ASSOCIATION BASE FANDIMA (ABF)

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1 ASSOCIATION BASE FANDIMA (ABF) PLAN D AFFAIRES DE L ASSOCIATION BASE FANDIMA (VOLET MICRO FINANCE) Version définitive Janvier 2008

2 LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS ABF ADELE PA/SNMF ONG APRG ARFA PICOFA FIDA BAD BOAD SOCOMA IMF BACB BICIA-B RCPB SBE FAARF BOA FONAEF DAMOF UMOA AGO CA SE SIG BAC BEP : L Association Base Fandima : Programme d Appui au DEveloppement Local de l Est : Plan d Action de la Stratégie Nationale de Micro Finance : Organisation Non Gouvernementale : Association pour la Promotion Rurale dans le Gulmu : Association de Recherche Formation en Agro-écologie : Programme d Investissement Communautaire en Fertilité Agricole : Fonds International de Développement Agricole : Banque Africaine de Développement : Banque Ouest Africaine de Développement : Société cotonnière du Gourma : Institution de Micro Finance : Banque Agricole et Commerciale du Burkina : Banque Internationale pour le Commerce, l Investissement et l Agriculture au Burkina Faso : Réseau des Caisses Populaires du Burkina Faso : Société Burkinabè d Equipements : Fonds d Appui : Bank Of Africa : FOnds NAtional pour l Education non Formelle : Direction des Affaires Monétaires et Financières : Union Monétaire Ouest Africaine : Assemblée Générale Ordinaire : Conseil d Administration : Secrétaire (riat) Exécutif : Système d Information et de Gestion : Baccalauréat : Brevet d Etudes Professionnelles 3

3 SOMMAIRE CONTEXTE... 5 MÉTHODOLOGIE... 6 CHAPITRE I. PLANIFICATION STRATEGIQUE... 7 I.1. EXPOSITION DE LA MISSION ET DES OBJECTIFS... 7 I.2. DEFINITION DES MARCHES ET DE LA CLIENTELE DE L ASSOCIATION... 8 I.2.1. Le marché de l Association... 8 I.2.2. La clientèle... 9 I.3. ANALYSE DE L'ENVIRONNEMENT DE L ASSOCIATION I.3.1. Analyse de la concurrence I.3.2. Les partenaires I.3.3. Analyse de l environnement réglementaire I.3.4. Analyse des autres facteurs externes I.4. EVALUATION INSTITUTIONNELLE DE L ASSOCIATION BASE FANDIMA I.4.1. Programme de crédit I.4.2. Gouvernance et processus de décision I.4.2. Financement : analyse de la capacité de mobilisation des ressources financières I.4.3. Diagnostic financier de l Association I.4.4. Analyse la situation globale CHAPITRE II. PLAN OPERATIONNEL ET MODELISATION FINANCIERE DE L ASSOCIATION BASE FANDIMA II.1. ORIENTATIONS STRATEGIQUES ET OBJECTIFS II.1.1. Détermination des circuits marketing par la projection de l activité de crédit et d épargne II.1.2. Développement institutionnel : Mission, objectifs et clientèle cible II.1.3. Orientations stratégiques prioritaires pour une dynamisation et un développement de l Association II.2. CADRE LOGIQUE II.3. PROJECTION DES RESSOURCES ET CAPACITES INSTITUTIONNELLES II.3.1. Hypothèses de base de l ajustement des flux de trésorerie II.3.2. Informations sur le personnel II.3.3. Evaluation des investissements à réaliser II.3.4. Evaluation des besoins d outils de contrôle, de gestion et de suivi II.3.5. Evaluation des achats et de prestations extérieures II.4. PROJECTION DU BUDGET PROGRAMME II.5. PROJECTIONS SUR LE BUDGET DE FONCTIONNEMENT DE L ASSOCIATION II.6. PROJECTIONS FINANCIERES II.6.1. Compte de résultat prévisionnel II.6.2. Bilan prévisionnel simplifié II.7. ELABORATION DU PLAN DE FINANCEMENT DE L ASSOCIATION II.8. PLANIFICATION DES ACTIVITES ANNEXE 1 : LISTE DES PERSONNES RENCONTREES ANNEXE 2 : LISTE DES DOCUMENTS UTILISES ANNEXE 3 : TERMES DE REFERENCES

