Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe"

Transcription

1 Page 1 NOTE DE SYNTHESE N 24 Réalisée par Djenno Ngoua Melissa Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe Le Traité d Abuja instituant en 1991 la Communauté économique africaine (CEA), et entré en vigueur en 1994, a posé les bases et dicté le processus d élaboration d un marché commun africain d ici à L ambition des dirigeants africains de l époque, d instituer cette Communauté, était de permettre une croissance et une autosuffisance économiques pérennes pour le continent. Pour assurer la mise en place effective de la Communauté, il a été créé des Communautés économiques régionales (CER), supposés en être les piliers. Au nombre de sept, ces CER sont censées permettre l instauration progressive du marché commun africain. Pour préparer l avenir du continent et promouvoir notamment son intégration régionale, dont la Banque africaine de développement (BAD) a toujours fait une de ses priorités stratégiques, elle a entrepris la définition de stratégies visant à assister les différentes régions africaines dans leurs efforts sur ce plan. En Afrique australe, qui compte cinq pays à revenu intermédiaire, la Banque s est engagée, jusqu à présent, à hauteur de "11,62 milliards d UC, soit près d un cinquième de la valeur des prêts et dons qu elle a approuvé à ce jour en faveur de ses pays membres régionaux". Elle compte renforcer cet engagement et, pour ce faire, a établit une stratégie pour l intégration de la région; stratégie qui porte sur la période C est cette orientation stratégique que nous allons présenter dans cette Note, afin de mieux appréhender les différents axes et mécanismes que la BAD entend mettre en œuvre pour renforcer l intégration régionale dans cette partie du continent. Vers une Communauté économique africaine enfin? La situation économique et financière critique que traverse actuellement le monde rappelle à quel point l intégration régionale jouerait un rôle d amortisseur des chocs externes auxquels sont exposées, à des degrés divers, les économies africaines.

2 Page 2 De ce fait, on ne pourra que renouveler l importance pour les pays africains de renforcer leur intégration politique et économique s ils veulent pouvoir peser de manière significative sur la scène internationale et espérer contribuer de manière plus significative à l économie mondiale. Par ailleurs, seule une meilleure synergie économique des nations africaines pourra assurer le devenir du marché commun, qui jusqu à ces dernières années, est apparu comme un quête moribonde. La BAD semble partager cette lecture. La Stratégie précise ainsi que "le programme d intégration régionale de l Afrique australe a pour objectif de créer une région entièrement intégrée et compétitive au plan international, le but ultime étant d y faire reculer la pauvreté". Dans le cadre du Traité d Abuja, les Etats africains s étaient engagés à passer par un certain nombre d étapes 1 et à mettre en œuvre un certain nombre de dispositions. Parmi ces dispositions figure également la rationalisation des institutions d intégration, l Afrique australe en comptant actuellement trois 2. D où la nécessité pour l engagement pris par la BAD d œuvrer à faciliter la fusion entre le COMESA, la EAC et la SADC. Etat des lieux de la région australe La réalité en Afrique australe (comme d autres régions) se traduit actuellement par l appartenance de certains pays à plusieurs CER. Comme le précise la BAD, "l ensemble 1 Voir Note de synthèse n 10, "Etat des lieux de l intégration régionale en Afrique", avril %E2%80%99int%C3%A9gration%20r%C3%A9gionale %20en%20Afrique_10_Avril_11.pdf. 2 COMESA (Marché commun de l Afrique Orientale et Australe), EAC (Communauté d Afrique de l Est), SADC (Communauté pour le développement de l Afrique Australe). des douze pays de la région sont membres de la SADC, tandis que six appartiennent au COMESA. Un pays est membre de la Communauté économique des États d Afrique centrale (CEEAC), tandis que deux sont membres de la Commission de l Océan indien (COI). Cinq pays constituent l Union douanière de l Afrique australe (SACU), tandis que quatre (hormis le Botswana) sont membres de la Zone monétaire commune (ZMA) dont les membres partagent une monnaie commune qui a une parité fixe avec le rand sud-africain". Cette situation loin de favoriser une intégration effective de la région constitue au contraire un obstacle significatif; elle induit des ressources supplémentaires pour les pays concernés, mais surtout est souvent à l origine de contradictions quant aux orientations et politiques mises en œuvre dans le cadre de ces différentes organisations. En octobre 2008 a été lancé l Accord tripartite COMESA-EAC-SADC (CES) 3 ayant pour objectif principal le renforcement et l approfondissement de l intégration de la région australe et orientale et, à terme, l établissement d une CER unique. Dans cette optique, une feuille de route avait été rédigée pour qu une zone unique de libre échange (ZLE) soit établie en janvier Toutefois, certaines étapes du calendrier ayant pris du retard, la feuille de route sera revisitée et la ZLE repoussée à L appui à la mise en œuvre de l Accord tripartite CES et notamment de cette nouvelle feuille de route représente un des éléments essentiel du document de stratégie d intégration régionale (DSIR) pour l Afrique australe de la BAD. En effet, mise à part les troubles politiques qu on connu le Zimbabwe et Madagascar, la partie australe du continent 3 Il regroupe 26 pays représentant environ 56% de la population et près de 58% du PIB combiné de l Afrique en 2008.

