Publication des états financiers 2012 des annexes et du Pilier III - Bâle II

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1 COMMUNICATION FINANCIÈRE RÉSULTATS 2012 Publication des états financiers 2012 des annexes et du Pilier III - Bâle II NORMES ET PRINCIPES COMPTABLES APPLIQUÉS PAR LE GROUPE ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS NOTES ANNEXES AUX ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS COMPTES SOCIAUX DE LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE MAROCAINE DE BANQUES ÉTATS ANNEXES PILIER III - BÂLE II 1

2 COMMUNICATION FINANCIÈRE RÉSULTATS 2012 Société Générale Maroc consolide en 2012 sa place de banque marocaine de référence, au 4ème rang des banques contributrices au financement de l économie du Royaume, renouvelant ainsi son engagement de développement continu et pérenne, main dans la main avec l ensemble des clients particuliers, professionnels, entreprises et institutionnels. Dans un contexte plus difficile, marqué par une croissance modérée des encours de crédits et de dépôts de l ensemble du secteur bancaire, Société Générale Maroc affiche un résultat net part du groupe de un milliard de dhs, en retrait par rapport à l exercice 2011 en raison d une charge de risque accrue due à la dégradation de l environnement. La solidité du résultat permet néanmoins de renforcer les fonds propres qui affichent une croissance de 8% et un niveau élevé. Une bonne résilience dans un environnement global plus contraint Crédits à la clientèle Ressources de la clientèle Produit net bancaire Capitaux propres 64 milliards dhs 61 milliards dhs 4 milliards dhs 9 milliards dhs +2% -2% +7% +8% Un engagement continu de proximité, main dans la main avec l ensemble des acteurs économiques du Royaume Nommée meilleure banque au Maroc en 2012 par le magazine de référence internationale Euromoney, Société Générale Maroc dédie ce prix à ses clients accompagnés dans l ensemble des régions du Royaume. Illustrant son engagement renouvelé depuis 100 ans dans la dynamique de bancarisation et au service des clients particuliers, professionnels et entreprises, cette reconnaissance traduit également la qualité de l action pérenne de Société Générale : Banque de proximité, Société Générale Maroc a ouvert plus de 100 agences au cours des cinq dernières années, portant ainsi son réseau de distribution à près de 380 agences et 420 guichets automatiques et automates de change, répartis sur l ensemble des régions du Royaume. En constante innovation et dans une dynamique d adaptation aux différents marchés, les produits et services proposés par les équipes de Société Générale Maroc se sont encore enrichis en A titre d illustration, un nouveau package Hissab Hani a été lancé à destination des commerçants et artisans. De nombreuses initiatives ont également permis de conforter le positionnement de Société Générale en tant que précurseur sur des services-clés, comme en témoignent le partenariat e-commerce conclu avec les sites marchands laredoute.ma et knooz.ma pour offrir aux porteurs de cartes Société Générale des avantages exclusifs sur leurs achats, ou la participation de Société Générale Maroc en tant que seule banque au salon virtuel des Etudes pour dialoguer, conseiller et orienter les jeunes étudiants dans leurs choix d orientation professionnelle Parmi les principaux acteurs bancaires affichant son engagement dans la durée en tant que banque de financement de proximité auprès des PME, TPE et professionnels du Royaume pour leur fournir des solutions de financement faciles et efficaces, Société Générale Maroc a continué à développer en 2012 des services et des partenariats forts appuyant son action. Principal contributeur au programme Imtiaz, Société Générale a signé le premier partenariat au Maroc avec la Banque Européenne de Reconstruction et de Développement pour le soutien au financement des petites et moyennes entreprises. Une offre Damane Express a par ailleurs été mise en place en faveur des PME, TPE et professions libérales pour le financement de projets inférieurs ou égaux à 1 million de dhs, facilité par la contre-garantie de la Caisse Centrale de Garantie. Pour la clientèle des grandes entreprises et des investisseurs, Société Générale Maroc offre un dispositif complet de banque d investissement (conseil en opérations de haut de bilan et en émission de dettes, arbitrages de placements d actifs, services de conservation de titres, courtage en bourse ) ainsi que de banque de flux (monétique, flux domestiques, produits de change et de l international) et de financement (direct, en syndication ou leasing). En 2012, l expertise de Société Générale Maroc a été confirmée sur ces métiers-clés au cœur de la relation banqueclient à travers les nombreux mandats remportés : Société Générale a notamment été désignée co-arrangeur d un crédit syndiqué de 2.4 milliards de dhs en faveur de Méditel et a conseillé les actionnaires de la société SACMI dans le cadre de sa cession à Touax, leader européen du secteur des constructions modulaires, ainsi qu Autoroutes du Maroc et Tanger Med2 pour leurs émissions obligataires d un montant global respectivement de 1.75 et 1.5 milliard de dhs. En ligne avec ses engagements de responsabilité sociale et de développement durable, Société Générale Maroc appuie plusieurs initiatives en faveur de l éducation et de l insertion professionnelle. Parmi les nouvelles actions menées en 2012 : un projet socio-éducatif Shams El Ousra mené avec la fondation Zakoura Education comprenant la prise en charge de la scolarisation d enfants de 8 à 16 ans ainsi qu un programme d alphabétisation ; une campagne nationale «Maroc sans sacs plastiques», visant à sensibiliser le large public au danger que représentent les sacs plastiques non biodégradables pour l environnement et à promouvoir, auprès des commerçants et des consommateurs, des solutions alternatives durables et solidaires. 2

3 SOMMAIRE SOMMAIRE n NORMES ET PRINCIPES COMPTABLES APPLIQUÉS PAR LE GROUPE 4 n ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS 8 Bilan au 31/12/ Compte de résultat au 31/12/ Tableau des flux de trésorerie 8 Variation des capitaux propres 8 n NOTES ANNEXES AUX ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS 9 1. NOTES RELATIVES AU BILAN AU 31/12/ Actifs, passifs et instruments financiers dérivés en valeur de marché par résultat Actifs financiers disponibles à la vente Opérations interbancaires, créances et dettes sur établissements de crédit Prêts, créances et dettes sur la clientèle Impôts courants et différés Comptes de régularisation, actifs et passifs divers Participations dans les sociétés mises en équivalence Actifs financiers détenus jusqu à l échéance Immobilisations corporelles et incorporelles Immeubles de placement Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées Ecarts d acquisitions Provisions pour risques et charges NOTES RELATIVES AU COMPTE DE RÉSULTAT AU 31/12/ Marge d intérêts Commissions nettes Coût du risque Gains nets sur instruments financiers évalués en valeur de marché par résultat Gains nets sur actifs financiers disponibles à la vente Produits et charges des autres activités Gains et pertes nets sur les autres actifs Impôt sur les bénéfices INFORMATION SECTORIELLE EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIES DE COUVERTURE Risque de crédit Risque de marché Risques structurels Risques opérationnels ENGAGEMENTS DE FINANCEMENT ET DE GARANTIE Engagements de financement Engagements de garantie INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Rémunérations et avantages consentis au personnel Evolution du capital et résultat par action Périmètre de consolidation Parties liées Ventilation du bilan par échéance 15 n Compte sociaux de la Société Générale Marocaine de Banques au 31/12/ n Etats annexes 20 n Bâle II 24 3

4 Comptes consolidés IAS/IFRS NORMES ET PRINCIPES COMPTABLES APPLIQUÉS PAR LE GROUPE Les établissements de crédit doivent établir et publier leurs états financiers consolidés en normes comptables internationales à partir du 1 er janvier 2008, avec un bilan d ouverture au 1 er janvier L objectif primordial des autorités réglementaires est de doter les établissements de crédit d un cadre de comptabilité et d information financière conforme aux meilleurs standards internationaux en termes de transparence financière et de qualité de l information fournie. Les nouvelles normes comptables internationales ont donc été appliquées par le groupe Société Générale Marocaine de Banques à compter du 1 er janvier CONSOLIDATION Périmètre de consolidation : Entrent dans le périmètre de consolidation les entités contrôlées (contrôle exclusif ou conjoint) ou sous influence notable. Il n est pas fixé de seuils chiffrés d exclusion dans les normes, l appréciation de la matérialité doit se faire conformément au cadre conceptuel des IFRS. Ainsi, l information est significative si son omission ou son inexactitude peut influencer les décisions économiques que les utilisateurs prennent sur la base des états financiers. L importance relative dépend de la taille de l élément ou de l erreur, jugée dans les circonstances particulières de son omission ou de son inexactitude. Exclusion du périmètre : Les cas d exception sont : n La détention en vue de revente ultérieure à un horizon maximum fixé à 12 mois, n L existence de restrictions sévères et durables qui limitent la capacité à transférer des fonds à L investisseur, n Le caractère significatif. Regroupement d entreprises : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n a pas effectué de regroupement courant Conformément aux dispositions de la norme IFRS 1, le groupe a décidé de ne pas retraiter les regroupements d entreprises antérieurs au 31/12/06. Options retenues : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques applique un ensemble de seuils pour inclure certaines entités dans le périmètre de consolidation : Filiales intégrées globalement : Pour être intégrée globalement, une entité doit satisfaire aux critères suivants : n Droit de vote > 40% n Total bilan > 0.1% de celui de l activité agrégée du groupe Société Générale Marocaine de Banques. Filiales mises en équivalence : Pour être mise en équivalence, une entité doit satisfaire aux critères suivants : n Droit de vote compris entre 15% et 40% n Part dans la situation nette > 0.5% des capitaux propres de l activité agrégée n Total bilan > 0.1% de celui de l activité agrégée. Le groupe Société Générale Marocaine de Banques ne dispose pas d entité d entités ad hoc. 2. IMMOBILISATIONS CORPORELLES Une immobilisation corporelle est un actif matériel contrôlé et possédé pour la fourniture de services ou pour les tâches administratives propres à la banque. En plus de la nature de la dépense qui reste déterminante pour son passage en immobilisation (au lieu de charge), il y a lieu de tenir compte de la possibilité d inventorier le bien en question et ce durant toute sa durée d existence à l actif de la banque. Il en découle que si la dépense présente des difficultés quant à sa localisation suite à l inventaire physique, il faut la passer en charge. Évaluation initiale : Le coût d acquisition du bien comporte : Le prix d achat, + Les droits de douane et autres impôts et taxes non récupérables, - les réductions commerciales obtenues et des taxes légalement récupérables. + Les frais de transports, + Les frais de transit, + Les frais de réception, + Les frais d assurance + Les charges d installation qui sont nécessaires à la mise en état d utilisation du bien en question. Sont à exclure du coût d acquisition : n Les droits de mutation, n Les honoraires et commissions, n Les frais d actes. Évaluation postérieure : Modèle du coût : Après sa comptabilisation initiale, un actif corporel est comptabilisé à son coût (ou valeur initiale) après diminution du cumul des amortissements et du cumul des pertes de valeur éventuelles. Modèle de réévaluation : Après sa comptabilisation initiale, un actif corporel doit être réévalué régulièrement à sa juste valeur diminuée du cumul des amortissements et pertes de valeur ultérieurs, à condition que sa juste valeur puisse être évaluée de façon fiable. Les réévaluations doivent être effectuées avec une régularité suffisante pour que la valeur comptable ne diffère pas de façon significative de celle qui aurait été déterminée en utilisant la juste valeur à la date de clôture. Amortissement : Approches par composants : chaque composant d une immobilisation dont le coût est significatif par rapport au coût total de l immobilisation doit être amorti séparément. Base amortissable : coût d un actif diminué de sa valeur résiduelle. Valeur résiduelle : le montant estimé qu une entité obtiendrait actuellement de la sortie de l actif, après déduction des coûts estimés, si l actif avait déjà l âge et se trouvait déjà dans l état prévu à la fin de sa durée d utilité. Durée d amortissement (durée d utilité) : c est soit la période pendant laquelle l entité s attend à utiliser un actif, soit le nombre d unités de production ou d unités similaires que l entité s attend à obtenir de l actif. Le mode d amortissement utilisé par le groupe Société Générale Marocaine est le linéaire. Options retenues : Les options retenues portent principalement sur l adoption de l approche par composants, le changement au niveau de la durée d amortissement, et l adoption du coût amorti. Modèle d évaluation : Le Groupe Société Générale Marocaine de Banques n a pas opté pour la réévaluation périodique de ses immeubles d exploitation. Valeur résiduelle : Les normes préconisent la prise en compte d une valeur résiduelle pour chaque immobilisation. Le montant amortissable de l actif est son coût diminué de sa valeur résiduelle. La valeur résiduelle des différentes immobilisations est considérée comme nulle. Frais d acquisition : Les frais d acquisition des immobilisations comprennent exclusivement : n les droits de mutation (droits d enregistrement, de conservation foncière ), n les honoraires ou commissions hors les honoraires d architecte, n les frais d actes. À l exclusion des frais de transport, d installation et de montage ainsi que les honoraires d architecte qui sont compris dans la valeur d entrée des immobilisations concernées. Pour la période précédente à 2011, les frais d acquisition étaient forfaitairement inclus dans le coût des immobilisations corporelles concernées (Terrains et constructions) sur la base le cas échéant, d une statistique. Aussi, d autres frais tels que les honoraires et les droits de mutation étaient incorporés dans le coût des immobilisations. A partir de 2011, les frais d acquisition sont constatés au réel suite à l inventaire physique des immobilisations SGMA, et intégrés à la valeur brute des immeubles et terrains, subissant ainsi l amortissement du bien auquel ils sont rattachés. Coût d emprunt : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n a pas opté pour la capitalisation des coûts d emprunt étant donné qu aucun emprunt n est adossé à l acquisition d une immobilisation. Approche par composants : La méthode de reconstitution du coût historique, à partir des factures, a été adoptée pour l application de l approche par composants, d où : n affectation du coût historique par composant, s il y a lieu. n distinction entre part terrain et construction. n calcul des amortissements en tenant compte des durées et taux d amortissements retenus pour l application des normes. n retraitement par les capitaux propres du différentiel d amortissements. Compte tenu de la nature de l activité du groupe Société Générale Marocaine de Banques, l approche par composants s applique essentiellement aux immeubles. Les principaux composants sont : Les principaux composants Durée d utilité (annuelle) Durée sociale (annuelle) Gros œuvre Agencements Ascenseurs Façade Installations techniques (climatisation) Installations techniques (électricité) Installations techniques (groupes électrogène) Installations techniques (GTB) Installations techniques (autres) Agence : Composants Durée d utilité (annuelle) Durée sociale (annuelle) GO IMMEUBLES DE PLACEMENT Un immeuble de placement est un bien immobilier détenu par le propriétaire (ou par le preneur dans le cadre d un contrat de location-financement) pour en tirer des loyers ou pour valoriser le capital ou les deux. Aucun actif ne satisfait aux conditions de classifications en immeuble de placement. Les immobilisations hors exploitations telles que : les centres de vacances et loisirs, les logements de fonction font parties des immobilisations corporelles. 4

