LES DROITS DE L ENFANT DANS LA COOPERATION AU DEVELOPPEMENT Arguments et recommandations pour une approche des droits de l enfant

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES DROITS DE L ENFANT DANS LA COOPERATION AU DEVELOPPEMENT Arguments et recommandations pour une approche des droits de l enfant"

Transcription

1 LES DROITS DE L ENFANT DANS LA COOPERATION AU DEVELOPPEMENT Arguments et recommandations pour une approche des droits de l enfant Vu les évolutions de la coopération au développement, la politique belge en matière de coopération au développement doit plus que jamais être ancrée dans un cadre international. Les pays du sud doivent être soutenus via l élaboration de structures qui permettent de mettre en œuvre un développement social durable. Le fil rouge d une politique efficace en matière de coopération au développement doit considérer les objectifs du millénaire pour le développement dont les cadres de référence sont les grandes conventions des droits de l homme, telle que la Convention Internationale aux Droits de l Enfant de ARGUMENTS POUR UNE APPROCHE DES DROITS DE L ENFANT DANS LA COOPERATION AU DEVELOPPEMENT Faits et chiffres Une coopération au développement ne prêtant pas une attention particulière aux enfants est une contradiction en soi. Voici quelques faits et chiffres qui permettent de le démontrer. 50% de la population mondiale est composée d enfants 7,7 millions d enfants meurent chaque année avant l'âge de cinq ans des suites de maladies pouvant être prévenues 67 millions d enfants ne vont pas à l école primaire 2,5 millions d enfants vivent avec le VIH/sida 215 millions d enfants sont employés dans une forme de travail des enfants Source : La situation des enfants dans le monde 2011, UNICEF Tous ces enfants ont pourtant droit aux services de base tels que stipulés dans la Convention Internationale aux Droits de l Enfant. Il ne s agit pas d une promesse, mais d un droit. Le fait de plaider pour une attention aux droits de l enfant dans la coopération au développement n est donc pas un caprice, mais découle de la constatation que les enfants sont actuellement, dans une grande mesure, les victimes du sous-développement et de la pauvreté, alors qu ils peuvent, d autre part, également être un levier permettant de mettre en œuvre un développement durable. Les enfants occupent une place centrale dans les Objectifs du Millénaire pour le développement Les Nations Unies ont organisé un Sommet du Millénaire en septembre Les 189 Etats membres de l époque y avaient entériné une déclaration dans laquelle 8 objectifs du millénaire 1

2 pour le développement (OMD) étaient mis en avant. A travers de ces objectifs, ils veulent éradiquer la pauvreté et la famine. 1. Réduire l extrème pauvreté et la faim 2. Assurer l éducation primaire pour tous 3. Promouvoir l égalité des sexes et l autonomisation des femmes 4. Réduire la mortalité infantile 5. Améliorer la santé maternelle 6. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d autres maladies 7. Respecter l environnement 8. Mettre en place un partenariat mondial pour le développement Tous les OMD ont directement et/ou indirectement un impact sur les droits de l enfant. Les enfants et les jeunes sont les principales victimes de la pauvreté dans le monde (tant sur le plan quantitatif que qualitatif). Plus d un demi-milliard d enfants à peu près 40% de tous les enfants vivant au Sud doivent s en sortir chaque jour avec moins d un euro. La pauvreté a des conséquences lourdes sur les enfants. Les privations causent des dommages à vie sur le développement cognitif et physique des nourrissons et des enfants en bas âge. Le développement de l enfant est une succession d étapes biologiques pour lesquelles il y a peu de chance de retour. Au-delà du fait que les enfants sont les plus touchés par la pauvreté, ils sont le maillon le plus important dans la chaine de transmission de la pauvreté à la génération suivante, entrainant la population dans un cercle vicieux. La réalisation des objectifs du millénaire pour le développement, l éradication de la pauvreté et le développement durable seront uniquement possibles en investissant davantage dans les enfants et leurs droits. Car sans investissements supplémentaires pour améliorer la vie des enfants dans le monde entier, le cercle vicieux de la pauvreté ne sera pas rompu et il ne sera pas non plus possible de réaliser pleinement les autres objectifs du millénaire pour le développement. Investir dans les enfants est le meilleur investissement qu une société puisse faire. Le respect de leurs droits constitue la meilleure garantie de croissance économique et forme le moteur du développement durable. L investissement dans les enfants doit par conséquent être une priorité. (UNICEF, 2000, La réduction de la pauvreté commence par les enfants) A l heure actuelle, il ne semble pas que le monde puisse parvenir à atteindre tous les objectifs du millénaire pour le développement d ici En outre, les progrès qui ont été enregistrés jusqu à présent n ont toujours pas fourni une amélioration pour les enfants les plus vulnérables. Différentes études démontrent notamment que le fossé entre le bien-être d un enfant dans une famille pauvre et celui d'un enfant dans une famille riche s accroît chaque année. L inégalité ne cesse de grandir, et il en va de même sur le plan de l enseignement, de la santé et de l alimentation. Ces éléments forment une menace supplémentaire à l égard de la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement d ici Si l on n investit pas davantage dans l implication des groupes les plus vulnérables dans le développement, les progrès des pays concernés seront encore ralentis. (Jan Vandemoortele, Equity 2

