Mon début de carrière : La DRME (fin des 60 et la décennie 70):

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1 39 années de R&T avec la DGA, Retour d expérience sur les réformes de la DGA, bonnes et mauvaises surprises, Attentes du groupe SAFRAN Michel SIRIEIX, Directeur Scientifique Défense Sagem Défense Sécurité Groupe SAFRAN 0 Mon début de carrière : La DRME (fin des 60 et la décennie 70): La DRME facilitait la recherche en milieu industriel et les relations industrie/labo de recherches académiques (du moins ceux qui le voulaient). Travaux sur la détection hétérodyne en IR moyen ( ) : - Thèse sur des contrats DRET de 1968 à Coopération avec CNRS Meudon, Observatoire de Paris, Universités d Orsay et de Jussieu. - 7 années de contrats en continu qui nous ont conduit à un démonstrateur technologique de Lidar à 10,6 µm - Niveau scientifique et technologique équivalent à celui des USA en 1974, accueil dans des laboratoires prestigieux dès 1971 : NASA, MIT Lincoln Lab, JPL, Hughes Research lab, Les débuts des détecteurs IR multiplexés ( ) - Coopération avec CEA LETI sur les CCD et CMOS d une part et sur la technologie CMT d autre part - Coopérations avec CNRS Meudon sur CID InSb - Démonstrations technologiques : matrice CID 32x32 InSb pour AD en 1980 et détecteur IRCCD 64x8 MWIR et 64x4 LWIR pour caméras thermiques en Niveau scientifique et technologique équivalent, voire supérieur à celui des USA en 1981 (vente de 2 licences sur technologie CMT). 1 1

2 La DRET dans les années 80 et le début des 90 La grande époque de l IR-CCD : 1978 : Création du LIR 1986: Création de SOFRADIR La France, leader technologique mondial des détecteurs IR et des caméras thermiques de 2nde Génération Revers de médaille : Retards des programmes Européens de Développement et donc retards sur les séries industrielles Le Gyro laser et la navigation : La DRET a contribué au développement du Gyro laser, d abord chez Sextant, puis chez Sextant et Sagem De nombreux laboratoires de recherche ont été associés autour des industriels aux recherches sur les briques technologiques : Miroirs de très haute qualité, technologie du laser, physique du plasma, Le soutien aux technologies de navigation, nécessaire à notre dissuasion, a été un modèle qui nous permet aujourd hui d occuper le premier rang Européen et le 3 ième rang mondial 2 Dans les années 70 et 80, les services de programme développaient aussi leurs technologies spécifiques. La DRET se chargeait du «bottom-up» et des technologies «transverses» Les services de programmes : SEFT, SPAé, STAT, STET, STEN, STCAN, engageaient des études générales sur les thèmes en rapport avec les systèmes dont ils avaient la charge, c étaient de véritables démonstrateurs de technologie au niveau TRL 6 : Les caméras thermiques à la SEFT, ASICs et CCD TDI pour le SMT Veille IR navale au STCAN Veille IR aéroportée au SPAé Autodirecteur air-air matriciel au STET La propulsion à poudre au bureau propulsion de la Direction des engins Les éléments de moteur pour avion d arme au SPAé Mais aussi des technologies de base comme : Les matériaux carbone carbone (du TRL 1 au TRL 7) 3 2

3 De la DRET au STTC et après le déclin de la recherche technologique de défense A partir du milieu des années 90 : La DRET est transformée pour sa part technique en services technologiques transverses STTC et pour le financement de la recherche en un service à part le SRTS, l organisation devient matricielle sous la tutelle des programmes C est le début du déclin pour certaines technologies comme l optronique, - Retard sur les technologies de matrices 3-5 µm puis sur la 3ième génération - Absence de soutien à la recherche industrielle en optronique, les nouveaux programmes d équipements partent en UK ou en D - La position française recule, des concurrents comme les Britanniques, les Israéliens et les Allemands rattrapent leur retard par rapport à la France, tandis que l écart par rapport aux USA se creuse - Un rebond fin des années 90 avec les détecteurs non refroidis mais dont l effort asséchera les autres recherches comme celles concernant l IL et la cryogénie. Heureusement, le Guidage Navigation a été épargné! - Soutien constant aux technologies : Gyro laser, FOG, accéléromètre vibrant, GRH, - Des résultats de premier plan international Les Services techniques de grands programmes gardent encore un peu de R&T jusqu à la fin du développement : M51, moteur Rafale, 4 Dernière étape connue de l évolution : la forme tensorielle Complexité de la structure avec répartition des pouvoirs selon trois axes antagonistes : technique, administratif et managérial. Recherche de la bonne exécution budgétaire et du respect des bonnes pratiques du code des marchés public conduit à dépenser le budget : - Dans les temps - Sur un nombre restreint de gros marchés Recherche d une bonne planification des efforts prenant en compte l ensemble des contraintes de défense, à partir d une idée il faut : - Trouver le budget pour lancer une ETO :1 an - Planifier et exécuter un PEA : 1 an + 3 ans - 5 ans après minimum on peut passer au développement mais il faudra activer de manière coordonnée : Le service de programme qui passera à l acte Le responsable technique Le service de la stratégie industrielle pour le choix du titulaire Les architectes de forces Etc.,. Et plus si c est interdisciplinaire Le couplage «bonne exécution budgétaire» et «planification» retarde le développement du progrès technologique et fait perdre en compétitivité. 5 3

