Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "www.pwc.com/ca/retail Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail"

Transcription

1 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

2 Étude comparative sur le commerce de détail Le groupe Conseils de PwC, en partenariat avec le Conseil canadien du commerce de détail, a mené une étude comparative de haut niveau auprès des détaillants canadiens. Le présent rapport vous permettra de savoir où se situe votre entreprise par rapport à ses homologues en termes de frais de vente, d administration et de frais généraux, et d indicateurs de performance clés. Nous avons tendance à mesurer notre performance à l interne, en regard de nos résultats de l année précédente ou des montants budgétés. Or, se comparer aux entreprises similaires permet de cerner les possibilités de réduire ses coûts et d améliorer sa performance. «De nos jours, la production et la communication d information financière exacte en temps opportun n est qu une obligation de base pour la fonction finance. Afin d être considéré comme un véritable partenaire d affaires par la haute direction, le conseil d administration et le chef de la direction, le chef des finances doit fournir continuellement de l information financière et non financière sur les opérations, piloter la stratégie, opérer les changements et produire des résultats pour l entreprise.» La concurrence est plus intense d année en année dans le commerce de détail. Alors qu auparavant elle venait du marché intérieur, elle est maintenant internationale. Pour survivre et progresser, les détaillants et les chefs des finances ingénieux se comparent sans cesse à des références externes afin de conserver une longueur d avance et de créer de la valeur.» Bryan Tatoff, chef des finances, Cuir Danier Inc. 2 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

3 Résultats du secteur Les informations recueillies auprès de 72 détaillants nous permettent d analyser les résultats de chacun par rapport à l ensemble du secteur, par segment et par fonction. 3

4 Une forte marge se conjugue avec des coûts élevés Les détaillants qui réalisent de fortes marges brutes ont tendance à avoir des frais de vente, d administration et des frais généraux plus élevés. Lorsqu ils dépensent beaucoup sur le marketing et la mise en marché, leur image de marque est moins sensible à l évolution des prix, ce qui leur permet de dégager une marge plus élevée. Les détaillants viennent souvent vers nous pour discuter des options stratégiques susceptibles de garder leur marque vivante et actuelle. Concilier la gestion de leur capital de marque et le maintien de leur rentabilité est l une des préoccupations constantes des détaillants. Les figures 2a et 2b illustrent la relation entre la marge brute d une part, et d autre part les frais de vente, d administration et frais généraux, la marge nette étant représentée par la taille de la bulle. Selon nos données, il est essentiel de maintenir ces frais à un faible niveau par rapport à la marge brute pour obtenir une marge nette supérieure. Toutefois, vous n y arriverez pas simplement en augmentant votre chiffre de ventes. Marge brute (%) Marge brute (%) Figure 2a : Marge brute et frais de vente, d administration et frais généraux Habillement 75 % 70 % 65 % 60 % 55 % 50 % 45 % 40 % 25 % 35 % 45 % 55 % 65 % Frais de vente, d administration et frais généraux (%) Figure 2b : Marge brute et frais de vente, d administration et frais généraux Produits de spécialité 70 % 60 % 50 % 40 % 30 % 20 % 15 % 25 % 35 % 45 % 55 % Frais de vente, d administration et frais généraux (%) Remarque : les valeurs aberrantes ont été enlevées. La taille de la bulle représente la marge nette (en %). 4 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

5 Marge nette Le contrôle des coûts contribue davantage à la rentabilité que les marges élevées De fortes marges brutes ou de faibles frais de vente, d administration et frais généraux? Nous avons analysé les données recueillies pour identifier le principal catalyseur de la marge nette. Dans les trois segments du commerce de détail (l habillement, l alimentation et les produits de spécialité), la corrélation entre la marge nette et les frais de vente, d administration et frais généraux est plus forte en pourcentage du chiffre d affaires qu entre la marge nette et la marge brute. Cela signifie que des frais d exploitation moindres constituent un facteur plus important que la marge brute pour déterminer la marge nette. Figure 3a : Marge nette et marge brute Habillement 25 % Marge nette (%) 20 % 15 % 5 % 0 % 40 % 50 % 60 % 70 % -5 % Marge brute (%) Figure 3b : Marge nette et frais de vente, d administration et frais généraux Habillement Marge nette (%) 25 % 20 % 15 % 5 % 0 % 30 % 40 % 50 % 60 % 70 % -5 % Frais de vente, d administration et frais généraux (%) Figure3c : Marge nette et marge brute Alimentation Figure 3d : Marge nette et frais de vente, d administration et frais généraux Alimentation Marge nette (%) 12 % 8 % 6 % 4 % 2 % 0 % -2 % 20 % 25 % 30 % 35 % 40 % Marge brute (%) Marge nette (%) 12 % 8 % 6 % 4 % 2 % 0 % 15 % 20 % 25 % 30 % 35 % -2 % Frais de vente, d administration et frais généraux (%) Marge nette (%) Figure 3e : Marge nette et marge brute Autres 20 % 15 % 5 % 0 % 20 % 30 % 40 % 50 % 60 % 70 % -5 % Marge brute (%) Figure 3f : Marge nette et frais de vente, d administration et frais généraux Autres Marge nette (%) 20 % 15 % 5 % 0 % -5 % 20 % 30 % 40 % 50 % 60 % Frais de vente, d administration et frais généraux (%) Remarque : les valeurs aberrantes ont été enlevées. La catégorie «Autres» comprend les produits de spécialité et les grands magasins. 5

6 Performance des ventes Des trois segments étudiés, l alimentation enregistre le taux de vente le plus élevé par pied carré, soit une médiane de 510 $, contre 336 $ pour l habillement et 325 $ pour les produits de spécialité. On observe d énormes différences entre les détaillants de même segment. Les plus performants des détaillants de vêtements et des magasins spécialisés ou grands magasins affichent des résultats presque deux fois plus élevés que ceux de leurs pairs du quartile le plus bas. Dans l alimentation, la différence est de près de 50 %. Alors, comment les détaillants de chaque segment peuvent-ils augmenter leur chiffre d affaires? Ceux qui ne se trouvent pas parmi les plus performants de leur segment doivent se poser les questions suivantes : Est-ce que nous exploitons efficacement notre espace? Notre gamme de produits est-elle judicieuse? Comment pouvons-nous améliorer les taux de conversion? Est-ce que nous utilisons les analyses pour mieux comprendre les habitudes d achat des clients? Nos clients du secteur du détail qui s appuient sur les connaissances «scientifiques» obtiennent un chiffre d affaires et une rentabilité plus élevés. Figure 4 : Ventes en dollars par pied carré 498 $ Autres 325 $ 252 $ 421 $ Habillement 336 $ 223 $ 595 $ Alimentation 510 $ 403 $ 0 $ 100 $ 200 $ 300 $ 400 $ 500 $ 600 $ «Nous faisons en sorte d exploiter au mieux notre surface de vente en offrant des produits très performants et de la meilleure qualité ainsi qu un service à la clientèle authentique et exceptionnel... Nous innovons en lançant assez régulièrement des produits et des gammes, et nous faisons preuve de rigueur en retirant du marché ceux qui ne se vendent pas, même si nous les aimons. Andy McNevin, chef de l exploitation, Lush Cosmetics» 6 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