3 Page 3 présente une stabilité politique favorable à une croissance économique plus efficiente. La région se caractérise par une croissance économique portée par la "locomotive" Sudafricaine dont les investissements représentent environ 70% des flux intra-régionaux. Acteur majeur du NEPAD et de la SADC, l Afrique du Sud agit comme un moteur économique avec 71,5% du PIB régional en L Angola, deuxième économie de la région, représentait elle 10% de ce PIB, alors que tous les autres pays réunis ne capitalisaient que 18,5% du PIB. C est fort de ce constat que la BAD a estimé que "l amélioration générale des indicateurs macroéconomiques au cours de la dernière décennie est de bon augure pour l intégration régionale, dans la mesure où elle permet aux pays de la région d évoluer vers la convergence macroéconomique". Par conséquent, fort de sa conviction que l "intégration régionale offre aux pays de l Afrique australe une précieuse opportunité de lutter collectivement contre la pauvreté et d accroître leur pouvoir de négociation international, tout en réduisant leur exposition aux chocs exogènes liés aux échanges commerciaux", et après un processus participatif incluant, entre autres, les Secrétariats de la SADC, du COMESA, du NEPAD, les organisations du secteur privé et de la société civile, la BAD a axé sa stratégie autour de deux piliers 4 : l infrastructure régionale et le renforcement des capacités. L infrastructure régionale Partant du constat que "l un des principaux obstacles au développement des échanges régionaux tient à l insuffisance de l infrastructure", il a été décidé de mettre l accent sur l infrastructure de transport et la facilitation des échanges, l énergie et le développement des Technologie de l Information et de la Communication (TIC). Infrastructure de transport Malgré une croissance économique appréciable, l Afrique australe s illustre par de mauvaises performances dans ses échanges intrarégionaux. Cette situation est due, selon la BAD, "au piteux état du réseau de transport et de l infrastructure (routes, rail, eau et air)". En effet, il est démontré que les coûts du transport représentent en moyenne 30% à 40% du coût total des importations et des exportations dans cette partie du continent, contre environ 4% en Europe. Sans compter le fait que la logistique de transport est fortement retardée par les lourdeurs règlementaires, notamment les nombreux barrages et les procédures frontalières qui augmentent les coûts de transit des exportations. Pour aider à la résolution de ces contraintes infrastructurelles, la Banque entend contribuer au développement de corridors de transport, notamment le Corridor Nord-Sud 5 et ses corridors de liaisons (Maputo, Mtwara, Nacala, Lobito et Beira) en y modernisant le transport ferroviaire. De plus, un effort supplémentaire sera fait pour promouvoir les financements privés dans ce domaine. Ces apports en financement seront complétés par du renforcement des capacités et des actions visant à faciliter les échanges, notamment afin d améliorer le temps de transit au postes frontières et de réduire les coûts de transport. 4 Il faut également mentionner les questions transversales telles que le genre, l environnement, les changements climatiques, la promotion de la convergence macroéconomique et la gestion du savoir et le réseautage. 5 Etats membres du corridor: Afrique du sud, Botswana, Zimbabwe, Mozambique, Malawi, Zambie, RDC.

