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1 Quand une équipe profite de sa participation à un projet de recherche pour rendre ses interventions plus efficientes Mylène Lévesque, psychologue Caroline Beaulieu, ergothérapeute

2 Projet de recherche printemps 2012 Développement et implantation d un programme de PDP entre l ergothérapeute et le travailleur ayant une incapacité due à un TMS persistant: perspective des acteurs en réadaptation.

3 Projet Faciliter l atteinte d un but commun entre l intervenant et le travailleur au sein de programmes de réadaptation tout en tenant compte des contraintes des acteurs impliqués (employeur, syndicat, assureur) Développer un programme de PDP applicable aux programmes de réadaptation existants Évaluer l implantation d un tel programme

4 Qu est ce que la prise de décision partagée Processus par lequel le client et le professionnel de la santé prennent des décisions ensemble dans une relation de coopération; Vise à faciliter l atteinte d un but commun entre le clinicien et le client; Permet d établir une alliance de travail entre le client, le clinicien et les autres acteurs et d assurer une compréhension commune et une action concertée entre tous les acteurs; Améliore la qualité de décision en réduisant l incertitude et favorise le processus de prise de décision, tout en augmentant le choix d options basées sur des données probantes.

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6 Formation par les chercheurs

7 Guide personnel d aide à la décision (Ottawa)

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10 Approche appliquée à l ensemble de l équipe

11 Compétences préalables à la PDP

12 Efficacité selon Yves St Arnaud 2 types de compétences pour assurer l EFFICACITÉ du traitement Techniques: Disciplines professionnelles Relationnelles Établir et maintenir une alliance de travail

13 Compétences relationnelles (St Arnaud) Concepts proposés par St Arnaud pour établir et maintenir une alliance de travail Partenariat Concertation Non ingérence Responsabilité

14 Structure de coopération Les 4 concepts peuvent être appliquer en s assurant de maintenir une structure de coopération

15 Structure de coopération But commun (non ingérence) L intervenant considère l usager comme un partenaire à part entière (partenariat) Concertation dans la poursuite d un but commun. Suppose la participation active des 2 partenaires (responsabilité) Compétences de l intervenant, celles de l usager et celles partagées par les deux

16 Autres types de structure en relation d aide 1. Structure de pression Résistance 2. Structure de services Passivité

17 Coopération Concept qui ne réfère pas à l attitude positive ou négative du client, mais à un type de relation dont le clinicien prend la responsabilité d instaurer et de maintenir Relève de la compétence relationnelle de l intervenant Succès non garanti, mais l attitude négative du client ne nous empêchera pas de viser à créer une collaboration

18 Prises de conscience dans l équipe Pièges à la collaboration Absence d un but commun Jugement de valeur Attentes irréalistes de l intervenant Acharnement pour maintenir son sentiment de compétence Etc.

19 Expertise Partagée Deux experts avec compétences différentes: Intervenant Client

20 Intervenant Expert Compétence technique Opinion professionnelle: Transmettre le plus possible d informations valides, données probantes Jugement professionnel vs jugement de valeur Modalité de traitement Avantages et désavantages d une telle modalité de traitement. Compétence relationnelle Gestion et entretien de la relation: concepts associés à l alliance de travail Accueil des valeurs et priorités du client Multiplier les choix libres et éclairés. Structure de coopération

21 Client Expert Valeurs Priorités Informations sur son vécu

22 Cas cliniques Jean Client: Participation mitigée aux interventions Investissement minimal dans ses exercices Exprime beaucoup de frustration par rapport à son employeur Intervenants: Ressentent de la résistance Doutent de sa motivation, vivent de la frustration Attentes du tiers payeur Jugement de valeur de l équipe en tant qu experts

23 Cas cliniques Jean PDP pour faire un choix éclairé entre une retour à l emploi antérieur ou réorientation Pours et contres plus pondération selon ses valeurs et ses besoins Décision contraire à ce que l équipe et le tiers payeur auraient préconisée

24 Cas cliniques Jean Retombées: Client: Investi dans ses interventions Progression significative de ses capacités Mobilisé à poursuivre les techniques, entrainements et moyens de gestion dans son milieu réel pour maintenir ses acquis. Proactifs dans ses démarches de réorientation Intervenants: Ajustement des interventions vers les objectifs du client (développement global vs spécifique) Perception très positive du client Émotion positive envers le client

25 Cas cliniques Georges Client: Ne veut plus de douleur Ne croit pas réaliste l intégration de bonne techniques de travail dans son emploi de menuisier charpentier Attend une chirurgie pour guérir la douleur Éviter jugement de valeur : Transmis l information Dirigé monsieur vers les bonnes ressources pour obtenir l information manquante Rencontre avec monsieur et sa conjointe Offert un moment de réflexion pour favoriser la prise d une décision éclairée

26 Cas cliniques Rose Cliente: Ambivalence face au retour à l emploi antérieur Perte d intérêt et anxiété +++ par rapport à cet emploi Intensification de la détresse lors des mises en situation correspondant aux tâches de l emploi Absences répétées aux interventions Intervenants: Objectif du PII: clarifier la cible professionnelle

27 Cas cliniques Rose Retombées: Client: Soulagement, diminution de l anxiété A renforci l alliance thérapeutique Mobilisée à entreprendre des démarches pour obtenir de l information et clarifier sa cible professionnelle Intervenants: Interruption temporaire des interventions pour libérer la cliente afin qu elle puisse entreprendre ses recherches Diminution des frustrations en raison des absences répétées Diminution des échecs vécus suite aux interventions de mise en situation Diminution du sentiment d impuissance

28 Retombées du projet de recherche Meilleures stratégies d intervention pour: Favoriser l alliance thérapeutique Mieux gérer notre sentiment d impuissance face aux impasses thérapeutiques Retrouver du pouvoir face à la résistance du client Augmente le sentiment de contrôle du client sur sa réadaptation Augmente le sentiment de satisfaction du client et de l intervenant

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