7 L habillement enregistre des marges beaucoup plus importantes que les autres segments Marge brute Le segment de l habillement réalise la marge brute la plus élevée, soit une médiane de 58 %, contre 30 % pour l alimentation et 41,4 % pour les produits autres (magasins spécialisés et grands magasins). Cette performance du segment de l habillement s explique par la vente de vêtements mode uniques. Toutefois, l écart entre les plus performants et les moins performants du segment peut atteindre dix points de pourcentage. Dans l alimentation, les marges plus faibles peuvent être attribuées à l environnement hautement concurrentiel et moins différencié, caractérisé par des produits peu coûteux et homogènes qui font baisser les marges et les coûts. Compte tenu de la différence importante entre les marges brutes d un segment à l autre, il est important que le détaillant se compare aux entreprises du même segment et non à celles du secteur du commerce de détail dans son ensemble. Il pourra ainsi avoir une meilleure idée de sa performance. Figure 5 : Pourcentage de marge brute médiane par segment 58 % Habillement 30 % Alimentation 41,4 % Autres Figure 5a : Pourcentage de marge brute Habillement 61,6 % 58,0 % 51,9 % Figure 5b : Pourcentage de marge brute Alimentation Figure 5c : Pourcentage de marge brute Autres produits de spécialité 33,5 % 30,0 % 28,7 % 44,4 % 41,4 % 37,7 % 7

8 Frais d exploitation des magasins Les coûts de main-d œuvre et d occupation constituent l essentiel des frais d exploitation des magasins. Les coûts de main-d œuvre en pourcentage des ventes du magasin sont les mêmes dans l ensemble du secteur, avec une variation de deux points de pourcentage entre les médianes. À l inverse, les coûts d occupation en pourcentage des ventes diffèrent grandement d un segment à l autre. Les frais d exploitation médians des magasins de vêtements dépassent de loin ceux des autres segments en raison des coûts d occupation vraiment plus élevés. De même que pour les marges brutes, les détaillants ont intérêt à comparer les frais d exploitation de leurs magasins à ceux des entreprises du même segment, en raison de la grande disparité entre les différents segments. «Les détaillants les plus performants gèrent avec soin leurs investissements liés à la main-d œuvre en magasin et rajustent rapidement en» fonction des besoins changeants. Paul Beaumont, premier directeur, Commerce de détail et produits de consommation, PwC Figure 6 : Facteurs qui sous-tendent les frais d exploitation des magasins 16,3 % 3,3 % 6,3 % Figure 6a : Taux de frais d exploitation des magasins Habillement 15 % 13 % 14 % 26,1 % 30,5 % 33,6 % Habillement Alimentation Frais d occupation Autres Main-d œuvre Figure 6b : Taux de frais d exploitation des magasins Alimentation Figure 6c : Taux de frais d exploitation des magasins Autres produits de spécialité 19,4 % 20,5 % 22,6 % 18,7 % 21,2 % 24,4 % 8 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

9 Frais généraux et administratifs par segment La faiblesse de leurs marges oblige les détaillants de l alimentation à réduire leur taux de frais généraux et administratifs Figure 7 : Frais généraux et administratifs médians par segment 5,8 % Alimentation 11,5 % Autres 15,8 % Habillement Les frais généraux et administratifs comprennent les charges du siège social et excluent les coûts liés au fonctionnement même du magasin. Avec une médiane de 5,8 %, les frais généraux et administratifs en pourcentage du chiffre d affaires des détaillants en alimentation sont considérablement moins importants que ceux des segments de l habillement et des produits de spécialité (autres/grands magasins). On observe également, dans le segment de l alimentation, un écart qui est moindre entre les premier et troisième quartiles en ce qui concerne les frais généraux et administratifs en pourcentage des ventes. Le contrôle des coûts d administration est plus serré en raison des volumes plus importants et des marges plus faibles. Dans les segments de l habillement et des produits de spécialité, les différences entre les détaillants des premier et troisième quartiles sont marquées. Ces différences découlent des variations plus grandes entre les modèles d affaires et l efficacité opérationnelle, qui s expliquent par la vaste diversité des produits de cette catégorie de détaillants. Figure 7a : Pourcentage de marge brute Habillement 13,5 % 15,8 % 18,4 % Figure 7b : Pourcentage de marge brute Alimentation Figure 7c : Pourcentage de marge brute Produits de spécialité autres 5,0 % 5,8 % 6,2 % 9,6 % 11,5 % 13,0 % 9

10 Frais généraux et administratifs par fonction Le marketing et l approvisionnement génèrent la plus grande part des frais généraux et administratifs Une comparaison par fonction des frais généraux et administratifs de votre entreprise avec ceux de vos homologues permet de déterminer efficacement à quelles fonctions vous avez consacré trop ou trop peu de ressources. Lorsque vous évaluez la performance de votre entreprise par rapport à celle de son segment, cherchez à comprendre d où découlent les différences. Y a-t-il des inefficacités dans vos processus ou vos systèmes? Payez-vous trop cher certains services? Une analyse des données vous permettra de dégager les principaux facteurs à l origine de ces différences. Le marketing et l approvisionnement sont les fonctions les plus coûteuses pour l ensemble des segments, à l exception des grands magasins qui dépensent davantage pour la mise en marché que pour l approvisionnement. Les détaillants doivent s attendre à une augmentation de leurs coûts de marketing, d approvisionnement et de mise en marché à mesure que s intensifient leurs activités de commerce électronique. Par contre, leurs frais d exploitation de magasins diminueront en pourcentage du chiffre d affaires global. La mise en marché représente une part plus importante des frais du siège social dans les segments de l habillement et des grands magasins que dans ceux de l alimentation et des autres produits de spécialité. Figure 8 : Frais généraux et administratifs par fonction* 20 % 15 % 5 % 0 % Autres 0,8 % 0,2 % 0,3 % 0,6 % RH 0,4 % 0,2 % 0,3 % 0,3 % Finance 0,9 % 0,3 % 0,4 % 0,6 % Exploitation des 1,4 % 0,4 % 0,4 % 0,8 % magasins Services généraux 1,6 % 0,3 % 0,9 % 1,1 % TI 1,5 % 0,5 % 1,0 % 1,1 % Mise en marché 2,3 % 0,4 % 1,5 % 1,1 % Marketing 3,3 % 1,1 % 3,0 % 3,3 % Chaîne d approvisionnement Habillement 9.6 Alimentation Grands magasins * Selon la valeur médiane pour chaque fonction dans chaque segment 17.6 Magasins spécialisés et autres 3,3 % 1,8 % 1,3 % 3,0 % 10 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