4 Page 4 Développement de l énergie Un autre défi a relever est "le déficit énergétique régionale". La Banque entend ainsi "promouvoir la mise en valeur de sources d énergie propre et respectueuse du climat, ainsi que les interconnecteurs régionaux afin de faciliter les échanges d énergie au plan régional". Pour ce faire, tout en appuyant la création de centrales électriques au charbon propre, principale source d énergie dans la région et en contribuant au financement de ces projets, la BAD va axer sa stratégie sur trois catégories de projets d investissement: "les projets qui seront mis au point par deux ou plusieurs pays aux fins d utilisation commune; les projets qui seront exécutés par un pays, mais qui seront orientés vers l exportation; et les projets qui seront exécutés par un pays sans aucune disposition initiale relative aux Accords d achat d énergie 6 (AAE), mais qui sont censés avoir des impacts régionaux". Les échanges régionaux d énergie apparaissent comme un avantage pour chaque pays car ils leur permettront, à long terme, de faire face à la demande nationale en offrant une électricité à bas coût. C est cela qui sous-tend également l intérêt exprimé par la BAD de faciliter les accords de coopération bilatérale et multilatérale afin que les excédents en énergie des pays fournisseurs puissent bénéficier au pool énergétique de l Afrique australe (SAPP). Technologies de l Information et de la Communication (TIC) L Afrique australe souffre également d une forte disparité quant à l accès aux TIC et à la disponibilité de la bande passante. En témoigne 6 Contrats entre deux parties, celui qui génère de l électricité aux fins de vente (le vendeur) et celui qui cherche à acheter de l électricité (l acheteur). le fait que seuls quatre pays (Angola, Afrique du Sud, Maurice et Mozambique) ont accès au système international de câbles à fibres optiques. Afin de participer à la réduction du fossé numérique entre les zones urbaines et les zones rurales et entre pays de la région, la BAD s attèlera à "promouvoir un programme commun concernant un réseau interrégional d infrastructure de TIC à large bande sans coupure et accéléré". La stratégie de la Banque va ainsi s articuler autour de quatre domaines d intervention (Madagascar et Maurice seront également inclus): consolidation de la connectivité, en faisant notamment appel à l investissement privé; intégration des TIC dans la fourniture des services publics et les projets sectoriels; promotion de la connectivité dans le secteur de l éducation, de l innovation des TIC et la création d emplois; et gestion et partage du savoir. Renforcement des capacités Ce deuxième pilier stratégique de la Banque en Afrique australe se présente surtout comme un élément venant à appui au développement de l infrastructure régionale et de la facilitation des échanges. Appui au mécanisme tripartite du CES et renforcement des capacités institutionnelles Considérant que "la faiblesse des capacités institutionnelles et humaines freine les efforts d intégration régionale", la BAD oriente sa stratégie en la matière, en apportant une aide significative au bon déroulement du mécanisme tripartite CES (COMESA, EAC, SADC) qui a, entre autres objectifs, d aider à une meilleure harmonisation et convergence des trois principales CER présentes dans la région. On note ainsi que le mécanisme tripartite CES souffre du manque d appropriation par les pays

