La révision de la législation sur les médicaments. Position du BEUC

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La révision de la législation sur les médicaments. Position du BEUC"

Transcription

1 The European Consumers Organisation BEUC/X/009/ février, 2002 Contact :Charlotte de Roo cro@beuc.org Lang :FR La révision de la législation sur les médicaments Position du BEUC Bureau Européen des Unions de Consommateurs, Avenue de Tervueren 36, bte 4, B-1040 Bruxelles Tel: +32(0) , Fax: +32(0) , consumers@beuc.org, Europäischer Verbraucherverband Neytendasamtök Evrópu Euroopan Kuluttajaliitto Europese Consumentenorganisatie Európai Fogyasztók Szervezete Europejska Organizacja Konsumencka Organización Europea de Consumidores Evropska potrošniška organizacija E????aïk? Opy???s? Kata?a??t?? Organização Europeia de Consumidores Den Europeiske Forbrukerorganisasjonen Den Europæiske Forbrugerorganisation Organizzazione Europea dei Consumatori Den Europeiska Konsumentorganisationen

2 2 Le BEUC, le Bureau Européen des Unions de consommateurs, représente 32 organisations de consommateurs nationales et indépendantes issues de plus de 20 pays européens. Le BEUC et ses membres s intéressent activement aux questions de santé publique depuis de nombreuses années. Quelques-uns de nos membres publient des magazines d informations générales sur la santé à l intention des consommateurs. Nous présentons dans ce document nos préoccupations et suggestions dans le contexte de la révision des directives relatives aux médicaments. Contexte La révision concerne les directives suivantes:? La réglementation du Conseil (EEC) No 2309/93 du 22 juillet 1993 établissant les procédures communautaires pour l'autorisation et la surveillance des médicaments à usage humain et à usage vétérinaire et instituant une agence européenne pour l'évaluation des médicaments.? Proposition de directive du Parlement européen et du Conseil modifiant la directive 2001/83/EC instituant un code communautaire relatif aux médicaments à usage humain.? Proposition de directive du Parlement européen et du Conseil modifiant la directive 2001/82/EC instituant un code communautaire relatif aux médicaments à usage vétérinaire. Le BEUC craint que les propositions actuelles ne permettent pas de trouver un équilibre entre les intérêts de santé publique et de l industrie. Nous sommes particulièrement inquiets des changements proposés sur l information directe aux patients. Nous sommes en outre préoccupés concernant la récolte des données sur la pharmacovigilance et l avenir de l AEEM

3 3 L AEEM : l Agence européenne pour l évaluation des médicaments. Réglementation du Conseil (EEC) No 2309/93 du 22 juillet La santé publique doit prévaloir sur la promotion des médicaments En ce qui concerne le secteur des médicaments, l'ue est compétente pour la politique de santé publique et la politique de l'industrie. Ces deux domaines sont importants, mais une distinction doit être faite entre les tâches de la Commission et celles des autres institutions afin de scinder et identifier clairement les différentes questions politiques que posent ces deux domaines. Aux niveaux européen et national, il y a une tendance de plus en plus marquée à séparer la responsabilité de la sécurité alimentaire de celle de l'industrie alimentaire ou agricole. Nous souhaitons la même séparation pour ce qui concerne les médicaments. Les questions liées à l'autorisation, l'évaluation, la qualité, l'efficacité, la promotion, la livraison et l'approvisionnement de médicaments devraient en tout premier lieu être examinées dans le contexte de la politique de santé. Ceci implique entre autres que la responsabilité première de l'aeem à la Commission devrait relever de la DG SANCO et non de la DG entreprise. La pharmacovigilance un outil crucial pour garantir des médicaments plus sûrs L amendement proposé de l article 49 de la réglementation 2309/93 sur le fonctionnement de l Agence européenne pour l évaluation des médicaments (AEEM) rendrait cette dernière responsable de la coordination de l évaluation, de la supervision et de la pharmacovigilance 1 des médicaments. Les articles 21 et 22 traitent de la responsabilité du titulaire de l autorisation de commercialisation de signaler tout effet indésirable, y compris des réactions indésirables graves suspectées que le titulaire de l autorisation peut raisonnablement connaître. Le système de pharmacovigilance serait réglementé par l article 102 amendé de la directive sur les médicaments à usage humain. Cet article stipule que les États membres seront obligés d introduire les données qu ils récoltent sur les effets secondaires des médicaments dans une base de données en liaison directe avec l AEEM et les autorités de réglementation compétentes dans d autres États membres. Nous préconisons un rôle beaucoup plus important pour l AEEM en matière de coordination de la pharmacovigilance. Nous nous réjouissons du fait que les autorités nationales et l industrie devront remplir des conditions rigoureuses s agissant de la qualité de l information qu elles devront fournir. Toutefois, la transparence de ces données nous préoccupe. Les patients ont le droit d être informés de tout effet secondaire causé par un médicament qui est sur le marché. Il faudrait mieux communiquer les diverses réactions aux professionnels de la santé, en vue de garantir une mise à jour et la diffusion des informations. Partant, la base de données de l AEEM devrait au moins être accessible aux organisations qui ont un intérêt légitime pour la santé, par exemple, les organisations de consommateurs. Il est nécessaire de prendre en compte davantage de réactions de la part des professionnels de la santé et des patients qu'auparavant, en particulier pendant les premières années après la mise sur le marché d un nouveau médicament. Cette phase est cruciale, étant donné que les effets à long terme ne sont pas connus. 1 La pharmacovigilance est la récolte des informations sur les réactions indésirables à un médicament.

