Communauté locale du centre-ville de Sherbrooke (C-12) Ville de Sherbrooke Ce que les chiffres nous disent 1

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1 Communauté locale du centre-ville de Sherbrooke (C-12) Ville de Sherbrooke Ce que les chiffres nous disent 1 INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Démographie La communauté locale du centre-ville de Sherbrooke était composée de personnes en La taille de la population de la communauté est demeurée sensiblement la même entre 2001 et On recense habitants au kilomètre carré. La densité de population de la ville de Sherbrooke correspond à 421 habitants/km 2. Il s agit de l une des communautés estriennes dont la densité de population est la plus élevée (9 E RANG/66). Dans l ensemble, la structure démographique de la communauté est assez différente de celle de la province. Les jeunes âgés de moins de 18 ans se retrouvent en moins forte proportion dans la communauté (9,7 % c. 20,3 %). À l opposé, les gens âgés entre 18 et 64 ans sont surreprésentés au centre-ville (76,9 % c. 65,8 %). Dans ce cas-ci, la population âgée de 18 à 29 ans est nettement en surnombre comparativement à la situation provinciale (35,7 % c. 15,8 %). Il s agit d ailleurs de la communauté estrienne où cette population se retrouve en plus forte proportion (1 ER RANG/66). La proportion de personnes âgées de 65 ans ou plus du centre-ville est comparable à celle de la province (14,6 % c. 14 %). Une baisse de 27,7 % du nombre de personnes âgées est enregistrée dans cette communauté depuis Cette baisse concerne plus particulièrement la population âgée de 75 ans ou plus. L âge médian est moins élevé dans la communauté qu au niveau provincial (33 ans c. 41 ans). La population du centre-ville de Sherbrooke est donc plus jeune que celle de la province. Âge médian : Âge à partir duquel on regroupe la moitié de la population. On retrouve 14 % plus d hommes que de femmes en 2006 au centre-ville (1 755 c ). Au Québec, la taille de la population masculine est 2 % inférieure à celle de la population féminine. Par ailleurs, il s agit de l une des communautés estriennes où l écart des effectifs entre les sexes est plus important (2 E RANG/66). En 2001, on dénombrait 6,4 % plus d hommes que de femmes dans la communauté. Langue Près d une personne sur dix ne parle pas français à la maison au centre-ville (8,9 %). Au Québec, cette proportion est beaucoup plus importante (17,3 %). Une portion non négligeable des membres de la communauté ne connaît pas le français (1,8 %). Dans l ensemble de la province, 5,2 % de la population ne peut s exprimer dans cette langue. 1 Dans la présente analyse, les données de la communauté sont comparées à celles de la province. Ces données locales ont parfois été comparées à celles des autres communautés estriennes lorsqu elles se situaient parmi les valeurs les plus faibles ou les plus élevées de la région. Centre-ville de Sherbrooke Ville de Sherbrooke 1

2 Mobilité Au moment du recensement, sept résidants sur dix (69,6 %) âgés de 1 an ou plus résidaient dans le même logement que celui qu ils habitaient douze mois auparavant. Au Québec, cette stabilité résidentielle était alors plus fréquente (87,7 %). Dans la région, il s agit de la communauté dont la population a le plus déménagé durant cette période. Le jour du recensement, moins du tiers (29,1 %) de la population du centre-ville de Sherbrooke âgée de 5 ans ou plus a demeuré dans le même logement depuis au moins cinq ans. À l échelle de la province, cette proportion était nettement supérieure (61,9 %). En Estrie, la population de cette communauté a eu le moins tendance à conserver le même logement entre 2001 et 2006 (66 E RANG/66). Dans la communauté, 34,2 % des résidants âgés de 5 ans ou plus ont mentionné lors du recensement de 2006 avoir habité dans une autre municipalité cinq ans plus tôt. Au Québec, ce phénomène était deux fois moins important (17,6 %). Par ailleurs, cette proportion de gens provenant