QUALITÉ EN KINÉSITHÉRAPIE QUALITY IN PHYSICAL THERAPY
|
|
- Tristan Grégoire
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 QUALITÉ EN KINÉSITHÉRAPIE QUALITY IN PHYSICAL THERAPY Promotion de la qualité avril mai 2010 La promotion de la qualité en kinésithérapie Le cabinet de groupe, le cabinet de l avenir? Promotion de la qualité: le chemin parcouru par un groupe de kinésithérapeutes Désirez-vous participer à la promotion de la qualité?
2 texte Fons De Schutter Coordinateur projet pilote Promotion de la qualité en kinésithérapie La promotion de la qualité en kinésithérapie Lors du lancement du projet, l INAMI avait posé 4 piliers essentiels comme principe: - Gestion des connaissances et des compétences - Organisation du soin et de la pratique - Qualité du soin - Informatisation En 2008, l AKB et le Cartel des Kinésithérapeutes, les prédécesseurs d Axxon, ont souscrit à un projet de l INAMI. Un système d amélioration de la qualité devrait être mis en place pour le groupe professionnel entier à l aide de sous projets sur le terrain. Telle était l idée de départ. Ce projet pilote se trouve maintenant dans une phase cruciale. Les sous projets réalisés ont transmis leur rapport final à une commission d évaluation qui a formulé des conclusions. Quatorze projets ont été accomplis et un projet est toujours en cours. Les piliers définis au préalable ont largement été traités. La gestion des connaissances et des compétences forme souvent la base pour le développement d améliorations. Ce n était pas le but principal des sous projets d organiser des formations. Pourtant, la formation reste indispensable, ne fût-ce que pour le développement du thème choisi ou encore pour expliquer la méthodologie utilisée. Avant toute formation, le baseline meeting fut souvent appliqué. A cet effet, des questionnaires furent composés et selon la méthode d auto évaluation, les participants pouvaient mesurer leur niveau de compétence. Cette méthode offre la possibilité de refaire par après des évaluations à différents moments. Les kinésithérapeutes n ont pas à craindre les autoévaluations car elles se font de manière anonymes. Plusieurs sous projets furent organisés à partir d un GLEK (Groupe Local d Evaluation en Kinésithérapie). La plupart des sous projets ont fait appel à une expertise externe. La demande concernait l expertise scientifique (demandée aux formations et centres scientifiques) ou l expertise spécifique par rapport à la problématique (p.e. FVIB UNPLIB). Les organisations telles que la WVVK (Wetenschappelijke Vereniging van Vlaamse Kinesitherapeuten) et le CEBAM (Centre pour l Evidence Based Medicine) ont organisé des formations et collaboré aux workshops et peer reviews. L expertise proposée par le projet pilote fut surtout fournie par Karin Van Loon et le prof. André Vyt. Nous constatons que ce soutien est essentiel et que dans le cadre d un futur système de promotion de la qualité, il devra être développé de manière encore plus structurée. Des accords de collaboration entre les structures locales, l institut de la qualité et les partenaires externes doivent être concrétisés. Le soutien est essentiel! Les deux piliers organisation des soins et du cabinet et la qualité des soins furent souvent traités au travers des thèmes tels que les cabinets de groupe, la communication, le dossier kinésithérapique et l enquête auprès des patients. Des recommandations pour une pratique clinique efficace et développées en consensus s imposent. A cette fin, les sous projets offrent certaines opportunités de collaboration aux cercles, via un GLEK de kinésithérapeutes. 02 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 QUALITY IN PHYSICAL THERAPY
3 Un consensus concernant le dossier kinésithérapique et la communication kinésithérapeute/patient sera finalisé au courant de l année Certains sous projets ont utilisé ou développé des directives. A côté des thèmes choisis (distorsion de la cheville, etc ) des questionnaires furent souvent utilisés ainsi que les peer reviews et la recherche d information via internet. Il s avère que concernant le dernier pilier informatisation, un manque de connaissance persiste et surtout un manque d application, ce qui créé des opportunités de développement des aspects tant sur le plan du contenu que sur le plan de la méthodologie. Au sein du projet pilote, un modèle de consensus fut développé par rapport au dossier kinésithérapique et des opportunités ont été créées pour la réalisation d un dossier kinésithérapique électronique (e-dk) qui sera à disposition du kinésithérapeute. Le groupe professionnel des kinésithérapeutes (représentants du terrain professionnel et représentants des formations) désire mettre au point une procédure de validation de directives selon le modèle belge et cela en collaboration avec CEBAM. Il va de soi que ces directives devront être adaptées et disponibles pour le kinésithérapeute sur le terrain. Le système doit être dirigé avec un soutien scientifique et compétent. Les GLEK participants doivent avoir accès à un encadrement logistique et méthodologique. Le 1er avril, nous organisions une rencontre avec les promoteurs des sous projets. A cette occasion, nous leur avons donné un feedback de l évaluation de leur projet ainsi que