L Education thérapeutique pour

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L Education thérapeutique pour"

Transcription

1 L Education thérapeutique pour les nuls Dany Baud CHS Pneumologie(Chevilly Larue) Groupe de travail ETP/ SPLF «Ether» Dr François Martin CH Dreux 1

2 Vous avez dit «nuls»? Qu est ce qu être nul? Qui est nul? - Les médecins? -Les malades? Faire avec le savoir et l expérience de chacun sous peine de double exclusion; l exemple de Mme X et de ses gants 2

3 A case vignette highlightinga commonclinicalproblem (N EnglJ Med August 19, 2010) Une femme de 46 ans hospitalisée en soins intensifs à deux reprises l an passé pour asthme, présente depuis 4 jours une rhinopharyngite et depuis 6 heures un essoufflement avec des sifflements. Habituellement, elle n utilise les CSI prescrits, qu en cas de symptômes ce qui est rare. Elle utilise généralement le salbutamol2x/j mais 6 à 8x depuis 3 jours. 3

4 L ETP un renversement de position Question du N Engl Comment prendre en charge ce cas dans le service des urgences? La question de «l éducateur» Comment la patiente aurait pu éviter ou faire face à cette exacerbation? 4

5 L ETP Pour qui, comment, pourquoi? S adresse aux patients atteints de maladies chroniques Implique une centration sur le patient Est intégrée aux soins Aide les patients à acquérir des compétences de 2 types -d autosoins -d adaptation ou psychosociales 5

6 Les compétencesd autosoins Comprendre, s expliquer Repérer, analyser, mesurer Faire face, décider Résoudre un problème thérapeutique Pratiquer, faire Adapter, réajuster, initier un autotraitement Utiliser les ressources du système de soins 6

7 Les compétences d adaptation Avoir confiance en soi Développer un sentiment d auto-efficacité Renforcer ou même restaurer l image soi Savoir gérer ses émotions, son stress Informer son entourage Rechercher de l aide S observer, s évaluer 7

8 L ETP en pratique «Au commencement était le patient» Connaître le patient dans toutes ses dimensions (est, fait, a, sait, voudrait) Comment? - Entretien, écoute technique, récit de vie, projet Dans quels buts? -Acquérir des compétences (objectifs pédagogiques) - Établir un programme personnalisé d ETP (Séances, calendrier, méthodes pédagogiques, évaluation) 8

9 Le cycle de l ETP Reprise Diagnostic éducatif Evaluation Objectifs pédagogiques Programme personnalisé 9

10 Retour au cas-vignette Ce que l on sait -données biomédicales: passé récent d asthme grave, traitement de fond non pris, méconnaissance possible des effets des effets des médicaments, prise quotidienne de Beta2 +, facteur déclenchant identifiable infectieux Ce que l on ne sait pas -aucune donnée psychosociale ET pourtant 10

11 Recommandations pour la sortie Médicaments Education d USI. - Revoir les effets et les doses des médicaments de l asthme - Revoir les techniques de prise des inhalateurs - Apprendre au patient à repérer les signes d un asthme non contrôlé - Fournir au patient un plan d action Suivi 11

12 Et pourtant Que dit le Chapeau? Le nombre des visites en urgence pour asthme varie selon des données sociodémographiques Enfant/adultes = 11,2/7,8 pour 100 personnes Noirs/blancs = 21/7 Hispaniques /non hispaniques = 12,4/8,4 Femmes /homme = 2 pour 1 En dehors de l éducation, existe-t-il un traitement capable de modifier ces phénotypes de gravité? 12

13 Conclusion L ETP Est centrée sur le patient N est pas une simple information Implique une formation des acteurs et des programmes définis Repose sur l intelligibilité partagée Vise l action et le changement Fait partie intégrante des soins S évalue 13

14 14

15 la mise en œuvre de l ETP (ou un été réglementaire foisonnant ) HPST Décrets Arrets 15

