COMMISSION DES MESURES PHYTOSANITAIRES. Deuxième session. Rome, 26 30 mars 2007



Documents pareils
Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy»

Cent quinzième session. Rome, septembre 2006

ORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE RÉUNION D INFORMATION SUR LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE EN MATIÈRE DE BASES DE DONNÉES

NORMES INTERNATIONALES POUR LES MESURES PHYTOSANITAIRES. Révision de la NIMP n 15

COMMISSION EUROPÉENNE DES FORÊTS TRENTE-TROISIÈME SESSION. Zvolen (Slovaquie), mai 2006

S T A T U T S LA QUADRATURE DU NET

QUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ

Conseil économique et social

ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE

QUESTION 143. Noms de domaine Internet, marques et noms commerciaux

Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques

REGLEMENT DU JEU CONCOURS «FAN DE BARBECUE»

L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour

LE GUIDE PRATIQUE N 2 POUR CRÉER ET GÉRER UNE ASSOCIATION

Programme des Nations Unies pour l'environnement

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)

RAPPORT DU SECRÉTAIRE

Ce texte est une version provisoire. Seule la version qui sera publiée dans la Feuille officielle

Conseil économique et social

Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI

Ordonnance concernant la mise en vigueur de taux du droit de douane du tarif général convenus dans le cadre de l accord OMC

ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session

FOIRE AUX QUESTIONS. Le Conseil Général de l Oise précise qu à ce jour, aucune donnée chiffrée n est disponible pour répondre à cette question.

Recouvrement des frais

Foire aux questions Documents mentionnés dans la liste de vérification

Statuts et Usages de l'association des Commerçants d'art de Suisse

COMMENT PREPARER AU MIEUX SON CONTRÔLE TVA?

Mise à jour (1) FAQ n 9 : Mesures de contrôle. Moyens de preuve. Prescription. Sanctions

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes

INSTITUT NATIONAL DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE (INPI) (KAZAKHSTAN)

Art. 2 : Siège et durée L Association a son siège dans la République et canton de Genève à l adresse de son secrétariat. Sa durée est illimitée.

Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes)

Certificat d urbanisme

Politique de gestion financière et d approvisionnement

Organisation de l administration des biens dans le cadre d une curatelle

Décision 04/77/ILR du 6 juillet 2004

Demande de règlement d invalidité de longue durée

DEMANDE D ASSURANCE CHANGE CONTRAT

CONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL

LE CHAMP D APPLICATION

TARIF - TEXTE POUR LES UTILISATIONS OFF LINE ET ON LINE (hors ligne et en ligne)

ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle

Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013

CESSION DE CREANCE 1. MONTAGE DU DOSSIER

La confirmation de couverture dans les dossiers Carte verte et protection des visiteurs Questions d'actualité et nouvelles dispositions européennes

Prêt de série et création de groupes d emprunteurs

Assemblée générale de l OMPI

à vendre IMMEUBLE COMMERCIAL À VENDRE 201, CHEMIN MONTRÉAL CORNWALL (ONTARIO) PRIX DEMANDÉ : $ Caractéristiques

TRAVAUX D AMENAGEMENT Trottoirs rue Jules Guesde Impasse rue Jean Jaurès

CONDITIONS GENERALES DE LOCATION DU CLOS DE KERBERDERY. de location initialement prévue sur le présent contrat, sauf accord du propriétaire.

FORMULAIRE DE DEMANDE DE LICENCE D AGENCE DE VOYAGES

CONVENTION EXPERTISE AUTOMOBILE

Prenons ces mesures une à une pour mieux saisir la portée de ces changements.

LES FRANÇAIS ET LE FINANCEMENT DES

Déclaration relative à un déboursement de casino

COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES LIVRE VERT. Successions et testaments {SEC(2005) 270} (présenté par la Commission)

CONVENTION DE MECENAT

Conditions générales de AgenceWeb SA. I. Dispositions générales

Vous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion.

