Intégration régionale et croissance:



Documents pareils
Formations EViews FORMATIONS GENERALES INTRODUCTIVES INTRO : INTRODUCTION A LA PRATIQUE DE L ECONOMETRIE AVEC EVIEWS

Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe

Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA

1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles

QU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC?

Corefris RAPPORT ANNUEL Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010

Consommation et investissement : une étude économétrique

1 Définition de la non stationnarité

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique

Epargne : définitions, formes et finalités.

NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1

Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO

Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro?

Le risque Idiosyncrasique

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Simulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE LA COMMISSION

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

Evaluation de l impact des indicateurs du. Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Le rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels

Projet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie

Ameth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages

L activité financière des sociétes d assurances

L Afrique Centrale et le FGI

ANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ. SQEP 18 novembre 2011

TD n 1 : la Balance des Paiements

Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?

La montagne n aura pas accouché d une souris à Bruxelles, tant étaient

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO

Résultats session de rattrapage Cursus L3

Recensement triennal sur l activité du marché de change et des produits dérivés

Les conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI

Mesure agnostique de la qualité des images.

transmission entre économies?

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?

Le montant des garanties constituées aux fins du STPGV est-il excessif?

ETAT DE L INTÉGRATION EN AFRIQUE. Troisième Publication Commission de l Union africaine Juillet 2011

LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

La prévision est un art difficile de manière générale, mais c est

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles

INDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE

Dissertation 13. L intégration économique puis monétaire des pays européens a-t-elle favorisé la croissance des pays membres de

Les indices à surplus constant

Objectif : Appréhender le fonctionnement d'une solution bancaire libre. Auteur : Yann Geffrotin Dernière révision : 15 octobre 2008

Solution de stress test Moody s Analytics

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette Objectif

Mémoire d actuariat - promotion complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.

Vérification de la fonction de trésorerie

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?


La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

CAHIER DE RECHERCHE DE LA BRH

Le FMI et son rôle en Afrique

Énergie et Mondialisation

L ANALYSE COUT-EFFICACITE

Quel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro?

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général

Production des Services d Assurance non-vie selon le SCN 2008

Consolidation budgétaire et croissance économique

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg

Mesure et évolution récente de l intégration commerciale en zone franc

ECO 8021: Notes de cours Chapitre 1 Introduction au cours

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.

Faut-il encourager les ménages à épargner?

La fixation du taux de change sur le marché

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia

Solutions de paiement dématérialisé pour les marchés émergents

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé

Les relations commerciales entre les pays méditerranéens

La Performance Digitale en Business to Business

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation Chapitre 1 L intérêt Chapitre 3 Les annuités III. Entraînement...

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot Septembre 2010

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

Transcription:

Introduction Intégration régionale et croissance: Le cas de l Afrique Centrale DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph 11 octobre 2013 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 1 / 16

Plan Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 1 Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 2 Méthodologie et données Présentation des résultats 3 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 2 / 16

Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16

Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16

Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16

Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16

Contexte Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Les décennies 80 et 90 ont connu une prolifération sans précédent des Communautés Économiques Régionales (CER) à travers le monde et en Afrique en particulier. Le continent africain est celui qui dispose du plus grand nombre de CER, évaluées à 14. Cette mouvance et justifiée par les avantages que confère l intégration régionale, notamment : les nouvelles possibilités d échange et les marchés plus vastes (Venables, 2000 ; Banque mondiale, 2000) ; la production de plus-values plus importantes sur les capitaux engagés, l accroissement du pouvoir de négociation, l augmentation des investissements ou encore la prévention des conflits (UNECA, 2004). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 3 / 16

Introduction Intérêt de l étude Contexte et intérêt de l étude Problématique Constat Impact de l intégration sur la croissance économique insuffisamment appréhendé en Afrique Centrale. Intérêt La quantification de son impact sur la croissance en Afrique Centrale. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 4 / 16

Introduction Intérêt de l étude Contexte et intérêt de l étude Problématique Constat Impact de l intégration sur la croissance économique insuffisamment appréhendé en Afrique Centrale. Intérêt La quantification de son impact sur la croissance en Afrique Centrale. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 4 / 16

Introduction Intérêt de l étude Contexte et intérêt de l étude Problématique Constat Impact de l intégration sur la croissance économique insuffisamment appréhendé en Afrique Centrale. Intérêt La quantification de son impact sur la croissance en Afrique Centrale. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 4 / 16

Problématique Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Questions de recherche L intégration régionale est-elle source de croissance économique en Afrique Centrale? Si oui, dans quelles proportions? Quelles sont les dimensions de l intégration régionale qui contribuent le plus à la croissance en Afrique centrale? Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 5 / 16

Problématique Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Questions de recherche L intégration régionale est-elle source de croissance économique en Afrique Centrale? Si oui, dans quelles proportions? Quelles sont les dimensions de l intégration régionale qui contribuent le plus à la croissance en Afrique centrale? Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 5 / 16

Problématique Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique Questions de recherche L intégration régionale est-elle source de croissance économique en Afrique Centrale? Si oui, dans quelles proportions? Quelles sont les dimensions de l intégration régionale qui contribuent le plus à la croissance en Afrique centrale? Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 5 / 16

Plan Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats 1 Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 2 Méthodologie et données Présentation des résultats 3 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 6 / 16

Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16

Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16

Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16

Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16

Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16

Méthodologie Introduction Méthodologie et données Présentation des résultats Modélisation économétrique Modèle VAR spécifié sur données de panel ; Introduction de variables inspirées du modèle de croissance endogène de Mankiw, Romer et Weil (1992) (TCPIBT, TINV) ; Introduction dans le modèle d une variable relative à la théorie de la croissance régionalisée : la variation du commerce intra-régional ; Introduction dans un premier modèle de l indice composite de contribution à l intégration économique et dans un second modèle des indices primaires de contribution à l intégration économique ; Spécification ex-post d un modèle à erreur composée pour chaque équation du modèle ; Utilisation de la méthode d estimation d Arellano et Bond (1992). Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 7 / 16

Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16

Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16

Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16

Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16

Introduction Méthodologie (suite) Méthodologie et données Présentation des résultats Stratégie d estimation et avantages Centrage des variables par leurs moyennes annuelles pour tous les pays ; Application de la procédure de Helmert de différenciation par la moyenne des observations futures ; Analyse de stationnarité des variables pour n introduire dans le modèle que les variables stationnarisées ; Implémentation des fonctions de réponse impulsionnelles (IRF) après une décomposition de Cholesky des résidus, et décomposition de la variance de l erreur. Échantillon Ensemble des pays de la CEEAC à l exception de Sao-Tomé et Principe ; données allant de 1995 à 2010, soit 16*9=144 observations. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 8 / 16

Résultats (1) Fonctions de réponse impulsionnelles Modèle 1 Réponse positive instantanée du taux du croissance du PIB par tête à un choc sur l intégration régionale, qui s accentue à la deuxième année et s estompe sur le reste de la période. FIGURE: Réponse de la croissance à un choc sur l intégration

Résultats (1) Fonctions de réponse impulsionnelles Modèle 1 Réponse positive instantanée du taux du croissance du PIB par tête à un choc sur l intégration régionale, qui s accentue à la deuxième année et s estompe sur le reste de la période. FIGURE: Réponse de la croissance à un choc sur l intégration

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Effet positif différé sur la croissance économique d un choc sur le libre échange, qui atteint son pic à la deuxième année et se stabilise sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Effet positif différé sur la croissance économique d un choc sur le libre échange, qui atteint son pic à la deuxième année et se stabilise sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive instantanée de la croissance économique suite à un choc sur l union douanière, qui augmente légèrement sur les deux premières années suivant le choc pour se stabiliser sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive instantanée de la croissance économique suite à un choc sur l union douanière, qui augmente légèrement sur les deux premières années suivant le choc pour se stabiliser sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse initiale négative de la croissance suite à un choc sur l union économique, qui devient faiblement positive sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse initiale négative de la croissance suite à un choc sur l union économique, qui devient faiblement positive sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive très forte de la croissance suite à un choc sur l union économique totale, qui est atténuée sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (2) Fonctions de réponse impulsionnelles (suite) Modèle 2 Réponse positive très forte de la croissance suite à un choc sur l union économique totale, qui est atténuée sur le reste de la période. FIGURE: Réponses de la croissance à des chocs sur les indices primaires

Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.

Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.

Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.

Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.

Résultats (3) Décomposition de la variance Modèle 1 L effort global d intégration d un pays de la CEEAC explique à lui seul 16.96% de la variation de la croissance économique de celui-ci sur une période de 10 ans. Modèle 2 La contribution au libre échange explique 1.81% de la variation de la croissance ; La contribution à l union douanière explique 1.22% de la variation de la croissance économique ; La contribution à l union économique explique 3.34% de la variance de la croissance ; La contribution à l union économique totale explique à elle seule 7.79% de la variation de la croissance économique.

Plan Introduction 1 Introduction Contexte et intérêt de l étude Problématique 2 Méthodologie et données Présentation des résultats 3 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 12 / 16

Introduction Principaux résultats 1 Impact globalement positif de l intégration économique sur la croissance, d une amplitude de 16.96% sur une période de 10 ans ; 2 Impact sur la croissance plus significatif de l union économique et de l union économique totale ; 3 Impact positif, de plus faible amplitude mais persistant du libre échange et de l union douanière. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 13 / 16

Introduction Principaux résultats 1 Impact globalement positif de l intégration économique sur la croissance, d une amplitude de 16.96% sur une période de 10 ans ; 2 Impact sur la croissance plus significatif de l union économique et de l union économique totale ; 3 Impact positif, de plus faible amplitude mais persistant du libre échange et de l union douanière. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 13 / 16

Introduction Principaux résultats 1 Impact globalement positif de l intégration économique sur la croissance, d une amplitude de 16.96% sur une période de 10 ans ; 2 Impact sur la croissance plus significatif de l union économique et de l union économique totale ; 3 Impact positif, de plus faible amplitude mais persistant du libre échange et de l union douanière. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 13 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Introduction Recommandations 1 Améliorer l efficacité du libre échange ; Établir effectivement une ZLE CEEAC ; Enclencher la libre circulation des personnes ; Sensibiliser les opérateurs économiques sur les modalités à remplir pour profiter du taux 0 ; Améliorer le recouvrement des contributions au financement de l intégration. 2 Profiter des effets bénéfiques induits par la convergence des économies et l union économique totale. Étendre les critères de convergence CEMAC à la CEEAC ; Définir dans un premier temps des fixités (appuyées par des mécanismes de compensation adéquats) entres les différentes monnaies dans la CEEAC pour aboutir à terme à une union monétaire. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 14 / 16

Limites Introduction Non disponibilité des données 1 Omission de Sao-Tomé et Principe de l échantillon ; 2 Résultats entièrement dépendants de la qualité des indices composites utilisés. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 15 / 16

Limites Introduction Non disponibilité des données 1 Omission de Sao-Tomé et Principe de l échantillon ; 2 Résultats entièrement dépendants de la qualité des indices composites utilisés. Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 15 / 16

MERCI POUR VOTRE AIMABLE ATTENTION. THANK YOU FOR YOUR KIND ATTENTION.