L OPINION PUBLIQUE EN EUROPE : LES SERVICES FINANCIERS



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Transcription:

urobaromètre spécial ONON UQU N URO : ONON UR RVC NNCR RUM XCUT Commission européenne ONON UQU N URO : RVC NNCR Terrain : Novembre-écembre 2003 ublication : Juin 2004 urobaromètre spécial 202 / Vague 60.2 - uropean Opinion Research Group G RÉUMÉ ondage commandité par la irection générale anté et rotection des Consommateurs et coordonné par la irection générale resse et Communication e présent document ne représente pas le point de vue de la Commission européenne. es interprétations et les opinions qu'il contient n'engagent que les auteurs. TH URON ONON RRCH OU 1

Ce résumé est basé sur les opinions à l'égard des questions liées aux services financiers. 'avis des citoyens est analysé dans tous les pays de l'union, et les résultats sont présentés à l'échelle des 15 États membres, au niveau de chaque pays ainsi qu'en fonction de certaines variables sociodémographiques, qui mettent en relief les similarités et les divergences en fonction de critères tels que l'âge, le sexe, le niveau d'études, l'activité, etc. es principales données constituant ce rapport ont été collectées entre le 2 novembre et le 12 décembre 2003 et font partie de la vague 60.2 de l urobaromètre tandard. n étudiant les données de près, les principales différences d'opinions apparaissent d'un pays à l'autre, plutôt qu'en fonction de caractéristiques sociodémographiques. C'est pourquoi ce résumé porte essentiellement sur les divergences entre pays, alors que les rapports et contiennent une analyse sociodémographique détaillée. rincipales priorités financières de l urope 65% des répondants de l U15 ont classé ayer les factures en tête de leurs priorités financières. ls sont 51% à considérer voir quelques économies en cas d urgence comme l une des principales priorités ainsi que 49% à citer Vivre aussi bien que possible avec mes revenus actuels. rincipales priorités financières des uropéens ayer les factures 65 conomies en cas d urgence Train de vie actuel 49 51 ncapacité de travail / Malade 25 ayer mes dettes conomies pour ma retraite 19 21 ogement uccession 15 15 émarrer une entreprise 4 0% 20% 40% 60% 80% 1 es 3 principales priorités sont les mêmes d un pays à l autre. a proportion des répondants citant une priorité financière donnée varie de manière significative entre les pays. Tandis que 63% des Néerlandais et 61% des taliens citent voir quelques économies en cas d urgence comme l une des principales priorités, seulement 33% des anois et 30% des inlandais partagent cette opinion. es inlandais (61%) considèrent Vivre aussi bien que possible avec mes revenus actuels comme l une de leurs trois principales priorités financières. vec les rlandais et les Néerlandais (58% tous deux) ainsi que les ritanniques (57%), les résultats de la inlande présentent un contraste par rapport aux 36% de l talie. TH URON ONON RRCH OU 2

Opinions des uropéens concernant leurs finances et services financiers l a été demandé aux répondants ce qu ils pensent de leurs finances et des services financiers. ans l U15, la réponse la plus courante (23%) est «compliqué». a seconde impression la plus courante (20%) est «intimidant», vient ensuite l'option «déprimant» qui est partagée par 19% des répondants de l U15. Cependant, on note d importantes variations entre les pays. e pourcentage de réponses compliqué varie de 12% au uxembourg à 45% au ortugal. a réponse intimidant varie de 3% au anemark à 40% en Grèce et la réponse déprimant de 7% au anemark à 32% au Royaume-Uni. rincipaux types de produits et services financiers utilisés par les uropéens 80% des répondants de l U15 ont un compte courant offrant une carte de paiement ou un carnet de chèques. a situtation dans l U15 est irrégulière : des pourcentages élevés sont enregistrés aux ays-as (98%), en elgique, en rance (93% tous deux) et en llemagne (91%). Celui de la Grèce contraste avec ces résultats. eulement 20% des Grecs ont un compte courant offrant une carte de paiement ou un carnet de chèques. rès de la moitié (45%) des uropéens a une carte de crédit. osséder une carte de crédit est extrêmement courant en rance (75%) et au uxembourg (69%) et bien inférieur à la moyenne U15 en llemagne (26%), au ortugal (21%) et en Grèce (20%). rès d un répondant sur deux (44%) a déclaré avoir un compte de dépôt rémunéré mais sans carte de paiement ou carnet de chèques. n elgique et en utriche, 75% des répondants déclarent en avoir un, tandis que l talie (11%) et le ortugal (19%) sont à l autre l extrémité de l échelle avec des pourcentages inférieurs à 20%. rincipaux types de produits et services financiers utilisés par les uropéens Compte courant utre type de carte Carte de crédit Compte de dépôt Chéquier ssurance vie ut. découvert sur c. courant Retraite privée rêt hypothécaire ctions lacements collectifs rêt > 12 mois - voiture rêt > 12 mois autre Obligations econd prêt hypothécaire 2 9 8 13 11 19 15 23 35 42 39 45 44 49 80 0% 20% 40% 60% 80% 2 n général, la possession de différents types de produits et services financiers est très faible en Grèce et au ortugal. TH URON ONON RRCH OU 3

