Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental"

Transcription

1 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en Languedoc-Roussillon Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-jeunes» (Janvier 2009) Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Parc Euromédecine 209 rue des Apothicaires Montpellier cedex 5 Direction régionale des affaires sanitaires et sociales du Languedoc-Roussillon 28 Parc-Club du Millénaire 1025, rue Henri Becquerel CS Montpellier cedex 2

2 2

3 Sommaire Introduction Méthode Cadre(s) de référence réglementaire Fiches synthétiques départementales Fiches synthétiques par type d organisme Mise en perspective de l état des lieux Naissance d un paradigme Concept et champ de la parentalité Quel réseau autour du soutien à la parentalité Qualification et formation des acteurs La place des parents Pistes de travail Liste des abréviations Bibliographie Annexes Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 3

4 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» Ce rapport d étude sur «les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en Languedoc-Roussillon» a été réalisé à l Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon, à la demande de la Drass, par : Véronique Gautier-Robergeon et Valérie Desmartin-Belarbi, chargées d études, sous la direction scientifique de Bernard Ledésert, médecin directeur, avec la participation de Catherine Casu, documentaliste et Jacqueline Belen qui a assuré la mise en page de l ensemble du rapport. Ce travail a été exécuté dans le cadre de la convention signée en 2008 entre la Drass et l ORS, sous la responsabilité technique de : Anne-Sophie Dormont, responsable du programme de santé publique «Enfants-Jeunes», Sylvia Maille, statisticienne régionale. 4

5 Nous remercions vivement l'ensemble des personnes interrogées, dans le cadre de ce travail qui ont eu l obligeance de bien vouloir répondre à nos questions et fournir les documents en leur possession venant étayer cette réflexion. ACSE : Djamila ANOUNE CAF 11 : Caroline GUIRAUD, Éric PEILHE et Marie-Josée FRESQUET - CALVETTO CAF 30 : Gaëlle BERARD, Serge VALENTIN CAF 34 : Bernard COMPAS, Rodolphe DAMOUR, Philippe CADIOT, Stéphane POITOUT CAF 48 : Christian TICHIT CAF 66 : Lucienne PINAT, Frédérique MAS Collège de Grazailles (Aude) : principal M. MAMET (association Educ Plus) Collège Georges Brassens (Narbonne) : principal André ROUX Conseil Général 11 : Anne-Claude LAMUR-BAUDREU Conseil Général 30 : Catherine FENECH, Hélène BLARD Conseil Général 34 : Monique LAURENT-VAUCLARE Conseil Général 48 : Rachel OLLIVIER (ASE) et Valérie CHAPTAL POUGET (PMI) Conseil Général 66 : Hélène GIMBAUD Ddass 11 : Anne PHILIPPE Ddass 30 : Françoise ARNOULT Ddass 34 : Isabelle KNOWLES et Chantal PASSAQUET Ddass 48 : Carmen VEYSSIERE Ddass 66 : Ève MARTUY et Éric DOAT Drass L-R : Christine BONNARD, Marie SAUZET et Patricia CASTAN-MAS Rectorat : Josiane CONSTANS et Geneviève LEMONNIER Reaap 11 : Nadia ATTALAH Reaap 30 : Amel COUVREUR Reaap 48 : Dominique SERUEL Reaap 66 : Alice PÉZÉ Ville de Perpignan : Philippe CARBASSE Familles rurales du Gard : Eric WENDELS Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 5

6 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 6

7 Introduction Près de 10 ans après la circulaire instaurant les réseaux d écoute, d aide et d accompagnement à la parentalité (Reaap), et alors que le soutien à la parentalité est un champ transversal retenu pour le plan régional de santé publique enfants-jeunes *, la Direction régionale des affaires sanitaires et sociales du Languedoc-Roussillon (Drass), dans le cadre de ce programme, a souhaité engager une réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental. L Observatoire régional de la santé (ORS) a été chargé de réaliser un état des lieux des dispositifs existants sur le territoire régional auprès des structures porteuses soit institutionnelles (en conduisant des actions propres ou en les finançant), soit associatives. L objectif est de : 1. Recenser au niveau régional l'ensemble des structures conduisant une action dite d'appui parental. 2. Pour chaque institution, présenter la ou les définitions, la ou les représentations de l'appui parental. 3. Pour chaque institution, présenter les compétences relatives et décrire l'activité réelle sur ce champ. 4. Pour les porteurs d'actions recenser les actions menées et les décrire succinctement. Notons que les questions relatives à l appui et l accompagnement à la parentalité dans les dispositifs d éducation thérapeutique pour les parents d enfants malades ont été volontairement exclues du champ de cette étude. * Pour en savoir plus sur le contenu des programmes régionaux de santé publique, voir le site du Groupement régional de santé publique : Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 7