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Crédit à la consommation et crédit hypothécaire Surveillance et sanctions. Tom Van Dyck et Bart Garré. Brussels London -

CONDITIONS PARTICULIERES SITE BUILDER

Cent huitième session. Rome, octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL

PROTOCOLE RELATIF A LA COUR DE JUSTICE DE LA CEDEAO

CONTRAT DE DOMICILIATION POSTALE AVEC UN PARTICULIER

COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES LIVRE VERT

ENQUETE ACCES AUX SOINS

FORMULAIRE DE DEMANDE D INSCRIPTION À TITRE DE TRAVAILLEUSE OU TRAVAILLEUR SOCIAL

Demande de licence. de bingo en salle seul. Guide. Formulaire de demande de licence. Annexe A Déclaration annuelle de l organisme

PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT

Prise de Position de L AMRAE concernant le livre vert sur les assurances contre les catastrophes d origine naturelle et humaine.

ELECTIONS MUNICIPALES 2014 LISTE ELECTORALE

évaluations avec date de calcul à compter du 31 décembre 2014 (mais au plus tard le 30 décembre 2015).

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne

PROFIL DES ÉTATS CONVENTION RECOUVREMENT DES ALIMENTS DE coordonné par le Bureau Permanent * * * COUNTRY PROFILE 2007 CHILD SUPPORT CONVENTION

STATUT DU TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER. Article premier Dispositions générales SECTION 1. ORGANISATION DU TRIBUNAL. Article 2 Composition

SCARM Direction de l approvisionnement Ville de Montréal Mars 2013

Conditions spécifiques de ventes applicables aux offres AUTISCONNECT ADSL Page 1 sur 5

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE CONSULTATION. R.C. n ENSAG/2014/2 CENTRALES DE TRAITEMENT D AIR

Conseil d administration Genève, novembre 2008 PFA/BS POUR DISCUSSION ET ORIENTATION

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité

OFFICE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE DE LA MONGOLIE

Consultation publique relative aux mesures à prendre pour garantir l adéquation des moyens de production conventionnels d électricité en Belgique

Cahier des Charges Techniques Particulières

Logos: Administration fédérale / EPF Zurich / EPF Lausanne / CFF SA

CONDITIONS SPECIFIQUES DE VENTES APPLICABLES AUX OFFRES OPENCONNECT ADSL

Guide du mini-guichet unique en matière de TVA

PROCÉDURES D'ACHATS DE COMPTES À PAYER

Proposition d assurance

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3

L utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes

MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP)

Table des matières. Remerciements Avant-propos Introduction La vie en copropriété, est-ce pour moi? Achat d un condo...

DIRECTIVE PRATIQUE RELATIVE À LA MISE EN OEUVRE DE L ARTICLE

Contrat de creation de site web et de maintenance

Transcription:

Décembre 2006 F COMMISSION DES MESURES PHYTOSANITAIRES Deuxième session Rome, 26 30 mars 2007 Composition et mandat d un groupe de travail chargé d entreprendre une étude de faisabilité sur la reconnaissance internationale des zones exemptes Point 10.7.2 de l ordre du jour provisoire I. Généralités 1. À sa septième session (2005), la Commission intérimaire des mesures phytosanitaires (CIMP) a décidé d entreprendre une étude de faisabilité sur la reconnaissance internationale des zones exemptes (ZE) tenant compte des facteurs juridiques, techniques et économiques et évaluant la faisabilité et la durabilité de ce système. Un groupe de réflexion a été chargé d élaborer le mandat et la composition d un groupe de travail qui entreprendrait l étude de faisabilité. 2. Le Groupe de travail informel sur la planification stratégique et l'assistance technique (PSAT) a examiné le mandat et la composition du groupe de travail, élaborés par le groupe de réflexion. 3. Le PSAT a été informé qu il existait très peu d informations sur les ZE mises en place dans le monde et pour tel ou tel organisme nuisible. Il a donc proposé, lors de la première session (2006) de la CMP, de rassembler ces informations avant la réunion d un groupe de travail sur la faisabilité de la reconnaissance internationale des ZE. 4. À sa première session, la CMP a adopté le mandat du groupe de travail et décidé de l examiner à nouveau lors de sa deuxième session. La CMP est aussi convenue que les données relatives aux ZE existantes devraient être réunies par le Secrétariat de la CIPV en 2006, et que les résultats devraient être présentés à la deuxième session de la CMP. Au cours de cette même session, la CMP déciderait de la façon de procéder. Par souci d'économie, le tirage du présent document a été restreint. MM. les délégués et observateurs sont donc invités à ne demander d'exemplaires supplémentaires qu'en cas d'absolue nécessité et à apporter leur exemplaire personnel en séance. La plupart des documents de réunion de la FAO sont disponibles sur l'internet, à l'adresse www.fao.org W/J9040/f