4 CONTEXTE L Association Base Fandima (ABF) a été créée pour combattre la pauvreté au sein des populations rurales. Elle soutient le développement socioéconomique et culturel de celles-ci à travers plusieurs activités dont les activités de micro finance. Pour mener à bon terme lesdites activités, l ABF a élaboré un Plan d Affaires depuis juin 2005 grâce à l appui financier du Programme ADELE de Fada N Gourma. En Avril 2008, les membres de l Association, en Assemblée Générale, ont décidé de relire le Plan d Affaires, cela en vue de prendre en compte les différentes évolutions des activités de la micro finance. Pour les membres, la relecture du Plan d Affaires doit permettre à ABF d être autonome en matière de micro finance d ici Cependant, la mise en forme d un document de ce type nécessite de faire appel à une compétence externe tel qu un consultant expérimenté dans l élaboration de Plans d Affaires en micro finance. Ce travail a été possible grâce à la subvention du Plan d Action de la Stratégie Nationale de Micro Finance (PA/SNMF). L objectif de la mission est donc de proposer un Plan d Affaires à moyen terme pour l Association Base Fandima. Il s agira plus spécifiquement de définir des orientations stratégiques pour celle-ci, avec des objectifs opérationnels et un Plan d Actions appropriés à moyen terme. Le Plan d Affaires concerne aussi bien l activité de l institution que son fonctionnement interne. Ainsi, il vise spécifiquement : - la réalisation d un état des lieux du niveau de développement actuel de l institution ; - à dégager les forces et faiblesses liées à l organisation et au fonctionnement actuel de l institution ; - à déterminer les axes stratégiques pour une dynamisation et un développement de l institution ; - à déterminer les objectifs opérationnels correspondants à chaque axe stratégique ; - à définir des actions prioritaires à moyen terme ; - à élaborer des simulations financières de façon réaliste ; - à définir un dispositif de la mise en œuvre et de suivi du plan d affaires. Le plan d affaires de l Association Base Fandima est la planification d activités qui permettront l atteinte d objectifs et de résultats d affaires, en l occurrence une plus grande pénétration du marché, la satisfaction des besoins des membres et l atteinte de la rentabilité et de la sécurité financière de l Association. 5

5 MÉTHODOLOGIE Le présent rapport est la résultante de deux étapes importantes réalisées au cours de la mission d élaboration du Plan d Affaires, à savoir : 1. Un diagnostic Cette étape présente un état de la situation actuelle de l Association. Elle place les clients au premier plan dans un processus de planification et identifie les principales forces et faiblesses de l Association et, les opportunités et menaces émanant de son environnement. On y traite à la fois des aspects de l offre de services aux membres/clients ainsi que des aspects financiers et organisationnels. 2. Le Plan d Affaires L élaboration du Plan d Affaires proprement dit peut-être scindée en deux parties essentiellement : - La définition d objectifs stratégiques Au cours de cette deuxième étape, réalisée à partir des constats du diagnostic, les orientations stratégiques et les objectifs à atteindre ont été définis, pour être ensuite traduits en activités à réaliser, avec l identification d un responsable pour chacune d entre elles, un calendrier de réalisation et les ressources nécessaires. Ceci est complété par une analyse des besoins financiers. Cette section est donc le Plan d Affaires comme tel, qui peut être extrait du présent rapport pour constituer, en soi, le document de référence par excellence des cadres et des dirigeants de l Association. - Les projections financières Au cours de cette étape, des simulations financières ont été réalisées pour vérifier la faisabilité des activités planifiées et les ajuster au besoin afin de s assurer qu elles concourent à l amélioration de la situation financière de l Association. Le résultat permet également de fixer des objectifs annuels de performance à atteindre, qui permettront aux dirigeants et aux cadres de mesurer l évolution de l Association. 6