de l extérieur était de moindre importance en 2001 au centre-ville de Sherbrooke (29,6 %). Immigration Une personne sur dix est immigrante au centre-ville (9,7 %). Au Québec, cette réalité est légèrement plus importante (11,5 %). Il s agit de l une des communautés estriennes où l immigration est la plus présente (6 E RANG/66). Les immigrants récents, soit ceux arrivés au pays entre 2001 et 2006, représente 5,4 % de la population locale. Au centre-ville, 1,9 % de la population est composée de résidents non permanents, au sens de l immigration. Dans l ensemble du Québec, cette proportion est inférieure (0,7 %). Résidents non permanents : Dans la plupart des cas, il s agit de personnes d un autre pays qui sont titulaires d un permis de travail, d un permis de séjour pour étudiants ou d un permis ministériel. Scolarité La proportion de la population âgée de 25 à 64 ans n ayant pas complété un cinquième secondaire dans la communauté est supérieure à celle de la province, tant chez les hommes (21,7 % c. 17,8 %) que chez les femmes (23,3 % c. 16,4 %). Entre 2001 et 2006, une diminution de la proportion des gens n ayant pas obtenu un diplôme de cinquième secondaire est notée au centre-ville, chez les hommes (36,9 % à 21,7 %) comme chez les femmes (34,2 % à 23,3 %). Les comparaisons temporelles des données se rapportant à la scolarité commandent la prudence puisque Statistique Canada a modifié la définition de certaines catégories de cette variable lors du recensement de 2006 afin de tenir compte de l évolution du système d éducation au pays. Emploi Au centre-ville, quatre hommes sur dix âgés de 25 à 64 ans n occupent pas un emploi (45,1 %), ce qui est à peu près deux fois plus élevé que la moyenne provinciale (21 %). Dans cette communauté estrienne, un peu plus d une femme sur deux se retrouve dans la même situation (51,3 %). À l échelle provinciale, la population féminine est nettement moins affectée par le nonemploi (30,9 %). Tant chez les hommes (1 ER RANG/66) que chez les femmes (2 E RANG/66), le taux d inoccupation sur le marché du travail observé sur ce territoire est l un des plus importants de la région. Centre-ville de Sherbrooke Ville de Sherbrooke 2

3 Emploi (suite) Le travail à temps partiel rejoint 25,7 % des travailleurs masculins âgés de 25 à 64 ans de la communauté comparativement à près d une travailleuse sur cinq du même âge (18,4 %). En Estrie, il s agit du territoire où ce phénomène est le plus présent chez les hommes (1 ER RANG/66). Par contre, la situation est relativement différente chez les femmes à l échelle régionale (57 E RANG/66). Un peu plus de cinq travailleurs masculins sur dix du centre-ville de Sherbrooke occupent un emploi dans les secteurs suivants : ventes et services, métiers, transport et machinerie, professions propres au secteur primaire, transformation, fabrication et services d utilité publique (54,8 %). Près de quatre travailleuses sur dix occupent le même type d emploi dans cette communauté (37,5 %). Au Québec, la proportion de travailleurs œuvrant dans ces secteurs est un peu plus importante chez les hommes (57,6 %) alors qu elle est un peu moins élevée chez les femmes (34,9 %). Trois travailleurs sur quatre de la communauté âgés de 15 ans ou plus occupent un emploi dans leur municipalité de résidence, soit 75,7 % d entre eux. Au niveau provincial, 46 % des travailleurs vivent cette réalité. Dans la région, le centre-ville figure parmi les territoires locaux où les travailleurs trouvent le plus d emplois dans leur milieu de vie immédiat (10 E RANG/66). Revenu Dans la communauté, 25,1 % du revenu total de la population âgée de 15 ans ou plus provient de transferts gouvernementaux. Au Québec, cette proportion est moins élevée (13,9 %). Le centreville sherbrookois est l un des territoires estriens où les gens dépendent le plus de cette source de revenu (8 E RANG/66). Transferts gouvernementaux : Revenu total provenant de tous les transferts gouvernementaux versés par