11 Un rythme de rotation des stocks plus rapide entraîne un BBSIS plus élevé dans l alimentation malgré des marges inférieures Figure 9a : Taux de rotation des stocks Rotation des stocks et bénéfice brut sur investissements en stocks (BBSIS) Le taux de rotation des stocks est considérablement plus élevé dans le segment de l alimentation que dans ceux de l habillement et des produits autres en raison du caractère hautement périssable des produits alimentaires et de la plus grande fréquence d achat. L alimentation a une valeur médiane environ cinq fois plus haute. En outre, le fort taux de rotation des stocks donne lieu à un BBSIS beaucoup plus important dans ce segment que dans les autres, malgré les marges plus faibles. Le taux de rotation et le BBSIS plus variables dans le segment alimentaire est une occasion pour ces détaillants de se démarquer. Figure 9b : Bénéfice brut sur investissements en stocks (BBSIS) Autres 3,7 2,8 2,3 Autres 2,5 2,0 1,7 Habillement 4,3 3,2 2,5 Habillement 2,8 3,5 4,3 Alimentation 9,6 14,7 17,6 Alimentation 4,3 5,3 7,

12 La taille est-elle importante? Pas tant que vous le croyez! Alors que les détaillants nous disent être désavantagés par rapport à leurs concurrents de grande envergure, les données démontrent le contraire. Chez les 72 détaillants étudiés, les économies d échelle réalisées sur les frais généraux et administratifs, autant dans l ensemble du secteur que dans les différents segments, étaient plus faibles qu attendu. Dans beaucoup de cas, la grande complexité des entreprises d envergure et la duplication des fonctions administratives, occasionnée par les acquisitions, ont neutralisé les économies d échelle. La grande complexité des entreprises d envergure et la duplication des fonctions ont neutralisé les économies d échelle Figure 10a : Chiffre d affaires net et frais généraux et administratifs (%) Habillement < 300 M$ Figure 10b : Chiffre d affaires net et frais généraux et administratifs (%) Habillement > 300 M$ Frais généraux et administratifs (%) 30 % 25 % 20 % 15 % 5 % $ $ $ $ Chiffre d affaires (en milliers) $ Frais généraux et administratifs (%) 30 % 25 % 20 % 15 % 5 % 0 $ $ $ $ $ $ $ Chiffre d affaires (en milliers) $ $ Figure 10c : Chiffre d affaires net et frais généraux et administratifs (%) Produits de spécialité < 1 G$ Figure 10d : Chiffre d affaires net et frais généraux et administratifs (%) Produits de spécialité > 1 G$ Frais généraux et administratifs (%) 20 % 15 % 5 % 0 % 0 $ $ $ $ $ Chiffre d affaires (en milliers) $ Frais généraux et administratifs (%) 20 % 15 % 5 % 0 % 0 $ $ $ $ $ Chiffre d affaires (en milliers) $ 12 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

13 Comparaison entre détaillants canadiens et américains Il a été beaucoup question du niveau des prix de détail, en général plus élevé au Canada qu aux États-Unis. Si nous n avons pas effectué cette comparaison, nous avons, par contre, comparé les informations sur les ventes, les coûts et les marges des détaillants canadiens et américains. Nous avons constaté qu au Canada, les détaillants affichent un chiffre d affaires et une marge brute plus élevés au pied carré, mais que les coûts de main-d œuvre et d occupation plus hauts annulent cet avantage. Figure 11a : Habillement Coût moyen en dollars par pied carré (Canada par rapport aux États-Unis) Figure 11b : Habillement Pourcentage des ventes en moyenne (Canada par rapport aux États-Unis) 359 $ 58 % 55 % 204 $ 236 $ 52 $ 60 $ 130 $ 35 $ 35 $ 15 %15 % 17 % 16 % 15 %15 % Canada États-Unis Ventes/pi. ca. Marge brute/pi. ca. Main d œuvre en magasin/pi. ca. Occupation des magasins/pi. ca. Canada États-Unis Marge brute (%) Frais généraux et administratifs (%) Main d œuvre en magasin (%) Occupation des magasins (%) 13

14 Conclusion Selon les résultats de notre étude comparative sur le commerce de détail, une marge élevée se conjugue avec des coûts élevés. Comment les détaillants très performants arrivent-ils à se distinguer? Nos données indiquent que le contrôle des coûts contribue davantage à la rentabilité que les fortes marges. On observe des écarts importants entre les premier et troisième quartiles en ce qui concerne les frais généraux et administratifs en pourcentage du chiffre d affaires. Alors que les grands détaillants ont la possibilité de réaliser des économies d échelle, la grande complexité de leur structure et la duplication des fonctions contrebalance largement cet avantage. Bien que la réduction des coûts importe, les détaillants qui réussissent le mieux sont aussi en mesure de mettre davantage l accent sur les ventes. Ils disposent d une bien plus grande surface de vente productive, enregistrant un chiffre d affaires par pied carré presque 50 % plus fort que la médiane de leur segment. En outre, les meilleurs détaillants obtiennent des rendements plus élevés sur leurs investissements en stocks, les détaillants en alimentation du premier quartile affichant un BBSIS clairement supérieur. Y a-t-il des différences fondamentales entre les détaillants canadiens et américains? Selon nos observations, les détaillants canadiens du segment de l habillement réalisent, au pied carré, un chiffre d affaires et une marge brute plus avantageux que leurs homologues américains. Mais cet avantage est réduit par les coûts de main-d œuvre et d occupation. Vous pouvez vous appuyer sur les points de référence établis dans cette étude pour établir des objectifs et des priorités qui vous permettront de rester concurrentiel et pour créer de la valeur dans un environnement de plus en plus complexe. «Lorsque nous établissons la structure d une société en croissance rapide, il est utile de comparer nos investissements en ressources humaines et en infrastructures avec ceux que font les chefs de file dans le monde, entre autres dans le commerce de détail. Cela nous permet de vérifier si des investissements supérieurs ou inférieurs à ceux de nos homologues dans un domaine particulier ont une importance stratégique et ne sont pas seulement un accident de parcours.» Andy McNevin, chef de l exploitation, Lush Cosmetics 14 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