Utilisation du téléphone ou d nternet pour les transactions financières n général, un plus grand nombre de répondants de l U15 déclarent avoir utilisé le téléphone qu nternet pour réaliser une transaction financière. Commander un produit ou service est la transaction financière la plus courante pour laquelle les répondants utilisent le téléphone ou nternet. ls sont 43% à avoir utilisé le téléphone pour commander un produit ou service et 23% à avoir utilisé nternet pour le faire. Tandis que 43% des répondants déclarent avoir utilisé le téléphone pour commander un produit ou service, 23% seulement déclarent avoir payé par téléphone. Cet écart est moins important pour les transactions financières sur nternet : ils sont 23% à avoir commandé par nternet et 18% à avoir payé par nternet. rès de la moitié des répondants (42%) ayant répondu qu ils n avaient jamais utilisé le téléphone pour payer quelque chose ont expliqué que ce moyen de paiement ne les intéresse pas et 20% pensent que ce moyen de paiement n est pas sûr. Utilisation du téléphone ou d nternet (y compris Minitel) pour des transactions financières Commander un produit/service 23 43 ayer des livres, des réservations d hôtel ou de voyage, etc. Transaction bancaire 15 17 18 23 utres transactions financières 9 11 0% 10% 20% 30% 40% Téléphone nternet 3 utilisation du téléphone ou d nternet pour les transactions financières est bien supérieure à la moyenne U15 dans les pays nordiques (,, N,, N) tandis que le ortugal et la Grèce sont en bas de l échelle. TH URON ONON RRCH OU 4

ctivités transfrontalières dans les services financiers et obstacles à ces activités es niveaux d activités transfrontalières dans les services financiers sont très faibles en urope variant, pour la plupart, de 4% (compte en banque) à 1% (plupart des autres services financiers). es uxembourgeois sont en général au-dessus de la moyenne U15. a mesure dans laquelle les répondants envisageraient d obtenir des services financiers dans un autre pays de l U dans les 5 années à venir est également très faible, ne dépassant jamais 10%. ctivités transfrontalières dans les services financiers Compte en banque Carte de crédit lan de retraite privé ssurance voiture ssurance vie rêt hypothécaire ctions lacements collectifs utres services financiers 1 1 1 1 1 1 2 2 3 4 4 5 5 6 7 7 8 9 Ont déjà obtenu dans un autre pays de l U nvisageraient d obtenir dans un autre pays de l U 0% 2% 4% 6% 8% 10% une manière générale, les répondants de l U15 citent le manque d informations comme principal obstacle (24%) aux activités transfrontalières dans les services financiers. n outre, plus d un répondant sur cinq déclarent que ces activités sont trop risquées (23%) et que les problèmes de langue (22%) sont un obstacle. Toutefois, 28% des répondants de l U15 n ont rencontré aucun obstacle les empêchant d utiliser des services financiers ailleurs dans l Union européenne. TH URON ONON RRCH OU 5

