Quartiers prioritaires

Documents pareils
Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse

MUTUELLE NEGOCIEE ET SOLIDAIRE PRINCIPAUX RESULTATS DES QUESTIONNAIRES

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.

Base de données sociales sur Paris

La protection sociale en France

Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015

Offre et recours aux soins de premiers recours sur le Pays Sud Charente

Journée RESO mai , passage de la Mogotte TORCY

Enquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

L état de la pauvreté en France

L Atlas Régional et Territorial de Santé du Nord-Pas-de-Calais 2011

Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ

Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre

Santé bucco-dentaire des enfants : des inégalités dès le plus jeune âge

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france

Famille multirésidence : recensement et sources alternatives

Les domaines et les thèmes du SIG Grand Sud

GESTION, ADMINISTRATION

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage

Population active et pauvreté en région Centre

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

L éducation au Québec : L état de la situation

Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010

CONTRAT LOCAL DE SANTE DE LA COURNEUVE

Ateliers Santé Ville de Marseille

EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS

La mobilité professionnelle revêt

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guyane en janvier 2015

Table des matières. 1 Introduction Définitions : pauvreté, précarité, exclusion Pauvreté Précarité 3. 2.

Note du Haut conseil pour l avenir de l assurance maladie adoptée à l unanimité lors de sa séance du 24 janvier 2013

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage

Convention de partenariat pour l accès aux droits, aux soins et à la prévention des rennais

Contexte Colloque Santé et Société Mai 2015

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat

Avertissement. Signes conventionnels utilisés

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

L aide complémentaire santé en 2007

Technologie de la santé

Les femmes restent plus souvent au foyer, travaillent davantage à temps partiel, gagnent moins et sont plus exposées à la pauvreté

Comment bien soigner votre budget santé? 14 astuces pour soigner vos dépenses santé

CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ,

La santé des jeunes Rhônalpins en insertion

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale Psychomot 1 UPMC/VHF

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Nouveaux enjeux de l assurance santé complémentaire en Europe

PROGRAMME DE BOURSES FONDATION J. ARMAND BOMBARDIER

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guadeloupe en février 2015

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES

5 Avril Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE

Revenu national avant impôts: (100%) Revenu disponible: (74%) Revenu après impôts: (51%)

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

CONTRAT LOCAL DE SANTE DE MONTFERMEIL

B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?

Le système de santé au Cambodge

PLAN LOCAL DE SANTE TRIENNAL INTERCOMMUNAL Grande-Synthe / Saint-Pol-sur-Mer

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014

Edito du Maire. Frédéric Béatse Maire d Angers Président du CCAS

CARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1

Dares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011


CDAJE 16 mai 2014 COMMISSION DÉPARTEMENTALE D ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS. MICRO CRECHE - CDAJE 16 mai 2014

Diagnostic territorial MD3E

M U T U E L L E D U M I N I S T E R E D E L A J U S T I C E. Etre bien protégé, c est. essentiel. Offre MMJ. Ouverture

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Inégalités sociales de santé : Quels constats? Quels leviers d action? Florence Jusot. LEDA-LEGOS (Univ. Paris-Dauphine) - IRDES

Évaluation de la Loi CMU

Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux

Les liens entre handicap et pauvreté : Les difficultés dans l'accès aux droits et aux ressources

COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE

En 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat

Convention de Participation SANTE

Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

À retenir Ce qu en disent les acteurs communautaires

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN

Commune de Saint-Gilles

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

Le renoncement aux soins pour raisons financières dans l agglomération parisienne :

La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.

Être seul. Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française

lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16

Les inégalités entre générations depuis le baby-boom

Startup Santé. Les avantages pour vous :

Transcription:

CARCASSONNE Quartiers La Conte-Ozanam/ Bastide Pont-Vieux/ Le Viguier-Saint-Jacques/ Grazailles/ Fleming La Reille Quartiers prioritaires ALÈS QUARTIER de la politique de la Ville POPULATION ET TERRITOIRE Avec plus de 40 700 habitants, est la deuxième ville du Gard en termes de population. À une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Nîmes, est située au pied des Cévennes. Un quartier prioritaire au titre de la politique de la ville a été délimité sur le territoire communal. Il couvre toute la partie Ouest de la ville. Il compte plus de 14 600 habitants, soit plus du tiers (35,9 %) de la population municipale. Quartier de Taille du quartier : Source : CGET Janvier 2015 Octobre 2016 - de 1999 hab. 2000 à 3999 hab. 4000 à 4999 hab. 5000 à 10000 hab. + de 10000 hab.

