une validation par les instances décisionnelles de l établissement habilité. Ces modalités, valables globalement pour l établissement, devront être applicables à tout candidat à la certification. Les certifications seront délivrées par un jury désigné par le responsable de l établissement certificateur et présidé par un enseignant- chercheur. La délivrance de la certification prendra en compte l importance relative des différents domaines de compétences du référentiel national comme indiqué dans le tableau ci-après. Pourront être dispensés de certaines épreuves, les candidats ayant obtenu des certifications avérées dans un ou plusieurs domaines de compétences du référentiel national. Référentiel national du C2i niveau 1 Le référentiel national du C2i niveau 1 comprend deux parties : la première décrit les compétences générales et transversales visées par la certification, la seconde définit les différents domaines de compétences et les savoirs spécifiques et instrumentaux qui y sont associés. La certification du C2i niveau 1 doit associer la partie générale et transversale et la partie spécifique et instrumentale. Le tableau ci-après décrit les différents domaines du référentiel national. Domaine de compétences A1 - Tenir compte du caractère évolutif des TIC 1 Aptitudes générales et transversales Être conscient de l évolution constante des TIC et de la déontologie qui doit leur être associée, et capable d en tenir compte dans le cadre des apprentissages. Pondératio n 2 3 Prendre conscience des nécessaires actualisations du référentiel du C2i niveau 1. Travailler dans un esprit d ouverture et d adaptabilité (adaptabilité aux différents environnements de travail, échanges). * 4 Tenir compte des problèmes de compatibilité, de format de fichier, de norme et procédure de compression et d échange. A2 - Intégrer la dimension éthique et le respect de la déontologie 1 Respecter les droits fondamentaux de l homme, les normes internationales et les lois qui en découlent. 2 Maîtriser son identité numérique. 3 Sécuriser les informations sensibles - personnelles et professionnelles - contre les intrusions frauduleuses, les disparitions, les destructions volontaires ou involontaires. 4 Assurer la protection de la confidentialité. *** 5 Faire preuve d esprit critique et être capable d argumenter sur la validité des sources d information. 6 Mettre en œuvre des règles de bons comportements, de politesse et de civilité. 7 Comprendre et s approprier des chartes de comportement. Mise en cohérence des certifications informatiques et internet soutenues par l Etat Page 25