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1 Risques et intérêts de l analyse des suicides en entreprise. Dr Stéphanie Palazzi Médecin Psychiatre, Psychanalyste, IPRP santé et organisation spalazzi@free.fr Face aux suicides de salariés le ministère du travail a évoqué la mise en place d une analyse des suicides à des fins de prévention du risque psychosocial 1. Les syndicats de leur côté s y déclarent opposés, craignant une intrusion dans la vie privée des salariés et une minoration de l impact des conditions de travail sur la santé psychique 2. Ce type d analyse inspirée d une démarche appelée «autopsie des suicides» (Inserm, 2004 ) consiste en la collecte de «données sur les détails de la mort, le paysage familial, le contexte social, le parcours de vie, le monde relationnel, les conditions de travail, la santé physique et mentale et les antécédents». (Légeron, Nasse 2007). Face au suicide, l intention de comprendre afin de mieux prévenir est louable mais si on met en avant l intérêt de ce type de démarche, il est aussi nécessaire d en comprendre les enjeux, voire les risques. Après avoir mené plusieurs analyses de suicide (7 à ce jour) 3 dans le cadre d expertises CHSCT (Comité d Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail), nous souhaiterions apporter ici quelques éléments au débat. Jusqu à présent, en France, après un suicide susceptible d être en lien avec le travail, l entourage professionnel et la famille de la personne décédée sont interrogés par la police puis par les enquêteurs de la Caisse Primaire d Assurance Maladie. Le dossier peut être examiné par un expert psychiatre puis une conclusion est donnée par courrier à la famille et à l entreprise. On doit noter que les enquêteurs de l Assurance Maladie n ont pas de compétence spécifique en psychopathologie, et que les experts psychiatres rendent leurs conclusions à partir du dossier de la CPAM et du dossier médical de la personne décédée mais ne font pas d entretien sur le lieu de travail. Cette démarche «d enquête» calquée sur celle qui prévaut lors d une atteinte à la santé physique en milieu professionnel et n est pas satisfaisante à propos d un 1 Conférence sociale sur les conditions de travail : «Prévenir la souffrance au travail : une priorité du Gouvernement.» 2 Stress au travail: syndicats contre une "autopsie psychologique" des suicides. 06/2008 «Le point» 3 Ces expertises CHSCT ont été menées dans le cadre du cabinet Technologia. Cabinet expert agréé auprès du ministère du travail. 1

2 suicide. Si la santé physique est objectivable et relève d une causalité quasi linéaire, la définition même de la santé mentale, qui ramène à la question de la norme, fait débat. Quant à la causalité en jeu dans les troubles d ordre psychologique, elle n est jamais linéaire. Peut-il y avoir une méthodologie d étude d un suicide en milieu professionnel qui rende compte de la complexité des mécanismes psychique et ne fasse pas intrusion de façon traumatique dans la vie privée du sujet. Quelle modalité d étude permettrait de comprendre un événement «clinique» singulier sans en nier la composante collective? La réponse à ces questions nécessite quelques réflexions préalables. Le cadre de l étude Avant toute chose, la définition du cadre de l étude doit être précisée. La Loi de Modernisation Sociale de 2002, (LMS 2002) qui a fait entrer le harcèlement moral dans la législation du travail, stipule que l entreprise n est plus seulement comptable de la santé physique des salariés mais aussi de leur santé mentale. La loi expose un versant préventif faisant obligation à l entreprise de mettre en place des mesures de prévention mais aussi un versant répressif. L entreprise peut être sanctionnée lors d atteinte à la santé physique ou mentale des salariés. Quant à la jurisprudence,(cour de Cass.juin 2006) elle a formulé qu en matière de santé mentale, l entreprise a obligation de résultat, (ce que soit dit en passant relève d une méconnaissance totale de la complexité des mécanismes psychiques et de l intrication du privé et du professionnel en la matière.) On voit qu à chaque suicide de salarié, l enjeu juridique et financier est de taille pour l entreprise. La reconnaissance en accident du travail mais aussi la faute inexcusable de l employeur sont toujours en arrière plan. La procédure post suicide peut relever du Tribunal des affaires de Sécurité Sociale mais aussi de la juridiction civile et pénale. Il est important de différencier le versant préventif et le versant répressif de la loi pour pouvoir poser la question du cadre de l autopsie psychologique. S agit-il d une étude des déterminants du passage à l acte suicidaire à des fins de compréhension telle que les CHSCT ont pu en diligenter en mandatant un expert dans le cadre de leur mission de prévention ou s agit-il d une enquête sur l éventuelle responsabilité de l employeur a des fins de dédommagement voire de sanction, tel que la CPAM la mène aujourd hui? Est-ce le même document d analyse qui sera utilisé par le CHSCT dans une démarche compréhensive et par les différentes juridictions dans une démarche d arbitrage sur la responsabilité? La réponse à cette question n est pas sans effet. Tout d abord, sur le fond de l étude elle-même. Mener une analyse approfondie pour mieux comprendre les déterminants suicidaires est une démarche clinique. Mener une analyse pour définir d éventuelles responsabilités relève de l enquête 2