6 CHAPITRE I. PLANIFICATION STRATEGIQUE I.1. EXPOSITION DE LA MISSION ET DES OBJECTIFS L Association Base Fandima est née à Nagré (village situé à 35 kilomètres de Fada N Gourma, route du Bénin) le 17 avril Elle s est fixée comme mission, celle de promouvoir le développement socioéconomique des populations rurales à travers l agroforesterie. Le but principale de l Association est de combatte la pauvreté en milieu rural. A cet objectif général, viennent se greffer des objectifs spécifiques que l Association poursuit. Ces objectifs sont les suivants : - Réaliser des recherches et des formations en agroforesterie ; - Lutter contre l analphabétisme par des activités de post alphabétisation ; - Lutter contre les MST/SIDA et la pratique de l excision en milieu rural à travers les sensibilisations ; - Contribuer à la fixation des jeunes ruraux dans leurs terroirs grâce au financement de micro projets générateurs de revenus ; - Former les animateurs endogènes pour jouer un rôle de formateurs en alphabétisation, de mobilisateurs, de relais et de catalyseurs en ce qui concerne les autres activités de développement ; - Lutter pour l émancipation des femmes rurales à travers l appui financier aux activités rémunératrices et les sensibilisations ; - Renforcer le capital intellectuel des villages pour accroître leur capacité d organisation et de décision et favoriser la décentralisation et la démocratie. De nos jours, elle a intégré dans ses activités l octroi de crédits aux populations rurales. A travers le volet crédit, l'objectif de l ABF est de mener une activité pérenne et rentable au service du développement socioéconomique des populations pauvres, en leur permettant de participer à des activités génératrices de revenu et en leur offrant l'accès aux services financiers. Elle se propose de ce fait de résoudre les problèmes d accès insuffisant des populations rurales aux services financiers et partant, de satisfaire les besoins en services financiers de ses membres. L institution fait du crédit à ses membres sur la base de fonds de (re)financement empruntés auprès des banques de la place. Les bénéficiaires de ces crédits se recrutent parmi les producteurs et les commerçants. ABF recherche activement à accroître l'autonomie financière de ses clients. Elle se voit servir de ressource financière pour ses membres. Elle souhaiterait aussi étendre la portée de ses activités afin d atteindre l'autosuffisance financière. 7

7 I.2. DEFINITION DES MARCHES ET DE LA CLIENTELE DE L ASSOCIATION La définition des marchés et de la clientèle de l'association Base Fandima a pour but d analyser précisément à qui s'adressent les services financiers offerts par celle-ci. I.2.1. Le marché de l Association I Déploiement de l Association La région de l Est regorge de potentialités économiques. Cependant, l accès au microcrédit reste encore difficile dans la plupart des secteurs de la production et du commerce. L Association Base Fandima, à travers ses activités d octroi de crédits, couvre principalement la zone urbaine de Fada N Gourma, plusieurs villages environnants dans un rayon moyen de 30 Km et quelques villages d autres provinces de la région. La plus forte concentration de la clientèle de l Association se trouve à Nagré (où l Association a vu le jour). L Association ne couvre pas suffisamment la Région de l Est. En effet, elle compte actuellement une (01) seule caisse située en milieu urbain de Fada N Gourma. Ce qui ne lui permet pas d assurer un service de proximité à l ensemble des départements et villages qui constituent sa clientèle actuelle et potentielle. Pour les populations de certains villages de la région, qui souhaiteraient être servies par l Association, l accès à l unique caisse de l Association est difficile à cause de l éloignement. Dans leur grande majorité, ces clients parcourent en moyenne une distance allant de 30 Km à 70 Km pour se rendre à la caisse. A côté de cela il faut noter que les routes sont parfois plus ou moins impraticables. Les produits et services que l Association dessert à cette clientèle ne sont pas des produits de proximité du fait de l éloignement de la caisse existante des autres villages cibles d intervention. Les populations rurales qui bénéficient actuellement des services financiers de l Association se trouvent essentiellement dans trois provinces de la Région de l Est à savoir : la province du Gourma, la province du Koulpelgo et la province de la Kompienga. L Association Intervient de nos jours dans 32 villages répartis dans ces provinces. Pour être proche de sa clientèle cible, il se présente aujourd hui à l ABF, la nécessité de se déployer dans la région afin de profiter des avantages de la demande actuelle qui apparemment abondance. I La segmentation du marché de l Association Les clients actuels et potentiels à qui l Association adresse ses services sont essentiellement des paysans. Les cibles de l ABF sont les producteurs et les commerçants qui souhaitent bénéficier de micro crédits adaptés au financement de leurs activités. L Association opère sur différents marchés. Les principaux marchés sur lesquels elle opère sont les suivants : - Le marché de l élevage ; - Le marché de l agriculture ; - Le petit commerce et le commerce général ; - Le crédit social ; - Etc. 8

