QUALITÉ EN KINÉSITHÉRAPIE QUALITY IN PHYSICAL THERAPY

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1 QUALITÉ EN KINÉSITHÉRAPIE QUALITY IN PHYSICAL THERAPY Promotion de la qualité avril mai 2010 La promotion de la qualité en kinésithérapie Le cabinet de groupe, le cabinet de l avenir? Promotion de la qualité: le chemin parcouru par un groupe de kinésithérapeutes Désirez-vous participer à la promotion de la qualité?

2 texte Fons De Schutter Coordinateur projet pilote Promotion de la qualité en kinésithérapie La promotion de la qualité en kinésithérapie Lors du lancement du projet, l INAMI avait posé 4 piliers essentiels comme principe: - Gestion des connaissances et des compétences - Organisation du soin et de la pratique - Qualité du soin - Informatisation En 2008, l AKB et le Cartel des Kinésithérapeutes, les prédécesseurs d Axxon, ont souscrit à un projet de l INAMI. Un système d amélioration de la qualité devrait être mis en place pour le groupe professionnel entier à l aide de sous projets sur le terrain. Telle était l idée de départ. Ce projet pilote se trouve maintenant dans une phase cruciale. Les sous projets réalisés ont transmis leur rapport final à une commission d évaluation qui a formulé des conclusions. Quatorze projets ont été accomplis et un projet est toujours en cours. Les piliers définis au préalable ont largement été traités. La gestion des connaissances et des compétences forme souvent la base pour le développement d améliorations. Ce n était pas le but principal des sous projets d organiser des formations. Pourtant, la formation reste indispensable, ne fût-ce que pour le développement du thème choisi ou encore pour expliquer la méthodologie utilisée. Avant toute formation, le baseline meeting fut souvent appliqué. A cet effet, des questionnaires furent composés et selon la méthode d auto évaluation, les participants pouvaient mesurer leur niveau de compétence. Cette méthode offre la possibilité de refaire par après des évaluations à différents moments. Les kinésithérapeutes n ont pas à craindre les autoévaluations car elles se font de manière anonymes. Plusieurs sous projets furent organisés à partir d un GLEK (Groupe Local d Evaluation en Kinésithérapie). La plupart des sous projets ont fait appel à une expertise externe. La demande concernait l expertise scientifique (demandée aux formations et centres scientifiques) ou l expertise spécifique par rapport à la problématique (p.e. FVIB UNPLIB). Les organisations telles que la WVVK (Wetenschappelijke Vereniging van Vlaamse Kinesitherapeuten) et le CEBAM (Centre pour l Evidence Based Medicine) ont organisé des formations et collaboré aux workshops et peer reviews. L expertise proposée par le projet pilote fut surtout fournie par Karin Van Loon et le prof. André Vyt. Nous constatons que ce soutien est essentiel et que dans le cadre d un futur système de promotion de la qualité, il devra être développé de manière encore plus structurée. Des accords de collaboration entre les structures locales, l institut de la qualité et les partenaires externes doivent être concrétisés. Le soutien est essentiel! Les deux piliers organisation des soins et du cabinet et la qualité des soins furent souvent traités au travers des thèmes tels que les cabinets de groupe, la communication, le dossier kinésithérapique et l enquête auprès des patients. Des recommandations pour une pratique clinique efficace et développées en consensus s imposent. A cette fin, les sous projets offrent certaines opportunités de collaboration aux cercles, via un GLEK de kinésithérapeutes. 02 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 QUALITY IN PHYSICAL THERAPY

