BRUCH Président : M. Gaetano LANZA Vice-présidente : Mme Barbara FERSING Compte-rendu de la réunion Du 3 Novembre 2015 à 19H Présents : Messieurs GRAVINA, KOSTER, WILMOUTH, LEHMANN, IRITANO, GOETTELMANN, FALK Mesdames GRAVINA, FERSING, KAISER, BOURBON, LEHMANN, KAISER, FEUERABEN, BOUACHA, Elus Monsieur ARAB, Adjoint au Maire Madame PARLAGRECO, Conseillère municipale déléguée de quartier Invité Monsieur FILORRIZO, directeur Agence SNI Forbach Service Proximité Madame MEISBERGER-HILPERT, responsable du service Proximité Excusés Mesdames JELCIC, CERNY, CACCAMO, RENAUDET Messieurs LANZA G, PARLAGRECO, TEIXERA, WAGNER, LANZA L, KHALED, WEITZ, 1
Ordre du Jour : 1. Entretien avec Monsieur FILORIZZO, chef d agence SNI 2. Préparation de la réunion publique plénière du 20 novembre En l absence de Monsieur LANZA, président, Madame GRAVINA est désignée par les membres pour animer la réunion. I - Echange avec Monsieur FILORIZZO, chef d agence de la SNI Le conseil de quartier a invité Monsieur FILORIZZO à assister à cette réunion pour avoir un échange sur les points suivants : 1. Connaître nommément les terrains appartenant à la SNI Ste Barbe dans le quartier, 2. L entretien des espaces verts et les problèmes liés à l environnement 3. La nature des réparations incombant au bailleur et aux locataires 4. Le problème de stationnement et des parkings pour les résidents, 5. Les solutions pour une utilisation optimale et pragmatique des espaces communs dans les sous-sols des collectifs 6. La création d un poste de concierge pour une proximité avec les locataires, 7. Les programmes éventuels de rénovation dans le quartier Monsieur ARAB introduit la réunion en remerciant Monsieur FILORIZZO d avoir répondu favorablement à cette invitation et en demandant à ce que les échanges soient constructifs. Monsieur FILORIZZO salue et remercie le Conseil de quartier et l adjoint au Maire pour cette invitation. Il indique qu il prend toujours plaisir à répondre aux invitations, à condition qu il y ait un ordre du jour avec des questions bien précises. Il indique que ces rencontres sont toujours intéressantes car elles permettent une proximité avec les habitants. Il rajoute qu il ne répondra pas à des questions d ordre personnel, car les locataires ont la possibilité de venir à l agence ou de prendre rendez-vous, s ils le souhaitent. Il s engage, auprès du Conseil, à venir assister régulièrement à leur réunion (tous les deux mois) pour répondre à des problèmes ciblés qui relèvent de l intérêt collectif. Il répond ensuite point par point aux questions posées. 2
1. Appartenance des terrains de la SNI Il remet aux membres du Conseil des copies de plan du quartier sur lequel sont délimités les terrains appartenant à la société. 2. Entretien des espaces verts et problème d environnement Monsieur IRITANO explique que lors de la tonte des espaces verts, les détritus nichés dans l herbe (bouteille plastique, bout de papier ) volent en éclats et s éparpillent un peu partout. Monsieur FILORIZZO explique que le système de tonte pratiqué est appelé MULCHING. Ce système écologique nécessite une tonte régulière. L herbe est tondue en infimes parties qui sont redéposées sur la pelouse. Ce système évite le stockage des déchets verts, fertilise de façon naturelle, protège les pelouses de la sècheresse. Pour ce système soit efficace, l herbe ne doit pas être haute. Pour cette raison, des passages réguliers sont nécessaires. Pour éviter que les objets déposés dans l herbe ne volent en éclats, Madame PARLAGRECO propose que la brigade de nettoyage municipale du quartier intervienne en amont et ramasse les déchets qui se trouvent sur les pelouses dont les bouteilles en plastique. Monsieur ARAB indique les dates de passage de la brigade dans le quartier, tous les mardis et jeudis. Monsieur FILORIZZO prend note de ces dates et indique qu il en tiendra compte pour établir le calendrier de passage de leurs agents. Il interviendra aussi pour que les machines soient mieux réglées afin d obtenir un résultat optimal. Pour ce qui concerne la problématique liée aux locataires ne respectant pas les heures d entrée et sortie des poubelles, Monsieur FILORIZZO répond que la police municipale ne peut pas intervenir sur un terrain privé. Pour faire respecter la règlementation en la matière, le bailleur a comme seule solution l envoi de courrier avec AR aux contrevenants. Persiste aussi le fait que certains locataires effectuent le tri et d autres non. Il souligne qu un travail au quotidien et la persévérance sont nécessaires pour faire entendre raison à ceux qui ne respectent pas les règles en matière de tri sélectif. En réponse à la possibilité de mettre en place des gros containers pour stocker les sacs de tri, Monsieur FILORIZZO cite les inconvénients liés à ces types d agencement, lesquels ne sont ni esthétiques, ni pratiques. 3
