Pour l investisseur privé FIDELITY Publication 2013 Passer à l action : comment investir et quel investissement choisir?
Une philosophie de l investissement basée sur la connaissance Fidelity Worldwide Investment est l un des plus gros intervenants du monde dans le domaine des stratégies actives d investissement et des régimes de retraites pour les clients professionnels, les entreprises et les particuliers. La société gère actuellement un portefeuille d actifs de *289 milliards de dollars américains. Fidelity a opté pour une politique d investissement active : nous sommes convaincus que c est par une connaissance indépendante et approfondie des actifs que passe la valeur ajoutée. La société dispose à cet effet de centaines de chercheurs et analystes dans le monde entier. C est sur la base de leurs travaux que nos gestionnaires de portefeuille sélectionnent les entreprises les plus prometteuses. La philosophie de Fidelity en matière d investissement repose sur la connaissance de milliers d entreprises représentant plus de 95 % du marché boursier mondial. Pour les actions, cela signifie que l investissement n est pas dominé par une vision unique. C est sur la base des recherches de nos analystes que les gestionnaires de portefeuille décident de l approche à adopter et sélectionnent les investissements appropriés. Pour les obligations, les investissements sont ventilés sur diverses * Données au 31-3-2013 TABLE DES MATIÈRES Gestion d actifs Une philosophie 3 Comment investir? 5 Où investir? 6 La renaissance de l Occident 7 Démographie 8 L art de la politique monétaire 9 Conclusion 10 Colophone Production: Fidelity Worldwide Investment, RedactiePartners (FD Mediagroep), Geert Dekker, Nick Armet, Mariska Schotman. Source: plusieurs publications écrites par Fidelity. 3
sources de revenus, les stratégies pouvant varier en fonction des catégories d actifs et de la durée du placement. Là aussi, les décisions du gestionnaire de portefeuille sont basées sur son expertise et son intime conviction, la maîtrise des risques étant le fil conducteur de la composition du portefeuille. Fidelity applique ici entre autres le principe ERC (equal risk contributions), ce qui signifie que le facteur déterminant lors de la pondération d une certaine catégorie de titres dans un portefeuille n est pas le rendement de cette catégorie mais le risque que cette catégorie ou ce titre présente. Les origines de Fidelity Bien que les origines de Fidelity se trouvent aux États-Unis, c est pour servir les marchés européens et asiatiques que l entreprise fut fondée en 1969. Plus de quarante ans plus tard, le fichier clientèle compte quelque 7 millions d institutions et de particuliers. L échelle à laquelle opère Fidelity et sa présence locale sur les marchés importants lui permettent de se distinguer. Nos analystes et gestionnaires de fonds sont basés entre autres à Londres, Paris, Francfort, Milan, Bombay, Singapour, Hong- Kong, Shanghai, Taipei, Séoul, Sydney, Tokyo, Sao Paulo et aux Bermudes. Construction du portefeuille Sélection des titres Valorisation Recherches fondamentales Autonomie et indépendance Fidelity a un actionnariat privé, essentiellement détenu par ses propres dirigeants, ce qui en fait une organisation autonome et indépendante, parfaitement libre d opter pour une stratégie à long terme. Les dizaines d années d expérience de Fidelity, l ampleur de l organisation et son expertise expliquent la position unique que cette éminente société de gestion de patrimoines occupe sur le marché. 4
Comment investir? L incertitude perd du terrain Les marchés boursiers ont été à partir de 2007 dominés par une série de crises. Crise du crédit, crise bancaire et crise de la dette dans la zone euro ont débouché sur une récession économique, entraînant une chute des revenus et une flambée du chômage. Le doute s est largement installé quant aux fondements économiques, politiques et financiers de la société dans son ensemble. Une telle incertitude ne s était plus manifestée depuis la Grande Dépression des années trente du siècle dernier, et cette incertitude s est emparée des marchés des capitaux. La formation des cours semblait ne plus dépendre que des aléas macroéconomiques et le lien entre la valeur des actions et l économie réelle avait tendance à s estomper. Mais cette «dictature de l incertitude» montre aujourd hui des signes qui semblent annoncer sa fin prochaine. Les interventions des banques centrales ne suscitent plus de réactions aussi vives et les économies et marchés retrouvent leur propre rythme. En 2013, l investissement est redevenu une question de choix. L évolution des cours est de nouveau beaucoup plus influencée par les différences entre régions, pays, secteurs et entreprises. Agir ou attendre? Fidelity a la conviction que l heure est à la gestion active des investissements. L attentisme est désormais sanctionné. Une gestion active permet d éviter les risques de chute des cours et de volatilité. Les opportunités sont de surcroît en train de se multiplier. C est sur base de la recherche de centaines d analystes qui suivent de très près des milliers d entreprises que nos gestionnaires de portefeuille sélectionnent les actions les plus prometteuses. Et ils choisissent de façon active! 5