4 PEA : La dérive vers les niveaux TRL élevés La nouvelle organisation de la DGA et ses contraintes conduisent à confier aux grands systèmiers la maîtrise d œuvre des projets de R&T. Ceux-ci s intéressent plus démonstrateurs produits (TRL 7/8) qu aux démonstrateurs de technologie (TRL 5) La recherche de la rentabilité à court terme impose l utilisation de technologies «matures», niveau TRL >6 Le financement de l innovation (TRL <4) ne se fait pas Le financement du développement technologique (TRL 3 à 6) chez les équipementiers est long et laborieux car ce sont des PEA de la classe <10 M Conséquences imprévues: L augmentation des crédits ne favorise pas l innovation, elle irrigue les développements de systèmes de systèmes! Les PME, objet de tant de sollicitudes, ne sont pas financées par les grands groupes car il n y a pas comme aux USA de «Small business act» La technologie, moteur de la croissance, est délaissée au profit des systèmiers. Disparition des visions technologiques et des hommes porteurs de cette compétence 6 PEA : Les dérives du code des marchés publics Codes des marchés public et innovation ne font pas «bon ménage» : Après la programmation la mise en concurrence : - De l idée à la réalisation d un plan de recherche amont il s est déjà passé un ou deux ans, à l échelle de temps industriel c est déjà un lourd handicap - La mise en concurrence, c est bien dans l idéal, mais est ce que celui qui l emporte sera le plus efficace en terme d innovation? Non, car il y a les pénalités : L entreprise qui prend des risques sera pénalisée si elle est en retard pour livrer les résultats Le respect d un cahier des charges précis ne laisse aucune part à la recherche de solutions parallèles parfois plus innovantes Dans certains cas l industriel doit investir,. Propositions pour favoriser l innovation : Revoir le code des marchés public : lourd donc impossible, échec CCTP innovant, Créer une agence de R&T pour la Défense (sur le modèle AII?) avec les principes de fonctionnement suivant : % de prise de risques par l état pour les TRL <3 - Partage des risques 50/50 entre l industrie et l état sur les TRL de 4 à 6 - Plus de mise en concurrence pour les marchés ou les aides à l innovation - Pas de pénalités sur les PEA, justification de moyens - Passation des marchés par l agence directement au détenteur de la technologie en gré à gré - Choix des projets sur la satisfaction des objectifs plutôt que sur la réalisation d un plan. 7 4

5 Exécution des PEA : Equilibre nécessaire entre industrie et grands organismes de recherche, Depuis plusieurs années nous assistons à la réduction du nombre et du montant des PEA technologiques (montants <10 M ) attribués à des industriels et leur remplacement par des PEA de recherche dans les grands organismes comme l'onera ou le LETI. Conséquences : La recherche industrielle s appauvrie Les thèmes de recherches intéressent moins les industriels Propositions : Les organismes de recherches ne doivent recevoir des PEA qu à condition de les effectuer dans le cadre de partenariats pilotés par les industriels Ces partenariats doivent associer des PME innovantes capables de développer les bases technologiques nécessaires 8 La réponse à une attente : la MRIS La création de la MTIS correspond vraiment à un besoin pour favoriser l innovation et répondre à une attente de l industrie depuis la fin de la DRET Cependant : La MRIS ne dispose pour l instant que d un budget réduit ne permettant que de passer des contrats inférieurs à 300 k Les financements ne s adressent qu aux laboratoires de recherches et à quelques PMEs au travers les REI Il faudrait: Augmenter le financement REI pour les PME technologiques innovantes et les «jeunes pousses» issues des recherches de laboratoires Favoriser ensuite les partenariats pour appliquer ces technologies à des produits. Financer les niveaux TRL 3 à 6 chez des industriels prêts à partager des risques. Aider à l usage des technologies innovantes dans les systèmes en fixant des parts de financement sur les contrats de développement dédié à l usage de nouvelles technologies 9 5