15 15

16 Annexes 16 Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

17 Annexe 1 Portée de l étude L étude comparative sur le secteur du commerce de détail a été réalisée par PwC en partenariat avec le Conseil canadien du commerce de détail et ses membres. Elle établit les indicateurs de performance clés portant sur le chiffre d affaires, les coûts et la rentabilité qui sont importants pour le secteur du commerce de détail. Les données transmises par les membres du Conseil canadien du commerce de détail ont été combinées avec les données sur les détaillants nord-américains comprises dans la base de données sur le commerce de détail de PwC. De plus, PwC mène une étude comparative approfondie comportant 300 questions dans le but d aider ses clients du secteur du détail à se concentrer sur les surinvestissements ou sous-investissements éventuels et à évaluer si les écarts sont stratégiques ou si des mesures sont requises. Les membres du Conseil canadien du commerce de détail peuvent tirer avantage des résultats globaux présentés dans ce rapport. Les détaillants ayant participé au sondage ont également reçu un tableau de bord individuel leur permettant de se comparer à leurs concurrents. Frais de vente, d administration et frais généraux (%) Ressources humaines Finance Marketing et publicité Mise en marché Exploitation des magasins Chaîne d approvisionnement Technologie de l information Services généraux Immobilier Services juridiques Approvisionnement autre qu en marchandises Centre d appels Frais d exploitation des magasins Indicateurs de performance clés Chiffre d affaires moyen/pi. ca. Ventes comparées à celles de l exercice précédent Pourcentage de marge brute sur les marchandises Taux de rotation des stocks BBSIS Main-d œuvre des magasins en pourcentage du chiffre d affaires Taux d occupation en pourcentage des magasins Ventes Taux de conversion magasins Taux de conversion en ligne Dépenses de marketing en pourcentage des ventes Pourcentage de réduction des prix Pourcentage de décroissance Classement des détaillants 0 % 25 % 50 % 75 % 100 % Meilleur 1 er Q Médiane 3 e Q Pire Définition des quartiles Pour une meilleure compréhension des facteurs contribuant aux résultats des détaillants qui se démarquent, nous avons classé les résultats en quatre quartiles. La valeur limite du premier quartile correspond à la valeur qui se situe à la frontière entre les 25 % supérieurs de l échantillon et les suivants sur la liste énumérant les résultats du meilleur au pire. Le troisième quartile est déterminé par la valeur correspondant à 75 %. Un détaillant se trouve «dans le premier quartile» s il se trouve entre la meilleure valeur et la valeur limite du premier quartile. 17

18 Annexe 2 Profil des participants Figure 1 : Segments du commerce de détail La base de données comparative est composée d un échantillon de 72 détaillants qui représentent tous les segments du commerce de détail et toutes les tailles d entreprises, tant au Canada qu aux États-Unis. Le chiffre d affaires de ces détaillants se trouve dans une fourchette de moins de 30 millions de dollars à plus de 20 milliards de dollars, avec une médiane de 653 millions de dollars. Les participants canadiens représentent plus de 7 % du chiffre d affaires global du secteur du commerce de détail du Canada. Le nombre de magasins varie de 1 à 4 500, la médiane étant de 179 magasins. Les segments étudiés sont les suivants : habillement, alimentation, produits de spécialité autres et grands magasins. Pour les besoins de ce rapport, les produits de spécialité autres ont été combinés avec les grands magasins et classés comme «autres». Veuillez noter que les quartiles sont calculés séparément pour chaque paramètre. Par exemple, les détaillants du premier quartile pour le chiffre d affaires net peuvent ne pas être les mêmes qui occupent le premier quartile pour le pourcentage de marge brute. Produits de spécialité autres 26 % 22 % Grands magasins Habillement 33 % Alimentation 18 % Chiffre d affaires net (en millions) $ 653 $ 242 $ Pourcentage de marge brute 56 % 44 % 36 % Nombre de magasins Nombre moyen de pieds carrés par magasin Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail

19 Annexe 3 Taxonomie des frais généraux et administratifs Ressources humaines Services juridiques Finance Marketing et publicité* Mise en marché Exploitation des magasins (sauf les équivalents temps plein et les employés en magasin) Magasin de détail Gestion des avantages sociaux Gestion de la rémunération Gestion de la rotation du personnel/sirh Relations avec les employés Diversité Recrutement Communications Gestion des ressources humaines sur le terrain (excluant la formation en magasin) Perfectionnement et formation professionnels Conseillers juridiques de l entreprise Affaires juridiques Conseillers en immobilier Gestion des contrats de l entreprise Comptes fournisseurs Audit interne Comptes clients Comptabilisation des produits Comptabilité générale Contrôle et communication de l information Planification et analyse financières Trésorerie et fiscalité Comptabilisation des immobilisations Service de la paie Stratégie de marketing Planification de la promotion Développement créatif Achats médias/ publicités Activités de marketing Communications de marketing Études de marché Production d imprimés Relations publiques Dons et commandites d entreprise Programme de fidélisation Gestion de produits Planification des ventes Gestion des prix Mise en marché Gestion des stocks Planification financière de la mise en marché Répartition des marchandises Achats des marchandises Conception de marchandises Marchandisage visuel Planification des espaces Approvisionnement et développement de produits Soutien aux activités des magasins Audit des magasins Sécurité en magasin Supervision sur le terrain Prévention des pertes Communication avec les magasins Gestion de la maind œuvre Formation et développement en magasin Communication de l information et mesures Santé et sécurité au travail Ventes directes (en ligne et par catalogue) Gestion des sites Web et du contenu des médias sociaux Marketing en ligne et par courriel Marketing par catalogue Gestion de la base de données et analyses Planificateurs, acheteurs et analystes de marchandises, etc. pour les affaires directes *Marketing : déduction faite des annonces coop. Technologie de l information Chaîne d approvisionnement/ centre de distribution Approvisionnement en éléments autres que les marchandises Services de l entreprise et autres frais généraux et administratifs Immobilier/ construction et gestion des installations Centre d appels (sauf TI) Magasin de détail Activités de TI Soutien et formation pour l utilisateur final Entretien Développement d applications Soutien des applications Échange de données informatisées Centre de services de TI Personnel des entrepôts (temporaire inclus) Transport de marchandises sortantes (magasin à magasin, centre de distribution à magasin, retours aux magasins) Transferts Logistique inversée Réapprovisionnement de base Centre de distribution/ entrepôts, occupation, entretien (sauf amortissement) Assurance biens du centre de distribution Offres de service/ sélection des fournisseurs Gestion des fournisseurs sauf pour les marchandises Suivi du rendement des fournisseurs Analyse des dépenses Fournitures pour les magasins/services d achat Aviation Affaires et communications de l entreprise Gestion des risques Installations de l entreprise Bureaux de la direction (chef de la direction, chef de l exploitation, chef de l administration) Tous les frais de location et d entretien des bureaux Service du courrier Assurances (siège social) Autres frais généraux et administratifs Construction de magasins Négociation et administration des baux Conception de magasins Recherche d emplacements Gestion des projets de nouveaux magasins Gestion des installations, y compris environnement et énergie Rénovation de magasins Services de renseignements/ d assistance aux magasins Service à la clientèle Ventes directes (en ligne et par catalogue) Techniciens et soutien de site Web Systèmes de vente directe au consommateur Système économétrique d information de gestion Personnel des commandes par catalogue et/ou en ligne et des retours Demandes de renseignements en ligne Demandes de renseignements sur le catalogue 19