Modes de paiement préférés es répondants européens préfèrent utiliser du liquide pour payer dans leur propre pays (46%) et du liquide (34%) et une carte de crédit ou une autre carte bancaire (33%) dans un autre pays membre de l Union européenne. es chèques sont le mode de paiement le moins prisé. Modes de paiement préférés iquide 34 46 Carte de crédit ou autre carte bancaire 33 36 Virement bancaire ou postal 4 10 Chèque 3 5 0% 10% 20% 30% 40% 50% Mode de paiement pour un achat important dans leur propre pays Mode de paiement pour un achat important dans un autre pays membre de l U 5 a moyenne U15 cache d énormes disparités entre les pays. Tandis que 94% des Grecs préfèrent le liquide pour payer dans leur propre pays, 3% seulement déclarent avoir utilisé une carte de crédit. n rance, nous discernons un tableau opposé : 20% seulement des rançais préfèrent payer en liquide dans leur propre pays mais 37% préfèrent faire un chèque. a plupart des répondants ont cité arce que c est facile comme raison la plus importante justifiant leur moyen de paiement préféré dans leur propre pays (78%) et dans un autre pays de l U (69%). es autres raisons les plus fréquemment mentionnées sont les raisons de écurité (14% dans leur propre pays 18% dans un autre pays de l U) et our éviter le risque de perte ou de vol (14% dans leur propre pays 18% dans un autre pays de l U). l est également intéressant de noter que plus d un répondant sur cinq en général et 41% en Grèce, 34% au ortugal, 25% en spagne et en rance, 24% en rlande et 22% au Royaume-Uni n a jamais acheté quoi que ce soit dans un autre pays membre. orte-monnaie électronique Tandis que 13% des répondants de l U15 déclarent avoir utilisé un porte-monnaie électronique, 20% déclarent qu ils envisageraient de l utiliser dans les quelques années à venir. ls sont 65% à déclarer qu ils ne le feraient pas et 15% à ne pas savoir. utilisation d un porte-monnaie électronique atteint son niveau le plus élevé en elgique (42%), aux ays-as (41%) et au uxembourg (38%). TH URON ONON RRCH OU 6

Comparer entre les banques les caractéristiques et les frais d un compte bancaire 50% des répondants de l U15 pensent qu il est difficile de comparer entre les banques les caractéristiques et les frais d un compte bancaire (37% plutôt difficile + 13% très difficile ). ls sont 41% à penser que c est facile (33% plutôt facile + 8% très facile ) et 9% à ne pas savoir. Comparer entre les banques les caractéristiques et les frais d un compte bancaire N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile 6 Obtenir gain de cause lors d un différend avec une banque 76% des répondants de l U15 pensent qu il est difficile d obtenir gain de cause lors d un différend avec une banque (35% plutôt difficile + 41% très difficile ). eulement 10% pensent que c est facile (8% plutôt facile + 2% très facile ). e taux de réponses Ne sait pas s élève à 15%. Obtenir gain de cause lors d un différend avec une banque N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile 7 TH URON ONON RRCH OU 7

avoir au préalable combien va coûter un emprunt 46% des répondants de l U15 pensent qu il est facile de savoir à l avance combien va coûter un emprunt (36% plutôt facile + 10% très facile ). ls sont 43% à penser que c est difficile (32% plutôt difficile + 11% très difficile ) et 10% à ne pas savoir. Connaître au préalable le coût d un emprunt N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile 8 Comprendre le fonctionnement d un prêt hypothécaire et le risque encouru 59% des répondants de l U15 pensent qu il est difficile de comprendre les informations remises par les institutions financières concernant le fonctionnement des prêts hypothécaires et le risque encouru (41% plutôt difficile + 18% très difficile ). ls sont 27% à penser que c est facile (23% plutôt facile + 4% très facile ) et 14% à ne pas savoir. Comprendre le fonctionnement des prêts hypothécaires et le risque encouru N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile TH URON ONON RRCH OU 8 9

Comparer les informations sur les différents prêts hypothécaires 55% des répondants de l U15 pensent qu il est difficile de comparer les informations sur les différents prêts hypothécaires (38% plutôt difficile + 17% très difficile ). ls sont 30% à penser que c est facile (25% plutôt facile + 5% très facile ) et 16% à ne pas savoir. Comparer les informations sur les différents prêts hypothécaires N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile 10 Obtenir gain de cause lors d un différend avec une compagnie d assurance 76% des répondants de l U15 pensent qu il est difficile d obtenir gain de cause lors d un différend avec une compagnie d assurance (33% plutôt difficile + 43% très difficile ). ls sont seulement 10% à penser que c est facile (8% plutôt facile + 2% très facile ) et 14% à ne pas savoir. Obtenir gain de cause lors d un différend avec une banque N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile 11 TH URON ONON RRCH OU 9