2 5. On trouvera à l Annexe I le mandat du groupe de travail qui a été adopté par la CMP à sa première session. II. Débats 6. En 2006, le Secrétariat a distribué aux points de contact de la CIPV le questionnaire relatif aux zones exemptes, dont les résultats sont présentés au point 10.7.1 de l ordre du jour (document CPM 2007/11). Le PSAT a examiné les données recueillies au cours de l enquête (octobre 2006) et a recommandé de créer un groupe de travail afin d entreprendre l étude de faisabilité sur la reconnaissance internationale des zones exemptes (ZE). 7. À l issue de débats ultérieurs sur cette question entre le Bureau et le Secrétariat, il a été proposé de mettre sur pied un groupe de travail à composition non limitée chargé d entreprendre l étude de faisabilité en lieu et place du: «Groupe de travail d experts composé de sept membres, de préférence un de chaque région, ainsi que de trois membres du Bureau», comme requis au dernier paragraphe du mandat ci-joint. 8. La CMP est invitée à: 1. Approuver la création d un groupe de travail chargé d entreprendre une étude de faisabilité sur la reconnaissance internationale des zones exemptes; 2. Formuler des recommandations quant à la taille, la composition et le type de groupe de travail; 3. Confirmer l utilisation pour le groupe de travail du mandat adopté par la CMP à sa première session, compte tenu de la recommandation formulée au titre du point 8.2 cidessus; 4. Accepter que le groupe de travail présente les résultats de son étude à la CMP (troisième session) par l intermédiaire du PSAT.

3 MANDAT DU GROUPE DE TRAVAIL SUR LA FAISABILITÉ DE LA RECONNAISSANCE INTERNATIONALE DES ZONES EXEMPTES Le Groupe de travail doit entreprendre une étude de faisabilité sur la reconnaissance internationale des zones exemptes, en tenant compte des facteurs juridiques, techniques et économiques et évaluer la faisabilité et la durabilité de ce système. L étude portera sur les éléments ci-après. Les résultats devraient être présentés sous la forme d un rapport, dans lequel devraient figurer des conclusions claires et des recommandations. Questions juridiques: Que signifie la reconnaissance internationale d une zone exempte? L assurance de responsabilité devrait-elle être nécessaire? Quelles sont l (les) organisation(s) internationale(s) ou les personnes susceptibles de prendre part au processus de reconnaissance internationale ou de fournir une reconnaissance internationale d une zone exempte? S il ne s agissait pas de la CIPV, comment se rattacheraient-elles à la CIPV ou quel rôle joueraient-elles (par exemple, des experts reconnus par la CIPV, des organisations reconnues par la CIPV, d autres organisations)? L organe chargé de la reconnaissance internationale est-il juridiquement responsable en ce qui concerne le processus de reconnaissance internationale, quelles sont ses obligations quant à la communication de la reconnaissance ou au refus de la reconnaissance d une ZE? Un déni de responsabilité peut-il faire partie du processus de reconnaissance internationale? Quelles sont les obligations des Parties contractantes à la CIPV vis-à-vis d une zone reconnue exempte sur le plan international? La reconnaissance internationale des zones exemptes d organismes nuisibles augmentera-telle la probabilité de l acceptation par les Parties contractantes du concept de zones exemptes? La reconnaissance internationale d une zone exempte réduira-t-elle les retards injustifiés de reconnaissance de cette zone par les partenaires commerciaux? Quelles sont les organisations ou instances qui peuvent demander la reconnaissance internationale d une ZE, par exemple les organisations nationales de la protection des végétaux (ONPV) de la Partie contractante exportatrice dans laquelle la zone est située (pour faciliter les exportations), l ONPV de la Partie contractante importatrice (pour reconnaître une ZE dans un pays exportateur), des représentants du secteur (pour faciliter les exportations et/ou les importations), l ONPV de la Partie contractante importatrice dans laquelle la ZE est située (pour reconnaître la zone sur son territoire, pour justifier les exigences en matière d importation), une organisation régionale de la protection des végétaux (ORPV) pour le compte d une ou de plusieurs de ses ONPV? Questions techniques: La reconnaissance internationale d une ZE devrait-elle déboucher sur une déclaration par l organe international indiquant que la zone est exempte de l organisme nuisible spécifique, ou aboutir à l assurance que les critères pour l établissement et le maintien d une ZE ont été appliqués? La reconnaissance internationale d une ZE ne peut-elle avoir lieu que s il existe une NIMP spécifique pour l établissement et le maintien d une ZE pour cet organisme nuisible spécifique ou ce groupe d organismes nuisibles?

