Ou le «Y a qu à, faut qu on!!!»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Ou le «Y a qu à, faut qu on!!!»"

Transcription

1 Les «traitements» de l obésité Ou le «Y a qu à, faut qu on!!!» Dr C. ANTOINE Pharmacien Praticien Hospitalier Hôpitaux Civils de Colmar Association des Centres de Cours Professionnels pour les Préparateurs en Pharmacie Plan Aspects nutritionnels Dr Triby endocrinologue nutritionniste Aspects psychiatriques Dr Dechristé psychiatre Aspects chirurgicaux Dr Keller chirurgien viscéral Aspects médicamenteux Dr Antoine Définition & quelques chiffres En juin 1997, l Organisation Mondiale de la Santé (O.M.S.) a décidé de classer l obésité parmi les maladies car elle met en jeu le bien être physique, psychologique et social des patients. Ainsi l International Obesity Task Force (I.O.T.F.) de l O.M.S. a défini l obésité comme un excès de masse grasse entraînant des conséquences néfastes pour la santé. OBESITE MORBIDE = OBESITE MALADIE CLASSIFICATION DU TYPE D OBESITE EN FONCTION DE L IMC Kg/M² ASSOCIEE A DES MALADIES GRAVES METTANT LA VIE EN DANGER P (kg) T²(m²) FACTEURS DE CO-MORBIDITE

2 IMPACT SUR LA QUALITE DE VIE DIMINUTION DE L'ESPERANCE DE VIE Nombre d'années de vie perdues Âge IMC L OBESITE : UNE EPIDEMIE!!! UN PROBLEME MAJEUR DE SANTE PUBLIQUE DANS LE MONDE ENTIER ON ESTIME A 300 MILLIONS LE NOMBRE DE PERSONNES OBESES DANS LE MONDE, AVEC UNE TENDANCE À AUGMENTER L ESPERANCE DE VIE D UN PATIENT OBESE EST REDUITE EN MOYENNE DE 5 A 20 ANS L OBESITE EN EUROPE LES TAUX D'OBESITE : DE 10% À 27% CHEZ LES HOMMES ET JUSQU A A 38% CHEZ LES FEMMES LA PREVALENCE P DE L'OBESITE A AUGMENTE D'ENVIRON 10 A 40% DANS LA PLUPART DES PAYS EUROPEENS LORS DES 10 DERNIERES ANNES L OBESITE EN FRANCE FRENCH PARADOX ENQUETE OBEPI-INSERM INSERM 2006 : 12,4% DE LA POPULATION ADULTE 5,9 MILLIONS D OBESES EN FRANCE (IMC>30) IMC>40 0,3% EN ,8% EN % EN 10 ANS L OBESITE- MALADIE A TRIPLE EN 10 ANS!!! PERSPECTIVE D AVENIR L avis de l endocrinologue - nutritionniste Dr Triby

3 Obésité : prise en charge non chirurgicale Contexte social Nous vivons dans une société : qui a horreur des kilos superflus, qui idolâtre la minceur et qui en même temps présente sans arrêt des incitations à manger et à manger beaucoup. utilité?? Maigrir c est simple, il suffit de: Mais manger moins n est pas simple ou quand les efforts d amaigrissement constituent le problème! Bouger plus Manger moins Mais moins de quoi??? émotionnelles sensorielles métaboliques Nécessite temps & envie Très fort impact psychologique Mais est-ce que ça fait maigrir??? Glucides? Lipides? Protéines? Comportement alimentaire «Il n y a pas une épidémie d obésités, mais une épidémie de traitements tements de l obésité» Ou Et si le problème s aggravait au fur et à mesure que la Science de la Nutrition s en souciait davantage?! RESTRICTION COGNITIVE émotionnelles sensorielles métaboliques la restriction cognitive = limiter consciemment la prise alimentaire pour contrôler son poids Comportement alimentaire Contrôle de son poids nouvelle norme du comportement alimentaire en occident, en passe de court-circuiter circuiter dès l enfance les signaux physiologiques de faim et de satiété