Changer de banque eulement 21% des répondants de l U15 pensent qu il est difficile de changer de banque (15% plutôt difficile + 6% très difficile ). ls son 69% à penser que c est facile (41% plutôt facile + 28% très facile ) et 10% à ne pas savoir. Changer de banque N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile 12 avoir à l avance ce qui est couvert par une police d assurance 39% des répondants de l U15 déclarent penser qu il est facile de savoir à l avance ce qui est couvert par une police d assurance (31% plutôt facile + 8% très facile ). a moitié des répondants de l U15 pensent que c est difficile (37% plutôt difficile + 14% très difficile ) et 11% ne savent pas. avoir à l avance ce qui est couvert par une police d assurance N N U15 Très difficile lutôt difficile Très facile lutôt facile 13 TH URON ONON RRCH OU 10

voir un compte en banque revient cher ans l U15, 45% des répondants partagent l opinion selon laquelle avoir un compte en banque revient cher. autre part, 48% d entre eux ne sont pas d accord avec cette affirmation et 7% n ont pas d opinion. a moyenne U15 cache un large éventail d opinions à travers l urope. eulement 20% des Néerlandais pensent que cela revient cher tandis que plus des trois quarts des taliens (80%) pensent que c est le cas. e nombre de personnes qui désapprouvent cette affirmation surpasse le nombre de celles qui l approuvent au anemark (57%), en llemagne (49%), en Grèce (61%), en spagne et en rance (50%), aux ays-as (73%), en inlande (58%), en uède (72%) et au Royaume-Uni (71%). e crédit à la consommation est plus utile que dangereux 35% des uropéens pensent que le crédit à la consommation est plus utile que dangereux. Toutefois, un peu plus de la moitié des répondants (52%) n est pas d accord tandis que 13% n ont pas d opinion. es différences considérables entre les pays sont enregistrées : 49% des spagnols, 47% des rlandais et des ritanniques ainsi que 46% des taliens sont d accord avec cette affirmation contre 12% seulement des Néerlandais. l inverse, les pourcentages des personnes qui ne sont pas d accord avec cette affirmation varient de 30% en talie aux résultats élevés de 71% en utriche, 74% au anemark et 80% aux ays-as. as de véritable contrôle sur l emprunt ept uropéens sur dix ne pensent pas qu il leur soit possible d emprunter autant qu ils le souhaitent parce qu il n y a aucun véritable contrôle. un autre côté, 12% sont d accord avec cette affirmation et 11% n ont pas d opinion. lus des trois quarts des ortugais (76%), des spagnols et des taliens (77% chacun), des inlandais (78%) et des uédois (80%) ne sont pas d accord avec cette affirmation. ans seulement trois pays, le nombre des personnes qui ne sont pas d accord est inférieur à deux tiers : le Royaume-Uni (60%), la rance (63%) et l'utriche (64%). e problème du surendettement n existe pas dans le pays du répondant lus de sept uropéens sur dix (73%) ne pensent pas que le problème du surendettement n existe pas dans leur pays. 14% des répondants sont d accord avec cette affirmation et 13% n ont pas d opinion. es inlandais (30%), les Grecs et les uxembourgeois (20%) sont d accord avec l affirmation selon laquelle le problème du surendettement n existe pas dans leur pays. es Néerlandais (93%) arrivent en tête de la liste des opposants à cette affirmation, suivis par les rançais (86%), les elges (82%) et les anois (81%). un autre côté, 61% seulement des spagnols et des inlandais et 62% des Grecs interrogés ont exprimé leur désapprobation. TH URON ONON RRCH OU 11

es techniques de marketing des institutions financières sont agressives rès de six répondants de l U15 sur dix (57%) sont d accord avec l affirmation selon laquelle les techniques de marketing des institutions financières sont agressives. ls sont 22% à ne pas avoir d opinion et 21% à ne pas être d accord. es variations substantielles dans les différents pays de l U15 sont constatées. aspect le plus frappant est que 51% des inlandais désapprouvent cette affirmation. vec 29%, le uxembourg et la elgique arrivent en seconde place dans le classement. Cela signifie une disparité de 22% entre la première et la seconde place. un autre côté, plus des deux tiers des rançais et des uédois (66% chacun), des anois (67%) et des Néerlandais (74%) sont d accord avec cette affirmation. es informations reçues des établissements financiers sont claires et compréhensibles 58% des répondants de l U15 ne sont pas d accord avec l affirmation selon laquelle les informations qu ils obtiennent des établissements financiers sont claires et compréhensibles. ls sont 29% à l'être et 13% à ne pas avoir d opinion. rès des deux tiers des rançais (64%), des taliens (66%) et des uédois (67%) désapprouvent cette affirmation. un autre côté, 44% des uxembourgeois, 46% des inlandais et 44% des elges et des rlandais sont d accord. es droits des consommateurs de services financiers sont protégés de manière adéquate Un quart des répondants de l U15 n ont pas d opinion concernant l affirmation selon laquelle leurs droits en tant que consommateurs sont protégés de manière adéquate en ce qui concerne les services financiers. ls sont 34% à être d accord avec cette affirmation et 41% à ne pas l être. lus de la moitié des inlandais (60%) et des uxembourgeois (58%) sont d accord avec cette affirmation, suivis par les elges (44%) et les anois (43%). un autre côté, en Grèce (56%), en uède (53%), en talie (50%) et en rance (49%), des résultats supérieurs à la moyenne sont enregistrés en ce qui concerne les personnes qui désapprouvent cette affirmation. TH URON ONON RRCH OU 12

