Titre 1 : cadre juridique d une relation de travail : liberté, égalité, fraternité

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Titre 1 : cadre juridique d une relation de travail : liberté, égalité, fraternité"

Transcription

1 Titre 1 : cadre juridique d une relation de travail : liberté, égalité, fraternité Chapitre 1 : liberté et droit du travail Jean Emmanuel Ray : on passe du salarié citoyen, au citoyen salarié I. Reconnaissance de la liberté de salarié avec 3 formes : - Le droit d expression - La liberté d expression - Les droits de la personne et des libertés individuelles A. Le droit d expression 1. Définition Les salariés bénéficient d un droit à l expression sur le contenu, les conditions d exercices et l organisation de leur travail. L expression peut être directive ou collective c est-à-à-dire indirecte par des élus ou des syndicats. 2. L objet L objet du droit consiste à définir les actions, à mettre en œuvre pour améliorer les conditions de travail des salariés, l organisation de l activité et la qualité de la production. 3. la protection du droit d expression Les opinions émises dans le cadre du droit d expression ne peuvent pas motiver une sanction ou un licenciement. 4. la modalité du droit d expression Les modalités sont mises en place par un accord, une convention collective au niveau de l entreprise entre le patron et les organisations syndicales et s il y en a pas, les modalités sont mises en place non pas l accord mais, par l employeur après avoir consulté le comité d entreprise ou les délégués du personnel s il y en a pas. B. La liberté d expression Le droit d expression est ciblé par le code du travail. À côté du droit, il y a la liberté d expression. 1. Principe Ce principe ne figure pas dans le code du travail mais dans la jurisprudence Tout salarié dispose de la liberté d expression à l intérieur comme à l extérieur de l entreprise sous réserve que cette liberté ne dégénère pas en abus contrairement au droit d expression, il n y a pas d objet précis. Par ailleurs la cours de cassation ne définit pas la notion d abus, il n est pas précisément définit. Résultat, comment ca se passe dans la vrai vie? Il y a un licenciement pour faute, pour abus de la liberté d expression. Que fait le salarié? Il saisit le conseil de prud homme, va en cours d appel puis cours de cassation et après 5 ans, on sait s il y a abus ou pas.

2 Quelques applications : La mise en cause de la politique de l entreprise ou mise en cause de la hiérarchie, si il n y a pas abus cela relève de la liberté d expression. Si il y a abus, on sera licencié. Autre exemple d abus : mise en cause à plusieurs reprises, publiquement, de la compétence et de la légitimité des nouveaux dirigeants d une société (juin 2007). La cours de cassation a vu qu il y a abus dans l exercice de la liberté d expression. Les droits personnels et les libertés individuelle et collectives (affaire Babilou et autre) : principe et exception. Lien de subordination : L idée est que le lien de subordination est inhérent au contrat de travail n écarte pas pourtant les droits de la personne au travail dont les libertés individuelles et collectives. Exemple de la vie privée par l employeur. On va pour la protéger, y compris devant le conseil des prud hommes. L article 8 de la convention européenne de la sauvegarde des droits de l homme, l article 2 de la DDHC de 1789, on a l article 9 du code civil pour nous protéger. On peut aller au prud homme avec tous cela. En plus de ces dispositions civiles, on a des dispositions... On va au pénal. Il y a prison pour le coupable et dommage-intérêt pour la victime. (le prud homme n envoie pas les individus en prison). Depuis une 15ène d année, l expression de ce salarié citoyen, citoyen accessoirement salarié L du code du travail, exprime : Nul (employeur ou collègue) ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restriction qui ne serait pas justifier par la nature de la tâche à accomplir ni proportionné aux buts rechercher. La loi ne donne aucune définition sur ces termes, le juge se débrouille au cas par cas. Cette histoire des libertés individuelles concerne pas qu un cas, mais plusieurs : secrets des correspondances, droit à l image, vie privée, tenue vestimentaire. Cet article à vocation à régir toutes ces situations sans donner de définition précise sur la nature de la tache Jusqu à cette date précise, les juges du fond (conseil prud homme, cours d appel) avait considéré que le port d un voile était interdit si la salarié était en contact avec la clientèle.

