Chiffres et Statistiques

Documents pareils
édition 2009 / 2010 Les essentiels 50 conseils Guide pratique hors-série pour payer moins d impôts UNE RELATION DURABLE, ICI, ça CHANGE LA VIE.

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

CREDIT D IMPOT SUR LES INTERETS DES PRETS CONCLUS POUR L ACHAT OU LA CONSTRUCTION DE LA RESIDENCE PRINCIPALE

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du

LE PASS-TRAVAUX. Edition Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie Syndicat Mixte Arlysère. Comité de pilotage du 02/10/2014

Loi de finances pour 2015 Aides à la rénovation énergétique des bâtiments

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Le Prêt Social de Location Accession PSLA

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014

ACCESSION. Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux

Les mesures pour relancer la construction de logements

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs & 2011

L ADIL Vous Informe. Le prêt relais

SOLUTIONS JEUNES ANS. Gagnez en indépendance!

HABITER MIEUX DANS LE GRAND NANCY juin 2011 ~ juin 2014

SOLUTIONS JEUNES ANS. Gagnez en indépendance!

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France

Chapitre VI : DEPENSES DONNANT DROIT A UNE REDUCTION D IMPÔT ET DEPENSES DEDUCTIBLES

Panorama des principaux crédits et réductions d impôt en faveur des particuliers

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013

Avant-propos Partie 1 L état du marché et la défiscalisation immobilière. 1 L immobilier en 2008/

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Assurance gratuite contre la perte de revenus

Financer les travaux d adaptation des logements

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

La Société wallonne du crédit social et les Guichets du crédit social octroient, aux conditions du présent règlement, le crédit hypothécaire social.

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Le Plan de Rénovation Énergétique de l Habitat Réunion de présentation du 19 juin 2014 Arrondissement de Libourne - DDTM de la Gironde

La Banque Postale, une banque «pas comme les autres»

Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments

OPAH - RU de CASTELNAUDARY DOSSIER D'INFORMATION PROPRIETAIRES OCCUPANTS

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -

PREFECTURE DE LA SARTHE EXAMEN PROFESSIONNEL DE CONDUCTEUR DE TAXI SESSION 2014

RENSEIGNEMENTS Rachat de Crédits (Locataire & Propriétaire)

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville

GUIDE FISCAL. L essentiel de la fiscalité liée à l achat et à l utilisation professionnelle d une automobile. Guide offert par FAL Fleet Services

PRÊTS IMMOBILIERS. Concrétisez vos projets immobiliers!

Forticiel Génération 2

Le CILG Partenaire de votre projet PASS-FONCIER. Réunion d Information DDE 33 PASS-FONCIER

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014

Programme ESSEC Gestion de patrimoine

Epargne, Retraite, Prévoyance et Santé

FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,

Comment utiliser les nouveaux documents de souscription

Comment mobiliser les copropriétaires et financer de gros travaux

GERANCE MINORITAIRE OU MAJORITAIRE : QUEL EST LE MEILLEUR STATUT?

L éco-prêt à taux zéro ou éco-ptz

Hôtel de Région Lundi 1er juillet Chauffe - Eau Solaire Individuel (CESI) Un dispositif d aide à l acquisition pour les particuliers

Conditions des Prêts : «Complémentaires au logement»

Conseil économique et social

Fiche pratique : demi-part fiscale & APL

LES AIDES DISPONIBLES POUR AMELIORER SON LOGEMENT DRAGA- ARDÈCHE

Démarche de guichet unique (Articuler et faciliter l'accès aux différents dispositifs) Diagnostic socio technique

L accession sociale à la propriété. Une étude du Crédit Foncier

Qu est-ce que la Bourse?

Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

NOTICE D INFORMATION / Contrats MRH Axa (étudiants adhérents / affiliés Vittavi Dom-Tom)

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

Le compte épargne temps

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE

Dossier page 2 à 6. Brèves en page 7. La Loi Madelin (non-salariés non agricoles) Newsletter d informations juridiques et fiscales Expert

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Article 35 Article 36

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Conseil de Surveillance du 23 février 2012

Financement de la réhabilitation des logements

Investissez indirectement dans l immobi

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

La Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements

Barème de l impôt sur le revenu

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss

PROSPECTUS CRÉDIT HYPOTHÉCAIRE N

L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode

Document de recherche n 1 (GP, EF)

ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants

URBAN VITALIM SCPI «PINEL»

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

Les SCPI. François Longin 1

Allianz Retraite TNS / Agricole

Dispositif d appui au financement des entreprises

COMMENT REDUIRE SON IMPOT SUR LE REVENU?

COMPTES COURANTS D'ASSOCIES

PROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES

DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT

Faciliter l adhésion à une complémentaire santé

POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012

> Abréviations utilisées

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT

Transcription:

DL MN PD Pôle onnaissances Octobre 2015 hiffres et tatistiques Les prêts à taux zéro en Martinique nnée 2013 Direction de l'nvironnement, de l'ménagement et du Logement MN 1

Le prêt à taux zéro est un dispositif mis en place pour répondre à la politique du Depuis 1995, l État aide les primo-accédants à la propriété en leur permettant de bénéficier d un prêt sans intérêt, couvrant une partie du coût d achat du. e dispositif a connu depuis 2005 des changements successifs de réglementation. compter du 1 er janvier 2013, de nouveaux critères d attribution de prêts à taux zéro «plus» (PZ+) sont mis en application. n PZ+ ne peut être octroyé pour une opération dans le neuf que sous condition de performance énergétique. La mesure s accompagne d une nouvelle diminution des plafonds de ressources. n 2013, en Martinique, 192 PZ+ ont été délivrés. est le nombre de PZ+ le plus bas observé depuis 2009. es PZ+ enregistrent une baisse de 52% par rapport à 2012. 900 800 700 600 500 400 300 200 100 0 2008 2009 2010 2011 2012 2013 Nombre de PZ ource : GG - DL volution du nombre de PZ entre 2008 et 2013 La majorité des primo-accédants à la propriété sont âgés de 30 à 39 ans : n 2013, près de 42% des prêts sont attribués à un ménage âgé de 30 à 39 ans (40,7% en 2012) et 40% à un ménage âgé de 40 ans et plus (48% en 2012). eulement 12,5% des PZ+ sont octroyés aux jeunes de moins de 29 ans. n 2013, les nouvelles conditions réglementaires liées aux conditions de performance énergétique ont profité aux artisans, commerçants, cadres ou chefs d entreprise pour 48,9% contre 53% en 2012 et aux employés pour 47,4% (38% en 2012). n 2013, 58,9% des bénéficiaires de PZ+ sont locataires dont 47,4% dans le secteur privé, ce qui représente une augmentation de 3 points par rapport à 2012 et seulement 11,5% habitent dans un LM. Le dispositif semble donc peu bénéficier aux locataires du parc social. Les bénéficiaires de PZ+ dont le ménage est propriétaire ou autre statut d occupation ont chuté de 11% par rapport à 2012. 2

épartition des PZ selon le statut d occupation du actuel Locataire autre 47,40% Propriétaire ou autre 41,15% Locataire LM 11,46% ourc e : GG DL ntre 2012 et 2013, le nombre de bénéficiaires du PZ+ ayant construit un individuel ou collectif a diminué respectivement de 38,9% et 7,1%. La part de s collectifs connaît une forte diminution, passant ainsi de 27,75% en 2008 à 13,54% en 2013. La part des s individuels quant à elle, connaît un rebond, passant de 72,2% en 2008 à 86,5% en 2013. 600 500 400 300 200 100 0 2008 2009 2010 2011 2012 2013 ource : GG - DL volution des PZ selon le type de noter que jusqu en 2011, le PZ+ pouvait être attribué pour des opérations dans l ancien. Le prêt à taux zéro plus finance surtout les constructions de maisons individuelles avec achat de terrain : n Martinique, la moitié des PZ+ octroyés financent un projet de maison avec achat du terrain. eulement 13,54 % des PZ+ sont attribués pour un achat neuf ( déjà construit). épartition des PZ par type d opération ndividuel ollectif ype d opération 2013 chat neuf 13,54% onstruction de maison individuelle hors achat terrain 33,33% onstruction de maison individuelle avec achat terrain 52,60% ource : GG DL 3

