professionnelle des jeunes adultes. Analyser les stratégies d'acteurs La méthode Mactor

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1 Dominique Espanol 110, rue de Charenton / Paris j 9. n auditeur: L'insertion professionnelle des jeunes adultes. Analyser les stratégies d'acteurs La méthode Mactor Cours de prospective Cl l

2 Première partie : La méthode Mactor est une méthode d'analyse de jeux d'acteurs. La démarche consiste à appréhender les rapports de force entre acteurs concernés par le thème étudié et à examiner leurs convergences et divergences sur un certain nombre d'enjeux et d'objectifs associés à ce thème. A partir de l'analyse, l'objectif de l'utilisation de la méthode Mactor est de fournir à un acteur un aperçu précis de son environnement et une aide à la décision pour la mise en place d'une politique d'alliance ou de conflits potentiels. Elle peut ainsi aider à anticiper l'évolution du rôle des acteurs notamment en ce qui concerne l'émergence ou la disparition de ceuxci. Le principal intérêt de la méthode est avant tout de mettre en relation des experts du domaine étudié dans le cadre d'un travail collectif même si, dans notre cas, notre groupe de travail n'était pas constitué exclusivement d'experts à part entière. Ce travail permet donc l'échange d'expériences et d'informations qui ne peuvent que valoriser les savoirs des participants à cette méthode. Cependant ce travail collectif ne se départirait pas des réunions de travail habituelles s'il ne s'appuyait sur une méthode dont les particularités sont d'être très opérationnelles. Notre groupe se compose de 13 personnes dont 6 n'ont pas d'activité directement relié à notre domaine d'étude. Cette particularité ne présente pas précisément un handicap notamment dans la recherche des idées reçues. La méthode s'est déroulée en 9 séances de travail de 2h30 plus une séance de 8 heures (atelier 8) soit 30h30 au total. Les séances se sont réparties comme suit : Atelier 1 : Anticiper le changement et les inerties : établissement d'une liste des facteurs de changement et d'inertie et, par un système d'attribution de points, souligner les principaux facteurs. Atelier 2 : Chasser les idées reçues : consiste à établir la liste des idées reçues concernant les gandes catégories d'acteurs liés au sujet, à évaluer leur bienfondé et à les classer en fonction de leur possible impact à l'horizon 2010 afin de nous permettre de déduire celles qui constituent un enjeu ou de simples thèmes de communication. Atelier 3 : Définition d'un enjeu pertinent autour de la problématique de l'insertion des jeunes et établissement de la liste des acteurs impliqués dans cet enjeu en soulignant leurs stratégies. Atelier 4 : Présentation de la stratégie des acteurs à l'aide des fiches Acteurs (définition de l'acteur, buts et objectifs poursuivis passés, présents et futurs, éventuellement forces, faiblesses et moyens dont dispose l'acteur). Nous avons répertorié 15 grands acteurs concernés par notre sujet. : les grandes entreprises (+ de 500 salariés) ; les petites et moyennes entreprises ( de 500 salariés) ; les Ministères du travail et de la ville ; les syndicats de salariés ; les syndicats patronaux ; les syndicats d'enseignants ; les organismes de formation professionnelle privés et publics ; les collectivités locales (Municipalités, Départements, Régions) ; l'union Européenne ; les missions locales, PAIO, associations et entreprises d'insertion ; L'Education Nationale ; l'anpe, l'unedic et les ASSEDIC ; les CCI et Chambres des métiers ; les associations de parents d'élèves et les associations de jeunes ; le gouvernement et le ministère des finances.