5 Page 5 concernés; ceci se traduisant par un manque d appui politique et financier, d harmonisation et d hiérarchisation des programmes des CER; la Banque entend ainsi favoriser une meilleure convergence de celles-ci. Outre cet appui à l Accord tripartite, une attention particulière sera portée au renforcement des capacités institutionnelles à deux niveaux: d abord au niveau du COMESA et de la SADC, ainsi que des cellules nationales d exécution, en les aidant à développer des projets pouvant bénéficier d un concours financier; ensuite au niveau national, la Banque entend proposer des ateliers de formation et de perfectionnement aux fonctionnaires, membres de la société civile et du secteur privé, afin de les doter des outils nécessaires à la mise en œuvre efficiente des projets. Facilitation des échanges et du transport et aide pour le commerce Les domaines sur lesquels la BAD entend intervenir afin d apporter sa contribution à la facilitation des échanges et du transport portent sur les "réformes et la modernisation des services douaniers afin de simplifier les procédures d importation, d exportation et de transit pour les opérateurs économiques; la facilitation du transport et du transit et de la logistique, qui comprend la création et la gestion de Postes Frontière à Guichet Unique (PFGU), l harmonisation des procédures/règlements régissant le transport transfrontalier". En plus de ces aspects, la stratégie s articule également autour du développement d instruments censés soutenir le commerce; passant, entre autres, par une évaluation des besoins, avant d élaborer des stratégies nationales et sous-régionales d aide pour le commerce. Une intégration régionale réussie nécessite une réelle volonté politique des pays concernés, des infrastructures (transport, énergie, communication), des stratégies et des plans de développement régionaux, des institutions fortes et efficaces, des hommes et femmes qualifiés et compétents et un appui financier conséquent. L Afrique, et en particulier l Afrique australe ne sauront se permettre plus longtemps de négliger cet aspect central et fondamental au développement du continent. Dans cette optique, un effort particulier devra être fourni par les Communautés économiques de cette région en rendant leurs zones de libre-échange plus performantes afin que les Unions douanières mises en place par la suite tiennent réellement leurs promesses. L ambition de voir se réaliser l objectif de Communauté économique africaine n est pas un espoir vain. Pour cela, les Etats africains et surtout leurs gouvernants doivent comprendre que l essor social, politique et économique du continent passe par une meilleure intégration et par l union. Cette dernière ne sera réalisable que si chaque sous-région parvient au préalable à se renforcer, permettant ainsi à une véritable synergie de naître de leur fusion.

6 Page 6 A PROPOS DES NOTES D OVIDA Les Notes d OVIDA s inscrivent dans volonté et l objectif de l Observatoire de promouvoir, rassembler et développer une expertise dans l étude et l analyse de certains des enjeux s articulant autour des questions de: Paix, Défense et Sécurité; Economie et Commerce; Droits de l Homme; et Environnement. Ces Notes portent également sur certains des aspects relatifs aux canaux de la pratique diplomatique: bilatéralisme, régionalisme et multilatéralisme. Les contributions qui en résultent devront notamment permettre de dégager des éléments de connaissance et de compréhension en offrant une réflexion, analyse et un décryptage sur des thématiques ou sur des évènements et en faisant ressortir des idées maîtresses à des fins d information et d amélioration de la connaissance. NOTES D OVIDA NOTES D ANALYSE Dégager des éléments de connaissance & de compréhension en offrant une réflexion, analyse & un décryptage. NOTES DE SYNTHESE Faire ressortir & présenter des idées maîtresses à des fins d information & d amélioration de la connaissance. Sommets et évènements africains (UA, CEMAC, CEEAC, CEDEAO, COMESA, SADC, Afrique-UE, Afrique-Corée, etc.) & internationaux; Visites/tournées de dirigeants africains et étrangers; Questions ou thématiques particulières; Rapports & documents divers. Edition: William Assanvo Pour tous vos commentaires et suggestions, bien vouloir écrire à info@ovida-afrido.org

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre

Plus en détail

Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit

Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit LES CONVENTIONS INTERNATIONALES, RÉGIONALES ET SOUS RÉGIONALES : CAUSES ET CONSEQUENCES DE LA NON MISE EN ŒUVRE IDOINE EN AFRIQUE Par:

Plus en détail

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,

Plus en détail

NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale

NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale Réunion Ad hoc NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale F Distr. : GENERAL ECA/SRO-CA/AHEGM.HLTIC/13/Inf.1 Février : 2013 Original : Français Ad Hoc

Plus en détail

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL

Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise

Plus en détail

et à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.

et à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011. Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

APPEL A COMMUNICATIONS

APPEL A COMMUNICATIONS APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ

LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ C O N F É R E N C E D E S N AT I O N S U N I E S S U R L E C O M M E R C E E T L E D É V E L O P P E M E N T LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39. postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre

Plus en détail

Évaluation de l intégration de la dimension de genre dans les bases de données des communautés économiques régionales (CER) en vue de déterminer les

Évaluation de l intégration de la dimension de genre dans les bases de données des communautés économiques régionales (CER) en vue de déterminer les Évaluation de l intégration de la dimension de genre dans les bases de données des communautés économiques régionales (CER) en vue de déterminer les lacunes dans la prise en compte des activité des femmes

Plus en détail

Mots clés : Réforme monétaire, monnaie africaine, développement économique, Afrique.