5 Comptes consolidés IAS/IFRS 4. IMMOBILISATIONS INCORPORELLES Une immobilisation incorporelle est un actif non monétaire identifiable et sans substance physique, détenu en vue de son utilisation pour la production de biens et services, pour une location à des tiers ou à des fins administratives. Immobilisations incorporelles générées en interne : Un goodwill généré en interne ne peut jamais être reconnu en tant qu actif. Le processus de production d une immobilisation incorporelle comporte deux phases : n la recherche : les dépenses sont passées en charge. n le développement : les dépenses doivent être capitalisées lorsque certains critères sont réunis : n la faisabilité technique nécessaire à l achèvement n l intention d achever l immobilisation incorporelle en vue de son utilisation ou de sa vente n sa capacité à utiliser ou à vendre l immobilisation incorporelle n la façon dont l immobilisation incorporelle générera des avantages économiques futurs probables (existence d un marché ou l utilité en interne) n la disponibilité des ressources nécessaires à l achèvement n la capacité à évaluer de façon fiable les dépenses attribuables à l immobilisation incorporelle au cours de son développement. Si l entité ne peut pas distinguer la phase de développement de la phase de recherche, tous les coûts passent en charges. Evaluation postérieure : Modèles d évaluation : À l instar des immobilisations corporelles, deux modèles d évaluation peuvent être appliqués : Modèle du coût : Comptabilisation au coût diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeur. Modèle de la réévaluation : Comptabilisation pour le montant réévalué diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeurs ultérieurs. Ce modèle ne peut être retenu que si les conditions suivantes sont réunies : n juste valeur déterminée par référence à un marché actif n les réévaluations régulières n tous les actifs d une même catégorie doivent être réévalués sauf s il n existe pas de marché actif. Amortissement : Mode d amortissement : Le mode d amortissement doit traduire le rythme de consommation des avantages économiques de l actif. Le mode linéaire doit être utilisé si un autre rythme ne peut être déterminé de façon fiable. Une immobilisation à durée d utilité indéterminée n est pas amortie. Une immobilisation à durée d utilité finie doit être amortie sur cette dernière. Pertes de valeur : Un test de dépréciation doit être pratiqué à chaque fois qu un indicateur de perte de valeur est identifié et à chaque clôture d exercice pour les immobilisations incorporelles à durée d utilité indéterminée. Options retenues : Les immobilisations incorporelles du groupe Société Générale Marocaine de Banques sont évaluées à leur coût amorti. Le taux d amortissement retenu est celui appliqué en social. La valeur résiduelle est estimée comme nulle. Les charges à répartir sont retraitées en contrepartie des capitaux propres. Les dépenses engagées dans le cadre des projets informatiques sont déjà traitées dans les comptes sociaux en deux phases : n Phase de recherche : les dépenses sont considérées comme charges n Phase de développement : les dépenses sont immobilisées. 5. CONTRATS DE LOCATION Contrats de location Un contrat de location est un accord par lequel le bailleur cède au preneur pour une période déterminée, le droit d utilisation d un actif en échange d un paiement ou d une série de paiements. Un accord, comportant une transaction, n ayant pas la forme légale d un contrat de location, mais qui confère un droit d utiliser un actif en échange d un paiement ou d une série de paiements, peut être considéré comme un contrat de location (financement ou simple) et doit être comptabilisé comme tel. Classification des contrats de location : Contrat de location-financement : Un contrat de location financement est un contrat ayant pour effet de transférer au preneur la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété d un actif. Le transfert de propriété peut intervenir ou non, in fine. Contrat de location simple : Un contrat de location est classé en tant que contrat de location simple s il ne transfère pas au preneur la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété. La classification d un contrat est étroitement liée au degré de transfert des risques et des avantages au preneur, et exige en ce sens une analyse en substance des contrats par opposition au formalisme juridique qui prévaut en normes locales. Un contrat de location simple désigne tout contrat de location autre qu un contrat de location financement. La norme IAS 17 indique cinq exemples de situations qui conduisent normalement à considérer un contrat comme un contrat de location-financement : n Le contrat de location transfère la propriété de l actif au preneur au terme de la durée du contrat de location. n Le contrat de location donne au preneur l option d acheter l actif à un prix qui devrait être suffisamment inférieur à sa juste valeur à la date à laquelle l option peut-être levée pour que, dès le commencement du contrat de location, on ait la certitude raisonnable que l option sera levée. n La durée du contrat de location couvre la majeure partie de la durée de vie économique de l actif même s il n y a pas transfert de propriété. n Au commencement du contrat de location, la valeur actualisée des paiements minimaux au titre de la location s élève au moins à la quasi-totalité de la juste valeur de l actif loué. n Les actifs loués sont d une nature tellement spécifique que seul le preneur peut les utiliser sans leur apporter des modifications majeures. Comptabilisation : Location financement : Comptabilisation chez le bailleur Le bailleur doit comptabiliser dans son bilan les actifs détenus en vertu d un contrat de location-financement et les présenter comme des créances pour un montant égal à l investissement net dans le contrat de location. Les paiements reçus doivent être répartis entre la partie en capital considérée comme un amortissement de la créance et la partie en intérêt représentant le paiement d un taux effectif acquis ou à recevoir. La comptabilisation des revenus financiers doit s effectuer sur la base d une formule traduisant un taux de rentabilité périodique constant sur l encours d investissement net restant du bailleur tel que défini dans le contrat de location-financement. Comptabilisation chez le preneur : Le preneur doit comptabiliser les contrats de location-financement à l actif et au passif de son bilan pour des montants égaux à la juste valeur du bien loué ou, si celle ci est inférieure, à la valeur actualisée des paiements minimaux au titre de la location, déterminée chacune au commencement du contrat. Location simple : Les actifs faisant l objet de contrats de location simple doivent être présentés au bilan du bailleur selon la nature de l actif. Compte de résultat : les revenus locatifs provenant des contrats de location simple doivent être comptabilisés en produit de façon linéaire sur toute la durée du contrat de location à moins qu une autre base systématique ne soit plus représentative de l échelonnement dans le temps de la diminution de l avantage retiré de l utilisation de l actif loué. L amortissement des actifs loués doit se faire sur une base cohérente avec la politique normalement suivie par le bailleur pour l amortissement d actifs similaires. Options retenues : Les entités exerçant l activité du crédit-bail au niveau du groupe sont Sogélease et Eqdom. Le taux de non levée de l option d achat est quasi nul. Le traitement comptable, appliqué par le groupe Société Générale Marocaine de Banques de Banques dans le cadre de la consolidation, est conforme aux IFRS. 6. ACTIFS ET PASSIFS FINANCIERS Prêt et créances : Ils sont définis comme étant des non dérivés à paiements fixes ou déterminables et non côtés sur un marché actif. Les obligations non côtés sur un marché actif sont classées en prêt est créances. Exceptions : n Avec l intention d être vendus immédiatement ou à court terme sont à classer en actifs détenus à des fins de transaction. n Désignés à l origine comme étant à la juste valeur par résultat. n Désignés à l origine comme étant disponibles à la vente. Taux d intérêts effectif (TIE) : C est le taux qui égalise les cash flows futurs estimés actualisés et la valeur comptable initiale du prêt. Dépôts : Les dépôts sont traités en IFRS de façon symétrique aux crédits. Les problématiques rencontrées sont donc similaires : Evaluation initiale : Si le dépôt est rémunéré à des conditions hors marché, il devra faire l objet d une décote. Evaluation ultérieure : Les coûts et les commissions directement associés à la mise en place du dépôt doivent être étalés via le taux d intérêt effectif du dépôt. Crédits restructurés : Lorsqu un crédit est restructuré du fait de la situation financière d un débiteur, les flux futurs du crédit sont actualisés au TIE d origine et la différence entre ce montant et la valeur comptable du crédit est enregistrée immédiatement en coût du risque. Cette décote est réintégrée sur la durée de vie du crédit dans la marge d intérêt. L abandon d intérêt est comptabilisé exhaustivement au moment de la renégociation et la rémunération contractuelle initiale est conservée tout au long de la vie du crédit. Options retenues : Prêts et créances : L application du coût amorti aux crédits à plus d un an, est considérée comme non significative. Dépôts : Les dépôts sont maintenus à leur valeur comptable. Aucune décote n est nécessaire compte tenu des caractéristiques des opérations réalisées par le groupe Société Générale Marocaine de Banques. 5