les éventuelles futures étapes à suivre. Notre but final est d arriver à un système de promotion de la qualité qui sera au point tant au niveau du contenu qu au niveau de la forme et qui sera soutenu et accepté par tous les partenaires. La base en est jetée, mais la construction demande beaucoup de temps et d énergie. Nous devrons travailler en étapes qui conviennent à tous. Ce bulletin d information vous propose déjà deux sous projets: Un projet au Hainaut qui porte sur l anamnèse d un nouveau patient dans un cabinet de kinésithérapie et un projet au Brabant Flamand concernant des directives pour des cabinets de groupe. Les rapports des sous projets nous ont appris que les kinésithérapeutes sur le terrain sont capables d organiser la promotion de la qualité avec enthousiasme et compétence. L auto évaluation, la concertation inter collégial, le peer review, la formation interactive, tous ces systèmes peuvent être maintenus. Le contrôle inter collégial et les indicateurs de la qualité nécessitent une réflexion plus approfondie avant d être mis en application. Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 03
4 texte Sabine Verschelde Luc Lemense e cabinet de groupe, le cabinet de l avenir? Quels sont les avantages sur le plan qualité des cabinets de groupe? Un cabinet de groupe est une association d au moins deux prestataires de soins individuels qui partagent un système de dossiers à une même adresse, mais pas nécessairement. Suite à la féminisation de la profession et le désir de pouvoir consacrer plus de temps à la vie privée, cette tendance se manifeste depuis un certain temps déjà chez les médecins. Les jeunes diplômés y voient l avantage de ne pas devoir se lancer dans un investissement financier puisque dans le cabinet de groupe, les frais sont partagés. Pouvoir commencer à travailler dans un cabinet existant représente un gain de temps et de moyens. La collaboration et le partage des services de garde permettent d avoir davantage de soirées libres et il est plus facile de se faire remplacer pendant les congés de maternité. D habitude, les patients voient toujours le même médecin sauf en cas d urgence ou de période de vacances lorsqu ils seront aidés par un autre médecin du cabinet. Pour pouvoir assurer une continuité optimale, la connaissance approfondie des dossiers est indispensable. Les cabinets de groupe ont également droit à une subvention pour leur fonctionnement. Pour le patient, le temps d attente dans un cabinet de groupe est moins long et le rendez-vous est fixé plus facilement en fonction de ses souhaits. Les kinésithérapeutes créent également une telle forme d organisation. Des collègues ayant différentes compétences particulières se réunissent et offrent ainsi une meilleure qualité de soins. Des temps d attente et de début de traitement moins longs répondent aux souhaits des patients. La kinésithérapie en cabinet de groupe nécessite une connaissance approfondie du dossier de patient ainsi qu une concertation continue des différents kinésithérapeutes. Jusqu à présent il n y a toujours pas de subvention pour les cabinets de groupe de kinésithérapeutes. Le travail en cabinet de groupe permet au kinésithérapeute d avoir plus de temps libre puisque la continuité des soins est garantie. Les vacances, congés de maternité ou recyclages sont plus faciles à gérer. En 2008, un projet pilote fut soumis, approuvé et financé par l INAMI afin de développer un Système de promotion de la qualité en kinésithérapie. Les résultats de ce projet sont déterminants pour la forme, la structure et le contenu de la future promotion de la qualité en kinésithérapie en Belgique. Une vingtaine de sous projets ont participé à ce projet pilote. Un de ces projets s est penché sur le développement de directives pour un fonctionnement optimal d un cabinet de groupe et a lancé l évaluation de cabinets de groupe existants: comment fonctionnent-ils aujourd hui? Quels sont les avantages et les inconvénients? Comment organisent-ils les soins? Proposent-ils des compétences particulières? Appliquent-ils l auto évaluation? Dans une première phase, la littérature fut consultée tout comme les sites web des cabinets de groupe existants. L expérience personnelle et l information retrouvée dans la littérature ont mené à deux questionnaires dont un pour le kinésithérapeute et un pour le patient. Suite à l invitation digitale aux membres Axxon du Brabant Flamant, 8 cabinets ont proposé leur collaboration. Ces cabinets présentaient d importantes différences tant au niveau administratif qu au niveau de leur gestion. Ensuite, le questionnaire pour le kinésithérapeute fut envoyé à tous les participants tandis que le questionnaire adapté au patient fut envoyé à 10 patients au hasard par cabinet afin d être complétés de manière anonyme. Selon l enquête menée auprès des patients de cabinets de groupe, ceux-ci semblent être très satisfaits Les patients étaient très satisfaits des soins et de l organisation du cabinet. Après l analyse des questionnaires, il fut demandé à chaque cabinet de formuler des objectifs bien précis pour l amélioration de la qualité. A ce stade-ci, 3 cabinets ont partiellement décroché. 04 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10