4 4 La surveillance des effets secondaires devient encore plus importante avec la nouvelle procédure rapide et la suppression de l obligation de réévaluer après cinq ans les médicaments déjà approuvés. Quelques-uns de nos membres ont signalé une diminution marquée des notifications des médecins sur les effets secondaires des médicaments, tendance qui a également été confirmée récemment dans un article publié dans The Lancet 2, qui se concentre sur les types de réactions indésirables habituellement peu signalées. Bien que l article conclue que les effets secondaires graves sont cinq fois plus susceptibles d être signalés que les effets non graves, nous estimons que même les effets non graves comme les tremblements, les bouffées de chaleur, les palpitations et les vertiges peuvent être très inconfortables pour les patients. Un avertissement permettra un choix plus averti et moins de crainte par rapport à ces effets. Fournir aux patients la possibilité de communiquer les effets indésirables directement aux autorités nationales ou à l AEEM facilitera la récolte d'un plus grand nombre d informations utiles. Une étude mentionnée dans le BMJ 3 conclut que les notifications par le patient pourraient contribuer à une détection plus précoce des réactions indésirables connues aux médicaments, mais pas nécessairement comme étant les plus courantes ou méconnues. Ce type de système pourrait être mis en place par l introduction d un numéro gratuit, d un site web donnant la possibilité de communiquer les réactions, suivant en cela l exemple de la Food and Drug Administration aux États-Unis, ou par l ajout d un formulaire-réponse à la brochure destinée au patient. Ouverture et participation publique On constate un manque de transparence et une absence de participation du consommateur dans la future méthode de travail de l AEEM. De manière générale, il faudrait également plus d ouverture dans le débat sur les médicaments. Il est nécessaire que les experts publics, comme les organisations de consommateurs, prennent part au débat sur les risques et les avantages des médicaments. Nous sommes inquiets concernant les critères de sélection des différents acteurs qui feront partie du comité de gestion. Nous croyons qu il faut garantir que les participants ne proviennent pas de groupes d intérêts limités et soient représentatifs sur le plan géographique afin d être en mesure de communiquer une perspective européenne. Nous estimons que les organisations de consommateurs sont des parties prenantes légitimes, et que leur participation au conseil de gestion de l AEEM doit donc être envisagée. Les consommateurs sont des patients potentiels, anciens, futurs ou actuels. Les organisations de consommateurs ont une vue d ensemble, et leur rôle est de protéger tous les consommateurs. Transparence Le BEUC estime que les raisons invoquées pour refuser une autorisation doivent être rendues publiques, de même que celles avancées pour ré-accepter un médicament après un refus. Les refus pour raisons insignifiantes, par ex. un problème de texte d une brochure ou une indication de date etc. devraient être rendus publics immédiatement. 2 The Lancet, Vol 358 Décembre 1, 2001, Prescription-event monitoring and reporting of adverse drug reactions. 3 BMJ (The British medicinal Journal) egberts et al. 313 (7056)530

5 5 Procédure rapide La nécessité d une procédure rapide reste discutable. Pour que la procédure rapide n'augmente pas seulement le nombre global de médicaments sur le marché, il faut mettre en place des systèmes veillant à ce que la procédure rapide ne soit pas utilisée à mauvais escient. La procédure rapide ne peut être utile que pour une approbation plus rapide des médicaments traitant des maladies mortelles. Elle doit alors s accompagner d une pharmacovigilance particulièrement rigoureuse. Des délais d approbation, une surveillance plus étroite et d'autres points encore doivent également être introduits pour vérifier qu un médicament se concentre réellement sur une maladie spécifique et ne puisse être utilisé pour des maladies plus conventionnelles. Une transparence absolue est exigée après l approbation de ces médicaments. Les médicaments qui font l'objet d une procédure rapide devraient par ailleurs être soumis à un étiquetage particulier et faire l objet d un consentement étayé par des informations. Proposition de directive du Parlement européen et du Conseil modifiant la directive 2001/83/EC instituant un code communautaire relatif aux médicaments à usage humain. Les restrictions actuelles concernant la publicité des médicaments sur prescription auprès du public ne doivent pas être levées La législation actuelle n autorise pas la publicité directe des médicaments sur prescription auprès du public. Mais l article 88 de la directive révisée sur les médicaments à usage humain amende cette interdiction. L'article permettra à l industrie pharmaceutique, si elle y est autorisée par les autorités nationales, à diffuser des informations sur le Sida, le diabète et l asthme à des groupes de patients particuliers. L AEEM doit en être informée et doit s y opposer dans les trente jours le cas échéant. Un rapport d évaluation après un nombre d années encore indéterminé définira si cette approche a été un succès. Le BEUC est convaincu que l adoption de l article 88 marquera le début de la publicité directe des médicaments aux consommateurs (DTCA). Nous sommes opposés à toute communication directe entre l industrie et les patients concernant les médicaments. Ce type de communication relève des autorités nationales et de l AEEM. Les patients ont besoin d être mieux informés sur les médicaments et les traitements, mais il est inopportun que l industrie pharmaceutique se charge de cette information. Tout en reconnaissant que l information des patients est une question très importante, et que les patients sont de plus en plus demandeurs pour participer activement au choix de traitement et des médicaments proposés par le système de soins de santé, nous pensons que les propositions de la Commission sont discutables. Les patients sont répartis en plusieurs catégories de manière à définir leurs besoins spécifiques d information. Dans ce contexte, le patient expert bénéficie de plus d attention. Le BEUC s inquiète des nouvelles compétences que l on semble attribuer aux patients experts, par exemple que ces patients ont des connaissances supérieures ou égales à celles du médecin et sont presque capables de se traiter eux-mêmes. En réalité, la majorité des patients n ont pas suivi d études médicales et ne sont pas formés pour juger des informations qui peuvent leur être fournies. Le BEUC craint également que les besoins des autres patients soient oubliés ou négligés dans ce débat d experts. Le choix d informations offert par l industrie peut ne pas être totalement influencé par des considérations commerciales, mais il le sera certainement dans une certaine mesure. Il n y a aucune raison de supposer que les informations offertes par l'industrie correspondront aux besoins des patients.

