Relations avec les investisseurs :

Documents pareils

Immunothérapie des cancers bronchiques

Assurance maladie grave

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

Communiqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?

Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III

Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006

Acquisition visant à renforcer significativement notre position dans le secteur des produits de santé grand public

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Activité des programmes de médicaments

Recommandations Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique.

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. juin 2009

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE

Intact Corporation financière annonce ses résultats du deuxième trimestre

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Liège, le 29 juillet APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique

Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1

Responsabilité du promoteur et obligations des soustraitants. cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection

Qu est-ce que le mélanome?

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

Compte-rendu de la séance du 23 avril Approuvé le 28 mai 2015

Cécile Bergeron, B. Sc. inf. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

Principe d un test statistique

Guide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014

M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS Lyon

RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Master Développement et Immunologie

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

Objet : Groupe de travail antifraude de l assurance-automobile Rapport d étape

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

Vérification de la fonction de trésorerie

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Crédits d impôt pour la recherche scientifique et le développement expérimental («RS&DE»)

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Programme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire

Prix équitables des médicaments pour les Néo- Brunswickois

Revue de la performance du T2-2014

Qu est-ce qu un sarcome?

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE

Règlement du jeu concours «Grand Quiz Nice Tourisme et European Masters Games» :

ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

1 milliard $ cadre Corporation. Reçus de souscription. presse. de souscription. une action. 250 millions $ de. Facilité de crédit.

Risques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010

Tests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année UE «Introduction à la biostatistique»

Lignes directrices pour une compétence continue chez les hygiénistes dentaires de l Ontario

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

The consent form is also available in English.

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie

Boostez votre communication!

Bases de données Outils de gestion

Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale

L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE

La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014

OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

NAVELBINE voie orale

L approche de régression par discontinuité. Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de

Appel de mises en candidature et d inscriptions

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Le programme de soutien des soins primaires pour diabétiques de London : Des soins pour diabétiques différents

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Présentation de la consolidation

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre

L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE

Transcription:

Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Merck Canada 438-837-2550 Relations avec les investisseurs : Joseph Romanelli 908-423-5185 Stephanie Lyttle Cabinet de relations publiques NATIONAL 514-843-2365 Justin Holko 908-423-5088 Merck annonce les résultats positifs d une étude évaluant le pembrolizumab, comparativement à la chimiothérapie, chez des patients atteints d une forme avancée de mélanome réfractaire à l ipilimumab Le pembrolizumab s est avéré supérieur à la chimiothérapie à l égard du paramètre principal de survie sans progression Résultats présentés pour la première fois au congrès international 2014 de la Society of Melanoma Research (SMR) tenu à Zurich, en Suisse, du 13 au 16 novembre 2014 Kirkland (Québec), le 16 novembre 2014 Merck, connue sous le nom de MSD à l extérieur du Canada et des États-Unis, a annoncé aujourd hui les résultats positifs d une étude évaluant l emploi du pembrolizumab, comparativement à la chimiothérapie, chez des patients atteints d une forme avancée de mélanome réfractaire à l ipilimumab. D après une analyse prédéterminée des données tirées d une étude pivot de phase 2 (KEYNOTE-002), le pembrolizumab, soit le traitement anti-pd-1 expérimental de l entreprise, a entraîné une amélioration substantielle du paramètre principal de survie sans progression (SSP, conformément à une évaluation centralisée réalisée en fonction des critères RECIST 1.1) (RR de 0,57 et de 0,50 pour les doses de 2 mg/kg et 10 mg/kg administrées toutes les trois semaines, respectivement), comparativement à la chimiothérapie (p < 0,0001 pour les deux comparaisons), chez des patients atteints d une forme avancée de mélanome réfractaire à l ipilimumab (n = 540). Après six mois, les taux de SSP observés avec le pembrolizumab étaient de 34 % pour la dose de 2 mg/kg (IC à 95 % : 27 à 41) (n = 180) et de 38 % pour la dose de 10 mg/kg (IC à 95 % : 31 à 45) (n = 181), comparativement à 16 % pour la chimiothérapie (IC à 95 % : 10 à 22) (n = 179). Au moment de l analyse provisoire, la durée médiane du suivi était de 10 mois.