5 En kinésithérapie, les cabinets de groupe sont une évolution évidente et prometteuse La dernière phase fut consacrée à la rédaction des directives qui peuvent aboutir à un fonctionnement optimal du cabinet de groupe: 1. Recherchez le juste mélange de collègues qui ont une influence positive l un sur l autre. 2. Organisez régulièrement des réunions bien structurées à propos des patients et de leurs traitements, de l organisation et de la gestion de la pratique et recherchez le consensus. Les possibilités d amélioration des différents cabinets furent discutées et s avéraient être forts intéressantes: la création de programmes d exercices d entretien à domicile, le partage des responsabilités Il n était pour autant pas facile d appliquer de grands changements à la structure et à l organisation du cabinet. A ce stade, la FVIB (pendant néerlandophone de l UNPLIB Union Nationale des Professions Libérales et Intellectuelles de Belgique - ndlr) fut impliquée pour son expertise en matière de révision de cabinets. La FVIB a rédigé un questionnaire à remplir de manière anonyme par tous les participants (y compris les cabinets qui avaient décroché). Au total, 21 thérapeutes ont rempli le questionnaire. Lors de deux workshops, un modèle de collaboration optimal fut conçu à l aide des résultats de l enquête. L essentiel était de démontrer la différence entre une collaboration verticale ou intégrale. La plupart des cabinets fonctionnent de façon verticale: 1 titulaire de cabinet paie un pourcentage à ses collaborateurs et se charge de toutes les tâches supplémentaires (entretien, rapports, contacts, facturation, ). Lors d un peer review qui fut soutenu par des experts, les participants ont constaté que tous les cabinets ne connaissent pas les mêmes problèmes et ils étaient tous d accord sur l importance primordiale de la communication. Dans la phase suivante, une secrétaire administrative fut engagée pour 4 cabinets. Une étudiante fut trouvée par le biais d un bureau d intérim et embauchée pour une période de 4 semaines. La secrétaire s occupait principalement des tâches administratives telles que l encodage des données de patients et de prescriptions, répondre au téléphone, L évaluation a démontré que chaque thérapeute gagnait ainsi 3 à 5 heures par semaine. L administration se faisait plus facilement et plus correctement. L engagement permanent d une secrétaire permettrait clairement au kinésithérapeute de consacrer plus de temps au traitement ce qui, finalement, est une bonne chose pour le patient! L embauche d une secrétaire permet au kinésithérapeute de consacrer plus de temps aux traitements, à la concertation, au recyclage, et l administration est à jour. La grande plus-value de la secrétaire représente cependant un investissement important et coûteux. En plus du sens d organisation de l administration, la secrétaire de cabinet doit connaître la nomenclature, l informatique et surtout avoir une faculté de communication. Dans ce sous projet, c est surtout le pilier de la qualité organisation des soins et du cabinet qui fut abordé. 3. Le regroupement de collègues ayant différentes qualifications particulières est une plus-value pour un cabinet. 4. Le traitement du patient effectué par trop de collègues différents ne représente pas une plus-value. 5. La création d un cabinet par plusieurs jeunes diplômés peut être la formule la plus simple et la plus facile mais elle n a pas l avantage des thérapeutes expérimentés. 6. Les cabinets de groupe pourraient devenir plus attrayants s ils pouvaient faire appel à une intervention financière de l état: une tâche pour l association professionnelle? Grâce aux différentes qualifications particulières, une demande de soins peut être traitée de manière plus efficace à partir des différents points de vue et après la concertation qui s en suit. Les cabinets de groupe de kinésithérapie représentent une évolution prometteuse et évidente. De telles formes d organisation peuvent contribuer à la promotion de la qualité des soins. Les directives qui ont été développées dans ce sous projet ont pour but d aider les collègues qui envisagent de démarrer ou de rejoindre un cabinet de groupe. Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 05
6 texte Karin Van Loon Membre du groupe directeur de la Promotion de la Qualité Promotion de la qualité: le chemin parcouru par un groupe de kinésithérapeutes Sept kinésithérapeutes de l Association des Kinésithérapeutes du Grand Chatelet (AKGCP) ont participé au projet de Promotion de la Qualité (Pro-Q-Kine) initié par l INAMI en 2008 et Le sujet de réflexion qu ils ont choisi, porte sur l anamnèse d un nouveau patient dans un cabinet de kinésithérapie. Concrètement, ces kinésithérapeutes se sont réunis une à deux fois par mois, en soirée, pour concevoir et mettre en œuvre leur projet. Tout au long de leur travail, ils ont été conseillés et accompagnés par des experts et membres du groupe directeur de la Promotion de la Qualité. Sur base de recherches bibliographiques et en confrontant leurs expériences, ils ont mis au point un modèle d anamnèse pour les kinésithérapeutes exerçant en cabinet. Ils ont choisi de proposer cette anamnèse en versions papier et informatique. Pour construire cette anamnèse, ils l ont dans un premier temps, soumise à dix confrères de la région, y ont apportés quelques modifications et l ont ensuite validée. 06 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 QUALITY IN PHYSICAL THERAPY