8 Afin de s'assurer que les produits et services qu elle propose répondront aux besoins spécifiques de la clientèle ciblée, l Association définit et prend en compte, dans la conception desdits produits et services, tous les éléments déterminants: - La nature de l activité : les activités qu elle finance doivent être menées dans des secteurs porteurs ; - le critère de la rentabilité : les prestations de services de l Association permettent de financer des activités viables et rentables ; - la mesure du niveau de maîtrise de l activité par la population cible permet de mesurer partiellement le degré d importance du risque pris par l Association. Au 31 décembre 2007, l ABF avait mobilisé plus de membres (des personnes qui ont déjà bénéficié des services de l Association) et ayant capitalisé des expériences réussies dans la gestion des crédits. De janvier 2008 à nos jours, elle a octroyé des crédits à plus de 720 bénéficiaires. La demande de crédit peut être repartie selon l objet. Elle est estimée à 20% pour l agriculture, 30% pour l élevage et à 50% pour le commerce général et petit commerce. La population Burkinabè est en grande partie rurale (en moyenne 80% de la population est agricole). L Est n échappe pas à cette tendance caractéristique de la structure économique de notre pays. L Association n a pu satisfaire que 20% de sa population cible. La demande estimée en services financiers est donc très importante. La pénétration du marché de l'institution, c'est-à-dire la part de demandeurs de services financiers que l Association a pu toucher, est estimée à 40% pour les hommes et à 20% pour les femmes au 31 décembre Les membres interrogés lors de nos entretiens ont manifesté de l'intérêt pour les services financiers offerts par l Association. Cependant, ils exigent que ces services soient fondés sur des lignes de crédit mieux adaptées à leurs besoins. L Association souhaiterait offrir ses services financiers à l ensemble de la région de l Est du Burkina Faso. L Est est un marché prometteur pour l'expansion de ABF. I.2.2. La clientèle I La nature des clients et de leurs activités L analyse de la clientèle prend en compte à la fois les caractéristiques personnelles et les caractéristiques économiques des clients actuels ou potentiels. Les clients de l Association exercent en général dans les secteurs de la production et du commerce. Les secteurs de la production sont constitués pour l essentiel de l agriculture, de l élevage et de l artisanat (qui est en train de se développer en zone urbaine de Fada). Les activités agro-pastorales, bien que fortement dépendantes d'une pluviométrie très irrégulière, occupent 90% de la population. Dans les communes rurales de la région, la production agricole constitue la principale activité de la population. Cette activité vise deux objectifs majeurs : 9

9 - satisfaire les besoins alimentaires des ménages ; - procurer des revenus financiers aux ménages. L activité économique est menée dans le cadre de petites et micro entreprises individuelles ou familiales. En ce qui concerne l activité commerciale, les spéculations produites peuvent être regroupées en trois grands groupes : - les cultures céréalières : mil, maïs, sorgho, riz. Elles ont pour vocation de répondre aux besoins alimentaires des ménages ; - les cultures de rente : coton, arachide, soja et sésame ; - les autres cultures : elles sont constituées du niébé, du voandzou, de la patate et du manioc. Elles ont le double rôle de culture vivrière et de culture de rente. Le graphique ci-dessous montre l évolution des membres de l Association au cours de la période de 2000 à EVOLUTION DU NOMBRE DE MEMBRES NOMBRE DE MEMBRES Hommes Femmes Total ANNEES Sources : Conçu à partir des données statistiques de ABF I La demande de services financiers La demande de services financiers dépend relativement de la nature des activités menées par la clientèle cible de l Association, mais aussi, très fortement des potentialités agricoles, économiques et financières de la région. La demande de crédit sert généralement à financer ces activités. Ce sont généralement des crédits de trésorerie (crédit d opportunité), des crédits pour le renforcement des capacités de production et rarement des crédits d équipement. Les populations expriment aussi le besoin de contracter des crédits pour des objets sociaux (habitat, scolarité). Au nombre des potentialités agricoles on peut citer les suivantes : 10

10 DEMANDE/OCTROIS DE CREDITS - en dépit des dégradations importantes subies, les sols de la région gardent un potentiel agricole relativement important ; - l existence de marchés importants à Fada, Natiaboani, Namounou, Tanwalbougou, Nagré, pour l écoulement des produits agricoles ; - la proximité avec trois pays frontaliers notamment le Togo, le Bénin et le Niger offre des alternatives intéressantes à l établissement de meilleures conditions d écoulement des excédents agricoles et de la production animale lorsque le marché intérieur est peu favorable. La commune de Fada dispose du marché à bétail le plus important de la région. Ce marché draine un nombre important de bétail venant de la Gnagna, de la Tapoa, du Kourittenga et de la Komondjari. De nombreux acheteurs viennent des régions voisines : de Ouagadougou, des pays voisins (notamment le Bénin, le Togo, le Ghana) et du Nigeria. Au regard de ce qui précède, le marché à bétail de Fada constitue une infrastructure marchande de choix à même de contribuer au développement économique de la commune et de la région. Au plan financier, il est prévu que le marché à bétail génère des revenus annuels bruts de l ordre de 45 millions francs CFA. De même, le marché central de Fada constitue une infrastructure marchande pour la dynamisation des activités économiques et commerciales. Son existence, de même que celle de plusieurs autres dans les départements de la région, constitue un des facteurs les plus importants dans l amélioration des chiffres d affaires des acteurs, et par ricochet leurs revenus. De ce qui précède, il existe de larges possibilités d'activités génératrices de revenu pour la clientèle actuelle et potentielle de l Association. Cependant, encore faut-il que cette clientèle puisse bénéficier d emprunts satisfaisants pour réaliser des investissements rentables. En effet, les membres exprimant le besoin de financement de leurs activités, ne sont pas toujours satisfaits du point de vu des montants des crédits qui leurs sont octroyés. De leur avis, les sommes disponibles ne satisfont pas toujours les besoins d investissement, tout comme les crédits ne sont généralement pas disponibles au moment où les besoins sont ressentis par ceux-ci. EVOLUTION COMPAREE DE LA DEMANDE DE CREDITS ET LES BESOINS SATISFAITS DEMANDE DE CREDIT FONDS DE CREDIT ANNEES Sources : Conçu à partir des données statistiques de ABF 11