8 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 1. Méthode Dans le cadre de cette étude, le choix de travailler par entretiens semidirectifs individuels ou de groupe a été retenu. Cela a permis de rencontrer un maximum de représentants institutionnels concernés dans un calendrier assez court : les caisses d allocations familiales (Caf), les conseils généraux avec autant que faire se peut la Protection maternelle et infantile (PMI) et l Aide sociale à l'enfance (ASE), les Directions départementales des affaires sanitaires et sociales (Ddass), l Éducation nationale, un représentant d une mairie, l Agence pour la cohésion sociale et l égalité des chances (Acsé), les animateurs des Reaap, Les entretiens individuels ou collectifs ont été menés entre juin 2008 et décembre 2008, soit en vis-à-vis, soit par téléphone, en se basant sur une grille d'entretien semi-directif. Ces grilles ont été construites selon une trame commune pour les institutionnels et les réseaux Reaap (cf. annexes 1 et 2) en déclinant les thèmes suivants : L'existant (origine, implication ), la terminologie (définition, représentation, limites ), les projets (appel à projet, enjeux de territoire, analyse de besoin ), l'évaluation (ce qui marche, ce qui freine ), les outils développés. La durée des entretiens a varié entre 20 minutes et deux heures. Les entrevues ont été, avec l'accord des participants enregistrées puis retranscrites. Une synthèse de chaque entretien a été rédigée et envoyée pour validation à chacune des personnes interviewées. Ce rapport présente la synthèse de l'information collectée par territoires départementaux et par organismes. L'analyse a été faite de manière thématique, avec un caractère exploratoire (sans cadre pré-établi) mais de fait, en reprenant les principales catégories explorées dans la grille d'entretien. Très vite est apparue la limite méthodologique de consulter les porteurs de projet associatifs sur ce champ autrement que par une enquête postale par porteur de projet et par action, enquête lourde à mettre en place, bénéficiant d un calendrier défavorable (été 2008) et sans doute décevante du point de vue de la participation. Les Ddass ont par ailleurs mis en avant une enquête annuelle des actions financées en soutien à la parentalité dans le cadre du Reaap, adressée à la Délégation inter ministérielle à la famille (Dif) comme source statistique des actions financées. Seule l exploitation de l enquête 8

9 Reaap 2007 nous a permis de rendre compte de manière homogène de données quantitatives à l échelle des départements. L accès au dossier des porteurs déposé pour l appel à projet n a pas été possible et le calendrier ne nous a pas permis de rassembler les rapports d activité. Le choix de rechercher les représentations de l appui parental et les définitions qui en sont données par les institutions compétentes dans ce champ et de balayer avec elles les actions sur leur territoire a été retenu. Les freins et les leviers autour des Reaap ont fait l objet de cette recherche. Les thématiques émergentes ou peu investies sur les territoires ont été explorées dans cet état des lieux. Une illustration par le recueil d actions innovantes a été recherchée en complément auprès des animateurs de Reaap et des Comités départementaux d'éducation à la santé (Codes). Un travail de recensement des porteurs de projet en appui parental est engagé depuis peu par les animateurs de Reaap sur plusieurs départements de la région (Aude, Gard et Pyrénées-Orientales). Ces premiers éléments sont présentés en annexes à ce rapport. Le recensement des porteurs de projet parentalité de manière exhaustive est un problème partagé. En général, les associations sont repérées par leur demande de label ou de financement. Or certains porteurs de projet n'ont pas la perception que leur action relève de l'appui parental, et ne font donc aucune de ces deux démarches. De plus, et peu avant que nous commencions ce travail régional, la Ddass de l Hérault avait demandé à l École des parents et des éducateurs de l'hérault (EPE 34) d actualiser un diagnostic territorial partagé sur le soutien à la parentalité et les services aux familles réalisé sur le département en mai Nous avons donc, de manière concertée avec la Drass, orienté notre recherche sur les autres départements de la région, tout en intégrant des éléments de synthèse issus de la lecture du rapport de l EPE 34 remis en décembre 2008 à la Ddass 34. Le choix retenu pour présenter ces résultats est dicté par la commande de la Drass : cette réflexion technique doit être un outil d aide à la décision dans le cadre du PRSP enfants-adolescents et un outil technique pour les comités territoriaux de santé publique. La double entrée par territoire et par institution nous a paru pertinente de ce point de vue. Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 9

10 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» La dernière partie engage les auteurs de cette étude sur des pistes de réflexion, des préconisations nourries d une revue de la littérature nationale sur la question du soutien à la parentalité. Ainsi, la présentation des résultats de cette étude régionale et les enseignements qui peuvent en être tirés est organisée en 5 parties : la première partie présente le cadre de référence réglementaire, la deuxième partie présente une synthèse des informations par département, la troisième partie présente une synthèse par type d'institution ou d'organisme, la quatrième partie est consacrée à la mise en perspective de l'état des lieux, enfin, une dernière partie propose des pistes de travail. 10