7 La version définitive a été envoyée à une centaine de kinésithérapeutes de la région. Le groupe a conçu, avec l aide d un expert un questionnaire d évaluation de cette anamnèse. Ce questionnaire interroge l utilité, la pertinence, la convivialité, la place et l utilisation de cette anamnèse par les confrères de la région. Ils ont reçu douze réponses dont dix sont analysables. Au regard de ce petit échantillon, certains points ont été mis en évidence: - L anamnèse semble très utile pour la majorité des répondants. - Est toutefois mise en évidence, la problématique du temps: il y a une réelle crainte de surcharge de travail liée à l utilisation d une anamnèse fouillée. - Un intérêt certain est marqué pour cette forme d anamnèse mais il y a lieu de l envisager avec des spécificités en fonction du domaine de la kinésithérapie. - L anamnèse proposée dans cette étude ne semble pas avoir apporté de changement auprès des participants, ni dans leur manière de réaliser une anamnèse ni dans le choix des techniques de traitement utilisées. - Il persiste une certaine peur du contrôle et de la centralisation des données qui se manifeste face à l informatisation et le transfert des données entre prestataires. - Les kinésithérapeutes contactés ont marqué leur intérêt pour la participation à ce type de projet et l organisation de la profession, qu ils soient ou non impliqués dans des associations. Mais au-delà de ces considérations propres à l étude, il est intéressant d analyser la dynamique qui s est installée au sein du groupe de l AKGCP. Pour cette première expérience, les participants ont exprimé leurs difficultés par rapport à l administration et la gestion financière du projet. Par contre, la partie plus créative, c est-à-dire réaliser le canevas de l anamnèse s est avéré très intéressante. L équipe est restée soudée jusqu au bout et l ambiance de travail est restée bonne malgré les difficultés rencontrées. Les liens se sont renforcés et le dialogue est devenu plus constructif au fil du temps. Les participants sont disposés à participer à d autres projets de la Promotion de la Qualité et envisagent de se conformer aux normes pour devenir un cercle local de kinésithérapie. En conclusion, malgré les difficultés concrètes rencontrées et celles d intégrer de nouveaux concepts de gestion de la qualité, l expérience est très positive. Ce groupe s est inscrit dans la dynamique cyclique de la roue de Deming, PDCA (plan/do/check/act) et a rencontré certains piliers de la gestion de la qualité soit: L organisation des soins et du cabinet L amélioration de la qualité des soins L informatisation et l automatisation permettant une meilleure transmission des données vers des confrères ou l équipe soignante La remise en question de sa pratique et l autoévaluation Les échanges entre pairs et la confrontation inter collégiale Bon vent pour leurs projets futurs! Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 07
8 Désirez-vous participer à la promotion de la qualité? La kinésithérapie a pris à juste titre une place importante au sein des soins de santé. C est donc très important que le kinésithérapeute entretienne ses compétences scientifiques (connaissances, aptitudes et attitudes) et les actualise régulièrement afin d utiliser à tout moment le traitement le plus approprié. C est également indispensable qu il soit sensibilisé aux problèmes de nature éthique, déontologique et de l économie des soins de santé, ainsi qu aux problèmes concernant l exercice de sa profession au sens large du terme. Si vous souhaitez tester ou évaluer vos connaissances, vos aptitudes et vos attitudes avec quelques collègues dans un contrôle inter collégial ou un peer review, alors l organisation d un GLEK (Groupement Local d Evaluation en Kinésithérapie) vous intéressera sûrement! Prenez contact avec Pro-Q-Kiné (secrétariat Axxon, Qualité en Kinésithérapie) Imperiastraat Zaventem info.fr@axxon.be Le secrétariat vous aidera à organiser votre concertation locale. Vous trouverez les documents nécessaires sur le site d Axxon sous Pro-Q-Kiné, rubrique Concertation et soutien : Sur le site, vous trouverez également - le Formulaire de demande d installation d un GLEK, - un Manuel pour l organisation pratique d un GLEK, - ainsi que la réglementation du fonctionnement d un GLEK. Le projet pilote Promotion de la qualité en kinésithérapie fait à nouveau appel aux kinésithérapeutes intéressés pour participer à la phase de test de l auto évaluation (AE) et le contrôle inter collégial (CIC) Grâce à l auto réflexion, l auto évaluation permet d obtenir de manière structurée une idée de son propre profil de compétences, la qualité des soins et l organisation de ces soins à l aide de questionnaires standardisés. A partir de cette vision, des lignes d amélioration peuvent être mises en place (activités de formation, réorganisation ) Grâce aux GLEK s, nous voulons rassembler les kinésithérapeutes qui testent l auto évaluation de manière structurée afin de souscrire à des lignes d amélioration. C est ce que nous appelons le contrôle ou l examen inter collégial (CIC/EIC). Si vous êtes intéressé, vous trouverez de plus amples informations sur: ou prenez contact avec info.fr@axxon.be (Fabienne Van Dooren) 08 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10