3 Un consensus concernant le dossier kinésithérapique et la communication kinésithérapeute/patient sera finalisé au courant de l année Certains sous projets ont utilisé ou développé des directives. A côté des thèmes choisis (distorsion de la cheville, etc ) des questionnaires furent souvent utilisés ainsi que les peer reviews et la recherche d information via internet. Il s avère que concernant le dernier pilier informatisation, un manque de connaissance persiste et surtout un manque d application, ce qui créé des opportunités de développement des aspects tant sur le plan du contenu que sur le plan de la méthodologie. Au sein du projet pilote, un modèle de consensus fut développé par rapport au dossier kinésithérapique et des opportunités ont été créées pour la réalisation d un dossier kinésithérapique électronique (e-dk) qui sera à disposition du kinésithérapeute. Le groupe professionnel des kinésithérapeutes (représentants du terrain professionnel et représentants des formations) désire mettre au point une procédure de validation de directives selon le modèle belge et cela en collaboration avec CEBAM. Il va de soi que ces directives devront être adaptées et disponibles pour le kinésithérapeute sur le terrain. Le système doit être dirigé avec un soutien scientifique et compétent. Les GLEK participants doivent avoir accès à un encadrement logistique et méthodologique. Le 1er avril, nous organisions une rencontre avec les promoteurs des sous projets. A cette occasion, nous leur avons donné un feedback de l évaluation de leur projet ainsi que les éventuelles futures étapes à suivre. Notre but final est d arriver à un système de promotion de la qualité qui sera au point tant au niveau du contenu qu au niveau de la forme et qui sera soutenu et accepté par tous les partenaires. La base en est jetée, mais la construction demande beaucoup de temps et d énergie. Nous devrons travailler en étapes qui conviennent à tous. Ce bulletin d information vous propose déjà deux sous projets: Un projet au Hainaut qui porte sur l anamnèse d un nouveau patient dans un cabinet de kinésithérapie et un projet au Brabant Flamand concernant des directives pour des cabinets de groupe. Les rapports des sous projets nous ont appris que les kinésithérapeutes sur le terrain sont capables d organiser la promotion de la qualité avec enthousiasme et compétence. L auto évaluation, la concertation inter collégial, le peer review, la formation interactive, tous ces systèmes peuvent être maintenus. Le contrôle inter collégial et les indicateurs de la qualité nécessitent une réflexion plus approfondie avant d être mis en application. Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 03

4 texte Sabine Verschelde Luc Lemense e cabinet de groupe, le cabinet de l avenir? Quels sont les avantages sur le plan qualité des cabinets de groupe? Un cabinet de groupe est une association d au moins deux prestataires de soins individuels qui partagent un système de dossiers à une même adresse, mais pas nécessairement. Suite à la féminisation de la profession et le désir de pouvoir consacrer plus de temps à la vie privée, cette tendance se manifeste depuis un certain temps déjà chez les médecins. Les jeunes diplômés y voient l avantage de ne pas devoir se lancer dans un investissement financier puisque dans le cabinet de groupe, les frais sont partagés. Pouvoir commencer à travailler dans un cabinet existant représente un gain de temps et de moyens. La collaboration et le partage des services de garde permettent d avoir davantage de soirées libres et il est plus facile de se faire remplacer pendant les congés de maternité. D habitude, les patients voient toujours le même médecin sauf en cas d urgence ou de période de vacances lorsqu ils seront aidés par un autre médecin du cabinet. Pour pouvoir assurer une continuité optimale, la connaissance approfondie des dossiers est indispensable. Les cabinets de groupe ont également droit à une subvention pour leur fonctionnement. Pour le patient, le temps d attente dans un cabinet de groupe est moins long et le rendez-vous est fixé plus facilement en fonction de ses souhaits. Les kinésithérapeutes créent également une telle forme d organisation. Des collègues ayant différentes compétences particulières se réunissent et offrent ainsi une meilleure qualité de soins. Des temps d attente et de début de traitement moins longs répondent aux souhaits des patients. La kinésithérapie en cabinet de groupe nécessite une connaissance approfondie du dossier de patient ainsi qu une concertation continue des différents kinésithérapeutes. Jusqu à présent il n y a toujours pas de subvention pour les cabinets de groupe de kinésithérapeutes. Le travail en cabinet de groupe permet au kinésithérapeute d avoir plus de temps libre puisque la continuité des soins est garantie. Les vacances, congés de maternité ou recyclages sont plus faciles à gérer. En 2008, un projet pilote fut soumis, approuvé et financé par l INAMI afin de développer un Système de promotion de la qualité en kinésithérapie. Les résultats de ce projet sont déterminants pour la forme, la structure et le contenu de la future promotion de la qualité en kinésithérapie en Belgique. Une vingtaine de sous projets ont participé à ce projet pilote. Un de ces projets s est penché sur le développement de directives pour un fonctionnement optimal d un cabinet de groupe et a lancé l évaluation de cabinets de groupe existants: comment fonctionnent-ils aujourd hui? Quels sont les avantages et les inconvénients? Comment organisent-ils les soins? Proposent-ils des compétences particulières? Appliquent-ils l auto évaluation? Dans une première phase, la littérature fut consultée tout comme les sites web des cabinets de groupe existants. L expérience personnelle et l information retrouvée dans la littérature ont mené à deux questionnaires dont un pour le kinésithérapeute et un pour le patient. Suite à l invitation digitale aux membres Axxon du Brabant Flamant, 8 cabinets ont proposé leur collaboration. Ces cabinets présentaient d importantes différences tant au niveau administratif qu au niveau de leur gestion. Ensuite, le questionnaire pour le kinésithérapeute fut envoyé à tous les participants tandis que le questionnaire adapté au patient fut envoyé à 10 patients au hasard par cabinet afin d être complétés de manière anonyme. Selon l enquête menée auprès des patients de cabinets de groupe, ceux-ci semblent être très satisfaits Les patients étaient très satisfaits des soins et de l organisation du cabinet. Après l analyse des questionnaires, il fut demandé à chaque cabinet de formuler des objectifs bien précis pour l amélioration de la qualité. A ce stade-ci, 3 cabinets ont partiellement décroché. 04 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10