l'administration fédérale, les provinces, les territoires ou les municipalités : pension de sécurité de la vieillesse et Supplément de revenu garanti, allocation et allocation au survivant; prestations du Régime de rentes du Québec ou du Régime de pensions du Canada; prestations d'assurance-emploi; prestations pour enfants; autre revenu provenant de sources publiques. À l échelle locale, 26,6 % du revenu total des personnes âgées de 15 ans ou plus vivant seules ou avec des personnes non apparentées résulte de transferts gouvernementaux. Dans l ensemble de la province, cette proportion est moindre (19,6 %). En considérant les revenus avant impôt, 56,5 % des personnes en ménages privés vivent sous le seuil de faible revenu. Au niveau provincial, le portrait est moins sombre (17,2 %). Dans la communauté, la part des gens vivant à faible revenu a augmenté depuis Elle était alors de 50,6 %. Le centre-ville est la communauté estrienne où se retrouve la plus forte proportion de gens confrontés à cette situation financière précaire (1 ER RANG/66). Seuil de faible revenu avant impôt : Seuil fixé en ajoutant 20 points de pourcentage au revenu avant impôt consacré par la famille moyenne à la nourriture, au logement et à l habillement et en tenant compte de la taille de la famille et de la taille du secteur de résidence. En analysant les revenus après impôt, 44,6 % des gens vivent sous le seuil de faible revenu au centre-ville. Au Québec, cette proportion atteint 12,5 %. Seuil de faible revenu après impôt : Seuil fixé en ajoutant 20 points de pourcentage au revenu après impôt consacré par la famille moyenne à la nourriture, au logement et à l habillement et en tenant compte de la taille de la famille et de la taille du secteur de résidence. Centre-ville de Sherbrooke Ville de Sherbrooke 3

4 Revenu (suite) Au centre-ville, le revenu médian après impôt de la population masculine est inférieur à celui de la population féminine ( $ c $). Dans la province de Québec, on remarque la situation contraire ( $ c $). Les hommes et les femmes de cette communauté doivent composer avec les revenus les plus bas de la région (66 E RANG/66). Revenu médian : Valeur centrale séparant en deux parties égales la répartition par tranche de revenu d'un groupe : la première partie regroupe les ménages ayant un revenu inférieur à la médiane et la seconde, ceux ayant un revenu supérieur à cette médiane. Revenu après impôt : Revenu total de toutes les sources (ex. : salaires et traitements, Régime des rentes du Québec, dividendes et revenus de placements, prestations d'assurance-emploi, prestations fiscales pour enfants) moins les impôts fédéraux, provinciaux et territoriaux sur le revenu payés pour l'année civile considérée. Le revenu médian des personnes âgées de 65 ans ou plus de la communauté est plus faible que celui observé chez les aînés sur tout le territoire québécois ( $ c $). Le revenu médian des jeunes âgés de 15 à 24 ans du centre-ville de Sherbrooke est un peu plus important que celui de l ensemble des jeunes Québécois (9 661 $ c $). Le revenu médian d emploi de la population masculine de 15 ans ou plus est de $ au centre-ville comparativement à $ à l échelle provinciale. En Estrie, cette communauté détient le triste record du revenu de travail le plus bas (66 E RANG/66). Le revenu médian d emploi de la population féminine de 15 ans ou plus est de $ dans la communauté alors qu il équivaut à $ au Québec. Dans la région, le centre-ville est l un des territoires où ce type de revenu est le plus faible (59e rang/66). Logement Très peu de logements sont occupés par leur propriétaire (5,9 %) comparativement à 60,1 % d entre eux dans l ensemble de la province. Il s agit du record estrien pour ce type d indicateur (66 E RANG/66). Les principales dépenses de propriété atteignent 551 $ en moyenne dans la communauté. À l échelle provinciale, ce montant est nettement supérieur, soit 817 $. Entre 2001 et 2006, les principales dépenses de propriété seraient