3. Nature des réparations incombant aux locataires et bailleur Monsieur FILORIZZO distribue un dépliant sur lequel figure la nature des réparations incombant aux locataires et au bailleur. Il rappelle que ces dispositions sont inscrites et détaillés dans le contrat de bail locatif de chaque résident. 4. Problème de stationnement et parkings Certains membres signalent que des voitures tampons (sans immatriculation, ni assurance) bloquent des places de stationnement. Comme elles sont garées sur les parkings appartenant à la SNI (terrain privatif), la police municipale ne peut pas intervenir. Il est demandé à Monsieur FILORIZZO de faire le nécessaire pour que ces voitures ventouses soient évacuées. Il rappelle la procédure en la matière, à savoir : dès connaissance des plaques minéralogiques, un courrier en AR est envoyé aux contrevenants. Il faut respecter un délai d un mois avant de mettre en œuvre la procédure pour faire évacuer ces véhicules. 5. Utilisation optimale des espaces communs en sous-sols des collectifs Ces espaces sont très souvent encombrés par des gros objets et/ou encombrants qui devraient être déposés en déchetterie. Leur encombrement maximal ne permet même plus, dans certains cas, d accéder aux portes de sorties qui sont des issues de secours. Ces issues sont aussi sciemment bloquées par peur d effractions et/ou vols. Monsieur FILORIZZO rend attentif au fait que ces issues doivent être accessibles à tout moment, faisant office d issues de secours. Les locataires seront une nouvelle fois alertés à ce propos afin de laisser ces portes accessibles par mesure de sécurité. 6. Création d un poste de concierge Afin de permettre une proximité avec les locataires et la prise en compte plus rapide des problèmes locatifs, demande est faite au bailleur si un poste de concierge pouvait être créé pour le quartier. Monsieur FILORIZZO indique qu un concierge peut être mis en place dans des quartiers situés en zone ZSP ou ZUS. Il précise toutefois que la création d un tel poste peut être envisageable, sachant toutefois qu il y aurait indubitablement une répercussion sur le montant des loyers. A propos de l entretien des cages d escaliers et des communs : il est rendu attentif au fait que, dans certaines entrées, les locataires n assurent pas leur tour de nettoyage comme prévu par le règlement. 4
En réponse à la question de l embauche et de la mise à disposition d agents de nettoyage pour l entretien des parties communes, Monsieur FILORIZZO répond que 51% des locataires doivent être d accord pour pouvoir mettre en place ce service. Il rend attentif au fait que l intervention, d un tiers pour l entretien des communs, sera de facto impacté sur les charges. Il propose de diligenter une enquête globale auprès de tous les locataires, à ce sujet. Des mesures seront prises en fonction des résultats obtenus après consultation des résidents. 7. La SNI a-t-elle un programme de rénovation pour le quartier Monsieur FILORIZZO indique que l ensemble des bâtiments ont été isolés pour un montant global de 3 millions d euros, induisant une hausse de loyer de 12 euros pour les locataires. En réponse à l interrogation de certains quant au verdissement de certaines façades, il répond que ce sont les feuilles, la verdure tournoyant dans l air qui altèrent la couleur de l isolation. Un simple nettoyage au jet d eau fera disparaître cette couleur disgracieuse. Pour ce qui concerne l intérieur des logements et leur mise en conformité, il précise que les logements répondent tous aux normes au niveau électrique, chauffage, sécurité (issues de secours ). Il indique que des contrôles réguliers sont effectués par des prestataires de service dans ces différents domaines. Les portes extérieures ont été remplacées et sont sécurisées, des digicodes ont été mis en place. La SNI n a pas, pour l instant, de programmes conséquents prévus sur le quartier. 8. Questions diverses d intérêt collectif Des demandes d installation de bancs sont émises pour permettre plus de convivialité et servir de point de rencontre. Il est fait état du passage de camionnettes sur certains espaces verts, malgré la mise en place de rochers par le bailleur. Il est précisé que certains cailloux déplacés feront l objet d une intervention pour leur remise en état (scellement dans le sol pour ne plus pouvoir les bouger). Signalement de passage de véhicules à l arrière des collectifs situé entre le 2 et 8, Allée des Peupliers. Des propositions seront faites pour solutionner ce problème. 5
II Préparation de la réunion publique plénière Madame MEISBERGER-HILPERT distribue des supports de communication pour annoncer la réunion publique plénière. Cette réunion ouverte à tous les habitants du quartier aura lieu le vendredi 20 novembre à 19 H au Foyer. Les flyers et affiches seront distribués par les membres du conseil de quartier. Les dates des différentes réunions plénières des conseils de quartier peuvent être consultées en ligne sur le site de la ville. Une communication sera faite dans la presse écrite, sur la chaîne locale TV8 et sur les radios locales France Bleue et Radio Mélodie. La réunion se déroulera comme suit : accueil du Maire, des élus et du public par le président du Conseil. Ce dernier fera un bilan succinct des travaux du Conseil tout au long de l année. La conseillère municipale déléguée de quartier interviendra pour rappeler ses horaires et jours de permanence. La parole sera donnée au Maire et s en suivra un débat avec le public. 6