6 Comptes consolidés IAS/IFRS Crédit restructuré : Pour le chiffrage de l impact, les dossiers retenus observent un seuil de 1,5 MMAD. La décote est calculée sur les crédits restructurés pour des raisons de difficulté financière telle que défini dans la norme. Elle est calculée au jour de la restructuration par différence entre la valeur nette comptable du prêt restructuré et la somme des cash flows futurs attendus du nouveau prêt restructuré, actualisé au taux d origine du prêt. La décote est jugée non significative. 7. TITRES Les titres sont classés suivant 4 catégories : n Titres à la juste valeur par résultat (titres de trading, option juste valeur). n Titres disponibles à la vente (AFS) n Titres détenus jusqu à échéance (HTM) n Prêt et créances Titres à la juste valeur par résultat : Titres de trading : Ce sont des actifs financiers acquis dans le but principal de dégager un bénéfice des fluctuations à court terme de leur prix ou des marges d un arbitragiste. Tout actif financier dont le rythme de transaction est fréquent doit faire partie du portefeuille de transaction. Le transfert hors la catégorie trading n est pas autorisé. Mode comptabilisation : Evaluation à la juste valeur par contrepartie du compte résultat. Titres option juste valeur : Il est possible de désigner initialement et irrévocablement tout instrument financier (actif ou passif) dans la catégorie «trading», quelle que soit sa nature et l intention de gestion initiale. Mode comptabilisation : Evaluation à la juste valeur par contrepartie du compte résultat.. Dépréciation : Un actif comptable est déprécié s il est probable que sa valeur comptable est supérieure à sa valeur recouvrable estimée : n Appréciation au minimum annuelle de l existence d un indicateur objectif, n Dépréciation inscrite en compte de résultat, n Dépréciation peut être statistique mais ne peut être générale. A la fin de chaque période l entreprise doit statuer sur la présence d indications objectives de dépréciation de ses actifs financiers. Pour cette catégorie de titre (titres de transaction), il n y a pas de dépréciation à constater. Titres détenus jusqu à l échéance (HTM) : Ce sont des actifs à échéance fixée et à paiements fixés ou déterminables, que l entreprise a l intention expresse et la capacité de conserver jusqu à l échéance. Les placements ne peuvent être classés comme HTM si : n Ils sont destinés à être détenus pour une période indéfinie, sauf si le versement des intérêts est prévu pour une période définie. n Ils sont susceptibles d être vendus en raison des évolutions des conditions du marché, des besoins de liquidité n L émetteur a le droit de régler à un montant nettement inférieur à la valeur comptable. n Il existe une ou des clauses pouvant remettre en cause la détention jusqu à la maturité. Les actions sont exclues de cette catégorie. L intention et la capacité doivent être évaluées à chaque clôture d exercice : n interdiction de couvrir les titres HTM contre le risque de taux. n L entité doit disposer des ressources financières nécessaires pour continuer à financer son placement jusqu à l échéance. Si une entité du groupe Société Générale Marocaine de Banques vend à l extérieur (ou reclassifie) un montant non négligeable de HTM, le groupe doit reclasser l intégralité des titres détenus jusqu à l échéance et ne peut plus classer ses actifs financiers dans cette catégorie pendant 2 ans (règle du tainting). Mode de comptabilisation : Evaluation au coût amorti sur la base du taux effectif initial, qui inclut les frais d acquisition et les éventuelles surcotes/décotes. Le coût amorti est affecté en «produits d intérêts assimilés», les dépréciations et les reprises des provisions lors de la cession ainsi que les moins values de cession, sont enregistrées en «coût du risque». Les plus values de cession sont enregistrées en «gains ou pertes». Dépréciation : Dépréciation de façon à prendre en compte les seuls flux jugés recouvrables. C est l écart entre la valeur au bilan et la valeur actualisée, au taux effectif initial, des flux futurs probables. Titres disponible à la vente (AFS) : Ce sont des actifs financiers autres que : n Des actifs de trading. n Des HTM. n Des prêts et créances émis par m entreprise. Mode de comptabilisation : Evaluation à la juste valeur à moins qu elle ne puisse être évaluée de manière fiable. La différence entre le coût et la juste valeur est comptabilisée séparément en capitaux propres jusqu à ce qu ils soient vendus. La valorisation en juste valeur des titres de ce portefeuille est répartie entre les lignes suivantes du compte résultat : n produit d intérêts : pour le montant correspondant au coût amorti de la période. n résultat net sur actifs disponibles à la vente : pour le montant correspondant aux dividendes, aux dépréciations durables sur titres à revenu variable, aux résultat de cession. n Coût du risque pour les dépréciations durables (titres à revenus fixes et variables) et réappréciation sur titres à revenu fixe. n Et la ligne de capitaux propres «variation de valeur sur actifs disponibles à la vente» pour le montant correspondant au complément de juste valeur. Dépréciation : Provisionnement pour la partie négative constatée en fonds propres. Prêts et créances : Ce sont des actifs financiers à paiements fixes ou déterminables non côtés sur un marché non actif autres que ceux que l entité décide de classer en catégorie juste valeur par résultat ou AFS. Les actifs financiers pour lesquels le détenteur peut ne pas recouvrer l intégralité de son investissement initial pour une raison autre que la détérioration du risque crédit ne peuvent pas être enregistrés dans cette catégorie (exclusion des parts OPCVM). Mode de comptabilisation : Evaluation au coût amorti sur la base du taux effectif initial, qui inclut les frais d acquisition et les éventuelles surcotes/décotes. Le coût amorti est affecté en «produits d intérêts assimilés», les dépréciation et les reprises des provisions lors de la cession ainsi que les moins values de cession, sont enregistrées en «coût du risque». Les plus values de cession sont enregistrées en «gains ou pertes». Dépréciation : Dépréciation de façon à prendre en compte les seuls flux jugés recouvrables. C est l écart entre la valeur au bilan et la valeur actualisée, au taux effectif initial, des flux futurs probables. Options retenues : Divers options sont retenues par le groupe Société Générale Marocaine de Banques : n Classement des titres en fonction de l intention de gestion dans les deux catégories : AFS et prêts et créances. AFS Prêts et créances - Titres de participation - Bons de trésor classés en portefeuille de placement - Bons CNCA - Obligations et autres titres de créance - Bons CIH n Valorisation des bons de trésor selon la courbe du marché secondaire. n Détermination de la valeur des titres non côtés sur la base de la situation nette des entités concernées. n La valeur retenue pour la valorisation des titres cotés est le cours boursier. n Etalement actuariel des surcotes et décotes n Calcul des dépréciations durables dans le cas où une baisse durable et significative est constatée (baisse de 30% de la moyenne mobile des cours sur 12 mois par rapport au prix de revient). Toutefois, si la baisse n est pas continue sur les 12 mois, une appréciation qualitative est effectuée au cas par cas. 8. PROVISIONS : 8.1 Provisions pour risques et charges : Une provision pour risques et charges est un passif dont l échéance ou le montant sont incertains. Un passif est une obligation actuelle de l entreprise résultant d évènements passés et dont l extinction devrait se traduire pour l entreprise par une sortie de ressources représentatives d avantages économiques. Évaluation : Selon la norme IAS 37 le montant comptabilisé en provision doit être la meilleure estimation de la dépense nécessaire à l extinction de l obligation actuelle à la date de clôture. Critères de constitution d une PRC : n L obligation actuelle envers un tiers. n La forte probabilité de sortie de ressources pour éteindre l obligation. n La fiabilité de l évaluation de cette sortie de ressource. Options retenues : Un seuil de 1 MMAD est retenu pour l analyse des provisions pour risques et charges, l actualisation est à effectuer si le montant est significatif. Les provisions à caractères généraux et les provisions réglementées sont annulées. 8.2 Provision sur créances Provision individuelle : Doivent faire l objet d une provision toutes les créances présentant, individuellement ou collectivement, une ou plusieurs indications objectives de dépréciation (risque avéré). Les indications suivantes d une dépréciation liée à l existence d un risque de crédit, sont proposées par la norme : n Difficultés financières importantes de l émetteur ou du débiteur n Une rupture du contrat telle qu un défaut de paiement des intérêts ou du principal n L octroi par le prêteur à l emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l entreprise, d une facilité que le prêteur n aurait pas envisagée dans d autres circonstances. n La probabilité croissante de faillite ou autre restructuration de l emprunteur n La disparition d un marché actif pour cet actif financier, suite à des difficultés financières n Des données observables indiquant une diminution évaluable des flux de trésorerie futurs estimés provenant d un groupe d actif financiers depuis la comptabilisation initiale de ces actifs, bien que la diminution ne puisse pas encore être rattachée à chaque actif financier du groupe. Perte de valeur : L impairment se mesure comme la différence entre, d une part, la valeur comptable des créances, d autre part la valeur recouvrable. La valeur recouvrable est la valeur actuelle des flux de récupération attendus, actualisés en utilisant le taux d intérêt effectif d origine de la créance. 6

7 Comptes consolidés IAS/IFRS Options retenues : Les provisions sont constituées sur des créances ayant connu un indice objectif de dépréciation sur la base de leur valeur recouvrable estimée, actualisée au taux d origine des crédits. Les critères d identification des créances en souffrance adoptés par Bank Al-Maghrib sont maintenus. Les provisions concernant les créances en souffrance présentant des montants significatifs sont estimées individuellement par l entité de recouvrement : n Clients compromis ayant un risque net > 2.5 MMAD. n Clients compromis ayant une provision > 5 MMAD. Le groupe Société Générale Marocaine de Banques a développé des modèles statistiques sur la base des historiques de recouvrement et des garanties et sûretés détenues pour le calcul des provisions pour les créances en souffrance non significatives Provision collective : Si une entité détermine qu il n existe pas d indications objectives de dépréciation pour un actif financier considéré individuellement, significatif ou non, elle inclut cet actif dans un groupe d actifs financiers présentant des caractéristiques de risque de crédit similaires et les soumet collectivement à un test de dépréciation.les actifs soumis à un test de dépréciation individuel et pour lesquels une perte de valeur est comptabilisée ou continue de l être ne sont pas inclus dans un test de dépréciation collectif. La norme ne distingue pas deux méthodologies différentes pour l évaluation des provisions sur encours «impaired» individuellement ou collectivement. Le principe unique à appliquer est de provisionner l excédent de la valeur comptable du ou des actifs sur leur valeur recouvrable. La constitution de provisions n intervient qu en cas de dégradation observable du niveau de risque d un groupe de créances, et ayant une incidence mesurable sur les flux de trésorerie attendus du groupe constitué. Options retenues : La base de dépréciation du portefeuille des prêts et créances concerne les créances sensibles (selon les cotations internes à la banque). Le groupe Société Générale Marocaine de Banques a développé des modèles statistiques pour calculer les provisions collectives sur la base des historiques de transformation des créances sensibles en créances en souffrance. 9. GOODWILL Le Goodwill est constitué par l ensemble des avantages économiques futurs générés par des actifs qui ne peuvent être individuellement identifiés et comptabilisés séparément. Il correspond donc à la différence entre le coût d acquisition et la part d intérêt de l acquéreur dans la juste valeur nette des actifs, passifs et passifs éventuels identifiables. Après être évalué, il doit être comptabilisé à la date d acquisition en tant qu actif. Lorsque l acquisition est réalisée par étape, le goodwill doit être calculé à chaque étape, sur la base de la juste valeur de l actif net identifiable de l entreprise à cette date L amortissement du goodwill laisse la place en IFRS à un test de dépréciation, au minimum annuel. Options retenues : L amortissement des Goodwill est abandonné et des testes de dépréciation réguliers sont effectués. Pour le traitement du Goodwill, la valeur nette comptable retenue est celle arrêtée au 31/12/ AVANTAGES AU PERSONNEL La norme IAS 19 identifie 4 catégories d avantage du personnel : n Avantages à court terme, tels que les salaires, les rémunérations, les cotisations de sécurité sociale, les congés payés, les congés maladie, l intéressement et les primes (s ils sont payables dans les 12 mois suivants la fin de l exercice) et les avantages non monétaires (tel que l assistance médicale, le logement, les voitures et les biens ou services gratuits ou subventionnés) accordés au personnel en activité ; n Avantages postérieurs à l emploi tels que les pensions de retraite et autres prestations postérieures à l emploi, l assurance-vie postérieure à l emploi et l assistance médicale postérieure à l emploi ; n Avantages à long terme comprenant les congés liés à l ancienneté, congés sabbatiques, jubilés ou autres avantages liés à l ancienneté, indemnité d incapacité de longue durée et, s ils sont payables 12 mois ou plus après la fin de l exercice, l intéressement, les primes et rémunérations différées n Indemnités de fin de contrat de travail. Régimes à cotisations définies : Dans les régimes à cotisation définies, l employeur paye des cotisations fixes à une entité distincte et n aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n a pas suffisamment d actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pour l exercice et les exercices antérieurs. La norme impose à l entité de comptabiliser les cotisations versées au régime à contributions définies lorsque le membre du personnel a rendu des services en échange de ces cotisations. Régimes à prestations définies : Les régimes à prestations définies peuvent être non financés, ou partiellement ou intégralement financés, la norme impose à l entité : n De comptabiliser non seulement son obligation juridique mais aussi toute obligation implicite générée par les pratiques passées de l entité. n De déterminer la valeur actuelle des obligations au titre des prestations définies et la juste valeur des actifs des régimes avec une régularité suffisante pour que les montants comptabilisés dans les états financiers ne diffèrent pas de façon significative des montants qui auraient été déterminés à la date de clôture n D utiliser la méthode des unités de crédit projetées pour évaluer ses obligations et ses coûts n D affecter les droits à prestations aux périodes de services en vertu de la formule de calcul des prestations du régime, à moins que les services rendus lors des exercices ultérieurs aboutissent à un niveau de droits à prestations sensiblement supérieurs à celui des exercices antérieurs n D utiliser des hypothèses actuarielles objectives et mutuellement compatibles concernant les variables démographiques (telles que la rotation du personnel et la mortalité) et financières (telles que les augmentations futures des salaires, les changements dans les coûts médicaux futurs et certains changements dans les régimes généraux et obligatoires). Les hypothèses financières doivent être basées sur les attentes du marché à la date de clôture de l exercice au cours duquel les obligations doivent être réglées n De déterminer le taux d actualisation par référence à un taux du marché à la date de clôture basé sur les obligations d entreprises de première catégorie (ou, dans les pays où ce type de marché n est pas actif, les obligations d état) dont la monnaie et le terme sont cohérents avec la monnaie et le terme des obligations au titres des avantages postérieurs à l emploi n De déduire la juste valeur des éventuels actifs du régime du montant comptable de l obligation. Certains droits à remboursements qui ne sont pas qualifiés d actifs du régime sont traités de la même façon que les actifs du régime, sauf qu on les présente en tant qu actifs distincts, et non en déduction de l obligation n De limiter la valeur comptable d un actif de telle façon qu il ne dépasse pas le total : (i) du coût non comptabilisé des services passés et des pertes actuarielles ; plus (ii) la valeur actuelle des éventuels avantages économiques disponibles sous la forme de remboursements du régime ou de réductions de contributions futures au régime ; n De comptabiliser le coût des services passés selon un mode linéaire sur la durée moyenne restant à courir jusqu à ce que les avantages correspondant au régime adopté ou modifié soient acquis au personnel ; n De comptabiliser les profits ou pertes liés à une réduction ou liquidation d un régime à prestations définies au moment où la réduction ou liquidation a lieu. Le profit ou la perte doit comprendre le changement en résultant de la valeur actuelle de l obligation au titre des prestations définies, de la juste valeur des actifs du régime et de la partie non comptabilisée des écarts actuariels et du coût des services passés ; et n De comptabiliser une part spécifiée des écarts actuariels cumulés nets excédant la plus grande des deux valeurs suivantes : (i) 10 % de la valeur actualisée de l obligation au titre des prestations définies ; ou (ii) 10 % de la juste valeur des éventuels actifs du régime. La part des écarts actuariels à comptabiliser pour chaque régime à prestations définies est l excédent tombant au-delà du corridor de 10 % à la date de clôture précédente divisé par la durée de vie active résiduelle moyenne attendue du personnel participant au régime. La Norme impose une méthode plus simple de comptabilisation des avantages à long terme autres que les avantages postérieurs à l emploi : la comptabilisation immédiate des écarts actuariels et du coût des services passés. Options retenues : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques retient la méthode du corridor comme méthode de reconnaissance des écarts actuariels. Une exception IFRS 1, permet à une société fille dont la mère est déjà passée aux IFRS, d utiliser les mêmes évaluations de provisions que ce qui est remonté à sa mère. Les évaluations réalisées dans le cadre des comptes consolidés (remontée à la Société Générale) vont donc être reprises. 11. Dérivés Change à terme Les opérations de change sont enregistrées dans le bilan à la date de l engagement et non plus dans le hors bilan, même si la juste valeur à l initiation est nulle pour la quasitotalité des contrats (juste valeur nulle pour des contrats fermes initiés à des conditions de marché). Les opérations de change spot donnent lieu à comptabilisation directement au bilan avec réévaluation comme pour le cas des normes marocaines. Toutes les opérations de change à terme sont suivies en valeur de marché. Options retenues : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques de Banques n effectue pas d opérations de couverture. L ensemble des opérations de change réalisées est classé en instruments en juste valeur par résultat. 12. IMPOT DIFFERE Impôt différé : L impôt différé gomme les distorsions pouvant exister entre : n les valeurs bilantielles comptables et les valeurs bilantielles fiscales ; n le résultat sociale et le résultat fiscal ; n le résultat social et le résultat IAS. L impôt recalculé représente finalement le résultat courant et le résultat différé. Un impôt différé passif doit être pris en compte pour toutes les différences temporelles imposables puisqu il s agit d une dette future d impôt. Les impôts différés actifs, qu ils soient liés à des différences temporaires déductibles ou à des pertes fiscales reportables, ne sont pris en compte que si leur récupération est probable. L actualisation est interdite Les actifs et les passifs d impôt différé doivent être évalués aux taux d impôt dont l application est attendue sur l exercice au cours duquel l actif sera réalisé ou le passif réglé sur la base des taux d impôt adoptés ou quasiment adoptés à la clôture. 7