3 2. Limites à la liberté Une société a des limites même une démocratie, une entreprise a des limites même une petite. Il n y a pas de liberté sans limite. Quel est la limite? Est-ce qu il en faut? Il n y a pas de société sans limite. Au cœur de cela, il y a le lien de subordination A. Le pouvoir de l employeur Le lien de subordination est caractérisé par l exécution d un travail sous l autorité d un employeur qui a le pouvoir de donner des ordres et des directives, d en contrôler les directions (ou exécutions) et de sanctionner les manquements de son subordonné. De la découle un pouvoir de direction de l employeur et se pouvoir à deux dimensions : - Les choix de gestions, économique, stratégique même s il doit informer le comté d entreprise - Le pouvoir de modifier les conditions de travail avec deux conditions : le temps et l espace (horaire et lieu de travail). Dans certaines limités néanmoins, dont les limites imposés par les libertés individuelles qu on vient de voir comme la vie familiale. Dans certaines limites certes mais le pouvoir quand même. Le pouvoir de contrôle dans un rapport de subordination, l employeur a le droit de contrôle notre travail. Par exemple avec des mécanismes de géolocalisation à condition que se soit proportionner aux buts recherché et soit suffisamment en lien avec la tâche à accomplir. On peut introduire la note de la cours des comptes au sujet de l organisation du temps de travail au sein d EDF et RTE. Les agents EDF se gouverne eux-mêmes et quant on manifeste, on manifeste avec le véhicule de la société car normalement on n a pas droit de le faire. Le pouvoir d évaluation du salarié, elle est encadrée, les informations données doivent être en lien direct avec la profession exercé. Les méthodes d évaluation sont portées à la mise... du salairé... le tout dans le respect de la loi informatique et liberté et du droit d accès au donnée personnel et de rectification des donnés personnel faisant l objet d un traitement informatisé. Le pouvoir de promouvoir : c est l employeur qui décide s il entendant promouvoir son salarié. Il n appartient pas au juge de substitué son appréciation à celle de l employeur dans l appréciation du salarié. Ce n est pas son job mais celle de l employeur. Le pouvoir disciplinaire est le pouvoir de sanctionner : avertissement, mise à pied, sanction... Le pouvoir disciplinaire se fait pour des fautes, jamais pour une insuffisance professionnelle, son «incompétence». Le pouvoir de licencier avec 2 grandes catégories : - Économique - Motif lié à la personne

4 Dans les motifs personnel au salarié, on aura des motifs disciplinaires (faute grave, faute lourde...) et on aura des motifs non disciplinaire, toujours personnel au salairé. Par exemple le licenciement pour insuffisance professionnel. Si la cours de cassation décide d enlevé ce motif, qu est-ce qu elle va dire? Pourquoi l insuffisance ne pourrait-elle pas juridiquement exister? Pourquoi ne serait-il pas pensable dans le cadre d un contrat de travail? C est l obligation de formation de l employeur qui peut être utilisé dans ce cas. La liberté n est pas sans limite, elle se heurte au pouvoir. B. Les obligations du salarié Les obligations du salarié lié à l exécution personnel du travail sont liées au lien de subordination. L exécution de se travail doit être consciencieuse, c est-à-dire que cette conscience n a pas un fondement morale mais un fondement juridique 1134 du code civil, les contrats s exécute de bonne foi. Donc la conscience professionnel se décline sur 3 forme : - L obligation de présence - L obligation de diligence - L obligation de résultat - Voir le licenciement à cause du manquement de résultat mais sous des conditions L exécution loyale : c est le qu il y ait pas de vol, de malversation, pas de tromperie... une obligation de discrétion. Aussi bien à l extérieur qu à l intérieur de l entreprise par exemple en matière de confidentialité de documents. Obligation de discrétion à l intérieur de l entreprise, on n est pas obligé de dire tous ce que la direction nous dit comme une secrétaire qui écrit une lettre de licenciement. C est la personne de confiance. La discrétion jusqu à la confidentialité voir des clauses de secrets professionnel. L obligation de fidélité c est le fait qu il n y ait pas de concurrence pendant l exécution, c est une obligation de non-concurrence. On ne travaille pas pour un autre et pour nous même. Une obligation de fidélité de non-concurrence. L obligation du salarié lié au lien de subordination est le respect de la discipline : le respect du règlement intérieur ou de l organisation mise en place, respect des horaires, interdiction des absences non-autorisées, respect des règles d hygiène et de sécurité. Un devoir est l obligation de correction c est-à-dire un comportement personnel approprié, pas de menace, pas de reproche, pas de bagarre... sinon ce serait des motifs de licenciement. Les obligations liés au directives de l employeur avec une obligation d obéissance car on est dans un lien de subordination sinon on se met dans un lien d insubordination. Il faut assumer les directives de l employeur sauf dans un cas, les ordres illégitimes donné, cela dépend des cas de jurisprudence. La liberté mais pas sans limite.

5 C. Les droits de la personne et des libertés individuelles II. L égalité L égalité est une partie prix pédagogique, le terme même d égalité est présent partout dans le code du travail (législative et règlementaire : décrets d application des lois). En réalité, cette notion possède 5 thèmes et chacun ces thèmes a son propre régime juridique même si chacun renvoi à l idée d égalité. Cette notion d égalité n a pas de définition commune à chacune de ces 5 thématiques. La 1 ère réalité juridique que renvoi l égalité est : la non-discrimination A. Les discriminations 1. Le champ d application du code du travail En matière de discrimination, le code précise : qu elle s applique aux employeurs de droit privé ainsi à leur salarié. Au personnel de personnes publiques, le personnel employé dans les conditions du droit privé. Tous le personnel des personnes publics n est pas employé dans les conditions du droit privé : les fonctionnaires statutaire sont employé dans les conditions publiques mais cela change selon les collectivités territoriales et l État s engage en droit privé et non en droit public (pas sûr). 2. Définition du principe de non-discrimination L article principal est l article L du code du travail, c est la clé de voûte en matière de discrimination. Aucune personne ne peut être écartée à un recrutement, à un stage, il s agit d une personne qui est en situation de pré-emploi. Cela vise également un certain nombre de personne en situation de pré-embauche : ceux en cours de procédure de recrutement, de stage ou de formation. Bien sûr cela vaut également pour les salariés, les personnes embauchées. Mais quels sont les mesures visées? Ce sont les sanctions disciplinaires, le licenciement, les mesures discriminatoire direct ou indirect dans toutes les matières droit du travail car on nous parle des rémunérations au sens large Donc on peut dire que toute la vie contractuelle, toute les décisions afférant à notre contrat son concerné au sens large. Les critères de choix interdits sont à peu près une vingtaine : le sexe et les meurs, l orientation ou l identité sexuel, l âge, la situation familiale, la grossesse, les caractéristiques génétique, l appartenance ou non vrai ou pas (?), l ethnie, la nation, la race ou encore l opinion politique, l activité syndicale, la conviction religieuse, l apparence physique, l état de santé ou le handicape. Une remarque peut être plus complexe au niveau du travail. Aucun salaire ne peut faire l objet d une mesure discriminatoire, dans les matières visées dans toute la vie contractuelle, aucun salarié ne soit exclu en raison discriminants cités précédemment. Faire l objet d une mesure discriminatoire n est pas précis par le code du travail. Comment doit-on comprendre cette interdiction? Soit dans le fait de fondé des décisions sur une de ces critères, soit sur le fait d exclure un salaire en raison d une des critères discriminantes qui sont interdites.