3 et change radicalement le positionnement de celui qui écoute et donc de ceux qui lui parlent. Pour qu une analyse de suicide ait du sens, le clinicien doit d une part pouvoir recueillir une parole libre, d autre part dire en son âme et conscience ce qu il a compris quel qu en soit la teneur. La recherche de responsabilités ne relève pas de sa compétence. Dans le contexte émotionnel et politique qui est celui des suicides au travail, la limite est parfois ténue entre la compréhension et la recherche de coupable, il faut pourtant pouvoir tenir cet écart. Le cadre de l étude en déterminera aussi l impact. On peut en effet se demander si l employeur sera prêt à entendre l éventuel effet de la situation de travail sur la santé mentale du salarié décédé si cela présente de facto le risque de reconnaître sa responsabilité au plan juridique? De la même façon les proches, pourront-il entendre l existence d un trouble psychique si cela présente le risque d exonérer l employeur sur le plan juridique. Les destinataires de l étude L autre point à traiter est celui de la détermination des destinataires de l étude. Une analyse d un suicide est susceptible de faire effraction traumatique dans un collectif de travail ou dans une famille. Derrière les mots «employeurs» et «conditions de travail», il y a des individus qui se sentent interpellés à titre personnel par la mort de leur collègue et n ont de cesse de chercher ce qu ils auraient pu ou du faire. Derrière le mot famille, il y a des histoires de vie, de couple, de famille. et des enfants qui questionnent ou questionneront un jour le geste parental. Une analyse post-mortem n est pas qu une démarche de recherche, c est aussi un acte clinique à part entière. Après un suicide chacun élabore une théorie de ce suicide-là, à ce moment-là. Cette théorie est construite à partir de ce qu était la personne décédée mais aussi en fonction de ce que chacun peut supporter de comprendre. Toucher à ces multiples vérités singulières n est pas un acte anodin. Le dossier médical d un sujet décédé, au nom de la confidentialité et du respect de la vie des tiers, n est pas livrable en l état, même à la famille. A contrario, une expertise CPAM ou juridique est un outil de procédure dans les mains des parties. De quel côté pencherons-nous ici? Quel degré de confidentialité accordera-t-on au salarié décédé? Qui aura accès à ce livre ouvert sur l histoire d un sujet? Sa famille? Les acteurs de l entreprise? L Inspection du Travail? Quel usage seront-ils autorisés à en faire? Pourrons-nous retrouver ces expertises dans les medias, comme autant d outils sur la scène du rapport de force Salariés / Patronat? 3