La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes
La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes ETAT DE LA SITUATION 2007 V1.1 Direction générale Soins de Santé primaires et Gestion de Crise Bruxelles, octobre 2008 1. Les Kinésithérapeutes
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailMÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS
MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailQualité des soins Campagne de sensibilisation
Qualité des soins Campagne de sensibilisation INAMI Service des Soins de Santé Direction Recherche, développement et promotion de la qualité Dr Carl Cauwenbergh et Isabelle Collin Carl.cauwenbergh@inami.fgov.be
Plus en détailUn réseau collectif fiable dans le système de santé publique
Un réseau collectif fiable dans le système de santé publique Cabinets médicaux/centres de soins médicaux/réseaux Cliniques/Hôpitaux Réhabilitation/Soins Prestataires de services médicaux Partenaires santé/assurances
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailGroupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT
Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes
Plus en détailLigne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école
Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailEstelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1
Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures
Plus en détailCODIFICATION ADMINISTRATIVE DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES ENTRE POUR LE QUÉBEC :
Ce document n a pas valeur officielle CODIFICATION ADMINISTRATIVE DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES ENTRE POUR LE QUÉBEC : L ORDRE PROFESSIONNEL
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailLes Assurances au Luxembourg
Les au Luxembourg QUALIFICATION PROFESSIONNELLE Face à un environnement législatif et à une gamme de produits en mutation constante, les assureurs de la place ont souhaité se doter d une offre commune,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détail3 e symposium international
3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination
Plus en détailInformatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux
Informatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux B. Folens, M. Lardennois, N. Besri 2 Contexte Plan pluriannuel destiné à améliorer l attractivité de la profession infirmière (28
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détail1.1.2. La durée du stage officinal est légalement de 6 mois.
1. REGLEMENT DU STAGE OFFICINAL 1.1. Du stage et des stagiaires 1.1.1. Le stage est accompli dans une officine ouverte au public ou dans une officine hospitalière, dirigée par un pharmacien comptant au
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailPROMOUVOIR «LE DIALOGUE INTERNE EN TANT QUE FACTEUR D AMÉLIORATION»
PROMOUVOIR «LE DIALOGUE INTERNE EN TANT QUE FACTEUR D AMÉLIORATION» Février 2012 1. INTRODUCTION Depuis quelques années, la Justice s interroge sur la qualité de son fonctionnement. En novembre 2010, le
Plus en détailBienvenue chez votre pharmacien
Bienvenue chez votre pharmacien En première ligne Le pharmacien Prestataire de soins à part entière, le pharmacien occupe aujourd hui une place centrale au cœur de notre système de santé. Disponible sans
Plus en détailSyndicat Libre de la Fonction Publique Secrétariat national
Syndicat Libre de la Fonction Publique Secrétariat national Votre lettre du Vos références Nos références Zaventem - - SLFP-MD-SEPA Date de la poste Objet: Votre demande d affiliation via notre site internet
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DU COMITÉ D AUDIT 2009
RAPPORT ANNUEL DU COMITÉ D AUDIT 2009 Conformément à la Charte du Comité d audit, le Comité d audit doit établir chaque année un rapport dans lequel sa composition et ses compétences sont mentionnées et
Plus en détailagrément DES professions paramédicales
agrément DES professions paramédicales LES ERGOTHÉRAPEUTES Table des matières Pourquoi agréer les ergothérapeutes?...3 Un ergothérapeute au sens de la loi : de qui s'agit-il?...4 L'agrément est obligatoire...5
Plus en détailLignes directrices de 2004 pour des sondages sur la satisfaction des demandeurs dans le cadre de l assurance-automobile
Financial Services Commission of Ontario Commission des services financiers de l Ontario Lignes directrices de 2004 pour des sondages sur la satisfaction des demandeurs dans le cadre de l assurance-automobile
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Services de change et de gestion des paiements internationaux
DOSSIER DE PRESSE Services de change et de gestion des paiements internationaux Janvier 2014 Fiche d identité de FX4Biz Date de création 2012 : FX4Biz Belgique Type de société SA de droit Belge au capital
Plus en détailINGENIERIE ET PORTAGE SALARIAL
INGENIERIE ET PORTAGE SALARIAL 28, rue de la Croix Rouge 87000 LIMOGES Tél. : 05-55-05-95-06 Fax : 05-55-77-60-24 contact@portage-ascom.fr www.portage-ascom.fr AS'COM est une société de portage salarial.
