Comment assurer la cohérence de l ensemble des

Documents pareils

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI

La délégation de pouvoirs

Programme détaillé BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES. Objectifs de la formation. Les métiers. Durée des études DIPLÔME D ETAT

STAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE

STAGE : ELECTRICIEN INSTALLATEUR-MONTEUR

Management par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES.

FICHE DE FONCTION - 04

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

Compte rendu de la réunion du 12 mai 2015

Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR

Décret n /PRES/PM/SGG-CM du 17 juillet 2002 (JO N )

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING

ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle

Responsable d agence

STAGE : TECHNICIEN EN BUREAUTIQUE

Comores. Modalités de gestion et d administration des sociétés à capitaux publics

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles Paris + 33 (0)

BREVET D ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE CONSEILLER EN ADMINISTRATION ET GESTION DU PERSONNEL

Le métier de chef de projet

Rencontres Estivales Form A Ouest août t Limoges /CHEOPS Faire du Crédit Mutuel la banque de toutes les proximités s?

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

La division horizontale du travail traite de la question du degré de spécialisation ou de polyvalence du travail. Partie 3. L organisation du travail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août code NSF 312

GESTION DE TRES PETITE ENTREPRISE

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

La délégation de pouvoirs

Les métiers du secrétariat et de la bureautique

TÉMOIGNAGE CLIENT ELIOR

Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales

Chargé(e) d Accueil. La filière certifications de l afpols

Gestion d événements et modulation dynamique de choix sous Sphinx par calcul de contraintes en temps réel.

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL

COLLEGE ANDRE LAHAYE

TEST PRATIQUE DU TEST DE LOGIQUE MATHEMATIQUE ET VERBAL

CONTENU DU CAHIER DE GESTION

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

NOS HORAIRES D OUVERTURE. Lundi, mardi et jeudi 9h 12h et 13h 18h Le mercredi 9h 17h Le vendredi 9h 12h. Bureau Information Jeunesse Municipal

1. Contexte et justification

TERMES DE REFERENCE. : Consultant gestion de l information et des bases de données protection de l enfance (consultation nationale)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES

BTS MUC Management des Unités Commerciales MODALITES & AVANTAGES BUSINESS PROGRAMME / ALTERNANCE

Classifications et salaires

I/ La réalisation de la fiche de poste II/ Un cadrage accru en hygiène et sécurité : un complément à la fiche de poste III/ Modèles

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour»

PUBLIC CONCERNE Toute personne chargée de recruter dans le cadre du placement, du recrutement et de l intérim

Management Chapitre 3 Diriger et décider

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

WHY CONSULTING. Performance Commerciale en B2B

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR

Rapport d évaluation du master

Jacques SOYER Fonction formation

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007

CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.

APPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile

BTS NRC. Négociations Relations Commerciales

Direction des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF

Du marketing dans ma PME!

SERVICES INFORMATIQUES AUX ORGANISATIONS

P s a sep e o p r o t S e S r e vi v ce c s Fabrice Dubost

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise

Evaluation de l organisation interne

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf Indice 13 Pages : 13

FORUM FRANCO ALLEMAND du 10 décembre Participation de Me Jean TARRADE, notaire à PARIS à la 3 ème table ronde

Le 360 T&I Evaluations

Prenez en main. votre avenir! BTS-DEES-MASTER

RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA COMMANDE PUBLIQUE


Commerce International. à référentiel commun européen

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

Mutualisation des compétences

BTS M. U. C. en apprentissage

ATTIRER les meilleurs collaborateurs

Vérification des qualifications et des diplômes chinois d études postsecondaires. CAPLA Octobre 2006

- Les établissements publics à caractère industriel et commercial

Évolutions des processus d innovation. chez les constructeurs

Cadre et Structures Organiques

Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»

ELEMENTS DE BUREAUTIQUE

Direction de l Entreprise - OUTILS DE PILOTAGE DE L ENTREPRISE (OPE) «Gestion de la P.M.E, gérer un Centre de Profit»

EXEMPLES DE STATUTS DE CONTEURS

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars À propos de CATIE

Corrigé : Enquête terrain : La communication interne

SECRETARIAT : ORGANISATION, TECHNIQUES ET METHODES DE TRAVAIL

Transcription:

