L EFFICACITÉ DE L ANALYSE COMPORTEMENTALE
|
|
- Virginie Lévesque
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L EFFICACITÉ DE L ANALYSE COMPORTEMENTALE «La vision managériale ne suffit pas à appréhender les situations»
2 Toute action résulte d une prise de décision. Agir c est avoir pris la «décision de...» (consciemment ou inconsciemment). Les dirigeants d'entreprise valident l'importance d'évaluer à l'avance, les actions et réactions des autres acteurs (salariés, concurrents, partenaires, environnement réglementaire, etc.), par rapport aux décisions qu'ils vont prendre. Pourtant, lorsque l on demande à ces mêmes dirigeants si effectivement leurs décisions sont fonction de l'anticipation qu'ils font du comportement des autres, 9 dirigeants sur 10 reconnaissent que ce n'est pas le cas, et qu'ils ne procèdent pas à une telle analyse, même pour les décisions les plus stratégiques de leur entreprise. En d'autres termes, les décisions sont prises comme si le comportement des autres n'avait pas d'impact dans la résultat final pour leur entreprise (ses gains et ses pertes). La stratégie se résume t-elle à une simple affaire de pilotage et de comptabilité? Les approches conventionnelles de la stratégie d'entreprise (études de marché, SWOT, Océan Bleu, benchmarking, outils de pilotages, etc.) consistent à appréhender l'environnement de manière passéiste, souvent mimétique, chiffrée et figée, comme si l'environnement était un grand "plan comptable". Un plan comptable ou un logiciel de pilotage c'est rassurant, mais est-ce suffisant pour se démarquer (et réussir) dans un environnement concurrentiel, où les acteurs agissent et réagissent en fonction d'intérêts différents des nôtres, et où leurs actions ont un caractère émotionnel, donc irrationnel? Le problème pour l'entreprise c'est l'incertitude. L'incertitude résulte du comportement à caractère émotionnel, donc (à priori) imprévisible de l'être humain. De fait, les approches conventionnelles qui visent à contrôler, cloisonner, piloter, encadrer, standardiser, normaliser, réglementer, ont pour conséquence directe d'augmenter le niveau d'incertitude et d'inaptitude à la gérer. Ces approches rendent les entreprises incapables d'adaptation et les conduisent à faire les pires choix. Exemple.
3 Une entreprise de maintenance informatique souhaite se séparer de son cabinet d'avocats, car elle est insatisfaite de sa prestation de service: l'incompétence de son prestataire lui fait perdre de l'argent. Le problème, c'est que le cabinet d'avocats fait aussi parti des clients de l'entreprise de maintenance informatique. C'est à dire que leur relation se caractérise par la réciprocité: les deux entreprises s'échangent mutuellement leur service. De plus, leur partenariat de longue date les a amené à tisser un lien affectif qui se superpose à la simple dimension opérationnelle qui lie les deux entreprises. Cette décision de l'entreprise de maintenance informatique, de mettre fin au contrat de son "ami", risque non seulement de l'affecter au niveau opérationnel (baisse de son chiffre d'affaires), mais surtout au niveau émotionnel. En effet, cette décision de mettre fin au contrat du cabinet d'avocats sera perçue par son dirigeant comme une "rupture affective", ce qui peut l'amener, "en représailles", à vouloir mettre fin, à son tour, au contrat de maintenance informatique. Or, l'entreprise de maintenance informatique ne souhaite pas voir son contrat de maintenance arrêté, car une baisse de son chiffre d'affaires lui serait trop préjudiciable. L'entreprise de maintenance informatique est insatisfaite de la situation présente. En effet, elle préfèrerait choisir un autre cabinet d'avocats (dont l'incompétence ne lui ferait pas perdre de l'argent), mais cette décision peut lui être "plus ou moins profitable", ou lui coûter "plus ou moins cher", suivant la réaction qu'aura le cabinet d'avocats face à l'annulation de son contrat ("représailles" possibles). Le problème, c'est l'incertitude du comportement futur du cabinet d'avocat. Quelle sera sa réaction? Quelles seront les implications de sa réaction en terme de gain/pertes pour l'entreprise de maintenance informatique? Et donc, quelle est la meilleure décision possible pour l'entreprise de maintenance informatique (garder ou casser le contrat de l'avocat)? On voit clairement à travers cet exemple, qu'en réalité la performance d'une entreprise n'a absolument rien à voir à une logique de pilotage managérial ou d'une vision comptable des situations. D'un point de vue comptable (P&L), il est évident qu'il faut se séparer d'un prestataire qui nous coûte de l'argent, car de ce point de vue-là, il y a une séparation "logique" entre les deux prestations: l'une n'annule pas l'autre et la question de l'affecte ne se pose pas.
