Malheureusement, il n existe pas de mission de décision du CE en rapport avec l environnement.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Malheureusement, il n existe pas de mission de décision du CE en rapport avec l environnement."

Transcription

1 L ENVIRONNEMENT ET LE CONSEIL D ENTREPRISE Julie RIGO, Bruxelles, le 18 février I. INTRODUCTION Si le CPPT semble de prime abord l organe privilégié pour traiter du thème de l environnement, il n en reste pas moins que le CE dispose de toute une série de compétences par rapport à l environnement. En effet, c est au CE que sont données et discutées toutes les informations à caractère économique, financier et social. Toutefois, la problématique environnementale n est pas visée directement dans les informations à remettre au CE mais elle peut toujours être abordée de manière indirecte. C est ce que nous allons développer ici. 2. LE RÔLE DES REPRÉSENTANTS DES TRAVAILLEURS AU CE PAR RAPPORT À L ENVIRONNEMENT Les représentants des travailleurs remplissent 4 types de missions au CE : Des missions de décision Des missions de contrôle Un droit d information et d avis Une mission d information des travailleurs. Malheureusement, il n existe pas de mission de décision du CE en rapport avec l environnement. Par contre, le CE a une mission générale de contrôle de l application de la législation sociale mais aussi industrielle, cette dernière englobant la législation relative à l environnement. Le CE est donc habilité à discuter et recevoir des informations en rapport avec le respect de la législation par l entreprise. Le CE a aussi un droit général d information et d avis sur notamment : Les informations économiques et financières (AR du 27 novembre 1973) La politique de l emploi (CCT n 9) L introduction de nouvelles technologies (CCT n 39) Les conditions de travail, l organisation du travail et la formation. Tous ces thèmes sur lesquels le CE doit être informé permettent aux représentants des travailleurs de recueillir des informations en lien avec l environnement. Enfin, le CE a également une obligation d information des travailleurs. En effet, le CE se doit afficher l ordre du jour et le rapport de ses travaux. Les représentants des travailleurs ont par ailleurs l obligation légale d informer les travailleurs sur les informations économiques et financières. Cette information a un rôle important à jouer dans la sensibilisation des travailleurs sur le sujet.

2 En résumé : Voici ce que les représentants des travailleurs ont le droit de faire concrètement au CE par rapport à l environnement : 1. récolter de l information relative aux questions d environnement 2. vérifier que les réglementations relatives à l environnement sont appliquées par l entreprise 3. proposer des actions en faveur de l environnement et influencer ainsi la stratégie de l entreprise par rapport à l environnement Par ailleurs, si l entreprise édite un rapport environnemental, c est à dire un rapport annuel sur l environnement destiné à un large public, le CE en sera aussi vraisemblablement informé puisqu il s agit d informations à caractère public. Pour plus de détail sur les rapports environnementaux se référer au bulletin "Travail et environnement", n 1, pp 1-3. De même si l entreprise réalise un audit environnemental, il est indispensable que le CE soit associé à la réalisation de cet audit ou du moins en être tenu informé (de même que le CPPT). Toutefois, il faut souligner qu il n y a pas à l heure actuelle de procédure d information et de consultation des travailleurs obligatoire dans les études d incidences. Le même défaut peut être reproché aux outils de gestion environnementale tels que EMAS et ISO En effet, l information et la formation du personnel n y sont que recommandées. C est donc l occasion pour les représentants des travailleurs de demander d être impliqués dans l élaboration d une politique environnementale. Pour plus de détail sur l implication des travailleurs dans les outils de gestion environnementale, se référer au guide «L environnement et l entreprise», pp Dans la suite du document, nous allons essentiellement nous centrer sur l aspect information en environnement au CE. 3. L INFORMATION DU CE EN MATIÈRE D ENVIRONNEMENT 3.1. Les informations économiques et financières L AR du 27 novembre 1973 sur les informations économiques et financières à fournir au CE prévoit 4 catégories d information : L information de base (tous les 4 ans lors de l installation du nouveau CE) L information annuelle (avant l assemblée générale des actionnaires) L information périodique (au moins trimestriellement) L information occasionnelle (lors événements ou de décisions importants) L information de base Pour rappel, l information de base est divisée en 10 catégories, que l on appelle les 10 clés de l information de base. Certaines de ces clés peuvent être un biais d entrée pour demander des informations précises sur des données environnementales. Clé position concurrentielle Trois types d information sont abordées dans cette clé : la position sur le marché, les contrats durables et la politique commerciale. Dès lors, les questions suivantes pourraient être posées : L importance de l environnement dans la politique commerciale de l entreprise (l environnement est-il un argument de vente) et dans la position concurrentielle de