20 Contacts PwC Alain Michaud Leader national, Commerce de détail et produits de consommation Conseil canadien du commerce de détail Andrew Siegwart Premier vice-président, Services aux membres Conseil canadien du commerce de détail Ilya Bahar Leader national, Commerce de détail et des produits de consommation, Conseils et Transactions Alison Morin Responsable des analyses comparatives Paul Beaumont Premier directeur, Conseils au commerce de détail Robyn Levine Directrice, Conseils au commerce de détail PricewaterhouseCoopers LLP/s.r.l./s.e.n.c.r.l., une société à responsabilité limitée de l Ontario, Tous droits réservés. Dans le présent document, PwC s entend du cabinet canadien, et quelquefois du réseau mondial de PwC. Chaque société membre est une entité distincte sur le plan juridique. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez notre site Web à l adresse :

L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada

L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada Mars 2002 icongo, Inc 740, rue St Maurice, bureau 602 Montréal, (Québec) Canada H3C 1L5 Tél. : 514-866-2664 Télécopieur : 514-866-8404

Plus en détail

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu

Plus en détail

Rapport annuel 2013 Revue financière. Rapport de gestion

Rapport annuel 2013 Revue financière. Rapport de gestion Rapport annuel 2013 Revue financière Rapport de gestion 1 Résultats financiers 46 Annexe aux états financiers consolidés portant sur le ratio de couverture par le résultat 108 Rétrospective des trois derniers

Plus en détail

Revue financière. 2 e trimestre 2015. Le 5 août 2015

Revue financière. 2 e trimestre 2015. Le 5 août 2015 Revue financière 2 e trimestre 2015 Le 5 août 2015 AVERTISSEMENT Déclarations prospectives Certaines déclarations contenues dans cette présentation, incluant celles ayant trait aux résultats et au rendement

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015)

CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015) CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015) Préparée pour les Comptables professionnels agréés du Canada Le 1 er mai 2015 Renseignements sur le sondage Le rapport trimestriel CPA Canada Tendances conjoncturelles

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

www.rbcassurances.com

www.rbcassurances.com Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site www.rbcassurances.com CROISSANCE SOLIDITÉ INTÉGRATION APERÇU DE LA SOCIÉTÉ 2004 Marques déposées de la Banque Royale du Canada. Utilisées sous

Plus en détail

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014 Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est

Plus en détail

Le grand rendez-vous des exportateurs à ne pas manquer!

Le grand rendez-vous des exportateurs à ne pas manquer! Le grand rendez-vous des exportateurs à ne pas manquer! www.forum-export.ca Palais des Congrès de Montréal Montréal (Québec) 12 et 13 novembre 2003 Un forum de mobilisation des exportateurs québécois Paul-Arthur

Plus en détail

S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight»

S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight» Siège mondial : 5 Speen Street Framingham, MA 01701 États-Unis P.508.935.4400 F.508.988.7881 www.idc-ri.com S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight»

Plus en détail

DOLLARAMA ANNONCE DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE PREMIER TRIMESTRE ET RENOUVELLE SON OFFRE PUBLIQUE DE RACHAT DANS LE COURS NORMAL DES ACTIVITÉS

DOLLARAMA ANNONCE DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE PREMIER TRIMESTRE ET RENOUVELLE SON OFFRE PUBLIQUE DE RACHAT DANS LE COURS NORMAL DES ACTIVITÉS Pour diffusion immédiate DOLLARAMA ANNONCE DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE PREMIER TRIMESTRE ET RENOUVELLE SON OFFRE PUBLIQUE DE RACHAT DANS LE COURS NORMAL DES ACTIVITÉS MONTRÉAL (Québec), le 12 juin 2014

Plus en détail

Tout n est pas perdu lorsque votre disque dur tombe en panne!

Tout n est pas perdu lorsque votre disque dur tombe en panne! Tout n est pas perdu lorsque votre disque dur tombe en panne! Récupérer les données perdues est simple avec Seagate Recovery Services et l Équipe technique fiable de STAPLES Business Depot/Bureau en Gros!

Plus en détail

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser MICHEL MORIN, AGR. AGROÉCONOMISTE (CDPQ) COLLABORATEURS: STÉPHANE D AMATO, AGR., AXIS AGRICULTURE JEAN-DENIS LABRECQUE, CTA 2003 RÉJEAN LEBLANC,

Plus en détail

Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015

Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Table des matières Introduction... 1 Services de plafonnement et d échange... 2 Système de

Plus en détail

Les 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie

Les 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie Les 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie Découvrir les stratégies ayant fait leurs preuves et les meilleures pratiques Points clés : Planifier

Plus en détail

Drug Mart/Pharmaprix. de 28. décembre 2013). Les Compagnies Loblaw. bonne position. Faits saillants du 11 413 $ Produits Produits, compte

Drug Mart/Pharmaprix. de 28. décembre 2013). Les Compagnies Loblaw. bonne position. Faits saillants du 11 413 $ Produits Produits, compte COMMUNIQUÉ DE PRESSEE Les Compagnies Loblaw limitée annonce une hausse de 68,4 % du montant ajusté du bénéfice par action 2) pour le quatrième trimestre de BRAMPTON, ONTARIO Le 26 février 2015 Les Compagnies

Plus en détail

DOLLARAMA OBTIENT DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE ET ANNONCE UN FRACTIONNEMENT D ACTIONS ORDINAIRES À RAISON DE DEUX POUR UNE

DOLLARAMA OBTIENT DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE ET ANNONCE UN FRACTIONNEMENT D ACTIONS ORDINAIRES À RAISON DE DEUX POUR UNE Pour diffusion immédiate DOLLARAMA OBTIENT DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE ET ANNONCE UN FRACTIONNEMENT D ACTIONS ORDINAIRES À RAISON DE DEUX POUR UNE MONTRÉAL (Québec), le 11 septembre

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

Leçon 12. Le tableau de bord de la gestion des stocks

Leçon 12. Le tableau de bord de la gestion des stocks CANEGE Leçon 12 Le tableau de bord de la gestion des stocks Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable de : s initier au suivi et au contrôle de la réalisation des objectifs fixés au

Plus en détail

Présentation des termes et ratios financiers utilisés

Présentation des termes et ratios financiers utilisés [ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.