16 Code de la santé publique Partie législative Première partie : Protection générale de la santé Livre Ier : Protection des personnes en matière de santé Titre VI : Education thérapeutique du patient Chapitre II : Dispositions pénales Article L1162-1Créé par LOI n du 21 juillet art. 84 Est puni de d'amende le fait de mettre en œuvre un programme sans une autorisation prévue aux articles L et L /05/10 F. Martin Pdt de la Conférence Régionale de Santé 16

17 05/05/10 F. Martin Pdt de la Conférence Régionale de Santé 17

18 Le décret relatif aux CONDITIONS D AUTORISATION des programmes d ETP (2 août 2010) Arrêtés relatifs au CAHIER DES CHARGES des programmes d ETP et à la composition du DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION (2 août 2010 Le décret et arrêté relatifs aux COMPÉTENCES requises pour dispenser l ETP (2 août 2010)

19 L équipe Transparence Le programme Évaluation La coordination Confidentialité Déontologie La solidité d une chaîne est déterminée par son maillon le plus faible

20

21

22 UTEP ou Service? 22

23 Pôle Addictologie Prévention Éducation ETP CH Dreux 23 15/04/09 F Martin

24 Principe de conception et évolution des programmes Identification des besoins Identification des compétences à acquérir (autosoins et adaptation) Conception du programme structuré Visibilité du parcours éducatif en lien avec le parcours de soins. Évoluent selon les besoins des patients, les recommandations 24

25 Critères de qualité d un programme d éducation thérapeutique (HAS, circulaire DHOS 16 juillet 2008) 1. un programme structuré: écrit (diagnostic éducatif, mise en œuvre,éval,suivi )faisant références a des éléments publiés (HAS) 2. Réalisé par des professionnels formés 3. coordinationavec acteurs sur le territoire de santé (médecin traitant) 4. Files actives identifiables

26 26 26

27 Les programmes Typologie :filières (asthme) / ouverts (préducoeur) Un responsable par programme Un staff mensuel ETP Élaboration d un rapport d activité annuel Évaluation adaptation des programmes aux besoins des patients (outils pédagogiques,recommandations ) Coordination,information au medecin traitant Health Promoting Hospitals 27

28 Les «programmes»: Asthme:enfants,adultes (filière) M.Ducret Préducoeur:ateliers(ouverts) ; Antivit K (liaison) I Huneau B Decelle Stomies: G Laisney (7,5 consultations par patient) Rhumatismes inflamatoires:(biothérapies) C Deulet En projet ;BPCO En partenariat avec service:diabete(1 et 2;service de diabétologie) une IDE;une diet (ETP) En lien avec le CLAT :Tuberculose (0,2 IDE) Health Promoting Hospitals

29 Principes organisationnels de l UTEP (unité transversale d éducation thérapeutique ) CH Dreux Une organisation transversale INTRA HOSPITALIERE: 1. Unité fonctionnelle «Education thérapeutique» Budget fléchés éducation thérapeutique Pas de dispersion des budgets Concentration des efforts de recherche de financement Interlocuteur unique pour les tutelles Affectation comptable des effectifs dédiés 2.Rattachement hiérarchique à un pôle centre de responsabilité Formation des équipes Staffs mensuels Bilans d activité Conseil méthodologique Garant de la qualité du programme 3.Rattachement fonctionnel aux unités de soins concernées 29

30 Principes organisationnels Une organisation transversale TERRITORIALE (en lien avec la ville) : Formations (FMC, EPU, associations patients...) Coordination (réseaux, ASV, CES CPAM) Communication (journées OMS, radio locale ) Une culture de la promotion de la santé à l'hôpital Organisation apprenante, communication, empowerment Intégration réciproque soin prévention 30