- 2 - Ces résultats, y compris ceux des analyses prédéterminées du taux de réponse globale (TRG), de la durée de la réponse, de l innocuité et de la qualité de vie liée à la santé (QVLS), ont été présentés aujourd hui par le D r Antoni Ribas, professeur d hémato-oncologie et de chirurgie et directeur du Tumor Immunology Program du Jonsson Comprehensive Cancer Center de l Université de Californie, à Los Angeles, dans le cadre d une présentation orale effectuée pendant le congrès international 2014 de la Society of Melanoma Research (SMR) tenu à Zurich, en Suisse. «Ces résultats montrent que le pembrolizumab s est avéré supérieur à la chimiothérapie, et qu il a permis à un plus grand nombre de patients atteints d une forme avancée de mélanome réfractaire à l ipilimumab de bénéficier d une survie sans progression», explique le D r Eric Rubin, viceprésident du développement clinique en oncologie, Laboratoires de recherche Merck. «Les données comparatives sur l efficacité et l innocuité tirées de l étude pivot KEYNOTE-002 permettent de valider et d étendre les résultats de l étude menée antérieurement dans cette population de patients difficiles à traiter, et nous espérons présenter les données sur la survie globale dans un prochain congrès.» Dans l analyse prédéterminée de la SSP, aucune différence significative n a été observée entre les doses de pembrolizumab (RR de 0,91, intervalle de 0,71 à 1,16) (p < 0,44). Les résultats d une évaluation de la SSP effectuée par l investigateur se sont avérés comparables à ceux de l évaluation centralisée. De plus, on a observé une amélioration de la SSP avec le pembrolizumab dans tous les sous-groupes prédéterminés. L analyse prédéterminée avait pour objectif d évaluer la supériorité de l une ou l autre des doses de pembrolizumab, par rapport à la chimiothérapie, sur le plan de la SSP (évaluation réalisée après 270 cas de SSP à un seuil de signification de 0,25 %) (valeur unilatérale) (RR estimé de 0,66). Le plan de l étude comprenait deux co-paramètres principaux, la SSP et la survie globale. Une évaluation de la survie globale doit être réalisée, en 2015, dans le cadre de l analyse prédéterminée finale. Données supplémentaires sur l efficacité et l innocuité tirées de l étude KEYNOTE-002 Les taux de réponse globale (confirmés) associés au pembrolizumab étaient cinq à six fois plus élevés, comparativement à ceux observés avec la chimiothérapie. Le TRG était de 21 % avec le pembrolizumab à 2 mg/kg (IC à 95 % : 15 à 28) et de 25 % avec le pembrolizumab à 10 mg/kg (IC à 95 % : 19 à 32), comparativement à 4 % avec la chimiothérapie (IC à 95 % : 2 à 9) (p < 0,0001 pour les deux comparaisons). Au moment de l analyse prédéterminée, la durée médiane de la réponse n avait pas été atteinte avec le pembrolizumab, et des réponses soutenues confirmées étaient observées chez 92 % des patients recevant la dose de 2 mg/kg (intervalle de 6 à 50) et chez 87 % de ceux recevant la dose de 10 mg/kg (intervalle de 5 à 48). La durée médiane de la réponse était de 37 semaines dans le groupe recevant la chimiothérapie, et 63 % des patients présentaient une réponse soutenue