4 Une analyse plus profonde de la situation montre que la vision managériale de l'entreprise conduit souvent à prendre la pire décision possible. Le comportement des acteurs a un impact au niveau opérationnel, que le niveau opérationnel seul ne permet pas d'évaluer. Il faut donc analyser, à l'avance, le comportement de l'autre et mesurer son impact financier dans le résultat final (le dénouement futur de la situation). Pour cela, il faut quitter son "logiciel de pilotage", ses "croyances normalisées apprises dans son écoles de commerce" et se mettre à la place de l'autre, considérer son point de vue, comprendre ses intérêts, et penser comme lui. La théorie des jeux répond à ces questions et montre que la douleur émotionnelle est déterminante dans les choix des personnes, bien plus que les facteurs rationnels. Ce n'est pas tant combien une personne gagne, mais combien elle gagne de plus ou de moins q'une autre, qui est déterminant pour elle. La rupture d'un rapport de réciprocité, pour un nouvel équilibre asymétrique, ou l'un "paie" et l'autre "encaisse", sera refusé par le payeur, qui se sentira émotionnellement lésé (cela se joue principalement au niveau inconscient pour la personne). La situation se soldera par un nouvel équilibre: la non-coopération des deux acteurs. La théorie des jeux permet de statuer sur le dénouement le plus probable d'une situation, le meilleur résultat atteignable, les menaces possibles et les actions d'influence appropriées pour promouvoir ses intérêts par rapport à une situation donnée. La théorie des jeux permet de faire le lien entre les différents aspects d'une situation que toutes les autres disciplines à l'oeuvre dans l'entreprise sont incapables. Cette prise de conscience, par les entreprises, du lien qui relie les choses entre elles, rend ces organisations plus intelligentes et leur permet de prendre un ascendant sur les situations et les autres (concurrents, partenaires, etc.). Dans cet exemple, ce qui est déterminant pour l'entreprise de maintenance informatique, c'est le différentiel entre le coût que représente son prestataire (le prix de sa prestation et le coût induit de son incompétence) et la marge dégagée par la prestation de maintenance informatique. Si la marge dégagée par l'entreprise de maintenance informatique est supérieure au coût que génère son prestataire, alors elle devra garder son prestataire incompétent. Dans le cas contraire, elle pourra s'en débarrasser.
5 Aujourd hui des entreprises telles que Microsoft, BAE Systems ou Chevron utilisent la théorie des jeux dans le but de prendre les décisions les plus efficaces et compétitives possibles. Le ferez-vous?
6 «High-Functioning-Autism in support of Executives from Fortune-Global-500 companies, by using Game-Theory» Game theory High-functioning autism BelisariuS Strategies
La responsabilité civile et l'entreprise
La responsabilité civile et l'entreprise Dans la présente rubrique, nous poursuivons notre étude de la responsabilité civile, cette fois-ci du point de vue d'un commerce ou d'une entreprise. Les questions
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailJeux sous forme extensive (Jeux dynamiques)
(Jeux dynamiques) Plan du chapitre ( juillet 008) / éfinitions, exemples et équivalences Arbres de jeux, information et mémoire tratégies et réduction en forme normale Équilibre de Nash parfait en sous-jeux
Plus en détailBTS NRC. Négociations Relations Commerciales
Unités contenu pédagogique commun contenu pédagogique spécifique Communication écrite et orale, économie, droit, mathématiques appliquées à l économie, informatique. Mercatique (études de marché, études
Plus en détailLES CROYANCES LIMITANTES
1998 Séminaire de Robert DILTS LES CROYANCES LIMITANTES Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d espoir (ce n est pas possible), le manque de confiance
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailLe positionnement stratégique de la distribution en assurance de dommages
Chronique Assurances et gestion des risques 1 La Chaire en assurance L Industrielle-Alliance de l Université Laval est heureuse de céder l espace qui lui est réservé pour cette chronique à M. Denis Gobeille.