Plus en détailFORMULAIRE D INSCRIPTION. l Institut des juristes d entreprise
FORMULAIRE D INSCRIPTION à renvoyer à l IJE, rue des Sols 8, 1000 Bruxelles Par la présente, je souhaite poser ma candidature comme membre de l Institut des juristes d entreprise MERCI D ECRIRE EN LETTRES
Plus en détailGUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen
GUIDE POUR AGIR Comment identifier ses SAVOIR-FAIRE et ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Identifier ses savoir-faire et ses qualités, pour quoi faire? Vous ne
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailGuide du mémoire de fin d études
Guide du mémoire de fin d études à destination des enseignants et des étudiants Septembre 2011 AVERTISSEMENT Ce document rassemble les dispositions réglementaires d une part, le cadre des dispositions
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailSAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste
DESCRIPTIF DE VISION SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste Un centre d expertise en tant que balise pour le huissier de justice soucieux
Plus en détailGestion Participative Territoriale :
!!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet
Plus en détailUNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer
MODULE ÉVALUER SON PROJET COMPRENDRE UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer L ÉVALUATION DE L IMPACT SOCIAL L Impact Social
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3255 Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES ACCORD DU 28 FÉVRIER 2014 RELATIF AU TEMPS
Plus en détail1 - Les conditions légales et réglementaires
LES REMPLACEMENTS 1. Les conditions légales et réglementaires 2. Formalités diverses - obligations 3. Responsabilités du médecin remplacé et du médecin remplaçant 1 1 - Les conditions légales et réglementaires
Plus en détailAgnès LONJON LAURENT. Secrétaire Indépendante. Permanence téléphonique Gestion d agenda
Agnès LONJON LAURENT Secrétaire Indépendante La permanence téléphonique pour un bon accueil. Votre accueil téléphonique est l un des vecteurs principaux de votre image de marque. La qualité de l accueil,
Plus en détailLES 8 ESSENTIELLES POUR LES ARCHITECTES & LES CITOYENS MÉMORANDUM
8 ESSENTIELLES LES POUR LES ARCHITECTES & LES CITOYENS MÉMORANDUM ÉLECTIONS MAI 2014 ORDRE DES ARCHITECTES CONSEIL FRANCOPHONE ET GERMANOPHONE L Ordre des Architectes est une institution de droit public,
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailPlan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailAnnexe 7 Rapport détaillé des focus group
Annexe 7 Rapport détaillé des focus group Méthode Objectif intermédiaire Soumettre et valider par le terrain les choix opérés quant aux définitions de concepts, de choix de modèle conceptuel et comme choix
Plus en détailQuestionnaire «B» Peuvent être nommées procureurs les personnes ayant le casier judiciaire vierge et ayant le droit de vote qui ont acquis :
Questionnaire «B» I. Les conditions préliminaires pour la nomination au poste du procureur sont les suivantes : Aux termes de la loi régissant les rapports de service au sein du parquet : Peuvent être
Plus en détailcatégorie - développement rh
Mise en œuvre d un outil de développement des compétences 360 Feedback au sein de l Université du Courrier du Groupe La Poste Marion TREMINTIN Diplômée d un DESS Gestion Stratégique des Ressources Humaines
Plus en détailBLEU CIEL D EDF, L EXPERTISE D EDF AU SERVICE DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE
26 FEVRIER 2013 BLEU CIEL D EDF, L EXPERTISE D EDF AU SERVICE DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE Contact presse : Colette Génin Tél : 01 44 82 48 84 e-mail : edf-presse@consultants.publicis.fr www.edf.fr EDF SA au
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailDIAGNOSTIC NUMERIQUE 2013 DOUE LA FONTAINE ET SA REGION
DIAGNOSTIC NUMERIQUE 2013 DOUE LA FONTAINE ET SA REGION 1 Sommaire Le contexte.. p.3 Pourquoi un diagnostic p.3 Rétroplanning.. p.3 Caractéristiques des répondants p.4 L adresse e-mail. P.5 La Google adresse.