6 6 Les propositions actuelles concernant l information semblent se baser davantage sur une analyse de ce qui est avantageux pour l industrie plutôt que pour les consommateurs et les patients. Or, nous suggérerions de commencer par une analyse des besoins en information du patient pour réfléchir aux meilleurs moyens de les satisfaire. Il s agirait dans ce cas d une approche basée sur la santé, et non sur le développement industriel. Il ne faut pas confondre l augmentation des volumes de ventes avec l accroissement du bienêtre des patients. Les médicaments améliorent le bien-être des patients uniquement si ces derniers reçoivent les médicaments adéquats au moment adéquat et dans les circonstances adéquates. La publicité directe ne permettra pas d atteindre pas cet objectif. Les patients jouent un rôle déterminant dans le traitement de leur maladie, mais ils représentent également un groupe incroyablement vulnérable. Il faut leur fournir les outils adéquats afin qu'ils puissent choisir en toute connaissance de cause leur traitement et leurs médicaments. La nouvelle législation doit se concentrer sur la qualité des informations à fournir à l avenir à tous les patients. Des informations plus spécifiques et détaillées sur les médicaments et les traitements doivent être élaborées par des institutions indépendantes, comme les autorités nationales et l AEEM, pour satisfaire les besoins des patients qui souhaitent en savoir davantage. La différence entre la publicité et l information La publicité vise à augmenter les ventes d un médicament et fait pression sur les consommateurs ; la devise étant «restez avec nous, nos produits sont les meilleurs». Il ne faut pas la confondre avec l information, qui vise simplement à faciliter un choix. Un rapport rédigé par notre membre britannique Consumers Association (CA) sur la promotion des médicaments fournis sur prescription 4 conclut qu aux États-Unis, où les médicaments sur prescription font déjà l objet de publicité, les dépenses en médicaments ont augmenté de 42,7 milliards d USD en cinq ans, de 1993 à 1998, soit une augmentation de 84 %, dont 9,3 milliards d USD représentent les 10 médicaments les plus vantés directement aux consommateurs. À notre avis, il est fort probable qu aucun système de santé des États membres ne pourrait gérer le coût d une augmentation analogue, si la publicité était autorisée en Europe. Il y a très peu d informations de qualité disponibles pour les patients relatives aux médicaments fournis sur prescription. Les sociétés pharmaceutiques prétendent que la publicité comblera cette lacune. Or, d après la recherche de CA, l information fournie par la publicité est généralement de qualité médiocre. Dans une enquête récente de CA, seuls 6 % des sondés affirment qu ils feraient confiance aux sociétés pharmaceutiques pour fournir une information précise sur le meilleur traitement. La recherche a également constaté que la publicité cible une série limitée de maladies et de médicaments disponibles pour les traiter traitements pour les allergies, la calvitie, les ulcères, et le contrôle du cholestérol par exemple. La publicité ne fait pas prendre mieux conscience concernant une série de problèmes de santé et de traitements. Les médicaments qui font l objet du plus de publicité sont ceux qui ont le plus de succès, même si un médicament concurrent ou un médicament générique offre de meilleurs résultats. La tendance qui consiste à sensibiliser aux marques par la publicité n aiderait pas à sensibiliser le public quant aux maladies et aux traitements. 4 Rapport de Consumers Association (CA, UK) : Promotion des médicaments sur prescription : santé publique ou profit privé(juillet 2001).