8 ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS IAS/IFRS AU 31/12/2012 BILAN CONSOLIDÉ AUX NORMES IAS/IFRS AU 31/12/2012 Comptes consolidés IAS/IFRS ACTIF IFRS Valeurs en caisse, Banques Centrales, Trésor public, Service des chèques postaux Actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture - - Actifs financiers disponibles à la vente Prêts et créances sur les Etablissements de crédit et assimilés Prêts et créances sur la clientèle Ecart de réévaluation actif des portefeuilles couverts en taux - - Placements détenus jusqu'à leur échéance - - Actifs d'impôt exigible Actifs d'impôt différé Comptes de régularisation et autres actifs Actifs non courants destinés à être cédés - - Participations dans des entreprises mises en équivalence Immeubles de placement - - Immobilisations corporelles Immobilisations incorporelles Ecarts d'acquisition TOTAL ACTIF IFRS PASSIF IFRS Banques centrales, Trésor public, Services des chèques postaux - - Passifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture - - Dettes envers les établissements de crédit et assimilés Dettes envers la clientèle Titres de créance émis Ecart de réévaluation passif des portefeuilles couvert en taux - - Passifs d'impôt exigible Passifs d'impôt différé Comptes de régularisation et autres passifs Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés - - Provisions Techniques des contrats d'assuarance - - Provisions Subventions et fonds assimilés - - Dettes subordonnées et fonds spéciaux de garantie Capitaux propres Capitaux propres part du groupe Capital et réserves liées Réserves consolidées Gains ou pertes latents ou différés Résultat de l exercice Intérêts minoritaires TOTAL PASSIF IFRS COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ AUX NORMES IAS/IFRS AU 31/12/2012 TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE AU 31/12/2012 Compte de résultat + Intérêt et produits assimilés Intérêts et charges assimilées MARGE D'INTERET Commissions (Produits) Commissions (Charges) MARGE SUR COMMISSIONS /- Gains ou Pertes nets sur instruments Financiers à la juste valeur par résultat /- Gains ou Pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente Produits des autres activités Charges des autres activités PRODUIT NET BANCAIRE Charges générales d'exploitation Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles RESULTAT BRUT D'EXPLOITATION Coût du risque RESULTAT D'EXPLOITATION /- Quote part du résultat net des entreprises mises en équivalence /- Gains ou pertes nets sur autres actifs /- Variations de valeur des écarts d'acquisition RESULTAT AVANT IMPOT Impôt sur les résultats /- Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession RESULTAT NET Intérêts minoritaires RESULTAT NET - PART DU GROUPE Etat du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres au 31/12/2012 Résultat net Variation de valeur des actifs financiers disponible à la vente Variation de valeur différées des instruments dérivés de couverture - - Réévaluation des immobilisations - - Ecarts de conversion - - Total cumulé Part du groupe Part des minoritaires Résultat avant impôts /- Dotations nettes aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles /- Dotations nettes pour dépréciation des écarts d acquisition et des autres immobilisations - - +/- Dotations nettes pour dépréciation des actifs financiers /- Dotations nettes aux provisions /- Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence /- Perte nette/(gain net) des activités d investissement - - +/- Perte nette/(gain net) des activités de financement - - +/- Autres mouvements Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements +/- Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit et assimilés /- Flux liés aux opérations avec la clientèle /- Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers /- Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs non financiers Impôts versés Diminution/(augmentation) nette des actifs et des passifs provenant des activités opérationnelles Flux net de trésorerie généré par l activité opérationnelle /- Flux liés aux actifs financiers et aux participations /- Flux liés aux immeubles de placement - - +/- Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles Flux net de trésorerie lié aux opérations d investissement /- Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires /- Autres flux de trésorerie nets provenant des activités de financement Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie - - Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie Trésorerie et équivalents de trésorerie à l ouverture Caisse, Banques centrales, CCP (actif & passif) Comptes (actif & passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture Caisse, Banques centrales, CCP (actif & passif) Comptes (actif & passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit Variation de la trésorerie nette TABLEAU DE VARIATION DES CAPITAUX PROPRES au 31/12/2012 Tableau de variation des capitaux propres Capital Réserves liées au capital Actions propres Réserves et résultats consolidés Gains ou pertes latents ou différés Capitaux propres part Groupe Intérêts Total minoritaires Capitaux propres clôture 31/12/ Opérations sur capital Paiements fondés sur des actions Opérations sur actions propres Dividendes Résultat de l exercice Immobilisations corporelles et incorporelles : Réévaluations et cessions (D) Instruments financiers : variations de juste valeur et transferts en résultat (E) Ecarts de conversion : variations et transferts en résultat (F) Gains ou pertes latents ou différés (D) + (E) + (F) Divers Variation de périmètre * Capitaux propres clôture 31/12/ Opérations sur capital Paiements fondés sur des actions Opérations sur actions propres Dividendes Résultat de l exercice Immobilisations corporelles et incorporelles : Réévaluations et cessions (D) Instruments financiers : variations de juste valeur et transferts en résultat (E) Ecarts de conversion : variations et transferts en résultat (F) Gains ou pertes latents ou différés (D) + (E) + (F) Divers Variation de périmètre ** Capitaux propres clôture 31/12/ * Prise de participation supplémentaire (40%) au capital de SOGELEASE ** Impact de l Intégration de la participation indirecte de SGMA dans EQDOM via INVESTIMA passant de 19,97% à 20,88% en

9 Comptes consolidés IAS/IFRS NOTES ANNEXES AUX ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31/12/ NOTES RELATIVES AU BILAN AU 31/12/ Actifs financiers à la juste valeur par résultat 31/12/ /12/2011 Portefeuille de transactions Portefeuille évalué en valeur de marché sur option Total Portefeuille de transactions Titres de créance négociables Bons du trésor et autres effets mobilisables auprès des banques centrales Autres titres de dréances négociables Obligations Obligations d'etat Autres obligations Actions et autres titres à revenu variable Opérations de pension Prêts aux établissements de crédit à la clientèle entreprises à la clientèle particuliers Instruments financiers dérivés de transaction Instruments dérivés de cours de change Instruments dérivés de taux d'intérêt Instruments dérivés sur actions Instruments dérivés de crédit Autres instruments dérivés Total des actifs financiers en valeur de marché par résultat dont titres prêtés hors actions et autres titres à revenu variable Portefeuille évalué en valeur de marché sur option Total 1.1. Passif financiers à la juste valeur par résultat 31/12/ /12/2011 Portefeuille de transactions Portefeuille évalué en valeur de marché sur option Total Portefeuille de transactions Emprunts de titres et ventes à découvert Opérations de pension Emprunts Etablissements de crédit Clientèle Entreprises Dettes représentées par un titre Instruments financiers dérivés de transactions Instruments dérivés de cours de change Instruments dérivés de taux d'intérêt Instruments dérivés sur actions Instruments dérivés de crédit Autres instruments dérivés Total des passifs financiers en valeur de marché par résultat Portefeuille évalué en valeur de marché sur option Total 1.2. Actifs financiers disponibles à la vente Titres de créance négociables Bons du Trésor et autres effets mobilisables auprès de la banque centrale Autres titres de créance négociables Obligations Obligations d'etat - - Autres Obligations Actions et autres titres à revenu variable dont titres cotés dont titres non cotés Total des actifs disponibles à la vente avant dépréciation dont gains et pertes latents - - dont titres à revenu fixe - - dont titres prêtés - - Provisions pour dépréciation des actifs disponibles à la vente Titres à revenu fixe - - Titres à revenu variable Total des actifs disponibles à la vente nets de dépréciations dont titres à revenu fixe, nets de dépréciations PRÊTS ET CRÉANCES SUR LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT Dettes envers les établissements de crédit Comptes à vue Prêts Opérations de pension Total des prêts consentis et créances sur les établissements de crédits avant dépréciation Dépréciation des prêts et créances émis sur les établissements de crédit - - Total des prêts consentis et créances sur les établissements de crédits nets de dépréciation Comptes à vue Emprunts opérations de pension - - Total des dettes envers les établissements de crédit PRÊTS ET CRÉANCES SUR LA CLIENTÈLE Dettes envers la clientèle Comptes ordinaires débiteurs Prêts consentis à la clientèle Opérations de pension - - Opérations de location-financement Total des prêts consentis et créances sur la clientèle avant dépréciation Dépréciation des prêts et créances sur la clientèle Total des prêts consentis et créances sur la clientèle nets de dépréciation Comptes ordinaires créditeurs Comptes à terme Comptes d'épargne à taux administré Bons de caisse Opérations de pension Total des dettes envers la clientèle Impôts courants et différés Impôts courants impôts différés Actifs d'impôts courants et différés Impôts courants impôts différés Passifs d'impôts courants et différés Comptes de régularisation, actifs et passifs divers Dépôts de garantie versés et cautionnements constitués Comptes de règlement relatifs aux opérations sur titres Comptes d'encaissement Part des réassureurs dans les provisions techniques Produits à recevoir et charges comptabilisées d'avance Autres débiteurs et actifs divers Total des comptes de régularisation et actifs divers Dépôts de garantie reçus - - Comptes de règlement relatifs aux opérations sur titres Comptes d'encaissement charges à payer et produits constatés d'avance Autres créditeurs et passifs divers Total des comptes de régularisation et passifs divers