Plus en détailProgramme d assurance de la qualité
Programme d assurance de la qualité Section B Section B Programme d assurance de la qualité Aperçu du Programme d assurance de la qualité... -B-1- Introduction... Programme d assurance de la qualité...
Plus en détailECAP : Le niveau Accréditation du programme d études des comptables généraux accrédités
ECAP : Le niveau Accréditation du programme d études des comptables généraux accrédités Les connaissances comptables et financières, le professionnalisme et le leadership pour les besoins d aujourd hui
Plus en détailEtre gestionnaire d une maison médicale
Cahier Etre gestionnaire d une maison médicale Fabienne Saint-Amand, in rmière sociale, gestionnaire à la maison médicale Espace Santé. Mots clefs : maison médicale, gestion, interdisciplinarité, métier.
Plus en détailL assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014
L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailEtude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie pharmaceutique et les CQP des industries chimiques
Etude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie et les CQP des industries chimiques @ COPYRIGHT LEEM - Page 1 sur 51 Sommaire 1 - Finalités des passerelles... 3 2 - Principes
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailMicrosoft CRM, pilier du service support et de la gestion de GS1
Microsoft CRM 3.0 Microsoft CRM, pilier du service support et de la gestion de GS1 Overview Pays: Belgique Secteur: Informatique Profil GS1, ex-ean International, est la société qui se cache derrière les
Plus en détailUn projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté
Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc
Plus en détailLes salariés du secteur privé face à la généralisation de la complémentaire santé collective
Les salariés du secteur privé face à la généralisation de la santé collective Etude réalisée pour Swiss Life France Contact Ifop : Frédéric Dabi / François KRAUS Directeur d études d opinion 01 72 34 94
Plus en détailSTART PLUS. L ensemble d assurances pour le prestataire de soins débutant. Débuter votre carrière, l esprit tranquille...
START PLUS L ensemble d assurances pour le prestataire de soins débutant Débuter votre carrière, l esprit tranquille... A S S U R A N C E R E S P O N S A B I L I Qui est AMMA? AMMA est une entreprise d
Plus en détailGuide sur la sécurité des échanges informatisés d informations médicales
Union régionale des caisses d assurance maladie Provence Alpes Côte d Azur Agence régionale de l hospitalisation Provence Alpes Côte d Azur Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations
Plus en détailCe qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé
Département Évaluation des Politiques Sociales Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Anne Loones Février 2009 2 Sommaire CONTEXTE ET MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE...
Plus en détailDECLARATION D INTERETS (DI)
DECLARATION D INTERETS (DI) Pour les membres des Comités de la revue Afin de satisfaire aux principes de transparence relative à l information des professionnels de santé, Kinésithérapie la revue souhaite
Plus en détailComplianceSP TM sur SharePoint 2010 CONTRÔLE CONFORMITÉ PERFORMANCES
TM ComplianceSP TM sur SharePoint 2010 Gestion complète de documents et processus des sciences de la vie sur SharePoint 2010 CONTRÔLE CONFORMITÉ PERFORMANCES Aperçu Consciente de la pression croissante
Plus en détailUN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE
UN MARCHE DU RECRUTEMENT EN PHASE AVEC l EVOLUTION DU MARCHE COMPTABLE RECRUTEMENT 74% DES EMPLOYEURS ONT RECRUTE SUR L ANNEE 2013/2014 Raisons des recrutements quelles évolutions depuis 3 ans? Le recrutement
Plus en détailLa politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins
La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailFormation certifiante au métier de coach scolaire
Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont
Plus en détailLE STAGE EN ENTREPRISE
LE STAGE EN ENTREPRISE 1. Le stage : un projet à part entière Le stage est un projet qui s étale sur une longue période d environ dix mois (de la recherche de l entreprise à la soutenance) avec des objectifs,
Plus en détailLa mobilité interne. COLLECTION «Les diagnostics de l emploi territorial»
La mobilité interne Julie Araneder Catherine Leput Céline Prevost Benoit Saidi Sandrine Taupin Emmanuelle Thuong-Hime COLLECTION «Les diagnostics de l emploi territorial» hors série n 4 Sommaire 1 - Avant-propos...p
Plus en détailPROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES
PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES MAI 2007 TABLE DE MATIERES 1. FICHE TECHNIQUE 3 1.1. Objet 3 1.2. Méthode 3 1.3. Questions et analyses exclusives 3 1.4. Rapport
Plus en détailListe de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3
Plus en détailLes critères d approbation, Niveau 3. Introduction
Critères d approbation Niveau 3.odt Page 1 de 17 Les critères d approbation, Niveau 3 Introduction Ce document énonce les standards minima qu un niveau 3 approuvé par le Bach Centre doit proposer. Les