3 l entreprise (l environnement est-il un élément de concurrence, quelle est l attitude des concurrents de l entreprise par rapport à l environnement?, où en sont-ils?) Quels sont les contrats que l entreprise a conclu en rapport avec l environnement (contrats avec les fournisseurs pour la reprise des déchets, obligation de reprise de déchets chez le client, contrat d épuration des eaux, etc.) Quel est le coût environnemental dans le prix de revient du produit fini? Clé recherche et développement (R&D) Cette clé vise à informer le CE sur la politique suivie et envisagée en matière de R&D, c està-dire les moyens engagés (humains et financiers), les institutions chargées des recherches ainsi que les directions dans lesquelles les recherches sont orientées. Cette clé peut déboucher sur des questions telles que : La recherche de processus de production plus écologiques, de technologies plus propres La recherche pour prévenir le risque de pollution ou d accident La recherche pour prévenir les problèmes de rejets et de déchets La recherche en économie d énergie et de matières premières La recherche orientée vers la production de produits plus respectueux de l environnement (produits propres) Clé production et productivité Cette rubrique informe sur l évolution de la production et de la productivité ainsi que sur le degré d utilisation de la capacité économique de production. Cette clé peut amener l occasion d interroger le chef d entreprise sur : La prise en compte de critères de protection de l environnement dans les techniques de production La conformité des matières premières aux normes environnementales existantes Le volume, la nature et le sort des déchets et rejets Clé budget et calcul du prix de revient Cette clé comporte des informations sur le budget de l entreprise (l ensemble de recettes et dépenses prévues pendant une période donnée) et la façon dont celui-ci est établi, la méthode de calcul du prix de revient ainsi que la structure des coûts qui doit permettre de suivre l évolution du prix de revient. Il est donc possible de poser des questions sur : Les prévisions de dépenses environnementales (prévision du coût de la gestion des déchets, les quantités prévues de consommation d eau, d énergie et de matières premières, les investissements, etc.) Les coûts de matières premières, d énergie, d eau, etc. Clé aides publiques Les informations de cette clé concernent la nature et le volume des aides reçues, les conditions d octroi et l utilisation de ces aides. Il peut s agir d aides touchant à l environnement, par exemple : D aides à la recherche D aides à l économie d énergie D aides à la formation (FOREM) De subsides en capital pour lesquels un avis peut être donné pour favoriser des investissements favorables à l environnement

4 Clé programme et perspectives d avenir Cette clé vise à informer le CE de ses prévisions au plan financier, industriel, commercial, de la R&D et des investissements projetés. Cette clé permet donc d aborder l environnement sous beaucoup d aspects. Les représentants des travailleurs peuvent exprimer leurs priorités et attirer l attention de la direction sur la donne environnementale. Clé structure financière Cette clé dispense une analyse de la structure financière de l entreprise par une comparaison commentée des comptes annuels des 5 dernières années. Cette clé permet donc d aborder des questions d environnement sous l optique coût. En effet le CE peut demander des détails sur les différents postes des comptes annuels (voir ci-dessus : l information annuelle) L information annuelle L information annuelle vise à : mettre à jour l information de base discuter des comptes annuels discuter des prévisions pour l entreprise Chaque année a lieu une réunion consacrée spécialement aux IEF et aux comptes annuels. C est donc l occasion de poser une série de questions en rapport avec l environnement (voir point ) et mettre ainsi à jour les renseignements fournis dans les IEF de base. Par ailleurs, les comptes annuels permettent aussi de poser toute une série de questions sur l environnement, particulièrement sur les coûts qui découlent de la gestion de l environnement (ou de la non-gestion). Le réviseur d entreprise a également un rôle à jouer par rapport à l environnement. C est ce que nous allons développer ici Les comptes annuels Dans les comptes annuels, de nombreux postes permettent d interroger la direction sous le coût de la prise en compte de l environnement. Dans le bilan : Immobilisations incorporelles Cette rubrique peut contenir des frais de recherche et de développement. Il s agit alors de frais de recherche, de fabrication et de développement de prototypes et de produits, les inventions et le savoir-faire, qui sont utiles au développement des activités futures de l entreprise. Certains de frais de recherche peuvent donc être portés à l actif pour autant que cela ne soit pas supérieur à un montant estimé prudemment de leur valeur d utilisation ou de rendement futur pour l entreprise. Il peut par exemple s agir de frais de développement en énergie propre ou en technologie. Immobilisations corporelles Il s agit de la rubrique où figurent les valeurs nettes des biens matériels que l entreprise possède. Il est donc possible de poser des questions sur le coût environnemental des investissements réalisés ou sur les investissements réalisés pour l environnement.

5 Il y a trois sous-rubriques qui peuvent donner lieu à des questions sur l environnement : Terrains et constructions Installations, machines et outillage (matériel de production) Mobilier et matériel roulant Par rapport aux investissements réalisés pour une meilleure prise en compte de l environnement, on peut citer comme exemple : L acquisition d appareils de mesure et d analyse pour contrôler la pollution La construction d une centrale d épuration des eaux Le revêtement de réservoir pour prévenir des fuites futures, etc. Il y a lieu d être attentif également aux réductions de valeur qui pourraient découler de pollutions environnementales. Par exemple, si le sol d un terrain est pollué, il est nécessaire de procéder à une réduction de valeur de ce terrain. Même chose pour un bâtiment où de l amiante est présent. Il faudra aussi considérer les mises hors service d immobilisations qui peuvent avoir un impact environnemental (assainissement). Dans ce cas, les coûts seront soit mis à l actif ou pris en charge par le compte de résultats. Immobilisations financières Il s agit des participations que l entreprise possède dans d autres entreprises. Une réduction de valeur peut être nécessaire pour les participations dans des entreprises présentant un risque pour l environnement. La rubrique «autres immobilisations financières» peut comporter des actions souscrites dans des sociétés d épuration des eaux ou dans une société de traitement de déchets. Subsides en capital Il s agit des subsides obtenus des pouvoirs publics pour des investissements en immobilisations. Il pourra s agir par exemple de subsides pour la construction et le fonctionnement d une installation d épuration des eaux usées. Les provisions pour risques et charges Les provisions pour risques et charges ont pour objet de couvrir des pertes ou des charges nettement circonscrites quant à leur nature mais qui à la date de clôture de l exercice sont ou probables ou certaines mais indéterminées quant à leur montant. Il y a plusieurs sous-rubriques de provisions pour risques et charges : Provisions pour charges fiscales : il pourra par exemple s agir d une provision pour un recours contre une taxe écologique Provisions pour grosses réparations et gros entretien : exemple : provision pour l assainissement du sol dans le cadre d un programme d assainissement volontairement mis en œ uvre par l entreprise Provisions pour autres risques et charges : il s agit d une rubrique fourre-tout. Il peut s agir de provisions découlant de litiges en cours en cas d action pour dommage à l environnement. Il peut aussi s agir de provisions constituées pour les charges inhérentes à la cessation d activités de l entreprise (ex : démantèlement d une plateforme de forage, remise en état d une carrière, etc.)