l y a des moyens faciles de régler les différends avec les banques et les compagnies d assurance 58% des répondants de l U15 ne sont pas d accord avec l affirmation selon laquelle il y a des moyens faciles de régler les différends avec les banques et les compagnies d assurance. eulement 17% sont d accord et 26% n ont pas d opinion. n tête des pays désapprouvant cette affirmation se trouvent les uédois (72%), les inlandais (67%), les taliens (65%) et les rançais (64%). u uxembourg, près de la moitié des personnes interrogées (45%) sont d accord. es transactions financières sont généralement sûres a moitié (55%) des répondants de l U15 est d accord avec l affirmation selon laquelle les transactions financières sont généralement sûres. ls sont 24% à ne pas être d accord et 21% à ne pas avoir d opinion. es pays scandinaves révèlent un nombre élevé de personnes approuvant cette affirmation : 86% des inlandais, 78% des anois et 77% des uédois. Viennent ensuite les ays-as (73%) et le uxembourg (70%). e niveau d approbation le plus faible est enregistré en Grèce (29%). a Grèce est le seul pays où le nombre de répondants qui désapprouvent cette affirmation surpasse (46%) le nombre de ceux qui l approuvent (29%). es informations confidentielles transmises aux banques ou aux compagnies d assurance sont protégées de manière adéquate a moitié des répondants de l U15 (51%) approuvent l affirmation selon laquelle les informations confidentielles transmises aux banques ou aux compagnies d assurance sont protégées de manière adéquate. Cependant, un cinquième des répondants (22%) n a pas d opinion et 27% ne sont pas d accord. e résultat U15 dissimule la diversité des opinions sur ce point. Tandis que le niveau d approbation est de seulement 37% au ortugal, plus des deux tiers de tous les répondants scandinaves approuvent cette affirmation : uède (67%), anemark (73%) et inlande (74%). es chiffres légèrement inférieurs à la moyenne U15 sont enregistrés en talie et en rance (48% tous deux) ainsi qu en llemagne (49%) tandis que l spagne (51%), l rlande (52%) et l utriche (53%) sont légèrement audessus celle-ci (51%). TH URON ONON RRCH OU 13

Confiance envers le téléphone pour les transactions bancaires 24% des répondants de l U15 sont d accord, 61% ne sont pas d accord et 15% n ont pas d opinion concernant l affirmation selon laquelle ils font confiance au téléphone pour les transactions bancaires. lus de la moitié des uédois (60%) et des anois (55%) sont d accord avec cette affirmation. Un pourcentage d approbation élevé de 49% a également été enregistré pour les répondants néerlandais. ux ays-as (42%), en uède (32%) et au anemark (27%), le nombre de répondants qui ne sont pas d accord est inférieur au nombre de répondants qui sont d accord. peu près autant d rlandais désapprouvent (40%) et approuvent (38%). Confiance envers nternet pour les transactions bancaires 58% des répondants de l U15 ne sont pas d accord avec l affirmation selon laquelle ils font confiance à nternet pour les transactions bancaires et les paiements. eulement 20% sont d accord et 21% n ont pas d opinion. On constate des variations considérables parmi les différents pays de l U. Comme pour la confiance envers le téléphone, les pays scandinaves tendent à révéler les niveaux de confiance les plus importants en ce qui concerne l utilisation d nternet pour les transactions bancaires et les paiements : anemark (56%), uède (55%) et inlande (48%). es Néerlandais ont également un niveau d approbation élevé (46%). es niveaux de désapprobation les plus importants sont enregistrés en Grèce (71%), en talie (68%), en rance (64%) et en llemagne (63%). es transactions sur nternet sont généralement sûres ans les pays de l U15, 45% des répondants ne sont pas d accord avec l affirmation selon laquelle les transactions sur nternet sont généralement sûres. ls sont 22% à être d accord et 33% à ne pas avoir d opinion. Malgré une moyenne U15 de 22% seulement de personnes approuvant cette affirmation, la moitié ou plus des personnes interrogées dans les pays scandinaves sont d accord : inlande et anemark (51% chacun) et uède (59%). es résultats des ays-as sont également élevés : 29% des répondants sont d accord avec cette affirmation. es niveaux de désapprobation les plus élevés sont enregistrés en Grèce (64%). TH URON ONON RRCH OU 14