31 Professionnels ressources : les paramédicaux 2 niveaux d intervention et de compétence Sanctuariser / polyvalence / chronophage Professionnels dédiésformés(du,master 2 ) à l éducation thérapeutique) équipe ressource 9,65 ETP dont: 5,4 IDE: 1 ETP diabétologie; 1 ETP asthme; 1 ETP cardiovasculaire ; 0,8 ETP rhumatologie; 1 ETP chirurgie (stomies); 0,6 ETP BPCO Autres professionnels : 3,6 diététiciennes (dont 1 ETP diabeto); 0,5 ETP documentaliste; 0,25 ETP cadre santé; 0,5 ETP secrétariat Un praticien référent médical par discipline ;un PH coordinateur (0,20 ETP) Professionnels relaisdes unités de soins intégrant la relation éducative dans la démarche de soins au quotidien formation interne sensibilisation (une journée de formation annuelle pour 8 à 10 IDE/année ) ETP CH Dreux 31 15/04/09 F Martin

32 Health Promoting Hospitals 15/04/09 F Martin ETP CH Dreux 32

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

L éducation thérapeutique des patients

L éducation thérapeutique des patients Claude Dreux (a), Fabienne Blanchet (b) (a) Président du Cespharm (Comité d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française) Ordre national des Pharmaciens Membre des Académies nationales de médecine

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Mieux vivre avec votre asthme

Mieux vivre avec votre asthme Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.

Plus en détail

Note de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011

Note de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une

Plus en détail

V. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon

V. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon V. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon 1 Définition : Santé bucco-dentaire (OMS Avril 2012) Essentielle pour l état général

Plus en détail

Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête. mieux dans sa vie!

Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête. mieux dans sa vie! Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête mieux dans sa vie! Pathophysiologie BPCO: Le cercle vicieux du déconditionnement VEMS Déconditionnement Dyspnée Immobilité Dépression Isolement social impairment

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE pour développer et pérenniser les centres de santé LES SOINS DE PREMIERS RECOURS CARACTÉRISTIQUES ET RÔLE DES CENTRES DE SANTÉ Les différentes formes d exercice médical regroupé

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE

Plus en détail

FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu

FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?

Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie

Plus en détail

l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue

l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue Surveiller et punir/ le panoptisme Michel Foucault Un assujettissement réel nait mécaniquement

Plus en détail

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance

Plus en détail

La régulation des transports sanitaires par les SAMU

La régulation des transports sanitaires par les SAMU La régulation des transports sanitaires par les SAMU DHOS SDO Bureau O1 1 L organisation des transports sanitaires urgents : une mission permanente Principe : Les transports sanitaires sont une mission

Plus en détail

PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE

PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE SANTE DES PERSONNES ATTEINTES DE MALADIES CHRONIQUES - LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE (BPCO) 2012-2016 Projet Régional de Santé du Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail Guide pratique 6 / 6 MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, MINISTÈRE MINISTÈRE DU BUDGET, DE DU LA BUDGET, FONCTION DES COMPTES DES COMPTES PUBLIQUE PUBLICS, PUBLICS, ET DE LA RÉFORME DE L ETAT DE

Plus en détail

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr

Plus en détail

recommandations pour les médecins de famille

recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central

Plus en détail

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE» IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

Référent et management

Référent et management Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

Le Psoriasis Qui est touché?

Le Psoriasis Qui est touché? LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des

Plus en détail

Education Thérapeutique (ETP)

Education Thérapeutique (ETP) Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale

Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique

Plus en détail

RAPPORT DE SYNTHESE DE L ENQUETE REGIONALE DES PASS

RAPPORT DE SYNTHESE DE L ENQUETE REGIONALE DES PASS 2014 RAPPORT DE SYNTHESE DE L ENQUETE REGIONALE DES PASS PRAPS 2012-2016 Auteurs : Dr Daouya ROY, Responsable Projet, Pôle Médical Sandra BOUDOUL, Adjointe DSPE Cette étude est le résultat d un travail

Plus en détail

Prise en compte de la population sourde dans le système de soins

Prise en compte de la population sourde dans le système de soins Prise en compte de la population sourde dans le système de soins Création d unités de soins pour personnes Sourdes en France Présenté le 16 février 2010 Docteur Isabelle RIDOUX Les personnes Sourdes Combien