3 Begins with Children (un chapitre du livre sur la pauvreté des enfants, devrait être publié par Policy Press en 2011)). L'approche des OMD vise `la promotion' et pense en termes de moyenne et de réduction de moitié. C est le cas, par exemple, de l OMD 4, qui vise la réduction de 2/3 de la mortalité infantile. Mais que fait-on, par exemple, de ce tiers des enfants qui risquent de mourir avant d avoir atteint leur cinquième anniversaire? Une approche des droits de l enfant qui stipule que tous les droits doivent être réalisés pour tous les enfants, est un complément important à l approche du développement par le biais des objectifs du millénaire pour le développement. Une approche droits de l enfant prête une attention particulière aux enfants les plus vulnérables. Elle tient également compte d un éventail plus large de droits et de services aux enfants, comme la protection contre la violence et l'exploitation, le droit à une identité ou le droit d'avoir une opinion propre. Le fait de prêter davantage attention aux droits de l'enfant - en complément aux objectifs du millénaire pour le développement - permet ainsi de mettre en œuvre un développement réellement durable. Obligation conventionnelle de collaboration internationale Une base importante pour une approche des droits de l enfant dans la coopération au développement est la Convention Internationale relative aux Droits de l Enfant (CIDE). Il est non seulement impossible de réaliser les objectifs du millénaire pour le développement sans prêter davantage attention aux enfants et à leurs droits, mais (tel que précisé par la CIDE) les Etats sont aussi tenus de réaliser les droits de l enfant. A l exception des Etats-Unis et de la Somalie (à l heure actuelle), tous les pays du monde ont ratifié la convention. Cette ratification quasi universelle rend la CIDE contraignante au niveau mondial et renforce l obligation commune de solidarité mutuelle. La CIDE appelle aussi explicitement à la collaboration internationale. Le mot coopération au développement n apparaît pas dans la CIDE, contrairement à la notion de collaboration internationale. Mais cela illustre l esprit de la CIDE et s inscrit dans la vision actuelle sur le développement. La CIDE offre des points de repère uniques pour la coopération internationale au développement. En premier lieu, on peut citer l article 4 qui précise que les Etats signataires doivent prendre des mesures législatives, administratives et autres outils appropriées pour la mise en œuvre des droits économiques, sociaux et culturels "dans la mesure où les moyens à leur disposition le permettent et, si nécessaire, dans le cadre de la coopération internationale." La qualification de la coopération internationale comme un instrument pour la réalisation et la mise en œuvre des droits de l homme tel que décrit dans l article 4 de la CIDE, s inscrit dans une approche plus large dans laquelle la coopération et l aide internationale sont mis en avant, en particulier pour les droits économiques, sociaux et culturels. Mais la CIDE va encore plus loin. L article 4 n est pas le seul à référer à la coopération internationale./ C est également le cas des articles relatifs aux droits des enfants avec un handicap (CIDE art. 23), au droit de jouir d une bonne santé (CIDE art. 24) et au droit à l enseignement (CIDE art. 28). Dans chacun de ces articles et en ce qui concren la réalisation des droits qui y sont mentionnés, les Etats signataires sont appelés à s engager à promouvoir la coopération internationale et à tenir compte en particulier des besoins des pays en voie de développement. 3