6 Dettes à un an au plus Des dettes d une entreprise peuvent être en rapport avec l environnement : Dettes relatives au stockage, au transport et au traitement des déchets Dettes résultant d actions en réparation et de condamnations en justice Dettes relatives à des taxes d environnement Dans le compte de résultats : Approvisionnement et marchandises C est dans cette rubrique que sont comptabilisés les coûts relatifs aux achats de matières premières, de fournitures et de marchandises. On y retrouvera aussi les sous-traitances relatives à la production. Services et biens divers Il s agit de tous les biens et les services achetés à l extérieur. On y trouvera tous les frais relatifs l environnement qui n ont pas été activés. On peut y trouver : Les coûts relatifs à utilisation d eau, d énergie Les sous-traitances relatives à l environnement (gestion des déchets par exemple) Les assurances relatives aux risques environnementaux liés à l activité de l entreprise Les frais de transport de l entreprise Les frais de stockage (de déchets par exemple) Amortissements, réductions de valeur et provisions pour risques et charges C est dans cette rubrique que l on comptabilise les dotations et les reprises de Amortissements Réductions de valeur Provisions Cf. les points relatifs aux immobilisations et aux provisions pour risques et charges. Autres charges d exploitation C est dans cette rubrique que sont enregistrées les charges relatives aux taxes sur l environnement payées par l entreprise. Charges exceptionnelles Il s agit des charges qui ne sont pas liées à l exploitation normale de l entreprise. On peut y trouver : Des amortissements exceptionnels sur immobilisations corporelles ou incorporelles Des réductions de valeur sur immobilisations financières Des provisions pour risques et charges exceptionnels Dans l annexe : L annexe des comptes annuels (point IX) «provisions pour autres risques et charges» doit donner une ventilation de la sous-rubrique si un montant important y est enregistré. Cette mention pourrait informer des éventuels problèmes d environnement auxquels l entreprise doit faire face et de la couverture comptable prévue à cet effet.

7 Dans les droits et engagements hors bilan : Il convient de vérifier si aucun engagement concernant l environnement ne figure dans les droits et engagement hors bilan, au titre de risques ou de pertes en matière d environnement (un litige par exemple) Le rôle du réviseur d entreprise Aussi bizarre que cela puisse paraître, le réviseur a un rôle important à jouer par rapport à l environnement. Tout d abord, le réviseur d entreprise a l obligation de vérifier si une entreprise remplit toutes ses obligations légales et dispose de toutes les autorisations nécessaires pour son exploitation (permis d exploiter, autorisation de rejets, etc.). Quant à son rôle de certification des comptes annuels, le réviseur doit évaluer l impact de l environnement sur les comptes annuels de l entreprise et sur sa continuité (puisque par sa certification des comptes, le réviseur garantit la continuité de l entreprise pour un an). Pour cela, il doit donc procéder à une identification et une analyse des risques environnementaux de l entreprise et à une analyse du système de protection de l environnement. Il est tenu de signaler à la direction les lacunes ou les écarts importants qu il aurait constaté. Ensuite, il procèdera à l évaluation des risques environnementaux sur tous les postes des comptes annuels. Si la gestion environnementale comporte d importants risques, le réviseur devra adapter l attestation de son rapport si les implications financières de ces problèmes environnementaux sont susceptibles de remettre en cause la continuité de l entreprise. Il pourra alors : attester les comptes avec réserves : si par exemple, la pollution des sols réduit fortement la valeur des terrains et à l occasion de laquelle l entreprise n a enregistré ni de réduction de valeur ni constitué les provisions nécessaires en vue de l assainissement, le réviseur pourrait être amené à formuler des réserves relatives aux rubriques correspondantes des comptes annuels, après avoir mentionné clairement la nature des faits et dans la mesure du possible leur impact chiffré sur la situation financière de l entreprise et ses résultats. Refuser d attester les comptes : si le réviseur est dans l impossibilité d approuver les comptes parce qu il diffère d opinion avec la direction sur plusieurs points importants au point d exclure une attestation avec réserves, il refusera son attestation. Si l exemple cité plus haut a pour effet de compromettre de manière très grave l image fidèle de l entreprise, par exemple parce que l impact de la pollution revêt une importance très grande comparativement au total de l actif et que les frais d assainissement futurs sont tellement importants en comparaison aux capitaux propres, la situation amènera le réviseur à refuser son attestation. Dans la mesure du possible, le rapport mentionnera aussi l impact chiffré que ces divergences d opinion peuvent avoir sur la situation financière et sur les résultats de l entreprise. S abstenir : on pourrait envisager qu un événement se soit produit dans une entreprise dont l impact sur l environnement ne peut être évalué, ni par la direction de l entreprise, ni par le commissaire-réviseur au moment où il rédige son rapport. Si même la mention de cet événement dans l annexe ou dans le rapport de gestion du conseil d administration paraît insuffisante au commissaire-réviseur, l événement étant de nature à compromettre la continuité de l entreprise, il fera une déclaration d abstention.