Mots clés : Réforme monétaire, monnaie africaine, développement économique, Afrique. SODOKIN, Koffi 1 UNE UNITE DE MONNAIE AFRICAINE DANS LA PERSPECTIVE DE LA CREATION D UNE BANQUE CENTRALE AFRICAINE POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE EN AFRIQUE: FONDEMENTS ANALYTIQUES ET PROPOSITIONS. Résumé

Plus en détail

Évaluation des progrès réalisés en matière d'intégration régionale en Afrique

Évaluation des progrès réalisés en matière d'intégration régionale en Afrique NATIONS UNIES CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L AFRIQUE Trente deuxième réunion du Comité d experts COMMISSION DE L UNION AFRICAINE Huitième réunion du Comité d experts Réunion

Plus en détail

Intégration régionale et croissance:

Intégration régionale et croissance: Introduction Intégration régionale et croissance: Le cas de l Afrique Centrale DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph 11 octobre 2013 Par DAGBA Xavier et BARICAKO Joseph AEC 2013 1 / 16 Plan Introduction Contexte

Plus en détail

Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique

Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique Gabriel Mougani Economiste financier

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

PROGRAMME D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DE COMMERCE INTERNATIONAL AU SERVICE DE L AFRIQUE (PACCIA II)

PROGRAMME D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DE COMMERCE INTERNATIONAL AU SERVICE DE L AFRIQUE (PACCIA II) PROGRAMME D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DE COMMERCE INTERNATIONAL AU SERVICE DE L AFRIQUE (PACCIA II) PROMOUVOIR LE COMMERCE RÉGIONAL POUR UNE COMPÉTITIVITÉ GLOBALE Images digitales sur la page

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Dr Ndèye Arame Boye FAYE

Dr Ndèye Arame Boye FAYE Dr Ndèye Arame Boye FAYE Introduction I Plan Contexte historique de la coopération scientifique entre l Europe et l Afrique II Instruments actuels de la coopération Europe-Afrique III II. 1 Les Accords

Plus en détail

GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT

GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT Evaluation de la Stratégie opérationnelle de la Banque pour les TIC et Plan d action à moyen terme 2012-2014 DEPARTEMENT DES POLITIQUES OPÉRATIONNELLES (ORPC)

Plus en détail

Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV

Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon

Plus en détail

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de

Plus en détail

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.

Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique. Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :

Plus en détail

L histoire de l assurance en Algérie

L histoire de l assurance en Algérie POINT DE VUE POINT OF VIEW Assurances et gestion des risques, vol. 81(3-4), octobre-décembre 2013, 285-290 Insurance and Risk Management, vol. 81(3-4), October-December 2013, 285-290 L histoire de l assurance

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

1 Informations générales

1 Informations générales PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale

Plus en détail

Situation des transports en Afrique

Situation des transports en Afrique Distr.: GÉNÉRALE E/ECA/CTRCI/5/3 1 er août 2007 NATIONS UNIES COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L AFRIQUE Original: FRANÇAIS Cinquième session du Comité du commerce, de la coopération et de l intégration régionales

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

Séminaires organisés en France Séminaires organisés au Canada Séminaires organisés au Maroc Séminaires organisés au Sénégal

Séminaires organisés en France Séminaires organisés au Canada Séminaires organisés au Maroc Séminaires organisés au Sénégal éminaires organisés en France éminaires organisés au anada éthodes et outils d élaboration des DT (global et sectoriels) dans le cadre de la réforme des finances publiques Budgétisation axée sur les objectifs

Plus en détail

L'Afrique peut-elle devenir le nouvel atelier du monde à l'horizon 2050? Quelques conditions préalables

L'Afrique peut-elle devenir le nouvel atelier du monde à l'horizon 2050? Quelques conditions préalables La partie de l'image avec l'id de relation rid2 n'a pas été trouvé dans le fichier. L'Afrique peut-elle devenir le nouvel atelier du monde à l'horizon 2050? Quelques conditions préalables Contribution

Plus en détail

Renforcer la mobilisation du droit commun

Renforcer la mobilisation du droit commun Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

Examen des dix (10) années de mise en œuvre des décisions et engagements du SMSI-05.