demeurées relativement stables, selon les déclarations des propriétaires au moment des deux derniers recensements (569 $ à 561 $). Principales dépenses de propriété : Tous les frais de logement payés chaque mois par les ménages qui sont propriétaires de leur logement. Ces dépenses comprennent, par exemple, le paiement de l'hypothèque ainsi que les frais d'électricité, de chauffage et des services municipaux. La valeur moyenne des logements habités par leur propriétaire est estimée à $ au centreville. Ce montant est inférieur à celui obtenu pour l ensemble des ménages québécois étant propriétaires de leur logement ( $). Sur le territoire estrien, cette communauté figure parmi les endroits dont les montants inscrits sont les moins importants (60 E RANG/66). Valeur moyenne des logements : Montant en dollars que s'attendrait à recevoir un propriétaire s'il vendait son logement. Dans la communauté, près d un ménage locataire sur deux débourse 30 % ou plus de son revenu annuel brut au logement (47,1 %). Il s agit de la proportion régionale la plus élevée (1 ER RANG/66). Dans l ensemble de la province, cette réalité est moins présente (35,4 %). Par ailleurs, la part des locataires allouant une telle portion de leur budget à ce poste budgétaire est restée stable dans ce secteur depuis 2001 (48 % à 47,1 %). Des études portant sur la consommation des ménages considèrent qu'une part de 30 % ou plus du revenu accordée au logement représente une charge financière relativement importante pour ce poste budgétaire. Selon l'enquête sur les dépenses des ménages de Statistique Canada, les ménages québécois ont alloué en moyenne 17,2 % de leur budget pour se loger en Les gens de milieux défavorisés sont souvent contraints de dépenser une très grande proportion de leur revenu pour se nourrir, se loger et se vêtir (besoins de base). Un peu plus de deux ménages locataires sur dix (21,3 %) du centre-ville de Sherbrooke doivent consacrer la moitié de leur revenu annuel brut ou plus au logement. Au niveau provincial, cette proportion de locataires est moins importante (16 %). Centre-ville de Sherbrooke Ville de Sherbrooke 4

5 Logement (suite) Propriétaires et locataires confondus, 27,3 % des personnes seules de la communauté consacrent 50 % ou plus de leur revenu annuel brut à se loger. Dans l ensemble du territoire québécois, cette réalité est moins fréquente (19,6 %). Propriétaires et locataires réunis, 36 % des ménages du centre-ville de Sherbrooke dont le revenu après impôt est inférieur à $ allouent 50 % ou plus de leur ressources financières au logement. À l échelle provinciale, 41,6 % de ces ménages à faible revenu se retrouvent dans la même situation. Le loyer brut moyen équivaut à 446 $ pour les locataires du centre-ville. Au Québec, il est de 603 $. Dans la région, il s agit de l une des communautés où les loyers sont les plus bas (56 E RANG/66). Entre 2001 et 2006, ces dépenses de logement seraient demeurées assez stables, selon les dires des locataires lors des deux derniers recensements (444 $ à 446 $). Loyer brut : Correspond en fait au montant total moyen de tous les frais de logement payés chaque mois par les ménages locataires. Comprend le prix du loyer ainsi que les frais d'électricité, de chauffage et des services municipaux. Un peu plus d un logement sur dix (13,6 %) aurait besoin de réparations majeures, comparativement à 7,7 % d entre eux à l échelle provinciale. En Estrie, le centre-ville se trouve parmi les communautés dont la proportion de logements nécessitant ce type de rénovations est la plus élevée (5 E RANG/66). Dans ce cas-ci, il est question autant de logements occupés par leur propriétaire que par des locataires. Réparations majeures : On considère qu il s agit de réparations majeures lorsque la plomberie ou l installation électrique est défectueuse, que la charpente des murs, des planchers ou des plafonds doit être réparée, etc. Environnement En 2006, un peu plus d un travailleur du centre-ville