L EVALUATION PROFESSIONNELLE

L EVALUATION PROFESSIONNELLE INFODROIT- 22 mars 2011 L EVALUATION PROFESSIONNELLE Dossier préparé et présenté par Lamiel TURLOT, juriste à l UD CFDT Paris SOMMAIRE L évaluation professionnelle, une obligation pour l employeur?...3

Plus en détail

RAPPEL DE COURS. L embauche. I. Le placement. II. Les filières de recrutement. 1. Le service public de l emploi CHAPITRE

RAPPEL DE COURS. L embauche. I. Le placement. II. Les filières de recrutement. 1. Le service public de l emploi CHAPITRE 1 CHAPITRE I. Le placement RAPPEL DE COURS L activité de placement consiste à fournir à titre habituel des services visant à rapprocher offres et demandes d emploi sans que la personne assurant cette activité

Plus en détail

Les libertés individuelles et le monde du travail : Scènes de ménage?

Les libertés individuelles et le monde du travail : Scènes de ménage? Les libertés individuelles et le monde du travail : Scènes de ménage? Comment concilier au mieux les conditions de travail avec les libertés individuelles des salariés? Une telle question s avère souvent

Plus en détail

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.

Plus en détail

Continuité d activité. Enjeux juridiques et responsabilités

Continuité d activité. Enjeux juridiques et responsabilités Continuité d activité Enjeux juridiques et responsabilités Introduction Pourquoi le droit? - Contrainte - Outil de gestion Droit et management de la continuité d activité : 3 niveaux d intervention Dans

Plus en détail

Jean Juliot Domingues Almeida Nicolas. Veille Juridique [LA RESPONSABILITE DES ADMINISTRATEURS SYSTEMES ET RESEAUX]

Jean Juliot Domingues Almeida Nicolas. Veille Juridique [LA RESPONSABILITE DES ADMINISTRATEURS SYSTEMES ET RESEAUX] 2014 Jean Juliot Domingues Almeida Nicolas Veille Juridique [LA RESPONSABILITE DES ADMINISTRATEURS SYSTEMES ET RESEAUX] S O M M A I R E Définition de l administrateur systèmes et réseau........... 3 Administrateur

Plus en détail

Charte d'hébergement des sites Web sur le serveur de la Mission TICE de l'académie de Besançon

Charte d'hébergement des sites Web sur le serveur de la Mission TICE de l'académie de Besançon Charte d'hébergement des sites Web sur le serveur de la Mission TICE de l'académie de Besançon La présente charte a pour but : de définir les termes relatifs à la diffusion d informations sur l internet

Plus en détail

le dossier individuel de l agent

le dossier individuel de l agent QUESTION DE DROIT : le dossier individuel de l agent Le dossier administratif d un agent de la Fonction Publique est un document obligatoire que le service du personnel de chaque établissement se doit

Plus en détail

VIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris

VIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris VIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris La question à traiter concerne le respect de la vie privée dans le monde du travail. Jusqu à quel point

Plus en détail

RÉPONDRE AUX QUESTIONS SUR

RÉPONDRE AUX QUESTIONS SUR GUIDE PRATIQUE RÉPONDRE AUX QUESTIONS SUR LES DISCRIMINATIONS www.halde.fr SOMMAIRE Qu est-ce que la discrimination? 2 Quels sont les recours en cas de discrimination? 4 Quels sont les pouvoirs de la HALDE?