11 2. Cadre(s) de référence réglementaire Les Réseaux d écoute, d appui et d accompagnement à la parentalité : Reaap Le réseau a pour objectif la mise en œuvre de mesures visant à soutenir et à accompagner toutes les familles confrontées à des difficultés dans leur rôle éducatif et dans l exercice de leurs responsabilités parentales. La circulaire interministérielle DIF/DAS/DIV/DPM n du 9 mars 1999 relative aux réseaux d écoute, d appui et d accompagnement des parents rappelle le rôle fondamental de la famille dans la cohésion sociale et fixe deux priorités aux Reaap : s adresser à toutes les familles ; s appuyer sur des initiatives qui existent déjà, tout en développant de nouvelles opérations avec le souci de mettre en réseau les différents intervenants, en respectant leur diversité et en s efforçant de construire une cohérence et une visibilité de cette action. Annexée à cette circulaire, une charte des initiatives pour l écoute, l appui et l accompagnement des parents décline les principes d action et d animation en 10 points : 1. Valoriser prioritairement les rôles et les compétences des parents : responsabilité et autorité, confiance en soi, transmission de l histoire familiale, élaboration de repères, protection et développement de l enfant. 2. Favoriser la relation entre les parents et dans cet objectif privilégier tous les supports où les parents sont présents, en particulier le cadre associatif. 3. Encourager les responsables des lieux et structures fréquentés par les parents à accueillir ou susciter de nouvelles initiatives. 4. Favoriser une meilleure conciliation des temps familiaux et professionnels. 5. Mettre en place des actions de sensibilisation et de formation à destination des intervenants bénévoles ou professionnels pour favoriser l émergence de nouvelles pratiques. Elles devront assurer un bon équilibre entre la participation des parents et l intervention des professionnels. Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 11

12 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 6. Garantir l ouverture de ces lieux à tous les parents, en recherchant la fréquentation de publics issus de milieux différents, de générations et de catégories socioprofessionnelles et culturelles différentes. 7. Prévoir un cadre éthique favorisant l équilibre des relations familiales et ouvert à toutes formes de familles. Il s appuiera sur les textes relatifs aux droits de l enfant et de la famille. 8. Inscrire les projets dans la durée, notamment par le biais d une convention pluriannuelle associant les différents partenaires. 9. Prendre appui sur un réseau mobilisable et compétent de parents, de bénévoles et de professionnels très divers qui partagent l engagement d accompagner les familles, dans le respect des personnes et de leur autonomie, et qui s appuient sur les connaissances disponibles. 10. Participer à la construction d un système d animation partagée qui permette une circulation des informations, l évaluation des actions, une capitalisation des savoir-faire, la transparence, la rigueur, la visibilité et un fort développement de ce mouvement. La circulaire interministérielle DIF/DGAS/DESCO/DIV/DPM n du 13 juillet 2004 inscrit la nécessité d un diagnostic territorial partagé concernant l offre de service référée aux besoins dans les départements en matière de soutien à la parentalité et de services aux familles. Les comités départementaux d animation sont désignés pour initier ce diagnostic qui doit permettre de constituer une base de données des services et des actions existants dans le champ ; de définir selon le territoire des axes d interventions prioritaires et de soutenir des actions répondant à des besoins non couverts. La circulaire précise le cahier des charges des Point info famille (PIF) et leurs missions. Les PIF seront destinataires des données actualisées grâce à ce diagnostic afin de faciliter la communication d informations fiables à destination des familles. 12

13 La circulaire DIF/DGAS/2B/DESCO/DIV/DPM 2006/65 du 13 février 2006 précise que les Reaap ont un champ d intervention généraliste de prévention et d appui qui concerne les parents d enfants jusqu à 18 ans. Trois thématiques sont mises en exergue : la sensibilisation des parents sur l importance de l assiduité scolaire dès la petite enfance, la sensibilisation des parents aux usages de l Internet, la sensibilisation des parents sur les aspects interculturels de la parentalité (histoire familiale, parcours migratoire ). La circulaire N DGAS/AVIE/2006/279 du 27 juin 2006 est relative au protocole de développement de la médiation familiale. La récente circulaire interministérielle DIF/DGAS/2B/DAIC/DESCO/DIV/2008/361 du 11 décembre 2008 réaffirme le rôle de l animation départementale garante de la mise en œuvre des principes et de l effectivité des REAAP en insistant sur la nécessaire synergie entre les différents dispositifs REAAP, CLAS et médiation familiale. Contrat local d accompagnement à la scolarité : CLAS L accompagnement scolaire, tel qu il est défini par la Charte nationale de l accompagnement à la scolarité, a pour objectif de proposer aux enfants et aux jeunes l appui et les ressources complémentaires dont ils ont besoin pour réussir à l école et qu ils ne trouvent pas toujours dans leur environnement familial et social. Ces actions sont centrées sur l aide aux devoirs et sur les apports culturels nécessaires à la réussite scolaire. Elles contribuent à l épanouissement de l élève, en permettant aux parents de s impliquer dans l accompagnement de la scolarité de leurs enfants. Loi N du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale. - participer au développement des actions d accompagnement qui contribuent à la réussite scolaire, - favoriser la constitution de réseaux locaux de solidarité (mobilisant notamment le tissu associatif) en faveur de la réussite scolaire, en liaison avec les enseignants et les familles, Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 13