6 Entre le PP30 et le POS, un manque : le plan d action technologique Le PP30 donne une vision capacitaire à l échéance de 30 ans, c est bien pour orienter les futurs programmes Le POS donne une vision des innovations scientifiques et de leur capacité à irriguer le milieu de la défense Il nous semble manquer un plan d action technologique à échéance de 15 ans qui : s intercalerait entre ces deux plans et définirait les feuilles de route technologique pour les composants et sous systèmes clés. définirait les objectifs à atteindre indiquerait la politique vis-à-vis de l Europe concernant la coopération ou non sur ces technologies fixerait la politique industrielle D autres pays l ont fait, pourquoi pas nous? Une réflexion serait en cours à la DGA. 10 Comparaison avec l étranger : le document UK «Defence Technolgy Strategy» Le document «Defence technology Strategy» publié récemment par le MOD britannique fait suite à d autres actions ou concepts médiatisés, censés influencer largement sa méthode d acquisition de systèmes d armes : Les long-term support partnerships; Le true through-life equipment management; La UK Defense Industrial Strategy -de la fin de l année 2005 ; La SMART acquisition initiative. Son objet est de fournir un cadre au soutien de la recherche «long-terme» ayant des applications potentielles dans la défense. le MOD britannique liste les technologies qui méritent d être soutenues : celles qui sont jugées matures celles dont les applications militaires sont trop incertaines. les technologies pertinentes mais dans des domaines où l industrie britannique a perdu pied. L optronique, parent pauvre de la politique R&T française, est souvent citée, Le UK MOD semble vouloir distinguer deux types de technologies : celles déjà largement disponibles sur le marché, pour lesquelles les efforts de recherche ne seraient pas nécessaires celles destinées au seul marché militaire, méritant un soutien spécifique. 11 6

7 Comparaison avec l étranger : l action de la DARPA En 2004, dans le rapport de P Dumas au Conseil Général de l Armement sur le «Gap transatlantique», le rôle moteur de la DARPA dans le développement technologique US était exprimé ainsi : R&T initiée et financée par les besoins militaires en hautes technologies Cette R&T est effectuée principalement dans les universités, les «start up» et les PME Les résultats viennent enrichir la R&D des grandes entreprises civiles et militaires L an dernier le Directeur du NVESD à repris publiquement des propos semblables pour justifier l impact du financement par l US DoD de la technologie IR non refroidie sur l industrie civile en qualifiant ce processus de «cercle vertueux». Pourquoi pas une «DARPA» Française puis Européenne? Est-ce l objectif de L AED? 12 L Europe et l Agence Européenne de Défense : AED L européanisation des marchés de Défense et la création de l AED apportent elles des éléments nouveaux? l'aed a publié un document Long Term Vision (LTV) qu'elle va traduire en Capability Development Plan (CDP) en 2007 pour sortir un plan stratégique de R&T courant Il n'y a effectivement pas de budget à l AED qui permette d'avoir une réelle démarche technologique. Toutefois par les actions JIP Force Protection et JIP ARMS, l'aed applique cette démarche capacitaire et technologique à des thèmes particuliers en y juxtaposant un budget spécifique (catégorie A). Cependant, ne risque t-on pas une prise en main par les grands systèmiers Européens de la politique et du refinancement de la technologie au travers des ITP (Integrated Technology Program), comme cela est le cas pour l ITP Missile? Proposition : Augmenter la part de financement pour la R&T en la sanctuarisant dans les budgets et en procédant par des «call» comme pour le PCRD. 13 7

8 Conclusions La Recherche Technologique de Défense est un vecteur de l innovation et de la croissance comme cela l a été démontré dans les années 60 à 80. La réduction des budgets mais surtout une planification outrancière ont réduit de façon considérable notre R&T et ses résultats. Qui acceptera la seule domination US (et plus tard Chinoise) dans les Technologies de Défense? Comment se prémunir contre l inscription par les USA de produit aussi banal qu une colle dans la liste des produits «ITAR»? Pouvons nous continuer à jouer un rôle de premier plan dans l industrie de Défense Européenne? EN POURSUIVANT UN EFFORT NATIONAL EN RECHERCHE TECHNOLOGIQUE DE DEFENSE 14 8

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