4 Les professionnels susceptibles de mener l étude Le dernier élément de cette réflexion préalable doit être le «profil» des professionnels qui mènent ce type d étude. Seuls des cliniciens chevronnés et au fait du monde du travail nous paraissent pouvoir faire preuve de la prudence nécessaire dans ce type démarche. Prudence tout d abord dans la méthodologie d enquête. Seul un clinicien saura mettre en oeuvre une technique d entretien qui accompagne l impact émotionnel et les mouvements psychiques suscités par de ce type d échange. Seul un clinicien saura identifier une dépression masquée du salarié décédé derrière des paroles anodines qui lui sont rapportées. Seul un clinicien qui connaît aussi le monde du travail saura poser les bonnes questions sur les situations professionnelles à risque (méthode d évaluation, conduite de projet, mode de management, GRH ). Il s agit de questionner les conditions de travail sans pour autant attribuer chaque dysfonctionnement au bon vouloir d individus isolés, managers ou collègues. À part quelques situations spécifiques (perversion par exemple), chaque acteur de l entreprise doit être envisagé comme l émanation d un collectif et ses actes doivent être lus à la lumière du fonctionnement de l entreprise dans son ensemble. Quant à l éventuelle fragilité du salarié décédé, elle doit pouvoir être abordée sans pour autant, être à priori avancée comme le déterminant unique du passage à l acte suicidaire. L étude du lien entre santé psychique et travail exige de s inscrire dans la complexité et l incertitude, il n y a jamais une cause, mais un faisceau de facteurs de risque. Le clinicien osera ne pas chercher une soi disant «vérité objective» qui en la matière n existe pas. Il s agit de passer d un fait brut : le suicide, à une mise en résonance d une dynamique subjective avec une conjonction professionnelle et privée. L intérêt potentiel des analyses de suicide La dernière question à poser est évidemment celle de l utilité de l analyse d un suicide dans un cadre professionnel. Qu avons-nous constaté lors de nos différentes expertises? Tout d abord les analyses de suicide que nous avons menées nous ont permis d identifier une certaine homogénéité des situations. Nous y avons trouvé comme le plus souvent dans la clinique du suicide, une configuration clinique et environnementale mortifère qui s est élaborée à bas bruit. Dans ces scénarios mortifères s imbriquaient des éléments de l histoire du sujet mais aussi des éléments d ordre professionnels. Pour des raisons différentes (modification de l organisation du travail, l apport de nouveau outils etc collectif fragilisé par un conflit changement de poste) et de façon différente chaque salarié suicidé a été confronté de façon relativement rapide (sur quelques mois ) à une modification de ses conditions de travail et donc a un 4

5 changement de son environnement relation au collectif de travail. professionnel et une fragilisation de sa La question qui reste bien sûr en suspend c est pourquoi ce sujet-là, à ce moment-là alors que les conditions de travail étaient collectives? Seul chaque individu serait à même soit spontanément soit dans le cadre d un travail analytique d identifier ce que sa situation de travail a fait résonner de son histoire, nous avons cependant à chaque fois pu mettre en exergue dans nos analyse ce que «l histoire professionnelle» du salarié décédé avait de spécifique ou plus exactement comment des conditions de travail collectives se déclinent toujours de façon singulière, au niveau d une équipe et d un salarié/sujet. L analyse d un suicide identifie à postériori les facteurs de risque professionnels spécifiques à chaque salarié. Quelle formalisation pour une analyse des suicides dans le cadre d une expertise CHSCT? Dans le cadre d expertise CHSCT, l analyse d un suicide n a pas de visée scientifique, elle doit permettre au CHSCT organisme paritaire de mieux comprendre les déterminants professionnels du passage à l acte suicidaire dans cette entreprise-là, à ce moment-là afin de réfléchir à des modalités de postvention 4 adaptées. La construction des analyses de suicides sur le mode de l observation clinique ou du cas clinique s est avérée pertinente au regard de ce dispositif et ce pour deux raisons. Tout d abord comme l a dit Jacques Lacan dit à propos des cas cliniques on ne peut nier l éblouissante supériorité d évidence du cas particulier sur la démonstration scientifique, sa valeur exemplaire tenant à sa simplicité. (Lacan 1953). Les acteurs internes de l entreprise à l écoute des analyses l ont dit : «c est clair...». Chaque histoire entendue dans sa dimension tout à la fois poétique et tragique, a un effet de vérité. La lecture se passe de mots et la mise en récit en intrigue dirait Ricoeur 5 permet l articulation de données éparses et complexes une mise en perspective temporelle. Ces récits de vie permettent de comprendre presque de sentir, au sens d un éprouvé corporel, le risque humain qui se cache derrière les mots tel que «conduites du changement, mobilité, 4 La postvention : la postvention recouvre l ensemble des mesures à prendre à la suite d un suicide dont les mesures préventives concernant les individus mais aussi l organisation. 5 On peut citer ici ce passage du chapitre «le soi et l identité narrative» :.Les diverses médiations que l intrigue opère - entre le divers des événements et l unité temporrelle de l histoire racontée ; entre les composantes disparates de l action, intentions, causes, hasards et l enchainement de l histoire ; enfin entre la pure succession et l unité temporelle - (Ricoeur 1990) 5