4 Restriction cognitive & croyances «dysfonctionnelles» : Je ne dois jamais manger entre les repas; Je ne dois pas sauter un repas; Tous mes repas doivent être équilibrés; Je peux manger beaucoup le matin, mais je dois manger peu le soir; Manger les aliments diététiquement corrects permet de maigrir ou de rester mince et en bonne santé; Les aliments «grossissants», tels les sucreries et les corps gras, font automatiquement grossir, quelle que soit la quantité consommée; Une alimentation sans restriction aboutit automatiquement à une prise de poids; Seul un régime strict, le jeûne, le vomissement, la prise de certains médicaments, peuvent me faire maigrir. Les 4 stades de la restriction cognitive RC légère : Je sais que j ai faim, mais je ne dois pas manger. RC modérée : Je sais que je n ai plus faim, mais je ne peux plus m arrêter. RC sévère : Je ne sais plus si j ai encore faim ou si j ai assez mangé. RC décompensée : Je mange sans faim et je ne peux plus rien contrôler. Installation de troubles du comportement alimentaires (les compulsions alimentaires); L évocation de l aliment «interdit», par la vue, l odeur ou le goût, exacerbe l envie de manger et lève l inhibition cognitive; Les situations d anxiété, de dépression, l alcool favorisent la levée de l inhibition. Objectif à atteindre pour ces patients : Améliorer l état de santé et la qualité de la vie Rétablir une alimentation apaisée, contrôlée par les sensations alimentaires, et Laisser le poids évoluer sans contrôle volontaire. Mieux vaut une stabilisation pondérale qu une évolution en yoyo ascendant. Quelques règles simples pour le patient et les «grands stigmatiseurs» Le malade ne fait jamais exprès de ne pas maigrir; Il faut valoriser ses victoires et non fustiger ses échecs; L amaigrissement ne peut être que long et difficile; Engager à plus de souplesse, diététique et comportementale; Aider à gérer l agression vis-à-vis du poids et d autres aspects de la vie quotidienne (famille, profession); Valoriser «l expression» de soi et de son corps; Maigrir, ce n est pas seulement changer de poids, c est changer de vie. Notion de cognition alternative Je mange lorsque j ai faim; Je ne mange pas, ou très peu, lorsque je n ai pas faim; Mon alimentation s équilibre d elle-même à l échelle de la semaine lorsque j écoute mes sensations et émotions alimentaires; Je détermine les quantités en fonction de ma faim; J accepte les cadeaux alimentaires ou les invitations faites de bon cœur, sans me sentir obligé de manger au-delà de mon appétit; Continuer à manger quand on n a plus faim fait grossir, quel que soit le type d aliments consommés. Le travail du médecin nutritionniste Travail sur les comportements alimentaires: réorganisation des prises alimentaires; Travail sur le goût; Travail sur la surconsommation : «fini ton assiette» Rappeler que le plaisir gustatif agit comme contrôle sur la prise alimentaire