14 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» - renforcer l exigence de qualité dans les projets mis en œuvre en diffusant largement les outils de l accompagnement à la scolarité et en favorisant de façon régulière la mutualisation, - veiller à ce que les actions fassent l objet d études, d évaluations et de recherches susceptibles de contribuer à l amélioration de leur efficacité. Circulaires interministérielles de 1998 et 2000 relatives à la mise en place d'un contrat éducatif local (CEL) ; circulaire n du 11 décembre 2006 relative à la définition de la mise en œuvre du volet éducatif des contrats urbains de cohésion sociale. Circulaire du 11 mai 2007 relative à la mise en œuvre de la politique d'accompagnement à la scolarité pour l'année scolaire Charte nationale de l'accompagnement à la scolarité de juin Programme Réussite éducative : PRE Ce programme a pour but d accompagner dès les premières années de l'école maternelle et jusqu'au terme de la scolarité, des enfants et des adolescents qui présentent des signes de fragilité, en prenant en compte la globalité de leur environnement et de leurs difficultés. Circulaire DIV du 13 juin 2005 sur le dispositif des équipes de réussite éducative. Circulaire du 13 février 2006 relative aux REAAP. La médiation familiale La médiation familiale intervient pour préserver des liens de qualité entre les parents et les enfants en cas de séparation du couple. Elle a pour objectif de favoriser le sens de la responsabilité commune. Circulaire DGAS/AVIE/2006/279 du 27 juin 2006 relative au protocole de développement de la médiation familiale. 14

15 Le conseil conjugal La convention signée entre l'état (Ddass) et les établissements intervenant dans le conseil conjugal doit prévoir la mise en œuvre d'au moins 3 des quatre missions ci-après, la mission de l'alinéa 3 étant obligatoire : 1 ) Accueil, information et orientation de la popul ation sur des questions relatives à la fécondité, la contraception, la sexualité et la prévention des maladies sexuellement transmissibles dont l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine. 2 ) Préparation des jeunes à leur vie de couple et à la fonction parentale notamment à travers une information individuelle et collective en milieu scolaire. 3 ) Entretiens préalables à l'interruption volontai re de grossesse et accompagnement des femmes ayant subi une interruption volontaire de grossesse. 4 ) Accueil et conseil aux personnes se trouvant da ns des situations difficiles liées à des dysfonctionnements familiaux ou victimes de violences. Décret n du 23 mars 1993 relatif aux établ issements d'information, de consultation ou de conseil familial. Les Points INFO FAMILLE : PIF Il s agit de lieux d accueil, d information et d orientation destinés aux familles (lieu d informations nationales et locales, pour des démarches administratives ou associatives). Ces lieux concernent tous les âges de la vie. Ils ont comme objectifs de : - Favoriser l'accès de toutes les familles à l'information. - Simplifier leurs démarches quotidiennes en leur proposant des points d'information accessibles, susceptibles de les orienter rapidement et efficacement vers les structures les plus à même d'apporter une réponse aux questions posées ou une solution aux situations rencontrées. Circulaire du 13 juillet 2004 relative aux REAAP Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 15

16 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» Les Points d accueil écoute jeunes : PAEJ Les PAEJ sont des structures de proximité qui accueillent les jeunes de 12 à 25 ans et leur famille. Ils leur proposent une écoute, un espace de parole, un soutien quel que soit le problème rencontré. Ils n ont pas vocation d assurer le suivi au long cours des jeunes qu ils reçoivent. En cas de besoin, ils réorientent vers des structures adaptées. 16

17 3. Fiches synthétiques départementales À partir des éléments recueillis par entretiens, nous proposons une vision synthétique de chaque département au moyen d'une fiche. Elle présente les caractéristiques principales du fonctionnement et de l articulation des dispositifs de soutien à la parentalité de chaque département. Ces caractéristiques sont regroupées par thème. Chacun de ces derniers est identifié par un pictogramme. En effet, le principal constat est que si la problématique de l appui parental est bien présente sur les 5 départements, son animation et son suivi diffèrent d'un département à l'autre. Les portes d entrée (dispositifs cités) de l'appui parental. Comment se fait l animation et la coordination autour de l appui parental. Bilan des actions du Reaap adressé par la Ddass à la DIF (en 2007). Les freins (-), les leviers (+), les attentes ( ) exprimés. Exemples d'actions mises en avant. Outils pratiques développés. Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 17