51% des PZ+ sont octroyés à des ménages aux plus hauts revenus : La répartition du nombre de bénéficiaires du PZ+ est différente selon la tranche de revenus. n 2013, 51 % des ménages bénéficiant du PZ+ ont un revenu supérieur à 28 420 euros, soit un recul de 43% par rapport à 2012. Les bénéficiaires disposant de revenus intermédiaires ont augmenté de plus de 5 points entre 2012 et 2013. La diminution des plafonds de ressources au 1 er janvier 2013 a conduit à une baisse du nombre de bénéficiaires du PZ+ ayant les revenus les plus élevés. épartition des bénéficiaires d'un PZ selon leur tranche de revenus evenu <= 15800 evenu > 15800 <= 28420 evenu > 28420 9,67% 10,94% ource : GG - DL ntre 2012 et 2013, la part du PZ+ dans le coût moyen de l opération recule, passant ainsi de 28,21% à 22,29%. Part du PZ dans le coût total de l opération par ommunauté d gglomération P Part PZ/coût de Part PZ/coût de l opération 2012 l opération 2013 du Pays Nord Martinique 28,92% 23,38% du entre de la Martinique 27,47% 21,34% de l space ud de la Martinique 28,33% 22,50% Martinique 28,21% 22,29% ource : GG DL 2012 2013 62,8% des bénéficiaires du PZ+ ont un projet hors du lieu de leur résidence actuelle : n 2013, 62,8% des ménages bénéficiant d un PZ+ sont primo-accédants dans une autre commune du département. 4

Localisation du futur lieu d'habitation des bénéficiaires d'un PZ este dans le même département ource : GG - DL La ommunauté d gglomération de l space ud de la Martinique (M) affiche en 2013, 65,7% des bénéficiaires du PZ+ restant dans le même département mais dont le projet se situe hors de leur lieu de résidence actuel. onclusion : 2008 2009 2010 2011 2012 2013 M M P Nord ource : GG-DL Localisation du futur lieu d'habitation des bénéficiaires d'un PZ par P 0,00% 50,00% 100,00% onserve le même code postal onserve le même code postal este dans le même département près une baisse spectaculaire en 2012, le nombre de prêts à taux zéro a encore chuté en 2013 en Martinique comme en rance métropolitaine. vec 1,1 prêt à taux zéro accordé en 2013 pour 1000 ménages, la Martinique est en dessous de la moyenne nationale (1,6 ). À compter du 1er octobre 2014, dans le cadre des mesures pour la relance de la construction, les conditions d attribution et les modalités des prêts à taux zéro ont à nouveau été revues. Le montant de l achat pris en compte et la quotité du prêt sont relevés, le plafond de revenu est élargi pour les classes moyennes et le remboursement différé allongé pour les ménages les plus modestes. Le PZ est également renforcé sur les zones où son effet de levier est le plus grand. Le nombre de PZ accordés devrait donc remonter et ainsi permettre l accession à la propriété à davantage de ménages primo-accédants. 5