Plus en détail

Schéma du plan d affaires

Schéma du plan d affaires Plan d affaires Schéma du plan d affaires SOMMAIRE EXÉCUTIF DESCRIPTION DU PROJET OBJECTIFS FORME JURIDIQUE ÉQUIPE DIRIGEANTE MARKETING PRODUCTION SOUTIEN ADMINISTRATIF ANALYSE MARCHÉ ANALYSE MARKETING

Plus en détail

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS de l exercice terminé le 31 mars 2002 19 TABLE DES MATIÈRES Rapport de la direction 21 Rapport du vérificateur 22 États financiers Résultats 23 Excédent 23 Bilan 24 Flux de

Plus en détail

Déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI

Déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI Déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI Un InfoDossier d IDC 2015 Introduction Les organisations peinent à déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI, un investissement

Plus en détail

OPÉRATIONS HÔTELIÈRES

OPÉRATIONS HÔTELIÈRES OPÉRATIONS HÔTELIÈRES GESTION DES COÛTS & MARGES DE PROFITS FASCICULE 2 Gestions Hôtelières AJC inc Jo-Anne Sauvé-Taylor & André J. Côté, cha Novembre 2013 DÉFINITION DE LA GESTION DES COÛTS La gestion

Plus en détail

STEPHANE DODIER, M.B.A. Sommaire. Compétences. Formation académique 514-608- 5865. sdodier@stephanedodier.com. Stephane Dodier MBA

STEPHANE DODIER, M.B.A. Sommaire. Compétences. Formation académique 514-608- 5865. sdodier@stephanedodier.com. Stephane Dodier MBA STEPHANE DODIER, M.B.A. 514-608-5865 Sommaire J occupe le poste de Vice-Président Exécutif pour Optimum informatique, une firme de servicesconseils informatique appartenant au Groupe financier Optimum.

Plus en détail

Performance 2010. Eléments clés de l étude

Performance 2010. Eléments clés de l étude Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.

Plus en détail

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 % RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur

Plus en détail

RAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client

RAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client RAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015 Propulsés par l expérience client Rapport de gestion intermédiaire Au 30 juin 2015 Faits saillants trimestriels 3 Commentaires préalables au rapport de gestion

Plus en détail

Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur

Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur La force de l engagement MD ÉTUDE TECHNIQUE Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur Les entreprises de commerce

Plus en détail

Pas d installations ou d équipement particuliers.

Pas d installations ou d équipement particuliers. COURS MAM1010 : Niveau : Préalable : Description : Paramètres : MARKÉTING ET GESTION Débutant Aucun L élève acquiert des notions de base en gestion et en markéting et donne des indications sur les meilleures

Plus en détail

Situation sur le plan comptable 4 e trimestre 2013

Situation sur le plan comptable 4 e trimestre 2013 Taux d imposition des sociétés et législation / Numéro 4 / Le 9 janvier 2014 Services de gestion et de comptabilisation des impôts Situation sur le plan comptable 4 e trimestre 2013 Le présent bulletin

Plus en détail

Description de ia Groupe financier

Description de ia Groupe financier Industrielle Alliance Profil de l entreprise Données au 31 décembre 2014 Description de ia Groupe financier ia Groupe financier est une société d assurance de personnes qui compte quatre grands secteurs

Plus en détail

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage Gestionnaires Parcoursd apprentissage V2 VOTRE PARTENAIRE EN APPRENTISSAGE L École de la fonction publique du Canada offre des produits d apprentissage et de formation qui contribuent au renouvellement

Plus en détail

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)

Plus en détail

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque

Plus en détail

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données La force de l engagement MD POINT DE VUE Impartition réussie du soutien d entrepôts de données Adopter une approche globale pour la gestion des TI, accroître la valeur commerciale et réduire le coût des

Plus en détail

Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise

Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise TABLE DES MATIÈRES LE NUAGE : POURQUOI IL EST LOGIQUE POUR VOTRE ENTREPRISE INTRODUCTION CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 CHAPITRE 3 CONCLUSION PAGE 3 PAGE

Plus en détail

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015 Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

www.marquecanadabrand.agr.gc.ca www.mangezcanadien.ca

www.marquecanadabrand.agr.gc.ca www.mangezcanadien.ca La recherche antérieure a montré que la majorité des consommateurs canadiens affichent une préférence marquée pour l achat de produits alimentaires canadiens par rapport aux produits d importation. Est-ce

Plus en détail

Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile

Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Résumé du rapport Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Numéro de contrat : 90030-121581/001/CY Contrat attribué le : 2013-01-18 Préparé pour : Office national

Plus en détail

Gestion et animation de sites web. Synthèse

Gestion et animation de sites web. Synthèse A l usage exclusif des sociétés interrogées en ligne dans le cadre de l étude Gestion et animation de sites web Les métiers, les budgets, les projets L étude de référence Effectifs Budgets Chantiers et

Plus en détail

Supply Chain Management

Supply Chain Management Indicateurs de Performance dans les Fonctions du Supply Chain Management Le partenaire Dans le cadre du contrat AGIR pour l AGROALIMENTAIRE Sommaire 1- Qu est ce qu un indicateur? Page 3 2- Notion de Supply

Plus en détail

COMMENTAIRE PORTAIT COMPARÉ DES CONSOMMATEURS CANADIENS ET AMÉRICAINS. Services économiques TD. Quelques faits stylisés

COMMENTAIRE PORTAIT COMPARÉ DES CONSOMMATEURS CANADIENS ET AMÉRICAINS. Services économiques TD. Quelques faits stylisés COMMENTAIRE Services économiques TD PORTAIT COMPARÉ DES CONSOMMATEURS CANADIENS ET AMÉRICAINS Quelques faits stylisés Au cours de la dernière décennie, les sociétés ont eu tendance à vouloir étendre leurs

Plus en détail

Le rôle du courtier principal

Le rôle du courtier principal AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent

Plus en détail

Assurances Auto AXA Canada (AAAC 1 ) 2 Partie A 3

Assurances Auto AXA Canada (AAAC 1 ) 2 Partie A 3 Volume 5 Numéro 1 Avril 2007 en partenariat avec la Chaire internationale CMA d étude des processus d affaires Assurances Auto AXA Canada (AAAC 1 ) 2 Partie A 3 Cas produit par Johanne CASSIS 4 et par

Plus en détail

RAPPORT INTERMÉDIAIRE PREMIER TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client

RAPPORT INTERMÉDIAIRE PREMIER TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client RAPPORT INTERMÉDIAIRE PREMIER TRIMESTRE 2015 Propulsés par l expérience client Rapport de gestion intermédiaire Au 31 mars 2015 Faits saillants trimestriels 3 Commentaires préalables au rapport de gestion

Plus en détail

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi?