18 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» AUDE Fiche synthèse Un REAAP, des CLAS, 4 PIF, la médiation familiale, l aide à domicile. (Formation des TISF à l accompagnement à la parentalité). Les comités CLAS et Reaap sont regroupés. Les PIF : Castelnaudary ; Carcassonnais ; Massif de Mouthoumet ; Les Galinettes L aide à domicile : 3 associations travaillent au soutien à la fonction parentale avec une convention commune Conseil général et MSA (l'aafp à Castelnaudary, la SADAF et l'amf à Carcassonne) La médiation familiale : 3 associations sont porteuses (l'ima à Carcassonne, l'afcan (maison des parents) et le CEDIFF à Narbonne). Le secrétariat et l animation du Reaap sont portés par une association : la FAOL sur un financement du Conseil général, de la Caf, de la Ddass et de la MSA. Sont en place : un comité opérationnel composé d'une quinzaine de professionnels (aucun parent) et un comité des financeurs composé de la Ddass, de la Caf, du Conseil général et de la MSA. Une ligne téléphonique ALLO PARENTS couvre 5 demi-journées avec des écoutants ayant un profil psycho médico social. Les écoutants ont été formés par l'epe et une supervision de leur pratique est mise en place. Un blog Des petits-déjeuners parentalité : chaque mois, une association invite les autres porteurs de projets à venir se présenter et discuter. Le calendrier 2009 est en préparation. Des demi-journées thématiques (4 par an) pour mobiliser les parents «Parents : nous avons des choses à dire», organisées par les membres du réseau à destination des parents, en alternance avec une journée annuelle, qui est destinée aux professionnels ou bénévoles de l'appui parental. L'annuaire en ligne sur le site du conseil général recense par grandes rubriques les associations et les institutions œuvrant dans l appui parental : Mise en place en 2008/2009 de comités locaux d animation s appuyant sur les PIF. Bilan 2007 du REAAP : 21 actions réalisées dont 8 actions en territoire CUCS (1 791 parents bénéficiaires) ; des comités locaux d animation en création sur 2008 Coparentalité et aide aux parents en conflit : 14,3 % des actions Prévention appui aux familles fragiles : 9,5 % des actions Accueil petite enfance : 9,5 % Relation famille-école : 4,8 % Autres (sans précision) : 62,0%. 18

19 AUDE Fiche synthèse (suite) (+) Le portage salarial de l'animation du Reaap par une association permet de faire vivre le réseau et de se dégager du rôle ambigu d animateur-financeur. L'animateur n'est plus en posture de décideur par rapport aux membres du réseau. Un seul dossier de financement pour les porteurs de projet est un élément de simplification et de cohérence mis en avant. (-) Nécessité de faire la promotion du travail en réseau auprès des professionnels et des élus. Le suivi et les attentes des financeurs sont différents l'un de l'autre. Une interrogation demeure sur la place des parents dans le dispositif Reaap mais aussi dans le dispositif d'aide individualisée mis en place par l'éducation nationale. La nécessité de construire une évaluation des actions menées pour répondre aux exigences des financements publics même pour des petites sommes est un facteur dissuasif pour les petites associations. L appui à la parentalité induit des modifications de pratiques professionnelles : le travail social est encore très lié à du suivi individuel ; la mise en place d action collective nécessite une réflexion sur les postures professionnelles. ( ) Demande d'échanges et de mutualisation avec d'autres Reaap de la région. Le collège de Grazailles (11) et l'association Educ Plus : mise en place d un dispositif d écoute et de médiation psychologique au sein de l établissement vers les parents, professeurs, personnels d éducation et médico-sociaux et les élèves : "Mots pour Maux". Les parents sont à l origine de 69 % des demandes de rencontre avec le psychologue clinicien ; 58 % des demandes relèvent du soutien à la fonction parentale. De plus, le psychologue a participé à 4 séances d un groupe de réflexion sur la parentalité : un outil interactif (un jeu) en lien avec les parents est en cours d élaboration. Le collège Georges Brassens et la Maison des Potes (Narbonne) : projet "Le collège à la maison" où les responsables de collège (principal, enseignants, ) rencontrent les familles à leur domicile (quelques parents autour d une thématique liée à l école : par exemple «la sanction, pourquoi», comment lire un bulletin de notes, qu est-ce que l orientation. (cf annexe 3). La création d'une ligne téléphonique ALLO PARENTS pour l'écoute des parents par des professionnels sur le principe de l'anonymat, de la confidentialité et de la gratuité. La promotion de la ligne téléphonique a été faite en septembre La montée en charge des appels est à noter depuis la fin d'année En janvier 2009, on comptait 50 appels depuis l'ouverture de la ligne. L'annuaire en ligne Un blog Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» 19

20 Réflexion technique sur les stratégies d interventions et d actions sur la question de l appui parental en L-R (Janvier 2009) Contribution au programme régional de santé publique «Enfants-Jeunes» GARD Fiche synthèse Le REAAP, les CLAS, 2 PIF, les 5 PAEJ, un réseau de soutien à l allaitement. Hors champ du REAAP : le soutien scolaire (EN) et la médiation familiale. PIF dans le département : PIF de l amicale du CNL des locataires du Mas de Mingue à Nîmes ; PIF du centre social Calade à Sommières. PAEJ : mission locale (ML) Gard Rhodanien, ML Rhône Argence, ML d Alès et sa région, MLJ Petite Camargue, Service d accueil de jour des exclus (association le SAJE, Alès) Un réseau départemental d accompagnement à l allaitement (Conseil général et ville de Nîmes) : REGAAL Le secrétariat et l animation du Reaap sont portés par une association d éducation populaire : Samuel Vincent. Un comité des financeurs est en place composé de la Ddass, de la Caf, du Conseil général, du CUCS et de l'éducation Nationale. Le Reaap dispose d'un comité d'animation et de 4 comités locaux d'animation. Diagnostic de l'existant réalisé en 2007 (mise à jour en 2008 non disponible). Rencontre systématique des porteurs de projets labellisés Reaap par l animatrice sur le terrain. Un forum sur Yahoo et un site en préparation. Mise en place de permanences au secrétariat du Reaap le lundi et le vendredi. Annuaire des structures labellisées Reaap. Appui méthodologique et technique proposé aux porteurs de projets par le Reaap. Un partenariat engagé par le Reaap avec le CUCS, les CLAS et le PRE Le Conseil général a mis en place une convention de partenariat avec les établissements publics et privés du Gard (maternités, services de néonatologie et pédiatrie). 53 actions financées dans le cadre du réseau (3 678 bénéficiaires). La moitié des actions située en territoires CUCS. Prévention appui aux familles fragiles : 63,4 % des actions. Lieux ressources et informations : 19,2 %. Relation famille-école : 14,7 %. Accueil petite enfance : 2,7 %. 20