8 Par conséquent, si des problèmes d environnement importants se manifestent dans une entreprise, le réviseur devra en tout cas se demander s il y a lieu ou non d en informer les tiers. Si une publication s impose, elle peut passer par l un des trois canaux que prévoit le droit des sociétés : Les comptes annuels Le rapport de gestion établi par le conseil d administration à l attention de l assemblée générale des actionnaires Le rapport du commissaire-réviseur sur les comptes annuels et le rapport de gestion. Enfin, un autre rôle du réviseur est d attester des informations spécifiques, notamment les informations économiques et financières. Le réviseur peut donc aussi être amené à attester des informations relatives à l environnement. Vous pouvez donc l interpeller si votre entreprise ne respecte pas ses obligations légales en matière d environnement, notamment par rapport aux normes de rejets, souvent peu respectées par les entreprises L information périodique Cette information doit au moins être trimestrielle. Dans les faits, dans les grandes entreprises, elle est souvent mensuelle. Elle vise à remettre à jour les informations annuelles. Cette réunion périodique est donc une occasion à saisir pour parler régulièrement d environnement au CE L information occasionnelle Il s agit d informations dispensées lors d événements graves. Cela pourrait concerner par exemple l impact d un accident environnemental. Par ailleurs, le CE peut être convoqué à la demande des représentants des travailleurs s ils jugent que certaines questions doivent être abordées d urgence La CCT N 9 et le bilan social La CCT N 9 dispense un ensemble d informations sur la politique du personnel menée par l entreprise. L information est donnée annuellement, périodiquement et occasionnellement. Dans le cas où une modification des procédés de production ou des produits conduirait à une transformation de l emploi (nouvelle qualifications, nouvelles formes d organisation, changement des horaires ou des rythmes de travail, etc.), le CE doit être informé et consulté dans le cadre de la CCT N 9. Cette exigence s applique aux modifications de la production ou des produits dans un sens favorable à l environnement, qu elles soient décidées par l entreprise elle-même ou imposées par des contraintes extérieures (normes ou lois). Par ailleurs, le bilan social, annexe des comptes annuels, fournit également des chiffres sur l emploi, notamment sur les dépenses de formation La formation du personnel Le CE doit être consulté sur les plans de formation professionnelle et de recyclage destinés au personnel. Le CE est donc le bon endroit pour soulever la question de la formation du personnel à l environnement.

9 3.4. La CCT N 39 La CCT N 39 concerne l introduction de nouvelles technologies dans les entreprises occupant plus de 50 travailleurs et impose à l employeur un certain nombre d obligations, en plus de celles de la CCT N 9 et de l AR sur les IEF. Premièrement, l employeur est tenu de fournir, au plus tard, trois mois avant l introduction de la nouvelle technologie, une information écrite au CE concernant les 4 points suivants :

10 La nature de la nouvelle technologie Les facteurs économiques, financiers ou techniques qui justifient son introduction La nature des conséquences sociales qu elle entraîne Les délais de sa mise en œ uvre Deuxièmement, l employeur doit organiser une concertation avec le CE, le CPPT ou la DS sur les conséquences sociales, c est-à-dire sur : Les perspectives d emploi L organisation et les conditions de travail La santé et la sécurité des travailleurs La qualification et le recyclage éventuels. On peut donc constater que cette convention permet également d aborder la notion d environnement dans le cas d introduction de nouvelles technologies, plus encore s il agit de technologies environnementales. Julie RIGO IWerf

Les droits syndicaux en matière d environnement

Les droits syndicaux en matière d environnement Les droits syndicaux en matière d environnement 1. Introduction Le CPPT dispose de compétences par rapport à l environnement. Le CE n a, quant à lui, pas de compétence propre par rapport à l environnement

Plus en détail

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le

Plus en détail

Quelle est la structure d un compte de résultat?

Quelle est la structure d un compte de résultat? LE COMPTE DE RESULTAT Qu est- ce qu un compte de résultat? Quelle est sa structure? Que retrouve- t- on dans les comptes? Et quelles sont les obligations légales?! PCMN! BUDGET FINANCES I. Qu est- ce qu

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles. Avis du 10 octobre 2012

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles. Avis du 10 octobre 2012 COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles Introduction Avis du 10 octobre 2012 1. Tant le schéma complet que le schéma abrégé des comptes

Plus en détail

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 409 ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 Les tableaux suivants présentent les éléments nécessaires à la confection des documents de synthèse figurant au compte de gestion. Ils permettent d associer

Plus en détail

Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé

Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des

Plus en détail

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) 1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport

Plus en détail

FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION

FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION Pour plus d informations, visitez www.marathonprobono.fr/campus-hec-2012 Préambule Ce contenu pédagogique est destiné aux responsables

Plus en détail

Plan comptable des associations et fondations

Plan comptable des associations et fondations Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6

Plus en détail

2ème Comptabilité Exercice récapitulatif Mars 2009

2ème Comptabilité Exercice récapitulatif Mars 2009 2ème Comptabilité Exercice récapitulatif Mars 2009 FISCALITE DES ENTREPRISES - UF 661 - IMPOT DES SOCIETES 1. Il s agit d une SPRL comptant deux associés gérants dont l un n est pas rémunéré. 2. La société

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 DECEMBRE 2002 BILANS CONSOLIDES Avant répartition ACTIF Note au 31 décembre au 31 décembre au 31 décembre en millions d'euros 2002 2001 2000 Immobilisations incorporelles

Plus en détail

L épreuve se compose de quatre exercices indépendants.

