Université du Québec en Abitibi~e

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Université du Québec en Abitibi~e"

Transcription

1 Université d Qébec en Abitibi~e Etde des besoins forxlalœntax des personnes diabétiqes d secter de Rcyn-Norarrla selon le modèle de soins de Virginia Hen:ierson par Brigitte Gagnon Kiyan:la Rapport de recherche présenté en ve de l 'obtention de la maîtrise en édcation sos la direction de madame Ginette Ron:iea Décembre 1990

2 Mise en garde La bibliothèqe d Cégep de l Abitibi-Témiscaminge et de l Université d Qébec en Abitibi- Témiscaminge a obten l atorisation de l ater de ce docment afin de diffser, dans n bt non lcratif, ne copie de son œvre dans Depositm, site d archives nmériqes, gratit et accessible à tos. L ater conserve néanmoins ses droits de propriété intellectelle, dont son droit d ater, sr cette œvre. Il est donc interdit de reprodire o de pblier en totalité o en partie ce docment sans l atorisation de l ater.

3 i i La présente recherche a été rende possible grâce a concors de nombreses personnes qi ont totes le mérite de m'avoir fait confiance jsq'à ce jor. Je remercie en premier lie, mon mari, Gstave Ng. Kiyan:la, et mes enfants qi m'ont sans cesse encoragée. Je remercie ltlon tter, madame Ginette Rondea, qi, jsq'à la fin, m'a conseillé jdiciesement. Je remercie les personnes diabétiqes qi ont bien vol réporore à mon qestionnaire et l'association d diabète, section Royn-Noranda, sans qi cette recherche n'arait pas e lie. Je remercie totes les personnes qi ont contribé de près à cette recherche et qi m'ont sovent conseillé, en particlier Mesdames SUzanne I.egalt Roy, infinnière et Olantal Rail Laszczewski, diététiste. Je remercie les pharmaciens de Royn-Noranda qi m'ont permis d'entrer en contact avec les personnes diabétiqes. Je remercie également le CRSSS (Conseil régional de la santé et des services sociax) et le FIR (Fonds instittionnel de recherche) por l'aide financière irx:lispensable accordée à la recherc:he.

4 ~-.... ii ~ 'ŒS ~- iii!mie I:::ES ~- vi!mie I:::ES F'Ic;tJRE:S - viii ~œ ~ I - IE DIAŒm A. ~.:ini tic:11. B. Cl.a,ss.i.f'ic:::a.tic::11 cl.:iniqtje c..fa.ctell:"s œ ~.... O. ManifestatiCI'lS d'n diabète IXX1 CXIILL"ôlé E.Al.It:cx::x:l'le F. Etat actel œ la redle.rdle sr le diabète il 13 m Bl:)m.EM:E' A. Pl:t:::i:Jl~ 1. L' éteixhle et la gravi té œ la mal acu e I..es ~- 3. Ia cliniqe d'aide pan: diabétiqes et le.it's fami 1 1 E!:S 4. I..es ~-t:a.ti~ -dll c::x:llli."t:é 5. L'Association d diabète B. ~inition d problème

5 C8APTTRE III- LE CADRE THEORIQUE 29 A. B. 'I.e. dc"i'j"'ës; ~ de. 1 ' ~ticji"l 1. I.es ::p:r: c::qj: a:twm::::::j ' 2 L ' arl8..l 'Y'5E! des 1::eso.il'l::; 3 'I.e. JJX'"X1èl e ~ Le domaine des soins infirmiers l. 'I.e. nrrlèl e de. soins de. Virginia Hen:Jerson 2. I.es 1::esoins fcn:iamentax et 1 1 imivid d.:ï.al:jé:tiqt.le OIAPrmE N - ~r.c::x:;rn - A. L'instrment de recherche 1. L' élal::::xjl:a.tie11 d qt.les't.iail'la.il:e 2 la -val.icla.tic:ll ëijj. qt.les't.iail'la.il:e 1 -~..:_.,:--- :ti' ëijj.... ~.; 3. L ~~'-La c::rl ~~"""""4CI"llla.1.re: 4. I.a. "tra.i:'teœrlt (jes, qt.les't.i~ B. L' â::::ila.ritil.c:::11. c. Limites méthcdologi~. ].. Limites œt:.hcdologiqes liées à 1 1 échantillcil 2. Limites œt.hcrlologiqes liées a qestionnaire 3. Limites méthcrlologi~ liées a 11X'"X1èl e d 1 arl8..l 'Y'SE! C8APTTRE V- ~SE DES~ I.a. 1::esoin de se lio.iyo.i.:j: 5. I.a. 1::esoin de danni r et de se ::reposer 6. I.a. 1::esoin d'être ::p:r:qn:e et de protéger il I.a. 1::esoin de restlirer' re. 1::esoin de oo.i.i:"e et ~.... I.a. 1::esoin d ' él..i.::m.i.i'le!. se!; ~- I.a. 1::esoin de se vêtir et de se dévêtir Le besoin d'éviter les dangers I.a. besoin de :œintenir la tepérablre d ~ è!arl:s les l.imi.. tes I1C'll"Di31 es. I.a. 1::esoin de c:x:mm..miqer avec se!; senijlables I.a. 1::esoin d 1 agir selcn ses croyarx::es et se!; -valel.ll':'s 'D:Jra.l es I.a. 1::esoin de s 1 cxx:per en ve de se réaliser.. I.a. 1::esoin de se..z:a:::::t:ef:l::r I.a. 1::esoin dt ~etx:h:e I.a. résmé de 1 1 alla..l'y'se! des résltats ill ll4 ils ll l32

6 c:x:::taijsiœ 134 HTBII~. 139 rxsm I::::ES ~ 143

7 vi Tablea 1: r:escript.ion de 1' échantillon selon les variables sexe, âge, et type de diaœte Tablea 2: Pcrcentage (%) des répcrnants insatisfaits per d1acn des qatorze besoins fondamentax 86 Tablea 3: Dist:ril::t.ion des :répcn:iants selon la satisfaction d besoin de respirer et les da.lle:!i.il:"s. 88 Tablea 4: Tablea 5: Répartition des :répcn:iants selon les :manifestations, tcx et expectorations et l'~ d 1:a1:lac Répartition des :répcn:iants selon q'ils c::.x:i1sajiœil les 4 grcpes d' alilœnts 01 In'l, A atl. ~ ~ Tablea 6: Tablea 7: Tablea 8: Tablea 9: Rép:t.ition des :répcn:iants selon la satisfaction d besoin de s' al:i:menter et le Sl..ll:plllS de p:>ids. 94 Répartition des :répcn:iants selon la satisfaction d besoin de se m:::voir et des dolers ax fesses Répartition des :répcn:iants selon la satisfaction d besoin de se m:::voir et des dolers ax 01isses Rép:t.ition des :répcn:iants en fcn:::tion de. l'~tion de l'hypcqlycémie après 1' exercice et des mesres de prévention Tablea 10: Répartition des répanjants selon la satisfaction d besoin de dormir et se ~et les cz:anp::s dans les lliblltes.inf'er'1ers 103 Tablea il: Répartition des :répcn:iants selon le type de diaœte et la pré.seire d' infections Tablea 12: Répartition des :répcn:iants selon la satisfactiœ d besoin d'être p:tq::rre et la :manifestaticil ' 1 i.n:fectic:::i']s;