4 Ces appels se trouvent aussi dans les protocoles facultatifs dans la CIDE (article 7 du Protocoles facultatif concernant l implication d enfants dans les conflits armés et article 10 du Protocole facultatif concernant la vente d enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants). La CIDE et les protocoles attendent clairement des Etats signataires qu ils encouragent et stimulent la coopération internationale, et que le développement des pays en voie de développement nécessite une attention spéciale à cet égard. Il n y a pas que les articles dans la CIDE proprement dite que nous pouvons souligner. Suite à l examen des rapports des différents Etats signataires le Comité des Droits de l Enfant a aussi signalé à plusieurs reprises que la coopération internationale est un élément important de la CIDE. Le Comité a exposé dans l Observation Générale n 5, Mesures d application générales de la Convention relative aux Droits de l Enfant (2003) quelles sont les actions attendues de la part des Etats signataires dans le domaine de la coopération internationale (au développement) (paragraphes 60-64). Le Comité incite ici aussi les Etats signataires à augmenter le budget pour la coopération au développement et les pays en voie de développement sont encouragés à consacrer une partie considérable du budget qu ils reçoivent à l aide pour les enfants et leurs droits. Les droits de l enfant doivent donc obtenir une place prioritaire dans l allocation du budget, tant dans les pays donateurs que dans les pays en voie de développement. DEFIS POUR L AVENIR DE LA COOPERATION BELGE AU DEVELOPPEMENT En 2005, le thème des 'droits de l enfant a été intégré via un amendement comme thème transversal dans la loi relative à la coopération internationale belge de Concrètement, cela signifie que depuis cette modification de la loi, il convient de prêter davantage attention aux enfants et à leurs droits dans toute politique et toute action en matière de coopération au développement. La note stratégique «Respect des Droits de l Enfant» de 2007 en a été une étape importante. Même si l intégration des droits de l enfant dans la coopération est déjà une première étape, il y a néanmoins encore besoin d un bon suivi avec des mesures opérationnelles concrètes pour que la loi et la note deviennent réalité. Il reste donc encore des défis pour l avenir ; on ne peut en effet pas encore parler des droits de l enfant comme une approche transversale de la coopération au développement. Cela n a pas non plus échappé au Comité des Nations Unies des Droits de l Enfant l'année passée. Dans ses recommandations relatives au troisième rapport belge concernant les droits de l enfant (2010), le Comité a constaté que les droits de l enfant ne bénéficient pas encore d'une approche intersectorielle suffisante au sein de la coopération belge au développement. Aussi, le Comité a demandé aux autorités belges de faire des droits de l enfant une priorité dans les accords de coopération entre la Belgique et ses pays partenaires. Les droits de l enfant comme thème transversal 4