5 Les idées fortes Le comportement alimentaire est principalement contrôlé par des processus inconscients ; L obésité, résultant de déterminants complexes, n est en aucun cas une maladie de la volonté; La course à la minceur fait grossir. L avis du psychiatre Dr Dechristé Un symptôme aux déterminismes multiples physiopathologiques: hérédité, dysrégulation neurophysiologique, métabolisme des graisses sociologiques: niveau socioéconomique faible, immigration récente, chômage culturels: fréquence des repas, règles de convivialité, objectif pondéral à atteindre, discours social dominant: économie de marché, accès direct à l objet système familial: place particulière de l obèse psychopathologiques: obésité, réponse spécifique à des conflits psychiques, avec des interactions familiales, sociales et culturelles. Formes cliniques de l obésité (1) Obésité et maladie mentale Dépression, anxiété, addictrion Traiter la pathologie psychiatrique avant de débuter la prise en charge de l obésité Obésité et troubles de la personnalité Déni des conflits psychiques Comportements alimentaires peu maîtrisables Formes cliniques de l obésité (2) Obésité et problématiques névrotiques - Hyperphagie associée à des affects anxieux ou dépressifs, - Bénéfices secondaires liés à l obésité: évitement de l agressivité, de la sexualité, satisfactions masochistes, maintien d un statut infantile, Satisfactions orales substitutives aux conflits oedipiens qui sont évités Obésités sans problèmes émotionnels patents Surpoids souvent modéré et «bien» toléré, Quelques notions importantes - La prise en charge nécessite une adhésion mûrie du patient, - Il peut mettre en échec les prescriptions diététiques, - - Les échecs répétés accréditent l idée qu il n y a rien à faire, - Les conflits psychiques limitent les possibilités évolutives de ces patients, - Pas de cures d amaigrissement chez les patients psychotiques ou les dépressions avérées, - Importance de se dégager d une éventuelle demande symptomatique immédiate.

6 L avis du chirurgien digestif Techniques et indications chirurgicales La chirurgie bariatrique Dr Keller A qui s adresse la chirurgie bariatrique? recommandations de la HAS janvier 2009 La chirurgie bariatrique est indiquée par décision collégiale, prise après discussion et concertation pluridisciplinaires, chez des patients adultes réunissant l ensemble des conditions suivantes : patients avec un IMC >40 kg/m2 ou bien avec un IMC >35 kg/m2 associé à au moins une comorbidité susceptible d être améliorée après la chirurgie (notamment maladies cardio-vasculaires dont HTA, syndrome d apnées hypopnées obstructives du sommeil ); en deuxième intention après échec d un traitement médical, nutritionnel, tionnel, diététique et psychothérapeutique bien conduit pendant mois; en l absence de perte de poids suffisante ou en l absence de maintien de la perte de poids; patients bien informés au préalable, ayant bénéficié d une évaluation et d une prise en charge préopératoires pluridisciplinaires; patients ayant compris et accepté la nécessité d un suivi médical et chirurgical à long terme; risque opératoire acceptable; ARSENAL THERAPEUTIQUE Réduction de l apport calorique Notion d excès de perte de poids Manger moins Chirurgie malabsorbtive En chirurgie bariatrique pour pouvoir comparer les résultats on parle de % de perte d excès de poids = Excès de poids = poids du patient poids idéal Plan hypocalorique Chirurgie restrictive % de perte d excd excès s de poids = [(poids du patient pré-op poids post-op opératoire) (excès s de poids) X 100 Sleeve Anneau ajustable Bypass Diversion bilio-pancréatique Ex. : patient pesant 120kg pour 1.65m a un poids idéal de 60kgs En post-op opératoire, le patient pèse p 80kgs, il a donc perdu 40kgs, Ce qui correspond à un % de perte d excd excès s de poids de: (120-80)/(120 80)/(120-60) x 100 = 66.6% Gastroplastie par anneau ajustable gastrique (1) Gastroplastie par anneau ajustable gastrique (2) Boîtier sous-cutané Effet sablier Poche gastrique 15cc Anneau gastrique 1995 Anesthésie générale Coelioscopie Réversible Ajustable Intégrité gastrique Suivi clinique et radiologique régulier (5 fois la première année e puis au moins une fois par an ou au moindre problème) Inconfort alimentaire (nécessité de bien mastiquer, risque de développer un goût prononcé pour les aliments sucrés ou caloriques, «sweet eater»)