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailLes raisons d entreprendre une Vae
Comité de Coordination Régional de l Emploi et de la Formation Professionnelle Les raisons Résultats d une enquête réalisée en mai 2012 Les certificateurs publics (Direccte, Draaf, Drjscs, Rectorat) présents
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES ETUDIANTS EN DROIT DE L UNIVERSITÉ DE GENÈVE
STATUTS DE L ASSOCIATION DES ETUDIANTS EN DROIT DE L UNIVERSITÉ DE GENÈVE TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Art. Fondation L association des Etudiants en Droit de l Université de Genève (ci-après AED) est
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE VENTE : FLOW ON DEMAND
CONDITIONS GENERALES DE VENTE : FLOW ON DEMAND ARTICLE 1 : DEFINITIONS Flux : fil d actualité. Contenus éditoriaux : brèves, articles, photographies, infographies et vidéos. Abonné : personne physique
Plus en détailRôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique
Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailProgramme de formation continue de la Société Suisse de Neurochirurgie (SSNC) pour les médecins ayant une activité professionnelle en neurochirurgie
Programme de formation continue de la Société Suisse de Neurochirurgie (SSNC) pour les médecins ayant une activité professionnelle en neurochirurgie I. Principes Généraux Ce programme de formation continue
Plus en détailCHARTE ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE APPLICABLE AUX PÉDICURES-PODOLOGUES ET À LEURS SITES INTERNET À L ADRESSE DU GRAND-PUBLIC
CHARTE ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE APPLICABLE AUX PÉDICURES-PODOLOGUES ET À LEURS SITES INTERNET À L ADRESSE DU GRAND-PUBLIC Avril 2015 Actualisation approuvée par le Conseil national du 10 avril 2015 A
Plus en détailPlan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014
Plan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014 Considérations générales 1. Le Conseil de l IRE est soucieux des difficultés rencontrées par
Plus en détailGroupements d employeurs
Groupements d employeurs Rapport d étude Sommaire Objectifs de l étude.. Page 3 Déroulement de l étude. Page 4 Les 3 groupements.. Page 5 Méthodologie.. Page 6 Caractéristiques des 3 groupements.. Page
Plus en détailAnalyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7
LIVRE BLANC SUR LES PRATIQUES ITIL Analyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7 Exploiter le potentiel des pratiques ITIL grâce aux ateliers d analyse de solutions organisés
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailPrenons 2 minutes pour en parler!
TSO-BPCO-ASTHME Parce que vos questions ne doivent pas rester sans réponses > 3 options : Votre délégué arrow génériques répondra à vos questions. Vous pouvez nous contacter sur formation@arrow-generiques.com
Plus en détailPrestaHR est LA solution pour une gestion complète, efficace et innovante des ressources humaines.
PrestaHR est LA solution pour une gestion complète, efficace et innovante des ressources humaines. Riche de nombreuses fonctionnalités, cette application couvre une large variété de domaines RH. Cet outil
Plus en détailDocuments mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention
Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos
Plus en détailSociétés d Exercice Libéral. Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl
Sociétés d Exercice Libéral Par : Gérard De BRUYKER Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl En 1999, certains clients médecins et chirurgiens dentistes, nous ont consulté
Plus en détailScénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina
Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître
Plus en détailcuraprax le logiciel de cabinet médical moderne destiné aux cabinets médicaux individuels ou de groupe
curaprax le logiciel de cabinet médical moderne destiné aux cabinets médicaux individuels ou de groupe Le logiciel de cabinet médical basé sur le Web. Simple. Efficient. Sûr. www.curaprax.ch curaprax vous
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailAssemblée des États Parties
Cour pénale internationale Assemblée des États Parties Distr. : générale 29 octobre 2013 ICC-ASP/12/47 FRANÇAIS Original : anglais Douzième session The Hague, 20-28 novembre 2013 Rapport de la Commission
Plus en détailINTRODUCTION PRÉSENTATION DE L'ORGANISME. Origine, historique & structure. Développements futurs. Vision 1. Activités et spécificités
INTRODUCTION Nom officiel Début des activités Formation : 2002 Consultance : 2005 Adresse Rue des Ursulines 2a Forme juridique actuelle sa Ville 1000 Bruxelles Constitution forme juridique 1996 Tél. 02/507
Plus en détailRégime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels. Proposition de partenariat public-privé
Régime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels Proposition de partenariat public-privé Résumé En règle générale, les artistes et les autres professionnels
Plus en détailAnalyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015
Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme
Plus en détail