Comment assurer la cohérence de l ensemble des tâches? Pré-requis En Management des organisations :Thème 1 et 2, Thème 4 points 1 et 2. En Sciences de gestion :Thème 1 et 2 Objectifs Temps 3 HEURES Apprécier le degré de décentralisation du pouvoir de décision Identifier les mécanismes de coordination mis en place Identifier et justifier le choix d une configuration structurelle rigide ou souple Au niveau des savoirs : Modes de coordination Centralisation, décentralisation du pouvoir de décision Délégation d autorité Structure rigide, structure souple Au niveau du savoir être : - Développer le travail en autonomie Vocabulaire à maîtriser (à compléter à l issue de la séquence) : 4.3 Comment assurer la cohérence de l ensemble des tâches? - Modes de coordination - Centralisation, décentralisation du pouvoir de décision - Délégation d autorité - Structure rigide, structure souple 1. Mise en situation : La multiplicité et la complexité des tâches qui accompagnent la croissance de l organisation impliquent généralement de faire évoluer les modes de coordination. À un certain niveau, les mécanismes de coordination s accompagnent d une délégation du pouvoir de décision. Cette délégation peut également correspondre à un choix managérial du dirigeant. Le management stratégique vise alors à s assurer que ces décisions déléguées au niveau opérationnel s articulent logiquement avec les décisions stratégiques. De l ensemble de ces choix de modes de coordination découlent des configurations structurelles souples ou rigides. Plan Fait L organisation de la production chez PSA (source : à partir d un cas de synthèse Foucher) 2. Application : -Vrai/faux 2. Synthèse : A compléter Page 1

1. MISE EN SITUATION L organisation de la production chez PSA A l aide des informations en annexe et des ressources proposées ci-dessous, 1. Caractérisez l organisation PSA. Ses objectifs ont-ils été atteints en 2010? Taille et secteur Statut et finalité Ressources - Humaines : plus de 100 000 salariés qualifiés et formés (et polyvalents). - Financières : capital apporté par les actionnaires (2,9 mds ). - e 6,7. Page 2

2. Présentez les principales caractéristiques du système de production PSA. Identifiez les objectifs et les risques de sous-traiter d une partie de la production. 3. Après avoir rappelez les différents modes de coordination de l'activité au sein d'une organisation, expliquez comment l organisation du travail s est-elle adaptée à la flexibilité des plates-formes de production? Quelles sont les conséquences pour les salariés? Page 3

4. Rappelez les différents mode de coordination de l'entreprise, quand doivent-elles se mettre en place, quel est leur rôle et quel type de structure en découle Mode Coordination de Type d'organisation Ajustement mutuel petite entreprise - informel Supervision directe Direction et contrôle direct Standardisation des procédés de travail Standardisation des résultats Standardisation des qualifications Organisation structurée dont les postes et procédures sont définies Organisation structurée dont les critères d'évaluations sont standardisés permettant une décentralisation des décisions - Grandes ou très grandes entreprises Organisation très organisées nécessitant de très grande taille Structure organisationnelle plate la structure peut être rigide Division du travail, automatisation des postes et établissement de la hiérarchisation des compétences Structure peut être souple Structure souple Organigramme Organique Organigramme fonctionnelle pyramidale Organisation fonctionnelle pyramidale Structure divisionnelle voire matricielle Organigramme matriciel 5. Identifiez la structure organisationnelle de l entreprise. Justifiez votre réponse. (Vous pourrez vous aider du doc 1 du chapitre 12 et des annexes 5 et 6). Page 4

6. partir de vos connaissances et en vous appuyant sur l expérience de Renault et PSA : - Rappelez les avantages et inconvénients de ce type de structure. - Envisagez ses conséquences pour les salariés. Annexes Page 5

Page 6

Page 7

Ressource 1 : les modes de coordination? Dans toutes les organisations, l activité humaine nécessite que soit réalisée une multitude de tâches plus ou moins complexes. Deux besoins organisationnels fondamentaux apparaissent alors : - la division du travail entre les différentes tâches à accomplir - la coordination de ces tâches pour accomplir l action collective et remplir la finalité de l organisation. Comment faire en sorte que l action de chacun permette de converger vers le but commun de l organisation? un simple processus de communication informelle peut suffire : des échanges spontanés entre différentes personnes de l organisation, des négociations, des compromis vont permettre l articulation logique des tâches entre elles (on parle de cohérence) et la réalisation de l action collective. Par exemple, Madame Raku fait de la poterie dans son atelier. Devant le succès de son activité, elle embauche Mlle Bisque. Pour coordonner les tâches dans cet atelier de poterie, il suffit aux deux employées de communiquer entre elles oralement. la coordination du travail peut être le fait d une personne qui donne des ordres et des instructions à plusieurs autres qui travaillent en interrelations et supervise leur exécution. Page 8

Les commandes à l atelier de poterie continuent d affluer et Madame Raku est rapidement submergée de commandes. Il faut recourir à d autres employés : quatre puis cinq. A ce moment, Madame Raku comprend que la coordination entre les sept personnes de son petit atelier ne peut plus se faire de façon informelle. Elle nomme alors Mlle Bisque responsable de l atelier chargée à plein temps de la supervision et de la coordination des cinq personnes qui fabriquent la poterie. L entreprise continue de croître. la définition de normes, de procédures à respecter, de résultats à atteindre ou de qualifications à détenir est également un mécanisme de coordination Sur les conseils d un consultant en organisation, l atelier est alors réorganisé en quatre lignes de produit : pots, cendriers, suspensions et animaux en céramique. Chaque opérateur présent sur chaque ligne est spécialisé dans son domaine : le premier prépare l argile, le second prend en charge la mise en forme, etc. La production est réalisée ainsi sous la forme de quatre chaînes de fabrication. Chacun travaille en fonction de sa qualification, selon des normes précises et à un rythme défini qui permet la coordination de l ensemble. Source : CRCOM Ressource 2 : La notion de structure organisationnelle Source : Foucher Toute organisation nécessite, pour remplir ses objectifs et satisfaire à sa finalité, d être structurée. Les fonctions que chacun doit accomplir dans l organisation, les modes de collaboration entre les personnes, les unités, les services doivent être déterminés. Selon le degré de formalisation des relations entre les acteurs de l organisation et le degré de précision des fonctions à accomplir, on parlera de structure souple ou de structure rigide. A l épicerie du village, la structure est souple. Les deux employés et le patron remplissent indifféremment les rayons, encaissent les achats, font les commandes aux fournisseurs. En cas d affluence, il suffit à celui qui est en caisse, d appeler son collègue en rayon pour venir l aider. Page 9