11 Le tableau ci-dessus permet de matérialiser la partie de la demande de crédit non encore satisfaite. La demande de crédit est de plus en plus grande. I Les autres caractéristiques de la clientèle - Les éléments personnels et les sources de revenu Les femmes sont les plus touchées par les services financiers de l Association. La région regorge d une population féminine locale très active et très motivée. Les femmes ont la particularité de mener une diversité d activités génératrices de revenu. - Le niveau d alphabétisation Les clients et les membres de l Association sont alphabétisés pour la plupart. L alphabétisation a pour but de capitaliser en eux les bonnes pratiques de gestion des crédits afin de limiter les risques liés à leurs activités et les risques de non remboursement. Le principal élément qui ressort de nos entretiens avec les membres de l Association est que ceux-ci veulent des prêts plus importants et qui soient disponibles dès la naissance du besoin et, sont intéressés par la mise en place de lignes de crédits assorties de conditions plus souples. Opportunités de ABF - Le marché du bétail de Fada est un marché porteur pouvant faciliter la pénétration du marché de l Association ; - Existence de potentialités agricoles dans la Région de l Est pouvant être exploitées ; - Expériences acceptables des clients dans la gestion de crédits ; - Existence d une clientèle actuelle et potentielle importante : les clients expriment des besoins insatisfaits ; Menaces pour ABF - Les risques naturels liés à la nature des activités des clients pouvant compromettre la pénétration du marché ; - L attrait du marché : crainte de l arrivée d autres institutions sur les segments de marché de l Association ; - Risque de perte de clients au profit d institutions concurrentes offrants des services financiers similaires. - Le désir apparent des populations de bénéficier des services de l ABF ; - Possibilités de nouer de nouveaux partenariats avec des institutions qui œuvrent dans le financement du développement. 12

12 Recommandations - L Association doit augmenter son plafond de crédit pour octroyer des montants de crédit plus importants ; - Mettre en place des lignes de crédit adaptées aux besoins de financement des populations cibles ; - Améliorer la pénétration du marché. I.3. ANALYSE DE L'ENVIRONNEMENT DE L ASSOCIATION L analyse de l'environnement de l'association Base Fandima consiste à déterminer les éléments clés du contexte dans lequel celle-ci opère. I.3.1. Analyse de la concurrence En ce qui concerne les populations cibles de l Association Base Fandima, la concurrence n est pas jusque là un facteur important. La concurrence, sur les segments de marchés où l Association opère, ne s est pas encore intensifiée de manière considérable. Cette absence d intensification de la concurrence peut permettre à l'institution de consolider sa position sur le marché. Même si la concurrence n est pas à l heure actuelle un facteur important, il existe plusieurs autres acteurs de micro finance qui opèrent dans cette région. Ces institutions offrent des produits et des services similaires à ceux de ABF. Les projets, programmes, ONG et associations qui interviennent dans la région et qui offrent des services similaires à ceux de l Association sont présentés dans le tableau ci-dessous. Structures d intervention TIN-TUA (Association) Domaines d intervention/missions - Appui à l alphabétisation en Gourmantché - Éducation de base - Sécurité alimentaires et lutte contre la pauvreté (Banque de Céréales) - Développement institutionnel et décentralisation Zones d intervention Région de l Est 13