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi? Alerte info financière NCECF MAI 2015 Chapitre 1591, «Filiales» En septembre 2014, le Conseil des normes comptables (CNC) a publié le chapitre 1591, «Filiales», de la Partie II (Normes comptables pour

Plus en détail

Innovation en matière de logistique et de gestion de la chaîne d approvisionnement au Canada

Innovation en matière de logistique et de gestion de la chaîne d approvisionnement au Canada Innovation en matière de logistique et de gestion de la chaîne d approvisionnement au Canada Contexte À mesure que la concurrence devient plus mondiale, l innovation passe du niveau entreprise-à-entreprise

Plus en détail

Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied

Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied : : A P P L I E D S U P P O R T : : Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied Maximisez votre investissement technologique LE SUCCÈS DE VOTRE ENTREPRISE DÉPEND DE LA PERFORMANCE DE VOS CAPACITÉS

Plus en détail

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...

Plus en détail

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour

Plus en détail

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70 Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section M Division 70 70 ACTIVITÉS DES SIÈGES SOCIAUX ; CONSEIL DE GESTION Cette division comprend le conseil et l'assistance à des entreprises et autres organisations

Plus en détail

Rapport de la direction. Rapport des vérificateurs

Rapport de la direction. Rapport des vérificateurs États financiers consolidés au 30 novembre Rapport de la direction Relativement aux états financiers consolidés Les états financiers consolidés de Quincaillerie Richelieu Ltée (la «Société») ainsi que

Plus en détail

Vendre son champagne sur internet

Vendre son champagne sur internet dossier P.13-17 Vendre son champagne sur internet De nombreuses études le montrent : le commerce en ligne se porte bien et devrait continuer à croître sur les deux prochaines années. Ainsi, la Fédération

Plus en détail

PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE

PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE Numéro Liste de compétences - cours Introduction aux mathématiques comptables et financières Utiliser à des fins de gestion des méthodes statistiques

Plus en détail

CMC MARKETS UK PLC CMC MARKETS CANADA INC. Document d information sur la relation. Decembre 2014

CMC MARKETS UK PLC CMC MARKETS CANADA INC. Document d information sur la relation. Decembre 2014 CMC MARKETS UK PLC et CMC MARKETS CANADA INC. Document d information sur la relation Decembre 2014 Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 Société autorisée et réglementée par la Financial

Plus en détail

Management de la chaîne logistique. Professeur Mohamed Reghioui

Management de la chaîne logistique. Professeur Mohamed Reghioui Management de la chaîne logistique Professeur Mohamed Reghioui M.Reghioui - 2012 1 Informations générales sur le module Intervenants: Mohamed Reghioui(m.reghioui@gmail.com) Informations générales Répartition

Plus en détail

LE REER COLLECTIF FÉRIQUE OPTEZ POUR UN REER DE GÉNIE

LE REER COLLECTIF FÉRIQUE OPTEZ POUR UN REER DE GÉNIE LE REER COLLECTIF FÉRIQUE OPTEZ POUR UN REER DE GÉNIE BIENVENUE DANS UN RÉGIME DE RETRAITE À NUL AUTRE PAREIL LE REER COLLECTIF FÉRIQUE EN BREF En vertu d une entente avec Gestion FÉRIQUE, votre employeur

Plus en détail

Le Marketing Direct et la relation client

Le Marketing Direct et la relation client Introduction au MD Le Marketing Direct et la relation client Définition du Marketing direct. Il consiste à gérer une offre et une transaction personnalisée à partir de l utilisation d informations individuelles

Plus en détail

Proposition Technologie de l information pour l Association québécoise des technologies (AQT)

Proposition Technologie de l information pour l Association québécoise des technologies (AQT) Proposition Technologie de l information pour l Association québécoise des technologies (AQT) Ceci est une proposition pour une assurance contre les erreurs et omissions. Veuillez indiquer si vous demandez

Plus en détail

Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit

Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide

Plus en détail

Services bancaires pour nouveaux arrivants au Canada Ce que vous devez savoir

Services bancaires pour nouveaux arrivants au Canada Ce que vous devez savoir 07 Services bancaires pour nouveaux arrivants au Canada Ce que vous devez savoir Toutes les grandes banques offrent une multitude de renseignements et d outils, notamment des listes de vérification, de

Plus en détail

Introduction FISCALITÉ

Introduction FISCALITÉ Introduction 51 Impôt sur le revenu 53 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une filiale 54 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une succursale 56 Mesures de contrôle des

Plus en détail

Taux global d actualisation - Comment analyser une transaction immobilière?

Taux global d actualisation - Comment analyser une transaction immobilière? Taux global d actualisation - Comment analyser une transaction immobilière? Par Andréanne Lavallée Directrice principale Avril 2013 Résumé L auteure se penche sur la notion des rendements immobiliers recherchés

Plus en détail

Question 1 (Relève) Question 2 (Plan d expansion)

Question 1 (Relève) Question 2 (Plan d expansion) Question 1 (Relève) Quel est le pourcentage d employés dans les postes clés qui prendront leur retraite dans les cinq prochaines années? a) Moins de 10 % b) 10 % à 30 % c) 31 % à 50 % d) Plus de 50 % Si

Plus en détail

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

La publication, au second

La publication, au second Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)

Plus en détail

IBM SPSS Direct Marketing

IBM SPSS Direct Marketing IBM SPSS Statistics 19 IBM SPSS Direct Marketing Comprenez vos clients et renforcez vos campagnes marketing Points clés Avec IBM SPSS Direct Marketing, vous pouvez : Comprendre vos clients de manière plus

Plus en détail

Gestion de l activité commerciale

Gestion de l activité commerciale 12 13 Gestion de l activité commerciale Gérez efficacement votre activité de négoce, services ou industrie L activité commerciale, c est le nerf de la guerre : prospection, réalisation de devis, facturation,

Plus en détail

PUBLIÉ EN NOVEMBRE 2013 PAR :

PUBLIÉ EN NOVEMBRE 2013 PAR : PUBLIÉ EN NOVEMBRE 2013 PAR : L ASSOCIATION DES INDUSTRIES DE L AUTOMOBILE DU CANADA 1272 RUE WELLINGTON OUEST OTTAWA (ON) K1Y 3A7 Les renseignements présentés dans cette publication ont été recueillis

Plus en détail

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Les pouvoirs publics ont attiré notre attention sur les enjeux de la transmission des entreprises, plus de 100

Plus en détail

B U L L E T I N S U R L E S F O U R N I S S E U R S D I D C. L é vo l u t i o n d u pays a g e d e s I a as publiques et p r i vé e s a u C a n a d a

B U L L E T I N S U R L E S F O U R N I S S E U R S D I D C. L é vo l u t i o n d u pays a g e d e s I a as publiques et p r i vé e s a u C a n a d a B U L L E T I N S U R L E S F O U R N I S S E U R S D I D C L é vo l u t i o n d u pays a g e d e s I a as publiques et p r i vé e s a u C a n a d a Avril 2014 Mark Schrutt, directeur des services et applications

Plus en détail

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data

Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data Enquête ADP 2015 auprès des responsables de la gestion du capital humain d entreprises internationales TABLE DES MATIÈRES Synthèse... 3 Introduction

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

Bulletin de nouvelles sur les IFRS

Bulletin de nouvelles sur les IFRS uméro spécial Produits Bulletin de nouvelles sur les IFRS Juin 2014 «Après plus de cinq ans consacrés à son élaboration, l IASB et le FASB ont finalement publié leur nouvelle norme convergente sur la comptabilisation

Plus en détail

Sage 100 Entreprise Edition Etendue Module CRM Inclus

Sage 100 Entreprise Edition Etendue Module CRM Inclus Sage 100 Entreprise Edition Etendue Module CRM Inclus Nouveau produit! 1 1 Sommaire 1. Découpage fonctionnel ------------------------------------------------------------------------------ p3 2. Schéma

Plus en détail

Cartes de crédit à vous de choisir. Choisir la carte de crédit qui vous convient

Cartes de crédit à vous de choisir. Choisir la carte de crédit qui vous convient Cartes de crédit à vous de choisir Choisir la carte de crédit qui vous convient À propos de l Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) À l aide de ses ressources éducatives et de

Plus en détail

Programme de prêts REER

Programme de prêts REER Brochure Programme de prêts REER Réservé aux conseillers à titre d information Page 1 de 10 À propos de B2B Banque Un chef de file canadien parmi les fournisseurs de prêts investissement et REER offerts

Plus en détail

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant :

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant : Chap 3 : La connaissance du client I. Les fondements de la connaissance du client A. D une société de consommation à une société de consommateurs Depuis les années 1980, les mutations sociales ont eu d

Plus en détail

Logistique et gestion de la chaîne d approvisionnement, analyse des indicateurs de rendement clés. Perspective Canada/ États-Unis

Logistique et gestion de la chaîne d approvisionnement, analyse des indicateurs de rendement clés. Perspective Canada/ États-Unis Logistique et gestion de la chaîne d approvisionnement, analyse des indicateurs de rendement clés Perspective Canada/ États-Unis Octobre 2006 Cette publication est également offerte par voie électronique

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

La fonction achats fonction achats internes extérieur

La fonction achats fonction achats internes extérieur L objectif de la fonction achats est de mettre à la disposition des utilisateurs internes de l entreprise des biens et/ou des services acquis à l extérieur dans les meilleures conditions de prix, de délais,

Plus en détail

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des

Plus en détail

Services bancaires pour nouveaux arrivants Ce que vous devez savoir

Services bancaires pour nouveaux arrivants Ce que vous devez savoir 03 Services bancaires pour nouveaux arrivants Ce que vous devez savoir Toutes les grandes banques offrent une multitude de renseignements et d outils, notamment des listes de vérification, de l information

Plus en détail

i) Types de questions Voici les lignes directrices pour chaque type de question ainsi que la pondération approximative pour chaque type :

i) Types de questions Voici les lignes directrices pour chaque type de question ainsi que la pondération approximative pour chaque type : Raison d être Plan des examens Audit interne et contrôles internes [MU1] 2011-2012 Les examens Audit interne et contrôles internes [MU1] ont été élaborés à l aide d un plan d examen. Le plan d examen,

Plus en détail

Le domaine point-ca est le meilleur choix pour toute entreprise canadienne qui veut établir une présence en ligne

Le domaine point-ca est le meilleur choix pour toute entreprise canadienne qui veut établir une présence en ligne 60 Secondes dans la vie de L ACEI, Rapport annuel 2008-2009 Le domaine point-ca est le meilleur choix pour toute entreprise canadienne qui veut établir une présence en ligne Plus de 1,2 millions de noms

Plus en détail

8 Certifications Minergie

8 Certifications Minergie 8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,

Plus en détail

Omni. Omni. Omni. Dévoué à votre performance! Dévoué à votre performance! Omni, une solution pour... Omni. Dévoué à votre performance!

Omni. Omni. Omni. Dévoué à votre performance! Dévoué à votre performance! Omni, une solution pour... Omni. Dévoué à votre performance! Solution de gestion Quincailleries/Centres de matériaux, une solution pour... Accélérer vos opérations; Faciliter la tâche de vos employés; Offrir un meilleur service à la clientèle; Optimiser vos Solution

Plus en détail

L adoption des IFRS au Canada : une analyse empirique de l incidence sur les états financiers

L adoption des IFRS au Canada : une analyse empirique de l incidence sur les états financiers L adoption des IFRS au Canada : une analyse empirique de l incidence sur les états financiers Auteurs : Michel Blanchette, François-Éric Racicot et Komlan Sedzro Commanditaires : Rock Lefebvre, MBA, CFE,

Plus en détail

Rapport de la direction

Rapport de la direction Rapport de la direction Les états financiers consolidés de Industries Lassonde inc. et les autres informations financières contenues dans ce rapport annuel sont la responsabilité de la direction et ont

Plus en détail

Le plan d action marketing et commercial : De la réflexion marketing à l action commerciale

Le plan d action marketing et commercial : De la réflexion marketing à l action commerciale Le plan d action marketing et : De la réflexion marketing à l action e Un document qui oblige à réfléchir et à prendre du recul sur l activité, en mêlant l analyse marketing à l action e 1 L analyse marketing

Plus en détail

L analyse de la gestion de la clientèle

L analyse de la gestion de la clientèle chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses

Plus en détail

Plan d accessibilité

Plan d accessibilité Plan d accessibilité Le Règlement sur les Normes d accessibilité intégrées (R) en vertu de la Loi sur l accessibilité pour les personnes handicapées de l Ontario (LAPHO) exige que Hunter Douglas Canada

Plus en détail