LA COMMUNE ALÈS Taux de la commune Position de la commune 1 Communes d Occitanie Valeur mini Valeur maxi Valeur Occitanie Valeur France Déterminants sociaux de santé (%) 1-15 ans ou plus hors système scolaire avec diplôme inférieur au Bac 67,3 32 79 58 59 2- Bénéficiaires de la CMUC 23,1 2 35 - - 3- Taux de pauvreté 28,4 4 39 17 14 4- Emploi précaire 15,2 7 30 14 13 5- Famille monoparentale 12,1 4 14 9 9 Déterminants environnementaux de santé (%) 5- Logements potentiellement indignes 14,4 0 34 8 - Indicateurs de santé : mortalité (TCM pour 100 000 hab.) 6- Mortalité générale 775,1 501 1128 752 780 7- Mortalité prématurée 247,5 101 379 187 197 8- Mortalité par cancers 233,6 151 305 222 237 9- Mortalité par maladies cardiovasculaires 205,9 113 284 202 203 10- Mortalité liée à l alcool 30,5 3 55 22 29 11- Mortalité liée au tabac 134,1 72 193 117 122 12- Mortalité par suicide ou accident de la circulation ou autres traumatismes Indicateurs de santé : morbidité (%) 13- Ensemble des affections de longue durée (ALD) 58,5 25 108 57 55 22,6 15 30 20 21 14- Personnes diabétiques (ALD) 3,9 2 6 3 4 Recours aux soins 15- Recours aux médecins généralistes 4,6 ++ 3 7 5-16- Recours aux dentistes 0,8 + 1 2 1-1 Positionnement des indicateurs de 1 à 14 : Très favorable (parmi le quart des territoires ayant les valeurs les plus favorables : 1 er quartile) Favorable (2 e quartile) Peu favorable (3 e quartile) Très peu favorable (4 e quartile) de 15 à 16 : Du taux le plus élevé (++++) au taux le plus faible (+) 2 Communes de plus de 5 000 habitants ou ayant un quartier prioritaire de la politique de la ville (pour les données sur la CMUc, communes des EPCI ayant au moins un quartier politique de la ville ou au moins une commune de plus de 10 000 habitants) Indicateurs et sources de données 1. Part de la population ayant un niveau un diplôme inférieur au niveau BAC, pour 100 personnes de 15 ans et plus non scolarisées (Insee RP2010) 2. Part de la population bénéficiaire de la CMUc pour 100 bénéficiaires du régime général d'assurance maladie en 2015 (CNAMTS) 3. Part de la population sous le seuil de 60 % du revenu déclaré par unité de consommation médian, pour 100 habitants en 2012 (INSEE-DGFIP-CNAF-CNAV-CCMSA (Filosofi) 4. Part des familles comprenant un parent isolé et un ou plusieurs enfants célibataires (n'ayant pas d'enfant) pour 100 ménages (Insee RP2010) 5. Pourcentage de logements privés potentiellement indignes en 2013 (Filocom-DREAL) 6 à 12. Taux comparatif de mortalité, pour 100 000 habitants sur la période 2006-2013 pour différentes causes de décès (Inserm CépiDC, Insee) 13. Taux comparatif de prévalence, pour 100 000 habitants, année 2014, toutes ALD (CNAMTS, CCMSA, RSI, Insee) 14. Taux comparatif de prévalence, pour 100 000 habitants, année 2014, pour diabète (CNAMTS, CCMSA, RSI, Insee) 15. Nombre moyen de consultations et visites (C+V) par habitant standardisé sur l âge (SNIR-AM) 2013 16. Nombre moyen de soins conservateurs et prothétiques par habitant standardisé sur l âge (SNIR-AM) 2013. Profil Santé Quartiers prioritaires de la ville Octobre 2016 2