10 Comptes consolidés IAS/IFRS NOTES ANNEXES AUX ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31/12/ NOTES RELATIVES AU BILAN AU 31/12/ Participation dans les entreprises mises en équivalence Valeur de mise en équivalence Résultat Total bilan Revenu (PNB ou CA) Quote-part de résultat dans les sociétés MEE Sociétés financière Sociétés non financières Autres Valeur nette au bilan des quotesparts dans les sociétés MEE Actifs financiers détenus jusqu à leur échéance Titres de créance négociables Bons du trésor et autres effets mobilisables auprès des banques centrales Autres titres de créance négociables Obligations Obligations d'etat Autres Obligations Total des actifs financiers détenus jusqu'à leur échéance NEANT 1.9. IMMOBILISATIONS CORPORELLES ET INCORPORELLES VBC 31/12/ /12/2011 Cumul des amortissements et pertes de valeur VNC VBC Cumul des amortissements et pertes de valeur Terrains et constructions Equip. Mobilier, installation Biens mobiliers donnés en location Autres immobilisations Total Immobilisations corporelles Logiciels informatiques acquis Logiciels informatiques produits par l'entreprise Autres immobilisation incorporées Total Immobilisations incorporelles VNC Immeubles de placement Ecarts d acquisition Valeur brute Amortissements et provisions Valeur nette au bilan 31/12/11 Variation périmètre Acquisitions Cessions et échéances NEANT Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/12 Valeur brute comptable en début de période Cumul des dépréciations enregistrées en début de période Valeur nette comptable en début de période Acquisitions Cessions Dépréciations comptabilisées pendant la période Écarts de conversion Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées Autres dettes représentées par un titre titres de créances négociables emprunts obligataires Dettes subordonnées Emprunt subordonnés à durée déterminée à durée indéterminée Titres subordonnés à durée déterminée à durée indéterminée Total Filiales précédemment mises en équivalence Autres mouvements Valeur brute comptable en fin de période Cumul des dépréciations enregistrées en fin de période Valeur nette comptable en fin de période ProvisionS pour risques et charges 31/12/11 Variation de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecart de conversion 31/12/12 Provisions pour risques d exécution des engagements par signature Provisions pour engagements sociaux Provisions pour litige et garanties de passif Provisions pour risques fiscaux Provisions pour impôts Provisions pour restructurations Coûts de mise en œuvre des synergies Autres provisions pour risques et charges Provisions pour risques et charges

11 Comptes consolidés IAS/IFRS 2.1. MARGE D INTÉRÊTS NOTES ANNEXES AUX ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31/12/ NOTES RELATIVES AU COMPTE DE RÉSULTAT AU 31/12/ /12/ /12/2011 Produits Charges Net Produits Charges Net Opérations avec la clientèle Comptes et prêts/emprunts Opérations de pensions Opérations de location-financement Opérations interbancaires Comptes et prêts/emprunts Opérations de pensions Emprunts émis par le Groupe Instruments de couverture de résultats futurs Instruments de couverture des portefeuilles couverts en taux Portefeuille de transactions Titres à revenu fixe Opérations de pensions Prêts/emprunts Dettes représentées par un titre Actifs disponibles à la vente Actifs détenus jusqu à échéance TOTAL DES PRODUITS ET CHARGES D INTÉRÊTS OU ASSIMILÉS Commissions nettes 31/12/2012 Produits Charges Net Commissions nettes sur opérations avec les établissements de crédit avec la clientèle sur titres de change sur instruments financiers à terme et autres opérations hors bilan Prestation de services bancaires et financiers Produits nets de gestion d OPCVM Produits nets sur moyen de paiement Assurance Autres Produits nets de commissions COÛT DU RISQUE Dotations aux provisions Provisions pour dépréciation des prêts et créances Provisions engagements par signature Autres provisions pour risques et charges Reprises de provisions Reprises de provisions pour dépréciation des prêts et créances Reprises de provisions engagements par signature Reprise des autres provisions pour risques et charges Variation des provisions Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non provisionnées Pertes sur prêts et créances irrécouvrables provisionnées Récupérations sur prêts et créances amorties Autres pertes Coût du risque Gains et pertes nettes sur instruments financiers à la JV par résultat Portefeuille de transactions 31/12/ /12/2011 Portefeuille évalué en valeur Total Portefeuille de Portefeuille évalué en valeur de marché sur option transactions de marché sur option Titres à revenu fixe Titres à revenu variable Instruments financiers dérivés Opérations de pension Prêts Emprunts Réévaluation des portefeuilles couverts en taux Réévaluation des positions de change Total Total 2.5. Gains ou pertes nets sur les actifs financiers disponibles à la vente Titres à revenu fixe plus ou moins values de cession Actions et autres titres à revenu variable Produits de dividendes Charges nettes de dépréciation Plus-values nettes de cession Dotations ou reprises sur titres Total Produits et charges des autres activités 31/12/ /12/2011 Produits Charges Net Produits Charges Net Produits nets de l assurance Produits nets des immeubles de placement Produits nets des immobilisations en location simple Produits nets de l activité de promotion immobilière - - Autres produits Total des produits et charges des autres activités Gains et pertes nettes sur les autres actifs Immobilisations corporelles et incorporelles d exploitation Plus-values de cession Moins-value de cession Gains ou pertes sur autres actifs

12 Comptes consolidés IAS/IFRS NOTES ANNEXES AUX ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31/12/ NOTES RELATIVES AU COMPTE DE RÉSULTAT AU 31/12/ Impôt sur les bénéfices Charge nette de l impôts sur les bénéfices Charge d'impôts courants Charge nette d'impôts différés de l'exercice Charges nette de l impôt sur les bénéfices Le taux effectif d impôt Résultat avant impôt Charges d impôt sur les bénéfices Taux d'impôt effectif moyen 33,35% 37,77% Analyse du taux effectif d impôt Taux d'impôt en vigueur 37,00% 37,00% Différentiel de taux d'imposition des entités étrangères Imposition forfaitaire Différences permanentes Changement de taux Déficit reportable Autres éléments -3,65% 0,77% Taux d'impôt effectif moyen 33,35% 37,77% 3. INFORMATION SECTORIELLE Information sectorielle Banque de détail et de financement Leasing Total Marge d'intérêts Marge sur commissions Résultat des activités de marché Produit net bancaire Résultat brut d'exploitation Résultat d'exploitation Résultat net Résultat net part du Groupe EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIE DE COUVERTURE AU SEIN DE LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE MAROCAINE DE BANQUES (SGMA) INTRODUCTION La démarche de la Société Générale Marocaine de Banques en matière de gestion des risques s inscrit dans le cadre réglementaire en vigueur, et dans celui des meilleures pratiques définies au niveau international, qui déterminent largement les procédures internes du Groupe en matière des Risques et de Contrôle Interne. LE GROUPE a défini une politique de gestion des risques, en conformité avec les recommandations du comité de Bâle 2 et qui s intègre dans le cadre de la politique du Groupe Société Générale. Cette politique globale vise au pilotage et à la maîtrise de tous les risques inhérents à l activité bancaire : Risques de Contrepartie, Risques de Marchés, Risques Structurels, Risques Opérationnels, Risque de Conformité, et au dispositif de Contrôle Interne qui sous-tend l exercice effectif du pilotage des risques. 4.1 LE RISQUE CREDIT Organisation de la filière risque de crédit Le risque crédit peut se définir comme le risque de perte auquel est exposée la Banque en cas de défaillance d un client ou d une contrepartie durant la durée de vie de l opération de crédit. La Direction des Risques couvre l ensemble des aspects relatifs à l octroi des crédits et à la surveillance des engagements. La Direction du recouvrement est en charge du recouvrement précontentieux et contentieux. L octroi du crédit est exercé en fonction de limites d autorisations déléguées aux divers intervenants. On distingue divers échelons d autorisation en fonction des montants, de la nature des crédits, de la notation des clients : n Les Directions Régionales ; n La Direction des Risques ; n Le Comité et les Sous Comités des Engagements ; n La Commission des Crédits Rôle des entités opérationnelles Les entités opérationnelles concernées par le risque de crédit sont Commerciales des différents pôles. les Directions Demande et proposition Après la prise de contact avec le client et une première évaluation de son activité et/ ou de ses revenus, le responsable commercial en agence procède au montage d une proposition de crédit via une application informatique dédiée. Cette proposition de crédit doit contenir une analyse complète et claire du risque de contrepartie et, s il y a lieu, du risque de transaction ainsi qu une recommandation brève et argumentée. Il constitue un dossier administratif de la dite proposition, recensant l exhaustivité des documents exigés tant par la réglementation Bank al Maghrib que par le règlement interne de l établissement en matière d engagement de crédit. Mise en place et gestion des crédits Le Back office crédit est responsable : de la constitution des garanties et des autres conditions telles qu elles figurent sur la notification qui leur est adressée par la Direction des Risques, après accord des autorités compétentes ; de la saisie de toutes les informations nécessaires pour le suivi des engagements relatifs à ces crédits dans le système d information central ; du déblocage des fonds de la mise à jour des garanties et des conditions en cas de changements. ROLE DE LA DIRECTION DES RISQUES La Direction des Risques est autonome par rapport aux unités opérationnelles. Il lui appartient de veiller au respect des conditions d octroi des crédits et ensuite de surveiller le bon déroulement des opérations de crédits. Les missions permanentes de la Direction des Risques : n Evaluer les risques de crédits (clients, contrepartie et transaction) attachés à une opération ; n Contrôler la cohérence des décisions prises ; n Recommander les modifications de structure et les protections souhaitables pour rester en conformité avec la Politique de Risque du Groupe; n Communiquer son avis sur l acceptabilité de ces risques en rédigeant une évaluation de crédit dûment motivée et explicitée. 12

13 Comptes consolidés IAS/IFRS 4. EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIE DE COUVERTURE AU SEIN DE LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE MAROCAINE DE BANQUES (SGMA) suite Surveillance des risques La Direction des risques doit aussi assurer une surveillance des risques qui : n Détecte le plus tôt possible les irrégularités (non renouvellement d autorisations, prise d engagements non autorisés, dépassements d autorisations, non constitution de garanties exigées, etc.) et en informe les responsables de la Direction des Risques et des entités. n Détecte les engagements à classer en créances sensibles en vue d en assurer un suivi rapproché n Détecte les engagements en défaut en vue de leur déclassement en créances en souffrance et à leur provisionnement suivant les critères réglementaires par la Direction du recouvrement. n Audite les risques pris par les agences et les Directions Régionales dans le cadre de leurs limites déléguées. La Direction des Risques a également pour mission de vérifier l efficacité de la Filière Risques mise en place dans les Directions Régionales et le respect des instructions en vigueur relatives à l octroi des crédits et à la surveillance des risques. ROLE DE LA DIRECTION DU RECOUVREMENT La Direction du recouvrement doit gérer le recouvrement des créances compromises : en charge la politique et l organisation du recouvrement ; traitement de tous les dossiers (clientèle commerciale et clientèle privée) ; gestion des provisions en liaison avec la Direction des risques ; assure l ensemble des tâches administratives liées à la fonction (reporting, comités de crédit, relations avec les autorités et auxiliaires de justice ) LES NOTATIONS Lors de la décision d octroi des crédits, les clients de la banque font l objet d une notation, définie suivant les standards SOCIETE GENERALE et périodiquement mise à jour. Celle-ci a pour but : n D aider à la prise de décision, n De permettre le suivi de l évolution de la qualité du risque sur la contrepartie, n De déterminer l étendue des délégations pour l octroi des concours et n D apprécier la qualité des risques sur un portefeuille donné. 4.2 RISQUE DE MARCHE Le risque marché se définit comme étant le risque de perte ou de dévalorisation des positions détenues pour compte propre en instruments négociés sur un marché. La formation de prix fréquents sur les marchés permet de constater facilement une perte réalisée ou potentielle LE RISQUE DE CHANGE Ce risque correspond au risque de variation d une position ou d un instrument financier du fait des fluctuations des cours de devises sur le marché. L avènement du marché des changes et l élargissement du marché monétaire ont amené le Groupe à se doter de structures spécifiques répondant aux standards internationaux. Selon les règles du Groupe SOCIETE GENERALE, ce risque est mesuré en C VAR (Value at risk) qui répond mieux aux exigences de Bâle II. Il s agit là d un risque de contrepartie à la charge des clients. Afin de maîtriser ce risque, des limites sont fixées. Celles-ci sont de deux types: des limites en valeur nominale et des limites en «stress test» GESTION DES LIMITES Les limites mises en place pour maitriser les risques de change sont issues des instructions de Bank Al Maghrib régissant la tenue des positions en devises et le respect du «stop loss» fixé à 3% de la valeur d une devise. En plus des limites réglementaires, des limites internes en nominal et stress test sont fixées par la maison mère sur les positions intraday et over night RISQUE REGLEMENT-LIVRAISON C est le risque de non paiement des sommes en attente de réception. Il se mesure par la valeur des flux à recevoir. Il naît dans le cas d opérations donnant lieu à échanges simultanés et réciproques à la date d irrévocabilité de notre ordre de paiement et s éteint à la date de constat de la réception (ou non) des fonds. Ce risque est du à l intervalle de temps requis pour le transfert de fonds (décalage horaire, plages d ouverture des systèmes de règlement locaux, organisation interne pour l envoi des fonds et le pointage des paiements reçus). Afin de distinguer les risques afférents aux opérations à très court terme pour lesquelles une réactivité en cas de dépassement doit être immédiate, des risques afférents aux opérations à plus long terme, il est apparu nécessaire de les distinguer suivant la proximité de règlement : n le risque de livraison immédiat est le risque instantané supporté sur une contrepartie, n le risque de livraison différé est le risque engendré par les opérations à terme. C est un risque potentiel qui deviendra effectif uniquement lorsqu une opération arrivera à maturité. A ce moment là, le risque de livraison différé se transforme donc en risque de livraison immédiat. 4.3 RISQUES STRUCTURELS Les principaux risques structurels sont : le risque de taux le risque de liquidité Pour la gestion structurelle des risques de taux et de liquidité, le Groupe adopte une approche dynamique, dans laquelle toutes les données sont mises à jour trimestriellement. Il s agit d une modélisation automatique des emplois et des ressources. Le suivi des risques taux et de liquidité est assuré par la maison mère à travers un reporting trimestriel «Risques structurels». L établissement de ce reporting est du ressort de la Direction Financière. Ce reporting est analysé régulièrement par le Comité Financier, comité instauré par la Banque depuis mai 2004, dont le rôle est de définir et mettre en œuvre la stratégie à court et moyenlong termes de la banque en matière de gestion globale des ressources et des emplois générés par ses activités commerciales. Un ensemble d objectifs a été fixé à cette instance : n Optimiser le couple risque/rentabilité en fonction des évolutions du marché et de la stratégie clientèle. n Améliorer le coût de la collecte des ressources. n Prévoir et contrecarrer les impasses de liquidité et de taux. n Optimiser la gestion du portefeuille de titres de placement. n Développer la démarche de gestion Actif - Passif. Les Risques de taux et de liquidité sont suivis également par Bank Al Maghrib LE RISQUE GLOBAL DE TAUX D INTERET Ce risque correspond au risque de variation de la valeur des positions globales de la banque (net actif-passif par nature de taux) ou au risque de variation des flux de trésorerie futurs d un ensemble d instruments financiers du fait de l évolution des taux d intérêt de marché LE RISQUE DE LIQUIDITE Modalités et procédures de suivi La gestion de la trésorerie immédiate (court terme) est assurée par la Salle des Marchés de la Banque, à travers un calcul quotidien du gap de trésorerie en fonction de la Réserve Monétaire Bank Al Maghrib (solde du compte Bank Al Maghrib), des flux entrant et sortant des agences et des prêts/emprunts quotidiens sur le Marché Monétaire. Un Comité Hebdomadaire de Trésorerie, présidé par un membre du Directoire, prend les décisions de gestion de la liquidité à court terme (levées de liquidité, prêts/emprunts sur le Marché Monétaire, ). Il est animé conjointement par la Direction Financière et par la Salle des Marchés. La gestion de la liquidité structurelle est assurée par la Direction Financière à travers : - le calcul des gaps de liquidité sur chaque maturité et de la sensibilité du bilan ; - la présentation au Comité Financier du tableau de bord ALM incluant le gap de liquidité ainsi que les flux prévisionnels de trésorerie, permettant de mesurer l exposition de la Banque au risque de liquidité ; Limites fixées en matière de risque de liquidité et modalités de leur révision. La banque s impose une limite en terme de cash (montant maximum à emprunter sur le marché monétaire pour financer son gap quotidien de trésorerie), et de gap de liquidité. Les limites ont été fixées pas le Comité Financier et approuvées par le Comité des Risques. 4.4 LES RISQUES OPERATIONNELS Le risque opérationnel (RO) est défini comme le risque de perte résultant de l inadaptation ou de la défaillance de procédures, de personnes, de systèmes internes ou résultant d événements extérieurs (catastrophes, incendie, agressions ) La fonction Risques Opérationnels (RO) vise à mesurer et suivre les risques opérationnels avérés et potentiels et à mettre en œuvre les actions correctives afin d en limiter l étendue. Pour une meilleure optimisation de sa gestion des RO et afin de remplir les exigences prudentielles renforcées dans le cadre des accords de Bâle (dispositif Bâle II), le Groupe a mis en place une Cellule Surveillance Permanente (SP), Risques Opérationnels et Conformité directement rattachée au Directoire. 13