- 3 - (intervalle de 7 à 41). Aucune différence significative n a été observée quant au TRG ou à la durée de la réponse entre les deux doses de pembrolizumab (p = 0,21). Dans une analyse exploratoire prédéterminée de la QVLS, les patients traités avec le pembrolizumab ont rapporté une diminution significativement inférieure du score de l état de santé/la qualité de vie, comparativement à ceux recevant une chimiothérapie (d après le questionnaire QLQ- C30 de l EORTC [European Organization for Research and Treatment of Cancer (EORTC) Core Quality of Life Questionnaire]). La variation moyenne, par rapport aux valeurs initiales, observée à la semaine 12 (selon la méthode des moindres carrés) avec le pembrolizumab, comparativement à la chimiothérapie, était de 6,52 (p = 0,011) pour la dose de 2 mg/kg et de 6,57 (p = 0,009) pour la dose de 10 mg/kg. L incidence des effets indésirables correspondait aux données rapportées antérieurement pour le pembrolizumab. Malgré la plus longue durée du traitement (médiane), l incidence des effets indésirables reliés au traitement de grade 3 à 5 était inférieure avec le pembrolizumab à 2 mg/kg (11 %) et à 10 mg/kg (14 %), comparativement à la chimiothérapie (26 %). Des effets indésirables graves reliés au traitement ont été observés avec le pembrolizumab à 2 mg/kg (8 %) et à 10 mg/kg (11 %) ainsi qu avec la chimiothérapie (10 %). Des effets indésirables à médiation immunitaire de grade 3, y compris une hépatite (n = 3), une colite (n = 2), une pneumonite (n = 3), une hypophysite (n = 1) et une iritis ou une uvéite (n = 1), ont été observés avec toutes les doses de pembrolizumab. Aucun effet indésirable à médiation immunitaire de grade 4/5 n a été rapporté. Au total, 3 %, 7 % et 6 % des patients recevant le pembrolizumab à 2 mg/kg, le pembrolizumab à 10 mg/kg et une chimiothérapie, respectivement, ont abandonné le traitement en raison d effets indésirables reliés au traitement et évalués par l investigateur. Un seul décès relié au traitement a été rapporté avec le pembrolizumab, et aucun décès n a été signalé dans le groupe recevant la chimiothérapie. À propos de l étude KEYNOTE-002 KEYNOTE-002 est une étude pivot internationale de phase 2 avec répartition aléatoire (n = 540) visant à évaluer le pembrolizumab à 2 mg/kg (n = 180) et à 10 mg/kg (n = 181) administré toutes les trois semaines, comparativement à une chimiothérapie choisie par l investigateur (n = 179) (paclitaxel plus carboplatine, paclitaxel, carboplatine, dacarbazine ou témozolomide), chez des patients atteints d une forme avancée de mélanome réfractaire à l ipilimumab. Dans l étude, 83 % des patients étaient atteints d un mélanome au stade le plus avancé (M1c), et 73 % des patients avaient reçu au moins deux traitements à action générale antérieurs, y compris l ipilimumab. Les co-paramètres principaux de l étude étaient la SSP et la survie globale. Le TRG, la durée de la réponse et l innocuité constituaient les paramètres secondaires. La QVLS représentait quant à elle un paramètre exploratoire