5 Nous reconnaissons clairement la valeur des différents thèmes transversaux (au-delà de celui des droits de l enfant, il y a aussi le genre, l environnement et l économie sociale), et nous soulignons l importance d une attention spécifique permanente pour le thème transversal des droits de l enfant. Les thèmes transversaux nécessitent un encadrement à long terme. Nous plaidons pour une approche mainstream, où les interventions visent l intégration des droits de l enfant dans toutes les activités de la coopération au développement. Cette approche n exclut pas des interventions ciblées, mais le mainstreaming est la stratégie à long terme privilégiée afin de garantir que les droits de l enfant soient intégrés dans toutes les actions et décisions qui sont prises dans le cadre de la coopération belge au développement. L exécution des droits de l enfant comme thème transversal Suite à l évaluation de la Note stratégique sur l intégration des droits de l enfant dans la coopération au développement internationale, nous demandons l élaboration d un véritable document stratégique. La note stratégique actuelle est trop peu opérationnelle et pas assez efficiente. Nous plaidons pour une note stratégique qui indique clairement quelle est la stratégie de la Belgique pour garantir l attention aux droits de l enfant dans toutes ses activités et de quelle manière la Belgique veut réaliser les droits de l enfant dans le Sud. Des mesures opérationnelles concrètes pour un bon suivi est nécessaire pour que la note devienne réalité. En ce qui concerne l application concrète du thème transversal des droits de l enfant, nous plaidons pour le renforcement des capacités des différents acteurs impliqués dans la coopération au développement belge (tant en Belgique que dans les pays partenaires). Le lien entre le siège et les postes sur le terrain peut aussi être renforcé afin que le discours du siège ait aussi des répercussions dans les activités sur le terrain. Au moyen de formations, de directives claires (check-list) et d objectifs, il est possible de développer les connaissances, ainsi que la prise de conscience quant à l importance des droits de l enfant et la pertinence du développement d une approche basée sur les droits de l'enfant. Les ONG peuvent aussi être impliquées. Il apparaît aujourd hui que la plupart des ONG de développement ne sont pas informées sur l importance de l attention à prêter aux droits de l enfant dans leur propre fonctionnement. Ici aussi, vu l impact important de la collaboration non gouvernementale sur le terrain, les droits de l'enfant doivent être considérés. Le dialogue politique permanent que les autorités belges mènent avec les pays partenaires offre une occasion de choix de dresser la carte des droits de l enfant. Nous plaidons pour que cet outil soit encore mieux exploité. De cette manière, les pays partenaires sont incités à convertir la CIDE et d autres instruments des droits de l homme dans leur réglementation nationale. Un outil concret à cet égard est les Observations Finales du Comité des Droits de l'enfant concernant le pays partenaire en question. Les Observations Générales du Comité fournissent aussi des directives pratiques. Ainsi, la 5

6 Belgique soutient ses pays partenaires pour qu ils intègrent les droits de l enfant dans leur politique et leurs plans d'action, devant mener à une mise en œuvre concrète de la CIDE. Evaluation et rapports sur les droits de l enfant dans la coopération belge au développement Nous soulignons l importance des rapports transparents systématiques et de l évaluation des progrès réalisés en ce qui concerne la mise en œuvre du thème transversal des droits de l homme. Pour la mesure et l évaluation des droits de l enfant dans la coopération au développement, un mécanisme M&E s avère nécessaire. Afin d augmenter la transparence des montants qui sont consacrés aux droits de l enfant et d en augmenter l attribution, nous plaidons pour un système de pistage financier efficace pour les actions ayant trait aux droits de l enfant. Dans le système d évaluation actuel de la coopération belge au développement, on utilise un système de marqueur. Ce marqueur est utilisé afin de pouvoir mesurer l allocation du budget. Jusqu à présent, nous observons quelques problèmes d ordre méthodologique lors de l'application du marqueur. En ce qui nous concerne, nous considérons le présent marqueur plutôt comme un marqueur «enfant» et non comme un marqueur «droit de l enfant». Le marqueur évalue les activités en fonction de la place centrale ou moins centrale qu ils accordent aux enfants. Il n évalue pas l étendue de l approche «droit des enfants». Ainsi, le marqueur 1 (accordé dès qu une activité attribue une importance aux droits de l enfant, sans toutefois en être le but principal) peut être interprété de manière tellement large que nombre d interventions peuvent y correspondre, ce qui lui fait perdre toute sa signification. Nous plaidons pour l optimisation de ce marqueur afin d obtenir une image plus claire de l allocation du budget dans la coopération belge au développement actuelle et de donner au marqueur une place claire dans un mécanisme M&E. Le gouvernement a des obligations de rapport au parlement en ce qui concerne les droits de l enfant, y compris au niveau de la coopération au développement. Celles-ci sont définies dans la loi du 7 février 1994 (amendée en septembre 2000) et dans la loi du 4 septembre Nous plaidons pour l application effective de cette obligation de rapportage par le gouvernement et une attention effective par le parlement. 6