Où investir? Deux marchés, deux vitesses Lorsque l incertitude au niveau macro perd du terrain, le choix de la gestion active s impose à la raison. Mais comment choisir? Quelles opportunités la gestion active met-elle à la portée de notre main? Quels sont les dangers à éviter? Pour répondre à ces questions, il convient en premier lieu de comprendre que nous vivons dans un monde à deux vitesses. Tandis que les économies développées stagnent, les économies émergentes poursuivent sur la voie de la croissance. Marchés émergents : croissance par étapes Nous assisterons très probablement au cours des dix prochaines années à un glissement du pouvoir, de l influence et de la puissance économique des pays développés (avec leurs dettes) vers les marchés émergents. La crise du crédit aura été le moment charnière : alors que les économies développées stagnaient, la croissance se poursuivait en Asie, en Amérique latine et dans un groupe restreint de pays africains. La croissance des économies émergentes ne sera plus à deux chiffres, comme entre 2003 et 2008, mais la Chine et le Brésil, avec des taux de croissance de 5 à 8%, revendiquent à juste titre un rôle de grande puissance dans l économie mondiale. Faut-il alors tout investir dans les marchés émergents? La conclusion serait prématurée. Les marchés ne progressent que rarement en ligne droite et de nombreux signes montrent que l évolution des économies émergentes sera très diversifiée. Nous constatons aujourd hui qu une économie chinoise exclusivement basée sur l exportation conduit à des déséquilibres. Le développement économique de «l empire du Milieu» doit être réorienté sur le marché domestique de la consommation, réorientation rendue possible par la forte augmentation des salaires, surtout depuis 2007. Cela n entraînera pas seulement un ralentissement de la croissance économique mais en modifiera également la composition. La demande chinoise en matières premières diminuera, tandis que l on assistera à une augmentation de la demande en biens de consommation, tant d importation que Augmentation de la diversité régionale 700 600 500 400 300 200 100 0 Marchés émergents de l Asie Marchés émergents de l Europe, du Moyen-Orient et de l Afrique Marchés émergents de l Amérique latine 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 «made in China». Les conséquences de cette évolution seront considérables pour les pays qui entretiennent d étroites relations commerciales avec la Chine. Anticiper sur les tendances de demain Les divers pays émergents affichent d importantes différences structurelles. La notion de pays BRIC* est aujourd hui dépassée : les économies brésilienne, russe, indienne et chinoise évoluent dans des directions tellement différentes qu elles ne peuvent plus être considérées comme formant un même bloc. Les facteurs politiques et socioculturels occupent ici le devant de la scène. La qualité des législations et réglementations, du contrôle exercé et de la gouvernance d entreprise revêt une importance majeure dans l efficacité et la rentabilité des marchés boursiers des économies émergentes. Et les écarts entre les pays Source: Datastream 15-11-2012 ont plus tendance à se creuser qu à se combler. La complexité des circonstances dans les économies émergentes ne leur permettent donc plus de former un bloc homogène. Par conséquent, il est aujourd hui déconseillé d investir de façon passive, par exemple dans les indices, car cela ne permet pas d exclure les facteurs de risques spécifiques. L investissement actif est en revanche basé sur le potentiel futur des entreprises et non sur l extrapolation des tendances passées, comme c est le cas pour la méthode passive. Les actions sont sélectionnées sur la base d une recherche fondamentale qui tient compte de facteurs spécifiques au marché et à l action. Telle est, selon Fidelity, la meilleure stratégie pour investir sur les marchés émergents. * Fidelity In Perspective: Emerging Markets: The Free Lunch is over: It s time to get active in Emerging Markets, November 2012 6
Marchés développés : la renaissance de l Occident Les économies occidentales sont en train de déblayer les décombres laissées par la crise financière. Selon les prévisions, ce processus devrait durer encore plusieurs années. La réduction de la dette est au cœur des préoccupations, tant chez les particuliers qu au sein des institutions financières et des pouvoirs publics. Quelle sera la réaction de ces derniers? Vont-ils opter pour un financement de la dette par la planche à billets, comme le font les États-Unis, ou pour sa réduction par l austérité, comme avaient commencé de le faire les pays européens? Dans les deux cas, la réduction de la dette est une question d équilibre. Faire tourner la planche à billets ne fonctionne que si la croissance économique est au rendez-vous, mais le danger de l inflation reste toujours en embuscade. Se serrer la ceinture a au contraire pour effet de freiner la croissance. Divers pays européens optent donc maintenant pour une combinaison entre la planche à billet et la ceinture. Quoi qu il en soit, les analystes sont d accord sur le fait que la réduction de la dette restera encore longtemps un facteur déterminant pour le développement économique des pays occidentaux. Renaissance industrielle Les investisseurs doivent-ils pour autant tourner le dos à l Occident? Là aussi, la conclusion serait prématurée car la situation financière des entreprises est saine dans l ensemble en Occident, où les économies sont innovantes et techniquement très avancées. 