5 En kinésithérapie, les cabinets de groupe sont une évolution évidente et prometteuse La dernière phase fut consacrée à la rédaction des directives qui peuvent aboutir à un fonctionnement optimal du cabinet de groupe: 1. Recherchez le juste mélange de collègues qui ont une influence positive l un sur l autre. 2. Organisez régulièrement des réunions bien structurées à propos des patients et de leurs traitements, de l organisation et de la gestion de la pratique et recherchez le consensus. Les possibilités d amélioration des différents cabinets furent discutées et s avéraient être forts intéressantes: la création de programmes d exercices d entretien à domicile, le partage des responsabilités Il n était pour autant pas facile d appliquer de grands changements à la structure et à l organisation du cabinet. A ce stade, la FVIB (pendant néerlandophone de l UNPLIB Union Nationale des Professions Libérales et Intellectuelles de Belgique - ndlr) fut impliquée pour son expertise en matière de révision de cabinets. La FVIB a rédigé un questionnaire à remplir de manière anonyme par tous les participants (y compris les cabinets qui avaient décroché). Au total, 21 thérapeutes ont rempli le questionnaire. Lors de deux workshops, un modèle de collaboration optimal fut conçu à l aide des résultats de l enquête. L essentiel était de démontrer la différence entre une collaboration verticale ou intégrale. La plupart des cabinets fonctionnent de façon verticale: 1 titulaire de cabinet paie un pourcentage à ses collaborateurs et se charge de toutes les tâches supplémentaires (entretien, rapports, contacts, facturation, ). Lors d un peer review qui fut soutenu par des experts, les participants ont constaté que tous les cabinets ne connaissent pas les mêmes problèmes et ils étaient tous d accord sur l importance primordiale de la communication. Dans la phase suivante, une secrétaire administrative fut engagée pour 4 cabinets. Une étudiante fut trouvée par le biais d un bureau d intérim et embauchée pour une période de 4 semaines. La secrétaire s occupait principalement des tâches administratives telles que l encodage des données de patients et de prescriptions, répondre au téléphone, L évaluation a démontré que chaque thérapeute gagnait ainsi 3 à 5 heures par semaine. L administration se faisait plus facilement et plus correctement. L engagement permanent d une secrétaire permettrait clairement au kinésithérapeute de consacrer plus de temps au traitement ce qui, finalement, est une bonne chose pour le patient! L embauche d une secrétaire permet au kinésithérapeute de consacrer plus de temps aux traitements, à la concertation, au recyclage, et l administration est à jour. La grande plus-value de la secrétaire représente cependant un investissement important et coûteux. En plus du sens d organisation de l administration, la secrétaire de cabinet doit connaître la nomenclature, l informatique et surtout avoir une faculté de communication. Dans ce sous projet, c est surtout le pilier de la qualité organisation des soins et du cabinet qui fut abordé. 3. Le regroupement de collègues ayant différentes qualifications particulières est une plus-value pour un cabinet. 4. Le traitement du patient effectué par trop de collègues différents ne représente pas une plus-value. 5. La création d un cabinet par plusieurs jeunes diplômés peut être la formule la plus simple et la plus facile mais elle n a pas l avantage des thérapeutes expérimentés. 6. Les cabinets de groupe pourraient devenir plus attrayants s ils pouvaient faire appel à une intervention financière de l état: une tâche pour l association professionnelle? Grâce aux différentes qualifications particulières, une demande de soins peut être traitée de manière plus efficace à partir des différents points de vue et après la concertation qui s en suit. Les cabinets de groupe de kinésithérapie représentent une évolution prometteuse et évidente. De telles formes d organisation peuvent contribuer à la promotion de la qualité des soins. Les directives qui ont été développées dans ce sous projet ont pour but d aider les collègues qui envisagent de démarrer ou de rejoindre un cabinet de groupe. Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 05