ource : Les informations concernant les prêts à taux zéro (PZ) sont transmis par les établissements de crédit à la ociété de gestion des fonds de garantie à l accession sociale (GG). Dès 1995, la GG a eu pour mission la gestion des prêts à taux zéro. Lors de la création de cette aide aux particuliers, elle a été chargée de l interface entre l État et les établissements de crédit. oncepts du prêt à taux zéro : Depuis 1995, l État aide les primo-accédants à la propriété d un en leur permettant de bénéficier d un prêt sans intérêt, couvrant une partie du coût d achat. n PZ+ doit être obligatoirement accompagné d au moins un autre prêt. Pour bénéficier d un PZ+, les emprunteurs doivent acquérir ou faire construire un destiné à être occupé à titre de résidence principale pendant au moins huit mois dans l année. ls ne doivent pas avoir été propriétaires de leur résidence principale au cours des deux dernières années précédant l offre de prêt. Les conditions financières du PZ+ en limitent, en principe, le montant à 20 % de l opération, hors frais de notaire. n pratique, il est modulé en fonction de : l implantation géographique du ; du caractère du bien ; du nombre de personnes destinées à occuper le ; du montant total des autres prêts souscrits pour l opération. istorique du PZ : Le PZ, destiné à aider les emprunteurs à acquérir leur première résidence principale, a connu de nombreuses évolutions : 1995 : mise en place du prêt à taux zéro (PZ) Le prêt à taux zéro entre en vigueur le 1 er octobre. l se substitue aux prêts aidés à l accession de la propriété (PP). l s agit d une aide de l État destinée aux emprunteurs à revenu modeste ou moyen pour leur permettre d acquérir une résidence principale. Le PZ ne peut initialement être délivré que pour les constructions, les achats dans le neuf et les achats dans l ancien (s de plus de 20 ans) avec une part minimum de travaux (35%). 2005 : mise en place du «nouveau prêt à taux zéro» (NPZ) partir du 1 er février, le nouveau prêt à taux zéro est ouvert aux opérations d accession dans l ancien avec ou sans travaux, sans condition d ancienneté ni quotité minimale de travaux, mais toujours avec conditions de ressources. Le NPZ bénéficie pour les acquisitions dans le neuf d un doublement du prêt entre janvier 2009 et juin 2010 et d une majoration du prêt à 50 % entre juillet et décembre 2010. 2011 : mise en place du prêt à taux zéro «plus» (PZ+ 2011) Le prêt à taux zéro plus remplace trois dispositifs d aides (NPZ, crédit d impôt sur les intérêts d emprunt et passfoncier) à partir du 1 er janvier. Les conditions de ressources étant levées, il est alors destiné à tous les accédants à la propriété. Les modalités de calcul des montants empruntés sont fortement aménagées pour intégrer une visée environnementale (prise en compte de la performance énergétique du ). 2012 : modifications du prêt à taux zéro «plus» (PZ+ 2012) De nouvelles modalités du PZ+ sont appliquées en 2012. Les principales évolutions portent sur le rétablissement des conditions de ressources et sur l exclusion des s anciens du dispositif, à l exception des achats de s LM par le locataire. Par ailleurs, le niveau des montants PZ+ est revu légèrement à la baisse et les durées de remboursement sont réduites pour être comprises entre 12 et 25 ans (contre 5 et 30 ans pour le PZ+ 2011). 2013 : modifications du prêt à taux zéro «plus» (PZ + 2013) De nouvelles évolutions apparaissent en 2013. Les conditions de ressources sont plus strictes pour recentrer le dispositif sur les ménages les plus modestes. La performance énergétique du devient obligatoire pour les s neufs (réglementation thermique 2012 ou label BB 2005). i les montants retenus par opération restent stables, le niveau des prêts basé sur une quotité du coût global de l opération est revu à la baisse. nfin, les conditions de remboursement évoluent avec notamment le retour à un différé total de remboursement pour les classes de revenu les plus faibles. 6

Pour en savoir plus onsulter le site du ministère de l écologie, du développement durable et de l énergie : http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/-construction/s/marches-pret-taux-zero.html onsulter le site du GG https://www.sgfgas.fr onsulter le site de la DL Martinique : http://www.martinique.developpement-durable.gouv.fr DL Martinique Pôle onnaissance Émilie B Direction de l'nvironnement de l'ménagement et du Logement MN BP 7212 Pointe de Jaham 97274 choelcher cedex él. : 05 96 59 57 00 fax : 05 96 59 58 00 www.martinique.developpement-durable.gouv.fr 7