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes Les engagements de la Belgique La loi sur la coopération internationale de 1999 institue l égalité

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015

Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015 Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015 Les parlementaires africains Reconnaissant que les parlements

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme, Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels

Plus en détail

EVALUATION DE LA POLITIQUE FRANÇAISE «GENRE ET DEVELOPPEMENT»

EVALUATION DE LA POLITIQUE FRANÇAISE «GENRE ET DEVELOPPEMENT» COMMISSION NATIONALE CONSULTATIVE DES DROITS DE L HOMME OBSERVATOIRE DE LA PARITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES EVALUATION DE LA POLITIQUE FRANÇAISE «GENRE ET DEVELOPPEMENT» Rapport du Groupe de travail

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration

Plus en détail

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002

Plus en détail

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction

Plus en détail

PROTOCOLE D ACCORD. Pour la création du CODETIC

PROTOCOLE D ACCORD. Pour la création du CODETIC NRef RM/SF0704165 PROTOCOLE D ACCORD Pour la création du CODETIC Consortium Mondial pour le Développement Equitable des Technologies de l Information et de la Communication Entre WebForce International

Plus en détail

4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012

4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012 4 avril 203 Formation IDSE 2012 10 mai 2012 La politique de responsabilité sociétale de Vivendi, enjeux et gouvernance Pascale Thumerelle Directrice de la responsabilité sociétale d entreprise (RSE) Webinaire

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

1 ] Droit à la santé, accès à la santé et aux soins de santé

1 ] Droit à la santé, accès à la santé et aux soins de santé 1 ] Droit à la santé, accès à la santé et aux soins de santé Le temps est venu de mesurer la santé de notre monde au sort réservé aux plus faibles. (Jean Merckaert, CCFD) CADRE GÉNÉRAL Qu entend-on par

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Déclaration du Capital naturel

Déclaration du Capital naturel Déclaration du Capital naturel Une déclaration du secteur financier démontrant notre engagement au sommet de Rio +20 pour tendre vers l intégration des considérations liées au capital naturel dans les

Plus en détail

Programme OMS de Bonne Gouvernance dans le secteur pharmaceutique

Programme OMS de Bonne Gouvernance dans le secteur pharmaceutique TABLE RONDE ReMeD 2009 Le rôle du pharmacien pour améliorer la qualité et la disponibilité des médicaments essentiels Paris, le 9 novembre 2009 FIAP Jean Monnet Programme OMS de Bonne Gouvernance dans

Plus en détail

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

Améliorer l accès à des. médicaments de qualité via une mise en réseau d ONG

Améliorer l accès à des. médicaments de qualité via une mise en réseau d ONG Améliorer l accès à des médicaments de qualité via une mise en réseau d ONG Contexte Le marché pharmaceutique mondial est caractérisé par la coexistence de standards multiples de qualité: là où les patients

Plus en détail

Questionnaire Entreprises et droits humains

Questionnaire Entreprises et droits humains Membres du Avec & Asset Management Questionnaire Entreprises et droits humains 1 2 Présentation des organisations Le CCFD-Terre Solidaire est la première association française de développement. Elle a

Plus en détail

Fondation Sanofi Espoir. Charte de sélection des projets

Fondation Sanofi Espoir. Charte de sélection des projets Fondation Sanofi Espoir Charte de sélection des projets Décembre 2010 1 La Charte de sélection des projets Vous êtes porteur d un projet de terrain lié à la santé, dans le domaine de la solidarité ou de

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

ONU FEMMES Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes

ONU FEMMES Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes ONU FEMMES Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes Ce que veulent les femmes Planification et financement pour une consolidation de la paix tenant compte des questions

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

AVIS N 118 DU 13 FEVRIER 2009 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES, RELATIF A LA PROPOSITION DE DIRECTIVE PORTANT