Plus en détail

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l

Plus en détail

3. Exemple de budgets ventilés

3. Exemple de budgets ventilés 3. Exemple de budgets ventilés La présente section donne des exemples de divers genres de postes budgétaires que vous pouvez utiliser lorsque vous présentez votre projet à un donateur. Le premier exemple

Plus en détail

Assemblée Générale Fédération Française de Pneumologie. Salon PASTEUR Centre de Congrès Lyon dimanche 4 février 2007

Assemblée Générale Fédération Française de Pneumologie. Salon PASTEUR Centre de Congrès Lyon dimanche 4 février 2007 Assemblée Générale Fédération Française de Pneumologie. Salon PASTEUR Centre de Congrès Lyon dimanche 4 février 2007 Etaient représentées par : AEPL AMP APIF APPLR APRN Assoc. BPCO CNMR CPHG FFAAIR SAR

Plus en détail

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil. Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses

Plus en détail

Rapport de synthèse Février 2002

Rapport de synthèse Février 2002 TYPOLOGIE DESCRIPTIVE DE L ACTIVITÉ D ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE EN GROUPE DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE DE L ASTHME ET DU DIABÈTE Rapport de synthèse Février 2002 CNAMTS PERNNS DHOS SOMMAIRE MISSION...

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE

MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/SEC//BR/DS/PP/DSA/N 12-04 Danielle SOULAT 01 43 93 84 77 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : CHEF DE PROJET ARCHIVAGE ET SYSTEME D

Plus en détail

soins va changer et quelle est la place des TIC?

soins va changer et quelle est la place des TIC? Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place

Plus en détail

L éducation thérapeutique du patient

L éducation thérapeutique du patient L A REVUE DE RÉFÉRENCE INFIRMIÈRE Tiré à part 2012 Ce livret vous est offert par la 1 re mutuelle des professionnels de la santé L éducation p1 p3 p5 p7 p9 p11 p13 p15 p17 p19 Connaître le contexte L organisation

Plus en détail

à Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information

à Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information CIRCULAIRE CIR-2/2012 Document consultable dans Médi@m Date : 03/01/2012 Domaine(s) : gestion des prestations en nature à Mesdames et Messieurs les Directeurs CPAM CARSAT UGECAM CGSS CTI Agents Comptables

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

Comment devenir référent? Comment le rester?

Comment devenir référent? Comment le rester? Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Prenons 2 minutes pour en parler!

Prenons 2 minutes pour en parler! TSO-BPCO-ASTHME Parce que vos questions ne doivent pas rester sans réponses > 3 options : Votre délégué arrow génériques répondra à vos questions. Vous pouvez nous contacter sur formation@arrow-generiques.com

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique

Plus en détail

PSDP et usage des pénicillines - ESAC

PSDP et usage des pénicillines - ESAC Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»

Plus en détail

Institut de FORMATION

Institut de FORMATION Institut de FORMATION plaquette.indd 1 28/11/2012 20:52:47 edito L INSTITUT DE FORMATION J.LEPERCQ Fondé en 1946, l institut de formation est un établissement situé dans le centre ville, à taille humaine

Plus en détail

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATIONS

CATALOGUE DE FORMATIONS Efficacité personnelle, communication, pour une efficience professionnelle Pour développer ou renforcer vos compétences Pour gagner en autonomie Pour favoriser les solutions plutôt que les problèmes Choisissez

Plus en détail

Dr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014

Dr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014 Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique

Plus en détail

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues

Plus en détail

Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale

Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale La hiérarchisation des risques, une aide à la décision 2 ème congrès de l Afgris 16 et 17 octobre 2003 Direction de l Hospitalisation

Plus en détail

Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015

Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015 Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015 Objectif AOI Accompagner une amélioration de la santé dentaire de populations démunies Pays en développement France AOI - France - Val de Marne Faciliter

Plus en détail

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Dans ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE POSITION DE L AIIC

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Certification des Etablissements de Santé en France

Certification des Etablissements de Santé en France Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :

Plus en détail

POUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY

POUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/DGP/ERH4/CP/FG/DEJ/N 13-21( 1 bis) Equipe RH 4 01 43 93 89 45 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : DIRECTION ET SERVICE : CATEGORIE