4 Une fois qu une ZE a reçu une reconnaissance internationale, cette reconnaissance a-t-elle besoin d être renouvelée à intervalles réguliers, ou demeure-t-elle valide tant que la situation de la ZE ne change pas? Le processus de reconnaissance internationale des ZE, s il peut être mis en place, sera-t-il applicable aux zones à faible prévalence d organismes nuisibles, aux sites de production exempts et aux lieux de production exempts. Le processus de reconnaissance internationale des ZE pourrait-il être mis en place pour de nombreux organismes nuisibles, ou seulement pour un nombre limité d organismes nuisibles ayant une importance mondiale. S il est décidé qu un processus de ce genre ne peut être appliqué qu'à un nombre limité d organismes nuisibles ayant une importance mondiale, quels sont les critères qui devraient être utilisés pour identifier ces organismes? Quels sont les éléments du processus de reconnaissance internationale, y compris, mais non exclusivement, les procédures d assurance et de vérification et les conditions (y compris les preuves requises) à remplir par le pays où est située la ZE. Les NIMP relatives à des organismes spécifiques devraient-elles reconnaître que des conditions écologiques différentes et des niveaux de risque correspondants peuvent exister dans différentes zones, et que les exigences pour l établissement et le maintien de zones exemptes spécifiques peuvent donc varier? En conséquence, l organe chargé de la reconnaissance internationale devrait-il exprimer un jugement dans le processus de reconnaissance? Faudrait-il définir des exigences spécifiques pour le rétablissement d une zone qui n était plus reconnue comme exempte? Questions économiques: Les avantages et les inconvénients de la reconnaissance internationale d une ZE, y compris, mais non exclusivement, les éléments suivants: - pays importateurs - pays exportateurs - pays en développement et pays les moins avancés (importateurs ou exportateurs) - questions d accès aux marchés (importations et exportations) - mise en oeuvre de la CIPV - assistance technique. Les coûts financiers d un système de reconnaissance internationale, voir l approche actuelle de la reconnaissance bilatérale. La(les) source(s) et les méthodes de financement d un système de reconnaissance internationale. Autres questions: Un projet pilote, conçu pour mettre à l essai le processus de reconnaissance internationale d une ZE, serait-il utile? Dans l affirmative, quels seraient les paramètres pour un tel projet, par exemple, pour un organisme nuisible pour lequel il existe une NIMP, pour un organisme nuisible pour lequel il y a des zones exemptes reconnues bilatéralement, pour une combinaison organisme nuisible/produit qui a une importance dans le commerce international ou pour laquelle on a déjà acquis beaucoup d expérience, etc.? Les membres du Groupe de travail qui conduira l étude de faisabilité devront posséder des compétences dans les domaines ci-après: compétences administratives générales dans le domaine phytosanitaire;

5 connaissance des NIMP, en particulier celles relatives aux ZE, aux zones à faible prévalence d organismes nuisibles, etc.; connaissance du fonctionnement et du maintien des ZE dans leur pays; connaissance des systèmes d accréditation et de vérification; compétences juridiques dans le domaine phytosanitaire; l expérience de l OIE en matière de reconnaissance internationale des ZE. Il faudrait examiner les données sur les ZE existantes (par exemple, zones reconnues, leur superficie, reconnues par qui, produit en cause, organismes nuisibles en cause). Le Groupe de travail d experts devrait être composé de sept membres, de préférence un de chaque région, ainsi que de trois membres du Bureau.