7 Gastroplastie par anneau ajustable gastrique (3) Mortalité : 1 décès pour 1000, essentiellement par embolie pulmonaire Complications post-opératoires opératoires précoces peu fréquentes (<5%) : Perte de poids : en moyenne 40 à 50% de l excès de poids entre 1 et 2 ans, en moyenne 40% à long terme Complications tardives spécifiques de l anneau >20%: Dilatation de la poche gastrique ou de l œsophage >10%* Migration de l anneau dans l estomac 1%* Problèmes de boîtier et de cathéter (rupture, retournement) >10% *nécessité d enlever l anneau définitivement Gastroplastie par anneau ajustable gastrique (4) : indications Chirurgie purement restrictive Hyperphages non grignoteurs non compulsifs Etude de la CNAM Indications de plus en plus sélectives et restrictives en fonction de l âge, du sexe, du BMI,etc etc Ne concerne que très peu de patients Bypass gastrique (1) «Court-circuit gastrique» Intervention de référence 1966 Anesthésie générale Coelioscopie IRREVERSIBLE Triple action : restriction, malabsorption, dumping syndrome Prise régulière et à vie de suppléments vitaminiques et en oligo-éléments Grossesse interdite pendant mois Bon confort alimentaire Anse Bilio-pancréatique 50 cm Estomac exclu Poche Gastrique 20cc Anse Alimentaire 150 cm Vit B12 Vit B1 Vit B9 Ca2+ Fer Fer Anse Commune 250cm Ca2+ Vit D Bypass gastrique (2) Perte de poids : en moyenne 70% de l excès de poids entre 1 et 2 ans Mortalité : 0,3 à 1% de décès dans les séries, essentiellement par p embolie pulmonaire et lâchage de sutures Complications post-opératoires opératoires précoces peu fréquentes (<5%) : Phlébites, infections, hémorragies, occlusions, douleurs, vomissements Complications tardives spécifiques du bypass : Ulcère de l estomac Occlusions intestinales Complications nutritionnelles : carences en vitamines, fer, calcium, magnésium, protéines. D autres complications digestives possibles : calculs de la vésicule biliaire, diarrhées par malabsorption, malaises hypoglycémiques et dumping syndrome Bypass gastrique (3) : indications Gold standard, «Fits all», Adapté à tout type de comportement alimentaire, notamment les grignoteurs et/ou compulsifs Le plus long recul Plus de bypass par an dont aux USA Etudes de 2007 Adapté aux syndromes métaboliques, DT2, BMI élevés, contre- indications à l anneau Bon confort alimentaire Réclamé par des patients de mieux en mieux informés Sleeve gastrectomie (1) Sleeve gastrectomy, sleeve gastrectomie, gastrectomie longitudinale, gastrectomie en manche, en manchette Nouvelle intervention Peu de recul Bon amaigrissement à 5 ans (60-80% de perte d excès de poids?) Chirurgie purement restrictive Peut être le premier temps d une diversion bilio-pancréatique ou d un bypass 3 mécanismes : restriction gastrique, diminution du taux de Grhelin, accélération de la vidange gastrique Tube gastrique Partie de l estomac qui est retirée

8 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE (DBP) AVEC «SWITCH DUODENAL» Est réservé aux super obésités (IMC>50 voire 60) Est souvent effectué comme 2ème temps opératoire après une sleeve Procédure mixte malabsorbtion +++ et restriction± Poche de l'estomac plus grande Plus grande perte de poids Plus grande malabsorption des nutriments Perte d excès de poids de 74% la première année, 78% la deuxième année, 81% la troisième année, 84% la quatrième année et 91% la cinquième année. Résout le diabète de type 2 chez près de 77% des patients Court-circuit = malabsorption Sleeve = rectriction Etude SOS Résultats SOS [Sjöström et al, NEngJMed 2007;357 :741-52] Courbe d amaigrissement du BPGL/ AGA/SLEEVE résultats du Dr Keller % 120% 100% 80% 60% % 70% % de poids perdu BPGL Gastroplastie/ anneau gastrique AGA Perte d'excès de poids Bypass gastrique 40% 100% 40% 20% 90% 80% 0% 70% BMI 14perdu % BMI Sleeve perdu gastrectomy Délai en années 50% SLEEVE 0,8 40% 0,7 30% 20% 0,6 50%? 10% 0,5 0% 0, ,3 Délai en années 0,2 0, Délai en années Notions importantes La chirurgie de l obésite ne devrait plus faire peur Seul traitement efficace au moins encore pour 20 ans La chirurgie réduit de façon significative la mortalité, particulièrement celle liée au diabète, à la pathologie coronarienne et au cancer Le bypass gastrique reste l intervention de référence Centres de référence et stratégie thérapeutique concertée Les médicaments L avis du pharmacien Dr Antoine Les centraux Sibutral Les périphériques Xénical Alli

