LES MEDICAMENTS VETERINAIRES MODERNES REPONDENT-ILS AUX BESOINS DU MARCHE AFRICAIN?

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1 LES MEDICAMENTS VETERINAIRES MODERNES REPONDENT-ILS AUX BESOINS DU MARCHE AFRICAIN? Dr Gilbert Magand Session 1 : Situation actuelle et spécificité de la distribution et de l utilisation des médicaments vétérinaires en Afrique

2 Les médicaments vétérinaires modernes répondent-ils aux besoins du marché africain? G. REMOND1 ET G. MAGAND 2 1 Directeur général, Laprovet, France 2 Directeur technique, Laprovet, France Résumé La question se pose en particulier pour les pratiques d'élevage traditionnelles, qui prédominent encore dans les régions de l'afrique subsaharienne et constituent l'originalité du marché africain. La notion de médicament vétérinaire innovant doit être interprétée en fonction de ses possibilités d'application dans les conditions spécifiques de ce marché : à titre d'exemples, une chaîne du froid complète, l'utilisation de grandes quantités d'eau pure, une technique d'administration complexe ou la nécessité de rassembler une grande quantité d'animaux en un seul endroit, ne répondent pas aux besoins de traitement de l'élevage villageois ni de l'élevage extensif comme celui des troupeaux transhumants. Cependant, toutes les techniques qui facilitent l'approche logistique, les modes d'administration et l'amélioration de l'efficacité des traitements qui leur est associée peuvent facilement être appliquées sur le marché africain. L'efficacité d'un traitement comprend également l'efficacité économique. Ceci passe par diverses spécifications portant sur les médicaments vétérinaires et leur utilisation : - Qualité et mention claire de la composition et de l'origine - Facilité de transport - Fiabilité du mode d'administration - Présence de vétérinaires qualifiés et d'un réseau de distribution soutenable - Conditionnement adapté Quoi qu'il en soit, le premier objectif est de briser le cercle vicieux : pas d'argent pas de prévention pas de productivité pas d'argent Globalement, on peut dire que les produits vétérinaires modernes répondent aux besoins du marché africain. Mais il est nécessaire d'améliorer le contrôle de la qualité des intrants vétérinaires et de professionnaliser le réseau vétérinaire local. Il est clair qu'il ne s'agit là que d'un élément des changements plus spectaculaires qui sont nécessaires : - Qu'en est-il des maladies orphelines spécifiques de l'afrique? - Comment donner accès aux protéines alimentaires animales à une population plus large? 2/6

3 I. Introduction Comme ailleurs dans le monde, il existe deux grands types d élevage en Afrique : l élevage industriel et l élevage traditionnel. C est la forte proportion d élevage traditionnel qui fait l originalité du marché africain des productions animales. L élevage industriel n est représenté significativement que dans le secteur de l aviculture, encore ne s agit-il que de quelques pays qui ont opté pour une production intensive de poulets ou d œufs de consommation. Les pathologies rencontrées n ont pas de spécificité africaine ; on rencontre les mêmes maladies aviaires, bien qu à des degrés divers que dans le reste du monde, et vaccins et médicaments répondent pleinement aux besoins de l aviculteur moderne. En revanche, et ce sera le sujet de cette courte étude, les médicaments vétérinaires modernes répondent-ils aux besoins de l élevage traditionnel : nous donnerons deux exemples concrets où une concurrence déloyale et l absence ou le manque d une réglementation notamment en Afrique sub-saharienne peuvent nuire significativement à la protection des cheptels. II. Deux expériences terrain 1/ 1 er exemple : la vaccination contre la Maladie de Newcastle en milieu villageois La Maladie de Newcastle (MN) est responsable de 70% de mortalité en élevage traditionnel de volailles. A partir des années 70, des projets de développement comme le Programme de développement de l'aviculture villageoise (PDAV) au Burkina Faso, les initiatives de Vétérinaires Sans Frontière (en Guinée, au Togo et au Sénégal), ou le Projet d Appui à la Promotion du Secteur de l Elevage (PASPE) au Mali, ont permis de développer une prophylaxie efficace et des circuits pérennes de protection contre la MN grâce à l utilisation des vaccins inactivés. La vaccination est efficace car une seule injection protège les animaux pour plus de 6 mois et que la formation des vaccinateurs a suffi pour pratiquer une bonne administration et que la relative «thermostabilité» du vaccin a permis un transport sans perte d activité. Les moyens mis en œuvre sont restés très modestes (budget de 5000 à Euros / an / pays) pour assurer la communication, la formation et surtout la mise en place de circuits privés de commercialisation et de transport des vaccins. Pour un investissement de moins de 10 centimes d euro par dose, l éleveur a vu son revenu augmenter de 2 à 10 euros par la seule suppression de la mortalité liée à la MN. Le conditionnement spécial en flacons de 100 doses (50 ml) pour l élevage traditionnel était par ailleurs une volonté d adaptation du laboratoire au marché local. 3/6

