Une nouvelle analyse sur la théorie d utilité marginale
|
|
- Odette Beaudoin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Une nouvelle analyse sur la théorie d utilité marginale Introduction : La plupart des théoriciens économiques défini L utilité marginale comme suit : L utilité marginale d un bien est : l augmentation de l utilité totale obtenue à partir de la consommation d une unité supplémentaire de ce bien reste constante. Et l hypothèse la plus connu ci la suivante : - un consommateur a une utilité marginale décroissante si la consommation d une unité de bien ajoute successivement moins à l utilité totale. Est-ce que cette hypothèse et la première définition sont tout que nous devant connues pour cette théorie? Bien sur que Non et l analyse suivante démontre un notre pole qui a la même importance. On commence par déterminer des hypothèses de base : Les Hypothèses : Dans une nouvelle analyse sur l utilité marginale on a proposé ces hypothèses suivantes : 1- La supposition que chaque unité d argent a la même valeur qu une autre (un euro a la même valeur qu un autre) n est pas toujours correcte. 2- Les hommes ont différent esprit de risque car on trouve trois genres d esprit de risque : *des gens n ont pas l esprit de risque. *des gens ont un esprit faible de risque (ils aiment le petit risque qui permit de réalise un moyen profit). * des gens ont l esprit de risque fort. 3-la premier et la deuxième hypothèse produire trois genre d utilité marginale : 1
2 *l utilité marginale Diminuant (pour le 1 ere genre des gens ). Graphique 01 gens). * l utilité marginale constante (pour le deuxième genre des Graphique 02 gens). * l utilité marginale augmentant (pour le troisième genre des 2
3 Graphique 03 Critique : A partir d une petite recherche dans la théorie économique on a trouvé qu il y a un manquement concernant la théorie d utilité marginale sur tous la part d utilité marginale constant et augmentant, malgré qu on trouve des analyse sur le coté d utilité marginale constant et augmentant mais reste incomplet et spécifique (domaine de risque et des jeux). Aussi on a trouvé que cet analyse et faible dans le coté de comportement des gens mais elle met la main sur une question important dans l analyse de la théorie économique : la différenciation entre trois genre d utilité marginale,qu il on trouvera pas dans les grands analyses économiques ou dans la théorie économique qui explique la théorie d utilité marginale est par ce que ces derniers suppose qu ils n existe pas (l utilité marginale constant et augmentant n existe pas dans la théorie économique, il n existe qu un seul genre ce lui d utilité marginale Diminuant ). Pour ce la on essaie maintenant d expose une autre analyse simple qui démontre qu il existe d autre genres d utilité marginale et ces dernier basé sur des hypothèses spécifique est cette approche a la même importance dans la théorie économique que la théorie d utilité marginale Diminuant ; on parle ici sur le concept de : l utilité marginale constant et augmentant. 3
4 Pour le but de donne une nouvelle analyse sur qu on appelé «l utilité marginale constant et augmentant», premièrement on propose un exemple appris on fait l analyse ; Premier cas : le délai ne devrait pas dépasser 30 jours (Premier cas: prise en compte du «temps»): (Utilité Marginale Constante) : Exemple 1: un homme qui est malade, il a un voyage d une période de 30 jours à apporter avec lui boîte de 30 comprimés de médicaments pris régulièrement chaque jour. Ici, l homme devra faire face à deux possibilités (Probabilités): Deuxième cas: le délai dépasser les 30 jours (la rareté des ressources): (Utilité Marginale Augmentant) : Exemple 1 reste valable, mais on garde la deuxième possibilité: Possibilité: période plus de 30 jours : L homme malade commence à voir la possibilité que son Voyage dépassera 30 4