7 7 Une meilleure information pour les patients Nous demandons que les lacunes relatives à l information aux patients trouvent une réponse le plus rapidement possible. Une information de qualité émanant de sources indépendantes, sur les effets secondaires, les interactions, les prix et la comparabilité est nécessaire. Nous recommandons fermement au Parlement européen et au Conseil de privilégier l intérêt du public plutôt que celui de l industrie pharmaceutique lors de l examen des besoins en information. Les notices destinées aux patients sont une source vitale d information pour les patients et sont rendues obligatoires par le droit européen. Elles devraient fournir aux consommateurs des informations détaillées pour un usage correct et être rédigées en des termes compréhensibles. Toutefois, un rapport (Health Which 5 ) montre que dans la pratique, ce n est pas le cas. Elles sont mal conçues, sont rédigées dans un jargon trop médical et ne donnent pas d informations claires, en particulier sur les effets secondaires. Les sociétés pharmaceutiques sont limitées par les exigences spécifiques de la directive de l UE concernant les brochures. Toutefois, des mesures simples les rendraient plus lisibles. Les patients devraient être impliqués dans le processus de rédaction ; les sociétés pharmaceutiques devraient par exemple tester la clarté de leurs brochures sur les patients. Le BEUC suggère que l industrie, plutôt que de dépenser de l argent en publicité, finance une organisation indépendante qui récolterait des informations sur les effets secondaires, les prix et les interactions entre les médicaments et communiquerait les informations disponibles à l AEEM et aux autorités nationales compétentes. Ceci aiderait réellement les patients dans leur recherche du meilleur médicament. Les médicaments génériques La directive sur les médicaments destinés aux humains propose dans son article 10 amendé de permettre la commercialisation des médicaments génériques au plus tard 11 ans après l autorisation de mise sur le marché du médicament original. L article 30 de la même directive vise à promouvoir l harmonisation des médicaments génériques en permettant aux États membres de dresser annuellement une liste des nouveaux médicaments génériques à approuver par la Commission. Les médicaments génériques sont autorisés au titre de la procédure de reconnaissance mutuelle (MRP). L information relative à l utilisation et au produit doit dès lors être harmonisée. Le BEUC appuie les changements proposés par la directive sur les médicaments destinés aux humains, même si les délais pour introduire les produits génériques sur le marché seront encore plus longs qu'auparavant. L ancien système autorisait l'accès au marché des médicaments génériques après 6 ans, mais les États membres pouvaient introduire des règles différentes. La nouvelle proposition harmonisera ces règles. Nous estimons que l introduction de médicaments génériques sur le marché doit être facilitée pour garantir aux patients l accès à des médicaments abordables à des conditions équitables. Toutefois, la proposition de diminuer les tests concernant la sécurité de ces produits ne nous convainc pas. Nous demandons une définition claire des médicaments génériques et un moyen aisé pour les consommateurs d être informés sur la disponibilité. 5 Étude réalisée par Consumer Association publiée par Health Which, UK (août 2000)

BEUC/X/065/2000 02 Janvier, 2001 Contact : Machiel van der Velde Email : legal@beuc.org Lang : FR. The European Consumers Organisation

BEUC/X/065/2000 02 Janvier, 2001 Contact : Machiel van der Velde Email : legal@beuc.org Lang : FR. The European Consumers Organisation The European Consumers Organisation BEUC/X/065/2000 02 Janvier, 2001 Contact : Machiel van der Velde Email : legal@beuc.org Lang : FR Position du BEUC sur la Proposition par la Commission européenne d

Plus en détail

Commentaires du BEUC sur la proposition de Règlement sur les refus d'embarquement et d'annulation ou de retard important d'un vol 1

Commentaires du BEUC sur la proposition de Règlement sur les refus d'embarquement et d'annulation ou de retard important d'un vol 1 BEUC/X/018/2002 14 mai, 2002 Contact :Victoria Villamar Email : vvi@beuc.org Lang : FR The European Consumers Organisation Commentaires du BEUC sur la proposition de Règlement sur les refus d'embarquement

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Article 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25

Article 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25 Tableau comparatif Décret n 2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

Bonnes pratiques de l'ocde pour la gestion des sinistres d assurance

Bonnes pratiques de l'ocde pour la gestion des sinistres d assurance DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES ET DES ENTREPRISES Bonnes pratiques de l'ocde pour la gestion des sinistres d assurance Ces bonnes pratiques, préparée par le Comité des assurance de l'ocde, ont été

Plus en détail

Procédures d enregistrement des médicaments

Procédures d enregistrement des médicaments Vie du Médicament Procédures d enregistrement des médicaments Avis scientifiques Essais cliniques ATU Inspections AMM Vigilances Contrôle Veille Sanitaire Procédures d enregistrement Soumission du dossier

Plus en détail

Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada

Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada POLITIQUE DE L AMC Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada Les pénuries de plus en plus graves de médicaments d ordonnance des dernières années et les ruptures de stocks

Plus en détail

Vers une nouvelle génération de programmes d assurance médicaments. Présenté par Pierre Marion

Vers une nouvelle génération de programmes d assurance médicaments. Présenté par Pierre Marion Vers une nouvelle génération de programmes d assurance médicaments Présenté par Pierre Marion AGENDA Évolution des régimes d assurance médicaments La tendance actuelle Statistiques sur l utilisation des