Examen des dix (10) années de mise en œuvre des décisions et engagements du SMSI-05. MINISTERE DU DEVELOPPEMENT DE L ECONOMIE NUMERIQUE ET DES POSTES -=-=-=-=-=-=- SECRETARIAT GENERAL -=-=-=-=-=-=- DIRECTION GENERALE DE LA COORDINATION DES PROGRAMMES DE DEVELOPPEMENT DES T.I.C. BURKINA

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

PROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL

PROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL PROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL 2 SFOAP Main Phase Regional Programme Documents - PAFO Table des matières I. Et si nous

Plus en détail

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement. le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une

Plus en détail

L affacturage en Afrique : Opportunités et défis

L affacturage en Afrique : Opportunités et défis L affacturage en Afrique : Opportunités et défis Par B.O. Oramah Vice président (développement commercial et financement de projet d'entreprise) Banque Africaine d'import-export Présenté au séminaire 2014

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

Étude de cas sur les incitations fiscales

Étude de cas sur les incitations fiscales RÉALISER LE POTENTIEL D INVESTISSEMENTS RENTABLES EN AFRIQUE Séminaire de haut niveau organisé par l'institut du FMI en coopération avec l'institut multilatéral d'afrique TUNIS,TUNISIE,28 FÉVRIER 1ERMARS2006

Plus en détail

M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso

M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso UNE EXPERIENCE D APPUI AUX PME/PMI AU BURKINA FASO M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso 1 Le Burkina Faso PME/PMI - Burkina Faso 3 Le Burkina

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ----------------------

BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- Direction de la Recherche et de la Statistique APPUIS

Plus en détail

SALON INTERNATIONAL DU MULTIMEDIA ET DE L ECONOMIE NUMERIQUE (SIMEN)

SALON INTERNATIONAL DU MULTIMEDIA ET DE L ECONOMIE NUMERIQUE (SIMEN) SALON INTERNATIONAL DU MULTIMEDIA ET DE L ECONOMIE NUMERIQUE (SIMEN) Cité de la démocratie,libreville du 01 au 04 Décembre 2006 28/04/2006 eme II EDITION «Une rencontre pour la promotion des partenariats

Plus en détail

Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale (CEEAC) Programme Détaillé pour le Développement de l Agriculture Africaine (PDDAA)

Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale (CEEAC) Programme Détaillé pour le Développement de l Agriculture Africaine (PDDAA) Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale () Programme Détaillé pour le Développement de l Agriculture Africaine (PDDAA) Fonds Fiduciaire Multi Donateurs (FFMD) Plan stratégique et opérationnel

Plus en détail

Harmonisation des politiques forestières et fiscales en Afrique centrale : Défis et perspectives

Harmonisation des politiques forestières et fiscales en Afrique centrale : Défis et perspectives Harmonisation des politiques forestières et fiscales en Afrique centrale : Défis et perspectives Système de communication du réseau COMIFAC Une Stratégie TIC au Service de la mise en œuvre du Plan de Convergence

Plus en détail

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique

Plus en détail

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015 Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.