3 Ateliers 5 & 6 : La liste des objectifs répertoriés dans les fiches acteurs permettent de les classer selon des champs de bataille. Pour chaque champ de bataille, on retient les objectifs principaux, les plus explicites et polémiques. On consolide en rapprochant des objectifs proches pour des acteurs différents afin d'avoir un libéllé d'objectif unique. Atelier 7 : La finalisation des objectifs : on determine la liste finale des objectifs en veillant à ce que ceuxci intègrent toutes les dimensions de notre sujet. Le libéllé.de l'objectif doit être tranché afin d'avoir un positionnement clair des acteurs lors du remplissage de la matrice acteurs x objectifs. Quinze objectifs ont été validés : 1 Augmenter la part de la taxe professionnelle pour la formation continue 2 Augmenter de façon significative la contribution financière de l'etat dans les dispositifs de formation professionnelle et d'emploi en faveur des jeunes sans qualification : priorité nationale au détriment des anciens 3 Réorienter 20% du budget de l'éducation nationale vers les dispositifs de formation professionnelle des jeunes sans qualification 4 Exonérer de charges sociales et subventionner de manière significative les entreprises qui embauchent des jeunes faiblement qualifiés 5 Revaloriser le SMIC de 20% 6 Supprimer les rémunérations inférieures au SMIC quel que soit le statut (RMA) et l'âge (Alternance) 7 Renchérir le coût des emplois sous contrat précaire : passage de la prime précarité de 10% à 30% 8 100% d'une classe d'âge avec un diplôme à l'issue de la formation initiale 9 Permettre sur toutes les formations de capitaliser les acquis sous forme d'unité de valeur et intégrer la validation de l'expérience professionnelle. 10 Développer la covalidation Education nationaleentreprises contenus et des stages intégrés dans l'évaluation des diplômes 11 Confier la responsabilité des plans stratégiques de formation aux conseils régionaux 12 Imposer des passerelles permanentes entre formation professionnelle et formation générale à tous les niveaux 13 Mettre en place une politique de quota pour l'orientation en fonction des besoins des filières métiers 14 Développer pour les publics en grande difficulté systématiquement les dispositifs et les actions d'insertion sociale en amont de la formation professionnelle 15 Mettre en place des systèmes d'obligation de résultats (Education nationale, PAIO, etc.) pour la formation professionnelle des jeunes Atelier 8 : Remplissage des matrices acteurs x acteurs et acteurs x objectifs. On remplit les matrices de jeu des acteurs au présent afin de décrire la situation telle qu'elle est actuellement. Le remplissage des matrices se fait par consensus. Pour remplir la matrice acteurs x acteurs on répond à la question suivante : l'acteur i (en ligne) atil une influence directe sur l'acteur j (en colonne) dans le domaine étudié. Si non, on note 0 ; si oui, on évalue l'intensité de l'influence en graduant la notation. On aura pour une influence directe sur les opérations courantes une note de 1 ; pour les projets, 2 ; pour les missions, 3 ; pour l'existence, 4. Pour remplir la matrice acteurs x objectifs on répond aux deux questions suivantes : l'acteur i estil favorable, neutre ou défavorable à la réalisation de l'objectif (valeurs positives, nulles ou négatives)? quelle est l'importance que représente cette objectif pour l'acteur i? On évalue l'intensité de l'importance en graduant la notation. Si l'objectif met en cause ou est indispensable aux processus opératoires de l'acteur, on note 1 ; pour les projets, 2 ; pour les missions, 3 ; pour l'existence,4. Nous avons donc une gradation des notes pouvant aller de 4 à +4.

4 Le remplissage des deux matrices nous a pris 8 heures. Dans tous les cas, il convient de remplir chaque matrice d'une traite. Ateliers 9 & 10 : Interprétation des résultats Mactor : A partir de smatrices, un logiciel a permis d'obtenir des tableaux, graphes et histogrammes. L'analyse de ceuxci nous permet de dégager plusieurs points : Le rapport de force entre acteurs est dictée par la maîtrise des financements. Les acteurs les plus influents et les moins dépendants représentent les instances décisionnaires (gouvernement, Union Européenne, syndicats patronaux, syndicats de salariés). Ils fixent des budgets alloués ou interviennent dans les négociations. Les acteurs les moins influents et les plus dépendants sont «les opérationnels» (Missions locales, ANPE, organismes de formation). Les sujets les plus polémiques ont un rapport avec le financement (taxe professionnelle) ou font intervenir des changements idéologiques profonds (politique de quotas, obligations de résultats, covalidation entreprise / Education Nationale). Les acteurs les plus impliqués sur l'ensemble des objectifs sont le gouvernement, le ministère du travail, les syndicats patronaux, les syndicats d'enseignants et les associations de parents d'élèves. Un réseau dominant apparaît dans le plan de convergence des acteurs (gouvernement, ministère du travail, syndicats patronaux). A l'inverse il n'existe pas de bloc d'opposition forte. Ce réseau s'oppose à la réalisation d'objectifs ayant pour but la lutte contre la précarité mais pour conséquence l'augmentation du coût du travail (1 taxe professionnelle, 5 & 6 SMIC). Ces objectifs auront peu de chances d'aboutir si un réseau d'opposition ne voit pas le jour. La covalidation et l'obligation de résultats sont des objectifs envisageables du fait de ce réseau dominant. Cependant il faut tenir compte du pouvoir de blocage des syndicats d'enseignants et de l'education Nationale. Le seul objectif pour lequel ce réseau ne semble pas soudé est la politique de quotas. Les acteurs les plus fiables sont les syndicats patronaux et le ministère du travail. Les plus ambivalents sont les organismes de formation : l'opportunisme est une stratégie de survie. En l'état actuel, des réformes ne pourraient aboutir que si elles ont l'appui du réseau dominant. Il semble difficile de faire des réformes structurelles ; seule la question des quotas pourrait évoluer car beaucoup d'acteurs ne se prononcent pas sur ce sujet et pourraient, par un positionnement, influés sur la décision de mise en place. Trois situations pourraient voir le jour : Le réseau dominant continue à être aussi fort et peut même «attirer» d'autres acteurs (politique d'écrasement). Dans ce cas, seul ce réseau sera susceptible d'impulser des actions en faveur de l'insertion des jeunes. Les acteurs «faibles» s'allient afin de renforcer leurs positions et peuvent s'opposer au réseau fort. Le réseau dominant se scinde du fait de la pression d'autres acteurs et/ou de l'opposition des acteurs du réseau (ex : changement de politique du gouvernement). La position des autres acteurs serait alors consolidé. Deuxième partie : Les points essentiels à respecter pour garantir la validité et l'intérêt d'une telle démarche sont : S'assurer qu'un nombre suffisant de représentants du groupe assistera aux réunions. Pour cela il faut que le groupe soit assez nombreux (environ douze personnes).