Plus en détail

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB

Plus en détail

Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques

Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques DIRECTION DE L EVALUATION DE LA PUBLICITE, DES PRODUITS COSMETIQUES ET DES BIOCIDES Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques Préambule Mise à jour 2010 Au plan mondial,

Plus en détail

Gestion de crise en Pharmacovigilance

Gestion de crise en Pharmacovigilance Cours DIU FIEC 16 octobre 2008 Véronique LAMARQUE PFIZER Senior Directeur Évaluation de Santé, Sécurité et Gestion de Risque Une définition... parmi d autres Une crise est un événement qui survient quand

Plus en détail

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

Europe du médicament ******** les enjeux du moment

Europe du médicament ******** les enjeux du moment Europe du médicament ******** les enjeux du moment Danielle Bardelay La revue Prescrire GRAS Bruxelles - 10 mai 2006 1 Qui autorise les médicaments vendus dans l UE? des autorisations de mise sur le marché

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

POSITION DE DETIC CONCERNANT LA PROPOSITION DE LA COMMISSION ET LES AMENDEMENTS ADOPTES PAR LE CONSEIL ET LE PARLEMENT EUROPEEN EN PREMIERE LECTURE

POSITION DE DETIC CONCERNANT LA PROPOSITION DE LA COMMISSION ET LES AMENDEMENTS ADOPTES PAR LE CONSEIL ET LE PARLEMENT EUROPEEN EN PREMIERE LECTURE REACH POSITION DE DETIC CONCERNANT LA PROPOSITION DE LA COMMISSION ET LES AMENDEMENTS ADOPTES PAR LE CONSEIL ET LE PARLEMENT EUROPEEN EN PREMIERE LECTURE Nous avons pris connaissance avec intérêt des améliorations

Plus en détail

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures

Plus en détail

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D

Plus en détail

Réglementation des jeux de casino

Réglementation des jeux de casino Chapitre 4 Section 4.01 Commission des alcools et des jeux de l Ontario Réglementation des jeux de casino Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.01 du Rapport annuel 2010 Contexte

Plus en détail

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant : Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations

Plus en détail

Garantir aux enfants une protection maximale. Commission européenne DG Entreprises et industrie

Garantir aux enfants une protection maximale. Commission européenne DG Entreprises et industrie SÉCURITÉ DES JOUETS Garantir aux enfants une protection maximale Commission européenne DG Entreprises et industrie Fotolia Orange Tuesday L Union européenne (UE) compte environ 80 millions d enfants de

Plus en détail

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)

Plus en détail

Estelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1

Estelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés

Plus en détail

Objet : Groupe de travail antifraude de l assurance-automobile Rapport d étape

Objet : Groupe de travail antifraude de l assurance-automobile Rapport d étape Le 23 août 2012 Monsieur Fred Gorbet Président, Comité directeur Groupe de travail antifraude de l assurance-automobile de l Ontario Raymond G. Kearns, FPAA Directeur, Risque et conformité, Canada Tél.

Plus en détail

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

LE TELEGRAMME DU CEPLIS

LE TELEGRAMME DU CEPLIS LE TELEGRAMME DU CEPLIS Conseil Européen des Professions Libérales European Council of the Liberal Professions Europäischer Rat der Freien Berufe Le Conseil Européen des Professions Libérales Coudenberg

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

protection consommateurs commerce électronique Principes régissant la dans le Le cadre canadien des

protection consommateurs commerce électronique Principes régissant la dans le Le cadre canadien des Principes régissant la protection consommateurs des dans le commerce électronique Le cadre canadien Groupe de travail sur la consommation et le commerce électronique Principes régissant la protection

Plus en détail

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur;

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur; Arrêté royal du 4 décembre 2012 concernant les prescriptions minimales de sécurité des installations électriques sur les lieux de travail (M.B. 21.12.2012) Section I er. - Champ d'application et définitions

Plus en détail

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien

Plus en détail

APERÇU DES OBLIGATIONS

APERÇU DES OBLIGATIONS Avis sur les règles Note d orientation Règles des courtiers membres Destinataires à l'interne : Affaires juridiques et conformité Détail Formation Haute direction Institutions Vérification interne Personne-ressource

Plus en détail

EXPERTISE DU RÉSEAU FADOQ EN MATIÈRE DE RÉSIDENCES POUR AÎNÉS... 2

EXPERTISE DU RÉSEAU FADOQ EN MATIÈRE DE RÉSIDENCES POUR AÎNÉS... 2 TABLES DES MATIÈRES EXPERTISE DU RÉSEAU FADOQ EN MATIÈRE DE RÉSIDENCES POUR AÎNÉS... 2 1. LA DÉFINITION D UNE RÉSIDENCE POUR PERSONNES ÂGÉES ET LES DISPOSITIONS AU BAIL.... 4 A) "PERSONNES DE 65 ANS ET

Plus en détail

L accès aux nouveaux médicaments dans les régimes publics d assurance médicaments : au Canada et dans des pays comparables

L accès aux nouveaux médicaments dans les régimes publics d assurance médicaments : au Canada et dans des pays comparables L accès aux nouveaux médicaments dans les régimes publics d assurance médicaments : au Canada et dans des pays comparables RAPPORT ANNUEL 2015 Préparé avec l aide de : Table des matières Avant-propos....