8 vii Tablea 13: Répa.rtiticn des :réparlants selcn le type de diabète et la crainte des darqars. 109 Tablea 14: Répa.rtitial des répnjants selcn la satisfacti.cn d l:esoin d'éviter les darqars et la CCI'lSCi.ence des darqars liés ~ diabète llo Tablea 15: Répa.rtiticn des :réparlants selcn la satisfacti.cn d l:esoin de m.intenir sa te {ératre et la :manifestaticn ''1::x::l.lffe!es, de dlale.il:"'' Tablea 16: Répa.rtiticn des répc:xdant:s selcn la sa.tisfacticn d l:esoin de m.intenir sa tejp5..ratre et la :manifestaticn ''p. eds froids. " ] Tablea 17: Poircentage (%) des répnjants selcn les trois niveax de cc:rma.issarx:e de 1 ~ ll5 Tablea 18: Répa.rtitial des :répc:n3ants selcn la satisfacticn d l:esoin de s'occper et 1 '~tic:::ll Tablea 19: Tablea 20: Tablea 21: Tablea 22: Poircentage des :répc:n3ants satisfaits de lers ~ en fc:n±icn de ma":n ~ thèmes liés à l' ense.igr.eme1xt aj.l ~ Répa.rtiticn des :réparlants selcn lers ~ relatives ax différents ~ ale.l 'Y'Sés..126 Répa.rtiticn des :réparlants selcn la scm:ce d' infœ:ma.ticn et le type de diabète Réparti tien des :réparlants selcn ler nivea de satis:fa.ct:i.cn et lers ~

9 viii Figre A: ~ d'~le Figre l: Figre 2: Figre 3: Figre 4: Figre 5: Figre 6: Réparti tian des répc:n:lants selon ler nivea de satisfaction (a), ler intention d'améliorer ler nivea de satisfaction (b) et les sam:es de difficltés qi entravent la satisfaction ( c) d besoin de ~.i.rer. 90 Répartition des répc:njant:s selon ler nivea de satisfaction (a), ler intention d'améliorer ler nivea de satisfaction (b) et les sam:es de difficltés qi entravent la satisfaction (c) d besoin de ooire et ~ Répartition des répc:njant:s selon ler nivea de satisfaction (a), ler intention d'améliorer ler nivea de satisfaction (b) et les sam:es de difficltés qi entravent la satisfaction ( c) d besoin d' él.ilniner d 'él~ Répartition des :répan:jants selcn ler nivea de satisfaction (a), ler intention d'améliorer ler nivea de satisfaction (b) et les sam:es de difficltés qi entravent la satisfaction (c) d besoin de se lik:jllvo.:l.r. 102 Répartition des répc:n:lants selan ler nivea de satisfaction (a), ler intention d'améliorer ler nivea de satisfaction (b) et les sam:es de difficltés qi entravent la satisfactici'l (c) d besoin de dcmnir et de se ~ RépartitiCI'l des répc:njant:s selan ler nivea de satisfactici'l (a), ler intention d'améliorer ler nivea de satisfaction (b) et les sam:es de difficltés qi entravent la satisfactici'l ( c) d besoin d'être p:tc.pre et de~ ses tégments

10 ix Figre 7: Répartiticn des répc::njants se.lc:n le.rr nivea de sa.tisfactial (a), le.rr intentic:n d' amél i orer le.rr nivea de satisfactic:n (b) et les SCXJ:rCeS de difficltés qi entravent la satisfactic:n ( c) d besoin de se vêtir et de se c::lévêtjx. 108 Figre 8: Figre 9: Répartiti.cn des répc::njants selc:n le.rr nivea de sa.tisfactim (a), le.rr intentim d 1 amél i orer le.rr nivea de sa.tisfacticn (b) et les SCXJ:rCeS de difficltés qi entravent la sa.tisfactiœ (c) d besoin d'éviter les ~... Répartiticn des répc::njants se.lcn le.rr nivea de sa.tisfactial (a), le.rr intenticn d' amél i orer le.rr nivea de satis:fact:.icn (b) et les SCXJ:rCeS de difficltés qi entravent la satisfactiœ ( c) d besoin de maintenir la terpârat:re d CCll:pS dans les l..i.mi "tes -J'X")l"'Djê'31 es ill ll4 Figre 10: Réparti.ti.cn des répc::njants se.lcn le.rr nivea de sa.tisfacticn (a), le.rr intenticn d' amél i orer le.rr nivea de sa.tisfa.cticn (b) et les SCXJ:rCeS de difficltés qi entravent la sa.tisfacticn (c} d besoin de CX'JTJ!Imiqer ave:: ses SE:!IIi::llabl.es,. ll7 Figre il: Figre 12: Répartitim des répc::njants selcn le.rr nivea de satisfacticn (a), le.rr intentim d'améliorer ler nivea de sa.tisfacticn (b) et les sa.xrces de difficltés qi entravent la satisfactiœ ( c} d besoin d 1 agir selcn ses croyarx:es et ses valers nx:n:al.es.... Répartiticn des répc::njants se.lcn le.rr nivea de sa.tisfa.cticn (a) 1 le.rr intentim d 1 amél i orer ler nivea de satisfacticn (b) et les san:œ.s de difficltés qi entravent la satisfactim ( c} d J:::esoin de s' cx::ajper er1 "V\lE!. œ se. réa, ; ::;er ll8 121 Figre 13: Répartitim des répc::njants selm le.rr nivea de sa.tisfacticn (a} 1 le.rr intenticn d 1 améliorer le.rr nivea de sa.tisfactim (b) et les san:œ.s de difficltés qi entravent la sa.tisfactia1 ( c) d J:::esoin œ se t:a:::te:::t:r. 122

11 x Figre l4: Répartitial des réparlants selci'l ler nivea de satisfactici'l (a), ler intentici'l d'amél jorer ler nivea de satisfactici'l (b) et les sorces de difficltés qi errt::ravent la satisfactici'l ( c} d besoin d 1 dallet~. 131

12 L'objet principal de la présente recherche est l'identification des besoins fondamentax des personnes diabétiqes appartenant a secter gécgraphiqe de Royn-Noran:la. la cherchese avait dans sa famille, conne dans bon nombre de familles qébécoises, ne grand-mère diabétiqe inslinodépendante. I.es problèmes majers q'elle vivait étaient son incapacité à se piqer elle-même et son refs de sivre n régime alimentaire. A cette époqe, en 1945, elle était dépen::lante de ses enfants qi ignoraient ex-mêmes les rdbnents des soins ax diabétiqes. la cherchese a participé en tant q' infinnière pédiatriqe à la mise sr pied d service d'aide ax diabétiqes a Centre hospitalier de l'université Laval (CHUL), en Un des volets de ce service consistait à aider les parents des enfants diabétiqes hospitalisés, principalement en les informant et en les spportant afin de ler pennettre de s'occper adéqatement de ler enfant et d'accepter la maladie. L'éqipe lid.lltidisciplinaire était composée de l'infirmière, de la diététiste et d médecin.