LA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON

LA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Pôle Cohésion sociale Territoriale Montpellier, le 19 juin 2015 Dossier suivi par Rodolphe

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Gard. Synthèse. développe les solidarités. Damien ALARY. «Accueillir, écouter, informer et accompagner, nous sommes chaque jour à vos côtés.

Gard. Synthèse. développe les solidarités. Damien ALARY. «Accueillir, écouter, informer et accompagner, nous sommes chaque jour à vos côtés. Gard développe les solidarités Le www.gard.fr «Accueillir, écouter, informer et accompagner, nous sommes chaque jour à vos côtés.» Damien ALARY Schéma départemental de la petite enfance, de l enfance et

Plus en détail

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail.

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail. Contrats éducatifs locaux missions et la formation des coordonnateurs de cel Réflexions du groupe de travail relevant du groupe de suivi interministériel des cel 1. Informations L'outil informatique de

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Animateur Territorial principal de 2 ème classe

Animateur Territorial principal de 2 ème classe Filière Animation Edition Novembre 2012 Animateur Territorial principal de 2 ème classe Catégorie B Services concours Centres de gestion Languedoc Roussillon www.cdg-lr.fr Sommaire Références : - Décret

Plus en détail

FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014

FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour»

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Le Service d accueil de jour -SAJE- est implanté sur le 19 e arrondissement de Paris et accueille

Plus en détail

CDAJE 16 mai 2014 COMMISSION DÉPARTEMENTALE D ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS. MICRO CRECHE - CDAJE 16 mai 2014

CDAJE 16 mai 2014 COMMISSION DÉPARTEMENTALE D ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS. MICRO CRECHE - CDAJE 16 mai 2014 CADRE DÉPARTEMENTAL DE RÉFÉRENCE CDAJE À l intention des élus municipaux et leurs représentants, des institutions, de l ensemble des acteurs de la petite enfance et des porteurs de projet. CDAJE 16 mai

Plus en détail

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine

Plus en détail

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation. cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations

Plus en détail

Préparer la formation

Préparer la formation Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte

Plus en détail

La santé des jeunes Rhônalpins en insertion

La santé des jeunes Rhônalpins en insertion La santé des jeunes Rhônalpins en insertion Diagnostic commun et actions partenariales URML, URHAJ et MFRA CRDSU (centre de ressources et d'échanges pour le développement social urbain) 12 octobre 2012

Plus en détail

Permanences accueil, écoute, orientation, revues de presse, consultations Du lundi au vendredi de 9h à 12h et 13h à 17h30.

Permanences accueil, écoute, orientation, revues de presse, consultations Du lundi au vendredi de 9h à 12h et 13h à 17h30. Bulletin bibliographique du Janvier 2014 n 46 Le de l'udaf de l'isère vous propose son bulletin bibliographique. Les articles sélectionnés sont consultables à l'udaf ou envoyés selon la demande. N'hésitez

Plus en détail

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en

Plus en détail

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,

Plus en détail

Appel à propositions

Appel à propositions Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation

Plus en détail

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon»

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon» Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Observatoire Régional de la Santé du Languedoc Roussillon 135 Allée Sacha Guitry - ZAC Tournezy

Plus en détail

Etablissement d'accueil mèreenfant

Etablissement d'accueil mèreenfant Etablissement d'accueil mèreenfant Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 2011-1012 Table des matières I Definition...4 II Rappels historiques...4 III Le cadre réglementaire...

Plus en détail

Programme Opérationnel Européen Fonds social européen 2014-2020 FICHE ACTION

Programme Opérationnel Européen Fonds social européen 2014-2020 FICHE ACTION I. OBJECTIFS ET RÉSULTATS 1. Descriptif de l'objectif de l'action Par des stratégies diversifiées, le contrat local d'accompagnement à la scolarité (CLAS), les modules d'accueil en lycée (MODAL), les modules

Plus en détail

Contrat Educatif Local (CEL)

Contrat Educatif Local (CEL) Contrat Educatif Local (CEL) Enrichir et diversifier les temps de vie des enfants et des jeunes Promouvoir l'égalité des chances pour le plus grand nombre, en particulier les plus démunis dans l'accès

Plus en détail

2015-2016-2017. Entre,

2015-2016-2017. Entre, Convention n Relative aux contributions respectives de l association «Jeunesse et Cultures», des Communes de Charmes, Thaon-les-Vosges et du Conseil général des Vosges à des actions dites de prévention

Plus en détail

PRESENTATION DE LA MDPH

PRESENTATION DE LA MDPH PRESENTATION DE LA MDPH 1) LA LOI HANDICAP DU 11/02/2005 La loi handicap de 2005 (la précédente remonte à 1975) a révolutionné tant les institutions dans leur fonctionnement, que l accueil des élèves dans

Plus en détail

Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ»,

Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Partenaires fondateurs DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ» «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Construisons ensemble des voies nouvelles pour un sport utile à tous

Plus en détail

Etablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -

Etablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil - Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association

Plus en détail

Axes de travail et plan d action 2015

Axes de travail et plan d action 2015 19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...