5 jours, il va réfléchir à la façon de maximiser l'utilité d'une trentaine de comprimés en sa possession et donc d'augmenter l'avantage de commencer la traite pilule tous les deux jours et avec la possibilité supplémentaire de la durée du voyage est plus dans l'espacement adresse pilule en trois jours... Ainsi, plus d'utilité marginale de sa pilule vie lié à ces pilules. L'augmentation de la courbe d'utilité marginale: Exemple 2: le salaire d un employés UM par mois, l'utilité marginale de la 1000 finale remporté plus de 9000 première réalisation du principe de la propension marginale à consommer, car elle cherche à dépenser une plus grande partie des dépenses ordinaires (accessoires), et ensuite dans le fin du moi, vise à rationaliser les dépenses de consommation et sur les choses qui sont nécessaires uniquement (la courbe présidant reste vrai). Le troisième cas: «la nature des biens»: (Utilité Marginale Augmentant) : Exemple 3 : Il y a un Person «p» qui a demandé un crédit consommateur pour le but d avoir Achter une voiture ou une maison, il fait un contrat de crédit avec le banque qu il prêt 5000 um 1 et il payer 1 Um : unité monétaire 5
6 Ce montant (amortir le crédit) avec 5 anuité de 1000 um (taux d intérêt =0 pour faciliter la compréhension) pour ce la on trouve qu il existe 5 anuité avec un semple calcul. Nombre d anuité= somme de crédit/durée=5. Remarque : La garantie de payement de crédit pour la banque ci la voiture. L analyse : 1) dans une premier étape on dont les hypothèses suivants : -on définit (valoriser) l utilité totale par : la voiture soit propriétaire à «p» définitivement (il a payé tous les anuitées) : UT= la voiture -on définit (valoriser) l utilité marginale par : la valeur des anuitées payer. 2) calcule de l utilité soit le suivant : - l utilité= 5000 UM. - l utilité marginale : UM A1 =5000 X 1/5 or 1000 UM A2 =5000 X 2/5 or UM A3 =5000 X 3/5 or UM A4 =5000 X 4/5 or UM A5 =5000 X 5/5 or ) pour quoi on a fait cet calcule est on a considérer que UM A2 =A1+A2 ou UM A1 + A2? 4) réponse : on fait cet calcule pour simple raison si «P» na pas payer l anuitée A2 il perd la voiture mais vraiment il n a pas perdu que l anuite A1 qu il a payé déjà et si il a paye la deuxième anuitée UM A2 devient A1+A ou UM A1 + A2 ; même chose pour A 3, A 4, A 5 et UM A3,UM A4,UM A5. 6
7 5) et ce que démontre les graphiques suivants : Résultats : 1) On trouve que l utilité marginal augmenté comme les anuitées, avec des rapports constants. Sa se démontre la supposition de la analyse présidant. Malgré que la valeur des anuitées sont égale (1000 um). 2) L utilité marginale de la dernier anuite est égale a l utilité totale (le contraire de l hypothèse de l utilité marginale déminant). 3) On peut évaluer l utilité marginale par le degré de besoin d un homme a obtenu un bien et/ou un somme d argent (annuités). Conclusion : l évolution d économie a produit plusieurs gêner et méthodes de consommations, cette diversité avec réticulation des notions économiques (consommation avec méthode de financement) a supprimer des hypothèses principale dans la théorie économique et mètre des nouveaux hypothèses qui on fait des petits changements dans la théorie, pour notre sujet l utilité marginal : On peut dit qu il y a une partie de cette théorie qu elle n a pas ça part d importance dans la théorie économique on parle ici sur la partie «d utilité marginal constant/augmentant) ou on a essaye dans la troisième partie de cet article de démontre qu il existe deux autre parts qui on la même importance de l utilité marginale déminant dans la théorie «utilité marginale» pour cela on peut généraliser les résultats suivants : 7
8 1) Dans des cas de consommation la satisfaction des gents l utilité marginale se augment malgré la répétition de cette consommation a cause de : - Le genre du bien. - La période qui sépare la première consommation a la deuxième (facteur de temps). - Le mode de financement. 2) L utilité marginal peut augmente jusque qu elle soit égale a l utilité totale ( UM DU 2 = UT). 3) L utilité marginal peut stabilise, quelle soit constant. 4) On peut évaluer l utilité marginale par le besoin des gens et leur rationalité. Références : 1) l'utilité attendue :( 2) Valeur des biens et coûts de production «traduite de l'allemand par Sennholz et Huncke» 3) MICROECONOMIE 1 «Professeurs : R. Bichsel, M. Brülhart» 2 UM DU : L utilité marginale de la dernière unité. 8
Calcul économique privé
Année 2010-2011 Alain Marciano : L analyse coût avantage Licence Sciences Economiques 3, UM1 Plan chapitre Section 1. L agrégation des effets dans le temps : l actualisation Section 2. Les critères complémentaires
Plus en détailMéthode : On raisonnera tjs graphiquement avec 2 biens.