13 2 En 1977, le Centre hospitalier Royn-Noran::'ia mettait sr pieds n département de santé commnataire conformément à la politiqe de réfo:r::me des sel:vices de santé et sel:vices sociax a Qébec. En tant qe coordonnatrice d département de santé commnataire, nos prenions conscience de la nécessité de sotenir les efforts des diverses ressorces disponibles afin de fonrir 1.m spport adéqat ax personnes diabétiqes. L'Association d diabète, les infirmières de première ligne et qelqes médecins et phannaciens donnaient de 1' information ax personnes diabétiqes, ceci d miex q'ils povaient et avec les ncyens dont ils disposaient. Il n'existait pas de strctre stable à laqelle la personne diabétiqe et ses proches araient p s'adresser por obtenir des réponses ax besoins. I.e véc familial, les expériences professionnelles, 1' implication dans 1 'Association d diabète expliqent notre intérêt soten por le sjet de la :recherche. Nos avons la conviction qe tote intervention professionnelle après des personnes diabétiqes devrait favoriser le développement de 1 'atonomie de ces personnes en matière de santé.

14 3 Il y a 70 ans, le Docter Joslin, pionnier dans le domaine d diabète, réalisait l'.i.rrp::)rtance de l' é::ication por le diabétiqe et sa famille. L'attitde d Docter Joslin s'exprimait ainsi: "Le diabétiqe qi en connaît le pls sr le diabète, vit pls longtemps" 1. Encore récemment, les experts de l'cm3 (Organisation Mondiale de la Santé) affinnaient dans ler rapport sr le diabète scré qe l'édcation doit être la pierre anglaire dans le traitement d diabète 2 La mise sr pied et 1 'application d 1 n prcgrannne d'édcation passe avant tot par n processs d 1 identification des besoins de la clientèle. La connaissance des l:::esoins étant l'élément majer por la formlation des objectifs d'apprentissage. I.e lecter trovera, dans ce rapport, cinq chapitres qi se présenteront comme sit: I.e premier cbapitre expliqe brièvement ce q'est le diabète et les tennes techniqes les pls fréqe:rrnnent tilisés dans le domaine des soins ax diabétiqes. l. Tradction personnelle, L.P. Krall, Edcation: Treatment for diabetics, Joslin' s Diabetes Mellits, 12 ed, 1985, chapiter 23, pp cami té CM3 d'experts d diabète scré, 2e rapport, no. 64 6, OMS, Genève, 1980, p. 62.

15 4 I.e dexièlœ chapitre expose la problématiqe de la recherche en termes de méconnaissance des besoins des personnes diabétiqes et d'absence de programme povant rép:)n:lre ax besoins. Le cadre théoriqe de la recherche fait l'objet d troisième chapitre et s'appie sr les champs des connaissances des soins infinniers et de l'édcation. I.e qatrièlœ chapitre expliqe les aspects de la méthodologie: l'instrment de recherche, l'échantillon et les limites de la recherche. Finalement, le dernier cbapitre analyse les résltats de 1 'étde. Nos sohaitcns qe l'analyse des besoins exprimés, combinée a portrait des ressorces existantes permette de développer et d' ilrq;:)lanter n prcgramme d'intervention por les diabétiqes et lers proches et devienne ainsi n otil por ne meillere qalité de vie.

16 IE DIABElE I.e chapitre qi sit expose les grandes lignes d diabète: ce q'il est, sa classification, ses facters de risqe, ses manifestations. la notion d' atcx::ontrôle est abordée brièvement et sera développée pls longement dans la description d cadre théoriqe de la recherche. L'objectif d chapitre est de définir les principax termes techniqes reliés à la maladie, afin de faciliter la lectre et la compréhension de la recherche. A. Définiticn Le diabète est ne maladie chroniqe caractérisée par ne élévation 1 anonnale d tax de scre dans le san;. Le terme glycémie o nivea de scre dans le sang vient d grec par ses racines: "glcs", por glcose (scre) et ''hailna" por "san;". L' insline, prodite par les cellles Eeta de la glan:le d pancréas pennet à l'organisme d'tiliser le glcose en circlation dans le sang; elle abaisse, par le fait même, la glycémie. 1. Clade cattelier, I.e diabète scré, st-hyacinthe, Edisem Inc., 1984, p. 7.

17 6 L'action harmoniese de l'insline et des atres hormones d pancréas, dont le "glcagon", maintient la glycémie dans les limites normales, c'est-à-dire, entre 80 et 120 mg/dl (milligrammes par décilitres de sang). Chez le diabétiqe, l'insline n'est pls sécrétée o n'est pas sécrétée en qantité sffisante por répondre ax besoins de l'organisme. Sans insline, le glcose ne pet être tilisé et il s'accmle dans le sang. A delà de la valer glycémiqe spériere, 120 m:;/dl, il y a hyperglycémie. Une hyperglycémie légère et passagère, à la site d'n repas carcrp:>rtant des mets scrés, n'est pas signe de diabète. C'est le caractère persistant de 1 'hyperglyréni e qi caractérise le diabète. Le diabétiqe doit sppléer à l'absence o à la pénrie.. ~... d' insline en ayant recors à des injections qotidiennes d' insline o encore à des médicaments orax qi vont stimler la prodction d'insline là où elle est encore présente. Dans certains cas, le régime alilnentaire sel,t:et sffire à contrôler le diabète.

18 7 B. Classificaticn cliniqe L'OMS a classifié, en dex principax gropes, les personnes soffrant de diabète 2 1 les dial:étiqes de type I, o dépendants de 1' insline: dial:étiqes inslino-déper:dants. 2 les dial:étiqes de type II, o non-dépen:iants d'ne sorce d'insline extériere à 1' organisme: diabétiqes non inslino-déperx:lants. Les diabétiqes de type I sont tojors traités avec des injections d' insline. Les diabétiqes de type II pevent, dans certains cas, contrôler ler diabète avec, niqement, n régime alimentaire approprié, o, dans d'atres cas, avoir besoin de médicaments dits "hypoglycémiants". Il pet arriver, dans certaines circonstances, canne lors d'ne chirrgie, qe les diabétiqes de type II aient recors à 1' insline. Qel qe soit le type de diabète, le régilne al.ij:nentaire est tojors 1 'élément majer d contrôle d diabète. Sans voloir entrer dans le détail de cette maladie et de sa classification, laqelle inclt qelqes atres catégories, il est 2. Cami té OMS d'experts d diabète scré, dexième rapport, OMS, Genève, 1980, p. 14.

19 8 inlportant de soligner qe œ.rtaines personnes ignorent le fait q'elles sont diabétiqes. Panni les raisons qi expliqent ce phénomène, il fat citer les problèmes d'interprétation des valers de la glycémie par les professiormels de la santé. I.a gravité de la maladie, d'ne part, et les facilités dont nos disposons por le contrôle de cette maladie, d'atre part, doivent inciter les professionnels de la santé à ne pas ignorer les individs chez qi les valers glycémiqes ne sont encore q'à la limite de la no:r:malité. En effet, selon le docter Catellier, en présence de valers glycémiqes "ni franchement normales, ni franchement anormales, la sagesse cammand.e de se comporter comme si on était en présence d'n diabétiqe vrai (... ), srtot si le sjet est jene, à fortiori obèse, 3 s ' il présente des facters de risqes de devenir diabétiqe (... ) " c. Facters de risqe Le diabète n'est pls, de nos jors, considéré nig:ernent cannne ne maladie d'origine héréditaire. En effet, le docter catellier affirme 3. catell ier, oo. cit., p. 13.

20 9 qe "dans la majorité des cas, le diabète scré réslte de 1' interaction, en proportions variables, de facters génétiqes et de facters de 1 'environnement" 4 ces vir.s, des agents chimiqes spécifiqes et des tramatismes physiqes c émotionnels pevent provoqer l'apparition d'n diabète type I. Parmi les facters de risqes liés a diabète type II 1 il fat soligner l'importance d facter ntritionnel, en particlier 1 'obésité, et d facter héréditaire. L'étde anglaise de Barker 5 a d'aillers mis en évidence la relation entre les mavaises con:titions socio-éconaniqes des individs (le chômage, le faible nivea de vie, les mavaises conditions de logement) et les tax d'incidence d diabète type II chez les ans. les connaissances actelles sr le rôle qe joent les facters environnementax et génétiqes dans 1 'apparition d diabète encoragent le dépistage précoce des individs à hat risqe de développer la maladie. Ces connaissances pennettent également d'envisager des mesres de prévention d diabète. 4. catellier, op. cit. 1 p Earker et al., Incidence of diabetes amon;st people aged in nine British Towns 1 in Diabelcgigia, 1982.

21 10 D. Manifestations d'n diabète nan conb:ôlé Les dex principales manifestations d'n diabète mal contrôlé sont l'hyperglycémie et l'hyp::glycémie, qe le diabétiqe doit apprendre à reconnaître et à corriger. L'hyperglycémie, o l'élévation de la glycémie a-delà des valers normales, est casée par ne carence en insline o par n apport alilœnt.aire trop ilnt:ortant. Elle se manifeste principalement par les symptâmes sivants: ne soif ilnt:ortante (polydipsie), l'envie fréqente d'riner (polyrie), ne faim intense (polyphagie). Les manifestations physiqes de l'hyperglycémie apparaissent lentement; en ler présence, la glycémie est sovent très élevée (180 Irq/dl et pls). L'hyperglycémie, qi apparaît fréqennent et qi persiste drant plsiers années, entraîne de graves complications. Les lésions de la rétine de l'oeil, les trobles rénax, les maladies vasclaires des membres infériers, les infections, comptent panni les complications les pls sérieses à diabète non contrôlé o de 1 'hyperglycémie. L'hypoglycémie est la chte de la glycémie bien en dessos des valers nor.rnales. Elle est casée :r;ar ne trop forte dose d'insline c ne prise d'aliments insffisante por les J:esoins de l'organisme. Elle

22 11 se manifeste rapide:!œnt par des symptômes tels qe des trobles de la vision, des sers, des palpitations, des tremblements, la faiblesse et la faim. Chaqe diabétiqe a ses propres symptômes qi sont tojors à pe près les mêmes d'n épiscde hyt:eglycémiqe à n atre. Le diabétiqe doit être en mesre de corriger rapidement la sitation, en avalant n js scré par exemple. L'hyt:eglycémie non corrigée pet con::1ire a "coma hyt:eglycémiqe" et nécessiter l'intervention médicale o celle d'ne personne bien préparée. Des comas à répétition ont n effet néfaste sr 1' organisme, en particlier sr le cervea. En présence d'hyperglycémie o d'hyt:eglycémie, le diabétiqe ne se sent pas bien et il a l:esoin p:lur son bien-être ilmnédiat de corriger la sitation le pls rapidement possible. E. At:cx:x:rrt:rôle Le docter J. L. ariasson définit 1 'atocontrôle canne "la capacité qe pet acqérir le diabétiqe de contrôler li-même sa maladie" 6. L'objectif de 1 'atocontrôle est le maintien de la glycémie entre 80 et 6. J.L., Chiasson, La maîtrise de son diabète par l'atocontrôle, Plein Soleil, vol. 27, no. 2, p. 18.

23 my'dl et ceci à tote here d jor et de la nit, tot a long de l'année. Bien q'il s'agisse là d'n objectif dont l'atteinte exige énonnément d'efforts, le docter Pirart affirme: "n' épargnez acne peine por éviter 1 'hyperglycémie prolorx;jée: nos efforts (... ) seront largement payés en retor, en tenne de bien-être, d'aptitde physiqe, professionnelle, sportive, sexelle, etc.. " 7 Le diabétiqe, même s'il ressent des signes d'hypoglycémie et d'hyperglycémie, ne pet pas se fier à ses seles impressions por obtenir n contrôle strict de sa glycémie. Le principal otil de l'atocontrôle est la connaissance des valers glycémiqes et ler interprétation. La glycémie est mesrée soit à l'aide d'appareils spéciax rénis sos le vocable "réflectomètres" o soit à 1 'aide de banà.elettes réactives (tilisées sans réflectomètre) qi, a contact de gottelettes de sang, vont se colorer selon le ni vea de scre sangin. Ces appareils, o banà.elettes, fornissent des irxiications précises d tax de scre dans le sang, dans la mesre où ils répondent à certains critères d'tilisations et de srveillance techniqe. Les tests rinaires qi pennettent de connaître le tax de scre dans les rines ont été déclassés par l' apparition des réflectomètres "domestiqes". Ils n'en demerent pas moins très tiles por grand nombre de diabétiqes qi ne pevent avoir accès ax réflectomètres 7. Jean Pirart, N'épargnez acne peine por éviter 1 1 hype:rglycémie prolongée, Plein Soleil, vol. 27, no. 2, p. 13.

24 13 encore très coûtex. Ils fonùssent également des informations très pertinentes et ne pevent pas être ignorés totalement. Ia lectre et la compréhension des résltats des tests permettent a diabétiqe de pren:ire des décisions qi ont por bt de maintenir la glycémie dans les limites no:rmales. Ia prise de décision concerne les éléments majers d contrôle: le régime alimentaire, l'exercice physiqe, le dosage de 1' insline et les hypoglycémiants orax. L'apprentissage de 1 'atocontrôle déborde largement le champ des connaissances et des habiletés prement tec::hniqes des tests et de ler interprétation. Il sppose ne volonté d'agir, de maîtriser la sitation; il nécessite n entorage bien informé qi spporte le diabétiqe; il oblige les professionnels de la santé à faire confiance a diabétiqe et à li donner tos les otils dont il a besoin. F. Etat acblel. de la :œdle.:ràle sr le diabète Les governements et les associations de diabétiqes comprennent q'investir dans la recherche est ne excellente façon d'aider les diabétiqes. Selon le National Diabetes Advisory Board, investissement économiqe en recherche est rentable. Dans le domaine 8. cannission d'étde sr 1 '.AD;2, op. ci t., p. 13.

25 14 de la compréhension de la maladie et de son traitement, les cherchers ont fait des progrès énonnes depis la décoverte de 1' insline en Les recherches sr le rôle des composantés :i..nnnologiqes et génétiqes dans le développement d diabète de type I, sr la pra:lction d' insline hmaine, sr le développement des pc:liilt:es à insline, sr les traitements oclaires a laser (photocoaglation), PJUr ne citer qe celles-là, ont e des répercssions bénéfiqes sr la qalité de vie des diabétiqes. Nos povons constater dans la littératre de même qe dans les exposés présentés lors des congrès sr le diabète, à qel point les étdes portant sr les aspects biologiqes de la maladie sont nombreses par rapport ax étdes portant sr les qestions d'ordre édcatif. Bien qe l'édcation des diabétiqes soit considérée comme la "pierre anglaire" dans le traitement d diabète, plsiers aters dont Brown 9 ~sent qe les techniqes pédagogiqes tilisées por 1 'édcation des diabétiqes ne font pas preve de ler efficacité et qe pas pls de "50 % des malades se conforment ax prescriptions d médecin, même avec n programme intensif d'édcation...,lo, les cherchers commencent à peine à aborder des qestions liées a processs édcatif. 9. G. Brown, Atres approches à la promotion de la santé, La vie médicale vol. 6, mai 1977, p Ibid.

26 15 A titre d'exemple, nos povons citer les travax de s. Schncebeli 11 et Ass. 1 "L'impact de l'édcation sr 1 'éqilibre d diabète et la srvene des complications... ", les travax de A. Colbert et Ass., 12 l'étde de l' intérêt des rénions de grol.lt:e dans l'édcation diététiqe de patients obèses"; les travax de F. Elgrably, 13 les ''Relations entre connaissances et comportements diabétologiqes et la fréqence et la sévérité des hyp:jglycérnies chez 238 diabétiqes insline-dépendants". Bien qe pe nombreses encore, ces recherc:hes ovrent des portes à la compréhension des problèmes liés à 1 'édcation des diabétiqes. 11. Résmés des connmmications présentées à la rénion scientifiqe conjointe de l'alfediam, de la SNDLF 1 de l'adq 1 Diabète et Métabolisme 1 2 a 4 jin 1987, MOntréal. 12. Ibid. 13. Ibid.

27 A. Prchlémat:iqlle I.e diabète est n problème de santé réparrl dont la gravité ne fait pas de dotes. Malgré cela, pe de ressorces sont mises à la disposition des diabétiqes. Portant les problèmes décolant d dial::ète sont nombrex et tochent tos les diabétiqes. la recherche, c'est là 1 'avis des governements et des associations de diabétiqes, propose des soltions a diabète et à son contrôle, mais bien pe d'effotts ont été consentis, jsq'à maintenant, dans le bt d' identifier les l::esoins des personnes diabétiqes. 1. L' éterxme et la gravité de la mal acu e la présence de dial::ète sr le globe varie considérablement d'ne poplation à ne atre. Selon l'cm3 1, environ 6% de l'ensemble des adltes américains sont atteints de diabète. Ce tax est sensiblement le même por l'erope et nette.iœnt inférier dans les pays en voie de développement, ce qi ne signifie nllement qe cette maladie y est l. Comité CM3 d'experts d diabète scré, op. ci t., p. 17.

28 17 moins répande pisqe plsiers facters inflencent les données statistiqes liées à la maladie: la tolérance, par les professionnels, de valers glycémiqes pls élevées, par exemple. Ce phénomène expliqe en partie, même a Qébec, n tax élevé de diabétiqes méconns. A Qébec, bien qe les étdes épidémiologiqes réalisées sr le sjet soient pe nombreses, les aters 2 s' entenient por dire qe 4 à 5 % de la poplation totale est diabétiqe. Selon ces statistiqes, personnes seraient atteintes d diabète, en Abitibi-Témiscaminge et, dans le sel secter de Royn- Norarrla., personnes seraient diabétiqes. Plsiers maladies graves sont le résltat d'n diabète mal contrôlé et ler fréqence est pls grande chez les diabétiqes qe dans la poplation en général: les maladies cardiaqes et celles des vaisseax d ce:rvea sont dex à trois fois pls élevées, la cécité est dix fois pls fréqente, la gangrène et 1 'amptation sont vingt fois 2. Commission d'étde sr l'associati on d diabète d Qébec, le diabète: Etat de la sitation, Plein SoleiL vol. 26, no. 3, 1984, p. 10.

29 18 pls réparrle.s. Le diabète est également la dexième case majere des maladies rénales fatales et il corrlit à d'atres maladies chroniqes telles qe les neropathies, les infections et les problèmes sexels 3 Les coûts engendrés par le diabète sont énormes: coûts des hospitalisations, absentéisme, pertes d'emploi, coûts des médicaments, etc. 2 0 Les :ressan:ces Les ressorces st:écifiqes mises à la disposition des diabétiqes sont pe nambreses. Il n'y a qe qelqes centres d'enseignement a Qébec; la plpart sont sités dans des centres hospitaliers des régions métropolitaines. Nos avons conslté qelqes gides de référence rédigés par des professionnels qi oevrent dans ces centres d'enseignement. Bien docmentés, la plpart de ces gides sont des receils d' infor.mation à 1' intention des infirmières et atres personnes qi travaillent après des diabétiqes. Ces gides permettent d' nifonniser le conten de 1 'enseignement a diabétiqe et abordent les sjets des tests, d régime alimentaire, des médicaments, etc. Cependant, ils ne parlent pas de la ceillette d'informations qi 3 0 Ibid.

30 19 devrait précéder l'identification des objectifs, des étapes à sivre dans l'enseignement, des stratégies d'intervention et des critères d'évalation des progrannes. Les statistiqes hospitalières nos irrliqent à qel point il est rgent de développer des progrannes d' intervention por les diabétiqes. Pisqe des prc:x;rès énonnes ont été réalisés a plan de la compréhension des mécanismes de la maladie et de son traitement, il est donc possible de rédire sensiblement la drée moyenne des hospitalisations. En effet, ax Etats-Unis, en 1980, la drée nationale moyenne des hospitalisations était de 5, 4 jors alors qe dans n centre hcspi talier qi appliqe n prcgrarmne d' enseignerœnt :por diabétiqes, elle était de 1,2 jors 4 A titre d'exemple, a "Los Angeles Conty - University of Sothern california Meclical Center", 5 l'on a réssi à rédire de façon sensible la drée des hospitalisations des personnes diabétiqes en implantant n programme sr totes les ni tés de soins, i.ntenles conne externes, et en acco:rdant l:eacop d'importance a prccesss d'évalation d programme. 4. G. Steiner, P. lawrence, Edcating Diabetic Patients, Springer Pblishing Company Inc., New York, 1981, pp s. Ibid.

Accompagner les familles d aujourd hui

Accompagner les familles d aujourd hui Mtalité Française et petite enfance Accompagner les familles d ajord hi ACCOMPAGNER LES FAMILLES D AUJOURD HUI L engagement de la Mtalité Française en matière de petite enfance La Mtalité Française est

Plus en détail

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention Petite enfance Risqes professionnels et qalité de vie a travail dans les crèches : les pratiqes de prévention Rédaction : Emmanelle PARADIS, Chef de projet «Prévention des risqes professionnels», por CIDES

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12347.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014

Plus en détail

Email Academy 2012. Florence Consultant 231 Route des Camoins 13011 Marseille Siret : 43214620700035 - N formateur : 93130994113

Email Academy 2012. Florence Consultant 231 Route des Camoins 13011 Marseille Siret : 43214620700035 - N formateur : 93130994113 Email Academy 2012 L'emailing et les noveax canax internet La législation de l'emailing et des bases de données Vendre par l'emailing Améliorer la délivrabilité de ses emailing Développer son email en

Plus en détail

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire 79614 Plan de formation por l Ordonnance sr la formation professionnelle initiale réalisater pblicitaire Partie A Compétences opérationnelles Partie B Grille horaire Partie C Procédre de qalification Partie

Plus en détail

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations Votre expert en flx docmentaires et logistiqes Cataloge des formations Qelles qe soient les entreprises, les salariés pevent sivre, a cors de ler vie professionnelle, des actions de formation professionnelle

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW Version 1.2 Gide de conception et de mise en œvre H12388.2 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12387.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014 EMC estime

Plus en détail

La complémentaire santé. des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ. adaptée à vos besoins pour faciliter votre accès aux soins :

La complémentaire santé. des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ. adaptée à vos besoins pour faciliter votre accès aux soins : La complémentaire santé des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ la réponse santé adaptée à vos besoins por faciliter votre accès ax soins : avec le tiers payant por ne pls avancer vos frais

Plus en détail

Mesures générales de prévention pour l utilisation des fardeleuses

Mesures générales de prévention pour l utilisation des fardeleuses la fardelese Les fardeleses, machines semi-atomatiqes d emballage de palettes, assi nommées palettisers o «wrapeses» sont d sage corant dans le secter de l imprimerie. On s en sert por envelopper d ne

Plus en détail

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA Commande prédictive par Jacqes RICHALET Directer société ADERSA 1. Les qatre principes de la commande prédictive... R 7 423 2 1.1 Modèle interne... 2 1.2 Trajectoire de référence... 3 1.3 Strctration de

Plus en détail

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR, DE L'OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Connaître Rédire Aménager Informer

Plus en détail

PRÉSENTATION DU CONTRAT

PRÉSENTATION DU CONTRAT PRÉSENTATION DU CONTRAT 2 L ASSURANCE VIE UN FANTASTIQUE OUTIL DE GESTION PATRIMONIALE Le fait qe l assrance vie soit, depis plsiers décennies, le placement préféré des Français n est certes pas le frit

Plus en détail

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 1 La Commnaté d Agglomération agit por le Développement Drable Petit gide des éco-gestes a brea gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 2 Épisement des

Plus en détail

pour toute la famille

pour toute la famille La gamme santé solidaire por tote la famille CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ Nos sommes ne vraie mtelle à bt non lcratif. À tot moment, nos vos en donnons les preves : pas de sélection à l entrée

Plus en détail

Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est aussi la conserver!

Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est aussi la conserver! Santé et travail sr poste informatisé bonnes postres et bonnes pratiqes Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est assi la conserver! www.simt.fr Santé et prévention a bénéfice

Plus en détail

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA Ade Hbrecht, Fabienne Gerra To cite this version: Ade Hbrecht, Fabienne Gerra. MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE

Plus en détail

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES Les qalifications Edition jillet 2014 Solaire thermiqe Forage géothermiqe Solaire photovoltaïqe Bois énergie Aérothermie et géothermie Les énergies renovelables : des

Plus en détail

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré Microphones d appels Clod avec message pré-enregistrés intégré Clearly better sond Modèles PM4-SA et PM8-SA Description générale Les microphones d appels nmériqes Clod de la gamme PM-SA ont été développés

Plus en détail

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits SOLIDWORKS Simlation Réalisez des simlations virtelles avec des otils de test complets por améliorer vos prodits SOLUTIONS DE SIMULATION SOLIDWORKS Les soltions de simlation SOLIDWORKS permettent à tot

Plus en détail

VRM Video Recording Manager

VRM Video Recording Manager Vidéo VRM Video Recording Manager VRM Video Recording Manager www.boschsecrity.fr Stockage réparti et éqilibrage de la configrable Basclement sr n enregistrer de secors iscsi en cas de défaillance, por

Plus en détail

Étudier si une famille est une base

Étudier si une famille est une base Base raisonnée d exercices de mathématiqes (Braise) Méthodes et techniqes des exercices Étdier si ne famille est ne base Soit E n K-espace vectoriel. Comment décider si ne famille donnée de vecters de

Plus en détail

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE Diocèses de Paris, Nanterre, Créteil et Saint-Denis JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE FAITES DE VOS BIENS

Plus en détail

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy 16 Octobre 2014 - Bercy PRODUIRE EN FRANCE AVEC LA DOUANE Présentation des entreprises participant ax tables rondes # prodireenfrance Live tweet sr le compte officiel de la doane @doane_france la doane

Plus en détail

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS TIPI Titres Payables par Internet Un novea service por faciliter les paiements Un moyen de paiement adapté à la vie qotidienne TIPI :

Plus en détail

ISC-PDL1-W18x Détecteurs TriTech Série Pro

ISC-PDL1-W18x Détecteurs TriTech Série Pro Systèmes d'alarme intrsion ISC-PDL-W8x Détecters TriTech Série Pro ISC-PDL-W8x Détecters TriTech Série Pro www.boschsecrity.fr Covertre de détection 8 m x 5 m, avec ne sélection de covertre rédite à 8

Plus en détail

Montages à plusieurs transistors

Montages à plusieurs transistors etor a men! ontages à plsiers transistors mplificaters à plsiers étages Dans de nombrex amplificaters, on cerce à obtenir n grand gain, ne impédance d entrée élevée (afin de ne pas pertrber la sorce d

Plus en détail

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant Technologie (baccalaréat Professionnel) L e mobilier, le matériel et le linge a r estarant 1 : L e m o b i l i e r 1. 1 - L e m o b i l i e r d e s t i n é à l a c l i e n t è l e 1.1.1 - Dimensions et

Plus en détail

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC):

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC): & pls03/ 2014 Une conversation de vive voix en dit pls qe mille corriers électroniqes Page 3 Série Jabra Evolve Pages 4 5 Micros-casqes UC Pages 6 7 freevoice SondPro 355 Page 8 Jabra PRO925/935 Page 9

Plus en détail

LBC 341x/0 - Enceintes

LBC 341x/0 - Enceintes Systèmes de commnications LBC 41x/ - Enceintes LBC 41x/ - Enceintes www.boschsecrity.fr Reprodction vocale et msicale hate fidélité Plage de fréqences étende Entrées 8 ohms et 1 V réglables Enceinte compacte

Plus en détail

TRANSLATION ET VECTEURS

TRANSLATION ET VECTEURS TRNSLTION ET VETEURS 1 sr 17 ctivité conseillée ctivités de grope La Translation (Partie1) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr1.pdf La Translation (Partie2) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr2.pdf

Plus en détail

Système isolateur de ligne de haut-parleurs

Système isolateur de ligne de haut-parleurs Systèmes de commnications Système isolater de ligne de hat-parlers Système isolater de ligne de hat-parlers www.boschsecrity.fr Fornit des bocles de hat-parler redondantes por les systèmes de sonorisation

Plus en détail

AMC2 - (Contrôleur d'accès modulaire - Access Modular Controller)

AMC2 - (Contrôleur d'accès modulaire - Access Modular Controller) Engineered Soltions AMC2 - (Contrôler d'accès modlaire - Access Modlar Controller) AMC2 - (Contrôler d'accès modlaire - Access Modlar Controller) www.boschsecrity.fr Gestion intelligente des accès por

Plus en détail

annexes circulaire interministérielle n DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007

annexes circulaire interministérielle n DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007 annexes circlaire interministérielle n DGUHC 2007-53 d 30 novembre 2007 relative à l accessibilité des établissements recevant d pblic, des installations overtes a pblic et des bâtiments d habitation Annexes

Plus en détail

Enregistreur numérique Divar

Enregistreur numérique Divar Vidéo Enregistrer nmériqe Divar Enregistrer nmériqe Divar www.boschsecrity.fr Versions 6, 9 et 16 voies Technologie en option Enregistrement, lectre et archivage simltanés Contrôle des caméras AtoDome

Plus en détail

Logiciel Bosch Video Management System v3.

Logiciel Bosch Video Management System v3. Vidéo Logiciel Bosch Video Management System v3. Logiciel Bosch Video Management System v3. www.boschsecrity.fr Système de gestion vidéo client/server Gestion des tilisaters, gestion des alarmes, srveillance

Plus en détail

Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Automatique

Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Automatique Vidéo Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Atomatiqe Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Atomatiqe www.boschsecrity.fr Optiqe de hate qalité Constrction fiable et robste Format d'image 1/3" avec coande DC

Plus en détail

Marché à procédure adaptée (Article 28 du CMP)

Marché à procédure adaptée (Article 28 du CMP) Marché à procédre adaptée (Article 28 d CMP) Rénovation de la salle Egène DELACROIX Marché 08/203 02/05/203 Nom et adresse de l organisme acheter Chambre de Métiers et de l Artisanat d Val d Oise avene

Plus en détail

Maxwell 10. Administration

Maxwell 10. Administration Maxwell 10 Administration Conten Conten Aperç........................................................................... 4 Connexions....................................................................................

Plus en détail

Bosch Video Management System v.4

Bosch Video Management System v.4 Vidéo Bosch Video Management System v.4 Bosch Video Management System v.4 www.boschsecrity.fr Système de gestion vidéo client/server Gestion optimale des alarmes inclant des niveax de priorité et ne répartition

Plus en détail

Easy Series Système de sécurité

Easy Series Système de sécurité Systèmes d'alarme intrsion Easy Series Système de sécrité Easy Series Système de sécrité www.boschsecrity.fr Prend en charge jsq'à 32 points d'entrée L'analyse intelligente des alarmes pemert la rédction

Plus en détail

Guide pratique du recours au procureur de la République

Guide pratique du recours au procureur de la République les gides d pôle national de ltte contre l habitat indigne Dihal - ltter contre l habitat indigne : gide pratiqe d recors a procrer de la Répbliqe - mars 2013 Ltter contre l habitat indigne : Gide pratiqe

Plus en détail

DINION IP 7000 HD. Vidéo DINION IP 7000 HD. www.boschsecurity.fr. Capteur CMOS jour/nuit 1/2,7" avec balayage progressif

DINION IP 7000 HD. Vidéo DINION IP 7000 HD. www.boschsecurity.fr. Capteur CMOS jour/nuit 1/2,7 avec balayage progressif Vidéo DINION IP 7000 HD DINION IP 7000 HD www.boschsecrity.fr Capter CMOS jor/nit 1/2,7" avec balayage progressif Hate résoltion 1080p, format HD La rédction intelligente d brit permet de diminer de 30

Plus en détail

concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et communal Impôt fédéral direct

concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et communal Impôt fédéral direct CANTON DE VAUD Administration cantonale des impôts GUIDE 2013 concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et commnal Délai por le renvoi de la déclaration : 15 mars 2014 Impôt fédéral direct Simplifiezvos

Plus en détail

Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)

Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007) Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -

Plus en détail

FLEXIDOME IP starlight 7000 VR

FLEXIDOME IP starlight 7000 VR Vidéo www.boschsecrity.fr Excellentes performances par faible lminosité (sensibilité à la coler de 0,017 lx) Analyse de la scène basée sr le conten por optimiser le traitement des images La rédction intelligente

Plus en détail

SAVERNE. Couleurs d été. Politique de la ville. Dossier. Retrouvez toutes les informations locales sur internet www.saverne.

SAVERNE. Couleurs d été. Politique de la ville. Dossier. Retrouvez toutes les informations locales sur internet www.saverne. N 27-2015 SAVERNE Colers d été Dossier Politiqe de la ville L E M A G A Z I N E M U N I C I P A L D E S S A V E R N O I S Retrovez totes les informations locales sr internet www.saverne.fr Nméros d rgence

Plus en détail

À VOS CÔTÉS QUI COMPTENT DANS LES MOMENTS RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE

À VOS CÔTÉS QUI COMPTENT DANS LES MOMENTS RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE À VOS CÔTÉS DANS LES MOMENTS QUI COMPTENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE INSURANCE EST AU CŒUR DE LA STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DU GROUPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE,

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

Dome Conference HD. Vidéo Dome Conference HD. www.boschsecurity.fr. Résolutions HD 1080p et 720p. Sortie standard HD-SDI

Dome Conference HD. Vidéo Dome Conference HD. www.boschsecurity.fr. Résolutions HD 1080p et 720p. Sortie standard HD-SDI Vidéo Dome Conference Dome Conference www.boschsecrity.fr Résoltions 1080p et 720p Zoom x160 (optiqe x10/nmériqe x16) Sortie standard -SDI Contrôle et configration via Ethernet Option ligne de trame por

Plus en détail

SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00

SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00 4 MERCREDI 21 JANVIER 2015 SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00 g, (Paris), (Nice) Epidémiologie des infections à HPV. Vaccination préventive et thérapetiqe. Recommandations Françaises. (Paris) Vaccination HPV

Plus en détail

Conettix D6600 Récepteur/passerelle

Conettix D6600 Récepteur/passerelle Systèmes d'alarme intrsion Conettix D6600 Récepter/passerelle Conettix D6600 Récepter/passerelle www.boschsecrity.fr 32 lignes por les commnications sr le résea téléphoniqe pblic commté (RTPC) avec adio

Plus en détail

DIVAR AN 3000 960H RT APP. Vidéo DIVAR AN 3000. www.boschsecurity.fr. 960H RT haute résolution sur sortie HDMI

DIVAR AN 3000 960H RT APP. Vidéo DIVAR AN 3000. www.boschsecurity.fr. 960H RT haute résolution sur sortie HDMI Vidéo www.boschsecrity.fr 960H RT APP 960H RT hate résoltion sr sortie HDMI Prise en charge des périphériqes mobiles (ios, Android) Notification des alarmes à distance Fonction résea por la visalisation,

Plus en détail

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les

Plus en détail

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques Rébliqe Algérienne Démocratiqe et olaire Ministère de l Enseignement Sérier et de la Recherche Scientifiqe Université Molod Mammeri de Tizi-Ozo Faclté de Génie Electriqe et Informatiqe Déartement Atomatiqe

Plus en détail

DINION capture 5 000. Vidéo DINION capture 5 000. www.boschsecurity.fr. La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises

DINION capture 5 000. Vidéo DINION capture 5 000. www.boschsecurity.fr. La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises Vidéo DINION captre 5 000 DINION captre 5 000 www.boschsecrity.fr La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises Night Captre Imaging System garantit n fonctionnement 24 heres

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Centrale B8512G. Systèmes d'alarme intrusion Centrale B8512G. www.boschsecurity.fr

Centrale B8512G. Systèmes d'alarme intrusion Centrale B8512G. www.boschsecurity.fr Systèmes d'alarme intrsion Centrale B8512G Centrale B8512G www.boschsecrity.fr Grâce à l'intégration totale de la détection d'intrsion, de l'alarme incendie et d contrôle d'accès, ne sele interface sffit

Plus en détail

Y a-t-il un bon moment pour l'hypoglycémie?