4 Plus de 100 vétérinaires ont été formés, plus de 15 millions de volailles villageoises sont vaccinées chaque année dans les pays de l Union Monétaire et Economique des Etats de l Afrique l Ouest (UMEOA). Dans certains pays, ces efforts de vulgarisation et, surtout de mise en place d un circuit de distribution lent à construire (vétérinaire détaillant, vaccinateurs villageois) a été remis en cause suite à la promotion d une nouvelle technique de vaccination contre la MN : l utilisation d un vaccin vivant «thermostable», avec pourtant une durée de protection réduite (3 mois), à appliquer en goutte dans l œil (aussi contraignant qu en injection) pour obtenir une efficacité raisonnable. Le problème est que ce vaccin a été introduit massivement à titre gratuit, instituant une concurrence parfaitement déloyale pour le circuit privé déjà en place, déstructurant les réseaux de distribution des vétérinaires privés. De plus, la fabrication de ce vaccin vivant se fait dans des laboratoires locaux en utilisant des œufs non SPF («Specific Pathogen Free», exempt d agents pathogènes spécifiques), ce qui n est pas acceptable dans le cadre des Bonnes Pratiques de Fabrication. Dans la plupart des pays, la vaccination avec le vaccin inactivé reste le choix pragmatique car elle ne nécessite pas plusieurs rappels dans l année. C est un moyen de lutter contre la pauvreté : le revenu additionnel est utilisé surtout par les femmes pour la scolarisation ou la santé des enfants. 2/ 2ème exemple : le contexte élevage transhumant extensif L éleveur traditionnel peul dans les pays du Sahel détient son rang social dans sa communauté de par le nombre d animaux qu il possède : il s agit d un élevage contemplatif et la notion de productivité n intervient pas. Les références culturelles de ces éleveurs transhumants sont parfois très éloignées des présentations des médicaments vétérinaires innovants : Exemple d un médicament injectable avec excipient indolore invendable sur ce marché car pas d effet visuel de réaction de l animal. Exemple de la taille des bolus antiparasitaires internes : les bolus proposés sur ces marchés sont de plus en plus gros III. Ce que peut apporter un médicament vétérinaire moderne au marché Africain? D abord un niveau de qualité internationale : intrinsèquement, il n y a pas une norme mondiale et une norme africaine. 4/6

5 Les mentions de composition et de posologie doivent apparaître clairement pour que le vétérinaire puisse comparer aisément deux produits semblables et tester leur efficacité terrain. L élevage traditionnel africain n est pas facile d accès. Le conditionnement et la conservation du produit doivent être compatibles avec des conditions de transport difficiles : températures, durée d acheminement, pistes accidentées. Les produits secs et concentrés sont souvent plus faciles à transporter : poudres, bolus Des techniques d administration fiables et pratiques. Des présentations adaptées aux nombres d animaux à traiter, qui, en élevage traditionnel, n ont souvent rien à voir avec les effectifs industriels. IV. Ce qu il faut changer Les professionnels du médicament vétérinaire que nous sommes participent depuis longtemps aux réflexions sur une réglementation africaine et verraient d un bon œil l établissement d un certain nombre de règles favorables au développement de l élevage et favorisant la commercialisation de médicaments «éthiques». La définition du périmètre d action d une entité de contrôle ou d enregistrement des médicaments vétérinaires. Des laboratoires de référence existent dans différents pays pour toutes sortes d analyses et c est un domaine où l aide internationale serait d un grand secours sans ingérence dans les pays. La référence à un enregistrement d un produit vétérinaire dans un pays considéré comme éthique et «sérieux», serait déjà un premier pas vers le blocage des copies frauduleuses que l on rencontre malheureusement si souvent sur le marché en Afrique noire. Une notion aussi simple que l adresse du laboratoire sur l emballage assurerait un minimum de traçabilité en cas non efficacité alors que nombres de produits «pirates» n ont même pas cette mention! Une bonne formation des vétérinaires de terrain et des techniciens d élevage et l encouragement, par exemple par les microcrédits, de structures de distribution privées, légères et efficaces. La difficulté de faire respecter la protection des brevets et le manque de confidentialité autour des dossiers déposés dans certains pays limitent également la commercialisation des médicaments vétérinaires innovants en Afrique sub-saharienne. 5/6

6 V. Conclusions Les critères de qualité sont fort heureusement respectés pour une part des médicaments modernes commercialisés en Afrique. A la question posée, nous avons donc tendance à répondre oui, les médicaments vétérinaires modernes répondent aux besoins du marché africain. Nous noterons cependant deux axes essentiels limitatifs : L absence de modes de prévention ou de traitement pour certaines maladies spécifiquement africaines et qui restent «orphelines». L engagement insuffisant des pays à soutenir et à développer leur élevage tant traditionnel que moderne ; cet engagement est plus que nécessaire. 6/6

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