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailContrôle interne et organisation comptable de l'entreprise
Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants
Plus en détailDÉCLARATION DES RISQUES
DÉCLARATION DES RISQUES Tenant compte du fait que CM Marketing Associates Ltd accepte de conclure, à la base de gré à gré ( OTC ) des contrats financiers pour différences ( CFD ) et contrats de change
Plus en détailPrix d'un site Internet ou e-commerce professionnel
Prix d'un site Internet ou e-commerce professionnel Lors de vos recherches concernant le prix d'un site Internet, vous avez dû voir un peu tout et n'importe quoi. Des sites Internet (soi-disant) gratuits.
Plus en détailCRA CLENAM Club de Repreneurs
CRA CLENAM Club de Repreneurs Intervention de M. Patrick Plécy, formateur, consultant et gérant de la société MONZA CONSULTANTS (www.monza.fr) Patrick Plécy a fait sa carrière dans des entreprises industrielles
Plus en détailMarketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu
Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes
Plus en détailLes démarches qualités
Les démarches qualités Sommaire : Introduction... 2 Un levier d'innovation organisationnelle et sociale... 3 Les enjeux... 5 1.1 Le marché... 5 1.2 L innovation incrémentale (amélioration continue) ou
Plus en détailLa veille d'information sur Internet
1 La veille d'information sur Internet Cours IV : I - Une introduction générale Peter Stockinger Séminaire de Maîtrise en Communication Interculturelle à l'institut National des Langues et Civilisations
Plus en détailSupply Chain Management ou Gestion de la Chain Logistique
Supply Chain Management ou Gestion de la Chain Logistique Définition : Gestion de la Chaine Logistique «Supply Chain Management» ou «La gestion de la chaîne logistique» est fait l'activité consistant à
Plus en détailContexte : «l e-business» TECHNIQUES DE MARKETING EN LIGNE. Contexte : «l e-business» Création de valeur 02/02/12
Contexte : «l e-business» TECHNIQUES DE MARKETING EN LIGNE La notion «d E-Business» recouvre les différentes applications possibles de l'informatique faisant appel aux technologies de l'information et
Plus en détailCOMPRENDRE LES OPTIONS BINAIRES - LEÇON 1
COMPRENDRE LES OPTIONS BINAIRES - LEÇON 1 Qu est ce que sont les options binaires? Le trading d options binaires, parfois connu sous le nom des options numériques ou ORF (options de retour fixe), est une
Plus en détailContrats sur différence (CFD)
Avertissement à l attention des investisseurs 28/02/2013 Contrats sur différence (CFD) Principales recommandations Les contrats sur différence (CFD) sont des produits complexes qui ne sont pas adaptés
Plus en détailPosition du CIGREF sur le Cloud computing
Position du CIGREF sur le Cloud computing Septembre 2010 Cette position est le fruit d un groupe de réflexion ayant rassemblé les Directeurs des Systèmes d Information de grandes entreprises, au premier
Plus en détailColloque International IEMA-4
Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités
Plus en détailFORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT
FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous
Plus en détailSERVICE du COMMERCE EXTERIEUR 1
SERVICE du COMMERCE EXTERIEUR 1 PROGRAMME : L Intelligence Economique 1. Présentation de la veille et de l'intelligence économique 2. Les types de Veille 3. Le Cycle de décision 4. Les 10 commandements
Plus en détailLES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT
LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailLE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING
LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailPREVISION: NUAGEUX, AVEC UN FRONT MOBILE QUI PROGRESSE Modifiant les Défis des Applications
Sommaire De nombreuses entreprises ont investi dans des ressources informatiques en exploitant des nouvelles technologies pour supporter de nouveaux services alors que leur code existant languissait. Pour
Plus en détailInternet modifie la relation des Français. ais à leurs banques. Présentation du 12 janvier 2010
Internet modifie la relation des Français ais à leurs banques Présentation du 12 janvier 2010 1 Objectif et méthodologie Objectif Mesurer le type de services bancaires possédé par les Français Analyser
Plus en détailMon boss ne délègue pas
Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre
Plus en détailFiche de l'awt La newsletter ou lettre d'information
Fiche de l'awt La newsletter ou lettre d'information La newsletter (ou lettre d'information) est sans conteste l'un des outils de promotion de sites web les plus en vue. Encore faut-il en faire le meilleur
Plus en détailLignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA
Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA Les présentes lignes directrices formalisent les principes généraux de bonne gestion et de bonne administration
Plus en détailVEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE. ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008
VEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008 1 I- Introduction I- I Historique de la veille S informer est
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailCompagnie Méditerranéenne d Analyse et d Intelligence Stratégique
Compagnie Méditerranéenne d Analyse et d Intelligence Stratégique CMAIS - L intelligence au service de l informa on Veille Conseil Stratégie E-Réputaon Communicaon Geson des risques www.cmais-strat.com
Plus en détailBaromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne
Baromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne Contact Afci Aurélie Renard Déléguée Générale de l Afci arenard@afci.asso.fr Contacts Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé pôle Opinion
Plus en détailLES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION
LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION Trois constats généraux sont encore prépondérants dans bon nombre d organisations actuelles : Un fonctionnement avec une planification a priori et des constats a posteriori.