13 Structures d intervention APRG (Association pour la Promotion Rurale dans le Gulmu) Domaines d intervention/missions - Alphabétisation - Formation, conseil des actions de reboisement et de lutte antiérosive - Crédits directs ayant évolués en mutuelles d épargne et de crédit, et équipements maraîchers - Forage pour l eau potable Zones d intervention Région de l Est Association de Développement Buayaba - Embouche, Culture fourragère, - Crédit, - Formation/ alphabétisation, - Nutrition, - Assainissement (cellules des ordures ménagères), - Foyers améliorés Région de l Est Afrique Verte - Bourse de céréales - Banques de céréales (crédits) - Renforcement des capacités National ARFA (Association de Recherche Formation en Agroécologie) - Micro finance et agro écologie» - Embouche - Alphabétisation Komandjari Gourma PICOFA (Programme d Investissement Communautaire en Fertilité Agricole) (FIDA, BAD, BOAD) A venir pour 7 ans - Gestion des Ressources Naturelles - Développement Local - Renforcement des capacités - Micro finances - Recherche / action Région de l Est SOCOMA - Crédit Coton - Encadrement des producteurs - Approvisionnement, conseil, commercialisation Tapoa, Gourma, Kompienga 14

14 Plusieurs institutions financières et de micro finance exercent dans la même localité: BACB (Crédit agricole, Banque), BIB, BICIA-B, le Réseau des Caisses Populaires du Burkina Faso (RCPB), la SBE et le FAARF. La concurrence devient de plus en plus réelle entre banques et IMF d'une part, et d'autre part entre IMF elles-mêmes. Si les institutions concurrentes décident d investir les segments de marchés cibles de l ABF, alors la concurrence pourrait devenir un facteur décisif. C est pour cette raison qu il est nécessaire pour l Association de surveiller la façon dont évoluent les institutions de micro finance concurrentes opérant dans la région (notamment leur choix en matière de marchés). Le tableau suivant permet d analyser les avantages comparatifs que l ABF détient sur les autres IMF concurrentes et les avantages comparatifs que celles-ci détiennent sur elle : Forces de ABF - Suivi régulier des crédits que la caisse octroi à sa clientèle ; - Taux de recouvrement très élevé (100%) ; - Lignes de crédits plus souples et adaptées à la cible (très peu de formalités administratives, délais courts). Forces des autres IMF - Lignes de crédits importantes avec plus de ressources financières pour le financement du crédit ; - Plus de ressources humaines et d infrastructures de caisses et de moyens logistiques. Faiblesses de ABF - Insuffisance de ressources humaines à la caisse de l Association ; - Insuffisance de ressources financières ; - Insuffisance de proximité avec les clients dans l activité de crédit (absence de décentralisation des caisses par manque d infrastructures de caisse). Faiblesses des autres IMF - Ligne de crédit assez dure avec des conditions plus difficiles ; - Délais trop longs; - Suivi irrégulier des crédits avec d importants taux d impayés. Recommandations - Surveiller en permanence la concurrence pour se placer dans une logique préventive et non réactive ; - Renforcer le personnel de la caisse (Nombre) ; - Se déployer dans la région pour être proche des populations cibles ; - Renforcer les ressources financières pour satisfaire la demande de financement ; - Consolider les forces 15

15 I.3.2. Les partenaires Le partenariat est la résultante d une relation qui permet de mettre en application une série de principes qui créent la confiance et la responsabilisation mutuelle. Le partenariat décrit la façon dont chaque partie est reliée avec l autre. Les relations de partenariat qui existent entre l ABF et d autres institutions prennent les formes suivantes : - Les subventions Dans ce type de relation, les partenaires actuels de l ABF sont les suivants : Partenaires ADELE (Appui pour le DEveloppement Local et Economique de l Est) Coopération suisse Domaines d intervention/missions - Appui au Développement Local - Activités Génératrices de Revenus (GIE) - Activités socio économiques - Gestion des Ressources Naturelles - Renforcement des capacités / Echanges d expériences - Accompagnement, conseils Réalisations concrètes au bénéfice de l Association Pour le développement de ses activités de micro crédit, l Association a bénéficié de la part de ADELE, d un financement pour l élaboration d un plan d affaires triennal en juin PA/SNMF - Subventions Le PA/SNMF a accordé une subvention d équipement et une subvention d exploitation d un montant total de francs CFA à l Association au titre de l année Le (re)financement (Le partenariat financier) Parmi les partenaires financiers, il convient de regrouper les banques commerciales qui exercent dans la région. Celles-ci accordent des (re)financements à l Association pour servir sa clientèle. 16