Quand la structure de l organisation est souple, les tâches sont effectuées indifféremment par tous les acteurs de l organisation car ils disposent de compétences identiques et sont polyvalents. La coordination entre eux se fait par un simple processus de communication informelle. La supérette de la ville limitrophe est organisée autrement. Une équipe de salariés assure toute la journée la mise en rayon, une autre équipe est chargée des encaissements. Certains rayons sont sous la tutelle de responsables : la boucherie, la poissonnerie. Quant au dirigeant, il s assure, en faisant le planning du personnel, en passant les commandes aux fournisseurs, que toutes les tâches nécessaires au bon fonctionnement de la supérette soient assurées. Dans l hypermarché local, les équipes sont encadrées par des responsables recrutés en fonction de leurs compétences. C est à eux que reviennent l organisation et le contrôle du travail des équipes. Les relations entre les personnes ne s établissent plus qu entre le dirigeant et les responsables d équipes. Dans les deux cas précédents, la structure est rigide car les fonctions de chaque acteur se sont précisées, les relations entre eux sont devenues plus formelles. Dans des structures plus grandes encore, des établissements indépendants gèrent de façon autonome leur propre personnel, tout en respectant des objectifs fixés par une direction centrale. Tout en fixant des objectifs à remplir par ses établissements, la structure de l ensemble s est assouplie : chaque établissement est libre de son organisation pourvu qu il atteigne les objectifs qui lui sont assignés. Source : CRCOM Source : Foucher Page 10

Ressource 3 : Typologie des principales structures d une organisation Ressource 4 : Centralisation, décentralisation du pouvoir de décision Source : Foucher Dès l instant où une organisation atteint un certain seuil de croissance, le pouvoir de décision ne peut plus être centralisé : le dirigeant ne peut pas tout faire, tout organiser, tout superviser. Il devient alors nécessaire de procéder à une décentralisation des décisions. La délégation d autorité est un acte juridique par lequel une autorité se dessaisit de ses pouvoirs et les transfère à une autre personne. Celle-ci assume alors les obligations et les responsabilités qui lui ont été déléguées. Si la délégation est une affaire de personne à personne, la décentralisation, quant à elle, relève de l organisation et de la structure de l organisation. Elle modifie en profondeur la division des tâches entre les personnes de l organisation et nécessitent la mise en place de modes de coordination. Source : CRCOM Page 11

2. Applications 1. Vrai ou Faux? Les affirmations suivantes sont elles vraies ou fausses? Justifiez votre réponse JUSTIFICATION 1- La structure d une organisation correspond au nombre de pays dans lesquels est commercialisée sa production. 2- La supervision directe consiste à rédiger des procédures de travail qui seront appliquées par les subordonnés. 3- La standardisation des compétences consiste à recruter des individus correctement formés qui exécuteront leur travail de façon autonome. 4- Un pouvoir décentralisé permet à chaque salarié de choisir ses horaires de travail. 5- La délégation de pouvoir est un formulaire administratif impérativement écrit et signé par le salarié. 6- Une délégation de pouvoir est accordée pour une durée limitée. 7- La structure matricielle est réservée aux entreprises multinationales. 8- La structure d une organisation se modifie lorsque l entreprise développe une nouvelle activité. Faux Faux Vrai Faux Faux Vrai Faux Vrai Une structure définit l ensemble des fonctions de chaque unité et la façon dont elles se coordonnent. Cette définition correspond à la standardisation des procédés. La supervision directe est le fondement du système hiérarchique où un supérieur distribue les tâches et en contrôle l exécution. C est le mécanisme de coordination utilisé dans un établissement scolaire par exemple. Les horaires de travail relèvent du règlement intérieur ou du contrat de travail et sont indépendants des attributions du salarié. L écrit n est pas obligatoire. La délégation doit être certaine, exempte d ambiguïté, précise, partielle et limitée. Ainsi, la délégation opérant un transfert de la totalité des pouvoirs du délégant est irrégulière. Le choix d une structure est libre. Cela relève de la stratégie de l entreprise. Le choix d une structure organisationnelle évolue avec la taille de l entreprise. Page 12

3. Synthèse Vocabulaire à maîtriser : Source : Nathan Page 13