Chapiittrre 1 : L uttiilliitté ((lles ménages)) Définitions > Utilité : Mesure le plaisir / la satisfaction d un individu compte tenu de ses goûts. (On s intéresse uniquement à un consommateur rationnel
Plus en détailApllication au calcul financier
Apllication au calcul financier Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 1 er novembre 2011 Intérêts Généralités L intérêt est la rémunération du placement d argent. Il dépend : du taux d intérêts
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailLa demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal
La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal
Plus en détailSimulation centrée individus
Simulation centrée individus Théorie des jeux Bruno BEAUFILS Université de Lille Année 4/5 Ce document est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les
Plus en détailEXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE
EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par
Plus en détailCH X Intérêts composés - Amortissements
CH X Intérêts composés - Amortissements I) Les intérêts composés : 1) Situation : Un capital de 20 000,00 est placé à un taux d intérêts de 4 % l an pendant 5 ans. Chaque année les intérêts produits viennent
Plus en détail15/02/2009. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts Les intérêts simples. Le calcul des intérêts Les intérêts simples
Le taux d intérêt Comparer ce qui est comparable 2 Chapitre 1 La valeur du temps Aide-mémoire - 2009 1 Deux sommes de même montant ne sont équivalentes que si elles sont considérées à une même date. Un
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailSuites numériques. Exercice 1 Pour chacune des suites suivantes, calculer u 1, u 2, u 3, u 10 et u 100 : Introduction : Intérêts simpleset composés.
Suites numériques 1ère STG Introduction : Intérêts simpleset composés. On dispose d un capital de 1 000 euros que l on peut placer de deux façons différentes : à intérêts simples au taux annuel de 10%.
Plus en détailChapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement. Plan
Chapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement Plan Maximisation et création de valeur Le concept de Valeur Actuelle Nette Les différents types d investissements Les critères du choix d investissement
Plus en détailAvec la D.A.S. gardez toujours la tête hors de l eau
Avec la D.A.S. gardez toujours la tête hors de l eau Pourquoi une assurance Protection juridique? LES QUESTIONS LES PLUS SOUVENT POSÉES 1. Que faire lorsque votre véhicule est déclaré en perte totale à
Plus en détailContrat didactique Mathématiques financières
Contrat didactique Mathématiques financières Les compétences de ce cours sont à placer dans le contexte général de l appropriation de la notion de modèle mathématique et de son utilisation pratique en
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailLa maison Ecole d ' Amortissement d un emprunt Classe de terminale ES. Ce qui est demandé. Les étapes du travail
La maison Ecole d ' Amortissement d un emprunt Classe de terminale ES Suites géométriques, fonction exponentielle Copyright c 2004 J.- M. Boucart GNU Free Documentation Licence L objectif de cet exercice
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailIntroduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux
Nom : Prénom : Num Etudiant : Groupe de TD : Introduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux PRECISEZ ICI SI VOUS AVEZ
Plus en détailGEOSI. Les intérêts et les Emprunts
GEOSI Les intérêts et les Emprunts 1.Définition Lorsque qu une personne (prêteur) prête une somme à une autre personne (emprunteur) il est généralement convenu de rembourser, à l échéance, cet emprunt
Plus en détailQu est-ce que l effet de levier?
EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous
Plus en détailTransfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)
1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailChapitre 8 L évaluation des obligations. Plan
Chapitre 8 L évaluation des obligations Plan Actualiser un titre à revenus fixes Obligations zéro coupon Obligations ordinaires A échéance identique, rendements identiques? Évolution du cours des obligations
Plus en détailAlternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015
Pages 38 à 41. Pourquoi on a fait l'euro. Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015 - situe en 1970 le projet de créer une monnaie unique au sein de la Communauté économique européenne
Plus en détailComment prendre soin de son argent? Séminaire de préparation à la retraite ONU 27 mars 2015 Marie-Pierre Fleury Patrick Humair
Comment prendre soin de son argent? Séminaire de préparation à la retraite ONU 27 mars 2015 Marie-Pierre Fleury Patrick Humair Introduction Devises Taux d intérêt Immobilier Obligations Actions Fonds de
Plus en détailExercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2
Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailEXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG
Exploitations pédagogiques du tableur en STG Académie de Créteil 2006 1 EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Commission inter-irem lycées techniques contact : dutarte@club-internet.fr La maquette
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailL'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT...
L'ELASTICITE-PRIX La consommation dépend, entre autre, du prix des biens et des services que l'on désire acheter. L'objectif de ce TD est de vous montrer les liens existants entre le niveau et l'évolution
Plus en détailMANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS
Frédéric Crépin MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS, 2004. ISBN : 2-7081-3140-0 5 Chapitre 1 idées reçues sur les managers et le management au quotidien Idée reçue n 1 : managers et salariés doivent avoir les
Plus en détailLA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?
LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance
Plus en détailAnalyse et programmation 1
Analyse et programmation 1 Bienvenue Présentations Moi Qui suis-je? Quels sont mes domaines de compétence? Pourquoi suis-je ici? Comment me contacter : bureau C01a Par courrier électronique : francois.birling@heig-vd.ch
Plus en détailEMPRUNT INDIVIS. alors : a = III. Comment établir un tableau de remboursement d emprunt à amortissements constants?
EMPRUNT INDIVIS Objectifs : - Savoir calculer une annuité de remboursement constante ; - Dresser un tableau d amortissement d emprunt par annuités constantes ou par amortissements constants ; - Calculer
Plus en détailCOMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE
COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailPrincipe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale
Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants
Plus en détailI. Le partage du revenu entre l épargne et la consommation
LA CONSOMMATION ET L EPARGNE (10) 1 La consommation et l épargne sont les deux opérations économiques consistant à utiliser le revenu disponible. Les agents économiques affectent leur revenu à la consommation
Plus en détailChapitre 4 - La valeur de l argent dans le temps et l'actualisation des cash-flows
Chapitre 4 - La valeur de l argent dans le temps et l'actualisation des cash-flows Plan Actualisation et capitalisation Calculs sur le taux d intérêt et la période Modalités de calcul des taux d intérêts
Plus en détailANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin».
-- Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». AA-GC-CL-JMV Page mis à jour le oct 00 L'objectif L'Analyse du Besoin est une méthode qui permet de caractériser le besoin exprimé -- L objet est
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailBloc 1 Sens des nombres et des opérations (+- 6 cours)
Bloc 1 Sens des nombres et des opérations (+- 6 cours) 1 Démontrer une compréhension du concept du nombre et l utiliser pour décrire des quantités du monde réel. (~6 cours) RÉSULTATS D APPRENTISSAGE SPÉCIFIQUES
Plus en détailArticulation entre mesures sociales du casino et lieux d aide spécialisés lors des mesures de limitation et d exclusion Lisiane SCHÜRMANN
Articulation entre mesures sociales du casino et lieux d aide spécialisés lors des mesures de limitation et d exclusion Lisiane SCHÜRMANN Neuchâtel, 17.01.2014 Introduction Vote populaire de 1993 sur les
Plus en détailECGE1314 - Finance d entrepise Scéance 2 : évaluation d actifs Professor : Philippe Grégoire Assistant : J.Clarinval
ECGE1314 - Finance d entrepise Scéance 2 : évaluation d actifs Professor : Philippe Grégoire Assistant : J.Clarinval Exercice 1 : Vous achetez une voiture 30.000 euros et vous empruntez ce montant sur
Plus en détailLeçon 01 Exercices d'entraînement
Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailManagement partie 2 : Marketing
Management partie 2 : Marketing Marketing 1. L'approche marketing S'est le contexte économique qui a induit la fonction marketing. Elle est née des contraintes que rencontre l'entreprise sur son marché,
Plus en détailIndicateurs de résultats en Agriculture Durable
Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SUJET
SESSION 203 Métropole - Réunion - Mayotte BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL ÉPREUVE E4 CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE : MATHÉMATIQUES Toutes options Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s)
Plus en détailRoues Clients stockage & gestion 2014-1
Roues Clients stockage & gestion 2014-1 TOLHUISLAAN 70-9000 GENT / Tel: 09 224 44 45 Fax: 09 233 07 96 scholz@mva.be/ www.scholz-belgium.be Configurations Standards Entrepôt de base proposition 1 (364roues
Plus en détailTable des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement...
III Table des matières Avant-propos Remerciements................................. Les auteurs..................................... Chapitre 1 L intérêt............................. 1 1. Mise en situation...........................
Plus en détailL i c e n c e. www.univ-paris13.fr. Mention «Économie et de gestion» Diplôme Bac + 3. Parcours. Contacts. contact :
Diplôme Bac + 3 Parcours - - Contacts UFR des Sciences Economiques et de Gestion contact : Contact formation continue (Adultes en reprise d'études, Financement / VAE): tél.:01 49 40 37 64 acc-cfc@univ-paris13.fr
Plus en détailBaccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé EXERCICE 1 5 points Commun à tous les candidats 1. Réponse c : ln(10)+2 ln ( 10e 2) = ln(10)+ln ( e 2) = ln(10)+2 2. Réponse b : n 13 0,7 n 0,01
Plus en détailLISTE D EXERCICES 2 (à la maison)
Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros
Plus en détailRédaction d un Plan d affaires
Rédaction d un Plan d affaires Catherine Raymond 2001 INTRODUCTION Raisons qui ont motivé la rédaction du plan d affaires Personnes ou organismes qui ont collaboré à l élaboration du plan d affaires Sommaire
Plus en détailLa protection de vos données personnelles
LES MINI-GUIDES BANCAIRES Repère n 15 La protection de vos données personnelles FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE novembre 2004 Qu est-ce que la loi Informatique et Libertés? La loi Informatique et Libertés
Plus en détailLes intérêts notionnels (déduction pour capital à risque) et la réserve d investissement. Les intérêts notionnels (déduction pour capital à risque)
Mise à jour : 23/03/2015 Parc scientifique Einstein - Rue du Bosquet 8A - B 1348 Louvain-La-Neuve Téléphone : +32 (0)10/811 147 Fax +32 (0)70/401 237 - info@filo-fisc.be Les intérêts notionnels (déduction
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailMathématiques financières
Mathématiques financières Table des matières 1 Intérêt simple 1 1.1 Exercices........................................ 1 2 Intérêt composé 2 2.1 Taux nominal, taux périodique, taux réel.......................