Plus en détail

CODE DE CONDUITE CONFORMITÉ AUX EXIGENCES JURIDIQUES

CODE DE CONDUITE CONFORMITÉ AUX EXIGENCES JURIDIQUES CODE DE CONDUITE LE PRÉSENT CODE DE CONDUITE EST FONDÉ SUR LES VALEURS DE GMI- DISTRIBUTION. IL A POUR OBJET DE GARANTIR QUE L ENSEMBLE DES EMPLOYÉS, DES GESTIONNAIRES ET DES DIRIGEANTS DE GMI-DISTRIBUTION

Plus en détail

LISTE DES MOTS DU DICTIONNAIRE

LISTE DES MOTS DU DICTIONNAIRE LISTE DES MOTS DU DICTIONNAIRE Les numéros indiqués sont ceux des pages Les mots suivis d un astérisque renvoient à des définitions synonymes Une table thématique figure aux pages 13 à 20 et une table

Plus en détail

discrimination directe Membres du CET enjoindre à discrimination indirecte harcèlement www.cet.lu www.cet.lu

discrimination directe Membres du CET enjoindre à discrimination indirecte harcèlement www.cet.lu www.cet.lu www.cet.lu Principe de l égalité de traitement La législation luxembourgeoise consacre le principe de l égalité de traitement et protège contre toute discrimination directe ou indirecte fondée sur : l

Plus en détail

LE CABINET E&R CONSULTANTS VOUS INFORME ET VOUS ACCOMPAGNE

LE CABINET E&R CONSULTANTS VOUS INFORME ET VOUS ACCOMPAGNE LE CABINET E&R CONSULTANTS VOUS INFORME ET VOUS ACCOMPAGNE Le 11 janvier 2013 Chers clients, L employeur est tenu d afficher sur le lieu de travail un certain nombre de documents informatifs à l attention

Plus en détail

Déléguée ou délégué : une fonction officielle

Déléguée ou délégué : une fonction officielle Déléguée ou délégué : une fonction officielle OCTOBRE 2007 Fédération des professionnelles et professionnels de l éducation du Québec (CSQ) site web: www.fppe.qc.ca ES-ND-0708-04 (6.3.2) La clause ou l

Plus en détail

BTS Tertiaires 1 re année. Dro i t. Cécile DAVID Jean-François DHENIN Syham GHEMRI Sylvie SIRE

BTS Tertiaires 1 re année. Dro i t. Cécile DAVID Jean-François DHENIN Syham GHEMRI Sylvie SIRE BTS Tertiaires 1 re année Dro i t Cécile DAVID Jean-François DHENIN Syham GHEMRI Sylvie SIRE Sommaire Droit 1 re année Thème 1 - L individu au travail 5 Dossier 1 Les régimes juridiques de lʼactivité professionnelle

Plus en détail

A Absence lors de la journée de solidarité... 3

A Absence lors de la journée de solidarité... 3 Partie 1 - L actualité 2011.... 1 A Absence lors de la journée de solidarité... 3 Absence pour maladie sans justification... 9 Absences répétées pour maladie et évolution professionnelle.... 10 Accident

Plus en détail

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée.

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée. LA NORME SA 8000 Les origines de la norme SA 8000 La norme SA 8000 est le résultat, entre autre, du constat de la multiplication des normes et des standards existants sur le marché. C est en octobre 1997

Plus en détail

Charte Informatique INFORMATIONS GENERALES

Charte Informatique INFORMATIONS GENERALES Charte Informatique INFORMATIONS GENERALES Ce site est propriété du Cesi, association loi de 1901, enregistrée sous le n 775 722 572, dont le siège social est situé 30 Rue Cambronne 75015 PARIS, représenté

Plus en détail

Droit de grève. Qu est-ce qu une grève?

Droit de grève. Qu est-ce qu une grève? Droit de grève Qu est-ce qu une grève? La grève est un droit fondamental reconnu à tous les salariés (cadres, ouvriers, employés, précaires, apprentis etc.) par la Constitution française. A ce titre, elle

Plus en détail

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession

Plus en détail

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la responsabilité civile. Printemps 2007 Présentation du

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la responsabilité civile. Printemps 2007 Présentation du Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la responsabilité civile Printemps 2007 Présentation du Qu est-ce que la responsabilité civile? Responsabilité civile = reddition de comptes Cette responsabilité

Plus en détail

Charte d'hébergement des sites Web

Charte d'hébergement des sites Web Page 1 Charte d'hébergement des sites Web mise à jour : 12/2006 Définitions Serveur Ensemble des matériels destinés à héberger un ou plusieurs sites. Site Ensemble d informations (intégrant documents,

Plus en détail

Exemple de directives relatives à l utilisation du courrier électronique et d Internet au sein de l'entreprise

Exemple de directives relatives à l utilisation du courrier électronique et d Internet au sein de l'entreprise http://www.droit-technologie.org Présente : Exemple de directives relatives à l utilisation du courrier électronique et d Internet au sein de l'entreprise Olivier Rijckaert Avocat au barreau de Bruxelles,

Plus en détail

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec

Plus en détail

L'affaire de la crèche Baby Loup fera-t-elle jurisprudence?

L'affaire de la crèche Baby Loup fera-t-elle jurisprudence? 1 sur 6 25/10/2014 17:00 BFMTV (HTTP://WWW.BFMTV.COM/) SOCIÉTÉ (HTTP://WWW.BFMTV.COM/SOCIETE/) JUSTICE (HTTP://WWW.BFMTV.COM/SOCIETE/JUSTICE/) BFMTV A. K. Publié le 19/03/2013 à 18h45 Mis à jour le 19/03/2013

Plus en détail

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat.