Plus en détailUniversité du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION. Licence Professionnelle Management des Organisations
Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION Licence Professionnelle Management des Organisations Spécialité Ressources Humaines et Conduite de Projets Formation initiale/ Contrat
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailDOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n CA 2013-07-02
DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n CA 2013-07-02 Fax : +33 (0)4 66 21 97 84 ETABLI ENTRE MONSIEUR / MADAME Domicilié(e) : ET La Société D-HABITAT «L agence immobilière» Domiciliée : Les portes d'uzès
Plus en détailDYNAMIQUE DE GROUPE et EFFICACITE COLLECTIVE
DYNAMIQUE DE GROUPE et EFFICACITE COLLECTIVE CONTENU Journée 1 matin : Communication et efficacité de travail de groupe. - Approche de la communication en groupe et de ses effets sur les modes de participation,
Plus en détailGESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002
GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 CONSULTING KPMG Consulting SA La «gestion de la relation client» (ou, en anglais, Customer Relationship Management,
Plus en détailLe licenciement économique
Le licenciement économique Définition. Le licenciement économique est un licenciement d un ou plusieurs salariés en raison des difficultés économiques que connaît une entreprise. Selon les dispositions
Plus en détailCARTE HEURISTIQUE...1 LA DÉMATÉRIALISATION DES INFORMATIONS...2
Table des matières CARTE HEURISTIQUE...1 LA DÉMATÉRIALISATION DES INFORMATIONS...2 LES ENJEUX DE LA DÉMATÉRIALISATION...2 LES AVANTAGES DE LA DÉMATÉRIALISATION...3 LES OBLIGATIONS... 3 LES TECHNOLOGIES
Plus en détailLa Création de Valeur Durable des Constructeurs Automobiles
La Création de Valeur Durable des Constructeurs Automobiles Une analyse des performances durables des constructeurs automobiles au niveau mondial RÉSUMÉ ET RÉSULTATS CLÉS www.sustainablevalue.com Auteurs
Plus en détailsentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl
Du rôle des signaux faibles sur la reconfiguration des processus de la chaîne de valeur de l organisation : l exemple d une centrale d achats de la grande distribution française Thèse présent sentée e
Plus en détailLES CRITERES CLES DU SUCCES D'UNE SEGMENTATION
LES CRITERES CLES DU SUCCES D'UNE SEGMENTATION Quel que soit le type de segmentation, une segmentation réussie se doit d'être : Opérante : les segments définis sont-ils suffisamment importants pour correspondre
Plus en détailPROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS
PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailPrésentation du cabinet
Présentation du cabinet Depuis 2005, Selenis intervient aux côtés d acteurs de référence de l assurance. Ce qui nous caractérise fait aussi notre différence : Conseil métier, nous sommes spécialistes de
Plus en détailFORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace
Les formations standardisées voulant mettre le commercial dans un «moule» et formater une personne en appliquant des techniques à la lettre sont bien différentes de ce que nous vous proposons chez Semaphorus.
Plus en détailI) Le diagnostic externe
Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux
Plus en détail3 Les premiers résultats des plans d'actions
3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.