70 % des dépenses mondiales en recherche et développement sont à mettre sur le compte des économies occidentales. Des 50 entreprises les plus innovantes, 44 sont implantées dans des pays développés. Par ailleurs, les marques les plus performantes sont également pour la plupart originaires de l Occident. Qu il s agisse du secteur alimentaire, des soins corporels, des biens de luxe ou de l automobile, les entreprises européennes jouissent d une excellente réputation en matière de qualité. À cela s ajoutent encore l évolution de l onshoring (le rapatriement de la production autrefois délocalisée) et de l exploitation des gaz de schiste. Les réserves américaines exploitables en gaz de schiste sont par exemple quatre fois supérieures à celles de l Arabie saoudite. Les prix de l énergie ont déjà chuté aux États-Unis, ce dont la compétitivité de l économie américaine ne peut que profiter. Les attentes sont considérables : l exploitation du gaz de schiste se traduirait dès 2020 par une augmentation du PIB de 2 à 3 points. Tous ces facteurs montrent clairement qu une renaissance industrielle est loin d être improbable dans les économies développées. 7
Où investir? Démographie et inflation, les maîtres du jeu Outre un monde à deux vitesses, deux autres facteurs dominants à moyen et à long terme méritent notre attention : l évolution démographique, moteur de la croissance économique, et la menace de l inflation. Des tendances démographiques lourdes de conséquences Comment les gens vivent-ils, quelle est leur espérance de vie, où habitent-ils et où dépensent-ils leur argent? Les réponses à ces questions revêtent pour les investisseurs une importance capitale. Les conséquences de l évolution démographique* sont en effet complexes. Ce sont de façon générale surtout les secteurs des biens de consommation et des soins de santé qui pourront profiter de l évolution démographique actuelle. La pyramide des âges d une population et sa répartition géographique (domicile, travail) sont souvent considérés comme étant le moteur de l évolution à long terme sur les marchés boursiers. Dans les économies développées, la question démographique centrale est celle du vieillissement. La prospérité et l amélioration des systèmes de soins de santé ont débouché sur une réduction à la fois de la mortalité et de la natalité. Le vieillissement de la population conduit à sa contraction, comme on le constate au Japon, et cette tendance aura pour conséquence une contraction de l économie nippone. Pour les investisseurs, le Japon restera alors probablement un marché où la sélection des titres devra être prudente et tactique. En Occident, le départ à la retraite des enfants du baby-boom se traduit sur les Grande partie de la population âgée de 60 ans ou plus Population de 60 ans ou plus % de la population entière 35 30 25 20 15 10 5 0 Monde Pays plus développés Pays moins développés 1960 1975 2000 2012 2050 Source: Nations Unies, World Population Ageing 1950-2050 ; Population Ageing and Development 2012 marchés boursiers par la manifestation d un intérêt croissant pour les placements générateurs de revenus, c est-à-dire les obligations et les actions distributrices de dividendes. L époque où le seul objectif était l augmentation du patrimoine est révolue : le capital doit aujourd hui générer la pension de retraite souhaitée. Boom de population active Les économies émergentes se trouvent dans une situation totalement différente. En Inde, au Brésil, en Russie et en Turquie, une population jeune et en pleine croissance crée un fantastique potentiel d investissement. Ces pays atteindront bientôt le sommet de la vague en ce qui concerne l ampleur relative de leur population active (les 15 à 64 ans), tandis que le pouvoir des consommateurs continue de s accroître. Cela est également vrai pour la Chine, mais ce pays s est placé dans une situation tout à fait particulière du fait de sa politique de l enfant unique. C est en effet à une génération d enfants uniques qu incombera plus tard la tâche de nourrir deux parents retraités. Exode rural La ruée vers les villes est une deuxième tendance démographique dont l impact sur les économies émergentes est considérable. L exode rural y prend souvent la forme de migrations de masse. Au cours des 20 prochaines années, la population urbaine du monde augmentera selon les prévisions de 700 millions à 1 milliard d individus, avec toutes les pressions que cela suppose pour les infrastructures. Routes, voies ferrées, réseaux de distribution d eau et d électricité et télécommunications devront être élargis ou construits. Le rôle du secteur privé dans le financement de ces infrastructures prend chaque jour plus l importance. L Inde en est le meilleur exemple. Il s agit d une des économies qui connaît le rythme de croissance le plus rapide du monde, rythme que les infrastructures n ont pas pu suivre. Le gouvernement indien a annoncé des plans d investissement dans les infrastructures pour un montant de 500 milliards de dollars américains. Le secteur de l énergie et des transports absorbe à lui seul 60 % de ce budget. * Fidelity Analyst Survey 2013: Investment thinking for tomorrow s world, January 2013 8