Plus en détail

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version

Plus en détail

Proposition en vue de la préparation du budget (2015)

Proposition en vue de la préparation du budget (2015) Proposition en vue de la préparation du budget (2015) Préparé pour : le Comité permanent des finances de la Chambre des communes Préparé par : La Canadian Independent Petroleum Marketers Association Sommaire

Plus en détail

FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION

FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION Commentaires de la FEFAC sur la proposition de Règlement du

Plus en détail

Que signifie être membre du Programme de l OMS pour la pharmacovigilance internationale

Que signifie être membre du Programme de l OMS pour la pharmacovigilance internationale Que signifie être membre du Programme de l OMS pour la pharmacovigilance internationale Historique Le Programme de l OMS pour la pharmacovigilance internationale a été mis sur pied en 1968 suite au désastre

Plus en détail

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments

Plus en détail

Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation

Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Annexe E Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Pour une gestion orientée vers l'impact Guide pratique de S&E des projets Table des matières

Plus en détail

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des

Plus en détail

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Texte allemand : EQM/Misereor, janvier 2012 Traduction : Service des langues de MISEROR, mars 2012 Ce document

Plus en détail

CaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL. Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence

CaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL. Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence CaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence 4 CaLP ARGENT TRAVAILLER CONTRE AVEC TRAVAIL LES BANQUES

Plus en détail

Cadre Stratégique Commun 2014-2020

Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des Régions d Europe Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Contribution de l ARE au document de travail des services de la Commission Juillet 2012 Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des

Plus en détail

B. REGLEMENTS D EXECUTION

B. REGLEMENTS D EXECUTION MEDICAMENTS - B. REGLEMENTS D EXECUTION 1 B. REGLEMENTS D EXECUTION Sommaire Règlement grand-ducal du 29 avril 1983 fixant la composition et le fonctionnement de la commission d experts chargée de donner

Plus en détail

PRÊT DE TITRES: CHECKLIST A L ATTENTION DES PRETEURS DE TITRES

PRÊT DE TITRES: CHECKLIST A L ATTENTION DES PRETEURS DE TITRES PRÊT DE TITRES: CHECKLIST A L ATTENTION DES PRETEURS DE TITRES Mai 2011 1 l PRET DE TITRES LISTE A L ATTENTION DES PRETEURS INTRODUCTION Ce guide a pour but de rassembler les principales questions à se

Plus en détail

Big Data et le droit :

Big Data et le droit : Big Data et le droit : Comment concilier le Big Data avec les règles de protection des données personnelles? CRIP - Mercredi 16 Octobre 2013 Yann PADOVA, avocat Baker & McKenzie SCP est membre de Baker

Plus en détail

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Strasbourg, 11.V.2000 Préambule Les Etats membres du Conseil de l'europe et les autres Etats Parties

Plus en détail

12.12.2008 Journal officiel de l Union européenne L 334/7

12.12.2008 Journal officiel de l Union européenne L 334/7 12.12.2008 Journal officiel de l Union européenne L 334/7 RÈGLEMENT (CE) N o 1234/2008 DE LA COMMISSION du 24 novembre 2008 concernant l examen des modifications des termes d une autorisation de mise sur

Plus en détail

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique CCRRA Le 30 mars 2004 Madame, Monsieur, Au nom du Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance (CCRRA), je suis heureux de vous annoncer la publication d un document de consultation

Plus en détail

Prise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique

Prise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique COUNCIL OF EUROPEAN MUNICIPALITIES AND REGIONS CONSEIL DES COMMUNES ET REGIONS D EUROPE Inscrit au registre des représentants d intérêts de la Commission européenne. Numéro d inscription : 81142561702-61

Plus en détail

Relations verticales au sein de la chaîne d'approvisionnement alimentaire: Principes de bonnes pratiques

Relations verticales au sein de la chaîne d'approvisionnement alimentaire: Principes de bonnes pratiques Relations verticales au sein de la chaîne d'approvisionnement alimentaire: Principes de bonnes pratiques Proposés par les principaux membres de la plateforme interentreprises AIM CEJA CELCAA CLITRAVI Copa

Plus en détail

DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL

DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL L 66/16 DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 22 février 1999 relative au rapprochement des législations des États membres sur les denrées et ingrédients alimentaires traités par ionisation

Plus en détail

Sportifs et médicaments Questions et réponses

Sportifs et médicaments Questions et réponses Sportifs et médicaments Questions et réponses Que puis-je faire pour éviter d'être contrôlé positif suite à la prise d'un médicament? Il y a deux façons de se procurer des médicaments : soit sur ordonnance

Plus en détail

Document de travail des services de la Commission. Consultation sur les comptes bancaires

Document de travail des services de la Commission. Consultation sur les comptes bancaires COMMISSION EUROPÉENNE Direction générale du marché intérieur et des services Direction générale de la santé et des consommateurs 20.3.2012 Document de travail des services de la Commission Consultation

Plus en détail

Autorisation de Mise sur le Marché de Médicaments à usage humain

Autorisation de Mise sur le Marché de Médicaments à usage humain Autorisation de Mise sur le Marché de Médicaments à usage humain Avis aux demandeurs Septembre 2014 ANSM - Septembre 2014 - AMM/Avis aux demandeurs www.ansm.sante.fr 1/53 TABLE DES MATIERES GLOSSAIRE...