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat. LMD COLLECTION Expertise comptable Le meilleur du DCG 3 Droit social 2 e ÉDITION Marie-Paule Schneider Maryse Ravat Sup FOUCHER «Le photocopillage, c est l usage abusif et collectif de la photocopie sans

Plus en détail

actualité sociale : un an de jurisprudence

actualité sociale : un an de jurisprudence actualité sociale : un an de jurisprudence Octobre 2010 2 Actualité Sociale Comme chaque année, l actualité sociale a été riche, particulièrement l actualité jurisprudentielle. La production de la Cour

Plus en détail

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE «Nos valeurs et nos règles» pour nos partenaires commerciaux Code de conduite pour le partenaire commercial de MSD [Édition 1] MSD est engagée dans une démarche

Plus en détail

DROIT SOCIAL MISE A DISPOSITION DE PERSONNEL INTRA-GROUPE : ATTENTION AUX DELITS DE PRET ILLICITE DE MAIN D ŒUVRE ET DE MARCHANDAGE

DROIT SOCIAL MISE A DISPOSITION DE PERSONNEL INTRA-GROUPE : ATTENTION AUX DELITS DE PRET ILLICITE DE MAIN D ŒUVRE ET DE MARCHANDAGE DROIT SOCIAL MISE A DISPOSITION DE PERSONNEL INTRA-GROUPE : ATTENTION AUX DELITS DE PRET ILLICITE DE MAIN D ŒUVRE Véronique VINCENT Juin 2011 Dans un arrêt du 18 mai 2011 (Cass.soc., n 09-69.175), la Cour

Plus en détail

L AFFICHAGE OBLIGATOIRE DANS LES ENTREPRISES ARTISANALES

L AFFICHAGE OBLIGATOIRE DANS LES ENTREPRISES ARTISANALES + L AFFICHAGE OBLIGATOIRE DANS LES ENTREPRISES ARTISANALES Union Européenne L action Développeur de l Alternance est cofinancée par l Union Européenne. L Europe s engage en Haute- Normandie avec le FSE.

Plus en détail

CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES

CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES informatiques d Inria CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES Table des matières 1. Préambule...3 2. Définitions...3 3. Domaine d application...4 4. Autorisation d accès aux ressources informatiques...5

Plus en détail

La Bibliothèque municipale a pour mission de contribuer aux loisirs, à l information, à l éducation et à la culture de tous.

La Bibliothèque municipale a pour mission de contribuer aux loisirs, à l information, à l éducation et à la culture de tous. REGLEMENT INTERIEUR BIBLIOTHEQUE ESPACE INFORMATIQUE DE ROHAN Tout usager par le fait de son inscription ou de l utilisation des services de la Bibliothèque et Espace informatique est soumis au présent

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se

Plus en détail

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail

Plus en détail

Thème 1. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise?

Thème 1. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise? S O M M A I R E Thème. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise? CHAPITRE Qu est-ce que l «entreprise» pour le droit aujourd hui? 9 Le principe d unité des règles de droit... 0 Le statut

Plus en détail

Déclaration des droits sur Internet

Déclaration des droits sur Internet Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.

Plus en détail

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue anglaise régira à tous égards vos droits et obligations. L

Plus en détail

Charte d hébergement de site web

Charte d hébergement de site web Cellule Technologies de l Information et de la Communication pour l Enseignement Rectorat de l académie de la Martinique Les Hauts de Terreville 97279 Schoelcher Cedex Fax : 0596.52.26.47 - Tèl : 05.96.52.26.46

Plus en détail

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...

Plus en détail

La Responsabilité Médicale de l Hépatogastroentérologue

La Responsabilité Médicale de l Hépatogastroentérologue Fiche d information juridique La Responsabilité Médicale de l Hépatogastroentérologue Mars 2011 Isabelle Joly, Lionel Parois, Patrice Pienkowski, Bruno Richard-Molard, René Laugier et la Commission Juridique

Plus en détail

Forum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations

Forum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations Forum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations Centre de Ressources et d Information des Bénévoles Ce que l on va aborder Propos introductifs : l esprit

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89

Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89 Paris, le 12 janvier 2012 Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89 Vu l article 71-1 de la Constitution du 4 octobre 1958 ; Vu la loi organique n 2011-333 du 29 mars 2011 relative au Défenseur des

Plus en détail

L actualité de la jurisprudence de droit public et privé

L actualité de la jurisprudence de droit public et privé Fédération de la Santé et de l Action Sociale L actualité de la jurisprudence de droit public et privé Avril 2014 La Fédération CGT Santé Action Sociale met à votre disposition une sélection non exhaustive

Plus en détail

ACCORD DU 5 AVRIL 2006

ACCORD DU 5 AVRIL 2006 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 7501. CRÉDIT AGRICOLE (4 novembre 1987) ACCORD DU 5 AVRIL 2006 RELATIF AUX MODALITÉS D APPLICATION

Plus en détail

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Charte de la laïcité à l École Charte commentée Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales

Plus en détail

Introduction au droit La responsabilité professionnelle

Introduction au droit La responsabilité professionnelle Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige

Plus en détail

CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale. IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011

CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale. IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011 RELATIF À LA

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR TRAVELEX PARIS SAS

REGLEMENT INTERIEUR TRAVELEX PARIS SAS REGLEMENT INTERIEUR TRAVELEX PARIS SAS Le présent règlement s applique à l ensemble des membres du personnel de la Société Travelex Paris SAS dont le siège social est situé 17, route de la Reine 92100