L inflation : l art de la politique monétaire L inflation et la peur de l inflation sont des thèmes omniprésents sur les marchés boursiers. Les centaines de milliards de dollars et d euros injectés par les banques centrales dans l économie pour éviter son effondrement sont suspendus au-dessus des marchés comme une épée de Damoclès. Comment les investisseurs peuvent-ils en tenir compte? Les mesures des banques centrales ont débouché sur une augmentation substantielle de la masse monétaire. Tant que les banques et les gouvernements conservent cet argent, la situation reste contrôlable. Mais s il est mis en circulation, l inflation s envolera. Peut-on l éviter? Il faudra pour cela maîtriser tout l art de la politique monétaire. Il appartient à la banque centrale de décider du moment où l économie aura suffisamment repris pour que l argent prêté aux banque puisse être effectivement mis en circulation. La banque centrale réclamera alors le remboursement des prêts consentis aux institutions financières et la masse monétaire se réduira. Si la banque centrale prend cette décision trop tôt, elle étouffera la reprise économique dans l œuf. Si elle le fait trop tard, l inflation prendra le dessus. Ce sont des considérations similaires qu il convient de faire pour choisir le moment où les obligations d État acquises peuvent être remises sur le marché. L économie ne se réduit pas à la théorie* La mesure dans laquelle les marchés font confiance aux banques centrales est un facteur que les investisseurs ne doivent jamais perdre de vue. Personne ne doute des excellentes connaissances théoriques des décideurs quant au timing à observer. Mais les investisseurs savent aussi que l économie n est pas un exercice théorique. La pratique est complexe, parfois même chaotique. Les banques centrales sont-elles vraiment en mesure de prendre les bonnes décisions dans des circonstances difficiles? À l heure où nous écrivons, les prévisions quant à l inflation à moyen terme montrent que cette confiance existe bel et bien. Lorsque les risques augmentent, les placements fortement liés à l inflation offrent une bonne protection. Les matières premières sont les valeurs les plus étroitement liées à l inflation, suivies de l immobilier. Les investissements dans les ressources naturelles (pétrole, gaz, eau et bois) peuvent également suivre de près les fluctuations de prix, tandis que les infrastructures sont aussi une catégorie d investissements envisageable. * Fidelity Analyst Survey 2013: Investment thinking for tomorrow s world, January 2013 9
Conclusion Investir en 2013 est une question de choix. Si, au cours de ces dernières années de crise mondiale, les marchés ont été essentiellement dominés par une grande incertitude, de nombreux signes montrent aujourd hui que les entreprises et les états sont en train de se libérer de ce joug. Mais quels pays et quelles entreprises? Une gestion active basée sur la recherche fondamentale est impérative pour pouvoir faire les bons choix en matière d investissement. Ce ne sont pas les opportunités qui manquent, tant dans les marchés émergents que dans les économies développées. Beaucoup fixent bien sûr leur attention sur la Chine, deuxième économie du monde. La transition décidée d une économie de la production à une économie de la consommation aura des conséquences très importantes pour les exportateurs. L évolution de la gouvernance d entreprise est également à surveiller de près, tant en Chine que sur les autres marchés émergents. Quelles sont les entreprises capables d offrir les garanties et l engagement envers les actionnaires que les investisseurs occidentaux attendent? Les économies occidentales semblent à présent être paralysées par la stagnation. Mais celui qui y regarde de plus près verra que de solides bases subsistent : la course à la compétitivité n a pas vraiment faibli, basée sur la technologie, l innovation et le talent commercial. La poursuite du gel des salaires et les perspectives ouvertes par l extraction du gaz de schiste sont également des coups de pouce très utiles à l occident. Faut-il s inquiéter de l évolution démographique et de la menace d inflation? Fidelity préfère souligner que ces deux points sont surtout générateurs d opportunités pour les investisseurs, et cela est valable pour pratiquement tous les développements survenus ces derniers mois. L époque où les marchés ne réagissaient qu aux signaux liés aux incertitudes macropolitiques est révolue. Investir en 2013, c est croire au potentiel futur des actions individuelles. Et la gestion active permet de mettre à jour ce potentiel. Telle est l intime conviction de Fidelity. 10
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