AVIS N 118 DU 13 FEVRIER 2009 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES, RELATIF A LA PROPOSITION DE DIRECTIVE PORTANT AVIS N 118 DU 13 FEVRIER 2009 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES, RELATIF A LA PROPOSITION DE DIRECTIVE PORTANT MODIFICATION DE LA DIRECTIVE 86/613/CEE SUR L APPLICATION

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages

Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages Convention sur la diversité biologique : ABS Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages RESSOURCES GÉNÉTIQUES CONNAISSANCES TRADITIONNELLES FOURNISSEURS UTILISATIONS CONSENTEMENT PRÉALABLE

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX

Plus en détail

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique COUR DES COMPTES Synthèse du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique Janvier 2011 L emploi des fonds collectés par les associations en faveur des victimes du Tsunami du 26 décembre

Plus en détail

Année internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies

Année internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies Année internationale de la jeunesse 12 août 2010-11 août 2011 Dialogue et compréhension mutuelle asdf Nations Unies «Nous devons nous engager sans réserve pour que les jeunes aient accès à l éducation,

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ CLT-10/CONF.204/6 PARIS, le 14 septembre 2010 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT

Plus en détail

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION 1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC.

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. CONTEXTE : Alcoa Inc. («Alcoa») et sa direction se sont engagés à mener toutes leurs activités dans le monde entier, avec éthique et en conformité

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU

LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

Notre approche pour les investissements en bourse

Notre approche pour les investissements en bourse TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF

LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)

Plus en détail

Les personnes handicapées ont les mêmes droits

Les personnes handicapées ont les mêmes droits Les personnes handicapées ont les mêmes droits La stratégie européenne 2010-2020 en faveur des personnes handicapées Commission européenne Égalité des droits, égalité des chances La valeur ajoutée européenne

Plus en détail

Je suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale.

Je suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale. Intervention de la Roumanie à l'occasion de la session «Haut Niveau» de l' Onzieme Congrès des Nations Unis sur la prévention du crime et la justice pénale Madame KIBEDI Katalin Barbara, Sécretaire d'

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

Déclaration des droits sur Internet

Déclaration des droits sur Internet Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.

Plus en détail

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER

Plus en détail

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits

Plus en détail

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint

Plus en détail

PROMOUVOIR L ÉGALITÉ ENTRE HOMMES ET FEMMES

PROMOUVOIR L ÉGALITÉ ENTRE HOMMES ET FEMMES DIRECTION GÉNÉRALE DE LA COOPÉRATION INTERNATIONALE ET DU DÉVELOPPEMENT PROMOUVOIR L ÉGALITÉ ENTRE HOMMES ET FEMMES INITIATIVES ET ENGAGEMENTS FRANÇAIS EN MATIÈRE DE GENRE ET DÉVELOPPEMENT Publication

Plus en détail

Copie préliminaire du texte authentique. La copie certifiée par le Secrétaire général sera publiée ultérieurement.

Copie préliminaire du texte authentique. La copie certifiée par le Secrétaire général sera publiée ultérieurement. PROTOCOLE ADDITIONNEL À LA CONVENTION DES NATIONS UNIES CONTRE LA CRIMINALITÉ TRANSNATIONALE ORGANISÉE VISANT À PRÉVENIR, RÉPRIMER ET PUNIR LA TRAITE DES PERSONNES, EN PARTICULIER DES FEMMES ET DES ENFANTS

Plus en détail

LES ESPOIRS SONT IMMENSES

LES ESPOIRS SONT IMMENSES LES ESPOIRS SONT IMMENSES UN PORTE-DRAPEAU MONDIAL DU CHANGEMENT ONU Femmes est le porte-drapeau mondial du changement pour les femmes et les filles. Sa création en 2010, saluée à travers le monde, offre

Plus en détail

Les planificateurs financiers

Les planificateurs financiers Les planificateurs financiers La nouvelle règlementation belge Par Christophe Steyaert Avocat Luxembourg, le 9 octobre 2014 1. Les objectifs de la nouvelle loi Ingénierie patrimoniale des «family offices»