L épreuve se compose de quatre exercices indépendants. COMPTABILITÉ ET ANALYSE FINANCIÈRE Épreuve à option Rédacteur 2009 Concours externe et interne Document et matériel autorisés : Liste intégrale des comptes comportant la mention «document autorisé aux

Plus en détail

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document

Plus en détail

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES 3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques

Plus en détail

MANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement

MANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement MANUEL Q S E Mise à jour : Mai 2014 Qualité - Sécurité - Environnement Editorial BÂTIMENTS - Privé - Public - Industriel La société RIVASI BTP est implantée dans la Drôme et les Bouches-du-Rhône. Elle

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;

2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable; Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique

Plus en détail

Comptabilité Générale - Résumé blocus 08. 1. Chapitres 1,2,3 : Bilan, Compte de résultats,

Comptabilité Générale - Résumé blocus 08. 1. Chapitres 1,2,3 : Bilan, Compte de résultats, Comptabilité Générale - Résumé blocus 08 1. Chapitres 1,2,3 : Bilan, Compte de résultats, Fonds de tiers = Provisions + Dettes. Fonds de tiers à long terme = Provisions + Dettes à plus d un an. Capitaux

Plus en détail

Imagine Canada États financiers

Imagine Canada États financiers États financiers 31 décembre 2014 Table des matières Page Rapport de l auditeur indépendant 1-2 État des produits et des charges 3 État de l évolution des actifs nets 4 État de la situation financière

Plus en détail

La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont

La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont résultats et autres renseignements caractéristiques de la société au cours des cinq derniers exercices) La société mère : Comptes

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17

TABLE DES MATIÈRES. I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 Histoire, définition et rôle de la comptabilité... 17 I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17 A. Les origines antiques de la comptabilité...

Plus en détail

Comment établir des projections financières pour ma PME? LE REVISEUR & L ENTREPRISE

Comment établir des projections financières pour ma PME? LE REVISEUR & L ENTREPRISE Comment établir des projections financières pour ma PME? LE REVISEUR & L ENTREPRISE Table des matières 1. Le plan financier: une réflexion sur le futur 3 2. Le plan financier préscrit par le Code des sociétés

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

ANNEXE - REGLES ET METHODES COMPTABLES -

ANNEXE - REGLES ET METHODES COMPTABLES - Page : 1 - REGLES ET METHODES COMPTABLES - Permanence des méthodes Changements de méthode : Les engagemetns de retraite sont comptabilisés, désormais, en incluant les charges sociales. La régularisation

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

Plan comptable adapté aux organismes de formation professionnelle de droit privé

Plan comptable adapté aux organismes de formation professionnelle de droit privé Plan comptable adapté aux organismes de formation professionnelle de droit privé Conformément à l article Lp. 545-11 du Code du travail de Nouvelle-Calédonie, les organismes de formation professionnelle

Plus en détail

3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995)

3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995) 3. ASPECTS TECHNIQUES 79 80 3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995) Introduction Selon le paragraphe 2.5. des normes générales de révision de l I.R.E., «Le réviseur d entreprises doit récolter

Plus en détail

Code à l intention des partenaires commerciaux

Code à l intention des partenaires commerciaux Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect

Plus en détail

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 7 bis du 15 septembre 2006 C2006-36 / Lettre du ministre de l économie, des finances et de l industrie du 9 août

Plus en détail

CF = Produits avec effets monétaires Charges avec effets monétaires. (Méthode directe)

CF = Produits avec effets monétaires Charges avec effets monétaires. (Méthode directe) Le cash flow 1) Le cash flow brut Le cash flow (Cash Flow Brut, CF ou CFB) est un concept d origine américaine visant à mesurer la capacité d une entreprise à sécréter des fonds (de la monnaie) à partir

Plus en détail

La loi NRE. Article 116

La loi NRE. Article 116 La loi NRE La loi sur les nouvelles régulations économiques fixe (art.116) l'obligation pour les sociétés française cotées sur un marché réglementé l'obligation de rendre compte dans leur rapport annuel

Plus en détail

COMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations

COMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations La nouvelle Swiss GAAP RPC 30 regroupe toutes les règles applicables aux comptes. Ce qui implique que toutes les autres Swiss GAAP RPC font référence aux comptes individuels. Quelles sont les questions

Plus en détail

exemple cfdt à adapter, par la négociation, aux spécificités de chaque entreprise

exemple cfdt à adapter, par la négociation, aux spécificités de chaque entreprise exemple cfdt de BDU à adapter, par la négociation, aux spécificités de chaque entreprise Selon la CFDT, cet exemple de Base de données unique (BDU) peut convenir aux entreprises d au moins 300 salariés

Plus en détail

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme

Plus en détail

LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE

LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?

Plus en détail

FONDS DE PENSION TRANSPORT ET LOGISTIQUE OFP PLAN DE FINANCEMENT PLAN SECTORIEL DE PENSION

FONDS DE PENSION TRANSPORT ET LOGISTIQUE OFP PLAN DE FINANCEMENT PLAN SECTORIEL DE PENSION FONDS DE PENSION TRANSPORT ET LOGISTIQUE OFP PLAN DE FINANCEMENT PLAN SECTORIEL DE PENSION (version 30/03/2012) 1. CARACTERISTIQUES DU PLAN DE PENSION 1.1. Engagement de Pension type Contributions Définies:

Plus en détail

-12 Résultat net de l'exercice (excédent ou déficit Poste Résultat des l'exercice (excédent) 12000 Poste Résultat de l'exercice (déficit) 12900

-12 Résultat net de l'exercice (excédent ou déficit Poste Résultat des l'exercice (excédent) 12000 Poste Résultat de l'exercice (déficit) 12900 -10 Fonds associatifs et réserves Poste Fonds associatifs sans droit de reprise 102000 Poste Valeur du patrimoine intégré 102100 Poste Fonds statutaires (à déclarer en fonction des statuts) 102200 Poste

Plus en détail

C IV 3 Les documents de synthèse (présentation simplifiée)