Plus en détailEmprunts indivis (amortissement)
1. Amortissement constant : a) Activité : Une entreprise souhaite renouveler son parc informatique. Elle estime qu elle doit dépenser 5 000 ; elle emprunte cette somme au taux de 5 % annuel le 1 er janvier
Plus en détailAttitude des ménages face au risque. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014
Attitude des ménages face au risque - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014 Plan du cours 1. Introduction : demande de couverture et comportements induits pa 2. Représentations
Plus en détailAVERTISSEMENT. Cette codification intègre les modifications apportées au règlement VS-R-2012-107
CODIFICATION ADMINISTRATIVE DU RÈGLEMENT VS-R-2012-107 DE LA VILLE DE SAGUENAY AYANT POUR OBJET D ADOPTER UN PROGRAMME DE COMPENSATION EN ZONE DE CONTRAINTES (24103-05-001) AVERTISSEMENT Le présent document
Plus en détail«Est-ce que mon enfant est à risques?» Sécurité sur la rue
«Est-ce que mon enfant est à risques?» Sécurité sur la rue 1. Est-ce que votre enfant sait ce qu est un inconnu? 2. Est-ce que votre enfant connaît la différence entre un bon et un mauvais inconnu? 3.
Plus en détailCONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER. Epargne et emprunt Calcul actuariel
CONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER Epargne et emprunt Calcul actuariel Plan du cours Préambule : la contrainte budgétaire intertemporelle et le calcul actuariel I II III Demandes d épargne
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détailStockage ou pas stockage?
Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations
Plus en détailLe vol à l étalage 1
Le vol à l étalage 1 Le vol à l étalage, c est du vol tout court Définition ; Le vol consiste à prendre sans en avoir la permission quelque chose, si petit que soit-il, qui appartient à autrui, à un magasin
Plus en détailCAP TERTIAIRE/INDUSTRIEL
Session : 2005 Code : Page : 1/4 CAP TERTIAIRE/INDUSTRIEL Epreuve de Français SESSION 2005 SUJET Ce sujet comporte 4 pages : de la page 1/4 à la page 4/4. Assurez-vous que cet exemplaire est complet. Si
Plus en détailL'ordinateur oblige à l'autonomie?
L'ordinateur oblige à l'autonomie?!!pas d'autonomie, pas de séance d'informatique...!!les logiciels interactifs permettent d alterner avec la liaison frontale professeur élèves!!mémoire PE2 : Debernardi,
Plus en détailCirculaire sur le remboursement de frais et part privée sur véhicule d'entreprise
Circulaire sur le remboursement de frais et part privée sur véhicule d'entreprise Période fiscale 2011 Circulaire no 1 Remboursement de frais et part privée sur véhicule d'entreprise Cette circulaire est
Plus en détailUne pseudo-science : 1. Pourquoi l astrologie n est pas une science reconnue?
Une pseudo-science : 1 Pourquoi l astrologie n est pas une science reconnue? Les revendications des astrologues sont rejetées par la communauté scientifique. Néanmoins, l astrologie est populaire. Même
Plus en détailLicence : Licence Fondamentale en Gestion Etape : Semestre : 1. Première Année Licence Fondamentale en Gestion ( Tronc commun )
Semestre : Première Année Licence Fondamentale en Gestion ( Tronc commun ) ( semaines) Fondamentale.00 Fondamentale Principes de Gestion : Environnement et fonctionnement de l'entreprise.00.00 Obligatoire
Plus en détailQuand le bâtiment va, tout va
Quand le bâtiment va, tout va Citation de Martin Nadeau en 1849 à l Assemblée législative de la France Martin Nadeau Ancien ouvrier maçon Député à l Assemblée législative Les sots font bâtir les maisons
Plus en détailI. Le déterminant Il détermine le nom. Le déterminant indique le genre, le
I. Le déterminant Il détermine le nom. Le déterminant indique le genre, le nombre et le degré de détermination du nom. 1. L article le, la, les, l, d, au, aux, du, des, un, une, des, du, de l, de la, des.