Plus en détail

INTRODUCTION EN RÉSUMÉ

INTRODUCTION EN RÉSUMÉ Le présent guide est une production collective des entreprises partenaires. Il a été élaboré dans le cadre du programme européen «Equal» et du projet villeurbannais «Accede» (acteurs concertés pour l égalité

Plus en détail

Guide RH. du dirigeant TPE - PME/PMI. «Gérer son personnel : conseils pratiques et aspects réglementaires»

Guide RH. du dirigeant TPE - PME/PMI. «Gérer son personnel : conseils pratiques et aspects réglementaires» couv + sommaire 10/12/08 16:46 Page 1 Guide RH du dirigeant TPE - PME/PMI «Gérer son personnel : conseils pratiques et aspects réglementaires» Les PME et TPE sont très souvent «désarmées» face à la gestion

Plus en détail

Code à l intention des partenaires commerciaux

Code à l intention des partenaires commerciaux Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect

Plus en détail

Jurisanimation.fr 2012 - Tous droits réservés. Les docs de LA RESPONSABILITE DU DIRECTEUR D ACM

Jurisanimation.fr 2012 - Tous droits réservés. Les docs de LA RESPONSABILITE DU DIRECTEUR D ACM 2012 - Tous droits réservés Les docs de LA RESPONSABILITE DU DIRECTEUR D ACM LA RESPONSABILITE DU DIRECTEUR D ACM En principe, on qualifie la responsabilité comme le fait d assumer la conséquence de ses

Plus en détail

M. Frouin (conseiller le plus ancien faisant fonction de président), président

M. Frouin (conseiller le plus ancien faisant fonction de président), président Cour de cassation chambre sociale Audience publique du 3 novembre 2011 N de pourvoi: 10-20765 Non publié au bulletin Rejet M. Frouin (conseiller le plus ancien faisant fonction de président), président

Plus en détail

La responsabilité des personnes morales et de leurs collaborateurs dans le BTP

La responsabilité des personnes morales et de leurs collaborateurs dans le BTP La responsabilité des personnes morales et de leurs collaborateurs dans le BTP Etude réalisée par la Commission des Marchés et la Commission Sociale d EGF.BTP. Droit social et de l hygiène sécurité Droit

Plus en détail

info DROIT SOCIAL Egalité de traitement et avantages catégoriels

info DROIT SOCIAL Egalité de traitement et avantages catégoriels n 4 > 4 mars 2015 info ACTUALITÉ JURIDIQUE Sommaire Droit social Egalité de traitement et avantages catégoriels Clauses de non concurrence Droit d accès aux SMS non personnels par l employeur Droit fiscal

Plus en détail

Coach motive est un organisme de formation professionnel indépendant dont le siège social est au 1 allée des 4 sous 95160 Montmorency

Coach motive est un organisme de formation professionnel indépendant dont le siège social est au 1 allée des 4 sous 95160 Montmorency I PRÉAMBULE Coach motive est un organisme de formation professionnel indépendant dont le siège social est au 1 allée des 4 sous 95160 Montmorency Coach motive est déclaré sous le numéro de déclaration

Plus en détail

PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT)

PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT) PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT) 1. Les orientations générales L enseignement de droit est centré sur la maîtrise des mécanismes juridiques fondamentaux et

Plus en détail

Réponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres

Réponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres Réponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres Question 1 : «En France, la rédaction d un rapport sur la responsabilité sociale et environnementale

Plus en détail

La responsabilité pénale dans l entreprise

La responsabilité pénale dans l entreprise La responsabilité pénale dans l entreprise PLATO Le Lieu : CCI Granville. 1 Plan de l intervention Déterminer les zones de risques pénales dans l entreprise. Qui peut voir sa responsabilité pénale engagée?

Plus en détail

L ASSURANCE COLLECTIVE : LES DÉFIS ÉMERGEANTS. Présentation du 27 octobre 2008. Par Me MICHEL GILBERT GRONDIN POUDRIER BERNIER S.E.N.C.R.L.

L ASSURANCE COLLECTIVE : LES DÉFIS ÉMERGEANTS. Présentation du 27 octobre 2008. Par Me MICHEL GILBERT GRONDIN POUDRIER BERNIER S.E.N.C.R.L. L ASSURANCE COLLECTIVE : LES DÉFIS ÉMERGEANTS Présentation du 27 octobre 2008 Par Me MICHEL GILBERT GRONDIN POUDRIER BERNIER S.E.N.C.R.L. I- CONTRAT D ASSURANCE COLLECTIVE A) Définition du contrat d assurance

Plus en détail

PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT)

PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT) PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT) 1. Les orientations générales L enseignement de droit est centré sur la maîtrise des mécanismes juridiques fondamentaux et

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...