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques

Plus en détail

Le DMP a-t-il un intérêt en 2014 pour les patients. Jean-Pierre Bastard Président du CISS Auvergne

Le DMP a-t-il un intérêt en 2014 pour les patients. Jean-Pierre Bastard Président du CISS Auvergne Le DMP a-t-il un intérêt en 2014 pour les patients. Jean-Pierre Bastard Président du CISS Auvergne Le rôle du CISS approcher de manière collective les problématiques concernant les usagers du système de

Plus en détail

Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»

Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la

Plus en détail

Biarritz Côte basque, territoire pilote du Sport Santé sur ordonnance

Biarritz Côte basque, territoire pilote du Sport Santé sur ordonnance Communiqué de presse 19 mai 2015 INNOVATION SANTE INNOVATION TERRITOIRE Biarritz Côte basque, territoire pilote du Sport Santé sur ordonnance Alors que la loi santé votée le 14 avril 2014 met en avant

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Catalogue de formations

Catalogue de formations Conseil et formation en Marketing Web /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Catalogue de

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

Comment utiliser cet outil?

Comment utiliser cet outil? Comment utiliser cet outil? Cette aide vous permet à la fois de découvrir les ressources disponibles et de comprendre comment les exploiter au mieux. Fichier à imprimer (6 pages) ou à laisser ouvert pour

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ. SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS (Learning Management System) DU CENTRE DE FORMATION POUR LE DEVELOPPEMENT CFD/MADAGASCAR

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc

Plus en détail

COMMISSION du 02/04/2014 CPAM14

COMMISSION du 02/04/2014 CPAM14 Présents : COMMISSION du 02/04/2014 CPAM14 Ambulanciers : Mr VASSET, Mr de K, Mr MOUCHEL, Mme DOUCHIN CPAM14 : Mme LAGARRIGUE C, Mr MARIAGE, Mr GOUVILLE (Responsable relations CH), MME LEMENAGER (Responsable

Plus en détail

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques

Plus en détail

http://www.inami.fgov.be/drug/fr/drugs/groups/asthma_bpco_copd/faq.htm

http://www.inami.fgov.be/drug/fr/drugs/groups/asthma_bpco_copd/faq.htm Page 1 sur 6 Vous êtes ici : Accueil > Médicaments et autres > Médicaments > Asthme et BPCO : prescription des médicaments selon les recommandations > FAQ - Asthme et BPCO Questions fréquemment posées

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE LA m-santé

OBSERVATOIRE DE LA m-santé OBSERVATOIRE DE LA m-santé La m-santé, de nouvelles perspectives pour le bien-être et la santé Qu il s agisse de surveiller son poids ou son alimentation, d arrêter de fumer, de mesurer son activité physique

Plus en détail

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de

Plus en détail

Enquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines

Enquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines Direction de l action sociale, de l habitat et de la santé publique 12 ème congrès national des ORS Territoires et Santé des populations 9 et 10 novembre 2010 Enquête sur la santé des résidents des foyers

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES

LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail

ANNEXE 2. Dossier de candidature. Appel à projet. Assistance technique Régionalisée. Année 2015. Structure :

ANNEXE 2. Dossier de candidature. Appel à projet. Assistance technique Régionalisée. Année 2015. Structure : Préfet de la région Poitou-Charentes Direction Régionale de l Alimentation, de l'agriculture et de la Forêt Région : POITOU-CHARENTES ANNEXE 2 Appel à Assistance technique Régionalisée Structure : Page

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

Section Gestion comptable publique n 14-0010

Section Gestion comptable publique n 14-0010 DIRECTION GENERALE DES FINANCES PUBLIQUES Section Gestion comptable publique n 14-0010 NOR : FCPE1414565J Instruction du 17 juin 2014 DIFFUSION DE L'INSTRUCTION DGFIP DGOS DU 05 JUIN 2014 Bureau CL-1C

Plus en détail