6 texte Karin Van Loon Membre du groupe directeur de la Promotion de la Qualité Promotion de la qualité: le chemin parcouru par un groupe de kinésithérapeutes Sept kinésithérapeutes de l Association des Kinésithérapeutes du Grand Chatelet (AKGCP) ont participé au projet de Promotion de la Qualité (Pro-Q-Kine) initié par l INAMI en 2008 et Le sujet de réflexion qu ils ont choisi, porte sur l anamnèse d un nouveau patient dans un cabinet de kinésithérapie. Concrètement, ces kinésithérapeutes se sont réunis une à deux fois par mois, en soirée, pour concevoir et mettre en œuvre leur projet. Tout au long de leur travail, ils ont été conseillés et accompagnés par des experts et membres du groupe directeur de la Promotion de la Qualité. Sur base de recherches bibliographiques et en confrontant leurs expériences, ils ont mis au point un modèle d anamnèse pour les kinésithérapeutes exerçant en cabinet. Ils ont choisi de proposer cette anamnèse en versions papier et informatique. Pour construire cette anamnèse, ils l ont dans un premier temps, soumise à dix confrères de la région, y ont apportés quelques modifications et l ont ensuite validée. 06 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 QUALITY IN PHYSICAL THERAPY

7 La version définitive a été envoyée à une centaine de kinésithérapeutes de la région. Le groupe a conçu, avec l aide d un expert un questionnaire d évaluation de cette anamnèse. Ce questionnaire interroge l utilité, la pertinence, la convivialité, la place et l utilisation de cette anamnèse par les confrères de la région. Ils ont reçu douze réponses dont dix sont analysables. Au regard de ce petit échantillon, certains points ont été mis en évidence: - L anamnèse semble très utile pour la majorité des répondants. - Est toutefois mise en évidence, la problématique du temps: il y a une réelle crainte de surcharge de travail liée à l utilisation d une anamnèse fouillée. - Un intérêt certain est marqué pour cette forme d anamnèse mais il y a lieu de l envisager avec des spécificités en fonction du domaine de la kinésithérapie. - L anamnèse proposée dans cette étude ne semble pas avoir apporté de changement auprès des participants, ni dans leur manière de réaliser une anamnèse ni dans le choix des techniques de traitement utilisées. - Il persiste une certaine peur du contrôle et de la centralisation des données qui se manifeste face à l informatisation et le transfert des données entre prestataires. - Les kinésithérapeutes contactés ont marqué leur intérêt pour la participation à ce type de projet et l organisation de la profession, qu ils soient ou non impliqués dans des associations. Mais au-delà de ces considérations propres à l étude, il est intéressant d analyser la dynamique qui s est installée au sein du groupe de l AKGCP. Pour cette première expérience, les participants ont exprimé leurs difficultés par rapport à l administration et la gestion financière du projet. Par contre, la partie plus créative, c est-à-dire réaliser le canevas de l anamnèse s est avéré très intéressante. L équipe est restée soudée jusqu au bout et l ambiance de travail est restée bonne malgré les difficultés rencontrées. Les liens se sont renforcés et le dialogue est devenu plus constructif au fil du temps. Les participants