Plus en détailFinance pour Manager non financier. Formation
Page 1/5 Formation Référence : Durée 1 : 2 semaines Date : Du 02 au 13 Novembre 2015 Type de formation : Inter-Entreprise Lieu : INTERNALE CONSULTING-CASABLANCA (MAROC) Prix et modalités de paiement Le
Plus en détailCréer son institut de Beauté Esthétique à domicile
Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile Vous souhaitez créer votre institut ou devenir indépendante en réalisant des soins à domicile? Vous ne savez pas quelles démarches entreprendre et quelles
Plus en détailFormation de dirigeant de PME
Formation Dirigeant de PME Public : Cette formation est centrée sur le chef d entreprise ou futur chef d entreprise qui a besoin de s approprier ou de perfectionner les outils du management global d entreprise
Plus en détailChapitre 2 : La structure en escalier ARISE
Chapitre 2 : La structure en escalier ARISE La structure ARISE fut à l origine mise en place dans un but pédagogique de manière à enseigner l art de la Séduction avec un outil pédagogique simple et efficace.
Plus en détail3. Le pilotage par le cash
Cependant, l allocation du capital engagé ne peut pas toujours être opérée à des niveaux très fins. Il est néanmoins intéressant de tenter de le répartir sur de plus grands périmètres (diverses activités
Plus en détailBanque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale
Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du
Plus en détailApplications de l'approche systémique à la conduite du changement dans des entreprises. Conférence UBS par Dominique Bériot 14 mars 2011
Applications de l'approche systémique à la conduite du changement dans des entreprises Conférence UBS par Dominique Bériot 14 mars 2011 Sommaire Nos sources Notion de système Logique analytique / logique
Plus en détailLes bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information
Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information 2 mai 2011 2 Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information Introduction Sur un
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailÉLÉMENTS INDICATIFS DE CORRIGÉ. BARÈME GLOBAL sur 140 points
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2011 SÉRIE : SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE LA GESTION ÉPREUVE ÉCRITE DE SPÉCIALITÉ : COMPTABILITÉ ET FINANCE D'ENTREPRISE ÉLÉMENTS INDICATIFS DE CORRIGÉ Ce dossier comporte
Plus en détailExtrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES
Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Identifiant juridique : BOI-BIC-PDSTK-10-20-70-50-20120912 DGFIP BIC - Produits et stocks - Opérations
Plus en détailExtrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables
Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailDEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing
2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailMaster "Generating Eco Innovation"
International chair in "Generating Eco-innovation" Master "Generating Eco Innovation" Programme pédagogique 2009-2010 UE 1 : Prospective et compétitivité internationale (88 heures) UE 11 : Nature de l
Plus en détailCONTRAT DE PARTENARIAT
CONTRAT DE PARTENARIAT Entre: ODIMAT, SARL au capital de 8700 dont le siège social est situé rue de l'abregain, 62800 Liévin, immatriculée au registre du commerce de Béthune sous le numéro 493 754 824
Plus en détailPartie 1 : Évaluer le marché
Partie 1 : Évaluer le marché 1.1 Établir un diagnostic de ces 2 segments. Conclure Remarques préliminaires : Forces : Faiblesses : utiliser la matrice SWOT la conclusion doit tendre vers un élargissement
Plus en détailMARKETING. Denis Pettigrew D. Se. gestion Professeur titulaire de marketing Université du Québec à Trois-Rivières
MARKETING 6 e édition Denis Pettigrew D. Se. gestion Professeur titulaire de marketing Université du Québec à Trois-Rivières Normand Turgeon Ph. D. (Marketing) Professeur titulaire Service de l'enseignement
Plus en détailComment améliorer la performance de la paie?
Comment améliorer la performance de la paie? La performance est aujourd hui un enjeu majeur des cabinets Le 67 e Congrès de l ordre des experts-comptables, qui s est tenu à Paris début octobre, a mis en
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailPROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration
PROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration Préambule La société doit faire face à de nouveaux défis pour satisfaire les
Plus en détailPROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES
29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU
Plus en détailSCIENCES DE GESTION - CLASSE TERMINALE SPÉCIALITÉ : MERCATIQUE
Annexe 3 Bulletin officiel n 12 du 22 mars 2012 SCIENCES DE GESTION - CLASSE TERMINALE SPÉCIALITÉ : MERCATIQUE Introduction La mercatique est «l ensemble des techniques et des actions grâce auxquelles
Plus en détailAVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES...
AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... Tellement à la mode depuis quelques années, le mot de créativité est peut-être déjà démodé. La publicité, la médiatisation,
Plus en détailUnité 2.2.a Qu est-ce que l écoute active? Pourquoi la qualité d écoute du tuteur est-elle importante?
Unité 2.2.a Qu est-ce que l écoute active? Pourquoi la qualité d écoute du tuteur est-elle importante? Durée Compétence A l'issue de la formation, les tuteurs: 45-75 minutes Compétence 10 : Capacité à
Plus en détailINTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE
INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE BUSINESS INTELLIGENCE : GOALS AND RESULTS OF A PILOT EXPERIMENT INVOLVING SEVEN SMEs FROM BOURGOGNE Ludovic DENOYELLE,
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailQuelles sont les missions du médecin du travail?
ROLE DU MEDECIN DU TRAVAIL INAPTITUDE et HANDICAP Dans sa pratique quotidienne, le médecin du travail doit répondre à cette interrogation constante : l'accident, la maladie, peuvent entraîner une inaptitude
Plus en détailJournée : Apport de l'intelligence Economique pour la gouvernance stratégique de l'entreprise
Journée : Apport de l'intelligence Economique pour la gouvernance stratégique de l'entreprise Evaluation de la veille au Maroc Présenté par: Saddik SOLBI 03 mars 2010 1 Contexte et Enjeux Mondialisation
Plus en détailAPOGEE, le lean à la façon Groupama
APOGEE, le lean à la façon Groupama La CGT vous donne sa version de la démarche lean de Groupama. Qu est-ce que le lean? Censé améliorer la performance économique des entreprises en conciliant l augmentation
Plus en détailTIC. Panorama. L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise
TIC (Technologies de l'information et de la communication) Panorama L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise La taille du marché (en PIB réel) des technologies
Plus en détailDU Paris II Modèle de l économie numérique. Commerce électronique et conflits de canaux de distribution
DU Paris II Modèle de l économie numérique Commerce électronique et conflits de canaux de distribution Introduction La notion de canaux de distribution : => réseaux de distribution propre : automobiles,
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailDOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n
ETABLI ENTRE Madame Monsieur Domicilié(e) : ET DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n France La Société Domiciliée : FREECADRE Les portes d'uzès - 1 rue Vincent Faita 30000 Nîmes France Représentée par
Plus en détailLa gestion du personnel
Auto-diagnostic de votre fonction Ressources Humaines Le questionnaire ci-après vous permet de préparer vos réponses avant de les saisir en ligne sur www.fact.aract.fr Evaluez la gestion des compétences
Plus en détailDéployer une Stratégie Web Globale
Lundi 23 Avril 2012 Déployer une Stratégie Web Globale au service de sa structure Plan de la présentation A) Internet en France aujourd'hui B) Internet : une constellation de moyens à disposition C) Pourquoi
Plus en détailIntérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.
Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu
Plus en détailAttentes liées aux prestations
Appel à propositions du 26/05/2014 "Diagnostics de Sécurisation des Parcours Professionnels" Attentes liées aux prestations Projet SECURI'PASS 2.0 Cette opération bénéficie du soutien financier de l'etat,
Plus en détailATELIER Forces et faiblesses de la protection sociale au Bénin
FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER Forces et faiblesses de la protection sociale au Bénin Projet d Appui Institutionnel au Ministère de la santé (AIMS)
Plus en détailComment faire plus d'argent cet été!
Comment faire plus d'argent cet été! Je vais prendre ça vraiment cool cet été. Le 23 juin, je me retire à la campagne. Je vais prendre de longues vacances. Des vacances au cours desquelles je ferai du
Plus en détail10 bonnes pratiques de sécurité dans Microsoft SharePoint
10 bonnes pratiques de sécurité dans Microsoft SharePoint SharePoint constitue certes un outil collaboratif précieux. Mais gare aux risques pour votre entreprise. 10 bonnes pratiques de sécurité dans Microsoft
Plus en détail