Plus en détail

COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT

COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT NOVEMBRE 2013 2 Le mot de la direction Lorsque nous avons fondé NEXEO, nous avions déjà une expérience significative du métier de la prestation intellectuelle

Plus en détail

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er

Plus en détail

Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin

Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la

Plus en détail

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit

Plus en détail

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique

Plus en détail

Fiches d information sur la protection de l enfant

Fiches d information sur la protection de l enfant Fiches d information sur la protection de l enfant Qu est-ce que la protection de l enfant? La protection de l enfant, les OMD et la Déclaration du Millénaire La violence à l égard des enfants Protéger

Plus en détail

Les hommes, les femmes et les enfants travaillent entre 14 et 17 heures par jour.

Les hommes, les femmes et les enfants travaillent entre 14 et 17 heures par jour. Pol Indépendance de la Belgique 1830 La Belgique est gouvernée par les libéraux et les catholiques. Il ne s agit pas encore de partis politiques mais plutôt de regroupements philosophiques. Vote censitaire

Plus en détail

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg Les droits culturels, Déclaration de Fribourg, page 2 considérants 1 principes fondamentaux 2 définitions justifications principes et définitions 3 identité

Plus en détail

PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE

PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE 1 PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE Les Etats membres de l Union africaine, Etats parties à

Plus en détail

Convention entre la Suisse et la France contre les doubles impositions sur les successions

Convention entre la Suisse et la France contre les doubles impositions sur les successions Convention entre la Suisse et la France contre les doubles impositions sur les successions Le 11 juillet 2013, la Suisse et la France ont signé une nouvelle Convention de double imposition en matière de

Plus en détail

Le terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale.

Le terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale. Strasbourg, 2 mai 2014 CODEXTER (2014) 5 COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) COMITE EUROPEEN POUR LES PROBLEMES CRIMINELS (CDPC) CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE TERRORISME ET LE CRIME ORGANISE

Plus en détail

Peut-on envisager un effet direct?

Peut-on envisager un effet direct? Les implications de la convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées sur la législation de l UE concernant le handicap Peut-on envisager un effet direct? Peut-on envisager

Plus en détail

Distr. GENERAL. HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008. FRANÇAIS Original: ENGLISH

Distr. GENERAL. HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008. FRANÇAIS Original: ENGLISH Distr. GENERAL HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008 FRANÇAIS Original: ENGLISH PRINCIPES DIRECTEURS SUR LA PROTECTION INTERNATIONALE: «L appartenance à un certain groupe social» dans le cadre de l'article

Plus en détail

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.

Plus en détail

POLITIQUE INTERCULTURELLE

POLITIQUE INTERCULTURELLE POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel

Plus en détail

Déclaration d Istanbul. contre le trafic d organes et le tourisme de transplantation

Déclaration d Istanbul. contre le trafic d organes et le tourisme de transplantation Déclaration d Istanbul contre le trafic d organes et le tourisme de transplantation Préambule La transplantation d organes, l un des miracles médicaux du vingtième siècle, permet de prolonger et d améliorer

Plus en détail

Statuts. de l Agence. internationale pour les. énergies renouvelables (IRENA)

Statuts. de l Agence. internationale pour les. énergies renouvelables (IRENA) Statuts de l Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) -2- Les Parties aux présents Statuts, Désireuses d encourager l adoption et l utilisation accrues et généralisées des énergies

Plus en détail

Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite -

Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite - Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite - Version 1.0 Principes et lignes directrices des entreprises de NIEDAX GROUP pour un management socialement responsable Page 1 sur 7 Charte des valeurs

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/MP.PP/2005/2/Add.4 8 juin 2005 Original: ANGLAIS, FRANÇAIS, RUSSE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Réunion des Parties à la Convention

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec

Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Résumé des résultats et conclusions de la recherche Marie-Ève Maillé, Ph. D. Centre de

Plus en détail

Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel

Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel Traduction non officielle du texte diffusé fin avril 2014 par le Conseil du Développement Durable (Allemagne) dans le cadre de la consultation

Plus en détail

Objectifs de développement et stratégies d appui pour la micro assurance de santé dans les PED.