Plus en détail

Une passerelle pour votre avenir

Une passerelle pour votre avenir Une passerelle pour votre avenir Livret d accueil Jeunes de 14 à 20 ans Plusieurs structures pour des parcours individualisés Des équipes pluridisciplinaires pour un service de qualité Enfance et Adolescence

Plus en détail

Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1. En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER +

Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1. En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER + Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1 En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER + Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 2 LEADER + Qu est-ce que c est? Liaison

Plus en détail

DOCUMENT CADRE PROJET EDUCATIF GLOBAL(PEG) (2013-2017)

DOCUMENT CADRE PROJET EDUCATIF GLOBAL(PEG) (2013-2017) DOCUMENT CADRE PROJET EDUCATIF GLOBAL(PEG) (2013-2017) Sommaire Préalable : Le Projet Educatif Global, un projet éducatif renouvelé au service du développement, de l épanouissement et de la réussite de

Plus en détail

Le Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition)

Le Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition) VIVRE ENSEMBLE Mutuelle d Aide aux Personnes Handicapées Mentales Siège Social : 5 rue de Breuvery 78100 St Germain en Laye Tél. : 01 34 51 38 80 - Fax : 01 39 73 75 72 e-mail : direction@vivre-ensemble.fr

Plus en détail

SAINT JULIEN EN GENEVOIS

SAINT JULIEN EN GENEVOIS SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).

Plus en détail

Base de données documentaires [financement ACSE]

Base de données documentaires [financement ACSE] Réseau Ressources pour l Égalité des Chances et l Intégration (RECI) Rapport d activité 2011 Le programme de travail 2011 s est décliné autour de quatre types d actions : des outils, de la production de

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux. R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES DÉFINITION : Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques

Plus en détail

CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015. entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ,

CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015. entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ, CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015 entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ, LA MINISTRE DÉLÉGUÉE AUX PERSONNES AGÉES ET A L AUTONOMIE, LA MINISTRE

Plus en détail

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs

Plus en détail

Séminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité»

Séminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité» Séminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité» Organisé dans le cadre du IX Congrès International des Villes Educatrices Le Mercredi 13 septembre 2006 A l Ecole Normale

Plus en détail

Présentation du guide juridique et pratique «Le crédit à la consommation»

Présentation du guide juridique et pratique «Le crédit à la consommation» Présentation du guide juridique et pratique «Le crédit à la consommation» Mardi 20 mars 2012 à 11h00 Salle des Mariages- Hôtel de Ville Sommaire I. Le Guide «Le crédit à la consommation» et les différents

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

9 Référentiel de missions de l agence du service civique

9 Référentiel de missions de l agence du service civique BINOME 21 PROJET ASSOCIATIF 2011-2013 Pour une solidarité intergénérationnelle Erard Marie-Françoise Sommaire 1 Objectifs 2 Chartes 3 Fonctionnement de l association 4 Etude préalable 5 Projet actuel 6

Plus en détail

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de

Plus en détail

Un Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s

Un Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL «PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» Juin 2013 Introduction : Les parents sont parmi les principaux bénéficiaires de Paris classe numérique. Grâce à ce nouvel outil, la communication

Plus en détail

L Académie des Dalons

L Académie des Dalons L L est un projet expérimental d insertion sociale et professionnelle dans un dispositif global de soutien de jeunes en difficulté. Il s adresse aux volontaires âgés de 18 à 25 ans qui, sans formation

Plus en détail

édito sommaire Le Conseil des étrangers Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9

édito sommaire Le Conseil des étrangers Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9 avec le soutien de édito sommaire Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9 N Retrouvez au dos les lieux sur le plan Notre ville est riche de sa diversité, qui

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

LE PROJET POUR L ENFANT

LE PROJET POUR L ENFANT Groupe d appui pour accompagner la réforme de la protection de l enfance LE PROJET POUR L ENFANT Fiche technique Mars 2010 Pour accompagner la mise en œuvre de la loi réformant la protection de l enfance

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

Convention d objectifs et de gestion entre l Etat et la Cnaf 2013-2017

Convention d objectifs et de gestion entre l Etat et la Cnaf 2013-2017 Convention d objectifs et de gestion entre l Etat et la Cnaf 2013-2017 SOMMAIRE PREAMBULE 1 DEVELOPPER LES SERVICES AUX FAMILLES, REDUIRE LES INEGALITES 4 Renforcer le développement de l offre d accueil