C IV 3 Les documents de synthèse (présentation simplifiée) C IV 3 Les documents de synthèse (présentation simplifiée) Voici les documents de synthèse conformes au Plan Comptable Général. Pour les rendre accessibles, nous n en avons reproduit que les lignes rencontrées

Plus en détail

Responsabilité pénale de l association

Responsabilité pénale de l association Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et

Plus en détail

SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL

SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL 15 e École d été en évaluation environnementale Évaluation de la durabilité du développement urbain et industriel : outils d analyse de l empreinte écologique et des impacts sociaux et sanitaires Douala,Hôtel

Plus en détail

DETACHER UN SALARIE D UNE EXPLOITATION A L AUTRE

DETACHER UN SALARIE D UNE EXPLOITATION A L AUTRE PREFECTURE DE LA REGION CORSE Direction Régionale de l Agriculture et de la Forêt DETACHER UN SALARIE D UNE EXPLOITATION A L AUTRE PRET DE MAIN D OEUVRE? DETACHEMENT? ENTRAIDE? MISE A DISPOSITION DE SALARIES?

Plus en détail

LES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS

LES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS LES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS Définition des stocks Typologie LA GESTION DES STOCKS Les indicateurs de gestion des stocks Les documents de gestion des stocks Les méthodes de gestion des

Plus en détail

I.P.C.F. INSTITUT PROFESSIONNEL DES COMPTABLES ET FISCALISTES AGREES

I.P.C.F. INSTITUT PROFESSIONNEL DES COMPTABLES ET FISCALISTES AGREES Plan comptable I.P.C.F. INSTITUT PROFESSIONNEL DES COMPTABLES ET FISCALISTES AGREES PLAN COMPTABLE (*) NOVEMBRE 2009 I.P.C.F. Avenue Legrand 45 1050 BRUXELLES Tél.: 02/626.03.80 Fax: 02/626.03.90 E-mail:

Plus en détail

RELEVÉ DES TRANSACTIONS ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE

RELEVÉ DES TRANSACTIONS ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE RELEVÉ DES S ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE Nomenclature générale des codes de transactions à produire par les Déclarants Directs Généraux Pour application à compter du 1 er juillet 2012 15 décembre

Plus en détail

RAPPORT DU COMMISSAIRE AUX COMPTES SUR LES ETATS FINANCIERS ARRETES AU 31 DECEMBRE 2012

RAPPORT DU COMMISSAIRE AUX COMPTES SUR LES ETATS FINANCIERS ARRETES AU 31 DECEMBRE 2012 RAPPORT DU COMMISSAIRE AUX COMPTES SUR LES ETATS FINANCIERS ARRETES AU 31 DECEMBRE 2012 Association «AL BAWSALA» JUILLET 2013 Av. Hédi Karray - Imm.Luxor 2 ème Etage - Centre Urbain Nord -1082 Tunis SARL

Plus en détail

Les résultats du premier semestre 2007 sont encore totalement affectés par la situation stratégique antérieure et les charges du passé.

Les résultats du premier semestre 2007 sont encore totalement affectés par la situation stratégique antérieure et les charges du passé. De Rouck Geomatics poursuit la mise en œuvre de son plan de réorientation stratégique. Les résultats du premier semestre sont encore affectés par la situation stratégique antérieure. Au cours du premier

Plus en détail

La gestion durable du chantier en pratique

La gestion durable du chantier en pratique Formation Bâtiment Durable : La gestion durable du chantier en pratique Bruxelles Environnement Le coût de la gestion durable du chantier Marc Vanderick Les Entreprises Louis De Waele Le coût de la gestion

Plus en détail

faites Pétiller vos idées

faites Pétiller vos idées Avec Chrysalis, faites Pétiller vos idées du 6 janvier au 14 février 2014 c o n c o u r s à la création d entreprise Dossier de candidature Renseignements : Tél : 05 65 43 63 63 - Email : chrysalis@cc-decazeville-aubin.fr

Plus en détail

Sociétés en liquidation et déduction

Sociétés en liquidation et déduction IPCF Institut professionnel des Comptables et Fiscalistes agréés SOMMAIRE p. 1/ Sociétés en liquidation et déduction des intérêts notionnels p. 2/ Cessation/transfert d une entreprise unipersonnelle :

Plus en détail

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005 International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de

Plus en détail

Fiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic

Fiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,

Plus en détail

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/16 - Traitement comptable des subsides, dons et legs, octroyés en espèces, dans le chef des grandes et très grandes associations et fondations bénéficiaires

Plus en détail

CARCASSONNE AGGLO DEMANDE DE SUBVENTION

CARCASSONNE AGGLO DEMANDE DE SUBVENTION CARCASSONNE AGGLO DEMANDE DE SUBVENTION 1 - LE DEMANDEUR Nom du demandeur :...... Sigle :... Objet :... N SIRET... Date de publication de la création au Journal Officiel :.... Activités principales :...

Plus en détail

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 Relatif aux modalités de première application du règlement du CRC n 99-02 par les sociétés dont les instruments

Plus en détail

Le crédit d impôt innovation (CII)

Le crédit d impôt innovation (CII) Le crédit d impôt innovation (CII) Plan de la présentation I. Les grandes lignes de la mesure II. Le champ des activités éligibles III. Les dépenses éligibles IV. L'imputation du crédit d'impôt innovation

Plus en détail

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée.