Objectifs de développement et stratégies d appui pour la micro assurance de santé dans les PED. Objectifs de développement et stratégies d appui pour la micro assurance de santé dans les PED. Alain Letourmy (CNRS, CERMES), Aude Pavy- Letourmy (CERDI), Pascal Brouillet (AfD) Cerdi, 1er décembre 2005

Plus en détail

Fiche de projet pour les institutions publiques

Fiche de projet pour les institutions publiques POLITIQUE SCIENTIFIQUE FEDERALE rue de la Science 8 B-1000 BRUXELLES Tél. 02 238 34 11 Fax 02 230 59 12 www.belspo.be Fiche de projet pour les institutions publiques Cette fiche est remplie par une institution

Plus en détail

EVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle

EVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle EVALUATION FINALE SEN/024 Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

L assurance qualité N 4. Décembre 2014

L assurance qualité N 4. Décembre 2014 N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et

Plus en détail

Guide pratique pour l usage systématique. des standards et des indicateurs. dans les opérations de l UNHCR

Guide pratique pour l usage systématique. des standards et des indicateurs. dans les opérations de l UNHCR Guide pratique pour l usage systématique des standards et des indicateurs dans les opérations de l UNHCR SEPTEMBRE 2006 / DEUXIEME EDITION REVISEE Guide pratique pour l usage systématique des standards

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

MODE D EMPLOI VOLONTARIAT DE SOLIDARITE INTERNATIONALE

MODE D EMPLOI VOLONTARIAT DE SOLIDARITE INTERNATIONALE Organisation Non Gouvernementale (ONG) créée en 1967, reconnue d utilité publique depuis 1981. MODE D EMPLOI VOLONTARIAT DE SOLIDARITE INTERNATIONALE 1 SOMMAIRE LA GUILDE...3 QU EST-CE QUE LE VOLONTARIAT

Plus en détail

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Sous-direction des professions paramédicales Et des personnels hospitaliers

Plus en détail

0.812.101. Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques.

0.812.101. Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques. Texte original 0.812.101 Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques Conclue à Genève le 8 octobre 1970 Approuvée par l Assemblée fédérale

Plus en détail

PROJET D ARTICLES SUR LES CLAUSES DE LA NATION LA PLUS FAVORISÉE 1978

PROJET D ARTICLES SUR LES CLAUSES DE LA NATION LA PLUS FAVORISÉE 1978 PROJET D ARTICLES SUR LES CLAUSES DE LA NATION LA PLUS FAVORISÉE 1978 Texte adopté par la Commission à sa trentième session, en 1978, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur les

Plus en détail

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des

Plus en détail

CONVENTION SUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DIVERSITÉ DES EXPRESSIONS CULTURELLES

CONVENTION SUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DIVERSITÉ DES EXPRESSIONS CULTURELLES CONVENTION SUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DIVERSITÉ DES EXPRESSIONS CULTURELLES PRÉAMBULE La Conférence générale de l Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture,

Plus en détail

DÉclaraTIOn et programme D action De VIenne a n S a u T r a V a I l p O u r V O S D r O I T S 1993 - conférence mondiale Sur les DrOITS De l homme

DÉclaraTIOn et programme D action De VIenne a n S a u T r a V a I l p O u r V O S D r O I T S 1993 - conférence mondiale Sur les DrOITS De l homme DÉclaraTIOn et programme d action de Vienne A N S Au travail Pour vos D r o i t s 1993 - CONFÉRENCe mondiale sur les droits de l homme A N S Déclaration et Programme d action de Vienne Adoptés par la Conférence

Plus en détail

Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation

Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Vue d ensemble du Processus de consultation et de participation Société financière

Plus en détail

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix»

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Résumé des résultats clés et réalisations Problématique Prévention des crises et consolidation de la paix : les défis Quelque 1,5 milliard

Plus en détail