es problèmes sont plus difficiles à résoudre lorsque la transaction a été effectuée par nternet 40% des répondants de l U15 n ont pas d opinion quant à l affirmation selon laquelle, s ils effectuent une transaction sur nternet, les problèmes éventuels sont plus difficiles à résoudre. ls sont 30% à être d accord et la même proportion à ne pas l'être. Une explication possible du résultat Ne sait pas élevé est la part importante de personnes n ayant jamais essayé d effectuer une transaction par nternet. es ortugais (53%) n ont pas d opinion, tout comme 46% des spagnols et des rlandais et 44% des taliens et des ritanniques. es inlandais (52%) et les uédois (44%) sont les plus susceptibles d approuver. un autre côté, plus d un tiers des uédois (33%), des elges, des Grecs et des rançais (34% chacun) et 37% des uxembourgeois ne sont pas d accord. ans huit pays, la proportion des répondants qui désapprouvent est supérieure à celle des répondants qui approuvent : la elgique, l llemagne, la Grèce, la rance, l rlande, le uxembourg, le ortugal et le Royaume-Uni. ttentes des consommateurs quant aux conseils des établissements financiers 74% des répondants de l U15 s attendent à recevoir des conseils de la part des établissements financiers. ls sont 21% à ne ne pas attendre ce type de conseil et 6% à ne pas savoir. importantes différences d un pays à un autre sont observées. ans trois pays, moins de la moitié des répondants s attendent à recevoir des conseils de la part des établissements financiers : Grèce (37%), ortugal et spagne (46% chacun). Tout en haut du classement se situent l llemagne (92%), le anemark et les ays-as (88% chacun), le uxembourg (86%), la inlande (84%) et la uède (80%), où plus de huit répondants sur dix s attendent à recevoir des conseils de la part des établissements financiers. e consommateur prend ses propres décisions financières 92% des personnes interrogées prennent leurs propres décisions financières. eulement 6% déclarent que ce n est pas le cas et 2% n ont pas d opinion. ucune différence frappante entre les pays membres n est observée. n dehors de l spagne (86%) et de l talie (89%), plus de 90% des répondants dans tous les pays déclarent prendre leurs propres décisions financières. TH URON ONON RRCH OU 15

Confiance envers les conseils donnés par les établissements financiers 47% des répondants de l U15 font confiance aux conseils donnés par les établissements financiers, 38% ne leur font pas confiance et 15% n ont pas d opinion. es pourcentages de confiance les plus élevés sont enregistrés au anemark (72%) et en inlande (73%). es utrichiens (65%), les llemands (56%) et les uxembourgeois (55%) révèlent également des pourcentages bien supérieurs à la moyenne. l autre extrémité de l échelle se situent la Grèce (20%), l talie (33%), l spagne et le ortugal (41% chacun), la rance (46%) et le Royaume-Uni (48%), tous ayant des pourcentages inférieurs à 50%. u niveau U15, 47% des répondants font confiance aux conseils donnés par les établissements financiers, 38% ne leur font pas confiance et 15% n ont pas d opinion. Harmonisation des normes de protection des consommateurs u niveau U15, 45% des répondants pensent qu il devrait y avoir une totale harmonisation des normes de protection des consommateurs en urope. ls sont 24% à penser qu il devrait y avoir une harmonisation partielle. Un cinquième des répondants est sans opinion et 11% sont contre. Harmonisation des normes de protection des consommateurs N N U15 Non Oui, totalement Oui, en partie 14 orsque nous avons posé une question plus spécifique concernant l harmonisation relative aux services financiers, aucune différence significative par rapport à la question concernant l harmonisation en général n'a été observée. Ce constat est une preuve que les répondants ont bien compris la question générale comme concernant l harmonisation en matière de services financiers. TH URON ONON RRCH OU 16