Le profil de santé de la ville d, au regard de l ensemble des communes de plus de 5 000 habitants d Occitanie et de la moyenne régionale fait apparaître des taux de mortalité relativement élevés, notamment pour la mortalité prématurée et les décès dus à des pathologies dont la consommation d alcool est un facteur de risque (4 e quartile). Seul le niveau de mortalité par suicide, accident ou autres traumatismes est relativement bas (1 er quartile). À structure d âge comparable, la part des personnes en affection longue durée (ALD) et notamment la part des malades diabétiques, sont relativement élevées par rapport aux autres communes de 5 000 habitants ou plus de la région. Les indicateurs décrivant les déterminants sociaux et environnementaux de santé présentent tous des valeurs élevées ou très élevées, témoignant de la vulnérabilité sociale de la population Alésienne. À structure d âge comparable, les recours aux soins auprès de médecins généralistes sont relativement bas. Ils apparaissent très limités pour les recours aux soins dentaires, comparativement aux autres communes de plus de 5 000 habitants d Occitanie. LES QUARTIERS PRIORITAIRES Les limites de l approche quantitative et statistique à un niveau infra communal pour apprécier l état de santé La disponibilité et la pertinence des données quantitatives sur les problèmes de santé sont limitées pour des raisons de faibles effectifs et de secret statistique. Mais les données sur les caractéristiques socio-économiques et les conditions de vie sont des indicateurs des besoins de santé dans les quartiers car ils impactent sur le style de vie, les comportements à risques et le recours aux soins et aux services. Les besoins de santé diffèrent selon les «âges de la vie» La connaissance de la répartition et de la part relative de certaines tranches d âge permettent d orienter les politiques de santé. On peut distinguer notamment : la période de l enfance et l adolescence dans laquelle est intégrée la période péri et post natale : les moins de 15 ans, les jeunes de 15 à 24 ans dont on connaît, malgré le manque d indicateurs à ces échelles, les besoins de prévention et de promotion de la santé au regard des comportements à risques, la part des 75 ans et plus qui permet de repérer l importance du vieillissement démographique et des éventuels besoins en termes de prévention de la perte d autonomie et de prise en charge. La situation sociale à travers 5 indicateurs qui sont des déterminants sociaux de santé : Les personnes de 15 ans et plus non scolarisées et sans diplôme Le niveau de formation scolaire oriente vers une profession, un niveau de revenus et donc une catégorie sociale. Il contribue à la constitution de l état de santé notamment par la formation des normes en santé et le développement d une plus ou moins grande réception aux messages de prévention à tous les âges de la vie. Les bénéficiaires de la CMUc Cet indicateur traduit à la fois l importance relative des situations de précarité financière mais aussi l importance des personnes en difficulté d accès à la santé * : plus souvent atteintes par des affections de longue durée (ALD), en particulier par le diabète, ayant plus souvent un moins bon suivi médical du diabète, un moindre recours aux dépistages, des problèmes dentaires plus fréquents, un mal-être plus marqué La pauvreté et les emplois précaires L approche par le gradient social de la santé montre que les personnes les plus pauvres et les plus précaires ont des risques accrus de mauvaise santé, comme par exemple la mortalité infantile ou la mortalité prématurée. Deux indicateurs permettent d approcher ces déterminants : la part de la population vivant sous le seuil de pauvreté et la part de personnes ayant un emploi précaire (CDD, intérim ). Les familles monoparentales Certaines de ces familles sont à «risque de fragilité». Elles peuvent cumuler les vulnérabilités ** : jeunesse du parent, faible niveau de formation et de qualification, faible revenu, mauvaises conditions de logement, forte exposition au chômage. Ces facteurs influent sur leurs problèmes de santé et sur leur accès à la santé. *Caractéristiques et recours des populations bénéficiaires de la CMUc : plus jeune, plutôt féminine et en moins bonne santé. ARS Midi Pyrénées-INSEE, janvier 2014. **Les familles monoparentales : des difficultés à travailler et à se loger. O. Chardon et col. INSEE Première n 1195, juin 2008 Profil Santé Quartiers prioritaires de la ville Octobre 2016 3

Quartier PROFIL D ÂGE ET DÉTERMINANTS SOCIAUX Profil de la population selon l âge 75 ans et plus 15 à 24 ans 0 à 14 ans 14,1 12,8 12,5 14,4 15,7 18,3 Dans le quartier Cauvel La Royale, la part des enfants (moins de 15 ans) et des jeunes (15 à 24 ans) apparaît relativement plus élevée que sur l ensemble d alors que l inverse est noté pour les plus âgés (75 ans et plus). Source : INSEE RP2010 Déterminants sociaux Sans diplôme ou < BAC 67,3 76,0 Bénéficiaire de la CMUc Pour les différents déterminants sociaux étudiés, la situation apparaît plus dégradée au niveau du quartier prioritaire de la politique de la ville que sur l ensemble de la commune. Les trois quarts des habitants du quartier n ont pas de diplôme ou bien ont un diplôme inférieur au Bac contre les deux tiers sur l ensemble de la ville. 23,1 37,4 Un tiers de la population du quartier bénéficie de la CMUc alors que c est moins du quart de la population municipale. Seuil de pauvreté 28,4 45,9 Près d un habitant sur deux vit sous le seuil de pauvreté dans le quartier Cauvel La Royale (un peu plus du quart à ). Emplois précaires 15,2 22,6 Avec près du quart des habitants concernés, la part de ceux ayant un emploi précaire est 1,5 fois plus élevée que dans l ensemble de la ville. Familles monoparentales 12,1 La proportion de familles monoparentales est un peu plus élevée dans le quartier Cauvel La Royale que sur l ensemble de la ville d. 15,8 Sources : Cf. Indicateurs et sources de données p. 2 Profil Santé Quartiers prioritaires de la ville Octobre 2016 4

OFFRE DE SOINS Du fait de sa localisation et de son étendue, l ensemble des professionnels de santé pris en compte pour caractériser l accès aux soins (médecins généralistes, chirurgiens-dentistes, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pharmaciens d officine) sont présents dans le quartier Cauvel La Royale. Cependant, une analyse plus fine fait apparaître que sur la partie du quartier située à l ouest du Gardon, seul un cabinet infirmier et un cabinet de masseurs-kinésithérapeutes sont implantés. De même, peu de professionnels sont présents sur le nord du quartier même si le centre hospitalier y est implanté. Profil Santé Quartiers prioritaires de la ville Octobre 2016 5