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée. LA NORME SA 8000 Les origines de la norme SA 8000 La norme SA 8000 est le résultat, entre autre, du constat de la multiplication des normes et des standards existants sur le marché. C est en octobre 1997

Plus en détail

MANUEL DES NORMES Audit légal et contractuel

MANUEL DES NORMES Audit légal et contractuel 325 MANUEL DES NORMES TITRE 6 NORMES RELATIVES AUX INTERVENTIONS CONNEXES A LA MISSION GENERALE 326 6000. NORMES ET COMMENTAIRES DES NORMES RELATIFS AUX INTERVENTIONS CONNEXES A LA MISSION GENERALE SOMMAIRE

Plus en détail

C V 1 Extrait du Plan Comptable Général

C V 1 Extrait du Plan Comptable Général C.V Extrait du Plan Comptable Général C V 1 Extrait du Plan Comptable Général Sont reproduits les seuls comptes détaillés dans ce cours ou ceux qui nous semblent compréhensibles. Les comptes spécifiques

Plus en détail

Rapport de la direction

Rapport de la direction Rapport de la direction Les états financiers consolidés de Industries Lassonde inc. et les autres informations financières contenues dans ce rapport annuel sont la responsabilité de la direction et ont

Plus en détail

DECRYPTAGE DE L ACTUALITE FISCALE RECENTE

DECRYPTAGE DE L ACTUALITE FISCALE RECENTE Missions comptables Audit légal Audit Contractuel Missions juridiques et fiscales Missions sociales Expertise et conseil de gestion Conseil en organisation Certification ISO Informatique Formation DECRYPTAGE

Plus en détail

GROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014

GROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 GROUPE NSE INDUSTRIES Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 BILAN (en milliers d euros) ACTIF Note 30/06/14 30/06/13 Ecarts d'acquisition 1 3 872 3 972 Immobilisations

Plus en détail

Sommaire. Weborama Rapport financier du premier semestre 2007 2

Sommaire. Weborama Rapport financier du premier semestre 2007 2 Rapport financier du premier semestre 2007 Sommaire 1. Commentaires sur l activité de la période... p. 3 2. Rapport des Commissaires aux comptes... p. 5 3. Comptes consolidés au 30 juin 2007... p. 9 Weborama

Plus en détail

COMPTABILITÉ APPROFONDIE. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT

COMPTABILITÉ APPROFONDIE. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT COMPTABILITÉ APPROFONDIE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT 1. Expliquer les raisons pour lesquelles la société YPREMIUM ne peut

Plus en détail

L entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH.

L entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH. Concours d accès en troisième année Programme Grande Ecole Session de Septembre 2011 Epreuve de Comptabilité Générale & Analytique Durée : 3 heures -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers Rapport de l'auditeur indépendant 1 États financiers Bilan 3 État des résultats 4 État de l'évolution de l actif net 6 État des flux de

Plus en détail

Chapitre IV. La certification des comptes

Chapitre IV. La certification des comptes Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine

Plus en détail

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT Février 2015 Un comité du conseil d administration (le «conseil») du commandité (le «commandité») de Brookfield Renewable

Plus en détail

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 % RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur

Plus en détail

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité

Plus en détail

GROUPE. Comptes consolidés. Au 31décembre 2013

GROUPE. Comptes consolidés. Au 31décembre 2013 GROUPE Comptes consolidés Au 31décembre 2013 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 BILAN CONSOLIDE... 3 COMPTE DE RESULTAT... 4 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE... 5 PRINCIPES ET METHODES... 6 PRINCIPES ET METHODES DE

Plus en détail

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PERIODE DU 1 ER AVRIL AU 31 DECEMBRE 2004-1 - COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ Période du 1 er avril au 31 décembre 2004 2003 2003 Exercice clos le Notes Pro forma 31 mars 2004

Plus en détail

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010 F D C N FDC COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010. ACTIF. PASSIF. RESULTAT 2 BILAN ACTIF CONSOLIDATION durée de l'exercice 12 mois Brut Am.& Prov. ACTIF IMMOBILISE Immobilisations

Plus en détail

Convention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui?

Convention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui? 81 rue du pré Catelan 59110 La Madeleine Tél : 03 20 39 33 47 Fax : 03 20 63 92 21 lille@valoxy.fr www.valoxy.fr Convention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui? Attention aux prestations de

Plus en détail

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations Turquie Traduction non officielle 1 de la Loi n o 5710 2 relative à la construction et à l exploitation de centrales nucléaires et à la vente de l énergie produite par ces centrales Date d adoption de

Plus en détail

L ATTESTATION D APTITUDE À LA CONDUITE

L ATTESTATION D APTITUDE À LA CONDUITE L ATTESTATION D APTITUDE À LA CONDUITE 1 Principe Le Service Public Fédéral Mobilité et Transports a sa propre réglementation (AR du 23/03/1998) qui impose non seulement la réussite d un examen théorique

Plus en détail

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT 5 CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS Les comptes financiers enregistrent les mouvements de valeurs en espèces, chèques, ainsi que les opérations faites avec le Trésor, les banques et les établissements financiers.

Plus en détail

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL Compte Administratif 2014 SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES CA 2013 CA 2014 Alloué Réalisé Alloué Réalisé 011 Charges à caractère général 445 615 424 289,55 448 291 411 184,65 012 Charges

Plus en détail

EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION

EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION I. COMPOSITION ET FONCTIONNEMENT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION 1. Le Comité de la vérification (le «comité»)

Plus en détail

Sommaire détaillé. Partie 1-Lemandat du trésorier CE... 25

Sommaire détaillé. Partie 1-Lemandat du trésorier CE... 25 Organisation de votre guide pratique du trésorier CE... 3 Guide de première connexion... 5 Accéder à votre publication sur : mode d emploi... 7 Rechercher un modèle sur www.editions-tissot.fr... 8 Sommaire

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA 1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

Examen décembre 1994

Examen décembre 1994 Examen décembre 1994 QUESTION REDIGEE Temps conseillé: 2 heure 30 minutes noté sur 100 points ENONCE: FRANCOTRANS SA, entreprise de transport public de marchandises, ayant l usage de 15 ensembles identiques

Plus en détail

Chapitre 13. Plan de gestion environnementale et sociale

Chapitre 13. Plan de gestion environnementale et sociale Chapitre 13 Plan de gestion environnementale et sociale Table des matières Table des matières... 13-i 13 Plan de gestion environnementale et sociale... 13-1 13.1 Cadre d élaboration du plan de gestion...