Plus en détail

Importations parallèles: intérêt du consommateur et intégration communautaire

Importations parallèles: intérêt du consommateur et intégration communautaire «Le traitement des restrictions verticales en droit comparé de la concurrence» Université Paris II Panthéon Assas & University College London Paris, le 23 mai 2008 Importations parallèles: intérêt du consommateur

Plus en détail

2 Service de Pharmacologie médicale et toxicologie 191, avenue du doyen Gaston Giraud 34295 Montpellier cedex 5

2 Service de Pharmacologie médicale et toxicologie 191, avenue du doyen Gaston Giraud 34295 Montpellier cedex 5 1 Les allégations de santé des compléments alimentaires sont désormais réglementées Décembre 2012 14 Décembre 2012, une mini révolution dans l étiquetage des denrées alimentaires : toute allégation d un

Plus en détail

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Mise à jour : avril, 2015 Version 1.0 HISTORIQUE DES RÉVISIONS Le présent document sera régulièrement révisé dans le cadre des activités d amélioration

Plus en détail

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS Le 12 septembre 2013 Introduction ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS PRINCIPE DIRECTEUR N O 2 DE L ACFM NORMES MINIMALES DE SURVEILLANCE DES COMPTES Le présent Principe directeur fixe

Plus en détail

Évaluation du régime général d assurance-médicaments

Évaluation du régime général d assurance-médicaments Évaluation du régime général d assurance-médicaments mémoire présenté à la Commission parlementaire des affaires sociales par la Fédération de médecins omnipraticiens du Québec LE RÉGIME GÉNÉRAL d assurancemédicaments

Plus en détail

Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée

Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité

Plus en détail

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre

Plus en détail

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plus en détail

Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives

Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Fabien Roy 1 Dans l Union européenne, les dispositifs médicaux sont gouvernés par trois directives qui sont destinées à

Plus en détail

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Le 28 mars 2006 Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Nous sommes heureux d avoir l occasion de présenter nos commentaires

Plus en détail

Règlement d INTERPOL sur le traitement des données

Règlement d INTERPOL sur le traitement des données BUREAU DES AFFAIRES JURIDIQUES Règlement d INTERPOL sur le traitement des données [III/IRPD/GA/2011(2014)] REFERENCES 51 ème session de l Assemblée générale, résolution AGN/51/RES/1, portant adoption du

Plus en détail

On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main!

On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main! Finances Achats e-commerce Santé Tourisme Véhicules Shutterstock Immobilier énergie Justice On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main! brochure réalisée

Plus en détail

Table des matières chronologique volume 1 médicaments

Table des matières chronologique volume 1 médicaments volume 1 médicaments vii Lois - versions consolidées Loi du 15 mai 2007 relative à la répression de la contrefaçon et de la piraterie de droits de propriété intellectuelle........... 3 Chapitre I. Disposition

Plus en détail

Pour le maintien de la cohésion et de la cohérence régionale

Pour le maintien de la cohésion et de la cohérence régionale Les regroupements d organismes communautaires de Montréal Mémoire Pour le maintien de la cohésion et de la cohérence régionale Présenté à la commission de la santé et des services sociaux de l Assemblée

Plus en détail

Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions

Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions Janiver 2014 Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Questions sur le projet 1. En

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques Outil d autoévaluation LPRPDE Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques table des matières Utilité de cet outil... 3 Utilisation de cet outil... 4 PARTIE 1 : Guide

Plus en détail

Négociation ministérielle pour un prêt de la Banque mondiale

Négociation ministérielle pour un prêt de la Banque mondiale PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

Le rôle du courtier principal

Le rôle du courtier principal AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent

Plus en détail

L UNION BANCAIRE 1. LE MÉCANISME DE SURVEILLANCE UNIQUE (MSU) 1.1. PRÉPARATION

L UNION BANCAIRE 1. LE MÉCANISME DE SURVEILLANCE UNIQUE (MSU) 1.1. PRÉPARATION 1. L UNION BANCAIRE Dans la zone euro, l extension de la crise à certains marchés de dettes souveraines a illustré qu une union monétaire réclame, outre une coordination renforcée des politiques budgétaires

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent

Plus en détail

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire 2007-2012 L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire Cinq ans : petit coup d œil dans le rétro Cher lecteur, chère lectrice, 2012 est une année particulière

Plus en détail

RÉGLEMENT INTÉRIEUR. Approuvé par l Assemblée Générale du 7 Décembre 2010 TITRE 2 - FORMATION ET COMPOSITION DE LA MUTUELLE