16 Ces banques sont ci-dessous présentées : Partenaires BACB (Banque Agricole et Commerciale du Burkina) Domaines d intervention - Crédit agricole - Banque Réalisations concrètes au bénéfice de l Association ABF a bénéficié de la part de la BACB d un crédit d un montant de F CFA à un taux débiteur de 10,5% en janvier BOA - (Re)financement La BOA (Bank Of Africa) a accordé à l Association, sur demande de celle-ci, un prêt à terme d un montant de F CFA comptant pour l année ECOBANK - (Re)financement ECOBANK a accordé à ABF un crédit à court terme (04 mois) d un montant de F CFA ayant servi au refinancement de son portefeuille de crédit sain. Dans le cadre d octroi de ressources financières à l ABF, les banques sont aujourd hui des partenaires incontournables. L Association dépendant de celles-ci pour la satisfaction des besoins en services financiers adressés à ses clients. L accès difficile à des ressources de (re)financement auprès des banques (retard dans les (re)financements) compromet la réalisation de ses activités de crédit et provoque du même coup l insatisfaction de ses membres/clients. En effet, il ressort de nos différents entretiens avec les membres et les responsables de l Association, que les besoins courants de financement des membres ne sont pas satisfaits malgré la bonne collaboration qui existerait entre l Association et ses partenaires financiers. - Les partenaires techniques Le FONAEF (FOnds NAtional pour l Education non Formelle) fournit régulièrement des appuis techniques et des formations (Alphabétisation) aux membres de l Association. L impact le plus visible serait l amélioration des capacités des bénéficiaires dans la gestion des crédits et de leurs affaires. 17

17 - Les affiliations Une affiliation à l Association Professionnelle des Institutions de Micro Finance au Burkina Faso (APIM-BF) fournit des appuis techniques et des formations utiles au développement de l ABF. Forces - Un nombre important de partenaires financiers et techniques qui soutiennent les actions de l Association ; - Existence de bonnes relations de partenariat avec les partenaires financiers. Opportunités - Possibilités de bénéficier d appuis techniques et conseils ; - Subventions : possibilité de bénéficier de subventions de programmes ou de projets de l Etat ; - Possibilité de collaboration avec les responsables du gouvernement local ou avec les institutions locales offrant des services complémentaires aux siens ; - Possibilités de (re)financement avec les banques ; - Proximité avec les banques et institutions partenaires ; - Appui à la recherche de partenaires, information, défense des intérêts de l Association. Faiblesses - Forte dépendance vis-à-vis des partenaires financiers (au (re)financement). Menaces - Lenteur dans les déblocages des fonds pour le (re)financement ; - Forte dépendance aux ressources de financement des banques ; - Les activités de l Association pourraient être fortement compromises en cas d arrêt des (re)financements ; - Offre de produits concurrents par les partenaires (les institutions bancaires partenaires pourraient offrir des produits similaires) ; - Risque de perte de clients au profit des banques partenaires ayant des activités de micro crédit (plus de moyens financiers). Recommandations - Rechercher des investisseurs privés pour négocier la mise en place de lignes de crédits adaptées aux besoins des clients, bénéficier de financements à faible taux ; - Renforcer les partenariats existants pour augmenter les emprunts dans le cadre des opérations avec les institutions financières ; - Veiller à prendre en compte les préoccupations des membres dans la négociation des refinancements auprès des banques partenaires (lignes de crédits plus adaptées aux besoins de financement des membres). 18

18 I.3.3. Analyse de l environnement réglementaire Dans le cadre de l UMOA, la loi portant réglementation sur les Institutions Mutualistes d Epargne et de Crédit et incluse dans la loi bancaire, soumet les coopératives d épargne et de crédit et leurs structures faîtières à l agrément et à la supervision du Ministère des Finances (représenté par la DAMOF au Burkina Faso). Elles reçoivent les instructions de la Banque Centrale pour la production des Etats Financiers et pour les normes prudentielles à se conformer. Au Burkina Faso, il y a des efforts qui sont faits pour assainir le secteur de la micro finance. Mais il persiste malgré ces efforts, des effets pervers liés à l activité des Institutions de Micro finance (IMF). Les politiques de réglementation constituent un élément important de l'environnement de la micro finance. Opportunités - La Loi portant réglementation sur les Institutions Mutualistes d Epargne et de Crédit a l avantage de positionner clairement les coopératives d épargne et de crédit dans le secteur financier, sous la surveillance de la Banque Centrale ; - L ABF est détentrice d une convention entre elle et le Ministère des Finances (DAMOF) régissant les activités de micro crédit ; - Il existe des perspectives d assainissement du secteur de la micro finance. Menaces - La Loi qui règlemente les Institutions Mutualistes d Epargne et de Crédit comporte des imperfections : l adaptation de la réglementation constitue en effet un enjeu crucial pour améliorer l accès des populations et l efficacité des mécanismes de financement. Les règles en la matière sont souvent compromettantes pour les IMF; - Certains acteurs s adonnent à la fraude dans le secteur ; - Des non professionnels investissent le secteur et offrent généralement des crédits rémunérés à très faible taux. Recommandation Afin de produire des états financiers fiables exigés par les dispositions légales, l Association doit veiller au respect strict de la règlementation. I.3.4. Analyse des autres facteurs externes Les conditions politiques et économiques du pays peuvent influencer (favorablement ou défavorablement) le secteur financier informel et partant, les institutions de micro finance et leurs clients. 19