9 Indications Sibutramine Inhibe la recapture de NA, 5HT et DA Stimulation de la satiété & de la thermogenèse Perte de poids Orlistat Inhibiteur puissant des lipases gastro-intestinales responsables de l hydrolyse des TG de l alimentation Réduction de l absorption des Acides Gras et des monoglycérides Sibutral Chez les patients présentant une obésité nutritionnelle et un IMC > ou égal à 30kg/m²; Ou IMC > ou égal à 27 si présence d autres facteurs de risque liés à l obésité Xénical En association avec un régime modérément hypocalorique dans le ttt de l obésité (IMC > ou égal à 30kg/m²) ou du surpoids (IMC > ou égal à 28) associés à des facteurs de risques. Alli : demi-dose dose du xénical Indiqué en association à un régime modérément hypocalorique et pauvre p en graisses dans le traitement du surpoids (Indice de Masse Corporelle, IMC 28 kg/m²) chez l adulte; Cf études pivots Résultats??? Alli 60 mg n est pas soumis à prescription médicale et peut donc être e délivré en pharmacie sans ordonnance; La dose recommandée est de 1 gélule d Alli 60 mg 3 fois par jour au moment des repas (Alli( 60 mg ne doit pas être pris si un repas est omis ou ne contient pas de graisses). Au bout de 12 semaines si aucune perte de poids n est observée, l arrêt du traitement devra être envisagé, sur avis d un professionnel de santé. s La durée maximale de traitement est de 6 mois. Alli : étude menée chez 391 patients américains en «surpoids» Groupe «alli»: perte de 3kg sur 16 semaines Groupe «placebo»: perte de 2 kgs 50 % de perte de poids supplémentaire avec Alli! Ex. Astuces pour minimiser les effets indésirables digestifs, Orlistat: a review of its Use in the Management of Obesity Heness and Perry Drugs 2006: 66(12) : Orlistat: a review of its Use in the Management of Obesity Heness and Perry Drugs 2006: 66(12) :

Chirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider!

Chirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider! Chirurgie de l obésité Ce qu il faut savoir avant de se décider! Consultez le site Internet de la HAS : www.has-sante.fr Vous y trouverez des informations complémentaires et des outils pour bien préparer

Plus en détail

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,

Plus en détail

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques

LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques Dr D.Nocca, Dr C. de Seguin de Hons,Dr V.Salsano, Dr PM.Blanc, Dr E.Deneve, Dr S.Faure, Dr R.Altwegg, Dr M.Veyrac, Dr P.Bauret, Dr JC Valats, Pr D.Larrey, V.Harivel,

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer

Plus en détail

epm > nutrition Formation & Conseil

epm > nutrition Formation & Conseil CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»

Plus en détail

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

Informations sur la chirurgie de l obésité

Informations sur la chirurgie de l obésité Service de chirurgie digestive du CHR de la Citadelle Informations sur la chirurgie de l obésité Pour être en bonne santé, il faut manger sainement et bouger. La perte de poids suivra. La chirurgie n est

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

epm > nutrition Formation & Conseil

epm > nutrition Formation & Conseil CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

da Vinci Pontage gastrique

da Vinci Pontage gastrique da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure

Plus en détail

Le traitement en effet est, au début, une épreuve pour tout le monde : la malade d abord, les parents ensuite et même les thérapeutes.