14 Comptes consolidés IAS/IFRS NOTES ANNEXES AUX ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31/12/ ENGAGEMENTS DE FINANCEMENT ET DE GARANTIE Éventualités et engagements hors bilan donnés et reçus 5.1. Engagement de financement Engagements de financements donnés Aux établissements de crédit A la clientèle Ouverture de crédit ouvert - - Autre engagements en faveur de la clientèle - - Total des engagements de financement donnés Engagements de financements reçus des établissements de crédit de la clientèle - - Total des engagements de financement reçus Engagement de garantie Engagements de financements donnés D ordre des établissements de crédit D ordre de la clientèle Cautions administratives et fiscales et autres cautions - - Autres garanties d ordre à la clientèle - - Total des engagements de garantie donnés Engagements de garantie reçus des établissements de crédit de l'état et d'autres organismes de garantie Total des engagements de garantie reçus INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES JUBILEE PLAN : MEDAILLE DU TRAVAIL Méthode de comptabilisation des écarts actuariels : La méthode actuarielle utilisée est celles des unités de crédit projetées (PUC «Projected Unit Credit») afin de déterminer la valeur actualisée des engagements du régime au titre des services passés et le coût des services rendus au cours de l exercice. Selon la méthode PUC, une valeur projetée des prestations accumulées est calculée à la date d évaluation, au titre des services rendus antérieurs à cette date et au titre de l exercice en cours pour les participants en activité. La valeur projetée des prestations accumulées est basée sur la formule d acquisition des droits du régime et sur l ancienneté acquise en date d évaluation, mais elle inclut les rémunérations, paramètres des prestations de sécurité sociale, etc., projetés à l âge où le participant est supposé commencer à bénéficier de ces prestations. L engagement du régime est la valeur présente actuarielle de cette valeur projetée des prestations acquises à la date d évaluation, incluant toutes les prestations payables pour tous les participants (en activité ou inactifs). Le coût des services de l année est la valeur présente actuarielle de la différence entre la valeur projetée des prestations acquises en début et fin d année. L engagement est calculé comme la valeur présente actuarielle à laquelle un prorata est appliqué. Ce prorata se calcule en faisant le rapport entre l ancienneté acquise à la date de calcul et l ancienneté projetée. Un surplus de régime est soumis au test du plafond sur actifs selon IAS19, qui limite le montant pouvant être reconnu comme actif au bilan. Description générale du type de régime : Type de plan : Médaille du travail (avantage à long terme) Nature juridique : Décision formelle de la Direction Générale Documentation justificative : Instruction C Modalités principales du régime Critère d éligibilité : tous salariés éligibles immédiatement jusqu à la retraite Droits acquis : acquisition de droit à partir de la 15ième année Définition du salaire : 1/12 du salaire de l année précédant le paiement Définition de l ancienneté : ancienneté groupe reconnue Formule de calcul : % du salaire en fonction de l ancienneté atteinte : Ancienneté Montants payables % du salaire mensuel défini % du salaire mensuel défini % du salaire mensuel défini % du salaire mensuel défini Modalités annexes du régime Couverture décès : aucune Couverture invalidité : aucune Autres : aucune Avenants ou événements affectant le régime Aucun Modalités non évaluées Aucune RIP : INDEMNITE DE DEPART EN RETRAITE Méthode de comptabilisation des écarts actuariels : La méthode actuarielle utilisée est celle des unités de crédit projetées (PUC «Projected Unit Credit») afin de déterminer la valeur actualisée des engagements du régime au titre des services passés et le coût des services rendus au cours de l exercice. Selon la méthode PUC, une valeur projetée des prestations accumulées est calculée à la date d évaluation, au titre des services rendus antérieurs à cette date et au titre de l exercice en cours pour les participants en activité. La valeur projetée des prestations accumulées est basée sur la formule d acquisition des droits du régime et sur l ancienneté acquise en date d évaluation, mais elle inclut les rémunérations, paramètres des prestations de sécurité sociale, etc., projetés à l âge où le participant est supposé commencer à bénéficier de ces prestations. L engagement du régime est la valeur présente actuarielle de cette valeur projetée des prestations acquises à la date d évaluation, incluant toutes les prestations payables pour tous les participants (en activité ou inactifs). Le coût des services de l année est la valeur présente actuarielle de la différence entre la valeur projetée des prestations acquises en début et fin d année. Si la formule du régime donne proportionnellement plus de droits sur les dernières années de service, l engagement est calculé comme le maximum entre le résultat de la méthode décrite en B.2 et la valeur présente actuarielle (avec ancienneté projetée) à laquelle un prorata est appliqué. Ce prorata se calcule en faisant le rapport entre l ancienneté acquise à la date de calcul et l ancienneté projetée au moment où un accroissement du nombre d année d ancienneté ne conduit plus à une augmentation des droits. L amortissement des écarts actuariels provenant des différences entre l expérience observée du régime et les hypothèses utilisées est une composante de la charge comptable, dans la mesure où le cumul net de ces gains et pertes non comptabilisés excède 10 % du maximum de l engagement brut du régime et de la juste valeur des actifs du régime. L amortissement se calcule en divisant cet excès par la moyenne probable des services résiduels des participants en activité bénéficiant du régime. Les impacts des modifications de Régime (les coûts des services passés) sont amortis sur la durée minimale entre la moyenne des périodes d acquisition irrévocables et la moyenne probable des services résiduels des participants en activités. - la moyenne des périodes d acquisition irrévocables - la moyenne probable des services résiduels des participants en activités. Un surplus de régime est soumis au test du plafond sur actifs selon IAS19, qui limite le montant pouvant être reconnu comme actif au bilan. Description générale du type de régime : Type de plan : Indemnité de départ en retraite (avantage postérieur à l emploi). Nature juridique : Décision formelle de la Direction Générale Modalités principales du régime : - Critère d éligibilité : tous salariés, éligibilité immédiate. - Droits acquis : pas de droits acquis avant la retraite. - Age normal de départ à la retraite : 60 ans. - Age de départ anticipé : départ volontaire possible à partir de 55 ans. - Définition du salaire : 1/12 du salaire de l année précédant la retraite. - Définition de l ancienneté : ancienneté groupe reconnue. - Formule de calcul : indemnité déterminée en fonction de l ancienneté au départ à la retraite et exprimée en nombre de mois de salaire : Ancienneté Nombre 0 < ans < ans < ans < ans < ans < 40 7 Ans 40 8 Modalités annexes du régime - Couverture décès : indemnité calculée sur le service au moment du décès - Autres : aucune 14