Plus en détail

Les questions juridiques importantes quand on lance une start-up

Les questions juridiques importantes quand on lance une start-up Swiss Tech Talks - 26 février 2015 - Sion Les questions juridiques importantes quand on lance une start-up Avocat-stagiaire à Sion Juriste spécialisé en droit des technologies de l information Secrétaire

Plus en détail

CLAUSE DE NON CONCURRENCE (CNC)

CLAUSE DE NON CONCURRENCE (CNC) CLAUSE DE NON CONCURRENCE (CNC) La concurrence est la situation dans laquelle se trouve une personne ou une entreprise par rapport à une ou plusieurs autres lorsque, tout en faisant des profits, elle peut

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

SESSION 2012 UE 3 DROIT SOCIAL. Durée de l épreuve : 3 heures - coefficient : 1

SESSION 2012 UE 3 DROIT SOCIAL. Durée de l épreuve : 3 heures - coefficient : 1 1210003 DCG SESSION 2012 UE 3 DROIT SOCIAL Durée de l épreuve : 3 heures - coefficient : 1 Aucun document personnel, ni aucun matériel ne sont autorisés. En conséquence, tout usage d une calculatrice ou

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES Le prêt de main d œuvre est pratiqué de longue date dans le secteur du Bâtiment. Il consiste, de la part d un entrepreneur,

Plus en détail

des données à caractère personnel A. Les cinq principes clefs à respecter Page 2 Fiche n 1 : Les fichiers relatifs aux clients Page 13

des données à caractère personnel A. Les cinq principes clefs à respecter Page 2 Fiche n 1 : Les fichiers relatifs aux clients Page 13 LES Avocats ET LA LOI INFORMATIQUE ET LIBERTÉS Édition 2011 Sommaire Avant-propos Page 1 I. Le cadre général de la protection Page 2 des données à caractère personnel A. Les cinq principes clefs à respecter

Plus en détail

Charte Éthique. de la Mutuelle Intégrance. Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance

Charte Éthique. de la Mutuelle Intégrance. Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance Charte Éthique de la Mutuelle Intégrance Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance Préambule La Mutuelle Intégrance est une mutuelle basée sur une solidarité militante. Celle d une mutuelle fondée par

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

LE PRET DE MAIN D OEUVRE

LE PRET DE MAIN D OEUVRE LE PRET DE MAIN D OEUVRE CCI CHERBOURG-COTENTIN Marie-Laure LAURENT Avocat au Département Droit social Tel : 02.33.88.36.36 Mail : marie-laure.laurent@fidal.fr Mardi 25 juin 2013 1 Relation triangulaire

Plus en détail

GEWISS FRANCE S.A.S. CODE D ETHIQUE INFORMATIQUE

GEWISS FRANCE S.A.S. CODE D ETHIQUE INFORMATIQUE GEWISS FRANCE S.A.S. CODE D ETHIQUE INFORMATIQUE Juillet 2014 INDEX INTRODUCTION... 3 1. DÉFINITIONS... 3 2. LES SYSTEMES D'INFORMATION DE LA SOCIÉTÉ RÈGLES GÉNÉRALES... 3 3. UTILISATION DES ÉQUIPEMENTS

Plus en détail

- 1 - Circulaire du 3 août 2010. Relative aux modalités de recours à l intérim dans la fonction publique

- 1 - Circulaire du 3 août 2010. Relative aux modalités de recours à l intérim dans la fonction publique - 1 - RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique NOR : MTSF1009518C Circulaire du 3 août 2010 Relative aux modalités de recours à l intérim dans la fonction

Plus en détail

MANDAT DE LOCATION AVEC EXCLUSIVITE N 2014/000

MANDAT DE LOCATION AVEC EXCLUSIVITE N 2014/000 MANDAT DE LOCATION AVEC EXCLUSIVITE N 2014/000 Le mandat est obligatoire (article 6 loi n 70-9 du 2 janvier 1970 et article 72 décret n 72-678 du 20 juillet 1972) ENTRE LES SOUSSIGNÉS, ci-après dénommés

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

Licence EE option Electrotechnique et Energies Renouvelables

Licence EE option Electrotechnique et Energies Renouvelables Pré-requis : Moyens : Compétences attendues: Aucun Aucun A l issue de ce cours les étudiants sont en mesure de connaître Le droit et son implication dans chaque domaine de la vie professionnelle L imbrication

Plus en détail

Comment s établir aux États-unis?

Comment s établir aux États-unis? Comment s établir aux États-unis? Zara Law Offices 111 John Street Suite 510 New York, NY 10038 Tel: 1-212-619 45 00 Fax: 1-212-619 45 20 www.zaralawny.com 1 Introduction La récente baisse du dollar constitue

Plus en détail

Les responsabilités à l hôpital

Les responsabilités à l hôpital Les responsabilités à l hôpital Pour aller à l essentiel Dans leurs activités de prévention de diagnostic et de soins, les établissements publics de santé et les personnels qui y exercent relèvent principalement

Plus en détail

Questions sociales : Droit du travail

Questions sociales : Droit du travail Université Montesquieu-Bordeaux IV Institut d Etudes politiques de Bordeaux Prép ENA 2004-2005 O. PUJOLAR, Maître de conférences Questions sociales : Droit du travail Répartition des Fiches - Exposés 2004-2005

Plus en détail

Cadre juridique du recours aux stagiaires en entreprise

Cadre juridique du recours aux stagiaires en entreprise Cadre juridique du recours aux stagiaires en entreprise Jusqu à présent, il n existait aucune définition juridique du stage en entreprise, et ce concept aux contours fuyants pouvait regrouper une grande

Plus en détail

N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code

Plus en détail

JOURNEE DE SOLIDARITE

JOURNEE DE SOLIDARITE JOURNEE DE SOLIDARITE 15/12/2014 La loi n 2004-626 du 30 juin 2004 a introduit dans le code du travail un article L 212-16 relatif à l institution d une journée de solidarité «en vue d assurer le financement

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL LIVRE PREMIER: RELATIONS INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES DU TRAVAIL LIVRE II: REGLEMENTATION ET CONDITIONS DE TRAVAIL

CODE DU TRAVAIL LIVRE PREMIER: RELATIONS INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES DU TRAVAIL LIVRE II: REGLEMENTATION ET CONDITIONS DE TRAVAIL CODE DU TRAVAIL LIVRE PREMIER: RELATIONS INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES DU TRAVAIL LIVRE II: REGLEMENTATION ET CONDITIONS DE TRAVAIL LIVRE III: PROTECTION, SECURITE ET SANTE DES SALARIES LIVRE IV: REPRESENTATION

Plus en détail

Mesurer pour progresser vers l égalité des chances GUIDE MÉTHODOLOGIQUE À L USAGE DES ACTEURS DE L EMPLOI

Mesurer pour progresser vers l égalité des chances GUIDE MÉTHODOLOGIQUE À L USAGE DES ACTEURS DE L EMPLOI Mesurer pour progresser vers l égalité des chances GUIDE MÉTHODOLOGIQUE À L USAGE DES ACTEURS DE L EMPLOI Ont notamment contribué à la réalisation de cet ouvrage CNIL : Yann PADOVA, Marie-Hélène MITJAVILE,

Plus en détail

Comment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux?

Comment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? Les cahiers de l Observatoire Comment un accident peut-il engager la responsabilité pénale des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? table des matières Avant-propos de Bernard Bellec... P. 5

Plus en détail

Responsabilité pénale de l association

Responsabilité pénale de l association Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et

Plus en détail

Faire face aux sanctions dans le secteur privé

Faire face aux sanctions dans le secteur privé Faire face aux sanctions dans le secteur privé Brochure éditée le 30 octobre 2009 par la commission formation Solidaires Nord-Pas-de-Calais 84 rue de cambrai à Lille Téléphone/fax 03.20.48.64.37 Courriel

Plus en détail

A LA UNE. L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois

A LA UNE. L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois NEWSLETTER SOCIALE M A I 2 0 1 5 A LA UNE L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois La loi du 2 août 2005 a porté la durée des mandats

Plus en détail

Les données à caractère personnel

Les données à caractère personnel Les données à caractère personnel Loi n 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertésrefondue par la loi du 6 août 2004, prenant en compte les directives 95/46/CE du Parlement

Plus en détail

ASSURANCE RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions/Réponses. Questions relatives à l objet des garanties :

ASSURANCE RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions/Réponses. Questions relatives à l objet des garanties : ASSURANCE RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions/Réponses Cette synthèse a pour objet de répondre aux questions les plus fréquemment posées relatives au contrat d assurance RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions relatives

Plus en détail

Le tableau présente 6 processus de la gestion des ressources humaines et un volet communication:

Le tableau présente 6 processus de la gestion des ressources humaines et un volet communication: OUTIL 9. LISTE NON-EXHAUSTIVE D EXEMPLES D ACTIONS DIVERSITÉ PAR DOMAINE RH [ OUTILS ] Ce document propose des pistes d action ainsi que des points d attention pour favoriser l égalité des chances au sein

Plus en détail

LES AGENTS NON TITULAIRES DE DROIT PUBLIC LE RECRUTEMENT LOI DÉCRET

LES AGENTS NON TITULAIRES DE DROIT PUBLIC LE RECRUTEMENT LOI DÉCRET LES AGENTS NON TITULAIRES DE DROIT PUBLIC DÉCRET LE RECRUTEMENT OI N 83-634 DU 13 OI N 84-53 DU 26 ÉCRET N 88-145 DU 15 13 JUILLET 1983 MODIFIÉE 26 JANVIER 1984 MODIFIÉE 15 FÉVRIER 1988 MODIFIÉ 1988 Un

Plus en détail

A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement

A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement (Extraits) Sur le licenciement : Attendu que la lettre de licenciement, qui fixe les limites du litige, doit être suffisamment

Plus en détail

FICHE OBLIGATIONS LEGALES

FICHE OBLIGATIONS LEGALES FICHE OBLIGATIONS LEGALES L article 99 de la loi n 2010-1330 du 9 novembre 2 010 portant réforme des retraites a instauré, à compter du 1 er janvier 2012, pour les entreprises dont l effectif est au moins

Plus en détail

LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION

LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,

Plus en détail

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,

Plus en détail

CHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE

CHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective IDCC : 1468. CRÉDIT MUTUEL (29 juin 1987) AVENANT DU 24 SEPTEMBRE

Plus en détail

ALCOOL AU TRAVAIL. Sources :

ALCOOL AU TRAVAIL. Sources : 1 ALCOOL AU TRAVAIL Sources : http://www.service-public.fr/actualites/003191.html?xtor=epr-140 http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/f32177.xhtml L'employeur peut autoriser ses salariés à boire

Plus en détail