Le traitement en effet est, au début, une épreuve pour tout le monde : la malade d abord, les parents ensuite et même les thérapeutes. Les troubles du comportement alimentaire (TCA) sont l expression d un mal-être et d un manque de confiance en soi. Anorexie et boulimie sont des maladies douloureuses et il faut du temps pour s en sortir.

Plus en détail

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?» Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai

Plus en détail

LA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE

LA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE Université d Angers, UFR des sciences Médicales, Ecole de Sages-Femmes René ROUCHY, Diplôme d Etat de Sage-Femme LA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE Etude rétrospective réalisée au CHU d Angers. Soutenue

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre

Plus en détail

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

OBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)

OBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence) OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

En savoir plus sur le diabète

En savoir plus sur le diabète En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER

ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Charte nutritionnelle

Charte nutritionnelle Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer

Plus en détail

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac

Plus en détail

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE

INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une

Plus en détail

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN

L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour

Plus en détail

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08 Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc.

Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Un problème de santé publique inquiétant Au Québec: 73 % des femmes veulent maigrir

Plus en détail

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...

Plus en détail

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

Mutuelle et Santé L OBÉSITÉ DE L ADULTE LA REVUE DE LA MTRL. Quelles solutions chirurgicales?

Mutuelle et Santé L OBÉSITÉ DE L ADULTE LA REVUE DE LA MTRL. Quelles solutions chirurgicales? Mutuelle et Santé REVUE TRIMESTRIELLE D INFORMATION DE LA MTRL N 74 JUIN 2012 1 LA REVUE DE LA MTRL L OBÉSITÉ DE L ADULTE Quelles solutions chirurgicales? La Revue de la MTRL Mutuelle et Santé n 74 VIE

Plus en détail

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours 878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète)

Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?» Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent

Plus en détail

La chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure

La chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure REVUES GENERALES 25 A. SALLE Département d Endocrinologie, Diabétologie, Nutrition, CHU, ANGERS. La chirurgie bariatrique est actuellement le traitement de choix de l obésité morbide. Cette chirurgie n

Plus en détail

Bouger, c est bon pour la santé!

Bouger, c est bon pour la santé! Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

N.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4

N.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3

Plus en détail

L équilibre alimentaire.

L équilibre alimentaire. L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES

DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DURANT L ENFANCE ET L ADOLESCENCE PROFESSEUR N. RIGAL MAITRE DE CONFERENCES EN PSYCHOLOGIE DU DEVELOPPEMENT, UNIVERSITE DE PARIS 10, FRANCE rigal.n@free.fr Rôle

Plus en détail

La prise en charge de votre épilepsie

La prise en charge de votre épilepsie G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide

Plus en détail

L Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25 l obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30

L Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25 l obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30 Introduction L obésité est une maladie susceptible d entraîner de multiples complications altérant la qualité et l espérance de vie des patients. Sa fréquence est en augmentation et elle constitue désormais

Plus en détail

www.programmeaccord.org

www.programmeaccord.org LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider

Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider Quoi faire ou ne pas faire? Voilà souvent la question que se posent les parents et ami(e)s proches d une personne souffrant d anorexie et de boulimie.

Plus en détail

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération

Plus en détail

Vivez votre féminité sans souffrir.

Vivez votre féminité sans souffrir. Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer

Plus en détail

Le VIH et votre apparence physique

Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude

Plus en détail

LES FACTEURS DE RISQUE

LES FACTEURS DE RISQUE LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante

Plus en détail

Le diabète en pédiatrie

Le diabète en pédiatrie Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Aimerais-tu en connaître davantage sur les troubles alimentaires? Clique sur chacune des sections pour avoir plus de détails

Aimerais-tu en connaître davantage sur les troubles alimentaires? Clique sur chacune des sections pour avoir plus de détails LES TROUBLES ALIMENTAIRES Les troubles alimentaires se caractérisent par des croyances, des attitudes et des comportements extrêmes à l égard de la nourriture et du poids. Ce sont des troubles complexes

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail