Témoignage MAIA Paris Est
|
|
- Christelle Lamothe
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Centre Est Nord-Ouest MAIAParis Ouest Paris Sud Les logiques d actions d des partenaires à l épreuve du terrain : Témoignage MAIA Paris Est D. I.U. Gestionnaire de cas Claire ASTIER Pilote MAIA Paris Est 3 février
2 Le dispositif MAIA C est un dispositif innovant, une Méthode M d Action d pour l Intégration pas une nouvelle structure mais une proposition d organiser la lisibilité et l articulation des ressources participant au maintien à domicile. Qui se décline localement en vue d un d label 2
3 Plan National Alzheimer Lien entre : Mesure 4 : MAIA Mesure 5 : Gestion de cas INTERDEPENDANCE COMPLEMENTARITE PROCESSUS D INTEGRATION 3
4 La fragmentation des territoires et des schémas met à l épreuve le processus MAIA Territoire de santé Communes Territoire de l HAD Cantons Territoires des libéraux Territoire des réseaux de santé Territoire des CLIC Territoire des EMS APA, services sociaux MAIA Intercommunalité Département Région Inter-région Nation Les schémas; les planificateurs SROSM, PRS, Filières gériatrique, schémas gérontologique Claire Astier, pilote MAIA Paris Est 4
5 MAIA et perte d autonomied En 2009, MAIA initiée dans le Plan national Alzheimer : une maladie qui touche toutes les dimensions de la «santé» (OMS) où les réponses fragmentées sont sensibles En 2010, extension de la population cible: personnes âgées en perte d autonomie En 2011, généralisation des MAIA pilotées par les ARS En 2012, 150 MAIA sur le territoire national En 2013, 50 Sites supplémentaires Cadre juridique L article L du code de l action sociale et des familles pose la base légale du dispositif et donne une définition des MAIA. Le Décret n du 29 septembre 2011 relatif au cahier des charges des MAIA La circulaire interministérielle N DGCS/DGOS/2012/06 du 10 janvier 2012 relative à la mise en œuvre de la mesure 4 du Plan Alzheimer, déploiement des (MAIA), définit les acteurs, les outils et les missions des MAIA. Actuellement :travail sur un texte de loi permettant le partage d informations, en lien avec la DGCS et le commissaire au gouvernement et avec la CNIL pour une autorisation aux outils de recueil d informations 5
6 La concertation Table de concertation tactique Les directeurs et responsables de services réunis en table de concertation tactique s engagent dans le travail du guichet intégré : Définition et partage des outils Formation des accueillants Recueil et partage des données du territoire Chaque responsable de service d aides ou de soins assure : Le suivi de décisions dans sa propre structure ou institution La mise en œuvre du fonctionnement des outils validés Table de concertation stratégique Les partenaires réunis en table de concertation stratégique valident les outils et ajustent les décisions si besoin 6
7 Le guichet intégr gré Des Outils communs Pour permettre le développement d un langage commun Pour faciliter le développement de l interdisciplinarité Pour avoir une traçabilité des besoins de la population Les outils créés, validés et expérimentés sur le 20 e arrondissement: L annuaire des Professionnels au service des Personnes Agées du 20 e Arrondissement, mis au point par le PPE/CLIC 20 e. Le Référentiel d interventions des services du Guichet Intégré ou «qui fait quoi?»: public, type d interventions, Organisation : durée des intervention, horaires, contraintes particulières compétences mobilisables Information pratique : territoire, coordonnées La fiche d analyse de la demande ou Formulaire de liaison Support à l évolution et à l harmonisation des pratiques Suivi des parcours La demande d entrée en gestion de cas avec les critères d intégration 7
8 Le guichet intégr gré Les services du guichet intégré d une MAIA participent au processus d information et d orientation de la population cible selon 4 fonctions : 1. Accueil de la demande d aide et/ou de soins 2. Analyse multidimensionnelle de la situation 3. Repérage des besoins Santé Autonomie fonctionnelle Aspect familiaux et sociaux Aspect économiques et administratifs Environnement et sécurité individuelle 4.Orientation, en réponse aux besoins Spécificité de l orientation vers la gestion de cas Chaque professionnel peut repérer une situation qui nécessite la mise en place de coordination (réseau gérontologique, CLIC, gestion de cas ) La gestion de cas répond à des situations complexes, dont les problématiques interfèrent dans toutes les dimensions et nécessitent une coordination intensive des aides au long cours. 8
9 L Intégration Cela veut dire qu à tout endroit du territoire, les besoins d une personne ou de son aidant sont pris en compte quelque soit la porte d entrée dans le système d aides et de soins Une réponse unique quelle que soit la structure à laquelle on s adresse Une réponse complète qui prend en compte toutes les prestations et tous les services disponibles du territoire Une réponse adaptée aux besoins : information, orientation, mise en place de plan d aide 9
10 La Gestion de cas : Missions et outils Le gestionnaire de cas est l interlocuteur privilégié et le garant du respect de la personne et de son choix de vie Il travaille en collaboration étroite avec le médecin traitant Il organise la coordination et la co-responsabilité avec l ensemble des professionnels partenaires de la situation. Renseigner et connaitre le sens des actions de chacun Donner un sens commun au maintien à domicile à une équipe éclatée Chaque professionnel continue son action mais poursuit un objectif plus général, partagé et inscrit dans le maintien à domicile. 10
11 La Gestion de cas : Missions et outils Il effectue une évaluation multidimensionnelle de la situation de la personne. GEVA-A auprès de la personne et des partenaires. Synthèse (problématiques, attentes de la Personne âgée, risques décelés et orientations envisagées) Réévaluation au maximum tous les 6 mois même si la situation semble identique. Il élabore un plan de services individualisé (PSI), en accord avec la personne et son entourage, son médecin traitant et avec tous les professionnels partenaires. Il organise et anime les concertations cliniques. 11
12 Gestion de cas : Missions et outils Il est le référent dans la mise en œuvre et le suivi des services, planifiés en concertation avec l ensemble des intervenants. Il est acteur de la concertation en tant qu observateur de l évolution des besoins de la population cible. Il s assure de la continuité du parcours, identifie les freins : lien avec le Pilote Il ne peut avoir d impact que dans un système intégré 12
13 Atouts du Gestionnaire de Cas Pour la Personne âgée: Interlocuteur privilégié dans la continuité de la relation (ville-hôpital). Disponibilité pour accompagner et soutenir (physique et changement). Connaissance globale et approfondie de sa situation. Pour les partenaires: Référent dans la continuité de l information et de l approche de la situation. Disponibilité pour compléter l évaluation et travailler en collaboration. Bonne connaissance du réseau clinique. (Intégration des différents partenaires, évitement des répétitions d évaluation et des interventions). De manière générale: Réactivité dans l adaptation des prises en charges grâce à des protocoles de reconnaissance des évaluations. Observateur des besoins du territoire. 13
14 Schéma de fonctionnement et outils du guichet intégr gré MAIA Paris Est DEMANDE ou BESOIN EXPRIMÉS à tout partenaire du Guichet Intégré Information simple Analyse Multidimensionnelle rapide Orientation directe vers une prestation Besoin d évaluation complémentaire Expertise puis coordination (Réseau, CLIC, APA ) Mise en place d Intervention Situation complexe : évaluation multidimension nelle puis suivi NB : retour d information au Guichet Intégré (Intervention effective ou non) (Gestion de cas) Script d analyse ou «fiche alerteorientation» (Guide d entretien) OUTILS Annuaire des Professionnels Référentiel d interventions Outil support d évaluation + «fiche alerteorientation» Planification des interventions PSI, PPS, Plan d aide 14
15 Le formulaire d analyse d de la demande Identification de la personne: Nom: Prénom: Né(e) le : Tel: Adresse: 750 Paris Bât/esc: étage: porte: Origine de l alerte Particulier Professionnel Nom, lien de parentéou profession: Structure: Téléphone: Date de la demande: Par: contact direct tel. Professionnel(s) déjà en place et depuis quand : - - Personne à contacter: Tel: Médecin traitant: Tel: Demande exprimée par la personne: 15
16 Alertes : Le formulaire d analyse d de la demande Domaine de la santé(physique et psychologique) Mauvais état de santé ressenti par la personne (plainte exprimée) Troubles cognitifs (problèmes de mémoire, d orientation dans le temps et/ou l espace ) Troubles du comportement (déambulation, agressivité, repli sur soi, tristesse ) Troubles sensoriels(baisse de la vue, de l ouïe, du gout, de l odorat ) Troubles nutritionnels (perte de poids, d appétit, difficultés à se nourrir ) Symptôme physique (essoufflement même au repos, perte d équilibre, chute, plaies, baisse de la mobilité ) Absence de suivi médical (avec ou sans médecin traitant) Domaine de l'autonomie fonctionnelle (Perte d autonomie ou aggravation de celle-ci) Problèmes dans les actes essentiels de la vie (se nourrir, se vêtir, se laver, se transférer, aller aux toilettes), Problèmes dans les activités de la vie domestique (courses, ménage, préparation des repas, gestion des médicaments, du linge, budget, des transports en commun et des moyens de communication) Problèmes dans les activités personnelles et de loisirs (ne peut plus faire celles qu elle aimait faire) Domaine des aspects familiaux et sociaux Isolement problématique (absence ou fragilité du lien: famille, entourage, voisin) Perte ou épuisement de l aidant Risque ou suspicion d abus, de maltraitance, Problématique familiale compromettant le maintien àdomicile (projet d institution non partagé, intrusion de personne nouvelle dans l appartement ) Refus d aide et de soins (de la personne ou de son entourage) Domaine des aspects économiques et/ou administratifs Difficulté dans la gestion courante(ne trie plus les papiers, plus d argent liquide au domicile, carte de retrait invalidée ) Perte ou difficulté d accès aux droits Précarité économique Domaine de l environnemental et de la sécurité individuelle Accessibilité du logement Habitat inadapté(mobilier inadapté et/ou détérioré avec risque de chute et/ou d accident domestique: gaz, tapis, escalier Insalubrité/vétusté 16
17 Le formulaire d analyse d de la demande Problématique identifiée par le professionnel Orientation vers: Equipe APA Gestion de cas Hôpital HAD PPE/CLIC Réseau de santé Service Social de Coordination SSIAD Autre (nom du service): Orientation par défaut, en l absence du service souhaité, vers: (Nom du service): Date: Effectuée par: Réponse Effectuée par: Structure: Prise en compte le: Orientation invalidée car: Attente décision du partenaire Refus du partenaire Délai d attente de place Refus de la personne Retour d information au demandeur le: 17
18 MAIA Paris Est, en clair C est un travail collectif Qui a l ambition de faciliter les articulations à tous les niveaux sur son territoire Qui n écrase pas les coordinations et les services existants mais les font évoluer collectivement vers un label L intégration dérange, suscite des interrogations, mais ça vaut le coup!!! 18
19 MERCI pour votre attention 19
«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailAssistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile. www.pact-habitat.org
Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile 1 LES CHAMPS D INTERVENTION DU PACT DE L YONNE L appui à la réhabilitation et à l adaptation du
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailI. Compte-rendu groupe 1 II. Compte-rendu groupe 2 III. Compte-rendu groupe 4
JOURNEE D'ANIMATION SUR LA LIAISON BAC PRO/BTS DANS LE SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL MME GANDON IEN-ET SBSSA MME CAPRA IA-IPR SMS BSE MERCREDI 19 FEVRIER 2014 LYCEE VOLTAIRE ORLEANS LIAISON BAC PRO ASSP/BTS
Plus en détailDOSSIER DE SOUSCRIPTION TELEASSISTANCE CLASSIQUE ou TELEASSISTANCE MOBILE
Mutualité Française Bourguignonne services de soins et d accompagnement mutualistes Union de mutuelles régie par les dispositions du code de la mutualité RNM 775 567 761 Siège social : 16 bd de Sévigné
Plus en détailMadame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF
Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF Système d information MAIA et stratégie régionale Journée MAIA Paris 11 mai 2015 Hôtel de Ville de Paris Systèmes d Information
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLes Quatre Saisons. Appartement gérontologique. 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64
Livret d accueil Les Quatre Saisons Appartement gérontologique 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64 Présentation La résidence Les Quatre Saisons est un appartement d accueil, non médicalisé,
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détaildu Maintien à Domicile
AINE NATIONALE INTIEN À DOMICILE ENIORS VEMBRE 2012 Bien vieillir chez soi Guide du financement du Maintien à Domicile Semaine nationale réalisée sous le haut patronage de la Ministre déléguée auprès de
Plus en détailGENER'ACTION Formation
GENER'ACTION Formation Actions et formations dans le domaine de la gérontologie sociale GENER'ACTION Formation est une association loi 1901 à but non lucratif dont l'objet est de : Permettre de maintenir
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailREGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE
REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE Le présent document définit les règles générales d organisation et de fonctionnement du Service prestataire d Aide à Domicile de Ramonville-Saint-Agne
Plus en détailDocument de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011
Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu
Plus en détailPour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 :
Pour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 : DUREE 1H30 - Notation sur 20 (18 pts pour les questions et 2 pts pour la forme) ATTENTION : 4 questions sont proposées, vous ne devez traiter que 3 questions
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailIntroduction :... 5. Première partie : la prise en charge de la personne... 9
1 Sommaire Introduction :... 5 Première partie : la prise en charge de la personne... 9 B. Le traitement des demandes auxquelles il ne peut pas être répondu de manière immédiate.... 10 C. Le traitement
Plus en détailDossier de candidature Opérateurs en Diagnostic Immobilier
Page 1 sur 8 Dossier de candidature Opérateurs en Diagnostic Immobilier à retourner à CESI Certification 30 Rue Cambronne 75015 Paris Nom :.. Prénom :.... Domaines de certification demandés : Certificats
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION
HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,
Plus en détailSOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR
1 SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR II.PRESTATIONS ASSUREES PAR L ETABLISSEMENT 2.1 description du logement et du mobilier fourni par l établissement 2.2 restauration 2.3 le linge et son entretien 2.4 animation
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL CCAS. des services à la personne. CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière. + d infos : www.ville-laverriere.
LIVRET D ACCUEIL des services à la personne + d infos : www.ville-laverriere.com CCAS CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière Agrément qualité Service d Aide à la Personne : 267802783 Délivré
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailDOSSIER INSCRIPTION SENIOR NOM : PRENOM : Page 1 sur 7
DOSSIER INSCRIPTION SENIOR NOM : PRENOM : Page 1 sur 7 IDENTITE Nom : Prénom : Coller une photo d identité ici Sexe : M F Date de naissance / / Age : ans Votre conjoint (si / / Age : ans couple) Lieu de
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailInstitut Régional du Travail Social Poitou-Charentes
Maître/Maîtresse de Maison Modalités d inscription en situation d emploi ou demandeur d emploi Protocole d allègements ou de dispense Modalités de validation Recherche de stage pour les demandeurs d emploi
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailTRANSPORT A LA DEMANDE POUR LES PERSONNES A MOBILITE REDUITE ET LES PERSONNES AGEES DOSSIER D ADMISSION
-RESERVE AU SERVICE Nom :... Prénom :... N carte :... Admission jusqu au :... TRANSPORT A LA DEMANDE POUR LES PERSONNES A MOBILITE REDUITE ET LES PERSONNES AGEES DOSSIER D ADMISSION Demandeur Mme Mlle
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailPRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS «DES AIDES À DOMICILE
PRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS «DES AIDES À DOMICILE 4 ÉTAPES POUR VOUS GUIDER Le Département des Risques Professionnels de la Carsat Nord-Est propose cette brochure aux structures d aide à domicile
Plus en détailÉCOLE SECONDAIRE PÈRE-RENÉ-DE-GALINÉE
ÉCOLE SECONDAIRE PÈRE-RENÉ-DE-GALINÉE FRANÇAIS 12 e année Date: mars-juin 2015 Course Code: FRA 4U Enseignante: Mme L. Campagna et Mme Ducatel NOM DE L ÉLÈVE : Projet : Projet autonome Durée de l unité
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailDroits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.
Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel
Plus en détailEtude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)
Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une
Plus en détailJournée e dialogue al chef de file en santé mentale
Journée e dialogue Le réseau r de l Est l de Montréal al chef de file en santé mentale UN PROCESSUS DE TRANSFERT DE LA CLIENTÈLE ENTRE LES ÉTABLISSEMENTS DE L EST DE MONTRÉAL POUR ASSURER LA CONTINUITÉ
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailCIRCULAIRE INTERMINISTERIELLE N DGCS/DGOS/2012/06
CAISSE NATIONALE DE SOLIDARITE POUR L AUTONOMIE MINISTERE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTE MINISTERE DES SOLIDARITES ET DE LA COHESION SOCIALE Caisse nationale de solidarité pour l autonomie Equipe
Plus en détailDes aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie
Action Sociale I janvier 2013 I Des aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie Plan d actions personnalisé Aides d urgence : ARDH et ASIR Logement et cadre de vie Secours exceptionnels Le
Plus en détailProgramme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle
Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailSur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé
«Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé L organisation et la planification
Plus en détailQuestionnaire général (court)
1 sur 6 29/12/2014 10:00 Questionnaire général (court) Il peut bien entendu être diffusé à des professionnels de votre connaissance pouvant être s par le projet. Les informations renseignées ont vocation
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailMa Santé Ma Prévoyance. Avec le Crédit Mutuel, vous avez l assurance d être bien protégé.
Ma Santé Ma Prévoyance Avec le Crédit Mutuel, vous avez l assurance d être bien protégé. Avec le Crédit Mutuel, vous avez l assurance d être bien protégé. Aujourd hui, pour vivre l esprit tranquille, il
Plus en détailBaccalauréat Professionnel. Accompagnement, soins et services à la personne. - option «à domicile» - option «en structure»
Baccalauréat Professionnel Accompagnement, soins et services à la personne - option «à domicile» - option «en structure» Référentiel bac pro ASSP 21 décembre 2010 1 Référentiel des activités professionnelles
Plus en détailTitre Cesu La Banque Postale
Titre Cesu La Banque Postale Les deux déclinaisons du Cesu Titre de Travail Simplifié (TTS) permet de rémunérer et de déclarer un salarié employé à domicile, s adresse aux entreprises, ainsi qu aux particuliers
Plus en détailvous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,
Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailFinancer les travaux d adaptation des logements
1ère Journée de l accessibilité des bâtiments et de leurs abords Maison de l Artisanat Financer les travaux d adaptation des logements 1 1er journée de l accessibilité des bâtiments et de leurs abords
Plus en détailProjet d Accueil. Entre Parent(s) et Assistant Maternel
Outil proposé par les Relais Parents Assistants Maternels des Côtes d Armor dans le cadre de leur mission d accompagnement. Ce document n a pas de valeur légale ou réglementaire. Juin 2012 Projet d Accueil
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents
REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents de la RESTAURATION SCOLAIRE MATERNELLE/ELEMENTAIRE Direction de l Education, de l Enfance et de la Réussite Educative Approuvé au Conseil Municipal
Plus en détailauremar - Fotolia.com
auremar - Fotolia.com Bien vivre chez soi Différents dispositifs permettent aux seniors giffois de rester chez eux avec des repas à domicile, des aides ponctuelles comme le ménage, le repassage, les courses
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailPilotez votre activité depuis le Cloud
Pilotez votre activité depuis le Cloud LogiPAX est un logiciel vous permettant de gérer votre parc automobile, vos chauffeurs ainsi que vos clients, et ce depuis votre connexion internet. SÉCURITÉ INTERNET
Plus en détailDIPLOME D ETAT D AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE LIVRET DE FORMATION
MINISTERE CHARGE DES AFFAIRES SOCIALES ETABLISSEMENT DE FORMATION : IFEN Pôle de Formations Aide à la Personne 34 bis, Rue Amiral COURBET - LE HAVRE DIPLOME D ETAT D AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE LIVRET DE
Plus en détailGUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES
GUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES PREAMBULE CE GUIDE VISE A DÉCRIRE DE FAÇON GÉNÉRALE TOUTES LES AIDES ET LES SERVICES QUI EXISTENT POUR LES PERSONNES ÂGÉES. IL EST DESTINÉ AUX PERSONNES
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailAssurance de soins de longue durée
Assurance de soins de longue durée Feuille de renseignements à l intention du conseiller ne pas remettre au demandeur Ce que vous devez faire avant de remettre un formulaire de demande de règlement au
Plus en détailII.3 - AIDES TECHNIQUES (Fiche 3)
II.3 - AIDES TECHNIQUES () SITES DE VIE AUTONOME (SIVA) Les sites de vie autonome sont des lieux uniques d accueil et de traitement des demandes de personnes handicapées portant sur les aides techniques
Plus en détailServices aux personnes dépendantes, un enjeu durable. Une collaboration transfrontalière 10 mai 2011
Services aux personnes dépendantes, un enjeu durable. Une collaboration transfrontalière 10 mai 2011 Sommaire L'agence d'urbanisme et de Développement Durable Lorraine Nord L'outil Loge'Adapt 54 Le projet
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
Ce dossier vaut pour inscription définitive DOSSIER D'INSCRIPTION CE DOCUMENT RECTO EST A REMPLIR PAR LA TUTELLE et à nous envoyer directement LES PAGES SUIVANTES sont à remplir par l'établissement ou
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailAméliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?
Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR
DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLES AMIS Service à Domicile
LES AMIS Service à Domicile Association certifiée Services SAAD / SSIAD / MANDATAIRE / Conseil aux Familles N agrément qualité : E / 181206 / A / 075 / Q / 044 Autorisation délivrée le 29/11/2004 par le
Plus en détailMots clés : ACTION SOCIALE / AIDES INDIVIDUELLES/AIDE AUX RETRAITES EN SITUATION DE RUPTURE
CAISSE NATIONALE D ASSURANCE VIEILLESSE 75951 PARIS cedex 19 Tél. 08 21 10 75 00 (0,09 euro/mn) Direction nationale de l action sociale Dossier suivi par : Julie Feroldi Document consultable dans la base
Plus en détailDirection du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat
Bureau de la Protection des Locaux d'habitation Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat Règlement municipal fixant les conditions de délivrance des autorisations de changement
Plus en détailFACE AU DECES LES DEMARCHES LES AIDES ET SOUTIENS POSSIBLES
FACE AU DECES LES DEMARCHES LES AIDES ET SOUTIENS POSSIBLES Madame, Monsieur, La mort d un être cher est une douloureuse épreuve de la vie. C est une période où les personnes en deuil peuvent se sentir
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailDossier de candidature - Certification de personnes Opérateurs en diagnostic immobilier Procédure de
DC- SMQ- 010 03/03/2013 V3 Page 1 sur 10 Dossier de candidature à retourner signé et accompagné des pièces demandées. Merci d en parapher chaque page. Joindre votre photo LE CANDIDAT : (Veuillez renseigner
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailBrochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant
Brochure d information destinée aux parents Bienvenue à Clairival Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant Présentation Le service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent des Hôpitaux
Plus en détailEtablissements de prise en charge des seniors
Etablissements de prise en charge des seniors Claudine Fabre I. Introduction Qui est vieux? Dans le langage courant, le terme de personnes âgées sousentend un individu retraité ou > 65 ans Sous cette étiquette
Plus en détailLa Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute
La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004 Recrute Le/la directeur(trice) adjoint(e) de l établissement I. Les missions et l
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailConsulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle :
Consulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle : Personnes ayant une diversité fonctionnelle physique Personnes ayant une diversité fonctionnelle
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailLe Président, Le 12/03/2015
Le Président, Le 12/03/2015 à Dossier suivi par : Jean-Pierre ROLLAND, Greffier de la 1 re section 05 56 56 47 11 Mèl : jprolland@aquitaine-pc.ccomptes.fr Objet : notification des observations définitives
Plus en détailFORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014
FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles
Plus en détailRésidence Saint Jean
Résidence Saint Jean 41 Avenue Félix Baert 59380 BERGUES Tél : 03.28.68.62.99 Fax : 03.28.68.53.19 Email : stjean.residence@wanadoo.fr Site web : www.residence-saint-jean.fr Madame, Monsieur, Le Conseil
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailFICHE METIER. «Assistant son» Assistant son APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Opérateur du son Version 1 «Assistant son» APPELLATION(S) DU METIER Assistant son DEFINITION DU METIER L assistant son aide l ingénieur du son ou le chef opérateur du son, responsable des enregistrements
Plus en détailPROGRAMME D INTERET GENERAL ADAPTATION DES LOGEMENTS AU VIEILLISSEMENT ET AUX HANDICAPS. Bilan DECEMBRE 2010
Syndicat mixte du Pays des Vallées des Gaves PROGRAMME D INTERET GENERAL ADAPTATION DES LOGEMENTS AU VIEILLISSEMENT ET AUX HANDICAPS Bilan DECEMBRE 2010 QU EST CE QUE LE PIG ADAPTATION DU LOGEMENT AU VIEILLISSEMENT
Plus en détail