Plus en détail

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 joel.vormus@cler.org

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail

MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION

MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION Central African Backbone Communication Infrastructure and Technology CAB CIT Congo Projet N IDA 49740 CG

Plus en détail

Communication sur «les Enjeux et intérêts d une politique d intégration en Afrique Centrale»

Communication sur «les Enjeux et intérêts d une politique d intégration en Afrique Centrale» 4 è Journée de la CEMAC Conférence Débat sur le thème de l Intégration en Afrique Centrale --------------- Communication sur «les Enjeux et intérêts d une politique d intégration en Afrique Centrale» par

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

Colloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013. Annonce. Mars 2013

Colloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013. Annonce. Mars 2013 Colloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013 Annonce 1 Mars 2013 I. Cadre de l action L Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l

Plus en détail

la confiance dans l économie de l information

la confiance dans l économie de l information C o n f é r e n c e d e s N at i o n s U n i e s s u r l e c o m m e r c e e t l e d é v e l o p p e m e n t SERVICES fournis La Division de la technologie et de la logistique de la CNUCED propose les

Plus en détail

Les Politiques macro-économiques

Les Politiques macro-économiques Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE

Plus en détail

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 contact@coalition-energie.org

Plus en détail

Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010

Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 CEA-AN/AH/FD/10/3 Nations Unies Commission économique pour l Afrique Bureau pour l Afrique du Nord Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 LE

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/MP.PP/2005/2/Add.4 8 juin 2005 Original: ANGLAIS, FRANÇAIS, RUSSE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Réunion des Parties à la Convention

Plus en détail

Un plan d action pour les infrastructures au Burundi

Un plan d action pour les infrastructures au Burundi Un plan d action pour les infrastructures au Burundi Accélérer l intégration régionale Résumé analytique Banque africaine de développement Un plan d action pour les infrastructures au Burundi Accélérer

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization)

2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization) DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio IV Cadre Pays Stream 2013-2015 BURKINA FASO 1. Contexte et finalités de la présence de la coopération italienne Le Burkina Faso est l'un des

Plus en détail

L AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT AU CAMEROUN. Le secteur privé

L AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT AU CAMEROUN. Le secteur privé L AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT AU CAMEROUN Le secteur privé LE SECTEUR PRIVE : UN VECTEUR ESSENTIEL DU DÉVELOPPEMENT Promouvoir une croissance durable et partagée... La croissance économique est un

Plus en détail

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur. INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------

STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant

Plus en détail

Présentation du Programme : Phase II

Présentation du Programme : Phase II PROGRAMME D APPUI A LA MISE EN ŒUVRE DE L ACCORD D ASSOCIATION Présentation du Programme : Phase II L Accord d Association constitue le cadre juridique L Accord d Association constitue le cadre juridique

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES EN RDC

REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES EN RDC république démocratique du congo Ministère du Plan et Révolution de la Modernité Agence Nationale pour la Promotion des Investissements ANAPI REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE

Plus en détail

Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara

Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Monsieur Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre de la République de Côte d Ivoire, Madame Hélène Conway, Ministre des Français de l Etranger de la République

Plus en détail

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc.

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Du 17 au 28 Août 2015 Récapitulatif: Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Accord de partenariat entre la Bourse de Casablanca et London

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE

EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Environnement réglementaire et commercial ETUDE SUR LA CONNECTIVITÉ INTERNATIONALe D INTERNET EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE m a r s 2 0 1 3 Secteur du développement des télécommunications Etude sur la connectivité

Plus en détail

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,

Plus en détail

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique?

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en

Plus en détail

Les synergies à développer dans les TIC Infrastructures régionales de communications

Les synergies à développer dans les TIC Infrastructures régionales de communications Les synergies à développer dans les TIC Infrastructures régionales de communications Par Karim ATTOUMANI MOHAMED, @attoukarim, attoukarim[at]gmail.com 25 Octobre 2014 à Moroni - Union des Comores Quelques

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)

Plus en détail

Investir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires

Investir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires Investir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires Harmonisation pour la santé en Afrique Table des matières Résumé analytique...iii

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

Honorables invités, Mesdames et Messieurs,

Honorables invités, Mesdames et Messieurs, Discours du Gouverneur de la Banque Centrale des Comores à l occasion de la cérémonie officielle de lancement de la nouvelle pièce de 250 FC Palais du Peuple, le 02 janvier 2014 - Excellence Monsieur le

Plus en détail

Secteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION

Secteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION Secteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION Atelier TIC et Emploi en Mauritanie Centre de Formation et d Echange à Distance (CFED) de Nouakchott 28 avril 2014 Mohamed

Plus en détail