15 Comptes consolidés IAS/IFRS HEALTH PLAN : FRAIS MEDICAUX POUR LES RETRAITES Méthode de comptabilisation des écarts actuariels : La méthode actuarielle utilisée est celle des unités de crédit projetées (PUC «Projected Unit Credit») afin de déterminer la valeur actualisée des engagements du régime au titre des services passés et le coût des services rendus au cours de l exercice. Selon la méthode PUC, une valeur projetée des prestations accumulées est calculée à la date d évaluation, au titre des services rendus antérieurs à cette date et au titre de l exercice en cours pour les participants en activité. La valeur projetée des prestations accumulées est basée sur la formule d acquisition des droits du régime et sur l ancienneté acquise en date d évaluation, mais elle inclut les rémunérations, paramètres des prestations de sécurité sociale, etc., projetés à l âge où le participant est supposé commencer à bénéficier de ces prestations. L engagement du régime est la valeur présente actuarielle de cette valeur projetée des prestations acquises à la date d évaluation, incluant toutes les prestations payables pour tous les participants (en activité ou inactifs). Le coût des services de l année est la valeur présente actuarielle de la différence entre la valeur projetée des prestations acquises en début et fin d année. Si la formule du régime donne proportionnellement plus de droits sur les dernières années de service, l engagement est calculé comme le maximum entre le résultat de la méthode PUC et la valeur présente actuarielle (avec ancienneté projetée) à laquelle un prorata est appliqué. Ce prorata se calcule en faisant le rapport entre l ancienneté acquise à la date de calcul et l ancienneté projetée au moment où un accroissement du nombre d année d ancienneté ne conduit plus à une augmentation des droits. L amortissement des écarts actuariels provenant des différences entre l expérience observée du régime et les hypothèses utilisées est une composante de la charge comptable, dans la mesure où le cumul net de ces gains et pertes non comptabilisés excède 10 % du maximum de l engagement brut du régime et de la juste valeur des actifs du régime. L amortissement se calcule en divisant cet excès par la moyenne probable des services résiduels des participants en activité bénéficiant du régime. Les impacts des modifications de Régime (les coûts des services passés) sont amortis sur la durée minimale entre la moyenne des périodes d acquisition irrévocables et la moyenne probable des services résiduels des participants en activités. - la moyenne des périodes d acquisition irrévocables - la moyenne probable des services résiduels des participants en activités. Puisque la date effective des données des participants est antérieure à la date d évaluation, les données ont été projetées au 31 décembre 2006 en utilisant les mouvements attendus sur la population pendant cette période intermédiaire. Un surplus de régime est soumis au test du plafond sur actifs selon IAS19, qui limite le montant pouvant être reconnu comme actif au bilan. Description générale du type de régime : Type de plan : Frais médicaux (hospitalisation) pour les retraités (avantage postérieur à l emploi) Nature juridique : Accord d entreprise Documentation justificative : Contrat entre compagnie d assurance et entreprise Modalités principales du régime : - Critère d éligibilité : les retraités (et futurs retraités) SGMB depuis 1999 et leurs ayantdroits (conjoint, enfants à charge). - La couverture commence à la retraite et cesse au décès du bénéficiaire. - Droits acquis : Il faut prendre sa retraite dans l entreprise. - Remboursements de la Sécurité Sociale : Il n y a pas de prime payée par retraité, mais une majoration de 25% de la prime payée par actif. La prime par actif (majoration comprise) est payée pour moitié par SGMB. Modalités annexes du régime Couverture décès : aucune Couverture invalidité : aucune Autres : aucune Avenants ou événements affectant le régime 1/1/1999 : mis en place du régime couvrant les retraités Modalités non évaluées Aucune Hypothèses actuarielles Taux appliqués Taux d'actualisation Indemnité de départ en retraite 5,9% Médaille de travail 5,7% Frais médicaux 6,1% Taux d'inflation 2,3% Taux d'augmentation salariale 1,5% Taux des charges sociales 9,8% Provisions pour engagements sociaux Provisions pour engagements sociaux 31/12/10 31/12/11 31/12/12 Provisions pour indemnité de départ en retraite Provisions pour médaille de travail Provisions pour frais médicaux Total PÉRIMÈTRE DE CONSOLIDATION Dénomination Activité % Contrôle % Intérêts Méthode de consolidation SOCIETE GENERALE MAROCAINE DE BANQUES Bancaire 100,00% 100,00% IG INVESTIMA Société de participation 48,04% 48,04% IG SOGECAPITAL BOURSE Intermédiation en bourse 100,00% 100,00% IG SOGECAPITAL GESTION Gestion d'actifs 99,94% 99,94% IG SOGECAPITAL PLACEMENT Gestion d'actifs 99,94% 99,94% IG SOGELEASE Leasing 100,00% 100,00% IG* SG TANGER BANQUE OFFSHORE Bancaire 99,92% 99,92% IG SOGEFINANCEMENT Crédit à la consommation 100,00% 100,00% IG ATHENA COURTAGE Courtage d'assurance 97,00% 97,00% IG FONCIMMO Activité immobilière 100,00% 100,00% IG SOGECONTACT Centre d'appel 99,83% 99,83% IG LA MAROCAINE VIE Assurances 25,82% 25,82% MEE CREDIT EQDOM* Crédit à la consommation 19,97% 20,88% MEE ALD AUTOMOTIVE Location longue durée 15,00% 15,00% MEE IG : Intégration globale MEE : Mise en équivalence * Intégration de la participation indirecte de SGMA dans EQDOM via INVESTIMA passant de 19,97% à 20,88% en Évolution du capital et des résultats par action 31/12/10 Capital Nombre d actions Résultat Part groupe Résultat par action (dh) Parties liées Entreprises consolidées par intégration proportionnelle Eléments de résultat relatifs aux opérations réalisées avec les parties liées Entreprises consolidées par intégration proportionnelle Entreprises consolidées par mise en équivalence Entreprises consolidées par mise en équivalence Entreprises consolidées par intégration gobale Actif Prêts, avances et titres Comptes ordinaires Prêts Titres - Opération de location financement - Actif divers - Total Passif Dépôts Comptes ordinaires Autres emprunts Dettes représentées par un titre - Passif divers Total Engagements de financement et de garantie Engagements donnés Engagements reçus Entreprises consolidées par intégration gobale Intérêts et produits assimilés Intérêts et charges assimilées Commissions (produits) Commissions (charges) Prestations de services données Prestations de services reçues Loyers reçus Autres Ventilation du bilan par échéance Non déterminé JJ, et à vue De JJ (exclu) à 1 mois De 1 à 3 mois De 3 mois à 1 an De 1 à 5 ans Plus de 5 ans TOTAL Caisse, Banques centrales et CCP Actifs financiers en valeur de marché par résultat Instruments financiers dérivés de couverture Actifs financiers disponibles à la vente Prêts et créances sur établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux Actifs financiers détenus jusqu à l échéance Actifs financiers par échéance Banques centrales et CCP Passifs financiers en valeur de marché par résultat Instruments financiers dérivés de couverture Dettes envers les établissements de crédit Dettes envers la clientèle Dettes représentées par un titre Dettes subordonnées Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux - Passifs financiers par échéance

16 Comptes consolidés IAS/IFRS RÉSUMÉ DU RAPPORT D AUDIT SUR LES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS 16

17 comptes SOcIAUX DE LA SOcIÉTÉ GÉNÉRALE MAROcAINE DE BANQUES AU 31/12/2012 BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2012 Comptes Sociaux ACTIF Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux Créances sur les établissements de crédit et assimilés A vue A terme Créances sur la clientèle Crédits de trésorerie et à la consommation Crédits à l équipement Crédits immobiliers Autres crédits Créances acquises par affacturage Titres de transaction et de placement Bons du Trésor et valeurs assimilées Autres titres de créance Titres de propriété Autres actifs Titres d investissement - -. Bons du Trésor et valeurs assimilées - -. Autres titres de créance - - Titres de participation et emplois assimilés Créances subordonnées - - Immobilisations données en crédit-bail et en location - - Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles Total de l Actif PASSIF Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux - - Dettes envers les établissements de crédit et assimilés A vue A terme Dépôts de la clientèle Comptes à vue créditeurs Comptes d'épargne Dépôts à terme Autres comptes créditeurs Titres de créance émis Titres de créance négociables Emprunts obligataires - -. Autres titres de créance émis - - Autres passifs Provisions pour risques et charges Provisions réglementées - - Subventions, fonds publics affectés et fonds spéciaux de garantie - - Dettes subordonnées Ecarts de réévaluation - - Réserves et primes liées au capital Capital Actionnaires. Capital non versé (-) - - Report à nouveau (+/-) Résultats nets en instance d'affectation (+/-) - - Résultat net de l'exercice (+/-) Total du Passif HORS BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2012 HORS BILAN ENGAGEMENTS DONNES Engagements de financement donnés en faveur d'établissements de crédit et assimilés - - Engagements de financement donnés en faveur de la clientèle Engagements de garantie d'ordre d'établissements de crédit et assimilés Engagements de garantie d'ordre de la clientèle Titres achetés à réméré - - Autres titres à livrer - - ENGAGEMENTS REÇUS Engagements de financement reçus d'établissements de crédit et assimilés Engagements de garantie reçus d'établissements de crédit et assimilés Engagements de garantie reçus de l'etat et d'organismes de garantie divers Titres vendus à réméré - - Autres titres à recevoir - - RÉSUMÉ DU RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES SOCIAUX COMPTE DE PRODUITS ET CHARGES AU 31 DÉCEMBRE 2012 I.PRODUITS D EXPLOITATION BANCAIRE Intérêts et produits assimilés sur opérations avec les établissements de crédit Intérêts et produits assimilés sur opérations avec la clientèle Intérêts et produits assimilés sur titres de créance Produits sur titres de propriété Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location Commissions sur prestations de service Autres produits bancaires II.CHARGES D EXPLOITATION BANCAIRE Intérêts et charges assimilées sur opérations avec les établissements de crédit Intérêts et charges assimilées sur opérations avec la clientèle Intérêts et charges assimilées sur titres de créance émis Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location Autres charges bancaires III.PRODUIT NET BANCAIRE Produits d'exploitation non bancaire Charges d'exploitation non bancaire IV.CHARGES GENERALES D EXPLOITATION Charges de personnel Impôts et taxes Charges externes Autres charges générales d'exploitation Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles V.DOTATIONS AUX PROVISIONS ET PERTES SUR CREANCES IRRECOUVRABLES Dotations aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance Pertes sur créances irrécouvrables Autres dotations aux provisions VI.REPRISES DE PROVISIONS ET RECUPERATIONS SUR CREANCES AMORTIES Reprises de provisions pour créances et engagements par signature en souffrance Récupérations sur créances amorties Autres reprises de provisions VII.RESULTAT COURANT Produits non courants Charges non courantes VIII.RESULTAT AVANT IMPOTS Impôts sur les résultats IX.RESULTAT NET DE L EXERCICE TOTAL PRODUITS TOTAL CHARGES RESULTAT NET DE L'EXERCICE

18 Comptes Sociaux ÉTAT DES SOLDES DE GESTION AU 31 DÉCEMBRE 2012 CRÉANCES SUR LA CLIENTÈLE AU 31 DÉCEMBRE 2012 I - Tableau de formation des résultats 1.(+) Intérêts et produits assimilés (-) Intérêts et charges assimilées MARGE D INTERET (+) Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location (-) Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location - - Résultat des opérations de crédit-bail et de location (+) Commissions perçues (-) Commissions servies Marge sur commissions (+) Résultat des opérations sur titres de transaction (+) Résultat des opérations sur titres de placement (+) Résultat des opérations de change (+) Résultat des opérations sur produits dérivés - - Résultat des opérations de marché (+) Divers autres produits bancaires (-) Diverses autres charges bancaires PRODUIT NET BANCAIRE (+) Résultat des opérations sur immobilisations financières (+) Autres produits d'exploitation non bancaire ( -) Autres charges d'exploitation non bancaire ( -) Charges générales d'exploitation RESULTAT BRUT D EXPLOITATION (+) Dotations nettes des reprises aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance (+) Autres dotations nettes de reprises aux provisions RESULTAT COURANT RESULTAT NON COURANT (-) Impôts sur les résultats RESULTAT NET DE L'EXERCICE II - CAPACITE D AUTOFINANCEMENT (+) RESULTAT NET DE L EXERCICE (+) Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles (+) Dotations aux provisions pour dépréciation des immobilisations financières (+) Dotations aux provisions pour risques généraux (+) Dotations aux provisions réglementées (+) Dotations non courantes (-) Reprises de provisions (-) Plus-values de cession des immobilisations incorporelles et corporelles (+) Moins-values de cession des immobilisations incorporelles et corporelles (-) Plus-values de cession des immobilisations financières (+) Moins-values de cession des immobilisations financières (-) Reprises de subventions d investissement reçues - - (+) CAPACITE D AUTOFINANCEMENT (-) Bénéfices distribués (+) AUTOFINANCEMENT TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE AU 31 DÉCEMBRE (+) Produits d'exploitation bancaire perçus (+) Récupérations sur créances amorties (+) Produits d'exploitation non bancaire perçus (-) Charges d'exploitation bancaire versées (-) Charges d'exploitation non bancaire versées (-) Charges générales d'exploitation versées (-) Impôts sur les résultats versés I.Flux de trésorerie nets provenant du compte de produits et charges Variation des : 8.(-) Créances sur les établissements de crédit et assimilés (-) Créances sur la clientèle (-) Titres de transaction et de placement (-) Autres actifs (-) Immobilisations données en crédit-bail et en location (+) Dettes envers les établissements de crédit et assimilés (+) Dépôts de la clientèle (+) Titres de créance émis (+) Autres passifs II.Solde des variations des actifs et passifs d exploitation III.FLUX DE TRESORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITES D EXPLOITATION (I + II) (+) Produit des cessions d'immobilisations financières (+) Produit des cessions d'immobilisations incorporelles et corporelles (-) Acquisition d'immobilisations financières (-) Acquisition d'immobilisations incorporelles et corporelles (+) Intérêts perçus (+) Dividendes perçus IV.FLUX DE TRESORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITES D INVESTISSEMENT (+) Subventions, fonds publics et fonds spéciaux de garantie reçus (+) Emission de dettes subordonnées (+) Emission d'actions (-) Remboursement des capitaux propres et assimilés (-) Intérêts versés (-) Dividendes versés V.FLUX DE TRESORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITES DE FINANCEMENT VI.VARIATION NETTE DE LA TRESORERIE (III+ IV +V) VII.TRESORERIE A L OUVERTURE DE L EXERCICE VIII.TRESORERIE A LA CLOTURE DE L EXERCICE CRÉANCES Secteur public Entreprises financières DÉPÔTS DE LA CLIENTÈLE AU 31 DÉCEMBRE 2012 CRÉANCES SUR LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT AU 31 DÉCEMBRE 2012 DETTES ENVERS LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT ET ASSIMILÉS AU 31 DÉCEMBRE 2012 PROVISIONS AU 31 DÉCEMBRE 2012 Secteur privé Entreprises non financières Autre clientèle CRÉDITS DE TRÉSORERIE Comptes à vue débiteurs Créances commerciales sur le Maroc Crédits à l'exportation Autres crédits de trésorerie CRÉDITS A LA CONSOMMATION CRÉDITS A L ÉQUIPEMENT CRÉDITS IMMOBILIERS AUTRES CRÉDITS CRÉANCES ACQUISES PAR AFFACTURAGE INTÉRÊTS COURUS À RECEVOIR CRÉANCES EN SOUFFRANCE Créances pré-douteuses Créances douteuses Créances compromises TOTAL DÉPÔTS Secteur public Entreprises financières Secteur privé Entreprises non financières Autre clientèle COMPTES À VUE CRÉDITEURS COMPTE D'ÉPARGNE DÉPÔTS À TERME AUTRES COMPTES CRÉDITEURS INTÉRÊTS COURUS À PAYER TOTAL CRÉANCES Bank Al-Maghrib Trésor Public et Service des Chèques Postaux Banques au Maroc Autres établissements de crédit et assimilés au Maroc Etablissements de crédit à l étranger Total 31/12/12 Total 31/12/11 COMPTES ORDINAIRES DÉBITEURS VALEURS RECUES EN PENSION au jour le jour à terme PRÊTS DE TRÉSORERIE au jour le jour à terme PRÊTS FINANCIERS AUTRES CRÉANCES INTÉRÊTS COURUS À RECEVOIR CRÉANCES EN SOUFFRANCE TOTAL DETTES Etablissements de crédits et assimilés au Maroc Bank Al-Maghrib Trésor Public et Service des Chèques Postaux Banques au Maroc Autres établissements de crédit et assimilés au Maroc Etablissements de crédit à l étranger Total 31/12/12 Total 31/12/11 COMPTES ORDINAIRES CREDITEURS VALEURS DONNEES EN PENSION au jour le jour à terme EMPRUNT DE TRÉSORERIE au jour le jour à terme EMPRUNTS FINANCIERS AUTRES DETTES INTÉRÊTS COURUS À PAYER TOTAL PROVISIONS Encours 31/12/11 Dotations Reprises utilisées Reprise devenues disponible Ecart de conversion Autres variations Encours 31/12/12 PROVISIONS, DÉDUITES DE L ACTIF SUR : Créances sur les établissements de crédit et assimilés Créances sur la clientèle Titres de placement Titres de participation et emplois assimilés PROVISIONS INSCRITES AU PASSIF Provisions pour risques d exécution d engagements par signature Provisions pour risques de change Provisions pour risques généraux Provisions pour pensions de retraite et obligations similaires Provisions pour autres risques et charges Provisions réglementées TOTAL GENERAL