Plus en détail

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

SOMMAIRE LA SÉPARATION : DES ÉLÉMENTS JURIDIQUES... 3

SOMMAIRE LA SÉPARATION : DES ÉLÉMENTS JURIDIQUES... 3 La séparation 1 SOMMAIRE LA SÉPARATION : DES ÉLÉMENTS JURIDIQUES... 3 VOUS ÉTIEZ MARIÉS...3 Vous vous séparez légalement... 3 Vous vivez chacun de votre côté (séparation de fait).... 3 VOUS ÉTIEZ PACSÉS

Plus en détail

PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT

PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT Guide Pratique Protection de l enfance PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT grandir parents respecter prévenir devoirs écouter mieux-être protéger PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE

Plus en détail

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN

Plus en détail

Avec la Mutualité Française, la santé avance. Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui

Avec la Mutualité Française, la santé avance. Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui Avec la Mutualité Française, la santé avance Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui ACCOMPAGNER LES FAMILLES D AUJOURD HUI L engagement de la Mutualité en matière

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE SOLIDARITÉS PROFESSIONS SOCIALES Arrêté du 18 mai 2009 relatif au diplôme d Etat d éducateur technique spécialisé

Plus en détail

LE PROGRAMME ECO-ECOLE

LE PROGRAMME ECO-ECOLE LE PROGRAMME ECO-ECOLE Un programme développé par l office français de la Fondation pour l Education à l Environnement en Europe, en partenariat avec le Réseau Ecole et Nature, la société Eco-Emballages

Plus en détail

D. 30-01-2014 M.B. 09-04-2014

D. 30-01-2014 M.B. 09-04-2014 Docu 39922 p.1 Décret relatif à l'enseignement supérieur inclusif D. 30-01-2014 M.B. 09-04-2014 Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : CHAPITRE

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

Etat des lieux du dispositif Point Accueil Ecoute Jeunes (PAEJ) en Languedoc-Roussillon

Etat des lieux du dispositif Point Accueil Ecoute Jeunes (PAEJ) en Languedoc-Roussillon PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE Etat des lieux du dispositif Point Accueil Ecoute Jeunes (PAEJ) en Languedoc-Roussillon

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

LES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ : FAIRE CONVERGER PERFORMANCE ET DYNAMIQUE TERRITORIALE

LES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ : FAIRE CONVERGER PERFORMANCE ET DYNAMIQUE TERRITORIALE 310 N U M É R O Vendredi 4 juillet 2008 LES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ : FAIRE CONVERGER PERFORMANCE ET DYNAMIQUE TERRITORIALE RAPPORTEUR : ANDRÉ MARCON AU NOM DE LA SECTION DES ÉCONOMIES RÉGIONALES ET DE

Plus en détail

Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville

Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville CONSEIL MUNICIPAL 1 Séance du 06 décembre 2012 Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville Direction Solidarité Urbaine - Tranquillité Publique - Rapporteur(s) M. Christophe

Plus en détail

«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT»

«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT» «LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT» Ministère de l Éducation Nationale Protection Judiciaire de la Jeunesse Théâtre Liberté Contact : Betty Le Mellay, Responsable de

Plus en détail

Mobilisation de l École et de ses partenaires pour les valeurs de la République. Les assises

Mobilisation de l École et de ses partenaires pour les valeurs de la République. Les assises Assises de la KIT D ORGANISATION DES ASSISES SOMMAIRE La démarche des assises 1. Présentation générale de la démarche 2. Les thématiques à aborder lors des Assises locales et départementales 3. Assises

Plus en détail

Renforcer la mobilisation du droit commun

Renforcer la mobilisation du droit commun Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,

Plus en détail

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants

Plus en détail

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Tampon dateur de la MDPH Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH N 13788*01 A - Identification de l enfant ou de l adulte concerné par la demande Nom de naissance : Nom d épouse ou nom d usage : Prénom(s)

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

Convention de partenariat pour l accès aux droits, aux soins et à la prévention des rennais

Convention de partenariat pour l accès aux droits, aux soins et à la prévention des rennais Vendredi 3 octobre 2014 Convention de partenariat pour l accès aux droits, aux soins et à la prévention des rennais Convention de partenariat pour l accès aux droits, aux soins et à la prévention des

Plus en détail

Investir, Épargner et Produire durablement :

Investir, Épargner et Produire durablement : Investir, Épargner et Produire durablement : les territoires relèvent le défi Repères pour l action LES CAHIERS DE L OBSERVATOIRE N 7 Investir, Épargner et Produire durablement : les territoires relèvent

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

COOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007

COOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007 COOPERATION DECENTRALISEE CESR 5 octobre 2007 La coopération internationale et décentralisée S insère dans le cadre plus large de l action extérieure des collectivités Regroupe les actions de coopération

Plus en détail

Synthèse du questionnaire en ligne

Synthèse du questionnaire en ligne èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse

Plus en détail

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION

Plus en détail

Parents, enfants. un guide pour vous

Parents, enfants. un guide pour vous Parents, enfants un guide pour vous edit s mmaire Parents, Notre engagement de mettre en place un territoire compétitif, solidaire et durable ne peut se concevoir sans répondre aux besoins des enfants

Plus en détail

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel

Plus en détail

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes

Plus en détail