Introduction Intégration régionale et croissance: Le cas de l Afrique Centrale DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph 11 octobre 2013 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 1 / 16
Plan Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 1 Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 2 Méthodologie et données Présentation des résultats 3 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 2 / 16
Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16
Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16
Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16
Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16
Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16
Introduction Intérêt de l étude Contexte et intérêt de l étude Problématique Constat Impact de l intégration sur la croissance économique insuffisamment appréhendé en Afrique Centrale. Intérêt La quantification de son impact sur la croissance en Afrique Centrale. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 4 / 16
Introduction Intérêt de l étude Contexte et intérêt de l étude Problématique Constat Impact de l intégration sur la croissance économique insuffisamment appréhendé en Afrique Centrale. Intérêt La quantification de son impact sur la croissance en Afrique Centrale. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 4 / 16
Introduction Intérêt de l étude Contexte et intérêt de l étude Problématique Constat Impact de l intégration sur la croissance économique insuffisamment appréhendé en Afrique Centrale. Intérêt La quantification de son impact sur la croissance en Afrique Centrale. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 4 / 16
Problématique Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Questions de recherche L intégration régionale est-elle source de croissance économique en Afrique Centrale? Si oui, dans quelles proportions? Quelles sont les dimensions de l intégration régionale qui contribuent le plus à la croissance en Afrique centrale? Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 5 / 16
Problématique Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Questions de recherche L intégration régionale est-elle source de croissance économique en Afrique Centrale? Si oui, dans quelles proportions? Quelles sont les dimensions de l intégration régionale qui contribuent le plus à la croissance en Afrique centrale? Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 5 / 16
Problématique Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Questions de recherche L intégration régionale est-elle source de croissance économique en Afrique Centrale? Si oui, dans quelles proportions? Quelles sont les dimensions de l intégration régionale qui contribuent le plus à la croissance en Afrique centrale? Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 5 / 16
Plan Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats 1 Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 2 Méthodologie et données Présentation des résultats 3 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 6 / 16
Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16
Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16
Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16
Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16
Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16
Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16
Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16
Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16
Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16
Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16
Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16
Résultats (1) Fonctions de réponse impulsionnelles Modèle 1 Réponse positive instantanée du taux du croissance du PIB par tête à un choc sur l intégration régionale, qui s accentue à la deuxième année et s estompe sur le reste de la période. FIGURE: Réponse de la croissance à un choc sur l intégration
Résultats (1) Fonctions de réponse impulsionnelles Modèle 1 Réponse positive instantanée du taux du croissance du PIB par tête à un choc sur l intégration régionale, qui s accentue à la deuxième année et s estompe sur le reste de la période. FIGURE: Réponse de la croissance à un choc sur l intégration
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Effet positif différé sur la croissance économique d un choc sur le libre échange, qui atteint son pic à la deuxième année et se stabilise sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Effet positif différé sur la croissance économique d un choc sur le libre échange, qui atteint son pic à la deuxième année et se stabilise sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive instantanée de la croissance économique suite à un choc sur l union douanière, qui augmente légèrement sur les deux premières années suivant le choc pour se stabiliser sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive instantanée de la croissance économique suite à un choc sur l union douanière, qui augmente légèrement sur les deux premières années suivant le choc pour se stabiliser sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse initiale négative de la croissance suite à un choc sur l union économique, qui devient faiblement positive sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse initiale négative de la croissance suite à un choc sur l union économique, qui devient faiblement positive sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive très forte de la croissance suite à un choc sur l union économique totale, qui est atténuée sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive très forte de la croissance suite à un choc sur l union économique totale, qui est atténuée sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires
Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.
Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.
Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.
Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.
Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.
Plan Introduction 1 Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 2 Méthodologie et données Présentation des résultats 3 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 12 / 16
Introduction Principaux résultats 1 Impact globalement positif de l intégration économique sur la croissance, d une amplitude de 16.96% sur une période de 10 ans ; 2 Impact sur la croissance plus significatif de l union économique et de l union économique totale ; 3 Impact positif, de plus faible amplitude mais persistant du libre échange et de l union douanière. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 13 / 16
Introduction Principaux résultats 1 Impact globalement positif de l intégration économique sur la croissance, d une amplitude de 16.96% sur une période de 10 ans ; 2 Impact sur la croissance plus significatif de l union économique et de l union économique totale ; 3 Impact positif, de plus faible amplitude mais persistant du libre échange et de l union douanière. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 13 / 16
Introduction Principaux résultats 1 Impact globalement positif de l intégration économique sur la croissance, d une amplitude de 16.96% sur une période de 10 ans ; 2 Impact sur la croissance plus significatif de l union économique et de l union économique totale ; 3 Impact positif, de plus faible amplitude mais persistant du libre échange et de l union douanière. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 13 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16
Limites Introduction Non disponibilité des données 1 Omission de Sao-Tomé et Principe de l échantillon ; 2 Résultats entièrement dépendants de la qualité des indices composites utilisés. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 15 / 16
Limites Introduction Non disponibilité des données 1 Omission de Sao-Tomé et Principe de l échantillon ; 2 Résultats entièrement dépendants de la qualité des indices composites utilisés. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 15 / 16
MERCI POUR VOTRE AIMABLE ATTENTION. THANK YOU FOR YOUR KIND ATTENTION.