19 Comptes Sociaux TITRES DE PARTICIPATIONS ET EMPLOIS ASSIMILÉS AU 31 DÉCEMBRE 2012 Dénomination de la société émettrice Secteur d activité Capital social Participation au capital en % 31/12/2012 Prix d acquisition global Valeur comptable nette Extrait des derniers états de synthèse de la société émetttrice Date de clôture de l exercice Situation nette Résultat net A - Participations dans les entreprises liées SOGELEASE ACTIVITES FINANCIERES % /12/ SOGECAPITAL GESTION GESTION D'ACTIFS ,92% /12/ INVESTIMA GESTION VALEURS MOBILIERES ,04% /12/ SOGECAPITAL BOURSE INTERMEDIATION BOURSIERE ,99% /12/ SOGECONTACT CENTRE D'APPEL ,83% /12/ SOGECAPITAL PLACEMENT GESTION D'ACTIFS ,94% /12/ FONCIMMO COMMERCE BIENS IMMOBILIERS ,99% /12/ LA MAROCAINE VIE ASSURANCE ,82% /12/ ATHENA COURTAGE ASSURANCE % /12/ BANQUE OFFSHORE BANQUE ,92% /12/ SOGEFINANCEMENT ACTIVITES FINANCIERES ,00% /12/ CREDIT EQDOM ACTIVITES FINANCIERES ,97% /12/ ALD AUTOMOTIVE ACTIVITES FINANCIERES ,00% /12/ B - Autres titres de participation DAR AD-DAMANE ACTIVITES FINANCIERES ,63% /12/ CMM ACTIVITES FINANCIERES ,32% /12/ MANAGEM INDUSTRIE MINIERE /12/ LESIEUR AFRIQUE AGRO ALIMENTAIRE ,03% /12/ CELLULOSE DU MAROC INDUSTRIE DE PAPIER ,95% /12/ GPBM SCI ACTIVITES FINANCIERES ,67% /12/ INTERBANK ACTIVITES FINANCIERES ,00% /12/ RECOURS SOCIETE DE RECOUVREMENT /12/ SANOFI PHARMA MAROC INDUSTRIES CHIMIQUES /12/ SMAEX ACTIVITES FINANCIERES ,28% /12/ MAROCLEAR ACTIVITES FINANCIERES ,17% /12/ CENTRE MONETIQUE ACTIVITES FINANCIERES INTERBANCAIRE ,20% /12/ MAROC TELECOMMERCE ACTIVITES FINANCIERES ,00% /12/ SOGEPIB ZONE INDUSTRIELLE ,00% /12/ ACMAR ACTIVITES FINANCIERES ,00% /12/ EXP Service Maroc /12/ FCP SG Cash Plus ACTIVITES FINANCIERES SG EPARGNE PLUS ACTIVITES FINANCIERES FCP SG COURT TERME OBLIG ACTIVITES FINANCIERES PORNET SWIFT INDICE ACTIVITES FINANCIERES FCP SG OPTIMAL PLUS ACTIVITES FINANCIERES F.C.P SG ACTIONS PLUS ACTIVITES FINANCIERES SOGEPOS ,20% /12/ FCP SG CASH Garantie ACTIVITES FINANCIERES C - Emplois assimilés C/C SCI GPBM ACTIVITES FINANCIERES C/C FONCIMMO Total Général VALEURS ET SURETÉS REÇUES ET DONNÉES EN GARANTIE AU 31 DÉCEMBRE 2012 Valeurs et sûretés reçues en garantie Valeur comptable nette Rubriques de l'actif ou du hors bilan enregistrant les créances ou les engagements par signature reçus ÉTAT DES DÉROGATIONS AU 31 DÉCEMBRE 2012 Montants des créances ou des engagements par signature reçus couverts Bons du Trésor et valeurs assimilées Autres titres Hypothèques Autres valeurs et sûretés réelles TOTAL Valeurs et sûretés données en garantie Indications des dérogations I. Dérogations aux principes comptables fondamentaux II. Dérogations aux méthodes d évaluation III. Dérogations aux règles d établissement et de présentation des états de synthèse Valeur comptable nette Rubriques du passif ou du hors bilan enregistrant les dettes ou les engagements par signature donnés Justifications des dérogations Néant Néant Néant Influence des dérogations sur le patrimoine, la situation financière et les résultats Néant Néant Néant Montants des dettes ou des engagements par signature donnés couverts Bons du Trésor et valeurs assimilées Autres titres Hypothèques Autres valeurs et sûretés réelles TOTAL VENTILATION DES EMPLOIS ET DES RESSOURCES SUIVANT LA DURÉE RÉSIDUELLE AU 31 DÉCEMBRE 2012 D 1mois 1mois < D 3mois 3mois < D 1an 1an < D 5ans D > 5ans TOTAL ACTIF Créances sur les établissements de crédit et assimilés Créances sur la clientèle Titres de créances Créances subordonnées Crédit-bail et assimilé Total PASSIF Dettes envers les établissements de crédit et assimilés Dettes envers la clientèle Titres de créances Emprunts subordonnées Total DETTES SUBORDONNÉES AU 31 DÉCEMBRE 2012 Monnaie de l emprunt Montant en monnaie de l emprunt Cours Taux Durée Condition de remboursement anticipé, subordination et convertibilité Montant de l emprunt en monnaie nationale (ou contrevaleur en KDH) dont entreprises liées Montant N (en contrevaleur KDH) Montant N-1 (en contrevaleur KDH) dont autres apparentés Montant N (en contrevaleur KDH) Montant N-1 (en contrevaleur KDH) MAD ,6% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation ne peut avoir lieu qu à l initiative de l Emetteur et après accord de BANK AL MAGHRIB Le remboursement du capital et des intérêts n interviendra qu après remboursement de toutes les autres dettes MAD % (Taux révisable) 10 Ans Le remboursement par anticipation ne peut avoir lieu qu à partir de la 5 éme année, avec préavis d un mois, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM MAD ,6% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, sans préavis, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM MAD ,84% (Taux révisable) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, sans préavis, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM MAD ,6% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, sans préavis, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM MAD ,98% (taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM MAD ,98% (taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM Total

20 ÉTATS ANNEXES VENTILATION DES TITRES DE TRANSACTION ET DE PLACEMENT ET DES TITRES D INVESTISSEMENT DU 01 Janvier 2012 AU 31 Décembre 2012 Emetteurs privés TITRES Etablissement de crédit Total Total Emetteurs publics financiers non financiers et assimilés 31/12/12 31/12/11 TITRES COTES BONS DU TRESOR ET VALEURS ASSIMILEES OBLIGATIONS - - AUTRES TITRES DE CREANCE TITRES DE PROPRIETE TITRES NON COTES BONS DU TRESOR ET VALEURS ASSIMILEES OBLIGATIONS AUTRES TITRES DE CREANCE TITRES DE PROPRIETE Total VALEURS DES TITRES DE TRANSACTION ET DE PLACEMENT ET DES TITRES D INVESTISSEMENT Valeur comptable brute Valeur actuelle Valeur de remboursement Plus-values latentes Moins-values latentes Provisions TITRES DE TRANSACTION BONS DU TRESOR ET VALEURS ASSIMILEES OBLIGATIONS AUTRES TITRES DE CREANCE TITRES DE PROPRIETE TITRES DE PLACEMENT BONS DU TRESOR ET VALEURS ASSIMILEES OBLIGATIONS AUTRES TITRES DE CREANCE TITRES DE PROPRIETE TITRES D'INVESTISSEMENT BONS DU TRESOR ET VALEURS ASSIMILEES OBLIGATIONS AUTRES TITRES DE CREANCE DETAIL DES AUTRES ACTIFS ACTIF INSTRUMENTS OPTIONNELS ACHETES OPERATIONS DIVERSES SUR TITRES DEBITEURS DIVERS Sommes dues par l'etat Sommes dues par les organismes de prévoyance Sommes diverses dues par le personnel Comptes clients de prestations non bancaires Divers autres débiteurs VALEURS ET EMPLOIS DIVERS COMPTES DE REGULARISATION Comptes d'ajustement des opérations de hors bilan Comptes d'écarts sur devises et titres Résultats sur produits dérivés de couverture Charges à répartir sur plusieurs exercices Comptes de liaison entre siège, succursales et agences au Maroc Produits à recevoir et charges constatées d'avance Autres comptes de régularisation CREANCES EN SOUFFRANCE SUR OPERATIONS DIVERSES TOTAL ÉTAT DES CHANGEMENTS DE MÉTHODES DU 1 ER JANVIER 2012 AU 31 DÉCEMBRE 2012 Nature des changements Justifications des changements Influence sur le patrimoine, la situation financière et les résultats I. Changements affectant les méthodes d évaluation Néant Néant II. Changements affectant les règles de présentation Néant Néant DETAIL DES AUTRES PASSIFS PASSIF INSTRUMENTS OPTIONNELS VENDUS OPERATIONS DIVERSES SUR TITRES CREDITEURS DIVERS Sommes dues à l'etat Sommes dues aux organismes de prévoyance Sommes diverses dues au personnel - - Sommes diverses dues aux actionnaires et associés Fournisseurs de biens et services Divers autres créditeurs COMPTES DE REGULARISATION Comptes d'ajustement des opérations de hors bilan Comptes d'écarts sur devises et titres Résultats sur produits dérivés de couverture Comptes de liaison entre siège, succursales et agences au Maroc Charges à payer et produits constatés d'avance Autres comptes de régularisation TOTAL CREANCES SUBORDONNEES Au 31/12/2012 Créances Créances subordonnées aux établissements de crédit et assimilés Créances subordonnées à la clientèle TOTAL Brut 1 Dont Entreprises liées MONTANT et Apparentées Prov. 2 Net 3 N É A N T Net 4 Net 5 Net 6 IMMOBILISATIONS INCORPORELLES ET CORPORELLES Code ligne Immobilisations Montant brut au 31/12/2011 Montant des acquisitions au cours de l exercice Montant des cessions ou retraits au cours de l exercice Montant brut à la fin de l exercice Montant des amortis. et/ou prov début de l ex. Dotations au titre de l exercice Montant des amortis. sur immo. sorties Cumul Montant net au 31/12/2012 F001 IMMOBILISATIONS INCORPORELLES F004 - Droit au bail F006 - Immobilisations en recherche et développement - - F007 - Autres immobilisations incorporelles d'exploitation F008 - Immobilisations incorporelles hors exploitation - - F010 IMMOBILISATIONS CORPORELLES F011 - IMMEUBLES D'EXPLOITATION F012. Terrain d'exploitation F013. Immeubles d'exploitation, Bureaux F014. Immeubles d'exploitation, Logements de fonction - - F015 - MOBILIER ET MATERIEL D'EXPLOITATION F016. Mobilier de bureau d'exploitation F017. Matériel de bureau d'exploitation F018. Matériel informatique F019. Matériel roulant rattaché à l'exploitation F020. Autres matériels d'exploitation - - F021 - AUTRES IMMOB. CORPORELLES D EXPLOITATION F022 - IMMOBILISATIONS CORPOREL. HORS EXPLOITAT F023. Terrains hors exploitation F024. Immeubles hors exploitation F025. Mobilier et matériel hors exploitation F026. Autres immobilisations corporelles hors exploitation T039 Total En Dirhams Solde selon chapitre 20

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