- 4 - prédéterminé. La réponse tumorale était évaluée à la semaine 12, puis toutes les six semaines jusqu à la semaine 48. Elle était ensuite évaluée toutes les 12 semaines au moyen d une évaluation centralisée indépendante effectuée par radiographie et à l insu, conformément aux critères RECIST 1.1 (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors). Les patients recevant une chimiothérapie et présentant une maladie évolutive, déterminée au moyen d une évaluation centralisée menée à l insu, pouvaient passer dans l un des deux groupes traités avec le pembrolizumab après trois mois. À propos du pembrolizumab Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal humanisé qui bloque l interaction entre le PD-1 et ses ligands, le PD-L1 et le PD-L2. En se liant au récepteur PD-1 et en bloquant l interaction avec ses ligands, le pembrolizumab lève l inhibition de la réponse immunitaire médiée par le PD-1, y compris la réponse immunitaire antitumorale. Notre intérêt pour le cancer Notre objectif est de traduire les percées scientifiques en innovations biomédicales pour aider les personnes atteintes du cancer partout dans le monde. Chez Merck Oncologie, aider à lutter contre le cancer est une passion, favoriser l accès à nos médicaments contre le cancer est un engagement et poursuivre la recherche en immuno-oncologie est un idéal pour apporter de l espoir aux personnes qui sont atteintes d un cancer. Au Canada, le mélanome est la forme la plus grave de cancer de la peau 1 et l un des rares cancers dont l incidence chez les Canadiens continue d augmenter, des hausses récentes de 2,2 % par année ayant été observées chez les hommes entre 2001 et 2010,et de 2,6 % par année chez les femmes entre 2003 et 2010. En 2014, on estime à 6 500 le nombre de nouveaux cas de mélanomes cutanés malins qui seront diagnostiqués. Pour obtenir un complément d information sur nos essais cliniques en oncologie, visitez le site à l adresse www.merck.com/clinicaltrials. À propos de Merck La société Merck d aujourd hui est un chef de file mondial dans le domaine des soins de santé qui œuvre au bien-être du monde. Merck est connue sous le nom de MSD à l extérieur du Canada et des États-Unis. Grâce à nos médicaments d ordonnance, nos vaccins et nos traitements biologiques de même qu à nos produits de santé grand public et de santé animale, nous collaborons avec nos clients et œuvrons dans plus de 140 pays à procurer des solutions de santé novatrices. Nous démontrons également notre détermination à améliorer l accès aux soins de santé grâce à des politiques,

- 5 - programmes et partenariats d envergure. Pour obtenir un complément d information sur nos activités au Canada, visitez le site à l adresse www.merck.ca. Déclarations prospectives Ce communiqué contient des «déclarations prospectives» (forward looking statements), au sens des dispositions libératoires de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis. Ces déclarations sont fondées sur les convictions et les prévisions actuelles de la direction de Merck et sont soumises à de nombreux risques et incertitudes. Aucune garantie ne peut être accordée quant à l obtention des approbations réglementaires nécessaires à l homologation ou à l éventuel succès commercial des produits en phase de mise au point. Si les hypothèses sous-jacentes se révèlent inexactes ou si les risques et incertitudes se matérialisent, les résultats réels pourraient différer substantiellement de ceux annoncés dans les déclarations prospectives. Ces risques et incertitudes comprennent, sans s y limiter, les conditions générales de l industrie et la concurrence, les facteurs économiques généraux, incluant les fluctuations des taux d intérêt et des taux de change; les effets de la réglementation de l industrie pharmaceutique ou des lois concernant les soins de la santé aux États-Unis et dans le monde; les tendances mondiales à l égard de la limitation des coûts des soins de santé; les avancées technologiques et les nouveaux produits et brevets des concurrents; les défis liés à l élaboration d un nouveau produit, ce qui inclut l obtention de l approbation réglementaire; la capacité de Merck à prédire précisément les conditions de marché futures; les difficultés ou les retards de fabrication; l instabilité financière des économies mondiales et le risque de souveraineté; la dépendance à l égard de l efficacité des brevets de Merck et des autres protections relatives aux produits innovants; et le risque de faire l objet d actions judiciaires ou de mesures réglementaires. Merck n est pas tenue de publier des mises à jour des déclarations prospectives, que ce soit à la suite de nouvelles informations, d événements futurs ou de tout autre élément. D autres facteurs susceptibles d entraîner une différence notable entre les résultats réels et les résultats décrits dans les déclarations prospectives sont énoncés dans le rapport annuel 2013 de Merck établi sur le formulaire 10-K et dans les autres documents déposés par la société auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et accessibles sur le site Internet de cette dernière (www.sec.gov). # # # 1. Medline Plus. Melanoma. (Mise à jour en mai 2014). [En ligne] http://www.nlm.nih.gov/medlineplus/ency/article/000850.htm. Consulté en novembre 2014. 2. Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer. Statistiques canadiennes sur le cancer, 2014. Toronto, Ontario, Société canadienne du cancer; 2014. [En ligne] http://www.cancer.ca/~/media/cancer.ca/cw/cancer%20information/cancer%20101/canadian%20cancer%20statistics/canadi an-cancer-statistics-2014-fr.pdf.