sont disposés à participer à d autres projets de la Promotion de la Qualité et envisagent de se conformer aux normes pour devenir un cercle local de kinésithérapie. En conclusion, malgré les difficultés concrètes rencontrées et celles d intégrer de nouveaux concepts de gestion de la qualité, l expérience est très positive. Ce groupe s est inscrit dans la dynamique cyclique de la roue de Deming, PDCA (plan/do/check/act) et a rencontré certains piliers de la gestion de la qualité soit: L organisation des soins et du cabinet L amélioration de la qualité des soins L informatisation et l automatisation permettant une meilleure transmission des données vers des confrères ou l équipe soignante La remise en question de sa pratique et l autoévaluation Les échanges entre pairs et la confrontation inter collégiale Bon vent pour leurs projets futurs! Promotion de la qualité AvRIL MaI 10 07

8 Désirez-vous participer à la promotion de la qualité? La kinésithérapie a pris à juste titre une place importante au sein des soins de santé. C est donc très important que le kinésithérapeute entretienne ses compétences scientifiques (connaissances, aptitudes et attitudes) et les actualise régulièrement afin d utiliser à tout moment le traitement le plus approprié. C est également indispensable qu il soit sensibilisé aux problèmes de nature éthique, déontologique et de l économie des soins de santé, ainsi qu aux problèmes concernant l exercice de sa profession au sens large du terme. Si vous souhaitez tester ou évaluer vos connaissances, vos aptitudes et vos attitudes avec quelques collègues dans un contrôle inter collégial ou un peer review, alors l organisation d un GLEK (Groupement Local d Evaluation en Kinésithérapie) vous intéressera sûrement! Prenez contact avec Pro-Q-Kiné (secrétariat Axxon, Qualité en Kinésithérapie) Imperiastraat Zaventem info.fr@axxon.be Le secrétariat vous aidera à organiser votre concertation locale. Vous trouverez les documents nécessaires sur le site d Axxon sous Pro-Q-Kiné, rubrique Concertation et soutien : Sur le site, vous trouverez également - le Formulaire de demande d installation d un GLEK, - un Manuel pour l organisation pratique d un GLEK, - ainsi que la réglementation du fonctionnement d un GLEK. Le projet pilote Promotion de la qualité en kinésithérapie fait à nouveau appel aux kinésithérapeutes intéressés pour participer à la phase de test de l auto évaluation (AE) et le contrôle inter collégial (CIC) Grâce à l auto réflexion, l auto évaluation permet d obtenir de manière structurée une idée de son propre profil de compétences, la qualité des soins et l organisation de ces soins à l aide de questionnaires standardisés. A partir de cette vision, des lignes d amélioration peuvent être mises en place (activités de formation, réorganisation ) Grâce aux GLEK s, nous voulons rassembler les kinésithérapeutes qui testent l auto évaluation de manière structurée afin de souscrire à des lignes d amélioration. C est ce que nous appelons le contrôle ou l examen inter collégial (CIC/EIC). Si vous êtes intéressé, vous trouverez de plus amples informations sur: ou prenez contact avec info.fr@axxon.be (Fabienne Van Dooren) 08 Promotion de la qualité AvRIL MaI 10

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