sur dix a utilisé le transport en commun pour se rendre au travail (11,3 %). Au Québec, ce moyen de transport était privilégié alors par 12,8 % des personnes occupant un emploi. On remarque une baisse assez importante de l utilisation du transport en commun dans la communauté depuis 2001 parmi les travailleurs (23,3 % à 11,3 %). Les informations de cette section se rapportent à l indice de défavorisation sociale et matérielle développé à l Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Cet indice est obtenu à partir de six indicateurs socioéconomiques, issus du recensement. Les résultats ont été divisés en quintile (1 quintile = 20 % de la population). Le quintile 1 représente la population la plus favorisée et, inversement, le quintile 5, la plus défavorisée. Composantes matérielles 1. Le ratio emploi/population chez les 15 ans ou plus; 2. La proportion de personnes de 15 ans ou plus sans certificat ou diplôme d études secondaires; 3. Le revenu moyen* des personnes de 15 ans ou plus. * Le revenu moyen se définit comme la valeur en dollars obtenue en additionnant le revenu total déclaré par les personnes d un groupe d âge donné et en divisant cette somme par le nombre d individus faisant partie de ce groupe. Composantes sociales 1. La proportion de personnes de 15 ans ou plus vivant seules dans leur domicile; 2. La proportion de personnes de 15 ans ou plus séparées, divorcées ou veuves; 3. La proportion de familles monoparentales. L indice de défavorisation matérielle La communauté obtient le score de défavorisation matérielle «très forte» (5 e quintile). À l échelle du centre-ville, les trois composantes matérielles de l indice défavorisent la communauté comparativement au Québec : la population occupant un emploi (52,6 % c. 60,4 %), la population sans diplôme ou certificat au secondaire (26 % c. 24,9 %) ainsi que le revenu moyen des personnes ( $ c $). Centre-ville de Sherbrooke Ville de Sherbrooke 5

6 L indice de défavorisation sociale La communauté présente le score de défavorisation sociale «très forte» (5 e quintile). Comparées à la province, les trois composantes sociales de l indice désavantagent la communauté du centre-ville de Sherbrooke : les personnes seules (43 % c. 16 %), les personnes séparées, divorcées ou veuves (22,8 % c. 18,7 %) ainsi que les familles monoparentales (33,6 % c. 16,6 %). En Estrie, cette communauté est le territoire où les familles monoparentales (1 ER RANG/66) et les personnes seules (1 ER RANG/66) sont les plus présentes. En ménage privé, près de trois personnes sur quatre âgées de 65 ans ou plus déclarent vivre seules (73,8 %). Au Québec, cette proportion atteint 31,2 %. On est en présence de la communauté estrienne où la proportion de gens âgés vivant seuls est la plus importante (1 ER RANG/66). L indice de défavorisation sociale et matérielle combinées Contrairement aux statistiques précédentes qui distinguent les deux dimensions de l indice de défavorisation (analyse en composante principale), cette analyse par «grappe» propose un classement global des 66 communautés sur l ensemble des six indicateurs en présence. Voici les caractéristiques des quatre groupes ainsi constitués : Groupe 1 : Favorisé sur le plan matériel et composante sociale autour de la moyenne Groupe 2 : Favorisé sur le plan matériel et composante sociale défavorisée Groupe 3 : Défavorisé sur le plan matériel et composante sociale autour de la moyenne Groupe 4 : Défavorisé sur le plan matériel et sur le plan social En combinant les résultats des deux composantes de l indice, la communauté du Centre-ville de Sherbrooke est classée parmi les territoires défavorisés à la fois sur le plan matériel et sur le plan social (groupe 4). Version finale révisée Mercredi, 28 mai 2010 P:\DCAA\Espace de travail\ginette DC\Site internet Tableau de bord\faits saillants\sherbrooke\chiffres disent_centre-ville.doc Centre-ville de Sherbrooke Ville de Sherbrooke 6

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