RÉGLEMENT INTÉRIEUR. Approuvé par l Assemblée Générale du 7 Décembre 2010 TITRE 2 - FORMATION ET COMPOSITION DE LA MUTUELLE RÉGLEMENT INTÉRIEUR Approuvé par l Assemblée Générale du 7 Décembre 2010 TITRE 1 - PRÉAMBULE ARTICLE 1 OBJET DU RÉGLEMENT INTÉRIEUR Le présent règlement intérieur, établi en vertu de l article 1 des statuts,

Plus en détail

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude

Plus en détail

Lignes directrices concernant les contrôles à l importation dans le domaine de la sécurité et de la conformité des produits

Lignes directrices concernant les contrôles à l importation dans le domaine de la sécurité et de la conformité des produits COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE FISCALITÉ ET UNION DOUANIÈRE Sécurité et sûreté, facilitation des échanges et coordination internationale Protection des citoyens et application des DPI Lignes

Plus en détail

Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL. relatif aux médicaments vétérinaires. (Texte présentant de l intérêt pour l EEE)

Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL. relatif aux médicaments vétérinaires. (Texte présentant de l intérêt pour l EEE) COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.9.2014 COM(2014) 558 final 2014/0257 (COD) Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL relatif aux médicaments vétérinaires (Texte présentant de

Plus en détail

Proposition de directive relative au timeshare 1

Proposition de directive relative au timeshare 1 Proposition de directive relative au timeshare 1 - Avis de l ULC - Les sollicitations et engagements de timeshare concernant les consommateurs luxembourgeois s effectuent essentiellement à l étranger d

Plus en détail

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES La libre circulation des marchandises, la première des quatre libertés fondamentales du marché intérieur, est garantie par la suppression des droits de douane et des

Plus en détail

SITES INTERNET CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE

SITES INTERNET CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE SECTION G CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE SITES INTERNET Recommandations du Conseil central de la section G ONP/CCG Janvier 2012 A l heure où les

Plus en détail

TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation

TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation La coopération réglementaire, une menace pour la capacité démocratique des pouvoirs publics à régule Il y a de bonnes raisons

Plus en détail

RÈGLEMENTS, POLITIQUES ET PROCÉDURES

RÈGLEMENTS, POLITIQUES ET PROCÉDURES CÉGEP DE SEPT-ÎLES POLITIQUE INSTITUTIONNELLE DE VALORISATION DE LA LANGUE FRANÇAISE Service émetteur : Direction des études Instance décisionnelle : Conseil d administration Date d approbation : Le 20

Plus en détail

Application des instructions d entretien et potentiels publiés par les constructeurs

Application des instructions d entretien et potentiels publiés par les constructeurs Département fédéral de l environnement, des transports, de l énergie et de la communication DETEC Office fédéral de l aviation civile OFAC Division Sécurité technique Directive CT 02.020-35 Communication

Plus en détail

Dakar, Sénégal 5-9 Mars 2006. Dr Joël Keravec MSH/RPM Plus - Brésil et représentant le Globa

Dakar, Sénégal 5-9 Mars 2006. Dr Joël Keravec MSH/RPM Plus - Brésil et représentant le Globa éminaire pour les onsultants Francophones - estion des Approvisionments et des Stocks pour VIH, la TB et le Paludisme Assurance Qualité des Médicament s Dakar, Sénégal 5-9 Mars 2006 Dr Joël Keravec MSH/RPM

Plus en détail

Septembre 2011. 4, avenue Ruysdaël 75379 Paris Cedex 08 Téléphone : 0033/1.56.21.34.84 - Fax : 0033/1.56.21.34.79 Email : iadenot@ordre.pharmacien.

Septembre 2011. 4, avenue Ruysdaël 75379 Paris Cedex 08 Téléphone : 0033/1.56.21.34.84 - Fax : 0033/1.56.21.34.79 Email : iadenot@ordre.pharmacien. Réponse de l Ordre national des pharmaciens de France au livre vert de la Commission européenne «Moderniser la directive sur les qualifications professionnelles COM/2011/367» Septembre 2011 Remarques préliminaires

Plus en détail

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Contenu Contexte................................................................ 101 Examen du contrat........................................................

Plus en détail

LE PROJET D UN INSTITUT DE REVUE D UTILISATION DU MÉDICAMENT (IRUM) QUÉBÉCOIS

LE PROJET D UN INSTITUT DE REVUE D UTILISATION DU MÉDICAMENT (IRUM) QUÉBÉCOIS LE PROJET D UN INSTITUT DE REVUE D UTILISATION DU MÉDICAMENT (IRUM) QUÉBÉCOIS OORRDDRREE DDEESS PPHHAARRMAACCI IIEENNSS DDUU QQUUÉÉBBEECC Adopté par les membres du Bureau de l Ordre des pharmaciens Le

Plus en détail

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du bien-être au travail Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.

Plus en détail

2006-04 LA REFORME DU REGIME DES SÛRETES

2006-04 LA REFORME DU REGIME DES SÛRETES 2006-04 LA REFORME DU REGIME DES SÛRETES La loi du 26 juillet 2005 pour la confiance et la modernisation de l économie a habilité le gouvernement à réformer le régime des sûretés et les procédures d exécution

Plus en détail