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main 2 Le développement durable au cœur de la stratégie d ASSA ABLOY de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

28 2006 5 2008 G I E AG R I C A G E S T I O N

28 2006 5 2008 G I E AG R I C A G E S T I O N RÈGLEMENT INTÉRIEUR Approuvé par l Assemblée Générale Extraordinaire AGRICA du 28 juin 2006 Modifié par le Conseil d administration du 5 décembre 2008 GIE AGRIC A GESTION SOMMAIRE ART. 1 OBJET 3 ART. 2

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2014/3 Le traitement comptable des mouvements des capitaux propres d'une entreprise associée 1

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2014/3 Le traitement comptable des mouvements des capitaux propres d'une entreprise associée 1 COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2014/3 Le traitement comptable des mouvements des capitaux propres d'une entreprise associée 1 Avis du 2 avril 2014 I. Introduction 1. Dans ce qui suit la Commission

Plus en détail

Le fonctionnement du CHSCT

Le fonctionnement du CHSCT Le fonctionnement du CHSCT La personnalité civile du CHSCT La qualité à agir du CHSCT La capacité d ester en justice La prise en charge des frais de justice La capacité d acquérir et de contracter La responsabilité

Plus en détail

Rapport pour la commission permanente du conseil régional

Rapport pour la commission permanente du conseil régional Rapport pour la commission permanente du conseil régional OCTOBRE 2010 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france SOUTIEN REGIONAL EN FAVEUR DE LA LUTTE CONTRE

Plus en détail

20 Mai 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES

20 Mai 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 14413 UNILOG S.A. Société anonyme au capital de 12 752 569 e. Siège social 39/41, rue du Rocher, 75008 Paris. 702 042 755 R.C.S. Paris. Exercice social du 1 er janvier au 31 décembre. Documents comptables

Plus en détail

DOSSIER DE CANDIDATURE PARTIE A : PRESENTATION DU PROJET ET DU(ES) CREATEUR(S)

DOSSIER DE CANDIDATURE PARTIE A : PRESENTATION DU PROJET ET DU(ES) CREATEUR(S) DOSSIER DE CANDIDATURE PARTIE A : PRESENTATION DU PROJET ET DU(ES) CREATEUR(S) Entreprise/Projet Nom CA Année 1 CA Année 2 CA Année 3 Effectif Année 1 Effectif Année 2 Effectif Année 3 Secteur d activité

Plus en détail

assurances médicales depuis 1944 AMMA ASSURANCES LE FAIT GÉNÉRATEUR assurances médicales depuis 1944

assurances médicales depuis 1944 AMMA ASSURANCES LE FAIT GÉNÉRATEUR assurances médicales depuis 1944 AMMA ASSURANCES LE FAIT GÉNÉRATEUR assurances médicales depuis 1944 entreprise d assurance mutuelle agréée par l Office de Contrôle des Assurances sous le code 0126 (A.R. 04 et 13.07.1979 M.B. 14.07.1979)

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDÉS 2012

COMPTES CONSOLIDÉS 2012 ÉNERGIE ENVIRONNEMENT EAU ÉOLIEN RÉSEAUX HOLDING WALLON 2 Commentaires des comptes consolidés 1. ACQUISITION ET PÉRIMÈTRE Le périmètre de consolidation et les pourcentages détenus sont présentés dans le

Plus en détail

Comptes Consolidés 31/12/2013

Comptes Consolidés 31/12/2013 Comptes Consolidés 31/12/2013 Table des matières BILAN... 2 COMPTE DE RESULTAT... 3 NOTE ANNEXE AUX COMPTES CONSOLIDES... 4 Note 1 - Faits marquants de la période et évènements post clôture... 4 Note 2

Plus en détail

Université Abdelmalek Essaâdi Faculté Polydisciplinaire de Larache Semestre II Matière : Comptabilité Générale II Pr.

Université Abdelmalek Essaâdi Faculté Polydisciplinaire de Larache Semestre II Matière : Comptabilité Générale II Pr. Université Abdelmalek Essaâdi Faculté Polydisciplinaire de Larache Semestre II Matière : Comptabilité Générale II Pr. EJBARI Abdelbar LES AMORTISSEMENTS Définitions et Notions L entreprise doit, dans le

Plus en détail

CANEVAS DE DEMANDE DE CREDIT D INVESTISSEMENT

CANEVAS DE DEMANDE DE CREDIT D INVESTISSEMENT CANEVAS DE DEMANDE DE CREDIT D INVESTISSEMENT canevas crédit d'investissement PAGE 1/14 CANEVAS CREDIT D INVESTISSEMENT I. RENSEIGNEMENTS SUR LE PROMOTEUR 1. IDENTITE DU PROMOTEUR Nom et prénom N CIN Date

Plus en détail

Comptes Consolidés 30/06/2014

Comptes Consolidés 30/06/2014 Comptes Consolidés 30/06/2014 Table des matières BILAN... 2 COMPTE DE RESULTAT... 3 NOTE ANNEXE AUX COMPTES CONSOLIDES... 4 Note 1 - Faits marquants de la période et évènements post clôture... 4 Note 2

Plus en détail