Y a-t-il un bon moment pour l'hypoglycémie? Y a-t-il un bon moment pour l'hypoglycémie? La réponse est NON. Voilà pourquoi il est essentiel d'être toujours prêt à y remédier. Avant de vous installer derrière le volant, prenez soin de vérifier votre

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques

2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques 2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières

Plus en détail

en chiffres : 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qui nous font confiance.

en chiffres : 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qui nous font confiance. Cataloge 2015 SHOwPACK & CO en chiffres : Visels : Base Showpack & Co et Thinkstock 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qi nos font confiance. Des partenaires AMEX,

Plus en détail

Préparez tous vos événements de l année en quelques clics!

Préparez tous vos événements de l année en quelques clics! Cataloge 014 Préparez tos vos événements de l année en qelqes clics! 600 événements packagés à réserver Des prix fixes, tot compris et affichés sr les sites 1 000 artistes et prestataires professionnels

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1: L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Encodeur vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264

Encodeur vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264 Vidéo Encoder vidéo VideoJet X20/X40 XF E H.264 Encoder vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264 www.boschsecrity.fr Vidéo H.264 de hate qalité sr IPv4 et IPv6 Encodage d débit adaptatif compatible avec la bande

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

3 Les premiers résultats des plans d'actions

3 Les premiers résultats des plans d'actions 3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.

Plus en détail

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE FICHE MEDIAS N 1 REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE A l'attention des enseignants des cycles II et III Initiative de sensibilisation au handicap mental l'écolensemble Objectifs pédagogiques

Plus en détail

DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION

DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION ISO/CEI/GEN 01:2001 DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION Avant-propos Parallèlement à l'essor rapide du commerce international des biens et services,

Plus en détail

Quick Start Guide Touch Tone Capture. Guide de démarrage rapide Saisie à l aide du clavier

Quick Start Guide Touch Tone Capture. Guide de démarrage rapide Saisie à l aide du clavier Qick Start Gide Toch Tone Captre Gide de démarrage rapide Saisie à l aide d clavier 1 Getting Started To help yo get started, this gide otlines some of the most common transactions for the Toch Tone Captre

Plus en détail

Formation des formateurs en entreprise

Formation des formateurs en entreprise en entreprise Le (CQFA) du Cégep de Chicoutimi et le Service de formation continue de l'université du Québec à Chicoutimi (UQAC) unissent leurs efforts et leur expertise respective pour offrir aux organisations

Plus en détail

EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE

EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE Jean-Clae AUGROS Professer à l'isfa Université Clae Bernar Lyon I Bât 0 ISFA 43, B novembre 98 69622 Villerbanne CEDEX Michaël MORENO Allocataire

Plus en détail

Conettix D6100IPv6. Systèmes d'alarme intrusion Conettix D6100IPv6. www.boschsecurity.fr

Conettix D6100IPv6. Systèmes d'alarme intrusion Conettix D6100IPv6. www.boschsecurity.fr Systèmes d'alarme intrsion Conettix D6100IPv6 Conettix D6100IPv6 www.boschsecrity.fr Jsq'à 3 200 raccordements en résea local (LAN) o étend (WAN) Dex lignes por les commnications de résea téléphoniqe commté

Plus en détail

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements

Plus en détail

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l

Plus en détail

Prenez le temps de réfléchir et de répondre avec le plus grand soin à la totalité des questions. Evitez de laisser des questions sans réponse.

Prenez le temps de réfléchir et de répondre avec le plus grand soin à la totalité des questions. Evitez de laisser des questions sans réponse. Le questionnaire, qui vous est présenté, a été élaboré afin de réaliser une enquête sur la situation des enfants malades et/ou en situation de handicap. Vos réponses seront protégées par le secret professionnel

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes

Plus en détail

Découvrir rapidement la création d'une entreprise

Découvrir rapidement la création d'une entreprise Découvrir rapidement la création d'une entreprise Pour construire un projet de création d'entreprise et augmenter ses chances de succès, il est recommandé d'agir avec méthode en respectant des étapes chronologiques.

Plus en détail

LBC 14xx/x0 U40 - Atténuateurs, et LBC 1431/10 - Sélecteur de sources

LBC 14xx/x0 U40 - Atténuateurs, et LBC 1431/10 - Sélecteur de sources Systèmes de commnications LBC 14xx/x0 U40 - Atténaters, et LBC 1431/10 - Sélecter de sorces LBC 14xx/x0 U40 - Atténaters, et LBC 1431/10 - Sélecter de sorces www.boschsecrity.fr Versions 12 W, 36 W et

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

LOT N 06 : MENUISERIES INTERIEURES Construction d une maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P.

LOT N 06 : MENUISERIES INTERIEURES Construction d une maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P. Commnaté de commnes des plaines et vallées dnoises Constrction d ne maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clases Techniqes Particlières (C.C.T.P.) Page 1 Sommaire 1. CONSISTANCE DES TRAVAUX 2. TRAVAUX

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN

LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada

L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada Mars 2002 icongo, Inc 740, rue St Maurice, bureau 602 Montréal, (Québec) Canada H3C 1L5 Tél. : 514-866-2664 Télécopieur : 514-866-8404

Plus en détail

Instructions complémentaires

Instructions complémentaires Canton de Vad Instrctions complémentaires concernant la propriété immobilière 2013 Impôt cantonal et commnal Impôt fédéral direct Renseignements : 021 316 00 00 info.aci@vd.ch Délai général por le renvoi

Plus en détail

GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL

GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL UNE ET UN GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL EN SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE L INFORMATION A GRADUATE ENGINEERING SCHOOL AND AN INTERNATIONAL RESEARCH CENTRE IN INFORMATION AND COMMUNICATION

Plus en détail

Catalogue formations

Catalogue formations Cataloge formations Le Centre de Formation Alpix Notre vocation n est pas de transmettre n savoir, mais de commnier n savoir-faire. Qi sommes nos? Alpix, n partenaire de alité Depis pls de 20 ans, Alpix

Plus en détail

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie? P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes

Plus en détail

GUIDE POUR L ÉLABORATION D UN CAHIER DES CHARGES

GUIDE POUR L ÉLABORATION D UN CAHIER DES CHARGES GUIDE POUR L ÉLABORATION D UN CAHIER DES CHARGES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F.Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

juillet 2011 N 304 Bonnes vacances à Décines! Les équipements à l heure d été A L AFFICHE p.14 Forum des associations, samedi 17 septembre

juillet 2011 N 304 Bonnes vacances à Décines! Les équipements à l heure d été A L AFFICHE p.14 Forum des associations, samedi 17 septembre jillet 2011 N 304 A L AFFICHE p.14 Bonnes vacances à Décines! Les éqipements à l here d été Form des associations, samedi 17 septembre BLOC notes MAIRIE Place Roger Salengro BP175-69151 Décines cedex.

Plus en détail

Vous êtes diabétique. Vous conduisez un véhicule routier.

Vous êtes diabétique. Vous conduisez un véhicule routier. Vous êtes diabétique. Vous conduisez un véhicule routier. Pour votre sécurité et la nôtre Savez vous qu il existe des règles de sécurité que vous devez respecter? Document produit à l intention des patients

Plus en détail