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailL amortissement des immobilisations
L amortissement des immobilisations Une entreprise qui souhaite acquérir une immobilisation a plusieurs possibilités de financement : Elle puise dans ses fonds propres pour s autofinancer Elle recourt
Plus en détailPlanification financière
Planification financière Introduction La planification financière couvre un large éventail de sujets et dans le meilleur des cas, elle les regroupe d une manière ordonnée et intégrée. Toutefois, vu qu
Plus en détailOctroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot
Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot Aucun prêteur, c'est entendu, n'octroie de crédit à une personne qu'il ne considérerait pas comme potentiellement solvable.
Plus en détailEstimation et tests statistiques, TD 5. Solutions
ISTIL, Tronc commun de première année Introduction aux méthodes probabilistes et statistiques, 2008 2009 Estimation et tests statistiques, TD 5. Solutions Exercice 1 Dans un centre avicole, des études
Plus en détailProbabilités stationnaires d une chaîne de Markov sur TI-nspire Louis Parent, ing., MBA École de technologie supérieure, Montréal, Québec 1
Introduction Probabilités stationnaires d une chaîne de Markov sur TI-nspire Louis Parent, ing., MBA École de technologie supérieure, Montréal, Québec 1 L auteur remercie Mme Sylvie Gervais, Ph.D., maître
Plus en détailCHAPITRE 4 MARCHES et EPARGNE
CHAPITRE 4 MARCHES et EPARGNE Section 1. Les marchés de capitaux I. Le marché financier Dans un sens plus étroit, c'est le marché où s'échangent les titres à moyen et long terme (valeurs mobilières) contre
Plus en détailChapitre 5. Équilibre concurrentiel et bien-être
Chapitre 5 Équilibre concurrentiel et bien-être Microéconomie III 5 1 5.1 Qu est-ce qu un équilibre souhaitable socialement? E cacité versus équité Que nous permet de dire la science économique sur l e
Plus en détailVariations du modèle de base
1 Variations du modèle de base Dans ce chapitre nous allons utiliser le modèle de base du chapitre précédent pour illustrer certaines questions économiques simples. Ainsi, le modèle précédent nous permettra
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailEconomie de l Incertain et des Incitations
Economie de l Incertain et des Incitations CHAPITRE 2 Eléments de théorie des jeux en information symétrique et asymétrique Equilibres Bayesiens - Université de Tours - M1 AGE - Arnold Chassagnon - Automne
Plus en détailCes formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente
FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailCOR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR
COR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR SABRINA CAMPANO DIRECTION: NICOLAS SABOURET ENCADREMENT : NICOLAS SABOURET, VINCENT CORRUBLE, ETIENNE DE SEVIN SOUTENANCE
Plus en détailN d anonymat : Remarques générales :
N d anonymat : Introduction à la Microéconomique Examen final Licence 1 Economie-Gestion 2010/2011 Enseignants (cours et travaux dirigés) : N. Andries, S.Billon et E. Darmon Eléments de correction Remarques
Plus en détailRégime d indemnités pour perte de salaire de RBC Assurances. Protégez vos employés tout en réalisant des économies
Régime d indemnités pour perte de salaire de RBC Assurances Protégez vos employés tout en réalisant des économies Table des matières Protégez vos employés tout en réalisant des économies 1 Qu est-ce qu
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailCOMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES?
Dossier spécial Après une reprise observée en 2012 et 2013 (de l ordre de 2 et 2,5 %), l Organisation Mondiale du Commerce prévoit une croissance du commerce international de l ordre de 4 à 4,5 % en 2014.
Plus en détailUne loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire
Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Ensemble, Entreprendre Autrement 1 1. Principes, périmètre et bonnes pratiques : ce que dit la loi Ensemble, Entreprendre Autrement 2 Des principes
Plus en détailChapitre 5. Calculs financiers. 5.1 Introduction - notations
Chapitre 5 Calculs financiers 5.1 Introduction - notations Sur un marché économique, des acteurs peuvent prêter ou emprunter un capital (une somme d argent) en contrepartie de quoi ils perçoivent ou respectivement
Plus en détail