5 Il me semble préférable que le groupe de travail soit mixte, c'est à dire qu'il comprenne des intervenants externes représentatifs d'une partie des acteurs pour favoriser l'échange d'expériences. Cela permet, entre autre, d'avoir un regard nouveau sur l'organisation et sur son environnement. Il conviendra de s'assurer de leurs disponibilités et de prévoir un planning de réunions le plus strict possible afin de garantir une présence aux ateliers. Bien évidemment, le nombre d'intervenants externes dépendra du sujet traité. L'organisation doit «institutionnaliser» cette démarche. Il convient que les participants internes soient disponibles, notamment qu'il n'y ait pas de blocage de leurs hiérarchies( N+1, N+2) en termes d'horaires. Dans la mesure du possible, ils doivent être volontaires. Pour cela, lors de la réunion initiale de présentation de la méthode, il conviendrait de convier un nombre de collaborateurs de l'organisation supérieur au nombre envisagé et de ne garder que les plus impliqués eu égard, bien entendu, à leur apport éventuel à la démarche. En support du groupe de travail, mettre en place un comité technique de deux ou trois collaborateurs de l'organisation dont les tâches seront de préparer les réunions, rédiger les comptes rendus et autres documents (fiches acteurs, rapport définitif), assurer la recherche documentaire, faciliter la communication du groupe. L'implication est une clé essentielle pour le succès du dispositif. Le comité technique doit être constitué par des personnes rigoureuses dans leurs comptesrendus et dans la préparation des réunions. En outre, il faut qu'elles aient des compétences en terme d'animation de groupe. En effet, les réunions ne doivent pas devenir des tribunes où chacun pourrait se plaindre ou revendiquer ; il convient de recentrer sur le sujet traité dans le but de préserver l'aspect opérationnel et efficace de la démarche. Afin de limiter le nombre de réunions, il faut prévoir des séances d'au moins 4 heures voire d'une journée (contre 2h30 pour notre dispositif). La fragmentation de la démarche entraîne des phases de latence en début de réunion pendant lesquelles les participants doivent se remettre dans la logique de la méthode. Il est possible de n'organiser que 7 séances dont un séminaire initial en s'organisant comme suit : 1. Séminaire initial: présentation du dispositif: objectifs, thèmes, méthode, planning de travail 2. Réunion 1 : Liste des acteurs 3. Réunion 2 : Fiches acteurs 4. Réunion 3 : Remplissage de la matrice Acteurs x Acteurs 5. Réunion 4 : Liste de objectifs 6. Réunion 5 : Remplissage de la matrice Acteurs x Objectifs 7. Réunion 6 : Interprétation et présentation des résultats finaux. Les réunions doivent être espacées d'au moins trois semaines (4 à 6 lors de la constitution des fiches acteurs). Il faut compter environ six mois, voire moins, entre le séminaire initial et les conclusions.

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