6 entretien d évaluation, open space.». Une analyse de suicide questionne les pratiques et donc les conditions de travail de façon bien plus radicale que les livres ou les séminaires sur la conduite du changement ou la prise en compte de la composante humaine. L autre intérêt que nous avons trouvé à ce mode d exposition c est la possibilité d une «écoute paritaire». Il a déjà été noté que dans des instances comprenant des membres ayant des positions politiques ou éthiques divergentes que le travail sur des cas facilitait la prise de décision en commun tandis que la réflexion sur les principes et les valeurs faisait immanquablement ressortir les divergences et bloquait la prise de décision (Jonsen, Toulmin 1988). Il nous est apparu que dans un CHSCT, l écoute partagée des analyses de suicide, qui sont aussi des récits de vie au travail permettait que s ébauche un point de vue commun sur la situation de travail évoquée. Nous serons plus réservée quant à l intérêt d avoir accès à ce type d étude pour l entourage professionnel ou familial de la personne décédée. D une façon générale si le moment de recueil d information a été l opportunité d un travail d élaboration émotionnel, la restitution de l analyse a eu des effets très divers selon la place de chacun dans cette histoire de vie. Certains ont eu le sentiment de comprendre enfin ce qui s était joué, articulant leur compréhension parcellaire et par là même absurde, à une configuration narrative qui donne sens, permet l émergence des représentations et apaise en partie l angoisse. D autres au contraire, y ont entendu comment chacun à son corps défendant, a pu prendre part à cette tragédie - «parmi les faits racontés à un temps du passé, prennent place des projets, des attentes, des anticipations, par quoi les protagonistes du récit sont orientés vers leur avenir mortel.» (Ricœur 1990) - et vivent très mal ce déterminisme «rétrospectif» dont ils ont pu être acteur. En conclusion Les analyses des suicides sont utiles parce qu elles créent l opportunité d une compréhension partagée, on pourrait dire «paritaire» du passage à l acte suicidaire et de son articulation éventuelle avec le fonctionnement du collectif de travail. Associées à l étude du fonctionnement de l entreprise dans son ensemble, elles contribuent à une meilleure compréhension du risque et à l élaboration de mesures préventives. Mais pour que l analyse du suicide reste une démarche clinique rigoureuse et ne génère pas une vague de destructivité, il est indispensable avant de la mettre en oeuvre de l intégrer de façon systématique à un travail de diagnostic sur le collectif mais de répondre à un certain nombre de questions, d ordre éthique et méthodologique, sur lesquelles il ne s agirait pas de faire l impasse au nom de l idéologie moderne de l objectivation et de la transparence. 6

7 Bibliographie INSERM expertise collective : «Suicide Autopsie psychologique, outil de recherche en prévention» Les Edition de l INSERM 2005 Aristote : la poétique Lacan J. : «Le mythe individuel du névrosé ou poésie et vérité dans la névrose» Conférence donné au Collège philosophique le 4 mars Seuil 2007 Jonsen A., Toulmin S. : A quoi sert la casuistique in «penser par cas» sous la direction de Jean-Claude Passeron et Jacques Revel Edition de l Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales Nasse P, Légeron P. : «Rapport sur la détermination la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail» Ministère du travail, des relations sociales et de la solidarité - mars 2008 Ricoeur P. «Soi-même comme un autre» Paris Ed. du Seuil «L ordre philosophique» 1990 (réed Points Essais 1996) «Temps et récit Tome 1 «l intrigue et le récit historique» Paris Ed. du Seuil «L ordre philosophique» 1983 (réed. «Points Essais 1991) Législation LOI n du 17 janvier 2002 de Modernisation Sociale. texte n 1. article L JORF du 18 janvier 2002 page 1008 Arrêt n 1733 du 21 juin 2006 Cour de cassation - Chambre sociale à

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