19 Opportunités - Le Burkina Faso est classé parmi les plus pauvres mais le climat politique et économique reste relativement stable ; - Ouverture du Burkina Faso aux marchés extérieurs (Bénin, Niger, Nigeria) ; Menaces - Dans une situation actuelle de crise financière mondiale, les effets macro économiques d une telle situation sont à redouter sur les produits d exportation de nos pays (le bétail, les céréales ) ; - La crise ivoirienne qui a été à l origine de méventes dans le secteur du commerce de bétail depuis 2002 n a pas encore connu de dénouement, elle pourrait de ce fait créer d autres perturbations dans ledit secteur ; - L insécurité grandissante dans la région de l Est ; - Le taux d inflation qui est resté longtemps à 5,1% en moyenne au cours des cinq dernières années est estimé de nos jours à 10,5%. I.4. EVALUATION INSTITUTIONNELLE DE L ASSOCIATION BASE FANDIMA La capacité d'une institution de micro finance à réaliser ses objectifs dépend très fortement de ses dispositions institutionnelles. Il est donc nécessaire de réaliser ici une évaluation approfondie des points forts et des principales faiblesses de l ABF afin de mesurer sa capacité à satisfaire les besoins de ses membres/clients dans le contexte où elle opère. Autrement dit, cette évaluation de la situation institutionnelle de l Association a pour but de jauger les domaines qui nécessitent un effort de développement institutionnel. I.4.1. Programme de crédit En ce qui concerne l octroi des crédits certaines difficultés font obstacle à la poursuite de la mission de l Association. Il y a, par ordre d importance : - L Association ne dispose pas suffisamment de fonds propres pour mener ses activités de crédit ; - Les crédits demandés par les membres/clients mis à temps à leur disposition du fait des retards dans le déblocage de fonds par les banques ; - Les montants des crédits paraissent insuffisants pour couvrir les besoins de financement de certains membres/clients (ceux-ci trouvent les montants des crédits assez faibles pour satisfaire certains besoins de financement). 20

20 En dehors de ces difficultés, les produits et les services financiers que l Association met à la disposition de ses clients sont adaptés (de l avis des clients) aux besoins de financement de ceux-ci. Par ailleurs, d'après le taux de défaillance (0%) et le portefeuille à risque, le portefeuille client est de très bonne qualité. Le personnel de crédit consacre le maximum de temps à la clientèle par rapport au temps consacré aux autres tâches. Forces - Bonne adaptation des services financiers aux besoins de la clientèle de l Association ; - Suivi très rigoureux et régulier des créances par des agents de crédits commis à cette tâche ; - Bonne qualité du portefeuille crédit ; - Forte demande de crédit ; - Maîtrise des impayés (taux de recouvrement est de 100%); - Taux d intérêt relativement concurrentiel (16% ; 18%) ; Faiblesses - L Association n a pas encore défini et formalisé des politiques et les procédures d octroi de crédit ; - Insuffisance de ressources financières pour mener convenablement l activité de crédit ; - Faiblesses des ressources propres ; - Montants des crédits très faibles (les clients ne disposent de la totalité des montants demandés) ; - Dépendance de l Association vis-à-vis des banques et institutions financières (Les clients ne reçoivent pas les fonds demandés à temps) ; - Quasi absence des produits de plus de 12 mois ; - Faible taux de rotation avec le mode de recouvrement in fine ; - La non établissement et la non utilisation de cartes manuelles destinées aux membres tel que prévue dans les textes statutaires de l Association Recommandations - Définir de façon précise les politiques et les procédures d octroi de crédit de la caisse et les formaliser : élaborer un manuel de crédit ; - Négocier plus de fonds avec les banques partenaires pour satisfaire les besoins exprimés par les membres/clients ; - Mettre en place des lignes de crédit adaptées à la demande ; - Mesurer régulièrement la fidélisation de la clientèle (établissement d un taux de fidélisation) ; - L'Association doit suivre de façon régulière la productivité des agents de crédit (nombre de clients actifs par agent de crédit par exemple) ; 21

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